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STRUCTURES AUTOPORTANTES

Stuctures autoportantes expose amar

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STRUCTURES AUTOPORTANTES

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• DEFINITION :

Ensemble de pièces formant l'armature (d'une construction, d'une carrosserie ou d'un fuselage) dont la stabilité n’est pas due à un support,mais à la seule forme.

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QUELQUES EXEMPLES

• L’architecte Santiago Calatrava se distingue à Ténérife, sur un site exposé au bord de la mer. Cet ouvrage, qui servira de salle de concert, est un exemple illustrant les possibilités quasi-illimitées de la construction en béton.La technique de coffrage appliquée à l’ouvrage posait un problème hors norme que nos ingénieurs PERI ont su résoudre avec succès d’une manière rationnelle et fiable.

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• Mise en place du coffrage intérieur VARIO GT 24 pour les voiles incurvés et inclinés. Un ancrage des étais dans la dalle intermédiaire a assuré l’étaiement destiné à la reprise des forces horizontales élevées s’exerçant.

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• Coupe coffrage grimpant pour les sections de voiles incurvées et inclinées à 55º, avec VARIO GT 24 sur consoles grimpantes respectivement ancrées dans la phase de bétonnage précédente

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• L’échafaudage modulaire PERI UP Rosett a servi d’étaiement pour la réalisation de la toiture en aile. La fixation a été effectuée sur la coque de la « noix » – trame de base carrée de 1,50 x 1,50 m. Des vérins de pied ont assuré l’adaptation verticale des longueurs de montants aux divers niveaux de la surface d’appui.

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• Dans trois circuits hydrauliques fonctionnant indépendamment l’un de l’autre sont commandés tous les mouvements intervenant sur l’équipage mobile : avance et recul, positionnement ainsi que coffrage et décoffrage.

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• Section portique de coffrage avec dispositif de déplacement et de réglage .

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• Avec seulement deux arrêts techniques intermédiaires destinés à l’adaptation des éléments, le coffrage « est passé par » 32 phases de bétonnage hebdomadaires se succédant à intervalles réguliers

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• Elle s'est posée devant la gare Saint-Lazare, dans cette cour de Rome très « pompier» findu XIX' siècle. Elle est l'émergence du pôle d'échanges souterrain de la ligne Météore. Simple comme une bulle de savon, cette lentille de 15 m de diamètre et 4 m de haut est complexe par sa géométrie et par les forces qui s'y jouent.Son galbe est né de la rencontre de deux formes géométriques: une sphère dans laquelle s'inscrit un volUme toroïdal. A la différence d'une bouche de métro qui signale un accès fermé par une grille, cet objet transparent, un peu comme la pyramide du Louvre, sert de verrière aux quatre niveaux de la station. La fermeture s'inscritdans sa géométrie, avec deux vantaux courbes en lames d'inox coulissant sur rails.La double courbure de la lentille lui donne élégance ~t dynamique. La structure en arceau~x (11 longitudinaux et 9 transversaux) est composée de profilés en delta, en acier inoxydable (Cefival), cintrés par une entreprise d'aéronautique (Couzinet Formage) et reliés par des « nœuds »en inox moulé (SadevjElcée).

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Plan du 10e et 6e etages

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• Le bâtiment est composé d'une salle d’opéra, d'une salle de concert et deux théâtres inclus dans une coque en titane et verre abritant l’espace public. Le complexe culturel est conçu comme une "ville de théâtres", une île transparente dans un plan d’eau artificiel entouré d’un nouveau parc urbain.

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• Un groupe de huit étudiants a érigé la tour sur une période de trois mois l'été passé. La forme organique du gridshell suit la ligne du bord en pierre définissant l'emplacement et s'enfle dehors

• au dessus autour de la plateforme principale de visionnement. Environ battens de 72 bois de construction, 60mm2 dans la section, ont été préformés dans sept courbures différentes et assemblés sur place. Des battens sont joints en utilisant les raccordements simples d'appliquer-boulon figés avec les nailplates à côté double

• (il y a plus de 600 joints).

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Centre des nouvelles industries et technologies (Cnit)

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• Centre des nouvelles industries et technologies (Cnit), bâtiment d’exposition construit en 1958 par les architectes Robert Camelot, Bernard Zehrfuss et Jean de Mailly, et situé à la Défense, près de Paris.

• En 1950 la Société civile du Centre de la mécanique décide d’édifier un bâtiment d’exposition dans le quartier de la Défense, que l’on commence à aménager en centre d’affaires. Le projet est confié aux architectes responsables du plan masse de ce nouveau quartier : Robert Camelot, Bernard Zehrfuss et Jean de Mailly. Le terrain dont ils disposent est de forme triangulaire et le programme demande le maximum de surfaces libres pour permettre l’exposition de machines-outils. La forme du bâtiment découle de ces deux contraintes. C’est un triangle curviligne couvert par une toiture en paraboloïde hyperbolique. Les premières études projettent un bâtiment en acier, mais cette solution nécessite des appuis intermédiaires. En 1953 les architectes sont rejoints par Jean Prouvé et Pier Luigi Nervi. Ce dernier imagine le tripode couvert d’une voûte d’arêtes à trois branches, en béton. C’est l’ingénieur Nicolas Esquillan qui étudie le réseau de voûte et sa mise en œuvre. Réalisé en quatorze mois et inauguré en 1958, le Cnit, totalisant une surface de 45 000 m2 dont 12 000 sous la voûte, est salué comme une prouesse technique. Les façades de verre suspendues de Jean Prouvé et la minceur de la coque de béton lui confèrent une légèreté jamais réalisée jusqu’alors dans un bâtiment d’exposition. En 1989, le Cnit est réhabilité par les architectes Michel Andrault et Pierre Parat. Mais le nouveau programme exigeant des surfaces commerciales et tertiaires, l’intérieur du bâtiment est cloisonné et perd la pureté de la majestueuse voûte de béton.

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• Présenté par: Encadré par:

Issa Berthé Me:ATEK

Ibrahim Diallo MR:BETROUNI

Hassane Tata Bagayoko

Groupe:06

• Classe:3emeannée

Année scolaire 2005-2006