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SIXIBME ANNEE. N. 15128 met augur ADMINISTRATION & REDACTION BB, Rue Roquelaine THEHHHISE neismmusmorsrm o 43 rcrolnUt 5 fr. 10fr. 20 fr. êtranger 00. 18 CL 36 fr. GARD. Maser, testa, eguittMus-onrattraves 00a,comiz6,CoMIAL, LOT-ET-GA..1:e, G 1.0T,11AuTes-pyRÉN BASses-1,TRÊNÉRS, DES, TARN-ST-GARoNNE, Aune, ARIÊGE, TARN, NAuTs-oARoNNE, TouLOuse impasse! mettre les Chambres en .présen- fait accompli, M. Barthou, pre- h, Coneeil, ministre de publique, par mesure de pru- ..autorisant de l'article 33 de la is.05, a annoncé, à Caen, 1:inten- e, lm gouvernement de maintenir ,ne les drapeaux leu soldats de l'a,- . - active qui devaient être libérés 11,11e. Ho nous surprend point. Il falt à re coup de force. Dès ' s'y est, trompé ; le mi- ] ,cidé. ii panser Outre à élances, à ign,rer mea u tenir pour nulles les 0rnlen en gr,d parti., à mes. isec des génit@ux Pédoya, Eerein, André. Tournier. Mc..., à renier Utellcre du ,parli républicain tout en- Lier et, avec un entêtement aveugle, à marober à la remorque des nationalis- te, des reetallin.gistes, contre le bon- :Sorts dI le pays qui. Mut entier dressé, criait n Prenez garde ! Il devant être cérat si à M. Barthou do Mule dans l'impopularité et de ir0HriP dans le ridicule. Même en po- Htiquo il est dos châtiments qui s'exer- cent. L'Heu-e sonne toujours qui met fin .aux culnédies et sanctionne les ca- pitula/ie.. Quelque désinvoltes qu'ils Mient. et Midgicieux et habiles, il est des limites imposées aux polliticiem 'qui lie ne peuvent dépasser, sur les- quelles ils s'achèvent vaincus ! Vain- cus et méprisés ! Laissez-moi, admirer Briand. cette splendide et remarquable intelligence pétrie (Laite la boue, grandis dans le cynisme. li du' selavoir la triste gloire ser,ir de chef, d'être adulé pur ceux qu'il fustigea le plus. Ne cherchons pas à savoir à quel moment il fut sincère, prob.blonient jamais, et nous le sa- ViOn, angdi capable de briser les .che- minoi, que les netionnadres des Cem- pa»..i. s. prêt à Mut, même à laisser' à Ba Mima, par un eandon de pouvoir remarquable ut .fort remarqué, tout h Met dit. qui s'attachera ft l'Homme des trois ares ! Briand .da pois vvmtl é être cet hom- me:11 S'est retiré devant le Sénat.. Et cone:mot ? superbe, élégant, supérieur, se enageant pour demain la direction dia gouvernement qu'il laissait, à cette heure critique, à ceux qui le prennent toujours, qoe soit aveu Méline ou uses Olemenceau! Il dlait trop clairvoyant pour no pas deviner la stemisfarlion populaire ;il savait que nous n'en resleriOns pots que rions discuterions, que nous mot- trions de notre .ceté. contre les mgre- SUS et les patriotes d'affaires, les pay- iwhs, les otecriers, les teavailleum, eu Mot, tout le monde de la prodUc- On qui veut la paix, toute la paix, Md- C`dd à chaque instant. Et il est parti. 1h a palissé Barthou e avant. A lui les coups... Et la chute. Car, quoiqu',ue en dise, la toi de trois S ne peut élue aceeptée. On ne as coque pas ainsi de l'opinion. 1.2). qUoi 'foute Ensuivre republiCaine M pénible- ment édifiée Serait jetée à bas ! Un ne.- tiunalisme mercantile et intéressé cuis- . duirsit le pays, contre son gré, I dms Erra que le pays ne veut pas admettre ? E oc' peignee de brigands avides peur- . Paient mettre la patrie aux enchères et le peuples à Telles!, ? les (legses laborieuses, les remneurs de lente comnie les appelle si esrei- louinenrit aussi lem quo Ms ouvriers des cités qui, dans les réunions que nous donnons s'indignent :0, noire propre indignation, unissent leurs .protestations aux nôtres, tout ce ,nonde qui constitue la France, la seule tele noies rtididtts connaître e celle du Travail ! tout ce monde ne compterait Pas ? E serait tenu pour nen ? Son //minier pour nulle ? Sa volonté pour no caprice, son geste pote inconscient, ',die, irréfléchi ? flatte-là, messieurs ! Et en avant noms ! Il no faut pas quo la loi mit ao- Ihi. Le pays n'en veut pas. Et si, d'a- wmtero. M. Barihou trouvait une ma- - berite aseez veule pour le osiers, tant tie, nuire revanche ne serait pas loir, t'Ems electione législatives auront lieu nt na an, en 1914, à cent ans de ré- Pepe oit Nupol,son. i Ilhampatilierl, à illentlnitosil, à Vauchsnip, conduise à 'a victoire des arinées improvisées oomposées presque ,,rifauts Les trois ans fo' dst l'entrée de d4pIsles socteiti o la Chambre t Men la réponse pays au dei de u. Pals1 Deschanel, .; d mi cien, hoat-- ; du inemd.e dém., et patriote à la e'ttlt de M. itienne Emile BARDIES. ÉCEOS coNci,c7sIoNs dont le ,plaidover paraissait trop cause gin défendait, avait reral lent d'abréger ; mais, sans ie. re- ,rél,ondit d:tin ton ferme que trad ce t, °suerai, enfin le faire ta n'. /ui ordsge de conclure. avocat, je conclus à ce MONTREZ-EN Ai f' 1.51T Da s le normé de Kant était un rendez-vous de en mm ,sès renommé, aralfmiellara d lori lai- ',. Nombreux étaient les chasseurs invités. Mais, un jour, s'invita lui-même un riche bou- lange du pays. De quel droit mivez-vous ma chasse ; vous ai-je done invité ? lof demanda, Maptainement, le lo Savez-vous, lui répondit le boulanger, que mes erres me font des rentes égales aux vo- tres ; et sas-ce-vous, surtout, que ces terres ne doive t rien à personne ? Tels sont les titres gra m uivre votre claasse. Et, encore, qifu'r' eapenis'eZ'-vols is de ceci ? Regardez. Ef il tirait de sa poche la factum acquittée de son tailleur, disant Montrez-moi done la vôtre, s'il vous plaît. efft mo,Lté innar rtie mcedenaraimuo mn- entait brabis étaient ses dettes. LA BELLIl-MilRE EPOUVANTAIL A rencontre des ifinks suffragettes d'Angle- terre nos concitoyennes discutent dg leur sort avicc.le souri, s'il faut en juger pay Mlle Jo- séphine Mourot, ét,udiante qn lettres, de faire ram conference dei une solin d venue Ledru-Rollin, sur les jeunes h.iles Au tours de sa conférence, ylee .12,61rainc lounot a fait, notamment, cette dee/arab-on amu mime L'ennemie, dans les préliminaires do ma- riage, c'est la mère I C'est elle qui fait fuir les 'E t. quand chacun fut revenu de surprise, elle ajouta Pour une jeune file qui veut sq marier, le chaperon idéal, c'est Pana! Lui, f déade soupirants timides et les attire, au besoin dans nos filets. Le petit dieu malin veuille que l'aimable con- férenciers ne regrette. pas ses pa,oles plus tard- quand elle aura une fille ! *** AMPH11301,0GIE Un certain Laravain, condamné déjà quinze fois pour °tirages et rébellion, faisait appel, ces jours-ei, ,k la quinzième condamnation. Vous avez dit a Lâche s Pageot. Vous raye, insulté. Mais mn, j'ai dit e Lâche ! riposta Inauwain. Mais cela voulait dire : i. Lâche- Moi s, Mnis on ne voulut pas moire Lamait-g et la Cour confirai, l'arrêt. L'ACE DU soLen, Lra PhYsicien, M. Robe, Bali, affirme que scs calculs in ont indiqué quatoree niiuiaum d'an- nées comme durée probable du soleil. Or, quatre millions d'années sont déjà der- rière nous ; il ne resterait donc plus aux hom- mes que dis mi frusteck fois douze moi O con- templer l'astre du jour. Cest encore un terme assez consolant. QUELQUES pewsEes. D'im journal d'autrefois nous sommes en '85o extrayons ces quelques nensees du 4>le rituel ehroniqueur et directeur de théâtre, Nestir Requenlan On peut avoir be.sin d'un plus puissant C ue sra. Deux /nankins infaillibles de se brouiller avec un ami priter dol'argent; lui priuicr que ss femme 15 trompe. La mauvaise foi est l'ame du là discussion. Jadis vieillis était ms art; antourirhul ce West plus qu'un malheur. Lel ollcuplionsocialenso orguis Neufs extrayons de l'ouvrage capital d'II.- tor rs...uis sur les syslétues économiques et so- cialisteS, le passage suivant qui nous parait. au- tant mei/ est poesible de le fairc eu quelques lignes, mimer une idem user,. précése des con- ceptions sociales d'Hector Denis, /e regretté sa- vain, sooladiste Tout. les oisminatione témoignent que le développement intelicetuel,' moral, esthéti- que des Sociétés, est suborekimtus ii leurs cmalitio. économiques Ir, fonetiernn éCo- tionuquee prennent, dam..I.Eme collectif ta même place que I. feulions de la vie or- ganique chre f imlividat et, minime ducs l'in- dividu, liement en Jour indepemlauce toute asti spirituelle d. Sociétés On verra que les Physiecrato-o maien. prépane Ia contep- Dun OrtgetMerSe de la hoemb, A. Comte, Lite. tré, par la distinction de Condm temporel- et 'le l'entre mirai.. Ch, IMnoyer par celte Me trayaits, appliquée aux ellosee el aux homin., ont, réellemont eiensporté dans la Sociologie :1a division .le Bithat entre la vie éconoinique et le vie in.tenecluelle, esthéti- que, morale, La distinction devient Muset- te et plus profonde avee H. Spencer, A. Schafne. et marne la subordination des Mien:menae de richesse. Schafflo marqué l'analogie du double mou- vement crassuniladion er de desaseirnifation dont les On0alliW1u,9 inalividoete sont le sié- gé, et des deux /hue. eu neuv.eneent social Or la riche..., subqtance idlerceedaire dal corme social; la ptrase progreseive : coesmn- menton de la richesse, reproduction de l'es- nées humaine; cet échange social, de matière et do torse est pour lm, la condition du dé- vel.P.Meet spirituel des ...et. Schee- .14 és Itontat eine meononlie sociale déter- mine 1. conditions de la vie monte, de la cuitasse, de In eiyilisation. L'unité de la pensée humaine est, telle que maigre les profondes divergences des systèmes la mê- me lai de sunardination se révèle dams ton- tesees Mohs, ciel la peau:'s dominante de Macle. de' se publieation cle la ii Critique de Fleconomie politique » (1859), quo tontes les manifestations. supérieur. le l'activité so- ciale sont euboedonnees aux formes de la prodUal01, Le « Capital » n'est à ses yeux /pinne illuetration de cette Loi. Proud'hon eu.beedonne aux eonditlom mie Eérjunlitee /borie/ligue lente l'évolutimi du droit privé et public (1862). . Dès lors, à MOsume que celte embundirtation nutureMe se révétera mime. la Science se pseeecupere davantage de eégler les mn/Li- ta)sa de la vie Mortorniq.ue, de maniéré à taise participer plue langemeni totro los mentbre.s de la eonmunaute 3 lu nie supé- rieure d. l'huamnité. Une eneesnumie foetal- e. fermée, qui ne . proposerait d'autre objet que la produ.ction et gemmule ion des rich.., ne répand pas olus à l'étai devancement de la Seinen.. qa aux beeoies de mare époqee et aux aspire:o. populai. rra' il faut mi elle cherche sa véritable ./ fin au dehom. au.dege. » do La a...sidération do richesse elbo-nalme, does ta m.idéra- tion même de "homme social, c'est-à-due riens la Sociologie. C'est Slfalb que hi répar- Itition dru richesses- devient le len/Même le 'plus redoutable, le plue «blâme, parte qu'n- ne juste reps...titiues dm riels..es rot te sena moyen de faise participes le plis grand nombee à la vie supérieure de l'humanité. CIAL, \S"Tr4` Pe'l Metxoun RAOUL LAFAGETTE Notre journal a signalé, en chronique Mésie, la more de Raoul ',tagette, dératé à Foix où il a été sépulturé le go avril, mais le Midi Socia- liste sc doit de saluer autrement /a disparition d'un homnie qui fut un beau poète et un libre esprit. Coriéquent avec le, idées rectrices de sa vie, le poète des Aurores a voulu être enseveli d...13 la bonne terre natale, éans aucune mani- festation confessionnelle. Raoul Lafayette naquit à Foix en 184, A rà, d'homme il passa qudques années à Paris, où il fit de l'opposition à eltrnpite. Son volume de début Les Chants dan Montagnard 0869) IM remarqué par George Sand. Lafagetie ne fut pas seulement un républicain, mais un large es- prit, un citoyen aux idées avancées, ennemi de l'oppression et de tout obscurantisme. Au Heu Us bouter en usance le calendrier courant, il ne manquait pas de dater ses pièces selon la mode révolutionnaire tel an de la République, tel mois de messidor ou de frimaire ; ce n'est qu'un détail, mais il est symptomatique Lcs vers suivants décachette te lempérament e l'attitude de Raoul Lafagette e pouvais, étouf fard en moi tout noble feu, Tirer, comme l'on dit, mon fpingle du jeu Je Pouvais, possédant de guai manger ei boire, Feindee de respecter le Frei, ri son eiboi.e... Li, scepliaue Honoré, jadr dams mon domaine, Secs so,. des tyrans et de la foule humaine ; Pouvais voltiger, picorer 10e pouvais Exploiter les naïfs, ménoner les mauvais. Pauthgmene è Tabarin dit sue j'ai la berlue, Mani fcite famille et de 5e mate élue, .gens efforts, par droit de naissance aPeté ,4 prendre nana d'oisif dans l'OlYmPe D'aVoir leidellICItl opté pour la Canait?, La production poétique de Lafagette est assez considérable. Fors Les Chants d'un Montagnard que j'ai signa/és amont, d est encore fauteur des volumes séquents : Mélodies Miennes hors). Réédité en 1883. Les Accalmies (187é). Réé- dite en 1881. 01cc A441.01,'S (1680). Pies et Vallées (1085). Les Cent Sonnets (Me). Les Voix du Soir (189,), ouvrage qui parut en- semble/tint en édition de luxe in-e et cn edi- tion ordinaire ind8. L'Am/anche, poème dit par l'auteur an rhaillre de Foix, le as février 1895, au bénéfice des sonstres de la Hame-Artege. Symphenks Pyrénéennes (1897). La Grande Lorraine (1903), dram historique en cinq actes. En prose, Lafagette publia La Poesie, passé, SOI, présent, son avenir 08071, dem: bro- chures de polémique, La Renaissance Romane (i90) et Les Visées du Félge 00e, et meme nne brochure entièrement politique, La Réforme Eleetorale Dom). Lafagettc aima toujoum fidèlement son PMm natal, il n'oublia oncques ses belles Pyrénées.; son premier volume Les Chands d'un :Nom.- gnerd célébrait leur gloire. Ores qu'il habitait P,ris, le gaulaient du poéte était de revenir aux montagnes ancutrales : se; m'enfoncer dans les rets Et les bau, pour fuir lu torture Du carme humain éPuldettes el -froc., '1. Que je plonge en pleine nature I 0 nature t je suie tan plus fid.,le enfant ; Coinmee en mes première années, Je me sens fermv et pur sur ton sein triongloard, Salut ! saumure Pyrénées. Voze ne ;n'oc, iLLIIIMS rie» presc,Û que de fvmed Quand fr ane rue ou nie redresse, lion-ornaed est un pic et ma fougue un lorfflent.; ign'ore toute tache adresse. Que valets el dévots s'écorchent tes genoux Dans les Crasses et les prières lamais ni rois ni dic,, n'obtiendront ça de mus, Titans de granit, mes frérot rai bien haut, au-dessus des rhes et des mors, Maintenu mon anie indmeptable, iEs je re-,iens vers .antis sans tache et més re- [m,ords... Lafayette quitta Fuels de boune htam pour rentrer dans ses chères montagnes, a Foix, se boer définitivement dans la ville où il était né. On peut remarquer qu'à partir de fRog la pro- duction du .poéte ,e ralentit. C'est que de retour à Fois il se laissa prendre peu a peu par la politique active, à laquee il se livra de plus en plus, En 1.891 il avait publié un volmne t'Aube aux Ténèbres, qui groupait un choix de ses vers parus de 1869 à 1891. Fidéle du pays natal, régionaliste fervent, Raoul ',tagette me comprit pas très exacktnent h, mouvement felibrécn. Comme il voyait des félibres marquants professer des idées de réac- tion, le vieux libertaire qu'était le poète fit subir à une doctrine au-dessus de toute politique, à une tendance racique et traditionnistc, je n'écris point traditionaliste, la conséquence de ses mé- fiances républicaines. Chaque félibre a Ic droit et la liberté d'avoir ses opinions religieuses et politiques, mai, l'action felibréenne, le Félibrige, reste, par sa nature, son essence mérnes en de- hors de la religion et de la politique il con- cilie Inc convictions personnelles les plus dia- métralement opposées, d'accord sur un commun but occitan Lafagette publia en !Si» La Renaissait, Ro- mane qui souleva des polémiques. Il revint sur I, question félibréenne, en 1896, dans Les Visées mIne Fdlibrige. Cette dernière brotture fut sus- citée par la demande de rEseolo Pariseneo du Fénbrige, dont je fus Mn des fondateurs. Nous redan/Mas l'enseignement do l'occitan à l'école. La fagette trouvait excellent l'enseignement de l'histoire lodele et régional, mais quant à celui de la langue occitane c'était une autre affaire. li voyait daa ce postulat des visées séparatistes. S'il existe quelques félibres séparatistes, trop rares, hélas ! il est aussi injuste et illogique que bizarre de voir une menace dans Un e.t mite procédé d'enseignement Lalagette n avait pas le droit de trouver mauvais dans la ,Mdago. gus linguistique ce qu'il estimait bon dans la pédagogie historique. Il est fâcheux de constater na en arrive un homme supérieur, lorsque il est aveuglé par le parti-pris. Laiagette reprochait au. félibres de demander aux pouvoir, pnblics de décréter renseignement occitan à réeok. A ui donc voulait-il qu'on s'adrestat pour mi en- seignement rekvant 0, ['Etat, et particulièrement Use gens qui n'ayant nullement des idées sélm- ratistes ne pouvaient qu'envisager l'Etat dont faisaient partie eh1 reprochait égaiement à roc chan de détre ne,,, lanyue, MU,, prétend,. qu'on ne parle pas partent un idiome identique et ou'il y a de Miennes dialectales, comme s'il n'en était pas de même dant toutes les lan- gues; antiques ou modernes, gr, latin, alsacien ou breton, comme Si partout. en ormandie io,n Picardie, il n'existait t'a, des différence, selon et de, variations légères parfois do village à village ? Il faut convenir que les arguments de Lam,. gette étaient assca enfantins. puisque je rue tem, garder de rincréper de "toue "n foi. Mais j'ai dos raison. pour croire que, dans les dernier, temps de sa vie. Il en etait venu appréciation de l'idée félibre,. ,,,,t m,, me à Pépoque des dim.. /inguistique, mn uvre méme résultat que 10 nid, estoC t p. un tu,. .i:ut devant Poète et de ce.., Ocuitt Du OM&ICi(LPAiIuEi.R0MIiNT rlISTOIRE VRAIE L'Histoire d'un chien Il est. quelquefois, bien difficile d'inter.