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t: u?MisTATON & flDACtO . a*3 iwqueztfl4 TOULOUS p V B t :i C I T Jl Dn: .r;gu .Z!X rti Cr$pJUJ- I_s $umr DX C.1)thY) pour les Is Devoir Natiollal la or la o11U" .tiu- ui :Ic;: de . yafllQiX.S (,(U ont )Qfl- j'g1f i; dÔftno do la iat;on, i.tw 1tur jeUflSS (iaflS tI FhQrtll)It gurr, que les 8e1' tjU4 b1cs5urs c'nt it-s 'rn'eu ft [i de phi haut, fie aor, ce1ut de la r&dua1iOfl )fØqjOflflQflP. . -. lrJ;CCCIÏIP1f.ukt 1!CCt Ce devoir, qOCjL fera pa ou!erneflL une aa-. 1; ist, Otto fOFI (lU mm coup oeuvre j(i!(C. dont les rsu1tats seront rolU&)IeS au i)ien-,tre de tous. 1 c':st (le r&paeaUon par cel- ((11e car S'il est jut (k e1vee les rm- ;, c1e (ommiges, tjnel ,t 4omwago 1us grafld que ceU.t (SUt . rJY tIKIïEfke de ses moyens te travaU et itI1 te (ii-i-&Rue dans sa fwee de proi:tuc- !j(!fl et CkU5 sa prO)re dilt1itt ns doute, ta pefliOfl doit tssuCF upe r14irO conpesaUon, iiais i n'y aura dø pleine scutt pour la vie futurG u paiie son Ionhur et 1)our cehu ieiiS, (L1C dfl le t.ravil reconquiS. '3 La vie ne CU4 cornp1ito et ouvert j)1. les estoirs (lue pour eo (jui 1 o1iiU.ud reoonnisattø cle la sci.t au- z'a rerniu Les ïyeït daett qui deaL la (l vivre. _ r1tis la !osure et proonde, plus a uti1ation est grave plus il es 40T1 (IU le mutilé sQt arraché aux redoutbloS ag- gravktioRs souftitPce monte (l1%C I ifl'kC- divjtt pO&4e t.ouQurs vCO aile. . C'est donc avant 1out et sur.ouL pour Tedontec au r actle ou nu blss une exi- *0410e active, C3J)al)3e 4e le di8traire et de 1trrciier aux SoiTt!if pensées, en mimC *efl-ips (ltio de lui -apporter I'ass*raflre tl'tt meilleure 'vie mateieUe e morale, qu'il faut coneevcir et organiser cette oeuvre de &constution. , Ma-is la rétitietion (les muil e dn- A'' e" L' " ' - uC COiflLïlC uae uvro de tongue 'aleme, kt Si U fur e.!; moure qtie nos giOrilLx I1esss apjreudroot un noti'eau rnEtier, on la sagesse de- leur rsrver la ionelion eorrepondante ot ils poue:eont cxer&r ce 1ier avec e nme profit que 4eurs c'a-. uar'ades valides 'Oo ti dioe a rncessit d'un duio Vlnn : d'abord rc.horoher pt.iernmoa ce lUi convient à chacun d'après la nature nine do n*ladie on do si ruuUIatOn, 1are tou tes sacrifices d'outiLlage et de nthode, tant pour le niat&iol des (colos et (ICi atolie' que pour les nppariIs de rot1is les plus pevfeototin(s, attribuer i jiisies indennit(s qui porniettiont au iiutih de consacrer sans inipatieae.e tout. -le temps n(oessaire sa ri5&Iueat.ioa et ,qui front en progreartt jusqu't devenir ftrn large e mreu: salaire IU fur et i iestIre, qua 1e aptitudes se .cléve1oppeont. Ensuite, faire ta propagande du devoir Ilauonul poup quo pattout les fonctions qui conviennent le. mieux aux mutilis leur oicnt de iUS en plus r(servtos. II ne suf- dira pas pour cela do ce que la loi peUt .e:1P rcerver dn ks administrations ji- )Iiques. mais il faudra que par une iiob!o fimuIa;AGn, pt-out patrons et. ouvriers ri- Pa1seutde i 'lui '1 : OUI leur garder tout ce Il P0ratr accompli par eux. 'eoIes ii ce que CjlleL clans les tout en(jre Orien(t OJCUIIO,5SC valide soit ius actives, afl- de 'encep dans les t flutjl(3 ou le ravaw 1)105 faciles, les dOjvt ér' I %CRVCS t CUi CCS travaux ernent conC Offcrts et Soigneu- Si eiacun sat oLte CCUy ' ct veut se coflsaier ivieudra lout, fl-'C(saire, la i'(cornpense (iire y tr '.';Utu, car la so tout en- p .GU',era son eomI)t. Il flO faut OCi(M4 retru, i'actjvit cle ceutanies de niltiers [ou elle. sans cela sci'aient porcines Ce acÉ ouvelir munies d'unc tee.hrifr1 r1ieuse011 (:!sPosant, d'an outillage ftlg&- I)rod0 CPpropri(, peuvent rendre la I gu Une largo part des moyens que Or Iu n enlevcs. c'et'(: Production relo'ce, augmcflte, FOur c te secret, de. a pros[M.rit6 future. 1evoip 1acm et pour tous, accomplir ce ntr,ti?l envers les rnutil(s, c'est VC[ti0i coup à assurer le rc- iqu du pays rar le tr,çvail. C'3st pla- assuranP18flflblc et la plus fruetuuse EEDOUCE, a faut qj les pojfu5 8aohe1t que pen- .. "t (p_i « ETWATSSAIET » des éc1at ii;, d'auti-c t EN(lSiprT , -o!e Accroiss. de fort, lOOOO marks 20000 35000 10000( 300000 500000 1000000 1500000 TLtH 043 QUOTDEN SOCALISTE REGIONAL . . - ' -s---- - 4- L __t___l.:W Prjeisous Icau ' comi5lnce NionaIe » . Trtes Mtirt . t IiMh :orirnents 1îartai ii déco i On ait .que Fiuiporloutc question (U tunnel sous la Maiiciit ét( nouveau orarnime, par le conseil clos nniaitrs.' M. Clavcit.lci a soumis it ses col1gues le texte d'une 14ttre rar lui a4lreSs(O 0(1 ïïIF rust e des AfI iir. etc uigu e iL d'UIS h- quelle ' il lui demanded'iutcivcnir aupis du oiteriieinent l)rtinnilquP pour fTO- riser la conclusion d'ure .ertente prochnu- rfe et dtfinitivo sur les bases de l'arrange- rnciit (1&SJ proposee f870. M.. Claveillo n propos( h cr iton (1 IUIC O1flht''Ofl '4)1- caIe comprenant .cles d(téti de 1'ngle- terre et do la Franco. . ce sujet, il onvient de faire olbserver que le projet d'un tunnel sous la Mauclie ct axri\d chtz nous un dit où prp'i- ration beaucoup plus avtiu.ct crue Citez nos amis et alli(s. Fil Franco, rlis 875, une loi e acord( la eoucesioa des ti a au'c n 1 4.S-()eIatlOfl tf-ireaic du tunuci scus-maun I n An- geterro, aucune enucession na canera etc autoris(e. Une sociétt n en1Cel)ri une de du projet, mais aucune autorisation na 4tj accord(e. Depuis la guerre, l'opposition qui s'ctait rnanifesi(e en Aiigieterie contre 16tablis- .scrncnt dune 'voie do commuiiieatOa per- mananite avec le continuent n perdu bcau- coup de ses d(fenseurs. Chez nous ,en attendant un accord d(fi- nitif, on n travai11(. Au iiois dodicoiflbrC cicriui CIa die nistituc un eonitC d'(tudes eharg d'examiner I'(tat.actuel du 1ro1et, t! LabIii le cout ejip o imatif de s lvu1s ttu)u (,t Ie 104 liuchcc oct unrnent si nt serait pas )osubIe cli. voura\re lei, ti k\ au cicj t eomiuone uruo en de pi o- ecd(s tc lruqi es uouw i- et pui s'ints Ce ooinitc n tecmm scs etude et il les a sumçj; dans un rtnoi que le ininiqtec L SOUrfl1' na1ement i ,(S colhgiic's il , a ont- les avis'i avtiraliles des aut.orit(s roilitairesel du consi1 su&icur des \ au-c pubhts T! ne reste plus, dc ocre côti qu'à entre- pendio les esa pitt n P'" k cuimk d'i5tudes pour ttiIier les derniec s perfec. tionne'rtciits de h seicuce e'i s t lués à la snmmo do !Ø(i(Q f r nues. seront e'pc ci quo (I( I au i. Olf d I t M UÀ( lic. se ma.nfegLera tin egal erunressernenit i .a1isc.r cette grncie c,' lvr' de rapproche- rxent mat.(riel entre &u:c natior&s'doii les ccdurs' sOlit. si (troitcinenL un.s. relro anti '. Ci- U '3 Si tJta TnCl d s u'ir '- ' i s' te ci Merte ( e la ue e fi 111'- O a I 1'lpu sur la fortune, que I'Asseinhl(e nationale de \Veimar vient. dc voter en holocauste ta di.rcso do l'Allemagne. '- L'ilckpôL allemand porte rue l:nugmcs4a- ton do i fortune des particuliers pendant ta gUCITC. Le gouveNlement demandait- un impôt. progressif allant iscpi.i 80 % dc l'augmentation pour tes for-tunes act-de.s- sous do 200.000 marks et. 100 % pour les fortunes sup(rieures ù ce chifïr. Le Con- sc.il fdéra1 (tait d'ac.cord avet togcmver- noment pour exiger Un impûi dc '10, 5. 2o, .0, 50 % sur l'accroissement de la for- tune jusqu't 100000 marks; niais, poui les . fortunes sup(rieureS ù cotte soinne, l'ac- corel cessait. Le Conseil féd(rol ne clemen- cJ.ait que (10 % pour 200000 macks, 70 p. f00 pour 250.0(10 marks, 80 p 100 pour 300.000 marks; 90 p. f00 pour i500MOO marks, ct 100 p. 100 pour tout ce qui est nu-ckssus de cette somme. L'application du systue gouvernemen- tal donnait les rsciit.ats que voici Accroiss. do forL ...... xc du gouvernem. i000e niark 1000 marks 20000 -. ;2300 35000 0000 - itOOOO( 30500 - 300000 - f0500 -. 5Q0000 - 3()0500 I()OOOOOO p400500 iOQOOO 130000G La Commisscm efacgee (le l'examen de la rifoa'iite ramenait OLIi chifft' sciivaiit du gouvernem. 1000 mailçs 300 5750 2500 11.i00 6 1'50Q f00500 Auoud'liUi. : beures, dans le grari anTphittûtre de. i Sorbonue, s'cst d(rcul(e, sot.is la pr(idci:ce dc M. Poici- caré, prtsitleftt le la I14p.bliqne,la c.r(- reonie dc la nationale on- açes Ie olfbi1s IU'54( &r' par I'IJii{ni (les rantcs nsnciat-icT f cançi- quo p ut I et I i. tS4 t 'anl i)esohanel Pes distours ont (.( proTlenc(s par MM. Poinc,ar(, le mar(chal Fvci, Cleineuceau, 1)esehanol et Lavisse . Faut-il lCs rapporter? Toujours les me- mes termes, .t.ou,ours ie.s mêmes dévclop- pemontS. des mêmes id&S les Poilus ont fait la guerre: gloire ù e,U! .Ct vous,. ci- viI, etifleS ou \ietuc, faites la paix : eu sera votro .gic*ire. J'.)onut s 'Ic't. . ('CI t( . fi de h , pi 1(1110e. C'est au (MlveeneInent de domer exeniq:de. Et il «e parait pas sen douter. Pour l'(difleat.ion des lecteurs uensvOu- on.s c ter la. p(roi'aison du ' discours »(?) de M. CIenenceu. Cc st.y ineoupi.éticn- q bit et (1t ien_ de cn bctn.1 +. i i de nou- confli'mee dans cette idée qui s'accr((Iite do plus eu plus dans son entourage que ce icaulec de i Frac&oe d n icut gft-ux. Lisez ce pathos : C, Que leurs noms soient donc . iruenits civ nos nutrailles, moins iou' ap4er lçS (4noiçuages d'une necoenaiscctce si in& it(a que rtour nous fouinir ave c Iinpira- tion (1er dévouecnents n(nessaices, le con- cours d'(ncc'go c1(int(rene,. sans lescluels il nest que fanfaronnade de progrs dans l'humanit(. « Le.s hommes de Fronce ont fait. Aux Fran0ais qui derce-ctrent de h-5 divre, si- non cFnc.hever, Leur exemple est. (I'hiCC. A I action cl wjoui d lin I .1 t nco noi.s cp- pJie de in la paix cci un n cl ,. rio " 1( çps h otis fOtIC la 1'mce! traves tout! » Et thec cne cet. emme et. acadmician! Jn punnicr n'on:ra pas siaer ce 'ali- naiiss ! - - .- pr où il y en a... C uvrcs C: . 0 .s,soc-ont eonsaercs ic la r(- cluction (le la dette f1ottacto d l'Allemagne Un double r (sultat. scia obtenu : la réduc- lion des ciarges budgôtcures et la. ciiminu-. ton de i'iettat.ic'n du c.r(dit t des signes incn6(aires. Quon compare 1'i4Tpt. sr l'aggmenct- tion des fortunes de i'Alltmagnie avec l'iut- pût sur Venrichi'rrnent proposé par M. hIot, Cet impôt, au lieu de portei sur Fac- e-roissomcnt. ck .s fortunes,' ne, touche que . l'accroissement des revenus. Il comprend cieux 1)o.;ctie . 1. Une taxe de 5 % frappe- sait laugnientLiori des revenus normaux contribuables ; 2. Une t-axe de 15 % s'appliquerait. i l'excédent.des revenus coi- 1-espondant aux béntiOeS de guerre. la,s taxs proposées pai M. Klot.z se- FaiCut calculées sur FCXC(dOflt accusé par comparaison du revenu taxable afférent t l'année envisag(e avec la moyenne des i'c- venus clos c-inq années antérieures. Les re- venus taxables oxcéciant- 10-000 francs se- raient seuls asujetLis h l'impôt. Le miuistre des finances estime à 200 millions les ressources quo produirait la taxe sur les accroissements de revenus per- maux et à 350 millions les ressources de supertaxo sur les bénéfices de guerre. Noue . sommes loin des '10 milliar(IS d l'impôt sur l'augmentation (iOS fçcrtunes des Aile- mouds. M. Kiots ue fait que toucher - et avec quelle délicatesse - les revenus r- tiiLant de 1acc.roissement. (le CCS fortunes. Pourquoi cette diff(ronce? C'esL que. les Allemands « sont des vain- ('US, a répondu M. Emmanuçl Brousse. C, Sommcsnous fores do fidro banque- routeparco que nous somiies vainqueurs », r(pliqua notre eamrade Marcel Sembat. Evideinrinnit, ce n'cL pas ce-la quo re- cherolietit M. Brousse et les (Iirigeanits çle la bourgco is ie française. 1I no désirent point la banqueroute, parce quifs serai tes premiers trinquer Mais comme la l"rauee compte farrni 1m vainqueurs, nos bons bourgeois estipierit que l'aventure ayant bicin tOt.iré. ils doivent en COnc1-vvr tous les avanii.agc (t ifqit supporter a.icum dfsagrment. Ils ont profité de la guerre. lis sont a'Àda1ecseuen enrichis. Il On estime que l'Allemagne retirera dc c,-k imût un rendezueut de 10 muuIUard. (.ieq ci'oix dc. guerre -- avec f+:iIue .. su -c('us plait -- viennci detre di.rinses ui cinq ccc- respondauls dits de guerne, s0pir1c-1iaiit lotirnaux i)Sni-54en5. 'ociqnc1 .ciuq, d(us out la non-il.ra di? riir iihsni 'c il * tili r iai 3eii I. - ii c.ovresfoni&iece., t)it la g4'onmuie rut s'i avantcg?4- seiient rernpta pti' la pli.mme --. cs4 retsi- nf-niNlt plus (lé ' 1nt que lm hoi4c .ux tU rations est ,ouverte, 1 n' mi miucime raisih drit- ruinulucu un c(irCspOU4lsCt et de laisscr vtri'i;C la boutominèn, d'un utr?. Vous allc vote e.s messieurs, qu eurent une t protondc lion- resu' des ecsiba{s pendnnl les h(sti1ll, vont (harper cnirC CU --- a COUJ4 O iu..le. s'cnteid ---- malntcrarit que la pex es( faite. lVauluil que leurs i;cillauls *tmds (le ser'iie furent calcinés suc le mnIffle moule h la diff'- reice près cjue rectales (cnivirent mnI 1 tvi cuis et d'aulces plus umal encore. C'est, en rftei, l'unique dociirncïilation (1CC iC pUi iivok suc ('liv. l'ignore ct qu'ils nt pu faime au feu H,syi_ut iarais al}crcti le bout (1 IICZ d'tdi SCLII au milieu d'un lin de barnge, ft-U anoillu, ou quand « tt' fli()Uliti t c.cl( o lii'cutiit ses lac,ttes. 1t s''aDenit 1ie a1m5cc;liOe. (Lflao( en z l'age d'être sOulhkc -'-' il5tC't fjuotq3es-t105. pmuiui 1.u,'ç fini, sou'uf8L cC tsi'g cor do (C redoulablc piu jj? P'-I atcul '' ' 'il (IL0 tille. t'nm(onîlti nuiilaicc n'en ftL poIlu (kil - - mi'c'1- pc'ni-ett'e pss lui lii*'o sif{isaiit pour c1- t-ni' l i' atime. dors qu'un biffla d0vait fsuar le tnniïs fa n (net ii ois tous avant que de la ;,CIiCS- £1 C(iC f iaItefin fIlle fut la icniie do ces t'inj (jer'ncL in - (it' IÏI511IC (tkO le p:.iitii I qui I . pingla ska'._lcs ci .\j i-,oi.ini lies, s'il vU Oc 1 1 - ti oInms lit f I ' T ci ci 1dI __i ll,1i1e '1 (1U icil' (''lOS OC toc mit rii .L.. na000lte le mot cyUiie a lomcedillCOos- ciecice dccii dii nos ii1S5O1CS cnIi)usc1(mtS. Celui-ri, (lirclnur d'un e g'iad dieu de ta eaiIale et ne tioui1t mïnrce. poicit ( X' tL'C di. 1 (U i(t (if ('L - il 1 ut et hlaekhoult aux dernittes élec . mils -- 110 t'- ni imi\ IL h Ici ' oato1 n LI I fi Il 1 cIin nu Mus.te tiC l'Armée. C'est cn celle qualit « dattarli an Musée t1 I tlml.e ' 11CC " 1 ' I11tC rou ( 1k ont' e -trou ait L 41 1 mmton'm -il 1! 1m 0.1 »cti'e il ; n uni i3O1 1H11 (IC /OO'k"t '- cl \ Cdl t 'lu C 11.1-1 1 Lei pOiginc- tIc iniiis ,hftt.&s, t'aOldsc t,(.,1 ndm nci (IL, ,i t r i 1 uOl j lue (' (1'it ÇiS1i 't h5Ions.akiS &llt'iI NIC.O OÙ la vie d-«,riI, ssurcme {outt, ii' pius onnahic. Et l'anime. sans se di-mcrmtct' (' Ce que je fiis ? iriis ce Itile tout rnoiidc'. mon (m'oie-.. " . \LdL TICIL il "ait tout dc i ein cumj)il le ild'I.l..lO uO ICU (il(cl' d i IIL 100 t 1 tic si1" iiflPlC 10 PlOt-NeUf- il 50 f nc4 (le lCIUPS c''-'-m1'-"- ri:ii4t_l puiU' lutiifOPIuo. l'efus, 111es fiiiC5. i1pio@lie. c mot der p- roles du sieur Lande, sc(ciclteneiit eindldat- ni J)o1e.cu dcxtcctti(ii : Qc.'e;ut on e 1rcn ait- !0IiS, 011 flC va pas cr [cire essci, la pwnie.-. et 313UVe110Z-VOtmS complont i1én(fleier de tous cspr efits ce- (luis pondant la t.uerc. Mais. comme Pressemimane le fil remar- quer, la situation économique et finauciére de la i'rancc est. à peu pr's la ncnc que cc.11c de. l'Allemagne. -Noire pays a ét le plus atteint jar la guerre.. Il fauctea bien laird face aux cmbaceas de notre 'Jrésorn-. rie et combler le trou énorme erousci dans nos budgets annuels. Où PiefldLe l'argent ! es bourgeois framicais, parce que ( vain- qucurs », ne veulent. point payer. ils son- gont à la masse des travailleurs pour ré- toNic lï'qnilibro finamicier de notre psys. Ce sont les ouvriers. les paysans, les con- sonmmateurs qui doivent acuqitter les dé- penses de la guerre, et la bourge.oiie vie- tonieuse doit consuiver tout le fruit do ses rapines. La victoire l'exige, car ce ne serait plus la victoire. - Aiusi, la guerre n (té une affaire de jeu entre les lmurgeoisies des pays en guet-ce. Celles qui on erdu la partie doivent payer landis quo celles qui l'ont gagnée doiveni.t empocher l'enjeu. Jteste à savoir si les peuples qn ont fait la guerre, qui l'ont payée do leur sang et (Iii tc,is leurs sacrifices, s'aceom1od(eox1L (le cet, arrangement. IiOsi à savoir égale- ment 5m les travailleurs de France consent- tit'ottt CUX flUssi à êt.:ce « des vaincus u. Paul ?dISTBAL, 1>épufi; (I( !'15Ci'c. Al.'JOUBI)'HUl t i1 IJ!.Es 0 A AL! ....- J&5i Rochulistes titi Tiii et de uomui.pt'eaçes ttélé9atious (le la rôioa et (le Toidouse iront en . SUB LA 1'OîRE ILLU S TRE DU JEAN JAUg, en , b1,{::lK4* "- ,1. DTON5 PYRlNES ET LPNUE003 TARN ET AVEYRON TOULOUSE ET ENVIRON3 A EO1 ri V7 EN 1$ 3mi 61l*i.$. l Fani 8 i 30 I!trogi. . i...' 10 20 40 Leurs On n 1eau commenter les décisoos F1- rentes du coagrés radical, cUelqiÂesuUS (10 nos plijiS omit!ieau c-rorc qi'eltes ont défi- itivcrnent. . éloigné.1' alicumi'n cale, il n'en (,st pas fO{'iiS filIO :{lc4itS I otibre, lts f c1.ati iii ' n i, r - I I tiit C flamouxcc'u'rs, se joursuivent, eU par endrot-. dftcis notre rcicn, si cious sem- rimes bien inforoiés, mrmnia.cent dabottiir. Le pacte bouit.eux risqime (le se cOflClUr('. On imotis dit que rien n'est encore tt(tl,tiitif. Nais le comble vient. de en que. si les si- geatures rie sont pac échangées cidre réactionnaires ct radicaux, ce n'est pas tant euraisoim tIC. désciccord sue les piimici- IMu; (ec.s reassicimrs les piétinent.) , i'aison des difficultés 'qte coniporle la. ré- pa clition clos siègos, chacun prétenditut ai'- poetf9r le plus gros contingent. (10 suffumi- ses, éelatne la part de gkteau la plus gi.'oSse. '.101 est, à Flieure où nos sommes. l'ob- jet des t.mactatiomts en coui'm. Laissons faire, (il.. gai'dons-nous ((C. I'C1(SCUP les eOmflpé- titeurs sur l'état respetif de. leurs forces, car nous n'ignorons pas quel est c.clui des cieux clans qi.d prime l'autre éectomale- ccie.ut. ôtais, en attendant la commilusion du marché soulignons-on une fois de plus le caractôre à l'intention do ceux qui no sont pas encore dégoûkis. M. Ciacles Manrias miens n fait savoir, dans 1' ' Action Française u de la semaine dernièce, que le concoi.Irs des camelots du ¶oy était acquis. « Nous ne demandons pas aux républicains de mortier ou d'o'.ibuict la. itépubuique. Ils n'ont pas ù se soucier js' 5kOtLC niortarehie. '> riOl est It' doukie postu- nt formulé par le ropi-ésentant du duts d'Orléans. ., ' Oui peut déjia souligner, avec ass.r Ci'. satisfaction, .. la dérobade des gens du F ' ACtOfl i'roaçaisc u qui devaient ,Lou ionleversor et qui vont iirudeIïmn1c,it (lisSt- inuier leur faiblesse dans l'amalgame cciii- lus «une coalition antisocialiste. Mais il faut, par sm,u'crout., st.igniatiscr fr soi-disants républicains. qui acec-ptent de llgurer.au.x des sQUl.ienS du. Iioy . (est pour Cu:c nue nous rappelons 1af- fiche iquc fai;1it cil)PCSer . sun les moues 1' Action ]'raç.aise u, en 1014, la veille des éleetioi:is. Elle était. intitulée ; « A l)a la itéputiliquet u et- se terminait sur les cris. clii suiverti 1 Ii lUi faut. (à la Fronce) la mnonar'c.hie i.raciitioaeiiIe. Iiérédiaire, nui pnrlcmnea- taire ci, décentralisée. . . ( . Il lui faut le- iloi national, iuriticr dc quarante rois capétiens qui ont fait ia 1'i'aiteo et. qui l'ont- iliice au premier rati( des nations. Mciiw Ici Uui førléan3 ill1jljppO viIn « A bas 105 pOtrU1cn .A ria' in 1eputi1 quel 1 Vive le flofl » C'est pour eux aussi que bus rappelons que los ligueurs d'Adieu française si- giuiient. en adhérant la formule suivante 1 Ji m'engage à corrmbatt.re tout. régit . épiÀblioain. ,1C J0 niassocie ù l'oeuvre dc rcstaui atiori muoctarchique. il 3e irtougage t la servir par fous 10 moyens. » s, . .. :lt. voila avec qiel inonde ecraic; r;vl,- eaux eOnse.uiLect à. s'ttcmciùimmep. Se petit- C titi0 j.LOOitC ne proceste catis le parti in- dirai ui(rklionai ? . Se pont-il ct:io la masse des cinioera_. t -' Iii (Iii Ici coritlrne eu cc. i'a Ii iii i t, iitiatt nin p(ili cc le mepubuic ï ut !' 4uivent plus ,lon5 tc?rnps aveué:ït.',d,. et se jetteut. .in j. (1ii- bms de .iiaudeL L. II. - .... Tanks c' cuon Mats s! on manque de ma!it'res prrmires et do main-d'oeuvre pont' reconstruire, on n'en menqito pas mour faire du niatCmiel de guerr.e. Ou ne PCUI.tiCS b(itir des niaisons, mais on peut tris bina fabriqaon des canons et des tanks. ainsi que Ii directeur troue usiile tIc Saint- Denis vient de l'expliquer à un ounnia1iste. t Li fmbt'ication des teitiai mL anr('Ue ; elle est anrCt(o (lu moins lopms qmmatl'c mcmi \ons CompreneZ fort bien qu'apris l'aimistic on mmc pouvait songer tm arntter les usines de guerr, « Enflu et siirout, rcn n'éat pié(y. pour te passagui dc ta fu'icioti nie yaeric â ia talai- cation de paw. C' Eti tout cas, si nos marcliçs de taitlj5 neufs sont anCil.és depuis quatre mois, ions C(lflIflj1fl. (2 ,'(crer tes tanks nmciens qui nous activent dc front. i)au.s duel bal; ? Nous lignorons... Et voj1i. pourtjuoi il y n une claquantaimtc de tonics ci cours dc réparation dans noirci pare. g' Notro usine n'est pas J'ai itt saule dans ce cas. C'est M. Louis Renault, de Billau- court, qui est la grand chef d la fabrication des tanks. Il n r6panti la fabroatioji et la ripa- . ration entre plusieurs uaiimr,. dont nOus scannes et, avec nous, la S. 0. M. j. C. (Socit d'outil- iagc néc.axiiquo et d'usinage d'artillerie). . u Vous cuvez ajouter que nous ne rpmiron pas seulaniit éQI; tatihs, lods des canons. Nous SYQI1S actuollentent une dIzaine de155 en couvii de réparation. Nous savons fort bleu pourquoi nos gouver. nanti font rcparcr (C5 ttîiks et cas canons c'est pom 1 eontreivyu,tut.Ln (iII Orient et .'i Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

- ' L Prjeisous Icau comi5lnce NionaIe » Trtes …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1919/B315556101...fimuIa;AGn, pt-out patrons et. ouvriers ri- Pa1seutde i 'lui '1:- OUI

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t:u?MisTATON & flDACtO

. a*3iwqueztfl4

TOULOUS

p V B t :i C I T

JlDn: .r;gu .Z!X

rtiCr$pJUJ-

I_s$umr DX C.1)thY)

pour les

Is Devoir Natiollalla

or la o11U" .tiu-ui :Ic;: de .

yafllQiX.S (,(U ont )Qfl-j'g1f i; dÔftno do la iat;on,i.tw 1tur jeUflSS (iaflS

tI FhQrtll)It gurr, que les

8e1' tjU4 b1cs5urs c'ntit-s 'rn'eu ft [i de phi haut, fie

aor, ce1ut de la r&dua1iOfl)fØqjOflflQflP. . -.

lrJ;CCCIÏIP1f.ukt 1!CCt Ce devoir,qOCjL fera pa ou!erneflL une aa-.1; ist, Otto fOFI (lU mm coup

oeuvre j(i!(C. dont les rsu1tats serontrolU&)IeS au i)ien-,tre de tous.

1 c':st (le r&paeaUon par cel-((11e car S'il est jut (k e1vee les rm-

;, c1e(ommiges, tjnel

,t 4omwago 1us grafld que ceU.t (SUt. rJY tIKIïEfke de ses moyens te travaU et

itI1 te (ii-i-&Rue dans sa fwee de proi:tuc-!j(!fl et CkU5 sa prO)re dilt1itt

ns doute, ta pefliOfl doit tssuCF uper14irO conpesaUon, iiais i n'y aura

dø pleine scutt pour la vie futurG upaiie son Ionhur et 1)our cehu

ieiiS, (L1C dfl le t.ravil reconquiS.'3 La vie ne CU4 cornp1ito et ouvertj)1. les estoirs (lue pour eo (jui 1

o1iiU.ud reoonnisattø cle la sci.t au-z'a rerniu Les ïyeït daett qui deaL la

(l vivre. _r1tis la !osure et proonde, plus auti1ation est grave plus il es 40T1 (IU

le mutilé sQt arraché aux redoutbloS ag-gravktioRs souftitPce monte (l1%C I ifl'kC-divjtt pO&4e t.ouQurs vCO aile. .

C'est donc avant 1out et sur.ouL pourTedontec au r actle ou nu blss une exi-*0410e active, C3J)al)3e 4e le di8traire et de1trrciier aux SoiTt!if pensées, en mimC*efl-ips (ltio de lui -apporter I'ass*raflre tl'tt

meilleure 'vie mateieUe e morale, qu'ilfaut coneevcir et organiser cette oeuvre de&constution.

, Ma-is la rétitietion (les muil e dn-A'' e" L' " ' -

uC COiflLïlC uae uvro de tongue 'aleme,kt Si U fur e.!; moure qtie nos giOrilLxI1esss apjreudroot un noti'eau rnEtier, on

la sagesse de- leur rsrver la ionelioneorrepondante ot ils poue:eont cxer&r ce1ier avec e nme profit que 4eurs c'a-.uar'ades valides'Oo ti dioe a rncessit d'un duio

Vlnn : d'abord rc.horoher pt.iernmoa celUi convient à chacun d'après la naturenine do n*ladie on do si ruuUIatOn,1are tou tes sacrifices d'outiLlage et denthode, tant pour le niat&iol des (coloset (ICi atolie' que pour les nppariIs derot1is les plus pevfeototin(s, attribuer

i jiisies indennit(s qui porniettiont auiiutih de consacrer sans inipatieae.e tout.

-le temps n(oessaire sa ri5&Iueat.ioa et,qui front en progreartt jusqu't devenirftrn large e mreu: salaire IU fur et i

iestIre, qua 1e aptitudes se .cléve1oppeont.Ensuite, faire ta propagande du devoir

Ilauonul poup quo pattout les fonctionsqui conviennent le. mieux aux mutilis leuroicnt de iUS en plus r(servtos. II ne suf-

dira pas pour cela do ce que la loi peUt.e:1P rcerver dn ks administrations ji-)Iiques. mais il faudra que par une iiob!o

fimuIa;AGn, pt-out patrons et. ouvriers ri-Pa1seutde i

'lui '1 : -° OUI leur garder tout ceIlP0ratr accompli par eux.

'eoIes ii ce que CjlleL clans lestout en(jre Orien(t

OJCUIIO,5SC valide soit

ius actives, afl- de'encep dans les tflutjl(3 ou le ravaw 1)105 faciles, lesdOjvt ér' I

%CRVCS t CUi CCS travauxernent conC Offcrts et Soigneu-Si eiacun sat

oLte CCUy 'ct veut se coflsaier

ivieudra lout, fl-'C(saire, la i'(cornpense(iire y tr '.';Utu, car la so tout en-p .GU',era son eomI)t. Il flO faut

OCi(M4 retru,i'actjvit

cle ceutanies de niltiers[ou elle.

sans cela sci'aient porcinesCe acÉ

ouvelirmunies d'unc tee.hrifr1

r1ieuse011(:!sPosant, d'an outillage ftlg&-

I)rod0 CPpropri(, peuvent rendre laI gu

Une largo part des moyens queOr

Iu n enlevcs.c'et'(: Production relo'ce, augmcflte,FOur c

te secret, de. a pros[M.rit6 future.1evoip 1acm et pour tous, accomplir centr,ti?l envers les rnutil(s, c'est

VC[ti0icoup à assurer le rc-

iqu du pays rar le tr,çvail. C'3st pla-assuranP18flflblc et la plus fruetuuse

EEDOUCE,

afaut qj les pojfu5 8aohe1t que pen-.. "t (p_i « ETWATSSAIET » des éc1atii;, d'auti-c t EN(lSiprT ,-o!e

Accroiss. de fort,lOOOO marks2000035000

10000(300000500000

10000001500000

TLtH 043 QUOTDEN SOCALISTE REGIONAL. . - '

-s---- - 4- L__t___l.:W

Prjeisous Icau ' comi5lnce NionaIe » .Trtes Mtirt

.

t IiMh :orirnents 1îartai ii déco i

On ait .que Fiuiporloutc question (Utunnel sous la Maiiciit ét( nouveauorarnime, par le conseil clos nniaitrs.'