- o.' le /beteg par 1eu histoires que ion vente alose que la vie si féconde en en- mig'nemente peut fournir ment de quoi alimmler 1m chroniques les $,,me diverses de /a fentes.. Quand il. s'agit ditistoide, drnien tout va bien. Mais il arrive parfois que les faits suent si liions- tnumix qu'On épreuve oomme mi regret pei- gnant de nes pas lee avOir inventée. (tete que je vais expemes ammtionnent à relia' caté- gorie et je yess assoie me quand voue on mets prta rouauissatme. al ayl'elleeileCseed: ri -- solidaires des êtres humaiuo qui les emserresUrent. 1i étaie une fois ime famille pauvre com- posée drus pense à demi valide dene nese amimie et de cinq petits,ufaests. Le père lima :liait de Min m loin quand son état 4e santé ie permettait. Les enfante oritendaimt, à brr reaeon, tele Melun', qui leur paraiemit encore copieuse quand rite était maigre. EL !a mère se faiseil genduiee par un chien. Je Mesagene paie en dee ter.. yr.. lairelltent mele el. froids. IL e.s.t si périlleux, pour rinieret dem histoire Mame, de l'en- veloppe' de noneklératime et. de fioritures qui risque/ni dee cainpronnetre la simple et tragique elioq.nce. Le chien dont il s'agit était gin cnien sate et de valeur. Mais cela ne, comme dit l'autre, aucune cqpIte r d'immolai« peur la oune.bas qu'il convient de tirer don faits que je vous mimets. Et, ii s'agirait den vul- gaire calmi de deux :sous que. jo n'eu chan- gerais pas une ligne. La «ne. meure. Le ellen devisa une charge Male je me suie trompé en ne pas le comprenant jusqu'ici parmi les menbres Or le famille. Et le geste des enfants pou peu grandis ctio COUVai,I1C de celte es- rem.. .Welters, PM erfet, se fument debanss- ses d'une bouche démenais i,anb.ir d'au- tant plue que la valeur du Mutuel ont été d° nature la lems faire escompter un profin. inespéré: Eux, la gave-tome, car Os s'étaient attachée profane/ment DII pauvre bê- te qui fallu cornpagne fidele do leur mèrs et qui, ni souvent Partagea la dil.tresse si/e esure joues se. pain. C'est si bon ch berlue vuus.compreted et qui voue airne Et qui vous regarde de me grandis yeux af- ei plafonds crut éloq.nte ! La misere que ftern partage en/seinen( est en partie attentnée, En jour que le Mien errail, le» Preneur de ciliée,. passa_ Et bu désolatiorv fut iMmense, no unie au foyer de misère, quiaid apsés des amimie-1ms tkit,êndris26 la maisonnée se convainquit du de recheratme no/aidées. Pauvre toutou t Jamais sa plate ne parut pkus grun- de en Le morne pain que depuis lem hei- r. ilsoulotanuses où d ne l'oecupaii plus. I.es gen.s qui n'ana-met pae lee bêtes ne peuvent p." us reedee compte de' cola. Et ountamde ruenee.qui fun itialenl ne savent pan teutitior, die qUele ferveur la temdr.m hu- maine peut tee enveloppes, quand à, la ra- viser de mi/aines cire/estasses eilas en mont enlevéss à faire partis MW-entité du foyer. Berne, 12 mai. Les teegrarnmes que vous ayrds reçus dounma une idée bien iinparfaite mIe /a con- férence. Et ahlitle serst, lettre vous dira Ko de glume. Il faut avoir assisté à cette remmates pour en connaître toute la beau- tu. et on ressentis toute Demotion qui s en degage.. Catholiques, radicaux et eocleistuc alto- mandn Vei9lnata. et causant cordiatenein aven ie. radicaux et l'a fran- çais tous unis pie la noble idée de sag.se el de paix nitadiale t c'était vraiment ré- confortont. Et ce sont, des acclainalims en- thousi.les qui ont accueilli le procès de la spéculation ela,uv i.n0 fait avm une forte emmener par les citoyens Oreulieh et Ca- bal de Berne. Deq dis..na de ceux-oi vous aveu reçu et sana doute publié de larges extraits, mais le fait eus remit je yeux in- sieter et voue donner do, détails, c'est Pin- tervention de Bebel. Bebel à la Tribune Voie, ml te,, do ms nem, °mou- vantes qui m. se préau:mie nue J000 les grands ot nobles miniiistationi humaine. pnésident vioni dire Wise bat fugue Belei da parole eut à Auguste Mine. Le « vies hou » mienne t'appel- font familièrement nO9 camarades atiomands nemito les &noèq de ta tribune Don applau- diesemente unanimes &Matent Bebel se di- rige vers M. dDefounnelles de Cimstant, et I... ...sema, les deux hommes s'étreignent dation. monte, el mise esprit, b lens Ave, SOUVtaie el, farte de ../... de la guelfe tie 1871, ia loi do /a guerre !mye pour cetie 51 li- datvonis Se fortifiera leurre Bebel, rappelant ...mimera comme la . emelt mien armements. à l'origine comme il m lo coniferemo pré- ndei. api/avait con/- dation et d'action con- ému 'calme emlin et Bebel de I allemande, sans md- d'exprimor t.hxt ..ox aux Initia- tt ,..ited dont on. et mim les ..éneor.lque que .eàles Un .pole, bien vag., demeurait. Lon s'3. ormnponea. Quand rainettes enfants fut arrive, tout esmuttle et IJsel/tala de crainte au Miel Ors chiens teouves une grande satisfac- tion nansérêna mn Toutou était là. vivant, bien vivan.t, BI alois, riest-ce pas, on alliait le lei. neadve pulasiel r ctielainalt? Le gardien toisa le mioche. II le va mal- heureux et. elépenaildê. Son vimge se fit h im foie ironique et important. Car remar- quez bien les gardiens, es général. Nue essieux qeee. ine sait, d'un coup dkeil. ra- pide diagnostiques le rang social de qui est appelé à lette parler. Parce qu'ils se sont faits une Ligne inflexible de conduite de ne juger les gens que sur /bene apparence clos cette façon de voir ne les lrotnpe jamais. Té- moin celui qui, au salon ele la Nate/nate, re- fusa rennes as peintre Pelez. membre du jury, qui n'avait ni gante ni gibus. .11, vous demande un pou s'il y a quelque raison pour que vous myes grand artiste, Si vous ne jus- tifiez pas de votre mnbriorité en vote pa- rant dt's attributs les plus élemeeLsises de lu biermence !Et puis., Ail fallait, pond elre dams veuf, fouiller Pâme de tout le n.ontle quelo mat les inertele -non docteurs. ès PIO- saigne/mollie, qui voudraient du métier de gardien 1 La sinsplicilé est, en touL la plus bette de.> rets.. Et, pour la catégorie de citoyen qui nous occupe il importe avent lotit d'es- eerver lebeelquiosiel In plus ploie vis-à-vis du bourgeois bien mie tout en réservent son insolence pelle teo vaqui-piede. eoyermant qiioi tout est ban, gandion feus le mioche et daigna lui Donnia-moleing francs. dite donnerais fon chi.. Panes que vous en instruire ? les chiene capturés sont logée a la belle eterIc et nourris de pain afe. Cinq finuce !l'exigence était forimidaee give le gosse ce sourit. croyant h une Plu,- samterie. Mais il lui fallut se rendre à Peva- denee. Ging. Douce ou pas de chien tel était le dilemme dans son impitoyable sim- pbicid, Le malheureux ne perdit pae une manne ,Lant a lui 1.411,11, impossible d'obtenir de la channe du pa.ant I. mut so00 qu'on cri- gsail. Le bon bourgeoin ventripotent donne quelquefee cinq centimes pour du paie. Mais alleu dote /Fe maieiter pour to itioe dam chien et vous me donne.nu des einovelios de es lecePlion L'enfant mania b la mairie. Et tont ce qu'il pal obtenir la, e.i que-tamise à mort. de Teuton Mt Méfie. do quaratite-lesit Mme.. De la mairie tout rouble dangotsee de fat Mao nati t Am fut 01m Ligue p ro- teetrite elememiemen. La arasa:Mate de cette aseociati.a se mit es/ campagne, faisant, à rebours le °hennis déjà paremett par le joune mRicileue la mairie d'abord. M dé- pôt ensuite. nais quand on arriva avec, mi mann, la pièce .bleuelle libératrice bien que le délai de qua.ren.buit Mess ne fut pas encore écoole la mort aven fait mn ceuvre, ImpiLoyablemsni cyni- quement fboidem.1, Toutou avait été tué".. Ces faits se sont elocoment m.is dans un,grunde istednerramenne. Et, devant reantoit desibeutiesemi. mus dee appasemes htlnleinee, eint chaegeee d'un sr-,vice abieloier de Testes no ....mas attriste pae G.rgesVAILOY. où eLle9 Merdent tes voies et les nut.ens eSqUel9 elles atteindront dans un voisinage paci- fique une entente amicale. (Vifs applaudisse- ments.) tet,e enfer.. élan Mdisne.able, ves approbations.) et le monde enute,r Il rérota- (Applatukssements réndlês.I li y à 42 ans que 'le imbi ils Franetert, a e:14 siene. DanS 9012 IntroducliOn, r, prooiasne la paii perpétuebe. Mals l'encre n'eu était pas encore séchée que FMI savait que cette paix serait one ressounce inta- risoutite de nouvelles complications et de ROU- seaux malantes. Mrés bien, très bien.) Ce traité a apponté a In FKine-C, à rAllemaghe, I toms l'Europe 41 an, de conflit, de médance et en:moments incessanZ.1.qu'éa duntner toruildable effort Que taneen.Plos peine supportes. (Ni. apirmadissemoras.) Celte situation a pimeoque 1,e er, nec relu. d. peuples Quand donc cela tIntra-t-il Le réponse à mie quetttoo cent Conféreng, de Ber.. Noue aavo. que aous avons une male Mem à accointais sur une grande P. de nos concitoyens doutent encOre 'du «tteet, nen, entreprise et d'autres nenthreux désirent que nous ne réussissions Pa, Panne ifillts mi sueinnl. éprouves. Num: fée., tout Win de décevoir cette attente. No. savons que l'Immense majorité du Kurde sud nus travaux avec le plein este!). eijim laNseront un commeurternent d'erndliorotion. !Vifs applatult-ssements ) None reprémomns la vette, In justice. l'huaiatatté../0 paix et le bien- être d. tenu.. ,n11. sommes egeS ,egte idées ennqueermn imtnie Gmx qui aujourd'hui n tt:tsinn de nous retrouver. ".pp,a o 114,,,Men,,, ru avant t Oo.,smnua prolonyées.I Un Radical Allemand LS par. est [11M/terme à 11. ssiuten qui esi l'un des chefs du parti radiml ert Allemagne. La ligure .,1 pcm,Lânt. d'une voix bien timbrée fuies i! .vomoie d'abord le émaciée° offleiel de la délégation qu'il rem- plit Nous anmi. dit-il, meninson du groupe re- dirai On, Reichstag qui a invite me membres venir b Berne, nuusu sommes hettneux d' e- tre venus do l'Allemagne du Nord, du S114 et de l'Ale«. Nous serions vomis plue num- breux encore eans les ékehom 0. Eaml- Mg prussien qui ont lieu vendredi pro- chain. Et hl. Hauesmann se rétinite que gen mi- Legues. membres du Narew de son para, M. von Payer et Muellembleiningen, aient aftIrmé leur aweobatim eMe lees Dee.- ..ales de la Ceaférenoe de Beene. La conférence a été utile pour se mimes conmatre, dit M. Hall...« Pet freinent Et il conclut, en français emee.. plaudi.ements chaleureux dé tgu revr.sSis houe nous chemin. i AprèS ce discof L. Meu g il. sent P e pour s'eniel eittet,,puis.. la réunion la [eau° do cette motions MARDI 13 MAI (913 ÉRfFIONS ftEDDMILES La Motion d'Entente . . - . Il, Ems/socles de Constant, prsê,,,W,at, ,:..1tIrë de ui mDation ,ivantet Léé par les délégations française et a La première conférence parlers/m. mires françaiD et all :1.J-, réunie à B.ume. ès 14 moi 1610 répudie endeuquemeni I, solidarité dams les détestablym canes deacitaiions chauvines <le tout. sm. coupables spéeuiatio. qui menace. deux côtes te la frontibre, d'égarer s sens el le patriotieme des populatiom. applaudissements.) Elle mit et elle pers que les drus paye, dies Mur .immense, ivals- rué, sont fermement attachée b la paix, con- dition absolue de tout Dromes. (Applaudis- sements). Eile s'engage à une action tamile. ,aide pour dissiper lm maleetend., pré.e sir les confliti et die remercie de tout coeur le, reprêeAn.1,141i, de l'Almee-Losealne si avoir forci ii, par leurs nobles deelaratiose votées à l'umanimib,, raPPrOnbentaut des deux pays piUr o2UNre etalltne de coi. oilitation. (Vifs applanesmineoLsi. Elle invite see membrou b faire loue lrs efforts pour amener les mtuvernoments des granden pui.mee-s à nioderes Mure dép.. ms envoles et militais.. « La Confias.r appuie chaleurousemmt là propoeition de M. Dry.c secrétaire ellEtat uns Lauons'.Dofs, robotise ans tuai 10v d'oslo- pommaient s'élever entre les deux pass qUi ne sen-aient pas réglés porta voie eiPlo- antique mient déférée h l'arbitrage de la (Tnes bien 1) et MM compte sari ms .menibree pour engager fa me canasse malien énengique et mutent.. (Trks biee u Elle estime qu'un rapppochen.l Or la France et do FMI/magne facilitera l'ent.vhe dee deux gramls grounemeMq eivrotn`mn, préparera par lb lgtebilemustet durable de la peint Elle décide que son bureau sera constitue en canal& permaneet. (Appt:sud.- mine.). Il Se erdoplétera par cooptation dans les doux parys. Mie leur donne mandat de convoquer périodiquement la Conférer« ou de la réunir d-u-sgeollie mm los circonstan- ces là.igmient. (Applaudi...nies et bra- vos). » Le député Haaye, second pridell,t, Ut la même déclaration en allennent Les dem pré.idents mnnusenl lee Fronçai, et les Aide- mande à se lever en signe dapPeolnition Toute la salle 98 Lem en applaudissant. M. mes donne rmel.-VO. une; seconde cons nécrose a:Quelles de. Cmstme mie Jo La Conference est close. LE COMIRÈS BE LA MIL Diej i3 IL ADOPTE UNE RESOIETION CO.NTRE LE PROJET DE TROIS ANS Le Lu, rus a continué, dans les d.da /mem de journée, le &net test. largement la vielle celai. le lei de eaction que le gouvernement mut intri.e- Sf. r b la deritematie. la reseluti 011 p"«.e et fe.emefill il a adoptée a noue elle la fano cç des ciaquante mille de Pen. sée libre. qui eemposent, !a Ligue, et dont un grand marbm oul une hasté reitiere inteliectuene. Ouserte mec Io même bureau. enas in présidence du eitoyen Bayful, profemour lycée do Bordeaux. qui dirige Ise délie* avec mana de Met que ele bone lasomr, M sem.'o do malin est prt,qtle- remplie pue em excellent discours etu ci. loyea Dingue/. avocat. à 1.yee. A la elasiet des claire', ri des faits, Co. sateur fait le pro., du projet Ilét.table Il en masque avec une pséeision minutieuse hes vices et les lares. Il met en lumièrs roua le mensonge dont il est rempli. Il s'et«àe nionase que nos grande chefs militaires, les Maitre, les Harchetelt et consmots, n'ont pour MM dans leurs paroles écrits que do tiviyaIller à la recestigutioa O, Laminée de métier qui sérait pour la déo rime/ratio un opprobre Cl un périt. Le citoyen Sieard de Pluml. donne loue.. Ouro d'unis informalion parue Oses « Au. tion Française », sur le Meeting du Manège du Panthéon, el dam laque. mit« Moi le Nd de l'.prit jésuite dont la maille dao came/ots dlitienno est, imprégnée. ES Men ne mires que tenues du mépris. Pest 1 as vis du Congrès. CONTRE LES POLIES CHAUVINES Le débat eue les trois ans essaime iiwa la Mance de l'après-mie Bon nembre coagressistes parmi Renies Emile Katm. Comte matinal, Beuglé, protes-mur à IstoSom bmne, J. Calmn y penumia. pan. i.e citoyen Francis de Presser« dos« leclare dulie prepoeitioa qu'il amas. feta Gement d'un &séduits Met sl pleets, se il net m relief iota le danger qui mea/Usait pour la denooratie du retour aex arméc On meto-r eines aux einemusi de sat..ristinii Cette proposition est ainsi eget,. Le Coagrês de ta Ligue des Droite dol'Homme, En présenee de ia renaissance du natiozndisine, selle etestabie carie/tore de rani,' ,n,, et rite renntOi aceé.9 de folie des atmeznents qui chez ta plupari des nations du monde 04 aie. Convaincu que le triomphe, morne partIO, ou memenlein néfine port,rail rattetnte ht pito. grave aux 'doriensrs traditions de .Iéespril, nase naS, qtc,i rtleltrait en Wril l'exi,eno", se Mies publique qu'il menacer:id les ba,k, ni,mos de la démedral.e, condttnerad en outre im dan- cepftiLlainencduerit, é même de la pattée et poue Débère La Ligne des Droits de l'Homme en. tonds prête a voir adoptee après élude réfléchie /et dé- moluiration sêrionse les mesures propres 5 as- sures. dans l'état prêsant des rotations Merv. paclie Padopt eu,précibée dans un mouvement Sa pantme ieltheieln fie.. mi primait mg an Mrr ,d,umlonn, comme insomenatde demande que l'étude ot le vole de eeme ue.stion, topour9Uiwnt dan, ellme, -yang- % ":lerea notre ines,' o saura, être udoptee qui ri mette pas sa prredn'er mec de ses disposihoué z...,peet altsoin du prireine d'égalité sans modalités 111k,,erile,, nuittlien earaolère de rarmén .1mmmlo tant quite.manéke û l'armée de motter, entln latnat turc driefemont défénéive des institunon, Iodes /rune dérnseratie républicaine. Celle propmitiou, qui reflète aussi osas. tomme quo pomelo/a l'esprit eu Gommes, est adoptée s le.elmité, Mus sen explenhe '0 fait suivre d'une protesta- galilie den CO/Mitions datin ri do g011verneMén, .t td.td lakls , R4RPNdfl,^T ASOISIMMENTO anué. t ENIAND Framis adopte AU KORÊS DE BERNE int rac4iiiiuuirie Le Liscours de BebeL - La Déciaraiion du Congrès Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