M. Clavcit.lci a soumis it ses col1gues letexte d'une 14ttre rar lui a4lreSs(O 0(1 ïïIFrust e des AfI iir. etc uigu e iL d'UIS h-quelle ' il lui demanded'iutcivcnir aupisdu oiteriieinent l)rtinnilquP pour fTO-riser la conclusion d'ure .ertente prochnu-rfe et dtfinitivo sur les bases de l'arrange-rnciit (1&SJ proposee f870. M.. Claveillo npropos( h cr iton (1 IUIC O1flht''Ofl '4)1-caIe comprenant .cles d(téti de 1'ngle-terre et do la Franco. .

ce sujet, il onvient de faire olbserverque le projet d'un tunnel sous la Maucliect axri\d chtz nous un dit où prp'i-ration beaucoup plus avtiu.ct crue Citez nosamis et alli(s.

Fil Franco, rlis 875, une loi e acord( laeoucesioa des ti a au'c n 1 4.S-()eIatlOfltf-ireaic du tunuci scus-maun I n An-geterro, aucune enucession na canera etcautoris(e. Une sociétt n en1Cel)ri unede du projet, mais aucune autorisation na4tj accord(e.

Depuis la guerre, l'opposition qui s'ctaitrnanifesi(e en Aiigieterie contre 16tablis-.scrncnt dune 'voie do commuiiieatOa per-mananite avec le continuent n perdu bcau-coup de ses d(fenseurs.

Chez nous ,en attendant un accord d(fi-nitif, on n travai11(. Au iiois dodicoiflbrCcicriui CIa die nistituc un eonitCd'(tudes eharg d'examiner I'(tat.actuel du1ro1et, t! LabIii le cout ejip o imatif de slvu1s ttu)u (,t Ie 104 liuchcc oct unrnent sint serait pas )osubIe cli. voura\re lei,ti k\ au cicj t eomiuone uruo en de pi o-ecd(s tc lruqi es uouw i- et pui s'ints Ceooinitc n tecmm scs etude et il les a

sumçj; dans un rtnoi que le ininiqtecL SOUrfl1' na1ement i ,(S colhgiic's il ,a ont- les avis'i avtiraliles des aut.orit(sroilitairesel du consi1 su&icur des\ au-c pubhts

T! ne reste plus, dc ocre côti qu'à entre-pendio les esa pitt n P'" k cuimkd'i5tudes pour ttiIier les derniec s perfec.tionne'rtciits de h seicuce e'i s tlués à la snmmo do !Ø(i(Q f r nues. seronte'pc ci quo (I( I au i. Olf d I t M UÀ( lic.se ma.nfegLera tin egal erunressernenit i

.a1isc.r cette grncie c,' lvr' de rapproche-rxent mat.(riel entre &u:c natior&s'doii lesccdurs' sOlit. si (troitcinenL un.s.

relro anti '.

Ci- U '3 Si tJta TnCl d s u'ir '- ' i s' te ciMerte ( e la ue e fi 111'- O a I 1'lpusur la fortune, que I'Asseinhl(e nationalede \Veimar vient. dc voter en holocausteta di.rcso do l'Allemagne.'- L'ilckpôL allemand porte rue l:nugmcs4a-ton do i fortune des particuliers pendantta gUCITC. Le gouveNlement demandait- unimpôt. progressif allant iscpi.i 80 % dcl'augmentation pour tes for-tunes act-de.s-sous do 200.000 marks et. 100 % pour lesfortunes sup(rieures ù ce chifïr. Le Con-sc.il fdéra1 (tait d'ac.cord avet togcmver-noment pour exiger Un impûi dc '10, 5. 2o,.0, 50 % sur l'accroissement de la for-tune jusqu't 100000 marks; niais, poui les

. fortunes sup(rieureS ù cotte soinne, l'ac-corel cessait. Le Conseil féd(rol ne clemen-cJ.ait que (10 % pour 200000 macks, 70 p. f00pour 250.0(10 marks, 80 p 100 pour 300.000marks; 90 p. f00 pour i500MOO marks, ct100 p. 100 pour tout ce qui est nu-ckssus decette somme.

L'application du systue gouvernemen-tal donnait les rsciit.ats que voiciAccroiss. do forL ...... xc du gouvernem.

i000e niark 1000 marks20000 -. ;230035000 0000 -

itOOOO( 30500 -300000 - f0500 -.5Q0000 - 3()0500

I()OOOOOO p400500iOQOOO 130000G

La Commisscm efacgee (le l'examen dela rifoa'iite ramenait OLIi chifft' sciivaiit

du gouvernem.1000 mailçs

3005750

250011.i00

6 1'50Qf00500

Auoud'liUi. : beures, dans legrari anTphittûtre de. i Sorbonue, s'cstd(rcul(e, sot.is la pr(idci:ce dc M. Poici-caré, prtsitleftt le la I14p.bliqne,la c.r(-reonie dc la nationale on-açes Ie olfbi1s IU'54( &r' parI'IJii{ni (les rantcs nsnciat-icT f cançi-

quo p ut I et I i. tS4 t

'anl i)esohanelPes distours ont (.( proTlenc(s par MM.

Poinc,ar(, le mar(chal Fvci, Cleineuceau,1)esehanol et Lavisse .

Faut-il lCs rapporter? Toujours les me-mes termes, .t.ou,ours ie.s mêmes dévclop-pemontS. des mêmes id&S les Poilus ontfait la guerre: gloire ù e,U! .Ct vous,. ci-viI, etifleS ou \ietuc, faites la paix : eu

sera votro .gic*ire.J'.)onut s 'Ic't. . ('CI t( . fi de h ,

pi 1(1110e. C'est au (MlveeneInent de domerexeniq:de. Et il «e parait pas sen douter.Pour l'(difleat.ion des lecteurs uensvOu-

on.s c ter la. p(roi'aison du ' discours »(?)de M. CIenenceu. Cc st.y ineoupi.éticn-q bit et (1t ien_ de cn bctn.1 +. i i de nou-confli'mee dans cette idée qui s'accr((Iitedo plus eu plus dans son entourage que ceicaulec de i Frac&oe d n icut gft-ux.

Lisez ce pathos :C, Que leurs noms soient donc . iruenits

civ nos nutrailles, moins iou' ap4er lçS(4noiçuages d'une necoenaiscctce si in&it(a que rtour nous fouinir ave c Iinpira-

tion (1er dévouecnents n(nessaices, le con-cours d'(ncc'go c1(int(rene,. sans lescluelsil nest que fanfaronnade de progrs dansl'humanit(.

« Le.s hommes de Fronce ont fait. AuxFran0ais qui derce-ctrent de h-5 divre, si-non cFnc.hever, Leur exemple est. (I'hiCC. AI action cl wjoui d lin I .1 t nco noi.s cp-pJie de in la paix cci un n cl ,. rio "

1( çps h otis fOtIC la 1'mce!traves tout! »

Et thec cne cet. emme et. acadmician!Jn punnicr n'on:ra pas siaer ce 'ali-naiiss ! - - .-

pr où il y en a...C uvrcs

C: . 0 .s,soc-ont eonsaercs ic la r(-cluction (le la dette f1ottacto d l'AllemagneUn double r (sultat. scia obtenu : la réduc-lion des ciarges budgôtcures et la. ciiminu-.ton de i'iettat.ic'n du c.r(dit t des signesincn6(aires.

Quon compare 1'i4Tpt. sr l'aggmenct-tion des fortunes de i'Alltmagnie avec l'iut-pût sur Venrichi'rrnent proposé par M.hIot, Cet impôt, au lieu de portei sur Fac-e-roissomcnt. ck .s fortunes,' ne, touche que

. l'accroissement des revenus. Il comprendcieux 1)o.;ctie . 1. Une taxe de 5 % frappe-sait laugnientLiori des revenus normaux

contribuables ; 2. Une t-axe de 15 %s'appliquerait. i l'excédent.des revenus coi-1-espondant aux béntiOeS de guerre.

la,s taxs proposées pai M. Klot.z se-FaiCut calculées sur FCXC(dOflt accusé parcomparaison du revenu taxable afférent tl'année envisag(e avec la moyenne des i'c-venus clos c-inq années antérieures. Les re-venus taxables oxcéciant- 10-000 francs se-raient seuls asujetLis h l'impôt.

Le miuistre des finances estime à 200millions les ressources quo produirait lataxe sur les accroissements de revenus per-maux et à 350 millions les ressources desupertaxo sur les bénéfices de guerre. Noue

. sommes loin des '10 milliar(IS d l'impôtsur l'augmentation (iOS fçcrtunes des Aile-mouds. M. Kiots ue fait que toucher - etavec quelle délicatesse - les revenus r-tiiLant de 1acc.roissement. (le CCS fortunes.Pourquoi cette diff(ronce?C'esL que. les Allemands « sont des vain-

('US, a répondu M. Emmanuçl Brousse.C, Sommcsnous fores do fidro banque-

routeparco que nous somiies vainqueurs »,r(pliqua notre eamrade Marcel Sembat.

Evideinrinnit, ce n'cL pas ce-la quo re-cherolietit M. Brousse et les (Iirigeanits çlela bourgco is ie française. 1I no désirentpoint la banqueroute, parce quifs seraites premiers trinquer Mais comme lal"rauee compte farrni 1m vainqueurs, nosbons bourgeois estipierit que l'aventureayant bicin tOt.iré. ils doivent en COnc1-vvrtous les avanii.agc (t ifqit supporter a.icumdfsagrment. Ils ont profité de la guerre.lis sont a'Àda1ecseuen enrichis. Il

On estime que l'Allemagne retirera dcc,-k imût un rendezueut de 10 muuIUard.

(.ieq ci'oix dc. guerre -- avec f+:iIue .. su -c('usplait -- viennci detre di.rinses ui cinq ccc-respondauls dits de guerne, s0pir1c-1iaiitlotirnaux i)Sni-54en5.

'ociqnc1 .ciuq, d(us out la non-il.ra di? riiriihsni 'c il * tili r iai 3eii I. - ii

c.ovresfoni&iece., t)it la g4'onmuie rut s'i avantcg?4-seiient rernpta pti' la pli.mme --. cs4 retsi-nf-niNlt plus (lé ' 1nt que lm hoi4c .ux tUrations est ,ouverte, 1 n' mi miucime raisih drit-ruinulucu un c(irCspOU4lsCt et de laisscr vtri'i;Cla boutominèn, d'un utr?. Vous allc votee.s messieurs, qu eurent une t protondc lion-resu' des ecsiba{s pendnnl les h(sti1ll, vont(harper cnirC CU --- a COUJ4 O iu..le. s'cnteid---- malntcrarit que la pex es( faite.

lVauluil que leurs i;cillauls *tmds (le ser'iiefurent calcinés suc le mnIffle moule h la diff'-reice près cjue rectales (cnivirent mnI 1 tvicuis et d'aulces plus umal encore. C'est, en rftei,l'unique dociirncïilation (1CC iC pUi iivok suc('liv. l'ignore ct qu'ils nt pu faime au feuH,syi_ut iarais al}crcti le bout (1 IICZ d'tdi SCLII

au milieu d'un lin de barnge, ft-U anoillu, ouquand « tt' fli()Uliti t c.cl( o lii'cutiit ses lac,ttes.

1t s''aDenit 1ie a1m5cc;liOe. (Lflao( en z l'aged'être sOulhkc -'-' il5tC't fjuotq3es-t105. pmuiui

1.u,'ç fini, sou'uf8L cC tsi'g cor do (C redoulablcpiu jj? P'-I atcul '' ' 'il (IL0tille. t'nm(onîlti nuiilaicc n'en ftL poIlu (kil - -mi'c'1- pc'ni-ett'e pss lui lii*'o sif{isaiit pour c1-t-ni' l i' atime. dors qu'un biffla d0vait fsuar

le tnniïs fa n (net ii ois tous avant que de

la ;,CIiCS-£1 C(iC f iaItefin fIlle fut la icniie do ces

t'inj (jer'ncL in - (it' IÏI511IC (tkO le p:.iitii Iqui I . pingla ska'._lcs ci .\j i-,oi.ini lies, s'il vU

Oc 1 1 - ti oInms lit f I ' T ci ci 1dI

__i ll,1i1e '1 (1U icil' (''lOS OC toc mit rii.L.. na000lte le mot cyUiie a lomcedillCOos-ciecice dccii dii nos ii1S5O1CS cnIi)usc1(mtS.

Celui-ri, (lirclnur d'un e g'iaddieu de ta eaiIale et ne tioui1t mïnrce. poicit

( X' tL'C di. 1 (U i(t (if ('L - il 1 utet hlaekhoult aux dernittes élec . mils --110 t'- ni imi\ IL h Ici ' oato1 n LI I fi Il 1

cIin nu Mus.te tiC l'Armée.C'est cn celle qualit « dattarli an Musée t1

I tlml.e ' 11CC " 1 ' I11tC rou ( 1k ont' e

-trou ait L 41 1 mmton'm -il 1! 1m 0.1 »cti'e il ; nuni i3O1 1H11 (IC /OO'k"t '- cl \ Cdl t 'lu C 11.1-1 1

Lei pOiginc- tIc iniiis ,hftt.&s, t'aOldsct,(.,1 ndm nci (IL, ,i t r i 1 uOl j

lue (' (1'it ÇiS1i 't h5Ions.akiS &llt'iINIC.O OÙ la vie d-«,riI, ssurcme {outt, ii' piusonnahic.Et l'anime. sans se di-mcrmtct'(' Ce que je fiis ? iriis ce Itile tout

rnoiidc'. mon (m'oie-.. " .\LdL TICIL il "ait tout dc i ein cumj)il le

ild'I.l..lO uO ICU (il(cl' d i IIL 100 t 1

tic si1" iiflPlC 10 PlOt-NeUf- il 50 fnc4 (le lCIUPS c''-'-m1'-"- ri:ii4t_l puiU'lutiifOPIuo.

l'efus, 111es fiiiC5. i1pio@lie. c mot der p-roles du sieur Lande, sc(ciclteneiit eindldat- niJ)o1e.cu dcxtcctti(ii : Qc.'e;ut on e 1rcn ait-!0IiS, 011 flC va pas cr [cire essci, la pwnie.-.et 313UVe110Z-VOtmS

complont i1én(fleier de tous cspr efits ce-(luis pondant la t.uerc.

Mais. comme Pressemimane le fil remar-quer, la situation économique et finauciérede la i'rancc est. à peu pr's la ncnc quecc.11c de. l'Allemagne. -Noire pays a ét leplus atteint jar la guerre.. Il fauctea bienlaird face aux cmbaceas de notre 'Jrésorn-.rie et combler le trou énorme erousci dansnos budgets annuels. Où PiefldLe l'argent !

es bourgeois framicais, parce que ( vain-qucurs », ne veulent. point payer. ils son-gont à la masse des travailleurs pour ré-toNic lï'qnilibro finamicier de notre psys.Ce sont les ouvriers. les paysans, les con-sonmmateurs qui doivent acuqitter les dé-penses de la guerre, et la bourge.oiie vie-tonieuse doit consuiver tout le fruit do sesrapines. La victoire l'exige, car ce ne seraitplus la victoire. -

Aiusi, la guerre n (té une affaire de jeuentre les lmurgeoisies des pays en guet-ce.Celles qui on erdu la partie doivent payerlandis quo celles qui l'ont gagnée doiveni.tempocher l'enjeu.

Jteste à savoir si les peuples qn ont faitla guerre, qui l'ont payée do leur sang et(Iii tc,is leurs sacrifices, s'aceom1od(eox1L(le cet, arrangement. IiOsi à savoir égale-ment 5m les travailleurs de France consent-tit'ottt CUX flUssi à êt.:ce « des vaincus u.

Paul ?dISTBAL,1>épufi; (I( !'15Ci'c.

Al.'JOUBI)'HUl t i1 IJ!.Es 0A AL! ....-

J&5i Rochulistes titi Tiii et de uomui.pt'eaçesttélé9atious (le la rôioa et (le Toidouse

iront en .

SUB LA 1'OîRE ILLU S TRE DU

JEAN JAUg,

en

,

b1,{::lK4* "- ,1.

DTON5PYRlNES ET LPNUE003

TARN ET AVEYRONTOULOUSE ET ENVIRON3

A EO1 ri V7 EN 1$3mi 61l*i.$. l

Fani 8 i 30I!trogi. . i...' 10 20 40

LeursOn n 1eau commenter les décisoos F1-

rentes du coagrés radical, cUelqiÂesuUS (10nos plijiS omit!ieau c-rorc qi'eltes ont défi-

itivcrnent. . éloigné.1' alicumi'ncale, il n'en (,st pas fO{'iiS filIO :{lc4itSI otibre, lts f c1.ati iii ' n i, r - I I tiit C

flamouxcc'u'rs, se joursuivent, eU parendrot-. dftcis notre rcicn, si cious sem-rimes bien inforoiés, mrmnia.cent dabottiir.

Le pacte bouit.eux risqime (le se cOflClUr('.On imotis dit que rien n'est encore tt(tl,tiitif.Nais le comble vient. de en que. si les si-geatures rie sont pac échangées cidreréactionnaires ct radicaux, ce n'est pastant euraisoim tIC. désciccord sue les piimici-IMu; (ec.s reassicimrs les piétinent.) ,i'aison des difficultés 'qte coniporle la. ré-pa clition clos siègos, chacun prétenditut ai'-poetf9r le plus gros contingent. (10 suffumi-ses, éelatne la part de gkteau la plusgi.'oSse.

'.101 est, à Flieure où nos sommes. l'ob-jet des t.mactatiomts en coui'm. Laissons faire,(il.. gai'dons-nous ((C. I'C1(SCUP les eOmflpé-titeurs sur l'état respetif de. leurs forces,car nous n'ignorons pas quel est c.clui descieux clans qi.d prime l'autre éectomale-ccie.ut. ôtais, en attendant la commilusion dumarché soulignons-on une fois de plus lecaractôre à l'intention do ceux qui no sontpas encore dégoûkis.

M. Ciacles Manrias miens n fait savoir,dans 1' ' Action Française u de la semainedernièce, que le concoi.Irs des camelots du¶oy était acquis. « Nous ne demandons pasaux républicains de mortier ou d'o'.ibuict la.itépubuique. Ils n'ont pas ù se soucier js'5kOtLC niortarehie. '>

riOl est It' doukie postu-nt formulé par le ropi-ésentant du duts

d'Orléans. .,' Oui peut déjia souligner, avec ass.r Ci'.

satisfaction, .. la dérobade des gens duF ' ACtOfl i'roaçaisc u qui devaient ,Louionleversor et qui vont iirudeIïmn1c,it (lisSt-inuier leur faiblesse dans l'amalgame cciii-lus «une coalition antisocialiste.

Mais il faut, par sm,u'crout., st.igniatiscr frsoi-disants républicains. qui acec-ptent dellgurer.au.x des sQUl.ienS du. Iioy. (est pour Cu:c nue nous rappelons 1af-

fiche iquc fai;1it cil)PCSer .sun les moues

1' Action ]'raç.aise u, en 1014, la veilledes éleetioi:is. Elle était. intitulée ; « A l)ala itéputiliquet u et- se terminait sur les cris.clii suiverti

1 Ii lUi faut. (à la Fronce) la mnonar'c.hiei.raciitioaeiiIe. Iiérédiaire, nui pnrlcmnea-taire ci, décentralisée. .

. ( . Il lui faut le- iloi national, iuriticr dcquarante rois capétiens qui ont fait ia1'i'aiteo et. qui l'ont- iliice au premier rati(des nations. Mciiw Ici Uui førléan3ill1jljppO viIn

« A bas 105 pOtrU1cn .A ria' in 1eputi1quel

1 Vive le flofl »C'est pour eux aussi que bus rappelons

que los ligueurs d'Adieu française si-giuiient. en adhérant la formule suivante

1 Ji m'engage à corrmbatt.re tout. régit .épiÀblioain.

,1C J0 niassocie ù l'oeuvre dc rcstaui atiorimuoctarchique.

il 3e irtougage t la servir par fous 10moyens. » s, . ..

:lt. voila avec qiel inonde ecraic; r;vl,-eaux eOnse.uiLect à. s'ttcmciùimmep. Se petit- Ctiti0 j.LOOitC ne proceste catis le parti in-dirai ui(rklionai ? .

Se pont-il ct:io la masse des cinioera_.t -' Iii (Iii Ici coritlrne eu cc. i'a Ii iii it, iitiatt nin p(ili cc le mepubuic ï ut !'4uivent plus ,lon5 tc?rnps aveué:ït.',d,. etse jetteut. .in j. (1ii- bms de.iiaudeL L. II.- ....

Tanks c' cuonMats s! on manque de ma!it'res prrmires et

do main-d'oeuvre pont' reconstruire, on n'enmenqito pas mour faire du niatCmiel de guerr.e.Ou ne PCUI.tiCS b(itir des niaisons, mais on peuttris bina fabriqaon des canons et des tanks.ainsi que Ii directeur troue usiile tIc Saint-Denis vient de l'expliquer à un ounnia1iste.

t Li fmbt'ication des teitiai mL anr('Ue ; elle estanrCt(o (lu moins lopms qmmatl'c mcmi\ons CompreneZ fort bien qu'apris l'aimisticon mmc pouvait songer tm arntter les usines deguerr,

« Enflu et siirout, rcn n'éat pié(y. pour tepassagui dc ta fu'icioti nie yaeric â ia talai-cation de paw.

C' Eti tout cas, si nos marcliçs de taitlj5 neufssont anCil.és depuis quatre mois, ions C(lflIflj1fl.(2 ,'(crer tes tanks nmciens qui nous activent dcfront. i)au.s duel bal; ? Nous lignorons... Et voj1i.pourtjuoi il y n une claquantaimtc de tonics cicours dc réparation dans noirci pare.

g' Notro usine n'est pas J'ai itt sauledans ce cas. C'est M. Louis Renault, de Billau-court, qui est la grand chef d la fabricationdes tanks. Il n r6panti la fabroatioji et la ripa-. ration entre plusieurs uaiimr,. dont nOus scanneset, avec nous, la S. 0. M. j. C. (Socit d'outil-iagc néc.axiiquo et d'usinage d'artillerie).

. u Vous cuvez ajouter que nous ne rpmironpas seulaniit éQI; tatihs, lods des canons. NousSYQI1S actuollentent une dIzaine de155 en couviide réparation.

Nous savons fort bleu pourquoi nos gouver.nanti font rcparcr (C5 ttîiks et cas canonsc'est pom 1 eontreivyu,tut.Ln (iII Orient et .'i

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r.

\Iagsns Modernes - Ruc A1'e Lorraiie 1'OULOUE

Lmui 4 t Mr d ÂPRES NYEA

SOLI)ES . après U'VENTA .1 B.EVente spciIe dARiES et :IILÇVIIIOX:)' DE Cl]AsSE.

?;os ARMES sorLent1cs rnefllcures faw1qiies 1c SAJNT-EflENNE.Elles sont I1vres avec leur lanc d'preuve ce;aues huit jOiTS l'essaictgarant1s contre-tou vice dc construcfloii. Visiter notre r-yon au

. ous-sos avant rac1ietcr.

T 1 obe rrcu3in ctrl Çerifr i 'ivr. '± po£lh deu% C1S pour pordrc3 nres on py- p)U(I OU pûJfl1 to1c cauon aci fin bron patiuc deux

rsEorts cheke-borcd, dtente t cha'flire,erose 3rei certflc&t du banc d'peuve,

.. re -) Pri-±L -:'. f IQi.pcur nettyer arinr.fri) deud a preuswt eetrIe. ermetr aa1i fldcIam(1i tripie r'u utre 1s ci bande ----u-- - .

rtoiLg e1ekbod pour poudre-ncu's et a chasse en tis beau c-cuur c-

iyrO!yhe; avec certifleat de banc d'- 1 - U te pociiei paJue tiPrix . earnkr eu gris seueec-ut.

;i 1OUiC 'y stme C OI1' cten .;? eae1 ;iIti;lar? cttue eha'-- 't egran j rftP t

F- 56 I a t ' eu gris t b&gLr 79 1d ehsc percusio1 - .- ' -

b llhii ces; 1.rgcS dc 6 nn. 4, gdets5

pcaI peir chac . bc1e2itOfl \Clt. Le cent, eahbic 12 ." jowci toutei

r e cu cabe 16 9 \_Os t ap S h, C

PIWh irhO IJS 1.b;tu

Bf(i1iIu lda_? iaol e potLa par . u

. . . buis 3pieemoreiîs pc1a),

J1i p.br I fit!!. * -

lu*uI tOile avane !argeur cm. a; cc fli1eli 'orte gibier et une poche. F r: Pfj;H! seau C{ 11OH' cambra

7ReUree - L J eontire. - Tir ,...artouchire tik-ferte 20 piac per 1OC katd ou b'eue a:s col ou cn r-

( duuie caiibr 113 tti.- f batd LCUI gude pocie surperussion ou à broche. C pà,trOfl. ChC1S .. X,

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,720 îr. ; grnd. 4' be;te, 7 tr. 2'), -- - . 1 3, £°, J .

Qic Mularne '-ms()i('. i1t'ec CCUe boîte1c Gyraldose se. liwiaiSes s3ror Vite dts(s.

V-:Q1ivIO !LDi4LE: sur Ie flcmi)rrus ebsenat1on qu'il ncua (1è tCflS dc la r e t( la (yraicIese fo&t &fle ious eonri1hn,,OUJ(UT ofl em)loi clans lcs T1flJr-Cuses affections de la fcrnrn. 1oitsp&I1eflcut dnns i.i Ieucurhe, L pluri vuv-a - rujstro,rnêtrtc, la salpingite. et en tout(-S les drduflstaner Icru h rd'r'eudra taire 1AcpJe COmP1e, ki 1ea C ray);er tn copnuL La sante gtnrae d te femme et faite de on hygne irdirne

- )r Hnrl- iAiAT.Sl::ct.c e Ueiert. tie Lyo. (;ht du l$d)OratUrtJ-

C,PIet- Ou 1nau uetu d'1& ïd d.

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r £i3TO/. Ltpi-. Les It'a,- h t Rançu Fen11 .,. i'e (iU Lu u';L'. Paris rnnt feiqis 1 stuneti t nii. d 21 ju au(.

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-Logique ti Os inpe u pu i-to -øtt1 - - -

h iiid' seulii'; à I acIo d* GLt- oL, Etiit f1OruO Ja r-;tu r1 de a thun par 1'

£;Iob()). e sflt'()Ut ;tdn1iLte l ndrtn1lo)flC. 4jOSOPTrai, dc loujo-uts tnne orulr1-;e fli1UN 1

li jtO rC'iC1 t-i que, &Ili iIc la- - ..--.ïJn Iur hLLOT

M(dCci: 1acidtO de uédee!rie ' TyOi.

'ifl. 2, rc V'ncidrw. 1 s, Toutes 1.trckr i le _ . fe' 7 r . :, f-o 2 tinu

LpttGE PC'' fi mCdimCI1 . rrur,r%z gten ftcio, eretet eogti' fI CTOt flS )rvIt:') i Ctmot &r icti:. teili$ft)adIm ee ernce YeteB CU eIircnque, ?flVtéC8 et rebeic A $e- atlncrts : rcGuu;11c1ts. (oit1c ni(,ir. fcrgo', Citca.UrFtCt3, ritr, ctc,, et eutc keetoc suuilçe cs u ds i.x-.t tê iges ei na eges. Cu

- )i'$gées Leit arE Wi ccc1ht eptçte cct1e eB la Vese nccueeec- rx 5 fr.40 'ntcer.. Ei kcret. iI!arI1aQe 8LOT. !!ev2rd c rhrg TVLtSEo e9 Y ° 2'q-teO-, c ; )-c;-s, c; ; -82edc ; e u

:i FJtJLLETON PU MIDI

médienneF.i: Daic1 LESUEC

.- - Je )u5 je ne 1anieNotre innag st dj un purgatoireÙiai:-, il sera un cnrer. Le pr(texte di

iVor nç rnanqucra j -vous assure. ni dear n d'autre. i

:rtjjt flr,us nattcn'i1rons rnrne pas qui kasarcl h- a'se iiaflre. Sous peu, je seraibre. Clary, voii1z-vous être ma.1ernme?vee 1a liaiiteui' de votrt liaturo. vousOu1frjrz trop i être I rnatrcsso de qui_te e soit. \rClUS a1iserez le rêve de

votre nir; vous ui {pflgiiere/. dia--ins (1ie Vous c-raigTle pour ae,. -ferai les iiees que Vous jOUeTtZ. J'-au--

-;li- du guie alors, ma bier-ajrnc E si

:e ne Conquiers ias poir vous USU) foiu-e, Ïaurai t14)U11( à 'vrjtr ceur et- votre:erje ce qu'un autre es incapab1 de leurrrrir, puisqu'il n'est ps aimé di vous etR"i' ne vous pOuso pas. - -

Clar-y parut prise (l'une i-notiOn - ner-yeuse qui a e-C-Oua (Iè nid t d larmes.

Piorro !.. C'est vrai . çest possiil,, e 1rnihe1ir-1L?... Oh - I ljes-moi quo je-uis évej1l(, crue CC riCSL paS un soi.go?...

--- Ma chérie!...Is 1ve .çl'Escuau1 en se posant Ion-

- -

- -Augmentc laqua?a et .

-:

quantité des-

;obu!es rouges

--.---.---- -- '--

, re -

4rémie

TrbercuOScConvaiesce7cc

-" - - - :'_i;-

.

:- - - r4! w

-ii,ont sur ties siennes, i:ui dirent- quo ce)it pas un songe.

Et Qary tic .Préiior la certituded'une victoire qui, si haute dtji, n'dtaitpouriai)t 1UO ;ia pxemiè.rc de teilLe uneenipagne 1ont jolie tl'te cnrr.nmit l'ru niysh;riepx et -lierdi,

sont i

T.oq11( ---k:naui.t reTard. detIi liii, il rcmarqua, au port'-manfeaitd î.ai'tichaiiibye, b pardessus et Je dia-t)eaU dc Oérar<1 d Vitrayc.

il poussa brusquemefl la porte dugrami salon, 3I- t pas vioene, tfl se

harrassr lUj-IïIêTLiO tie ses effets de do-hors, il passa sous la portjr qui donnaifaccès dans une i)eli[C pièce plus intime.

sous la !aïnpe, auprès du 1eu, d'une-voix )asse ci- confiante Oeorgette et (jé-jard causaient.

E31Ic devait lui raconter ses PeineS SCSsmipçons, ses ptils tnCtiIUCS tlhonnêe

. CLUflIe, l'espoir qu'-elle OQflSCrVi1t do iapropre 1)atiCflee ; elle le ÇaiEait juge: et,('t, COIf101O l101Ttflle, le iriait de 1'ée1n!eLsur Ses coujccures rehtjvcs aux dursinysLère du cijur rnaseuljn. Sans doute,,[OiislU'elIC était, liusi que bide cratnrehumaine, un Iau\re nrganisin tcnilii par Ila lrénéiid (ICS aspitatioi l)erSOflflelIeS,so1Iiejt par mille dsirs -de vanité, dosensualité, de tcndresRe égOistf!, f,ffl5 don-te e- ae plaisait 1% 'I'cnveloppanle ardeurde l'amour qui nionait vers elle, qui s'en-

- ic1issait W eai de Lrcuse, tt ui.

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Spçali1é dc StudiireiiAateeft;Grn - FeOe Cue îroit --

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cru ThéiUrs de 1'Âicaza); LSC

&Wk ACh; VU tFOYZ

dans une na(ure presqué -usi î]ni qu laicflhiç', gardait ds gradations inliuimcnl

dC1icatc, raited puu la maintenir dans sasecurité - -

L'arri\'te,. bruaIe discnaut, 'jmrni-lité de sa iiauti silhouette Jau l'écart-e--mcn- tics tentures, son-- aiO sa.uagcinentsombre, saisireiit Ueore1te- cL (-t'ard.L&T)' LIUC(II1e SeeOfltjes de stupeur, tcudeux se Ievèùreiit. -

- C'ct toi, mon ami ? dit raj}.den-icil t lajeune femme.

- 11 no la iearda même p-as.- - Monsjcur, - pibnonra-1-i1 cii t)iSai

rard, il rie 111e COilViClit Ia de flCvoir rentrer chez moi sans vous y ren-contrer l

'Gedrgette jeta m cri. \f. i Viray ré-})On(Ii - lion saii trouhlc, car la eons-OjCnre- de son amour la Jerreur (4:P1ipeidro le-s juoffeusivesi 1nais i-oftnt1essatistacticiis le désararaient.

- .--- ... e{-ce que Vous \JCVCI1CZfou? - -

.-.- tNOn, nionsi1r je fl, deviens pas fou.Votre attitude aul)es tie ma fenune medél)]ajt doJ)ui3 longteiilPS. 2dantcnantju'elle es (lOVe-1111e, un sujet de racontarst (le sc.niidalcs, je SUiS résolu a i-le })lUS

la tolérer.-

Vitra3te répli1aSur mon honneur, je !fai ,jamais man-

I(1l1 - au respec quo ,jo dOiS a \Iiiie lLS5--.nault. --- - -

-- Je le supp6se I rcatia le mari, autre-ment c-e lic serait pas en paroles (lue OUS

é4eriOfl Cette ati-%

00

I

Entréc L.4il-3i-O

t.

vt7 VOULEZ RIEN ANE

ag 1Iroî1 nuPlace CpU-s 20, TouUUSe

- ----- conortab1â (lcpu.13 L fr O

--.---- tyiog j a c&rte.. - Pr odirriâ &4

OIT

-sro Aflphynque PrahcsPl'iX du tCOl1 : 3 Iv. Q (tmptt colnprs). Par colis iostal 4 r. 7

LQUS li7a2Oi t, ru h Rrl1Utaia - L boUe ' O t' 4Q

Georgette s-'affajsa ur un la.tête lans ses mains, g-émissanfc.