STr4` - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1913/B315556101...Htiquo il est dos châtiments qui s'exer-cent. L'Heu-e sonne toujours qui met fin .aux culnédies et sanctionne

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SIXIBME ANNEE. N. 15128

met

augur

ADMINISTRATION& REDACTION

BB, Rue Roquelaine

THEHHHISE

neismmusmorsrm o 43

rcrolnUt 5 fr. 10fr. 20 fr.

êtranger 00. 18 CL 36 fr.

GARD. Maser, testa,eguittMus-onrattraves

00a,comiz6,CoMIAL,LOT-ET-GA..1:e,

G 1.0T,11AuTes-pyRÉN

BASses-1,TRÊNÉRS,

DES, TARN-ST-GARoNNE,Aune, ARIÊGE,

TARN, NAuTs-oARoNNE,TouLOuse

impasse!mettre les Chambres en .présen-fait accompli, M. Barthou, pre-h, Coneeil, ministre de

publique, par mesure de pru-..autorisant de l'article 33 de la

is.05, a annoncé, à Caen, 1:inten-e, lm gouvernement de maintenir,ne les drapeaux leu soldats de l'a,-

. - active qui devaient être libérés11,11e.

Ho nous surprend point. Il faltà re coup de force. Dès

' s'y est, trompé ; le mi-] ,cidé. ii panser Outre àélances, à ign,rer

mea u tenir pour nulles les0rnlen en gr,d parti., à mes.

isec des génit@ux Pédoya,Eerein, André. Tournier. Mc..., à renierUtellcre du ,parli républicain tout en-Lier et, avec un entêtement aveugle, àmarober à la remorque des nationalis-te, des reetallin.gistes, contre le bon-:Sorts dI le pays qui. Mut entier dressé,criait n Prenez garde !

Il devant être cérat si à M. Barthoudo Mule dans l'impopularité et deir0HriP dans le ridicule. Même en po-Htiquo il est dos châtiments qui s'exer-cent. L'Heu-e sonne toujours qui metfin .aux culnédies et sanctionne les ca-pitula/ie.. Quelque désinvoltes qu'ilsMient. et Midgicieux et habiles, il estdes limites imposées aux polliticiem'qui lie ne peuvent dépasser, sur les-quelles ils s'achèvent vaincus ! Vain-cus et méprisés !

Laissez-moi, admirer Briand. cettesplendide et remarquable intelligencepétrie (Laite la boue, grandis dans lecynisme. li du' selavoir la triste gloire

ser,ir de chef, d'être adulé pur ceuxqu'il fustigea le plus. Ne cherchons pasà savoir à quel moment il fut sincère,prob.blonient jamais, et nous le sa-ViOn, angdi capable de briser les .che-minoi, que les netionnadres des Cem-pa»..i. s. prêt à Mut, même à laisser' àBa Mima, par un eandon de pouvoirremarquable ut .fort remarqué, tout hMet dit. qui s'attachera ft l'Homme destrois ares !

Briand .da pois vvmtl é être cet hom-me:11 S'est retiré devant le Sénat.. Etcone:mot ? superbe, élégant, supérieur,se enageant pour demain la directiondia gouvernement qu'il laissait, à cetteheure critique, à ceux qui le prennenttoujours, qoe soit aveu Méline ouuses Olemenceau!

Il dlait trop clairvoyant pour no pasdeviner la stemisfarlion populaire ;ilsavait que nous n'en resleriOns potsque rions discuterions, que nous mot-trions de notre .ceté. contre les mgre-

SUS et les patriotes d'affaires, les pay-iwhs, les otecriers, les teavailleum, eu

Mot, tout le monde de la prodUc-On qui veut la paix, toute la paix, Md-C`dd à chaque instant.Et il est parti. 1h a palissé Barthoue avant. A lui les coups... Et la chute.Car, quoiqu',ue en dise, la toi de troisS ne peut élue aceeptée. On ne as

coque pas ainsi de l'opinion. 1.2). qUoi'foute Ensuivre republiCaine M pénible-ment édifiée Serait jetée à bas ! Un ne.-tiunalisme mercantile et intéressé cuis-

. duirsit le pays, contre son gré, I dmsErra que le pays ne veut pas admettre ?E oc' peignee de brigands avides peur-

. Paient mettre la patrie aux enchères etle peuples à Telles!, ?

les (legses laborieuses, les remneursde lente comnie les appelle si esrei-louinenrit aussi lemquo Ms ouvriers des cités qui, dans lesréunions que nous donnons s'indignent:0, noire propre indignation, unissentleurs .protestations aux nôtres, tout ce,nonde qui constitue la France, la seuletele noies rtididtts connaître e celle duTravail ! tout ce monde ne compteraitPas ? E serait tenu pour nen ? Son//minier pour nulle ? Sa volonté pourno caprice, son geste pote inconscient,',die, irréfléchi ?

flatte-là, messieurs ! Et en avantnoms ! Il no faut pas quo la loi mit ao-Ihi. Le pays n'en veut pas. Et si, d'a-wmtero. M. Barihou trouvait une ma-

- berite aseez veule pour le osiers, tanttie, nuire revanche ne serait pas loir,

t'Ems electione législatives auront lieunt na an, en 1914, à cent ans de ré-

Pepe oit Nupol,son. i Ilhampatilierl, àillentlnitosil, à Vauchsnip, conduise à'a victoire des arinées improviséesoomposées presque ,,rifauts

Les trois ans fo' dst l'entrée ded4pIsles socteiti o la Chambre t

Men la réponse pays au dei deu. Pals1 Deschanel, .; d mi cien, hoat--; du inemd.e dém., et patriote à lae'ttlt de M. itienne

Emile BARDIES.