Gsard eut un coup (I'CdiI vers elle. puis'-adrrssiit Essenaull, d'une- voix trscalme, avec une nuance affe,ctueuse

- Mon cher ami, je 'vous rappei-le i'veus iïin]e, J -vous raIpClO lux éjardsque, i'UlI t l'autre, lions devons à votrelemme. Si votre ilitentioii est- de rue cher-elier querelle L d pOuscr ha cho ju:5-lu'au hout, queJqiJ(J chagrjn que j'en aie,je serai votro hioniiiie. Mais. pour l'amour(t-C Dju, -ne mècns pas fMrz-ie Jsscnault ànu aussi pinilili débat, et sai-tou.!- ai-tan-.conn-nous peur qu'elle soit hors tIc caue

aux yeux isi monde.Le iiionJe i1 a rléjà son opflir)1l

faite, s1écria .PiCrro avec ltireur. On dit'lue 'vous

In acheva par un juron, -i., sufLoquan(,sous Je diaprait et l pai'(1pssus fIUjI avaitgardés, il les ôta, bo.s jeclant à mesure n'importe où, de toute ha force de son bras.

On dit, auti'e chos0 de vous, - ri-postaCérard, dont le visage trop. fin e corunindonsumi) avec la flamme 'des yeux (lail.Bl'ombre creusc Jes Qrbi-tcs, (lev(uait tra-gjç1ue d'niotjon. On dit vous êtesi'alflaiit de \hlle de Prénior. Le croyons-.nous ? Mmc - Essciiault, vous en accuse-t-ijlC ?

Dites donc. lnonic1ti fit Pierre enmarchant vers lui, vous \-ous cuidiez I

Dol-je vous rendre des comptes ?- Est-ceauprùs 10 voiis que io Suis responsable dubonhùur de Mmc issenau]t ?

fl y eut un j)emlant lequel lesUci bOnus hrent de jistjnguer

c;d ,rasis -d oicritDE JJ

A1ME FRA- TQULOUS2,.

ROih(.-JUifl1 (ij I, .- /'-,-t' ,t '/ dC .1asT)Ot( Ct e la ïn: -'-

Lii 4OUT et h-

G-de Msc en Vcic dct e r

oi1i_v(__)n, b -x ()(

-) ()(((iS'UJfl

\ j-B. ---- Les Magasiii n'titaiit ouverts le L1\DF qu'à i 3aIi que I1Ot[- (iiciitle d:e i'e-ti'ieui' puisse 1rofltei' de Ilotre\tcnte-!tcbne, nous main tiendrons TOUTE J:.\ iiArsi -

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Ll MIDI ccapos LUI'.-! PP ouvr;r eyidi-uhe. !mp. d -

t?resso, 3, '. 1oqulahnc, Toulot2s,-.. DAIIRICAt1.

---:t -- --

-par le TEMPLE MODEHN

nffe Tuent- ha situat.îon à fravers leur d''lére. 1M. de Vitrayc e retenait pour ilecrier son indigiiatioii. Essnault tcoaJde se reprendre, sentant que, sous litestjon tie ss nerfs. j! Ua-jt dépaSS

son l)ut. coret1.e, )e)-ant L Ufldse leva, -vint mettre la main sur htdo, soi 1-i-lai-i. -

tavre7.

La Lci s Loyersà la p4ée de t

demaité do 1'Eta. l)tcharC dlLIIPÔLØ '

Con:uission arbitrales. flésifletjon9 eh ?°

ProroSalion5 ces dct1c IiypotflCaire.

- rogatuns, ExonértoM19 t d4l&i.

Lcuvraga de b,IM, SouliÔ et Card9an haLe en suivant la discushca levant

Chambre et Iø Sénit, oliappO UX

tics comine-rltaliC3 trop prcOCCS desselles. Il ues pas un paraphiraS bi1teiues. Son but tend à vulgrlsCr ladctc par an exposi ccmliCt. COUdUlt A

Erepfliu Ct mthocl .Mt' 8 SOfl oijet I:i

tout de eompl6te 1'lnuffSaI)e dc9 t%ttiprvG'ant et en rbsoiv&lit 159eu-cl ncnviagent pas tout en y donnaflt fla

unce, lancIL qi la pratiqu8 EO pe-it raaali

ce 1e9 parucWiere -et lø CD

de iii poser : n livra n'est utile, en ffCt, 4

3uriprndneO eur les ca i'scPCcctd conditiOn, sI sa dcctIaO eIalre flip

juridique. C'est également pourquoi ilp!exc3 ilu'initales. C'est Cett8

h la f0t3 1U profeeiOnfleh et aU

qui doenG li CG trarail EO csraCtr ti'tt

tnetLait 10 iltoit h lzi perth de touL : fFrt ttuVoluifl- : rand. Franco

me ue oeuvra absoilLucnt 6Ch3fltl1'l4-'

Adrcser inandat.5 L « i1iti0rie » 40, !:!,c dc ;3ejpe Parie,

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Les èq_ r de :Frranc3

:t't;,. ; ;'-e, . - tJ. »-41e ÎtetAg-i

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,_a F(dérilioii tes Muti-

., Bforni( et A!iens Çonibntlautsla G'ndc (uCiLC , des Veuves, Orhi et4cendants, prend acte de 'attit1c tics-ijputés dc la Haue-Gnonne sue k vote

4fr J'()E11IC (111 OUI LuUOI, A C1iamIe ksdéput4s, IC 3 juillet dernier, et reuercieaeèrcnient ecuN qit, en ccttc cLeCOLLS-

'tance, ont coHiptiS et déIeiiIu les utitsde i'itiin de h juerre n votant lo--dre di. joui..

Mais il est aussi tic son ijevor tic sjna-i4 fout 1}atiCUUte8dflt aux InutJIfs, auxii:oi,nés, oux anektts eornbattas et i

tous les poilts (h1)1OIJIIiSéS ainsi qu'1u p-. tic toub)flsaill, l'attitude indiqiw de M.

I:)'upl)i, de Ja IIaue-Garcnnc çro-lotise, I tOiSièLflC CIN'Oflseripti()ft), qui a os4Mtcr contre J'ojdve du joiii Lfl94) et 1on-:nrr ainsi sa eonfhinee au sous-scrétairc

E4ai J%1)Lami; Jouirne uéfaste qui, parufl iJI)1)Jt;oya)1ee, 5011 et

.,qfl j4 fl1'C[ïO[JtiSlle, porte . rantl Ort aax&i(4jiileS tIC JU(1Ve.

Nous iJ}vitOnS flcF(JitJUCfl)C1t k)USiiicnec uc u]ear eai1JInc

eutre la ri1CeUofl du s ijoïste vej'n-.tant Crnpp, 1ai n railu sa p()kcSear lans une ses letties ii »ons asu-

:ait 1e tout on eonernws pour soutenir etécntbe 1e iét des vktimes lc la

r;ide cre.II cs( nii q(IC 101S Je l. dis(Us)u 1C

I;i Iid ds pcnsions. 7i. Cruppi nous avait;acuJcrt assui'( li' toute sa syi"tliie -

I (le Sflfl pltis I)1 1vouei)1eIlt, 11S il flOlait sc1le!Iev tIe vot('r I'aiftcndcn!eat Le-Yas connu et fest justk ;ous c

nom e BAl:EME HONTEUX.Nous esp&ons que les iires' arit

ii quoi s'en tenir 5Uk la siieér-it Ec cr-aus usqti Oui)l!cltt trOp îadileHInt ksU(1's inuntliats dc ceux qui ii'nt ja-IflILS SOUS ( Il( p m aui k (tCt1) , etqutin juc ientfra, camarades, où"aïs ordeudei.

u ' uC (-

'Ottkt prépr uimagflÇqve at reoui

. ses ïOihtt3..

SdJ1e (lu Conscfl iïiutiicipal futed& qj ;a recption 1UIait 1CU JC 9 aofit.i aCOd ac I TCD1seflt3)i iC iIii. - -- Tolla(jo)I fJ3 notre ville, la Ynh1-BIe1pIit dtermn 1c geaudes 1ig1eS (h CCttCjourue qui iIc- eotkiiiée comuc (kSp1u J)efl?S, £11e itt pa}x fOEt PPOCt&Ch Pranec. -

elornuieau but d hles troupes du ie ep uiut eerLainernut PSeorn d't rhibiIit0 et la meilleure )ruvc-ct qe c tiuupe ont dfiI t I'ars, iors

1tfd Gur

evrdS f2It ar la Sctéi"'u;i;;ntation 1ARGNE

TOUtOUSCd!vorse8

uvre (10 gUerre. ,t - .

(jJy d-'8 crç2iij1s (le an

JilOJTS X120''A)mijjes ver5es flUx

ccI]resdiversc S)L

Lts J1s' inHtl-( ao

j, DYionrdUr; o;-

rhcIIls et jctijC5 191J

F.Toi 3) juin !1 )2:.313 Jrcme9L dumoi de jiiUet PJ1t 33.:3 10

0t1gfléI'a à cc jour. 96.776 40

5

1$T:9 L:)

Detn LIJ»1' AOUT, gr'audemise en cute de

=z=

Eur[hIE de C(iO, Voiles de Soie, Iouards_tj&uiii EIaEhe.-

Ez:itrée Libre

(lu ;rn1 cini de la victoire. Aui, à l'exru-pie du. r&iiseil municipal (le Par nos dUeont t1tcidj d'a1lcr.eevoîr ie. troupes sur mQiut tléLrj* de Ja H1e, -kux aboid de la

gaie Mathi:iu.C'est de ) que. Ic f) août, L 10 heur dii ma-

lin, parlija 1 dfl1 qui conIprcIIclra twtrc lestroupes dc la arntson des hgaUon (le toutesles unjts du 1'c corps avec curs 41t-apc:iux.

PLace du CapRole, nu cuoapc e lr3uvera(rjg .( 1IIouI d'urrie oi infflerotit 4es p r(uys,pour lwnor'n 1 rrn ire nim-ts de taguerre et Ja nuit: du -3 au 9 ev-i cousacro à i

fauèbre aIl}olir du nu,uuiuent .Nfl'; 1oc.coii d' on !I-cU')), c i:1. :e h du

CapitoIe- scia -s-pcucIii 1rdnt1eux ou troisjours. Le sacrifice des veudeurs sera minirnosi ou le compa;o t celui de 1(urs enfants dnt011 veut gkirifler la mémoire. -

Le. Publie sera aUtorisé .icirculer pendan 1:1

jit autour de laplace du GapU&è et i apportrdes fleurs au pied de l'autet funaire.

Point dc rnisiquc, flO)is la voix d'aira descloelwrs se fra ctendre pendaut la dur,j deecttc e}he. .

Le 1endemau, le th!ii saeeompauera duacvcvuc RSS(e pUlC fltra1 Pisssa 4s a

(i1 j i (SOI p'. ai' qu tues dUl Oflt LS( ie t tii CitaphC. .

)cs - tI\ O I onneui -t roitt tiice'. end I

revut Ic.dti1t.TeHes-.soitt an gros les disposLious le

Iair de Iorloti t ettue iue ta util lhordtutaavc I1 intt'es('s et d'aec-oid a\ex 1'tat--mjOrdu. 17e corps. ---

Ce sera s n'en pas douler nu beauIe reconuaissailce qile roulouse oflriranu u0- St 1 OU ongL que e t iprt rnee'

(1 aTscnc et de souffi tint e ou 0-- ïo , t. jnneut, cri sassoeiera ot ecntinent. rrnn de reror'-nahsaucc t-psi a aiiim les promoteurs de la ma-flitWue 1tcepti4)n de sa mcdi 4,t l'on s tara unIevoir veflir «u passage saluer les 1J3ndarts

d çeux qii1 £uen ios SICUrS et i 'eUr QX-pUinr int notre proondc 11O4LL n[ine 1-

litude... -

Des grndcs (It I 1 rk ctio 4 I inrnph'ilein tirera bieutût les d6tails que nous Iwbierurten temps UI.i. .

1Ii)ous sfliL por aujouitVTmi d'avoir flx lidle. C tl'.t.vojr indtjué tue ce sera en SOULfltCune j)tt;iUCt de la CtCtJiOflie de Paris.

, M,K.Z.

Potir les pcheurs- EJ'4T Dt EAI]X

Toue f coues d'eauç t rivire sont el:ir.Le c:sn1I cseloir.

l'1lOfl4BILiTL'gT t j }e lt ûclit r1r en iiidotj- ti

lan-beaux dan J'Arige et dans la (aronue et auirdoit dau le e;uml atéi'al.La poche à la pLte sera tructueuse en carpes

et en biirÏCS dails les ttaugs ausi que dans lemnal-iiaMtd .--

Çe _Ie jflCilleU itorneut pir la pêcle -surface ( la sauterelle, mouche, mouche aii-ficielle, etc.)

Les p(aheur ah aT1g nus!ront pour le a-eau le mlin e le soir.

-

NERQUE.N-P. - Samedi procluiin nous trailcsustaïque ou 0e acati pes du

T?AVE1S TOULOUSELa Qtu,stion du CJmarbon

4. e Maire a adre-si la kUre su\a1ten jfl teur d (JU tU 1 julo t

n tlonsienr le I)iDrccu- t' \1. ::)le1 Prvof, dctt, St(ljtJit).f. a1I Mcl:,i'adrc'c le t?gran;me dOnt j'ai l'lsonoeu

(I.e VOtIS tianme0ye, ci-detuus Une copie« Paj lei ao 19IIt it. 15, - Lu_

t' ehcur a lO1)tld fYimtdiateien ordres potirraviaiilentent eltarbon usiiu :L gaz. E1l(Il)t: \'e, I

Le Coquelkot-, I t: qurua leu tjan flOC aIi

tlii ;,ït)35e, 5jttIC 1j J:tis, tiV('Utje Ca:ilI-Puiol,: soirtile seiaiionne11e que iioU

avons nnt)fl3.Riefl rio manquera at. progranmc. Corr)1C

ouverture, I1OUS aurons Uti ketelt de noticcompatriote Le;ua : Il.s5e,nhiemci .» lu..terprtlt par ? 1 M, 1.07515 et Ltoflej E.

Puis une partie de etJneert 0fi flous urOiisle pai': d'applaudir (le nombreuses vedettesan1ées et eujiniies du pub'ic liulousai.

Ntu5 aurons galeinent çuaire comhatctIjoxe avec 1tjs iei 11 cites pugilicks c la rJ-.g

Et enfin, pOtr tlrnincr, il r s il-onPaix chez .soj gjljl vatideville dc Cour-tellue, iutcrprslt par Mile X... et M. Lozus.

kOmntC Ofl 10 vOlt, le programme a Fd

js pou1 satisîajre 1e5 111115 ditiicilc. e et 1u(10111e que la sale sera trot) peOte J)011 CO:-tni ia ftuio Uajjs jUi vindt)1if lVtout cn tasant çjvre util(.

cs c!c loujour chr

RUCHE:Odiit3 de Pvexiiio

au [ejI1eur !'r. .. --

Clioi:

E7LANTNEGL

toilelte - A

Tallettz, acet lrtue dc

Tlouscs(:;3,1 tp.di u:i

Le « (; tk Tou-tous »

Celte semaine Chu w ,t t R t (or le d -'tin de La-borde. .- Propos fantaisistes de'l'iistai-i Dermrme. -- Les prochaines Limitestleetorales. i1liouette locales -: NosAvocats, dessins do Geoffroy. - Informa-tiens pour iii" . Çoiicoursdu Conserva-taire, chaut., dtclamnatfon lyrique et des-

alique photocmspliitb ds l'uettsTJatres, etc... Le, i1umro : O te. 0.

-.

1u GÂ d AT?lcc du Cajit1c,

S6t uc dc lm trubikuc

1 LS ELLE CFESj

A £iejiAujourd'hui. à S hei( SU fl: :)l» : 4

L ac f te t t11I}( trt i _. h t,t 1 ',

tii tllt ti1 tt n coc L Ilsi tilu ueofe ijs -

Attentat .'mx moeurs\T 'e nnmIl amr dc l)OlC( di ( C' 'rron_

dissement a ii-lis ( la disposition du Par-queL le nomn Brousse Louis, 4 ans, per-ieaix, demeurant nie Montaudian, iitthier coir, vers O eurer, au Ramier du ]3a-iacle, par. l'ageut de police Sabatit, pouratteittat aux nioeurs e omwis sur une lii-lette 1e 1! ans .)o(-

ii1i seciaht8CCttIt ES)3t7nOL ---. Itmaipion u-

jtjttrqht.ti dilflZUI(lhC 3 août. à 3 heures, au It)j54iiahit.uel, e!d Merlu, 26. boulevsrdt Shasboui.