ÉCEOScoNci,c7sIoNsdont le ,plaidover paraissait trop

cause gin défendait, avait rerallent d'abréger ; mais, sans ie. re-,rél,ondit d:tin ton ferme que trad ce

t, °suerai, enfin le faire ta n'. /ui

ordsge de conclure.avocat, je conclus à ce

MONTREZ-EN Ai f' 1.51TDa s le normé de Kant était un rendez-vous

de en mm ,sès renommé, aralfmiellara d lori lai-',. Nombreux étaient les chasseurs invités.

Mais, un jour, s'invita lui-même un riche bou-lange du pays.

De quel droit mivez-vous ma chasse ; vousai-je done invité ? lof demanda, Maptainement,le lo

Savez-vous, lui répondit le boulanger, quemes erres me font des rentes égales aux vo-tres ; et sas-ce-vous, surtout, que ces terres nedoive t rien à personne ? Tels sont les titres gra

muivre votre claasse. Et, encore,qifu'r'eapenis'eZ'-volsis de ceci ? Regardez. Ef il tirait

de sa poche la factum acquittée de son tailleur,disant

Montrez-moi done la vôtre, s'il vous plaît.efftmo,Lté innar rtie mcedenaraimuomn-

entaitbrabis étaient ses dettes.

LA BELLIl-MilRE EPOUVANTAILA rencontre des ifinks suffragettes d'Angle-

terre nos concitoyennes discutent dg leur sortavicc.le souri, s'il faut en juger pay Mlle Jo-séphine Mourot, ét,udiante qn lettres,de faire ram conference dei une solin dvenue Ledru-Rollin, sur les jeunes h.iles

Au tours de sa conférence, ylee .12,61rainclounot a fait, notamment, cette dee/arab-on amu

mimeL'ennemie, dans les préliminaires do ma-

riage, c'est la mère I C'est elle qui fait fuir les

'Et. quand chacun fut revenu de surprise,elle ajouta

Pour une jeune file qui veut sq marier, lechaperon idéal, c'est Pana! Lui, f déadesoupirants timides et les attire, au besoin dansnos filets.

Le petit dieu malin veuille que l'aimable con-férenciers ne regrette. pas ses pa,oles plus tard-quand elle aura une fille !

***

AMPH11301,0GIEUn certain Laravain, condamné déjà quinze

fois pour °tirages et rébellion, faisait appel, cesjours-ei, ,k la quinzième condamnation.

Vous avez dit a Lâche s Pageot. Vousraye, insulté.

Mais mn, j'ai dit e Lâche ! ripostaInauwain. Mais cela voulait dire : i. Lâche-Moi s,

Mnis on ne voulut pas moire Lamait-g et laCour confirai, l'arrêt.

L'ACE DU soLen,Lra PhYsicien, M. Robe, Bali, affirme que scs

calculs in ont indiqué quatoree niiuiaum d'an-nées comme durée probable du soleil.Or, quatre millions d'années sont déjà der-

rière nous ; il ne resterait donc plus aux hom-mes que dis mi frusteck fois douze moi O con-templer l'astre du jour.

Cest encore un terme assez consolant.

QUELQUES pewsEes.D'im journal d'autrefois nous sommes en

'85o extrayons ces quelques nensees du 4>lerituel ehroniqueur et directeur de théâtre, NestirRequenlan

On peut avoir be.sin d'un plus puissantC ue sra.

Deux /nankins infaillibles de se brouilleravec un ami priter dol'argent; lui priuicrque ss femme 15 trompe.

La mauvaise foi est l'ame du là discussion.Jadis vieillis était ms art; antourirhul ceWest plus qu'un malheur.

Lel ollcuplionsocialenso orguis

Neufs extrayons de l'ouvrage capital d'II.-tor rs...uis sur les syslétues économiques et so-cialisteS, le passage suivant qui nous parait. au-tant mei/ est poesible de le fairc eu quelqueslignes, mimer une idem user,. précése des con-ceptions sociales d'Hector Denis, /e regretté sa-vain, sooladiste

Tout. les oisminatione témoignent que ledéveloppement intelicetuel,' moral, esthéti-que des Sociétés, est suborekimtus ii leurscmalitio. économiques Ir, fonetiernn éCo-tionuquee prennent, dam..I.Eme collectif tamême place que I. feulions de la vie or-ganique chre f imlividat et, minime ducs l'in-dividu, liement en Jour indepemlauce touteasti spirituelle d. Sociétés On verra queles Physiecrato-o maien. prépane Ia contep-Dun OrtgetMerSe de la hoemb, A. Comte, Lite.tré, par la distinction de Condm temporel- et'le l'entre mirai.. Ch, IMnoyer par celteMe trayaits, appliquée aux ellosee el auxhomin., ont, réellemont eiensporté dans laSociologie :1a division .le Bithat entre la vieéconoinique et le vie in.tenecluelle, esthéti-que, morale, La distinction devient Muset-te et plus profonde avee H. Spencer, A.Schafne. et marne la subordination desMien:menae de richesse.Schafflo marqué l'analogie du double mou-

vement crassuniladion er de desaseirnifationdont les On0alliW1u,9 inalividoete sont le sié-gé, et des deux /hue. eu neuv.eneent socialOr la riche..., subqtance idlerceedaire dalcorme social; la ptrase progreseive : coesmn-menton de la richesse, reproduction de l'es-nées humaine; cet échange social, de matièreet do torse est pour lm, la condition du dé-vel.P.Meet spirituel des ...et. Schee-.14 és Itontat eine meononlie sociale déter-mine 1. conditions de la vie monte, de lacuitasse, de In eiyilisation. L'unité de lapensée humaine est, telle que maigre lesprofondes divergences des systèmes la mê-me lai de sunardination se révèle dams ton-tesees Mohs, ciel la peau:'s dominante deMacle. de' se publieation cle la ii Critique deFleconomie politique » (1859), quo tontes lesmanifestations. supérieur. le l'activité so-ciale sont euboedonnees aux formes de laprodUal01, Le « Capital » n'est à ses yeux/pinne illuetration de cette Loi. Proud'honeu.beedonne aux eonditlom mie Eérjunlitee/borie/ligue lente l'évolutimi du droit privéet public (1862).

.Dès lors, à MOsume que celte embundirtationnutureMe se révétera mime. la Science sepseeecupere davantage de eégler les mn/Li-ta)sa de la vie Mortorniq.ue, de maniéré àtaise participer plue langemeni totro losmentbre.s de la eonmunaute 3 lu nie supé-rieure d. l'huamnité. Une eneesnumie foetal-e. fermée, qui ne . proposerait d'autreobjet que la produ.ction et gemmule iondes rich.., ne répand pas olus à l'étaidevancement de la Seinen.. qa aux beeoiesde mare époqee et aux aspire:o. populai.rra' il faut mi elle cherche sa véritable ./ finau dehom. au.dege. » do La a...sidérationdo richesse elbo-nalme, does ta m.idéra-tion même de "homme social, c'est-à-dueriens la Sociologie. C'est Slfalb que hi répar-

Itition

dru richesses- devient le len/Même le'plus redoutable, le plue «blâme, parte qu'n-ne juste reps...titiues dm riels..es rot te senamoyen de faise participes le plis grandnombee à la vie supérieure de l'humanité.

CIAL, \S"Tr4`Pe'l MetxounRAOUL LAFAGETTE

Notre journal a signalé, en chronique Mésie,la more de Raoul ',tagette, dératé à Foix oùil a été sépulturé le go avril, mais le Midi Socia-liste sc doit de saluer autrement /a disparitiond'un homnie qui fut un beau poète et un libreesprit. Coriéquent avec le, idées rectrices de savie, le poète des Aurores a voulu être ensevelid...13 la bonne terre natale, éans aucune mani-festation confessionnelle.

Raoul Lafayette naquit à Foix en 184, Arà, d'homme il passa qudques années à Paris,où il fit de l'opposition à eltrnpite. Son volumede début Les Chants dan Montagnard 0869) IMremarqué par George Sand. Lafagetie ne futpas seulement un républicain, mais un large es-prit, un citoyen aux idées avancées, ennemi del'oppression et de tout obscurantisme. Au HeuUs bouter en usance le calendrier courant, il nemanquait pas de dater ses pièces selon la moderévolutionnaire tel an de la République, telmois de messidor ou de frimaire ; ce n'est qu'undétail, mais il est symptomatique

Lcs vers suivants décachette te lempérament el'attitude de Raoul Lafagette

e pouvais, étouf fard en moi tout noble feu,Tirer, comme l'on dit, mon fpingle du jeuJe Pouvais, possédant de guai manger ei boire,Feindee de respecter le Frei, ri son eiboi.e...Li, scepliaue Honoré, jadr dams mon domaine,Secs so,. des tyrans et de la foule humaine ;

Pouvais voltiger, picorer 10e pouvaisExploiter les naïfs, ménoner les mauvais.Pauthgmene è Tabarin dit sue j'ai la berlue,Mani fcite famille et de 5e mate élue,

.gens efforts, par droit de naissance aPeté,4 prendre nana d'oisif dans l'OlYmPeD'aVoir leidellICItl opté pour la Canait?,

La production poétique de Lafagette est assezconsidérable. Fors Les Chants d'un Montagnardque j'ai signa/és amont, d est encore fauteur desvolumes séquents : Mélodies Miennes hors).Réédité en 1883. Les Accalmies (187é). Réé-dite en 1881. 01cc A441.01,'S (1680). Pies etVallées (1085). Les Cent Sonnets (Me).Les Voix du Soir (189,), ouvrage qui parut en-semble/tint en édition de luxe in-e et cn edi-tion ordinaire ind8. L'Am/anche, poème ditpar l'auteur an rhaillre de Foix, le as février1895, au bénéfice des sonstres de la Hame-Artege.

Symphenks Pyrénéennes (1897). La GrandeLorraine (1903), dram historique en cinq actes.

En prose, Lafagette publia La Poesie,passé, SOI, présent, son avenir 08071, dem: bro-chures de polémique, La Renaissance Romane(i90) et Les Visées du Félge 00e, etmeme nne brochure entièrement politique, LaRéforme Eleetorale Dom).

Lafagettc aima toujoum fidèlement son PMmnatal, il n'oublia oncques ses belles Pyrénées.;son premier volume Les Chands d'un :Nom.-gnerd célébrait leur gloire. Ores qu'il habitaitP,ris, le gaulaient du poéte était de reveniraux montagnes ancutrales :

se; m'enfoncer dans les retsEt les bau, pour fuir lu torture

Du carme humain éPuldettes el -froc., '1.

Que je plonge en pleine nature I0 nature t je suie tan plus fid.,le enfant ;

Coinmee en mes première années,Je me sens fermv et pur sur ton sein triongloard,

Salut ! saumure Pyrénées.Voze ne ;n'oc, iLLIIIMS rie» presc,Û que de

fvmedQuand fr ane rue ou nie redresse,

lion-ornaed est un pic et ma fougue un lorfflent.;ign'ore toute tache adresse.

Que valets el dévots s'écorchent tes genouxDans les Crasses et les prières

lamais ni rois ni dic,, n'obtiendront ça de mus,Titans de granit, mes frérot

rai bien haut, au-dessus des rhes et des mors,Maintenu mon anie indmeptable,

iEs je re-,iens vers .antis sans tache et més re-[m,ords...

Lafayette quitta Fuels de boune htam pourrentrer dans ses chères montagnes, a Foix, seboer définitivement dans la ville où il était né.On peut remarquer qu'à partir de fRog la pro-duction du .poéte ,e ralentit. C'est que de retourà Fois il se laissa prendre peu a peu par lapolitique active, à laquee il se livra de plus enplus, En 1.891 il avait publié un volmnet'Aube aux Ténèbres, qui groupait un choix deses vers parus de 1869 à 1891.

Fidéle du pays natal, régionaliste fervent,Raoul ',tagette me comprit pas très exacktnenth, mouvement felibrécn. Comme il voyait desfélibres marquants professer des idées de réac-tion, le vieux libertaire qu'était le poète fit subirà une doctrine au-dessus de toute politique, àune tendance racique et traditionnistc, je n'écrispoint traditionaliste, la conséquence de ses mé-fiances républicaines. Chaque félibre a Ic droitet la liberté d'avoir ses opinions religieuses etpolitiques, mai, l'action felibréenne, le Félibrige,reste, par sa nature, son essence mérnes en de-hors de la religion et de la politique il con-cilie Inc convictions personnelles les plus dia-métralement opposées, d'accord sur un communbut occitan

Lafagette publia en !Si» La Renaissait, Ro-mane qui souleva des polémiques. Il revint surI, question félibréenne, en 1896, dans Les ViséesmIne Fdlibrige. Cette dernière brotture fut sus-citée par la demande de rEseolo Pariseneo duFénbrige, dont je fus Mn des fondateurs. Nousredan/Mas l'enseignement do l'occitan à l'école.La fagette trouvait excellent l'enseignement del'histoire lodele et régional, mais quant à celuide la langue occitane c'était une autre affaire.li voyait daa ce postulat des visées séparatistes.S'il existe quelques félibres séparatistes, troprares, hélas ! il est aussi injuste et illogique quebizarre de voir une menace dans Un e.tmite procédé d'enseignement Lalagette n avaitpas le droit de trouver mauvais dans la ,Mdago.gus linguistique ce qu'il estimait bon dans lapédagogie historique. Il est fâcheux de constaterna en arrive un homme supérieur, lorsque il estaveuglé par le parti-pris. Laiagette reprochaitau. félibres de demander aux pouvoir, pnblicsde décréter renseignement occitan à réeok. Aui donc voulait-il qu'on s'adrestat pour mi en-seignement rekvant 0, ['Etat, et particulièrementUse gens qui n'ayant nullement des idées sélm-ratistes ne pouvaient qu'envisager l'Etat dontfaisaient partie eh1 reprochait égaiement à rocchan de détre ne,,, lanyue, MU,, prétend,.qu'on ne parle pas partent un idiome identiqueet ou'il y a de Miennes dialectales, commes'il n'en était pas de même dant toutes les lan-gues; antiques ou modernes, gr, latin, alsacienou breton, comme Si partout. en ormandieio,n Picardie, il n'existait t'a, des différence, selonet de, variations légères parfois dovillage à village ?

Il faut convenir que les arguments de Lam,.gette étaient assca enfantins. puisque je rue tem,garder de rincréper de "toue "n foi. Mais j'aidos raison. pour croire que, dans les dernier,temps de sa vie. Il en etait venuappréciation de l'idée félibre,. ,,,,t m,,me à Pépoque des dim../inguistique, mn uvreméme résultat que 10 nid,

estoC t p.un tu,. .i:ut devantPoète et de ce.., Ocuitt

Du OM&ICi(LPAiIuEi.R0MIiNT

rlISTOIRE VRAIE

L'Histoire d'un chienIl est. quelquefois, bien difficile d'inter.-

o.' le /beteg par 1eu histoires que ionvente alose que la vie si féconde en en-mig'nemente peut fournirment de quoi alimmler 1m chroniques les$,,me diverses de /a fentes.. Quand il. s'agitditistoide, drnien tout va bien. Mais ilarrive parfois que les faits suent si liions-tnumix qu'On épreuve oomme mi regret pei-gnant de nes pas lee avOir inventée. (tete queje vais expemes ammtionnent à relia' caté-gorie et je yess assoie me quand voue onmets prta rouauissatme. al

ayl'elleeileCseed:ri -- solidaires des êtres humaiuo qui lesemserresUrent.

1i étaie une fois ime famille pauvre com-posée drus pense à demi valide dene neseamimie et de cinq petits,ufaests. Le pèrelima :liait de Min m loin quand son état 4esanté ie permettait. Les enfante oritendaimt,à brr reaeon, tele Melun', qui leur paraiemitencore copieuse quand rite était maigre. EL!a mère se faiseil genduiee par un chien.

Je Mesagene paie en dee ter.. yr..lairelltent mele el. froids. IL e.s.t si périlleux,pour rinieret dem histoire Mame, de l'en-veloppe' de noneklératime et. de fiorituresqui risque/ni dee cainpronnetre la simple ettragique elioq.nce.

Le chien dont il s'agit était gin cniensate et de valeur. Mais cela ne, comme ditl'autre, aucune cqpIte r d'immolai« peur laoune.bas qu'il convient de tirer don faitsque je vous mimets. Et, ii s'agirait den vul-gaire calmi de deux :sous que. jo n'eu chan-gerais pas une ligne.

La «ne. meure. Le ellen devisa unecharge Male je me suie trompé en ne pasle comprenant jusqu'ici parmi les menbresOr le famille. Et le geste des enfants pou

peu grandis ctio COUVai,I1C de celte es-rem.. .Welters, PM erfet, se fument debanss-ses d'une bouche démenais i,anb.ir d'au-tant plue que la valeur du Mutuel ont été d°nature la lems faire escompter un profin.inespéré: Eux, la gave-tome, car Os s'étaientattachée profane/ment DII pauvre bê-te qui fallu cornpagne fidele do leur mèrset qui, ni souvent Partagea la dil.tresse si/eesure joues se. pain. C'est si bonch berlue vuus.compreted et qui voue airneEt qui vous regarde de me grandis yeux af-

ei plafonds crut éloq.nte !La misere que ftern partage en/seinen( esten partie attentnée,En jour que le Mien errail, le» Preneur

de ciliée,. passa_Et bu désolatiorv fut iMmense, no unie au

foyer de misère, quiaid apsés des amimie-1mstkit,êndris26 la maisonnée se convainquit du

de recheratme no/aidées. Pauvretoutou t Jamais sa plate ne parut pkus grun-de en Le morne pain que depuis lem hei-r. ilsoulotanuses où d ne l'oecupaii plus.

I.es gen.s qui n'ana-met pae lee bêtes nepeuvent p." us reedee compte de' cola. Etountamde ruenee.qui fun itialenl ne savent panteutitior, die qUele ferveur la temdr.m hu-maine peut tee enveloppes, quand à, la ra-viser de mi/aines cire/estasses eilas enmont enlevéss à faire partis MW-entité dufoyer.

Berne, 12 mai.Les teegrarnmes que vous ayrds reçus

dounma une idée bien iinparfaite mIe /a con-férence. Et ahlitle serst, lettre vous diraKo de glume. Il faut avoir assisté à cetteremmates pour en connaître toute la beau-tu. et on ressentis toute Demotion qui s endegage..

Catholiques, radicaux et eocleistuc alto-mandn Vei9lnata. et causant cordiateneinaven ie. radicaux et l'a fran-çais tous unis pie la noble idée de sag.seel de paix nitadiale t c'était vraiment ré-confortont. Et ce sont, des acclainalims en-thousi.les qui ont accueilli le procès dela spéculation ela,uv i.n0 fait avm une forteemmener par les citoyens Oreulieh et Ca-bal de Berne. Deq dis..na de ceux-oi vousaveu reçu et sana doute publié de largesextraits, mais le fait eus remit je yeux in-sieter et voue donner do, détails, c'est Pin-tervention de Bebel.

Bebel à la TribuneVoie, ml te,, do ms nem, °mou-

vantes qui m. se préau:mie nue J000 lesgrands ot nobles miniiistationi humaine.

pnésident vioni dire Wise batfugue Belei da parole eut à AugusteMine. Le « vies hou » mienne t'appel-font familièrement nO9 camarades atiomandsnemito les &noèq de ta tribune Don applau-diesemente unanimes &Matent Bebel se di-rige vers M. dDefounnelles de Cimstant, etI... ...sema, les deux hommes s'étreignent

dation. monte, el mise esprit, b lensAve, SOUVtaie el, farte de

../... de la guelfe tie 1871,ia loi do /a guerre

!mye pour cetie 51 li-datvonis Se fortifieraleurre Bebel, rappelant...mimera comme la

. emelt mien armements.à l'origine comme ilm lo coniferemo pré-ndei. api/avait con/-

dation et d'action con-

ému 'calme emlin et Bebel

de I allemande, sansmd- d'exprimort.hxt ..ox aux Initia-

tt ,..ited donton. et

mim les

..éneor.lque que .eàles

Un .pole, bien vag., demeurait. Lon s'3.ormnponea.

Quand rainettes enfants fut arrive, toutesmuttle et IJsel/tala de crainte au MielOrs chiens teouves une grande satisfac-tion nansérêna mn Toutou était là.vivant, bien vivan.t, BI alois, riest-ce pas, onalliait le lei. neadve pulasiel r ctielainalt?

Le gardien toisa le mioche. II le va mal-heureux et. elépenaildê. Son vimge se fit him foie ironique et important. Car remar-quez bien les gardiens, es général. Nueessieux qeee. ine sait, d'un coup dkeil. ra-pide diagnostiques le rang social de qui estappelé à lette parler. Parce qu'ils se sontfaits une Ligne inflexible de conduite de nejuger les gens que sur /bene apparence closcette façon de voir ne les lrotnpe jamais. Té-moin celui qui, au salon ele la Nate/nate, re-fusa rennes as peintre Pelez. membre dujury, qui n'avait ni gante ni gibus. .11, vousdemande un pou s'il y a quelque raison pourque vous myes grand artiste, Si vous ne jus-tifiez pas de votre mnbriorité en vote pa-rant dt's attributs les plus élemeeLsises delu biermence !Et puis., Ail fallait, pond elredams veuf, fouiller Pâme de tout le n.ontlequelo mat les inertele -non docteurs. ès PIO-saigne/mollie, qui voudraient du métier degardien 1

La sinsplicilé est, en touL la plus bette de.>rets.. Et, pour la catégorie de citoyen quinous occupe il importe avent lotit d'es-eerver lebeelquiosiel In plus ploie vis-à-visdu bourgeois bien mie tout en réservent soninsolence pelle teo vaqui-piede. eoyermantqiioi tout est ban,

gandion feus le mioche et daigna lui

Donnia-moleing francs. dite donneraisfon chi..

Panes que vous en instruire ?les chiene capturés sont logée a la belleeterIc et nourris de pain afe.

Cinq finuce !l'exigence était forimidaeegive le gosse ce sourit. croyant h une Plu,-samterie. Mais il lui fallut se rendre à Peva-denee. Ging. Douce ou pas de chien telétait le dilemme dans son impitoyable sim-pbicid,

Le malheureux ne perdit pae une manne,Lant a lui 1.411,11, impossible d'obtenir de lachanne du pa.ant I. mut so00 qu'on cri-gsail. Le bon bourgeoin ventripotent donnequelquefee cinq centimes pour du paie.Mais alleu dote /Fe maieiter pour to

itioe dam chien et vous me donne.nu deseinovelios de es lecePlion

L'enfant mania b la mairie. Et tont cequ'il pal obtenir la, e.i que-tamise à mort.de Teuton Mt Méfie. do quaratite-lesitMme..

De la mairie tout rouble dangotseede fat Mao nati t Am fut 01m Ligue p ro-teetrite elememiemen. La arasa:Mate de cetteaseociati.a se mit es/ campagne, faisant, àrebours le °hennis déjà paremett par lejoune mRicileue la mairie d'abord. M dé-pôt ensuite. nais quand on arriva avec, mimann, la pièce .bleuelle libératricebien que le délai de qua.ren.buit Messne fut pas encore écoole la mort avenfait mn ceuvre, ImpiLoyablemsni cyni-quement fboidem.1, Toutou avait ététué"..

Ces faits se sont elocoment m.is dansun,grunde istednerramenne. Et, devantreantoit desibeutiesemi. mus dee appasemeshtlnleinee, eint chaegeee d'un sr-,vice

abieloier de Testes no ....mas attristepae

G.rgesVAILOY.

où eLle9 Merdent tes voies et les nut.enseSqUel9 elles atteindront dans un voisinage paci-

fique une entente amicale. (Vifs applaudisse-ments.) tet,e enfer.. élan Mdisne.able,ves approbations.) et le monde enute,r Il rérota-

(Applatukssements réndlês.I li y à 42 ansque 'le imbi ils Franetert, a e:14 siene. DanS 9012IntroducliOn, r, prooiasne la paii perpétuebe.Mals l'encre n'eu était pas encore séchée que FMIsavait que cette paix serait one ressounce inta-risoutite de nouvelles complications et de ROU-seaux malantes. Mrés bien, très bien.)

Ce traité a apponté a In FKine-C, à rAllemaghe,I toms l'Europe 41 an, de conflit, de médanceet en:moments incessanZ.1.qu'éa duntnertoruildable effort Que taneen.Plospeine supportes. (Ni. apirmadissemoras.)

Celte situation a pimeoque 1,e er, nec relu. d.peuples Quand donc cela tIntra-t-il Leréponse à mie quetttoo cent Conféreng, deBer.. Noue aavo. que aous avons une maleMem à accointais sur une grande P. de nosconcitoyens doutent encOre 'du «tteet, nen,entreprise et d'autres nenthreux désirent quenous ne réussissions Pa, Panne ifillts mi sueinnl.éprouves. Num: fée., tout Win de décevoir cetteattente. No. savons que l'Immense majorité duKurde sud nus travaux avec le plein este!). eijimlaNseront un commeurternent d'erndliorotion.!Vifs applatult-ssements ) None reprémomns lavette, In justice. l'huaiatatté../0 paix et le bien-être d. tenu.. ,n11. sommes egeS ,egteidées ennqueermn imtnie Gmx qui aujourd'hui

ntt:tsinn de nous retrouver. ".pp,a o114,,,Men,,,ru avant t Oo.,smnua prolonyées.I

Un Radical AllemandLS par. est [11M/terme à 11. ssiuten

qui esi l'un des chefs du parti radiml ertAllemagne. La ligure .,1 pcm,Lânt.d'une voix bien timbrée fuies

i! .vomoie d'abord leémaciée° offleiel de la délégation qu'il rem-plit

Nous anmi. dit-il, meninson du groupe re-dirai On, Reichstag qui a invite me membres

venir b Berne, nuusu sommes hettneux d' e-tre venus do l'Allemagne du Nord, du S114et de l'Ale«. Nous serions vomis plue num-breux encore eans les ékehom 0. Eaml-Mg prussien qui ont lieu vendredi pro-chain.

Et hl. Hauesmann se rétinite que gen mi-Legues. membres du Narew de son para,M. von Payer et Muellembleiningen, aientaftIrmé leur aweobatim eMe lees Dee.-..ales de la Ceaférenoe de Beene.

La conférence a été utile pour se mimesconmatre, dit M. Hall...« Pet freinentEt il conclut, en français emee..plaudi.ements chaleureux détgu revr.sSis houe nous chemin.i

AprèS ce discof L.Meu

g il.sent P e pour s'enieleittet,,puis.. la réunion

la [eau° do cette motions

MARDI 13 MAI (913

ÉRfFIONS ftEDDMILES

La Motion d'Entente. . - .Il, Ems/socles de Constant, prsê,,,W,at,,:..1tIrë de ui mDation ,ivantet

Léé par les délégations française eta

La première conférence parlers/m.mires françaiD et all :1.J-, réunie à B.ume.ès 14 moi 1610 répudie endeuquemeni I,solidarité dams les détestablym canesdeacitaiions chauvines <le tout. sm.

coupables spéeuiatio. qui menace.deux côtes te la frontibre, d'égarer ssens el le patriotieme des populatiom.applaudissements.) Elle mit et elle persque les drus paye, dies Mur .immense, ivals-rué, sont fermement attachée b la paix, con-dition absolue de tout Dromes. (Applaudis-sements). Eile s'engage à une action tamile.,aide pour dissiper lm maleetend., pré.esir les confliti et die remercie de toutcoeur le, reprêeAn.1,141i, de l'Almee-Losealnesi avoir forci ii, par leurs nobles deelaratiosevotées à l'umanimib,, raPPrOnbentaut desdeux pays piUr o2UNre etalltne de coi.oilitation. (Vifs applanesmineoLsi.

Elle invite see membrou b faire loue lrsefforts pour amener les mtuvernoments desgranden pui.mee-s à nioderes Mure dép..ms envoles et militais..

« La Confias.r appuie chaleurousemmtlà propoeition de M. Dry.c secrétaire ellEtatuns Lauons'.Dofs, robotise ans tuai 10v d'oslo-

pommaient s'élever entre les deux passqUi ne sen-aient pas réglés porta voie eiPlo-antique mient déférée h l'arbitrage de la

(Tnes bien 1) et MM compte sari ms.menibree pour engager fa me canasse malienénengique et mutent.. (Trks biee

u Elle estime qu'un rapppochen.l Or laFrance et do FMI/magne facilitera l'ent.vhedee deux gramls grounemeMq eivrotn`mn,préparera par lb lgtebilemustet durable dela peint Elle décide que son bureau seraconstitue en canal& permaneet. (Appt:sud.-mine.). Il Se erdoplétera par cooptationdans les doux parys. Mie leur donne mandatde convoquer périodiquement la Conférer«ou de la réunir d-u-sgeollie mm los circonstan-ces là.igmient. (Applaudi...nies et bra-vos). »

Le député Haaye, second pridell,t, Ut lamême déclaration en allennent Les dempré.idents mnnusenl lee Fronçai, et les Aide-mande à se lever en signe dapPeolnition

Toute la salle 98 Lem en applaudissant.M.

mes donne rmel.-VO. une; seconde consnécrose

a:Quelles de. Cmstme mie Jo

La Conference est close.