Présciice iimdispensaJc.

L Vi uvriêre'gfl'il-at tJ tt:i)l:: ? (r::sttu:t1c) ._

nio):i e:clraortljt1are t:t:a1mtiC 3 août à dixJleurcs. du natimi Bt)tirOJ du 'fra'Oil.

Occire du jeu ; tnPOft5IitCSJ)1C(! re ,

Le SocîWsLsocia.Oc (l I?:1t8 t ït'/c(1io, Dtfl-.

ptrenieIittL1e. Perma11nCt POUr Paiementtics cotiatio1 tlyflaiitiIC 3 courant, de 10 l-L

L midi, caf Aiidran, place du. Capitela 1.iLtin1cilc t)tjVtlVC dii Sud inrile 1es Se..

lui ejivOt:r t:iiV rc)m'resl)t)ndticc au:::tivealm t:re, grajitI ctaft 5ammt_\[itlel, plac:-aint..,t1ichel 'Fouloose.

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Envoyez -autaflt de fois :) -cejmtimnt tp;evous dsirCZ obtenir tia litrea de. biRre, 1m

l.epc, MmentatIo, Féamp (Si-il, lequelvous cnverrt franco toue mi pmocluit.s m-

cessaires. lOimiimum : 35 htre.

¶17er1d ICE; rneilIurs-

7ouLQu::- ..

A (:nAlliltE n'%LIÊNNE.: Ittune, 2 n(.t"l.

La hanlirtpr(ti(lia st:5 \LCt(1iCC5, (IiI!

dureront ctmiron 'lieux soiTmaiflC4.

La cliscussi(tii pour I ratiuicalion du

traiVi de Vcmssilles ne viendia donc qua-pr li Inli att'tt J m (hi fll)ie iiii 111

subordonner soit approbation i la cortnais-anco t1es cI1mii-es ' du: traitt. avec l'Auti-i-

clii , qui -t t mi I ci 1)001 1 Iti]i

ÂU CON.SFJL sEqiE rns niws- Piris, 2 août.

I t io m t 1 pm iii (It s a!ii- e ii5Ul)IL

iot après-nidi. iaiini lc questions urgou-tt qu'il n à r(soudre, liguro celle des trori-li;Mes bulgares en. Thiace. 'foutefois, il estJIossible que la discussioi CIL soit e.icQi'atotivi.tte, le eortiit. des experts qu devait

se rtunir ce matin pour ctrncilier le j)oiiIt(19 VUO annrocain et les F evendications liel-Im!miques n'ayant pas tenu de sarice.

D'autrr j)art, le Conseil suprême nesaurait tarder à s'occuper de la situationqui exista en HOflî'jO. La dtilgatimi rou-msmne et la ddgatiou tli&coslovaue ouf,e-m efiet. a(1res :s6.a u prcsident de la eonÎOt'CIIC'O des coinniunieatjon. dau les-queLes eles marquent la nûctissité d dii-.

a' mreu im Tu tjiltcillellt 1 M mgau s et 1posslbjlJt(', od les troupes ityuaiir'. s-4çjheco_siovacue)si ne trouveflt ie procé-tler dais h lill lire Jt hi s il li tau',aux opdrations miliiaire {1Ui assureront.ee dtsainoiuoml- , .

. S iI:,ons la matin4e : d'aujourd'hui. oui

navajt CJf'OO rer.iu 1tuiic alicliile coufir-TO5t1()J1 T)îllrj(l1'p (le la. cltut de BeIa-l(un,ni de la Ît.}rriiation du g()umvtrncnh.'-ut quidoit -remplacec Budap,st le rgimne holeheVite. On ne connait pas non plu la

. Jet-te relp que l){)urrOieIlt avoir de Pu-relis cimauijv.ments iii les garanlieb tic paixT11i poiiiiaicit eu m:-tsu1tt:r. -

LA GRE%E DES poLICiMENLondres, 3 août.

Il .' &ouliin:in tiu'iL l'heure actuelte le flkifll-li t S gt mmU 4e peIna eu r&Ve t.tt 0'Se 'O0

Le £Omnii,Ss5ire en elme de la police iu.ltrDlO-li t:cin. n d,c:url q-ne loi, peu-1 compter su IIi

itlitt tic 10. grande fflOi11tt des policemen.Les agents denleuriM li 1ur sont assu5

de l'appui dU gouvernement. Par contre touSiCs itvltes ouf lté rivoquls avec poïte de fouisleurs droits et privilûes y remplis le diott aux

005id115 et rctraite. --

5f Inexact que le gouvernement ait effortde réiatdgrer les gitIvistes si15 repretIs lotit leu]'.]Osic aveJt midi. -

La i1iittO ] dOnO'L e t tiopliCtit le auto--- 1ms montrent le plus grauid calme et la Cham-i t- t.i Ccn'mnnas mi 'u ()j I ' ho r sOi) fl Irci-sReue iottn'e, leprofrt -de lot sai' le statut 1cla poline. .- -

Le oid-maira ti l,oadrcs e Janc un appeltemandal1i. des voloutauies pretidre la PlàCO

tuivivles eu atteimdoult que le ee'tps spécial:051514U)IC'3 rr1mt tirimaut la guelte et réceffi-L licettcl I'ri CtiC r:J1tptI.

TEATES Eî CEMASTHEATFtI VARIETES Aujo'uduii

r jn]rt 'ftt' imttt - t t 'a1ri tleu _ (1 "]cprdscntaI.lt)I,s (In l'opérette çneder1e : AuPal-ola îles heurs I . spectacle d&nt eliaeiiflm retire ravi. La grande hata'lle tic floursaura lieu t mafil]éC et en -SOiF.

A.POLlO-THlATRlO. A 2 .ures 0 et l

S heures 41) : I1(UIiC à l'Amour. diaae en4 l-rties. .

t1'tJ'viA rmFupE t YEfT P n.'t :i )' t:le \t ndecit jer ITt !tfltlt t S i1

PotLi 1',4mow' de TVnie, draine en 5 1jirtj. Pi0s 'nuis, ]ranie en 2 parie . . -----

à 3 uieu'es, soirc à S heules 43.c\vl-EP4CAN COSt-IOél1APIl. Frin:

anunelle le fer aûfft. Biou'crure aen:lio:-n'1l le 5 septembre. .

HEITUI IJINEMA. Anourd'hui di.-

nVnchC, 1 2, t et 8 h. -f5 : o Fi.ft,ie ', renié-(lic ; .' J :yctétre de la Double Croix 't.

6e épisode ; " LL'Efligtiit3 . grauf tlraa e. Cilr parties ; t Lui ut les pouic:meu ! » hua-i-3nt, lntrinèdC dc concert. . . c-

ARNAiJD-BEIINARDD UINEMA.Netirt 3 couraut, li Z h. S li. 15 : La

Fe111,Ie ai.i Secret 't, drame en 5 Parties, e. I e Itiage de LoIçilLt t, comique.

A:lNT4YPRflN ÇaNET'.lA. Dimanchematinées ie 2 h 4 li . et de .' h., soiré;laS h, iv Top n, drame en 5 .pertiet' T Ti t I' dc fl7etlP ConliCliit

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. S: VOiX se fei'ti plus int'.jsive enCOI'O pQIIflcti i' lis t li UIta,I's d* Iloenbei, i-on 4 te1h 1 dobitenu I ;d i i au t, iii]pl,i.s'ahle I (ii

iflt)lilefl,t, ttit-:i!, Ot at:is luatisi tjCu] 1.0 VO1ÇI

tjiii SUL l'invitation iiti'., l!Oil)::-pridelt,iaront sa uc icit an t I iti,t ttqui -a tenu toutt t'udio,re.

On eontinut.e'a lundi l'in iroatoire JeMarguhis.

L% fl(t''41()\ DU 1RAI1'T.

\Vatiinti)s; 3 mma'.)t,on lIflhJO)iJi t liici nu,', qiie t; ita las ei l)l

en tli oit mflteri]lf'omi O o ii oui ii t O t'tNilsou uapruijot dci mnodilicti:: Li lité ctSt-clii, de telle faoii que les puis:anecs d lEu-tente l'accepteront saie, aucune tIificuiltc).

Ces niodilleations auraient éttJ rùsliges ave: leconsutement dii prési&int Witso-ltit lis4ti:tsur la r,écessit1m absolue qui' y o .5 iris i:i P.:accepter avant que 1e tnri{é oc, sCit r5001.

La lutte cOflIinue, cli atteiid:u,:t. avec une i:a-te ci-oissante. . -

L}: PROÇE'F IE LOI SUR-LIt CESSATION'Dhi:s IIOSTILITES,,

Por5, 3. noiltr -' pro 1j rr tIti t I u tia cit. l' 4': -

sati.ou des ltot.juït.é.s soma ttitribu't t.'és pto4i: -b1enie)t moiti1 aux députés. Nus .éLis atijouitI'hut mi .iiesure Ôe le fpiie C:It,_naître a jiOS. leCteurs. Ce paffiet tSt rti:ciitcli )1OTtl t.lU t' ,tle,:t dc la It:'puhl (lU P

a:!. Cleinenceau, prêsirlant (III ConsCil --; 10115

ltM ministres l'ont cortiresige:: .11 eOmi)wt:IICUX - aliiClCS Pouf voici le texIt' ; : -

' Article preiner. Pour -l'-e eltnjon dtlois, d.crcts, règlements et J'alla do,iL lo-p-

lmc-atmoIm 1 tlui uj.JtfllOfl5jp4 ,u 3 tuil tj gt'r ela date de ic promulgation au jt Jt.jTmaj o-f-licici ' du l.raitd tlo paix avec l'Mleniagn:tra, ious ni ..erc dt d4poaitlo1is du. I ar -

rie 2 c4aprLs. eo,isjdére c0111m0 relIela cessatiOxi des lmostilit.és. Il ej ttra ait;sans tiu:)I y ait iu . Ojstiiiguer . suiva;t qu'iait éfé disposé pour l'état de_uerrt, le tempsde guerre, la durée Iela gutr1t; l:l durée &I o tiltlt 1t uiir0 die I u t tn,a.,ne )uqii u I tpaix ou par. lOt5 aiiJ.i'e Cxpres'srOiis c-tJtl_

\ tleate', L 'e1aa qui dcia nt )uUli ee»..aliGii °' huuf 'mtsh-, p rI rnL de l n -me (lote Oi_dCaEUr. sans .gard aux teammec-iogies d'ffdrenlet. . . -

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lu scnnne i,cine a ulic noi've!1t dtri-]jutit-ui ile surie aux jticit'rs et rl''I ;u!I'uI.Ce:. ctC1iOCVS rt'c.'\reilt o lt I 'it le t t' 'Sl lictlu Cnnel gtnal, leu : bon Ut I''ap[t()\.ionni'jnnt 1-t1tiT (i( 1i1U1i j)IOtflUfll,aoflt, daîi- 1t'1(tVt Ci-apI.'. -.. -

\lardi matiii , noOt, seront servis lt's4'1tj(jer- et I(tUT1lafltS dont ls ntiiu CttJ?1_

n1!1ct'i1l par In It'ltr. ; 510F. lelire B. ?ler-tlIt'd e) U( t, matin, lettre C; soir. lettre J).Jeudi 7 nctût : uI;IthL lei trt E, 1' ; 'elil, lct-tee (. \endredi 13 : malin. 1ittie JE. l

.1, Ii,; 5ftjJ leUrt' T. 1YHff!LO ioût : matir,l.'tIt \t : ctjI'. Ipi tît N, o, P. Linidi I La(tût ivatiu, ] tires '_), It; soir, luttes Sl Z.

j raI)p 4l(il!;Pii !if1 .jïO

1't1J)ljeIjiI lt [)(1tt' limmItgrPlit dt lie-k+i e Ctrrt4l)t-'Ii(lflnt il I t iii 11tft1t)\ jit)i1flt-ij(fll iot'it'uc'l. :tnit (lt 1tJeli1it 'fl'-ju-I ili&alittJL )Iz Sit)t t'4i!t tlt Li

lit-in. - -

j Ii. lt' inut ii'a'' r jiaci. -t jtr-»mit-r ii

li 5iOiitt (ii' ii-l;l_,ii: (! 1'ct: t'i(tUX 4l'ii Ti ntlr':iit'u l)

(t'IVtaij!) ht t-; .fur\tts iii' l,iut' }4)1)it1t)\]i ,fll: fl.!t tij 1 'pit-at ''tlp la jk iCtiIt' T.,[)i il lui_t ail ut'llt. c:t-(lii altrs le il anfit.

Cottnme la (patitilt tin itert t1uf Sera i-'t 't'( a (trUi!tiit ltrctiof, -ih'tri}l ien no coi'e-ioitI iu eteit iig.tii Iitt'nsutJ des tpieit'i-. (1.5 tt'rni's :'rutttl:ui la ut t'('- itS iii. SVj\jt l'. rat'ioim

i'gltt-tI(ntaiLt' (jttt t1ijti' uci ct-tlrc (It't'rtce t( .:jJaïtL }i urs (Iirjtttl!ll)iltlt

LI ei iu suit'', iectt;imtia;mdi atix ltlai_!anis d'(1itJ'l i-e d'mm}tortl im IttI ltktts df:5; tael t' .L: .:iÇalit S ci. : I

1U-t1te)1- t afït:)tiiiq au mnttis eti'It9txi&tt)t litt li-., I!t'ket (it- t'ai-i es V

viiil lartis ' . (lu 1j'-tt' iflitiS 41 e!tfiml.l'('.dt-Itt ttti.lejtitnf, It s C(tllpeils t_los CiII -I r. ds i.n1 res

(t 1.( 'rçfa ). au Th4.il 'e tn Imf-l!aI dtRantiei' it't't t9ttIttte-ttitt'

t,,timi'i_lIItii, : : ljtur,' 'ti ç ' -_

- nl tjtTt tl. a-t:'. ': Ctt't,t.t : cl i,t :-f-, çtit 1'ttr:t ; 't3l,tt1 tl l'l: .'-Ctei_

qu.', ii' L:;1'Ict, {n-ij-, il,'Li ptdtija tt pI,I.t,d t1tt ,' t -. 1 .

nintt1(t'uS t . - t :1 1 !:(1 tJ,i';enue Lat ' : - : .

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

La Durôc ccanarurs t

u Tiavai1 i Mïaflt1s

Dn iAgrivu1ur

ojt GwiriersT cane (aj ppeiL, it y a

pittes moi stftuer PrOJet (1(3 lOIOrant lTIciatiou au eod dutrav1 en

Qtti coaepr)e la durée d tatava1t. Au coiir (h ta 4jscusert, M. Mau-

ir, déput du (flier, demandaj L cs col-gues tt; 80 pronouc.er sur Ta question dt

tavail daus .t'aricu1ture. I1 dposajt un1flO1T1rnOTI qui tendait à accordeL aux

onvriers agricoles d larges satisfactions.près une courte tiscuion, 1'amcm1crnentai envoy*3 tI J commission du travail

pour 6tuU cornpl&ne.nlaire. U ne pOuvaitfrfl être, daiilcurs, autrement, t probIrnnsniitv6 demmc!ant it être cxflflifl( dakSots .os détails.

.. tl41uO jou pins jarJ, 10mhir dAcicu1tui'c, saisi du Prob!èic. 4cI(eAdat

)l nonmer itw 'ornmpsiOn 'pu,JdIe t. 1I(,i a tintavaut-hier, ru.e de Vare.nne, ieur

t4iefls. : . -tLe: rane. sotiaUofls atrmalc l;

s)nvrireS 4aieut rcir8enttes. Lt y vanoktrnYtcnt. du cf ouVtieF, tle dlgusd& la fédratjoc tie.s bûolierons. c1 ouvriersgricoles de Franco. do la flcat.jon 1er-i.enne, des feuillardiors. clos enhrneurs,

kl08 5yfld43I4tS viticoles, hettraVier.. dcsyndieats deys jardiniers horticulteurs. La

3itr u travaI.a (fit tcpr DûS, CpUt&S \1M

Mauef, Camuzet' Tr0iflier, Lavoifle, etc.,1es sinatours ont pris pft aitX iibraJons.

progrsnmie do la r1Injfn 5V5t.éabii par io. muistro : il- comportait qua-

uesons, ics principales taicnt CCI-ies-ei

Doit-on limiter le LraviiI dans .Fagric4.1I-.iro ? ii)ojt-oji iccoulir une i'g'1enierita-

tafon ?La diusioi s'est çmgag& solS l& pr

jdence dn directeur ti lAgrienLture, re-pr(snmant M. Nottien Crf1ïCb(.

_es di6guts ouvrjers Qt défOSé 1eJet suivaRt .