LE COMIRÈSBE LA

MIL Diej i3IL ADOPTE UNE RESOIETION

CO.NTRE LE PROJET DE TROIS ANSLe Lu, rus a continué, dans les d.da/mem de journée, le &nettest. largement la vielle celai. le lei deeaction que le gouvernement mut intri.e-

Sf. r b la deritematie. la reseluti 011 p"«.eet fe.emefill il a adoptée a noue elle la fanocç des ciaquante mille de Pen.sée libre. qui eemposent, !a Ligue, et dontun grand marbm oul une hasté reitiereinteliectuene.

Ouserte mec Io même bureau. enas inprésidence du eitoyen Bayful, profemourlycée do Bordeaux. qui dirige Ise délie*avec mana de Met que ele bone lasomr,M sem.'o do malin est prt,qtle-remplie pue em excellent discours etu ci.loyea Dingue/. avocat. à 1.yee.

A la elasiet des claire', ri des faits, Co.sateur fait le pro., du projet Ilét.tableIl en masque avec une pséeision minutieusehes vices et les lares. Il met en lumièrs rouale mensonge dont il est rempli. Il s'et«àe

nionase que nos grande chefs militaires,les Maitre, les Harchetelt et consmots,n'ont pour MM dans leurs parolesécrits que do tiviyaIller à la recestigutioaO, Laminée de métier qui sérait pour la déorime/ratio un opprobre Cl un périt.

Le citoyen Sieard de Pluml. donne loue..Ouro d'unis informalion parue Oses « Au.tion Française », sur le Meeting du Manègedu Panthéon, el dam laque. mit« Moile Nd de l'.prit jésuite dont la maille daocame/ots dlitienno est, imprégnée. ES Menne mires que tenues du mépris. Pest 1 asvis du Congrès.

CONTRE LES POLIES CHAUVINESLe débat eue les trois ans essaime iiwa

la Mance de l'après-mie Bon nembrecoagressistes parmi Renies Emile Katm.Comte matinal, Beuglé, protes-mur à IstoSombmne, J. Calmn y penumia. pan.i.e citoyen Francis de Presser« dos«leclare dulie prepoeitioa qu'il amas. feta

Gement d'un &séduits Met sl pleets, se ilnet m relief iota le danger qui mea/Usaitpour la denooratie du retour aex armécOn meto-r eines aux einemusi de sat..ristiniiCette proposition est ainsi eget,.Le Coagrês de ta Ligue des Droite dol'Homme,En présenee de ia renaissance du natiozndisine,

selle etestabie carie/tore de rani,' ,n,, et riterenntOi aceé.9 de folie des atmeznents quichez ta plupari des nations du monde 04 aie.

Convaincu que le triomphe, morne partIO,ou memenlein néfine port,rail rattetnte ht pito.grave aux 'doriensrs traditions de .Iéespril, nasenaS, qtc,i rtleltrait en Wril l'exi,eno", se Miespublique qu'il menacer:id les ba,k, ni,mos de ladémedral.e, condttnerad en outre im dan-cepftiLlainencduerit, é même de la pattée et poue

DébèreLa Ligne des Droits de l'Homme en. tondsprête a voir adoptee après élude réfléchie /et dé-moluiration sêrionse les mesures propres 5 as-sures. dans l'état prêsant des rotations Merv.

paclie Padopt eu,précibée dans un mouvement Sapantme ieltheieln fie.. mi primait mgan Mrr ,d,umlonn, comme insomenatdedemande que l'étude ot le vole de eemeue.stion, topour9Uiwnt dan, ellme, -yang-% ":lerea notre

ines,'osaura, être udoptee qui ri mette pas sa prredn'ermec de ses disposihoué z...,peet altsoin duprireine d'égalité sans modalités 111k,,erile,,nuittlien earaolère de rarmén .1mmmlo

tant quite.manéke û l'armée de motter, entln latnatturc driefemont défénéive des institunon,Iodes /rune dérnseratie républicaine.Celle propmitiou, qui reflète aussi osas.tomme quo pomelo/a l'esprit eu Gommes, estadoptée s le.elmité, Mus sen explenhe

'0 fait suivre d'une protesta-galilie den CO/Mitions datin

ri dog011verneMén, .t td.td

lakls ,

R4RPNdfl,^T

ASOISIMMENTOanué. t

ENIAND

Framisadopte

AU KORÊS DE BERNE

int rac4iiiiuuirieLe Liscours de BebeL - La Déciaraiion du Congrès

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: STr4` - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1913/B315556101...Htiquo il est dos châtiments qui s'exer-cent. L'Heu-e sonne toujours qui met fin .aux culnédies et sanctionne

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Page 3: STr4` - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1913/B315556101...Htiquo il est dos châtiments qui s'exer-cent. L'Heu-e sonne toujours qui met fin .aux culnédies et sanctionne

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'ou rvrOlnntoirno, i0i,', la inuodeurdroiueI'05 11e 000010 vaIn 'non d'érra-tr 'uPort' suniu,ista.

 r'vpt' du di000urr r', note ansi Perletaro di Tunlnrsre, au fleurI i! 110e SoCle'sis P''oao'lor':E titane, or0r,rtnleèt.o 'li.go0 luit V r terri

M. Proue, main de Toalouat, es tire assezbobilrm000 de la peaitsoa fausse dose la-gntlte ace Omis s'eftrzrnsni de le plaose, à la,aeiedee occasion bi dit qu'unr Pionce borinzrolrr'r m'ont une-rua une qtuo'uodO-voire-1 do t', detv'eder' ai elle osa attaqade.Il tael test Caere, zess sstsdnmzat parie laaootetruir pséosoete, mats saunez pour aoQ-muette sou prestige duos le sstozdz, Il fusai

0051mo la partIe, -

fsruvilnsi500nnuv pie nue in raeouièbetrust; Or iO in do unaI'ySe de 00110 aderutroc.P ulorielt- 'uni diéa oppresse, eiritauat 1.vli-ne cru dur leinogronims i i1ui puonesai nO-evren b lire iv o' tfrdi Somali0M :.Ceun liaiO:' r.10aprio o ou voulu comprendre nus

u n'ignnreat pot un eélei lac ion.:rou.'aul, ions O sonore pour dec O

li outil del000ie ii aru.,"uauoeu ai-140.', rI aman vuotrou lu F00000 tact- in-te!luilaeOomnitt, o,00unmrilnomOttsi ri 0501,0-temeni, 010500' lapais u. pur la pain. o tatou-lia qtar est ossieudu 00v u allure dnau lottrot-i isp. .suor.tiislos ai r000rieurruelr tsen ' Teluigronaole ' cor du ut-01010, putive'tldonc enootailer qaos tu. m'l:lanit 00e) on'001m loupages un poire no réurioau50rlitl.00n; on peae In- baesqoeio ' boue-

il set assez piquait! de noie s o Told-r O 'ne qu'i° oppeue

ai , du moire ai deoforer qan000r- t-recul do le placer doua, cite mdlii-

-050mev pee0saé qos Ripou veto 'ek ptolasler contre uee fiel o mvi-

taon ao qai conoernu lev pcutosOur nt-ru eoaiee le rhnunlninarr, 0001-

- lents ont et odulea la goeror, Souut nsi.:er rie tact le Porto Souio"i

tau t-rosie nt-plats eu sot lu ripnnoo qu'a-tau mut le eeroseil munioplu r fil eomrolitou la la mite ra douteurs rie M. iro Pot- toeonuirhtatordirov no psilsiosiemairn où disCiii louis deuaielt. la'!.' sdnc' les liietilead'ietOruO neetrr leu: teir's nt.- Et tu cru.5.-iii lite .ei'nit peut-SIre li': e iuuptrnrp-rut impoore ait-esse aux adseruuirua di_lrtet,c di- luire eonuaiteo ortie -/punou u o5rnpLlsrea toa!Ouzaisr.

- . :ueuapro le r Te.i,i.q -l'arr.o,' dec l'bultmietd -de eeotre ranrarudu..- -umax ,t':.-oio,orocror dol paroles oui

p;'nitarsntc un0:0,,. qu if rad au i,oul.00guindieinin' i noeioliole 0. ci R eue nu fit q0.'

le rot.-.:' et d,,,ii ii T"otehiom 051btletP.

'-ri:.., acier aioi sI', cria pas : .1 troti. Oslo I e maie ueoi pouce quo lu

r Prdbdt et le droldsiO dx mtrletne.1:1 pou Virelai Ion bain oie,: louede 'rontensn, loesoat_ilst-etalietru,

.o dc' tael si 4'- ernirtoisin pour an-,rrelen, diaau Ire. aracut Ya0500u 001

il tallée u cepréucutie o t rllo,or,ilore et sadmr in oslonuo dip:esuotisf tee,lo roi'; adnreouier-a de lu veilla ni du le'de ma lu.

fil Croira teuton fêlirtira'. dataiertu cor-p. acer le maire et lu aaaeisrr000,i nom,u'oaoelle, :' O 'e'tlon luou0001lnl".bafirrna aitael I a1atanls et loyal : Tu'liei-arror,,.

V, il.

Jours de FêteLeu loba de lu Peoluouie, atileoni ubuqae

acide, dure 10 uoa,poguo.., fleurie, un foi Oeotrrr ii coincer, miro pur 'nitrait ô aaopoarore p000015 .tgrdatlttemroot au grouni oie,duu 'orap du iOurobelie ut noetoui ,tunrpartie eu tompaguio do geutre d'msieeilrulia,: diii en ponts-s aiteoniurt eelraoog r de

Ja:tea.prien, eau troue' moi, Orcil, luihou peoltte pat, siaic pou- ioiue e.,a bea000grot, qUi lan ait-adent ra crnuniptnuttenir, et ionisai deian jeton - Ivem grtnduioula - vont oc ornttn tilt-ecu 100 joug quo-

dmre.t-rien, je roOroile qa'k mu tuuru rIe roegd

toit ailooititsa I e,tiquei s nul gieuur, onthuli-que ourlent qur rappnit.o un olvu000av, lastsoerule lIeu langues do bu atun lu lOte 00eOtoillu-o, flennmu'ouesti quo irctueoup l'uu.bienS proe us totirr litre du repon Fumes pu.pno,

iarrire liomi de vile nie irouble auuoLoi-ce bien toi eusogo reei que la pretorutueeatv'Oairar qui euro peeuini do ton pou ira-Vorier, main autel, poor beuutovp, pan inmdii.- (e ao' ri, f.' ut pas luuolsno- de sVtl-Ou. O' '. appeler oongé en loisir ternequoi ubrr d'uutrluru _0 putt01 I

rus_xi urut uae n ru pnizvnutotlnPIeu rIa t poinuraue, En buateéu-S-qu', t deux jour,-, il. u'oiurasmsitcria. - sou,. Oudeul 00 lu têtu ve-mit ' 'ni-v,' d,ul 'no, la buanle

dri-

Cll1grs NatllaI

ile Prparalloii MilitairePrunier ernrsrr

AU PARC DES SPORts. - 505E SELLA DU-MSNSTR,a l'ace. D'0WUulT,Ot5 PHYSI-QUELa riounoinôouiiuo d'Oulturatrun phniqon

rrgoeio.ee o tu0000ian do ilungrs de Pré-bsarotivaa msiituaieo, cauri otlini, an Pucedom Speorin, os, osnsehre,aes peblir.

lime p borne-, ev leihslnou Pliaient com-ble'o ut leu p.upsolaircn leei bise garnies, LesOtøasei,n tir la garmeisase nIaiseS nneue ainsi-benne vS lue uoeleui'a usuel rIt loue oadfau'-etc .lrI'aiesi tien r-oie gaie lister In nuasvegreuiltouio rIsc epmbalrurn,

Âtre nue onosoitade boitte 050151010e. lE-cuit Burtlretel mivrn 10 Iru i.e liait applau_rbr dru rnernureo te gvmeuur iqueanédnire.Lue dIte-m de la $eeiaeé rie peop000teue miFlaire as rivreot entoile ton onimen '-ocr-

t-nus nI o,.000illenl, eu-a ua'sr, une amplemoinura ml appiondinnrmnaio.

Loin ectoerr d'itt encline0 du erie et du14e 0 istonianr rliur Itat-aiseil lis nturrioo rotileoilloena ne orsiro dia . dea auuaois lebOxe et d'rsrriaee à le ioeuatle, l'ocrai.trun rot ratas o sien vaallanru peitio piaup1000, rI n'stl justiCe.

L n oeuolcnt'a oudrsal lu place Sua pruRIt.ut0000r. leu moititmues de seule rtottiiairo00 .T.u's,ot il"e.i,'lrur,t eni.rmtst. car le ret''nrflau pie gvmonoata5tte rI btOi, udseirme dn ru-

monet-mes d'Seouecsbte eS d'aneooplit.

r', mnutreat. mutelloete zer,slseis-n auxbarres pomlitolee 51 proarmei qtle dur 'evont à la peioiiiv, rie prsiurtri revalue avecnos mc,liesire er.Otslp005s.

Le publie, ristlioraaluasstd ose lut e-ermnrlne-. rois te rhnis,tee eaot tut' cira aibuu:lr-,aol, 's pluie se mli. S tomber tnterrnuWaostecU-o demaaatretieo tort. imibrrrsautr.

L' euptip étsvr tlrreuri nuIre upor-ri ira'itoimi, on as pouvait ean.revair male (01edo gymmuoeaiqur sen-' in rrzaé.eh do bertlssll,foIn, maIgre l-o chien rie peri aroacre, leT, O.E.0 svasi_sl trsu I 500ev dmepulen senp00 ru sstsroala acte le F. C. Brrviute qol fatlot-in ailaostdi npnèn que rIo uleurirttrs do.1 brille. rarmut qadie le Ieerase. 1,11e fattoealttearresronieet noets'nnér Cnn ha ploie.

fluas lu ls'esnière ici-songe. Brine an riO-loin meisaoi, en '000usd ci rrinu010 par de1mips dribtilinqe, De ParI i-t 0001er, 0e Jouetroc elle et aven enit'aiu. 551e se rnsep 4"nies! b eislnre, Eutr005 ssmeqsir lu niraptieedx ballon, te Brrnitie. fur e rrevl, e et 55ipare et en rnaeqa.e estes Isa ptteenn. Leflot mes edoseil, Mettre t t pueole,

te T, Cl. E, C. ne neei u dteo rrr test,'avec rev vinileuea ci allaqsae b sais bon.mais Mclvi' ue diiersd bien 01 re ddpuqe dis-es attolasl:ra dsfflo'rie 'or dr rupvrtee pae_une foi iobasaooc pieu de In lspro de bot itt-

Leu' Toulo'restee rosoin'ea1 li la eiaaepe cl,-or un nor, du prrd t e,tiVrs, Ose 0dm t-smarqoer ra r iteser te Imuar poerrisea, letort cet nda'umotee maqai. Teaalctzua : 3pu

failliS rossiisie 'lneloorr ce petfrtepnur .nrcaslmr sua ,tdeneaatre ,ue sec bru, siurieqnnr usa saeanel essai irteotyl, car m'o'rpdo pies de deplureeeeeit ole Rnoeeoeegust. Lebrmi cool l'ue sréuset et lu nhl-btaepv 551 00e-01001 elBtee'.'

La piuie'o eu-ré l:resia5r, '0 o porrr'v tluoseride; laaleeaent Toalerume cri déelardveirmqaeisr pue If 10mb 1 S.

Mort de , Poe di rja

L'iaulo'aimlani routéiairn 011 relr-umte, M, Char-feu..'mrrdesi Buter, di tIrupo -Oui tirvri iurelio,o.tin f5 seul, çussstupee otbisieerr'el, li ocra de,seuils lii, l,ualee,onel de dbro.-Aouig,

110 b Ajadele 10 cati 1831, ri Plaid hgdde Ut

Fête SyndcacA LA POUDRERIE

tuntaooto ii mat tOto eut rien ta 501m aceamileo.rnrtceeet ootvren uoict'ua.

,_ee0aee quoaad.rdraloa qsl'eIle

tilt edreee Oii si qamed

rnrmouiarseuuo 551e 00 pluz osu moastaeedes, rari oct tira t! oorrtirs,atre relit O pone I'rrt'yaxiaoliot, u

captor saris nen0000uaOoGLANEUR, n diaetag5a sueS ta aeroO daeaueunmrmataoe

Cure " f ij tadèreLA TISANE DU YlGbaElIllSa roi 150e tOrt,.

lsbr decoliono -

1111e pater t aus façoçe oderouablo mensla Oenieder Saline; elle es ncremue te 00n00ropeu rI or produit andin dorarogu oeot.

LA TISANE 551 VIUNERON col ri eesatdr,toauorain dr 000setpée. E'lli',orrbal Inc

Crampes d'estomac, les Toaenemeule de tues,la Stiurataz lolo fiteilitu la digaatiea:

C'est 1m truibemcut pnpo'o:re fez aiaIastlaade ha peau, Ove Mitait du axng, dru laemaeeea-dcl 010cc offeutiaus vaeiqneuees. -

LA TISANE 115 VIGNERON prias 'o peimledrue telle os noiSO gut-it et prileiret leRlsnaaosiieme. Omis oislea la aaeusleaaacs dusaeg et érlim 110 peeltrles oemrdmeiu do Eh.teur d'Aoc mes ta lemme.

C'est la véritable esses praesauieeaPriS dcl, ourlrrrie fer. si

gts à Tauluase, PIIARSIItCIC Pues alEStESa dais tsstas lus plteemaeeea

-roi lit: rmr 'ou 0,011e', stOm'nulll de o rgammos'edon let nynosealo pour lu Odbrs,e ,sss Ut-OISmorion rI metileirle, ii se nninou 00 Vêt eaom-pIe u'eemn, de orana000, 05 comeicose ci itv eu-neifrc quo ,tueue le Spmmdleul us la P000'ee:c or:erOara i Touluom, air ace bueea,nn qu laporeiee,reiti, une pospilrslirm us onrasommuttnu,bl perse r, en daamrisonl la nurmnuia du atudtea.lieorn, Une uam ioeuanr001cu ttursreoitule 0mo'lu onaun, al et is,tomnnbee n TouioaeO. allouaproerle o arienia pi rIen semoup 'L

00e eaua laaaeuoe pot gmre'stsler per tes cellesOssu on qri cons oppaereo r, et eae cela, ri Saabqcm leur mcv eeC-r' rien ailiers om0oneariuse ml'ire' t tour porte forme 011e ne-or ootprrnr'ortoer000 or' ue imopceiuoen et qttr sricu pitn-tiom cauo mc100e un faut 0e 1 sffraeirs Cip.lalla defennnv paiosacsle de Traeail ml Orgaoezaeen10cc 0e psnprru ctoeroau.

011mo usm'ir le rauaoradn ilesellu,, détdogail 4el01umno des Sr'rsdmoaae, enserra l'aur,esbls.ém del'turuatiom qrt'rlieeprec en veulent mue 1m t'a-vami rnre usg:seiOt de Tmrtoalo ,rrsel reprturn-ils e rate 505e oesaeal. cl fsuteesoile.

ii alpage lesearcoeodo, p000rrrni euetarserduos la pais qui.o se mal 55050e; de ous urge-t000litO mcrhadlqrte et s05vrtais en eOeOko tee-'arueroriri rtnn Opta loue iu'iaatreasegaoisa.t, e-, çoi eoaui'ues casa-ce l'en-opte.

Lrerrom'uut licol au romlrro rire r-5,000 eldcaappmemd'osetteemln de mao que l'en reoOeesratlter le paualsr

'Toila trtc 'ienêmee eemere,emealr ii il populsbac de Lardeaoe. qui zozo ergol aces joIe nopilier ri mourus no. ptsn tienOrmo rcueqrrr't doresperrnnaie .gslpoiorie an; telnet dnmsisellmqril au! bleu eoalsc 400505e plus declea b enteserse rt prfleoe tour gram: cita tereioOrs dam tbol qnl ests lino pm005t qaelisosa issase,bu; ainessassa motos 0001m I ' .Aarenerr t

I Ir :lfi, celle Tiromae, col 111,10e grand VIi.Lm,tla-rqmae°emtulutm ruas pesta eau eonmaen

eu use gozssdraee toarede ton ma 4050 5 qimur.tee. derafnaa e,eozeel driplsyd rI maille 1 01CocOs dc eaLm eaieoeade ottnsatri,o 50e Ireubmfrrczoi l-eec,. Teas 0es tszl0000tu des qocnirnsS0'50..lit, teaet.ltouh al meenrtn Olse,na env.0110 Il rutasa, tic 0400cc gera al Isuens Suese'umeuoneei avec lceerarirap ,esritraui Tom 00m.b5'eos 0.150' seau qac a05set perSo 55es 5055-

qUoi le eaeade ccx ml docte O rasas joie, eusno rmiaequo,l o Omltn elle ui,e aaedioiald et la-uoamcraolrste sassa pslioddecl.

Puce, gssee'ue, pepos, massteiis, 5eldaIt en-15510, sella ne l'ouoaaeal blsimneus: 10e, dausa'eato qxi esleOt oaeaa. Las oaO.olaoo aussi ilalealde la cern, oluui quo te si'mpatlaiqae 100mb, -pli

lis er' cep dIp000sO ds lu' pair ami

Le teeispa esoaa cli est plae fasurablasl uami000 ieraoade, uarssbadllrmtpmiuos,errre-,

tleoreroe 101e, roses 1051501m ayedluuio'r,mais soan e5510es 505010 d acm se 000teomanpas nie 0000 Sznnoa 0000 batte nsgaa'.aas,,e,,bol do cloquer qae dr ta aoaeéo, ano sax,aeadoedo la eomts'euuoli.

tecan aster! torts pu euselalar aces quel me-urartn,svree r,or -mate Pritrtal, 000,iiersatlnlr'titI atrngs la rurinade slle VoIr la momrtlsruetc's nsal,ane uaeiese bn1enett:ae- leur voulri 055

rococo es r;otvruietnrelu 51 aasee viteue plu

'feovi pu- ls.r cols. ide' eteeuues-suot kluaaee p000utuao.

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La I0révmprantedes P'aaonàlleeLu dot a-Id La Pisaorparete due Isasssrlice

lsas'nroa use l,teqeùin'u qrlo Oit 1.sto ,otOit,I'aleentra ipi 40 dtiuurtiette 18 suai Oiat.roatl.

.01 o'dr. ses bueqnmc. Osent t retinnlirms ratflore 00 traePo. avra bleu rheo lu Vul 5 DuO-jeasi, F4104 do I Eae0pe

Le noir, o 8 esSorer et decom, eeiu'dm dun-seule, aa enlie. tilt-l. enlurir uo tlnuisnrtymal aar400tts0 mànt,aInvqau lem:prraurmnn ao.r-

lee nllsaltuaon pute lv banquai menai eauçrieu ps'.qu'ati jnlidr bun'000uuauo:b plmeo lePrtaclemii. 14, Pool l)uulouo, 13, ciii Oiqamt

Le CamaIl oJ adttor'otrorrun. (rouble leuetpeaareo de lu ,Soucllé 's 00e-U-en 'u re boa-

I, sum mura Itru 1mo. In priaideenu du 14.Jeun liiOeia, murmu de TOuiouau,

FAT VERLas Qetea alalonts

L- 'o aoroioic'-piu 010 ut

aet'bat oeobbu In, r005rdt Pégoilhao prriru etf la, dcanutonab va- Menacé, pour ralaps sihies;use- rut' lu poi'.i.rot'ir des epoirn Emna.rIme denae-amurimlae,utu rit la 0100e.

Colllsiaasuiet-, ares ta bleue.'. al ,tauaan, osas eeltr

00011 Leai toruatuile boioiOemaesl Lacnceaaea. eu15cr 10 t,aoitatuuoul rorlotuo 'n, orri,'O boas cl-rlttien oeesenin Ittas'uvb liteouu, nI aol,' enta-o,eiesi. detsrsSmeaol, III, oumliun do flOtemL 01urlilimatime taeqa,eprrr, 10 iam. rsoeuoia dpi-055v. dixrtctlaaitfl e-,e rio Crigoeuua t?,

Il no' a 900 ni d'aruieloat, lOi viles ouatanet olé qqelqut pro oldietivedo,

Trouvaillest eénlusuioe 1 0 lI. LulUOt rua Palpiiti'

nov. I, ace pares rie olnaaoarh.un; t M. luron,un dut Prlc,m, 20, an eue I omain, à fUIr

(lober, lu'5erse il'uieeaein, 100,00 Laïayeti,',UI ponaptilte'. an bto'vmou dru épar rit, ansrhO; oo bara,aa de puliso do îsureonhlisne_

tooii-.ezlu de dico: o M. ClerCS,. rueMage. 12. aire ',ostsrie O argn'eiiornfee'no.-duos oit eosarirhame: b M. PromIt nia lararla,rit,' laalellonemrl,un' n urus '01 lursU-lions fearatoe; b Ut. Siusud rut Vooleopoin,20 Itt, b, , env petite minacro d'aegeeet.

u

PARTI SOCIALISTE3.11 (aOQl'SILIIdeIT

lac Cunacil d omirsiisoelevmren mini , mpoqtreo:_rot r col humoreita 0e Irmuvvir oiteececr li100, las arc-, qmr s l'rncsoman du 10 fête au-:iuuie isebaorcrrmmi'e, usi gruad lerlit:u. gym-ru-rue si aoi.mul:qae auna lieu lu diseoaebmlu coi, ut Puer Tort nuou,r

Lc peegr'arOore qui peurroni O'etev dru p'onullrinll-aalu, grb,e auu aoaubro'o,nrruteouesqel lotO d'orme et dOjt oequie, ocsa pnlelrd,itfldriemeoeactsl, non la voie de lu pseone etdes obtichnn,

Doom Iruir lise lerlicou souiali'Oru et sgrss.dlo'ot,-uaen. I snob qucuiiaoi. que de neus r.lir,tIrar 5501e dus todaonrelutamaqor 000005 mrm-

O s'u oau 'quoi o000 te poatunr griseitpolao' 'Faim ara blalu Tatateuuaaa rIs di analpeasàoso.

-u--- eitaaa.nxmmms Terhmagun _ larn ce-e,ueoalsa de us Cuaasutsvica Ooebaique. oetolpet-n 4e se r-deundr issoeeeudi Il ouuoaal. eS hereon du et-e, or violé Morse.

0505mo do 0000 rldtrueautu.a do ueoSraarnuredo in 161. du 210 mat, mxasrmsaaetmiu h me.net-r.

l,osemaaamsm it05 galet. - Les oesnoeoslrutuinoze. piston de 10 .'ouaseaineeioo lise tet100,osa; prit- do se rinsuim trsts 0h eolasaes, et tenaera ils star, eordp Merles 055e lesdcilmpaes du-. dttfoirnrslsa ueqem:.oeii.oae faOa-toast bar preeseema etrr-noren b le n.mle diint_ma, psnreharri. penr purlmu.qrer t relate-Onennia 00 Pmopranueto.

sjoeiro(-e- BoIterie, - raoa,étit,imun ois ieerstuues

et rkamruux 00 uaie stural,, ta u heure. à luOIoWt 0m SOnore,, cm-O fleeiirv.

SYNDICATS001,1101' itt' TRAVAIL

Oiie ton ml ioro ' u 5molame naiouuultu luard; 13 01x1. Crrneaporr-

LE TH.ATRECSSDUUII1qUCR

'FP0510T5tE ni' cApltnLu - Omp'laesieotlon 4ey. yoimor5.oa:r, noiorirr,bs rii'll'aro ontioire doIsa 000101in.5505lçusen

'mn braseSpure la mleoea1' .samt,100 'le lIsais 0,

Repertuee 410k 0510 Ou Mcaotcl.Oielly, l'aittiseceoco ira coma Or MUra .5000110 anuair 01 Jeao0e BIse- dsn la Ceu4die-e-amlMe M. Loue ce-«esd, ma. noroozI. M. Desaearum. rie, sis,

00 cia qu'oit 0505055cc de Na mosiriras sersliurago pie M. Ulam000e Lone, l'eesOamaO cet a'as-rsir'earsatnitmn,.astreltr. flouai u la O5CrranOO, lIainoroperO leI peeaoessl eneeid000bie clic seeoeeedaale rai- ns, ce Moue ret.i, cacas Or ta usuel-ti00 k la t)o,isdir-Ftaaoaisr.