« rLioTe pcemier. Daa Lesnients agrîc1es. horticoles, viticoles oukIam leurs dépcndnces, de qnøique naturû(1u'its soient, publics ou privés, laiquesouacIigieu.x, mmG s'iIs ont un caracLtrd'enetgnerC ptoressionncl ot de bion.aisancc, la dur6u du Iruvail effectir des

oUi. C OU Cfl de 1 u" ou cl I'autrCee et dC nut c ne enl CL(RF 5u I; 1t' r p' jtut Ot quate-huiL

Iheues Vu tmnattie, soit une LrniIohon' [lu1a ii4o sui uo pq Ilionaiivae i di : 1ieui qe lotit-.1OC3 Ji. d rti. u al lournal' pu s'ikft$I di I eme, que1e que O1{ I sai-

ou.: ArL 2. - ECS rgIeinents ct'adïujnjstra-'io!t ptt1Iiqke. deiriinon f.iar rc,gion etat e )nite jltuia1e des dLus et oudi-.

itios& Vappiication de l'arjcte pic.ent.C s ru,eùe SCnI PtS soit d o flccç

&it; i atdCian& d'une oa pltisiiitS oigt..siisations patronales ou ouvrières natio..iaIe.s ou rigionalcs int'iress6es. 1)aiis l'unou Inutre cas les organisations patronales:(JU ouvrières iitrgss5es devront OEtre con-uIti5Cs: devront donn leur avis dais

deriai don. niols. Ils sontrevisis dans lesin (ni,'s fcrii , Les i(g!enivlts ele\LuiE se

éîcrcr dans le. cas où il en exislera, aux1nccordis intervenus entre les organisationspatrOnales e{; oUvrires nationales ou r&.Ejonales intresses.

fis devront tro obligatoirement rejs&oraque Les liajs et conditions tui y se-eoiiL puSvus serun contraires aux stipu-lations ijos eo.uveutions iatcruationaesur la mati&re,Art. 3. - Des i3gIenentri cl'adminjstra.-

Lion pubiicuu prévus i j?aetieie pL(deL1t3d5termiTieront notamment; 1. La répartition des hurs (le travailatin de permetre I.e repos hebdomadai

t Oelflj di l'après-midi du samedi ou ton-.ite autre mcalit quiva1ente

. 2. Les délais dans lesqueislit durée. ac-tuolle vrati.qute dans lagreniture ou lacatAgorie professionnelle considre serairamenée 041 UflC ou piusieuCa (tapen auxliniitatiens tixs L 1'artiC1 premier

) T s iruint nus /ternpol Lii es qu il V ai:eu d'admetre pour permettre clq rajre

- ufae t tle uraroits de travail eiraortIj-.aires, tts ii6eessits dor&e uatjonat

- ,cu des accidents survenus ou. de accj-.,ioTIts survenus otf irnIniTie.iul. ;

Pour eerLaines catgorics do travat-tours ciontae travail no n&essj qu'un ef-rort de surveillance (bergers. vachers) lesonditiors dans lesquelles den lroaLjojs

permanentçs pourraient être aW()rdESes ;Les iueure. de contr1e tLOS liCUre

1c travail l; de repos c de la durn dutravail effectif, ainsi quo la- proedure siii_vant laquelle seront cqordes ou UjIj-

es les cfiogations'- 6. !L.& r6gioi laqueilo ils sont appLea.bios.

krL. __ La r&luc.tion des heures de tra-aii ne pourra. eu nueun cas, &r une

kause dêterrninanti clela r:duCtjGflç -

aires.. tkrt 5. - Les conventions collectives ac..uellomen! en vigueur serotil abrogées

dans ôhaue r6gion et pour chaque cate-orje professionnelle ii partir de, lan application dc. rglc1flCfltS adminis-

Lratiori publique intéressant ladite protes-*ion, ladite jadustrie, ledit commerce ciaadiLe eatgorie professjontielte.ldaflS cette

région.. rt. 13. -.. lfJa prsene loj ost applicabLe

l'A1grie et. aux colonies.La eommissjon a reronnu c1u'U y avait

lieu 2'aertter ii uns r(iglcmentaLion ba-$(.0 51W les besoins tie chaque réon ci; de

'11;aqu3 pCjaIj, et qu'il n'était Pas PO-ib1e e pr(n'ojr- pour l'agriculture des r&

ales prcses Seiïdtlahles lI. celles qui sont, ppiiqu6cs tians l'industrie.

LIe ministre d l'Agrienitur0 va être msili courant du résultat do la lj1ratjon de

jeudi. San adnitto 6laborera-t-jl un projet1oiit il saisira le Parlement.

si voir4 voulez combattre I vie eh,re.UPP8IMEZ L'QtIiLWI

VN STOt1 DE 1I4t4tM. Pieri'c Dionne (c 5 fafl.teiIIC ») ia-

Ctutt Continent ou liquide un stock dei.iiurtx .

Au 13 ruai driiier, il avait 5t6 \'eflchilamaison Galmot : 2-2.000 hectolitres i4 ?an

les, o.000 Bordeaux (1Wis en pt.io 8111'les quant it rIquisitionn.(ies (ICIIS C4S porte)

En outre. 142I heet&itres avaient c3tV(uflis atix Antilles et hectolitres3taient cii COuPS de r6troc('ssiOfl. Cette der-Iiire quanti(4 constituant le solde tinCompte du ravitaillement vis-à--vis de laiflast)u (lalmot.

Vous croyez peu1-(tec que M. CiCliflOt seIf nut pont atifit ' I t 61 L dit coiliflhti Omal soit appl il. Le njiistre des colonies4erivit. ii la date du I avril potir lUi signa-!e1 Un CbIogrniiiic Op4ic par le sius-iotend iot Ioui I 11u,tk d tuiion UFtAntilles (jIit IOPt)s4tt I t ( '1Ofl t 4 iiuetd. 7 ofl() lux I Iti s d( I IUiJi 111 14(fl (lÉ-

'L)I, ('II de 11((1flUt lt .f(jç (le iliuiai)partonant au Ravitaillcnenl. ii. la \ar-tiiiquo.

TI s'agissait doue dc ccler à \I. (3aIxnot,Cn,txO(deni d ce qui lui tail. dû 1569 lice-

i tees, au i)Six do OO fiane l'liectoljjre.En raison du prix do Flielolilre tic rhumen i?rauce. cette çcssion oui. fait. rialiser ù.'ç l) RCLiCiii Uli n d oO J oehectolitre .s oit. O h 800.000 franc s pour les:1 :O() hiCetOljti.

Lafiair itait. dans-le sac. Gainiot parla grâce du ministie Boret si M. Iieury Si-111011 1flh!1tbtm dis colooi. n t tail mit i COU11 OflJl;, utile pour enipt liut eetk £'it C-.vaganfe coinj aisoi. On ne pelil PS O-griet' à lOiS les eoupr s'il se ronrojitiepar liasaici un lionune olaievoyant

Piicers assmmsd oiss

Ti el):l1tl'oli1 .iSO1i. ,h (lc. i.fl-d:a û,itiou du niet' tu t iti je',-i,tC,iulit' j'nitii b' i.i 11i--ag'. \iusi, les ioitr i')\ iiit

t,ii&t u ta 'ill ili. ii' ' tIi, lç 1'fiI-I)11 11)111' tli. d' la SÇ!,1*jIi.

\Iai.. i &;til fL'Ol.5lI. (Jihnitii. l.a pohic' a 'l'i fUli'. 1(! fl(i:llPiltjç. a1' tic 1 11f o -

-lI-z- IJ'tuaifr'l .1Il' 4es (.?ieh-tli-Sio. fi iciit.1.l-j i 1'Oii?' (I1a1g4.- 1I1rkn1 '(C iiioj (if- du ili'i14aOdÉ mlii iCfi'ii chnega cl. liii ..iii1;or. 1i Oni' lCi\_inuI il!' la ii;i1m. ti !ii I-1('. (1i-e-il imiiiit h.jls de bfrCi l-c-eute*icla ic. fa'.$ luS i1aii(-_.

(J'-t dii 1èirtil '. ii li4iPs (P1I r

t ila', ' im,1-_i 1ie $L1f(ialfJI IU;Jl. luI' 1'1111 ju .. lU C(,14: dC hi',

a;;gii <OH; O lt Ci-!Ut. Ci. l.-'. ('LR S i'Cii( 1iRat''14Os-U lt1

Liclijj . di .. C a(i.ii i._iiC.

\E;ti jl'.ion- n, r . ;Ci4.I '.I!LI:. les (t)fatt5 (u4 le-pot ici''rs.

..&UÇUil itil aII 1O SI lI .aï t pou e t 1l11 !;U es . (j lUt , n e ( C i mJ luu, u ' U e.; l.m c- t ftSS Cf'O.it-,tIC joui biio tC il UiS lm.I-LiO4., 01. ''ii'l!Oi1i. LttO t .ote (10111$i-

.

Il esi. !1i .uln(. tl la 1 -1fiOi1.

n SL%isecfliu!;s J.CiD1JT

Ba3r, 2 aoOt.1Iusi u - ieiesf1iiCn- I S IiliÀ paiflU lcs

n1endnrs ne laissent cuene Coiite quo b mou-VCnieflt gr(viste sembic orguCsi' 00 V1IO d'uneruvoluUou SOCial et est lonio3: pr ewspst'ia-1Cst. Lcs manifeStants ont tI5 hier, 1.114 POUavant rntd, des barric.jies. Des autos iûiitairesayeo( reçu do so1dais 1m couo dc piorre et dcr6volrer. la troupe II fou, tnant selon les uos5, seloil 1m autres manifs1aflh ; de plus, denombreux imeutiors ont blOî : q et dOUX d'en-tre clix aaoliisent Ihôpihil i,'ii. Le rivistCiayant voutu raiispOrtei k la caserne un c-ada-vre eflVlCppt dans nu daOeau rouac, afin dc-montrer aux soldats leur vicliin. le commM1-dant X..., mir la Garde, se déclama Ori a Iitsïeientrer le corps, û la condition qu'il no fût poctOque par dCUX4InSOaIIei. Les manîfestailIs \'cm-lurent alors foicer les grilles et timi!ïeflt mie com-breux coups tic rôvoIver. LOs soldats ripos1iiNI1tpar salves, tuant Une jCUi1C [10e 0ifaisatt derionibreux b1esss. De nous'esux reator's miR-taires saut arrivs liter a0c's-nidi.

Li C;!vi? CESE(ULE I ZOTWIlzi_flicii, 2 aoCtt.

A la suite dIIOC' d&ciioa mlu CofCii tX6CUiifOuvrier d'Oltei.i, la grvo gia".ca1e C. Lt3 procla-iu(lc' hier vQfldredi .t ZUIiCh. ÇIIC Ufi niidi. C0tto grv gmcirale se prodffliflt ejour do la fCC do la Comfdtraton, te clra areest. cômplet dans !CUS is magasins et adadais-trations, ainsi dUC lacs IOS e4tiCpcis5 liCports.

Toutes les usaes cl 10115 lesla circulaton Ors i?ifliWay5 051. cem1ùcariiLarr&te . 1'c'uteh;, cn cerlain nOmhCe dotwrLrmunicipaux contiaucut Ii travailler. Les niara-siris restent o1u'e1s 4 r&n ne &gna1e jusuu'iprisont aUCUn iciit't s&eienx. Le meeiinç acm-inutiiste. corLvoqud pour lm scir6e sucl'iatza, adtd intc'tdit ar 1esau{orIt. ians tecojiraliL de la inatiude, le Conseil d'itat s'estréuni eu séai1c eXtiaorttiflaiEe pour oian-(lmier lasituttioi. lit' adressi au (n8ei1 Lt6rat iwaiale d'eLivoye4 ItILÈ

:: ;-- -- -- -

L Vie Ch La iiX &4*rtM..

:î$cu$Bions VOUt ,L PoIk

I'

&.l!s1.%ci:I unitw A Lt LIGUENA'FRPNS . . .

Madrid, 2 nf)t.Le Siiat a dhunti i4jCi le projctd'auht-

sion de l'Espagne la f4eitt des halIons.Ie marquis tie Pilars mi défoiidtt cha-

leureuseme.nt le 1iioIet (1tli est lei resuttal,a-t-il dit, tic la politiqU(, internationale diicomte Ilomnaitones. Le ministre des ali'aiiesdirangères o inis cnrhiel le iôe chvolul'Espagne, laquelle ct invit6e à faire par-lie du CCIOfil { cta la Ligiu (les nations quiconstitue la grande autvre c1c l'humanité. »

Tous les partis acceptant le projet, lecapport 8 tA appcotis et, en consquNi(e.le projet 1Ui-fli,ffiO,

AMi;81(;.tII'

--- - -\Vashiiigloii, ? ant.

Ta commmiissio1 des (tcangues duSiiit n poursuivi lexanaea du tiaitt depSiL

M. Jtaruchi n dm'c1arii i'Allemagilkpourrait jactais Payai' 1'I4!dOIÏ1UItI fixme. LI

C ajoulc cille la eOfliffliSSiOti des rdparatioiu ait aucune int'ntion d xigt i de eplie

lUisSa1 plus q&t'eHC ite peut paye, quelquo soit le total dÛ pal' eil.

1 e pi otocole du li ai i de p'u\ 'ocoin-pegn.6 des Iottres dm4 prÉs(le11t \Vilson etde M. Luimsing a tti dtposi sur le iureaude ta commission.

i\l. Lodge n fourni le kiLo de Vaccord(flIic M \ et t. lmc cltA v s 1Isu l dc I 'idiiiiiS! i al on ii la i gon i li -naie qu'il d if avoir cibtohmn de soni 'e e parti-culi i an s a o t i n. son us 'ici P u h -ment i h s

LES NtEI'ENTIONS LLGAlEPiu o, 2 -out

La d6liga(ion bulgare n fait. rarenir au'; ç' i-Cl il di lit eo'if i j O( c nue moie sm.n e1 lii ode oft »ui la J ht ac etc itk alaic EIÉC

1l,Çfluit lç' IOH1CA toi 'Id t ihos ,c o-graptiques, OUIuiques, etc.; pour inorilrc'r(tue la t'lirace no dc'it pas tc lonine àla (eeee.

V!NSI ..'. ,_.. .'i'_OC. C j&1l(l 1

,.;.. (t O U 'ti,oc Iito 1,Ciii'( ::,h 'i & dc m-i ii' hua-,.' ct'.aJi1. aII1( i', :j la'. $bÉhl, Ie 'tiieIi4 lc-if'. -

huis e 'Lit! L ou i ,- le in ÏUIIgCS : h

ail' . 12(1 i-5 ir.: '4is -.l'i(', I'O ii 1:.') i.:'- ,'iU :itI('JlCi' : io k(C4, . t 'O It 11 .; .

I 1,1 ii.,sttwi:, (LrOiitIc, ('1 1" t el ' :1

1Ctl(!1i it'i .'',-le c-i -s, L u t .,i it.

4*. ç s La I)Od:1C. ls tu (125 Yi i,'t ti,-juIn-s h'-. e.o'u'. .::j

1.ail . i;-' Le ':pui ('Iiiu: i- (t1ç'5t 4 IC 'içnr'It' ( -,i:;L_('t' ,i!t4t IC- !1.ti*tLC5

18 -i;ih. t'ri d. i n' iil 1iflUi-

Uai-' 1 r,ti;i:.. k .' 'i :i(' ''.p'1.(.uI.e : (u i'--,;i'c 1Ui;i 'i (t1:ld. itl'Ci dC 'i11 fi te pi''itIC k '1iu,it ou \r-ut::(, ir. fiio

J1t!- l t.ôtC(I'i)r, Lei Lu- ' Ci i(lti ou(''.ui e lu' L iu iI' : t t.'

Iiau» 1T,,lui" , 13 itto*li1o1 (t'I \1ObI' m-I I;'J-4e. i.u» (i 011 iI ' s;. .9i&C

';- (I('s Oi'IUtII -', Ii1b4 h1 (l.:iu .' -u' tle dtg3.t , j io. : du - ii_il ai n

Lif.;.' lu'- ou, h l-ii: n'c*:tt11" Liar-a i(-t1liÉ L'it .uii ydc t I ii ir. l'tueio (-' 1- itU Cl- tOa ir' le. pi'uc 1es biaIiSs.

AuxEs-Uns

(ri-'.E \ %'lOa1Ir1Éî'/ TE.:, C11LI!\0 S- 4MI'ïC1j'iS -

: Clicago, 2 août.Le» ouvriers dci ateliers de CiiCiliuiiS de fe

ont dciclari la grii\'- na1.ons!. Une centaine tkIuiilic ii Cilicaso et aux alOiilCliS, (lacis un rayonde. 200 anilles., 30.000 dans es Et-ais du Sud-Estont ceas. hier; te travail. IL s'agR d'une questionde sataice. Les ouvriers ds ateliers dc 4hcmiusdc ter sa sont &1aiemnent mis cmi grève iidefpiile, ii Bosten,& Deaver et dans deal-ces 0011-ires iniporiauts.

El Frnce(;J0'3E tiouItYE! f:It LE I'. L. itt. lLGEflIEN

Alger, 2 août.La grève des cheminots, qui devair Oelte le

er août . ii O heure, a Ii remie ii dix jour.nons una entrevue entre les reprilsentarits dugouvernement, 1e» aiitouitts i1iiltaires et les re-ircscntaiits dcs c'eomiuot-s -

LES DUCT11t DE TOUWNToulon, 2 août.

Tes ci'argeurs et ciai'bonnicrs des quais etentreprises de l'arsenal du port marchand deTeuton se sont mir efl grse. Ils Fielamai1t 2 f r.d'aogtueatatioo, soit ii 1raucs par jour.

AUX tTI?tIEI, FEJtiWVIA!IES

- -- lireat, 2 aOût.tes olivrkrs des atiiLers el C-lieili]nS de fer

dcartementaux du Fimi1stfu' ont dcIard la gm'-ve Leur principale revandie-ation eSt que '1i-(IC1ÏI1Ijlki de vie eIiire- eItoii0 depuis le 1er jiiil-let. ait lia effet r6troaetif li dater du 1er janvier.La plupart ees seevioes seront assurds par uïipersoiinel roulaul, sous ia ptoi8ctto de la en-darmuccie. - -

AU !L1I'11?Le ffctvre, 2 aOût.

L'accord tie principe intervenu ii Paris dansle couliut des dockers a inacluit partout du qu'ilit ti connu, une bonne impression, mais il a'(-tait s pOssible cia «organiser le travail iCrnidLatement. On pense que les opmra1ions deniauntenton 31rient creCd?C ocrinalemeutLuaft, --- - - - - -.

La Pami: est faite

JENT-iL tAIft !Le Conseil tics Cinq icrd daoctietiii itû

ltûuvliau reprsentart des litats-lims. MPo!k siiceèd M. Lansin à la tète ne lad41igat-ion armricaine. Sans douta la pré-s0000 du rriinistre ils affaires tranrC8este1!e réclaine W'asiingJtai au tioiacO toù 50111 S'C'liVFIi' les lints 4{luitils pourl'approbation dii traité de paix. maus docILet18si M. 1>olk aura-t-il l'ava'itai (I (tte

tout- frais inoulu des niilisu: cltricantsafli&u'icaimts, et beatleOLip plus sûr, lIse ccii-smquent, do se trouveï: en eoauiutnaut6cl 1-(i(s ttVe Clix. Mais il n'y . aucune raisonite croire 1111e Itt. Potk aPtII)CtO dc No;v-Yoriciles solulion8 toutes jaites sur es Ii1it cris,ase nombreuses et assez graves, dont te(kunseil suprêeme ima pa r jusqu'ici i

se dmpétrer. -

La pi'eiu&ue, ('I dc toutes la ji1i difficile,. st la IlueStiofI dû J'iuine. (in sttit (jue lejr*sideat- 'ilsoii ayant vaiOEemnentlentt, cIataire luvatoir lino 801111 ion huspirsc de-spriileipes mruim;cs qLi'on a tant-cibrs soitssuri nom, proclama ffiI se ddsintresait etccett afisu t II eI peu oi)a&i! tjn il oi L

tovenil SUC cet-le deisiert, et- M.. i'olh s'abs-.tif'Udta sans(toute tIC prenetrI parti quandelle reviendra en discussion. -

1! n'en est- pas dc iit-me en ce qui con-coi-lie l'ifltCt\'eUtiCiU OR R1188if sur cetteiital ière te prisident \Vilson vie-rIt d'expri-Filet,, par rimie lettre au Snat, son npuuionet ses projets. On ny trouve, à vrai dire,ai1cunt, t1uLestation dc filincht0 rentre lesatteinLe portes par les A1hii au-droit tiespf9ll)1e-s à se gouveinet' eUx-Udts,eS: mais on

I n'y -trouve non iIus alleune tL ces affirria-Lions basard&-s et de ces dmeieea(iomis ù cl-tel lIme lesquelles ou voulut sou'eat lcs jUs-tilici,. F, P1Sid11t Vitsonsc PIaCk' uniqueiecnt- titi l)Oiilt le -ue de ta 1)iOtectiO:I tic- laI igrie transsihériemme, coiiicié coranie in-(lisp ci isahi eil' existcûcr eOtlOflikltie. ja'iiest- riicessaiie de tionuer Le ta itussie e5..ti-rieuse.

Poir ses di1iuts, M. Pohl .i matiilest6 un-vil' inI(ef't m iinc question (le moindre en--

UÏi1 mais c1ui s'est troiv&ia- ptse aup0011hior c-s»im'iI ofi il asitn. Il s'aif mie ha'L'iirace. que l'evenciiq'.le ta Gi'ç, au eltti'i-

eut tic h i P il.. f5 \1 q i 'e, ciait con..voqué à OCt te smanoc', et-, fort longuement, il-d1VeIO)ps4 les acgui-nentsettirso:ogicucs (11(1,t1'i1)1S lui, prouvent qsie la Thrace est in-u paraijie de Ii M'edoine cm lenril p'quoi, et pour finie, ht (Ut 0(5 cotiplet irL1)riliant silo les atrociV's t.ulgaes. Mais la''(_( ord P'' t 1 tt 4i)ii C\fO t P U i tliii Cçus le tic 'q,t -unei i(diii un ni'un lepre i*ioii.-Visiidctcient, M. foik tIit t(i-iraif.Il petsaft peut-irû àSinyrfu.

L'organisation des pioteotoents atlriJjcimsaiix ittions de lLotciito sur fe pays titra-c1is au (lofriaine otLomin a, rmccossare-inerit. Plocetslel beaucoup IC ('Cpr(OP aflttics Etais-Unis. On lifiirmun jdi (jue I'Auii-riqume se rsat'vait Le mandat s ' ie Constn-tinopte cl; tes Bal&ans. On prten4 aijour-cI'liui qu'elle n'accepterait aucun prixtI'Ctro nuhe an e1pcvage etc I'Liiriiagc tue e.Cela ne veut Pas (lice- qucito n'ait pas-d'opi-ition, et peut-fte- sera-t-elk cLisposr te rap-peler ii la pudeur certaitis li-riticrs iroppresss et tr'oj) avides; ---- E'.

ri

L.

La Ve Ouvrière -

Le co SYii1LCCl'51C ji!e1u&iiOialte&da111 a poursuivi lier sas t!'5a&U., Les(ltteS1tOflS ahoeches paj- tes reprc1ts11ls duP0t51'tat I' 01h dcji ICU, ii cause dc leurrave irnport-auec, û les djsc'tissons passion-

11lC'5 dolit i((tS 410 orovc.11s des'oi ccii..lro co11pie tavea les scuis rensest(;mrntstOUtfliS aujCti2d'tiui IIerapluqael1ec1t var lesagoners . ordhiaircs cpi1 eCrtainmeiit Cii ilCna-turent laspeot e-t l'esi'ii. -Nous ru (lÛnnCLOIISles ddtaijs demai, siii la foi de correSjoti-elances plus Si110'Ce5,

EnLES !'OLIGJ?LtIN pI' LON1#R1?9

La situation de ta Police est-li nirne (tUtu -.La gre s'est clavantageûtondue en pr4wiiice. Ily a CII quelques manifestations sans onthonuias-n& nua: aborcc mies hitreaux de police de LOntlremais elles ont ùiC 1»citcnueut di-perses.

La erre cIP155 LES RltILiQ1IKs AMJR144i$S

Te gni'a1 Friara annonce crue les ri;'oiutiwi-naires se sont emparés de diverses positions aira-tCglques. (tans j'est d Honitupas.

Une rvotte e Ochal mga1ement ii l'Ecolc d'or-iilleriç d . Teguc.hge!pa : suivant des nouvelles o!-Ceiciles les tr(u[8s (LU gouvernement ont bstt..iJe g11Ôrnl Gui-lierez. qui s'est rfu 5U1' le ter--ii1uir du Nicaraua. -

AU CAXA»4 -

On tag'aplite (le. Tc'ratci que ec'i'taines Jet-tICS, dont la police s'est cisipacCe ti Vancouver.1driionfon, Celgar et Wirtn-e et qiil ont dOlUs au congrts tes leaders greviulcu tic Wiiinipeg-r6vlent le but- d'un motivenient teintant hihilissemeat duo se-al geaod tradO union des tr.-vaUleurs. Cc mouvement dtit essentic-Ilomentrtvolutionnaire. 11 visaR te organiser t'OiflCUtCtians toutes les 'ilLs et tous les viLlages minCanada et renverser le r.ave1nomneu( du Dorai-Idoit. -

IJELA KL: ?

A La siamiee (lu Conseil central des Ouiiieis,101111 Vtltldiil(Ii apru-micit, e tOnseil gouverne-ineirtal (le La Ji(ttib1ique a d6iaissioimnmt.

Le pouvoir gouvomnemnentj est assunid par ungouvernement pureniiiL 5O0Lalist eoriiposi dc1@priseiitmnts ds syndicats, sous la prlisidemucde M. Julius Ileydel ; le niiIiiat.ro de t'iutm'rieurCSt donne t i. Bayer ; la guerre (I M. Josejilihiasibiieh.

Alt :alrcs (ileangre , M. Peter Âxawton ;ti'ijt;tjûii i>ubliqiie, M. 1L1XiiiIdet (iii1' ; jiisheC, YE.1(arl Caramy . agriculture, M, Josepli 'I'akaea;Ilnancc M. Mlwklis; commerce et iLidustLi(, il.Anton D'uveakJ cavilaiLleiiion M. Frtmntz 5liVl-hlacmfer

ies C1Ii$iliie8

-;aI1c8l. ckûh t 2û octobre, que

iQdiq4ic 1)O le dlecti&isla date la plus rapiwoche qu'il ait escible dadoptec, fIOUl' penniettecIiilisd usqii% la classe ip'. de pr'-part à la consultation nationale et pouia&ma ermips, cespecter les

-

par la loi. Cette ddoision ,,,uif,e, la Commission chi budget clan 'jpossibiIiLi de faire v oter )aP 1

actuelle les nouvelles mesuresla aoliiton des prob1ènies flrianej05 ulen-ipa etc paix sera rcnvovde à la 00U1'Cliarritire. rIt,

i.o d6cret d convocatjoj se'himihiI' (Z Oftioiel s IC 'I octobre: dc ! S(}?ï

derniers ddfliObitiS(lli auront 1- 'tlilI 11e4 sut lç - iimt ()Ur (le, la pi ri i (ttIc virifler et de rc.lamer, au le-mutPlp1mon ur les lislps elcetot alesJe droit. qiir' brie a 4bcnnr la loi Jij jvice 1911E :: ---. - - ' '

L.es maître recovi ïml- cle -nsVile tl'e(t'ocitier le reotitie-atien s chc&

1ittélectorales concernant les dmohpI,5(JU'i la veille mûme des cieotioris.cité doaimo aux élections hgislat 'cs eIlest, aceeptIe par le Paricuxjont,cOtiliflO consequonco foreee l'oedi-de SUCOCSSIOSi Pour les mIeetions teriçja i-idi1QUv4,tlOzïlefmt tics autre.s assenihI05ctectiorms deS conseils irinflielpalix, (1leetiodes conseils dnrnux et

leetinns smomatorjales. Quant à la datdiverses iiletons, la fixation cri est suo.dosiiio deuxconditicm3 : respect tics d.lois Tigaux, achèvement des

- O1)tiCOtipp,avant ta 1-eucuon de l'assemibIie riafjonatpour la nomination du nouveau iiIisiderVlie la Flipiibtiqtie , iltO, COfitne on le saitau 17 janvier 1920.Diret ses combina Lons oiit- mt

en viie de satisfaire à ce-s deux obhiattons.VOici ccillcsqui paraît avoir le plus de chas..ces de prmvaioim- CliilïiitiVelilCllt : EtectiotisuuiriieipnIes 2 itovembre (1er tour) ; 9 no-veenl)ro (2e tour) ; d1ect,ion (les conseitigmmuiraux et d'arrondissement, I d siovenibre(1er toue) ; 2.3 novembre (2e tour ; m1ectinismiatoriaIes. cl3cembre. -

Sans entrer dans les chtaits de dlai,cous Iotrvcis dire nmariniôirms,- quo ces di-toc respetent toutesles presoript-ions li5g*.Les à J'aide d'un sysUuïme tqndant- à faitethievauc-her tes drcrets do convocallou.

Reste la qumsstiori des vacances qni pour,I ont se P odu;"e ci no I-t nm>u I lit t: Imam-

e au e is cii eh s ni' mures de celle-ri seraient ltms smnateurs. il y aura n.eessitate les remplacer à la- Chambre. S'ils sonten petit nomhre, les diecijous dc leurs suc-cesseurs pourront sans inconvénient êtrePOt4deS aprma ta rruriioït de 1'smssenible1 na-lionaic: mais s'ils tt-aient en nonibie I1SSCZ

rmiid lieus UC .ili'Oiitc dt kur succeseul-s à la ChaniI>re put influer SUC le choLdu nouveau prsident de la Bmpuhhique, ideviendrait noessaire de l'aime les IeetionsoornpRmentaii'es avant I't1ccliou du cliiietc lEfat.

L'A'sace ror de sacreSiva.st,c.urg. ----- [.s t'?eusc tiûe a ouci qs

f]eliX 001115 wg&n» tic aucro qui cIevact 6hCrcpaftis {iotmr la fahrk'cttion (lni eofltupes, O1i-ûta accaparOs pa un (lirecteur de banque, t1.11les uepus'sa c un (hiectoup de tiitPrc.

Je umicre, aoholmi pat 41i5 (Ltux coiiprcsraison {I 2 franoS les 100 ldlur, ii Ét-( -55-vendu &5i fraitr. *t

Cette smffairo fsl d'aul-RmiU fins iiC bFUiqiJ'Liiie tiomizairus dc nuroantis \icjimneni (l'eIrear-rtCs .: Sdi1II1&OmlsEj (galemnemit Iou unSdalouse affarc de sucre. -

Mill1a?ÏÛ frt jrniie Jommm'mmot O!ieit Publiera demain un

rtgLernerutsnt La ceprmlscrmtation des films ciniUtograpliiques, Ii J'exccpion des films p15d11laimaI des faits ou des i'ncmiits d'actualiti, 1hOtu tr rCI,reS8flt efl publie si ce titra eoltLIre n'ont - obi-cati le 'isa du ministre de I'!tmueL-ic)n publique et des i)eaux-arts. Cc visa fl1:.etit- cire ac-sordô (ju'apcs avis de la commlssion iiitiIuo titt)rs du ministre de l'iflutrUe'tion publique al. des beaui-aits pourdi tU (1 t OU sIcOat tOS (t des films elk ct CO

('e honte membres 11O111II1iS Jiar ic mInISira. I

à et LAa?7xe AUTO ECRI1EE P IIi UN TR-41Y

M. licou Goeperl leu, 8gie de 28 ails,unit tSar-suc-Aube. oui iaiiciiissait en iit

niobiI I passage û nIvcau de BoIone, dOharrire (tait oui'erte, a jtm tamponn(m par1oromotirmc. CueptOit ri tlii tum sur le cOUPvoilure a it enlièrenient dtruile.

U? Tfl llfIiL !L'D1I1DA?'?T I raILLELe tiailre (eorges Debrahant, coadamuC S I1101

In niai deriicr par le c coaei3 doclt fusiliÔ ce i-natta au polygone de

hliveiIl tin tu avant !ro houle",s cd liabmll6 rapideienl et, aeompagiiÔ decendarmes, est inont dans une automOl'1pu'o, qui l'a conduit dc la prison (C 1i S5

L \ineenucs. Aprls la r:ipide fojriia1it' de omise du romidamural à I'autoIt mititaile, ('cour du donjon, Debrabarit n O(( coIlL1 'Gaponniie, nttarlm au poteau cl û U

tinibait f.dppd de (tomso baltes. -

le patient n'a Iai \'oir atiCu'iE i1101l0

i;'i ai.oi:iiux z1CCSE ICeorges Teamontes figmi (le 4 aII, '5%i

ZIIJLS cl soldat, lot. qu'il s'eiiga L CII

u1iat tics Imos!itlls. Jnce.'porm SU 261( de I'bhe-' comme acijiirlar't, il et r1for1ii enJ mmnciiatenum'nt, ml i engi'e'a ail dIe (t nln'1 et'cp'I" Sitipif' 'Itlit. Iticus pouauii1°'t' F0au-;1 l'hiver 1!dC', rm[olrnm-, il mengagea 0C

Si(nC foi- au 2ie colonial. l,'ai'mistiCe le l,jen Orient, ati moment oit ii at1it trC

olu-IiOut0fl1flt. c1ll'._A son retour en Fennec, il entra con1mq;jr,

rOjjltflt aU (diC'fflifl dc,. fer de l'Etat. Le 28 ftdernier, surprenant deux cambrioleurs,un Poteaux, Il leur cria : c 11au les m01Lnn des ermmnbr!oteurs tIoflhlfli5 TI1tbilUut, Undre(15113 les jambes tin colis qu'il yflit 40et esaa de fuir. Tramoutôs fit feu et le

'oilImer, cc glorieux sollat dcor4 mie la t1

guerre et dc la m6tlaiLle militaire, proP°la Ligion d'honneur, se tirISentalt dea1 JC8conseil de guerre-, prel(R par leAprès une excellente plaidoIrie del'entame, Ocoiles TramontS n ae'

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