Le eenci an r toteru-,tbiaOlot a 0mo pnadal hri pomi qu' 151 cOlos dec nies dm0105. rtlsu

:15000 mass 0000 mpte'iolsts. nié 5,5- rotieec eau{rotaes Loup, ha eun'aeaialeu peicea asuelea pseesgmo de 0011es 00 OlOesbaO.

.50 os mer sirs s'a cool 50511g' vram ee,naeerS enlIe eoieatlid ou oetoc Ooas Oeeshlmr. 01 I"patiimo cern. taTtdi, Osa oeouic Oaiheauesssus àMo,eel.àoItc, 40x0 te rote quo tri c enenopse de

'151001510e PlIS Ui.511550I'EP, - .tosel'otflusrsm00 pobhu di ton enllletroeueess 11551tr mn selttdusu-iaaioii On Cossus de Ltt000itaslee ne se n.ro,insss à one o mileble pceooieee. l'usa dru reSu' sue-Im,uas uîeoeo un' cliv earureit,s oeeir let onceOaiann,erm, L'emearmrdeaosec biset, t'etd3alsee nIla 04100100 0cM-en Oser Deosari uni loua aauoI ot,urne al 10110010e luoodmmnn,maa OOthaI'épur usd0 0O'eaae .tortoelsoe, MIle Cepobi. M, 0,1,case, mUst, s' .cso,a, .5.601., sis,, sueasrefldace leI lStuaob 11e esesilnelnl les latSèe ritspinaaiess josua,

II sot eeorruiahtr miam. bd pue 0m nmlga?vosrutaouolaemro. M Audnnà es nus e000seesm. d'allocS-mn lea Oeruroero du r-cran rv'eltse t1oiccnte qur5000 place stmu Trmlo lcsear5000e, rase dus 010-sares Oyg,e de tenez Lehan,

Ce soie, 2001e do Celeir mie tazrtimlmaedg, 81-dexa t oh, mita qourt,. Loeovuueena0e,

LCd !mOe,crIshayrEt. - Ce lote. du auleacllmmise,o de lu monoe Afin Psetelllnie le tirS, mao-moIre en nlsedsssO n'oSellirr k lOotaloni. IrIonsqua solde smvnm 0V' rus lests las scie,. Stsietilt permec 051 busc, rrtie.3.Io par lei douers.oeulngtlIupot .r Iu'orll, On,, aoiaim qre loarel 001.' rrt,rs,151 npeCOatOttsl W, .0501.0 b pal ddwnl,' la pbltoecl dteiger blssrc appis,ad.essareatu, aau aei&slos.ou ddnaeatomae na ail Irtan dus au000000e. 05h0 fior p con', On eeeoau 000reor urUs on, ce donc leshoota eu! Oaeu bbifesoa,

APSLLO-TI5EATBU, - Site le 00055005 P°'cr555151.. matiodea u o ceimen sa e u hetmoeo', eu,-rire tau Ji 550m ar1000si.o I Loeér-niii lie lumecs ,, ni il a',ilr de t'lsaaØte ,-, a050aa dcl.uaeouqiies O 'r, Ourtaaed inirlui. OsoOlette OrIn moauoem, iocelohida do tu luoaiae d"apOtiO..Ioaruat,

iolu'nsacs.os'ssequreqsm iLOl',si'PWPPsP, - catins-5000cm acrapum de .peozeaemt". as oatmbirOo- I,, ,i5,0,m. drame OasO,elOs,t Lut. '.1,5'

N VLLE en-'o;e r-a

vols dis piese , dearsmo Suoonoisneenl on Oeil,pee,ae,. Vsice emsnes ta devriahertaceos, Sf011-esSe Iaeyeaaetle de? 4 unis rosse t 1h. 15,

,firtanP.iilAls C8654CtSltaPtd. - ,l,msjuted'ltor.or nuetcéa t t e150au's. si en ameda u O h. mu

SbZlSat000e .-, grae,O deuils sreiattemetrq rai Issusl001u. ri 30 iabo'eat, 10e dom rOutee ee,easpopulaIre de M. P. iausoaeslec ci M. .5,110,5, mIse..proiu pur s011_ eeearne robe, lie la Cuuedtc-e'eoa.oSe, ni bue psieollsluu aesssiSa 0e lb te'letdOraonetul, Peusaièsm poste : ' foc saoldO OcraIPliuOe - lOe0000rxo pel'lrS 1 La OmsparlaOc decr0 Or101met - Teeinileee lettre : - toluser dcl'Oeimbond , , sel iioala do te.reeoi 011100001e dsaroeimqae. m L'ofiuOatiti, de Rois deuau . 000mnol ieOrial,1 0, mli'., le.

R3ONIQUES NIIS.ITAIP5IINeeofil-aeeeir 050 m000eoria 0101 1000cm i uOOraLOn

pue lis nluamque an i nnule O ,linidisete 0.' 'POli-loues 10 ar000 O vol 5110, 00 murueo-enei, Oc

u. au o il t,u,u,m,I, 010551e relleloipo bPetntaebb I

OStmrl.s'u do eOvtcaetl oc le caon$ Or 10Iotas A. TtnmunI;

O al Mussant caixalu al itaMU itou Opom P. bo-noie:Lceoeulivlo oolb- u',usjrono% J. ne'ur.eaot'

u, Lu Olt000. doler, iOuruuiemil

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rIdASoU JSP5JJC Cll,ttSOlu. ._, Loi moped,Outa-

bt000 riomeodno par le tbellee regirmnalinir lat. Bel-le Choaaime .m cal obbosèa lueS onlreeMO ta ouests onorsasa va eoilieusuasir,

Lmunce que dicte once 1051 de loI-ml. almies dsiumoraeneaui f0, ,Mtririo Laper a nIa, phorIsa luraeeee Utie n'éeltable aurpriem ml miaeui-lie réeébltlme. replis Vmep ieugl000pn mv

eL te palilie eiaii liubutalé aux entm'ataaiozsploou ni abeurmlos do nagc-Outrlora 01 ilpouvait accabler que Ici t-ii-table nat dii-peoa de cmr suamoua thatrsalmo.

511mo lu e BeQr tltr0000te :. i sono tiuoaru1tpsler qa il l' nvad nnm'meo des oiep.lmsntaasesiro isseasomd1loe per la bmaoit si isvoi.oe gntté qir mIle, ,,enlorntenl. et con pe.n_gesot000 a, popadalre o Obtmeie te auoemiqnil ioe000it,

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Dun,er000. re000naiesmt de.,mu 'blancsd'rbueri, que cnn inaaed500uats os ranutré-rroi gu10to du eonropo en baie,su'rt leopper.k rdia lIcou. losaosmo rI m000ats, polo' unepmigadas do eii4seblleeisss. lise VOt' Ointsbisu que 10e eépebIleelox eSasllst nue pmrp160? Uoaaico qae lan oeraieo-essertro-tenta, peu ,oeabraax fisenil

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Il s'attendait a une scène terrible, à desremnirntrations. Il lut unit muta lb Itou'ver Ilne femme douce, si:amiante, trio ai-mable; eh en menue temps, il fut flatté dola métamorphose qui s'était faite en

Claire t Celait maintenant une femme, etnon plus rifle, fenarne de chambre. Elleavait employé sa matinée à se composerune nouvel° toilette, elle s'était finementchaussée; et, pendant la nuit, elle avaitemprisonné sco MainS en des gants par-fumée pour les débarrasser de la demi-rudesse que leur avait donné le travail.

Eh bien, mon pauvre ami, lui dit-el.le, en souriant de la ftujon la plus spi-situelle, voilà un coup dol sort auquel nousale pouvions; mus attendre

--Alu !Claire, vous silves que... POM-

M,,,Pra Didier, d'une voix sombre1ttos ellO Einterroimpit.

Ne parlons plus de cela, mon amide l'histoire ancienne. Votre amour

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Ma petite Claire, H faut avanl toutno pas commette,' d'imprudence; et t'enest une, inouïe gus de colport. mes !e-tre, dans un hôte,. Dieu sait entre lesrnmns ale qui elles liement tomber t... Etsi ma tante apprenait jamais..

Rassuree-vous, men ami, répliquaClaire, sans eesser de SOUriPe, l'us lettressont bien eachelées. al te les garde. N'al-leu pas maire que tje vessitto M'eu faireune arme ronire vous; isola, avec votretante, je dom rte lenir sur la defensive...Songes donc ! S'il lui prenait tout à coupa fantasme de parler de nen a un juge

d'instruction. !... faut bien que Cote idequoi lui fermer la bouche. Noua voilàdonc tranquilles, vous et moi, à cet é.gard,pour l'avenir.

Didier eut un petit mouvement de de..ception, que Claire SI semblant de ne pasremarquer. Puis, .elle demanda fort tran-quillement

Et d présent; «able:ber°ou luire de.enni ?

'Didier la regarda longuement; et il tutobligé de baisser les yeux devant les yeuxdorniriateurs de Claire. Pendmrt quelquesminutes, dessina des arabesques sur leparquet avec le boni de sa meule. Puis,reprenant son allure de boulevmdliersomatique

Vousm'avea pas, je pense, Pintent ionde sous replacer comme femme de cham-bre ?

--- boyas done semé., men ami.Votre petite déclaration .de tout

l'heure. reprit Didier, me mei à mou aiseoian vous parler franchement.

-- Al.! oui, bien franchement.Somme telle que

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vous ne saurait avoir une existenee me-i dateuse; et je ne pourrais VOU, taire, moi,qu'Une très modeste existence. Vous ...-sen quo ma tante m'alloue une rente dedeux nulle francs par mois, ce qui peutparagre extraordinaire lorsque, S cettepente, s'ajoutent deux voitures, une à Pa-ria,- une b la campagne, et deux habita-tions, c'est-h-dire que, logé, nourri, voi-ture, il me reste, en comptant le billet demille francs des étrennes, vingt-cinq mil-le frau. Pour mea vélements et nies Oui"'luise pl,aisirs....Mais je vous ai assez initigeaux dessous de /a vie élégante pour quevolis sachies que sotte somme est à peinesuffisante a lin jeune hunime qui Hen:mon rung.

Je sais tout cela, mon ami.Je m'en contente... parce que mon

seul avenir consiste ah hériter de ma tanteet que, si elle me connaissait vraiment telque je suis, c'ent-à-dire très jouisseur, trèsdépensier, aimant le jeu, les gours..., etle reste, elle serait parfaitement capablenon pas rIe me d.ésiuditer, mais de rognerrosidérablement ma part d'héritage.

Tout ça, c'est dès préambules, Monami. Au fait !

conclusion de Mut m'eh c'est que,je n'ai que mos propres ressources, etqu'elles sont Md:militantes. Tain que haen auras besoin., ma petite Claire, je niel-lent la moitié de ma pension à ta dispo-sition Mais, cintre que cela serai/ une ge-ne pour moi, cela ne peut te mener àrien. Une femme telle que toi ne peut vi-vre que dans iule belle installation, actedes chevaux, des man.. Je le les don-nera, 30.yelaSeMent, SI Je possédais demla fortune de ma texte.. Hélàs t elle a une

santé parfaite... C'est douas à toi seule degagner tout cela !

Le cynisme de Didier n'étonna pas samattresee. Elle ne s'attendait pas à unautre langage. Elle dit en riant

Voila qui est net, au moinsTu m'as demandé de 1m franchise.Cl, dans tout cela, tu ne tiens milme

pan compte de notre amour- L'mneur ne fait faire que des l-ê-

-Atoen, fil lâches Pm C'est bienainsi qu'on dit s

011 t Claire !... s'écria Didier avec unMM 5tont de ropriathe

-- Dame, mon petit. il faut bien que jefasse mon apprentissage du métier ah tuveux me lancer !

Didier répliqua gravementClaire tu es la soute femme que

j'aie année, et je l'aime soutanes; le teparle avec la plus ,grande sincérité. Ehbien, je te jure qu'entre mus l'amitiévaudra mieux que l'amour. L'amitié estune Ch.!, durable; m,yons toujours liéspar elle, plutôt que par l'amer, dont nous

falidtuerimm bien vite, Et puis,ajouta-1-H, d'un ton plus gai, l'amitiéutempteihera pas l'amour...

-- Fol, donc de moi oc que tu voudras!Apois le depsal de Didier. Claire écla-

ta en sanglots. Elle avait beau avide toutprévu, eile était écoeurée. Et, au milieu deses /armes, elle murmurait.

Oh! c'est ignoble, ignobla t.,Alais cette crise passa vite. Tout ce qui

pouvait rester de bon tql eette fille s'éva-nouit. Les cm.ils de Didier étaient, cer-tes, abommables: mals ils tombaient surun terrais particulièrement favorable.

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renouvellent irregulleres ou trop abondantes oe biell-e la Cellule la plus s'abusa se trouva affaiblie et

exposée am pires darce.. Cern aines entant sanaplus tarder faire une cure avec la

JOUVENCE de l'Abbé Soury(tonne ne cesserons de répéter ena tome Remo ,

tteint l'Are de Mans, même celle qui riêprOtiv,.mn malaise, dois faire usage de la JOIIVMMC:,de l'Abbé Sega, a des intervalles régultem. si Gevent éviter l'eux subit du sang au

cents'coligestion,l'attaque d'apoplexie, iit rupture dr:vrisme et, ce qui eSt encOre, la mort subi i

Qu'elle n'oublie pas que le sang qui da plus se.cours habituel se portera de préférence .x j

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1111M1111111111111111111111111MBIMIIIIIIIIIIIIIIIMIIIIIIMEMOClaire avait bien le came sec, la naturefruide, envi... le besoin de luxe dmgrandes courtisanes. Elle en avait aut.ila bassesse; car malgré le mépris que luiinspirait maintenant Didier, elle l'aimaittoujours, elle Patinait pentsltre plusqu'auparavant. RI elle murmurait

-- Aht tu es à Moi, va, Didier, bienmoi! Aujourd'hui c'est parce que tu a'P000 de moi, parce qU'lln mot de moi peutte briser. Plus tard, tu serne à moi, parceque tu n'aimera., que moi, malgré tous lesbaisers des outrent-

Un rneis après celte conversation., Cui-re Bérard s'appelait. Coco de Cressenvil-le, le nom de sue village, et habitait uncoquet logen.nt de la rue de Turin. ElDidiev qui la voyait en sema., edam cejndéniché l'Individu chargée° le débarras-ser de sa maltresse en l'enrichissant.

Cet individu était Daniel de ilantau-vert.

Daniel de Chantativert ayartt atteint samajorité, son beau-père, M. Lardin0iF. ',-nuit de lui rendre ses comptes de tutelleDaniel avait à lut srsao rein moiteliquides, et Didier le connaissait attsezpuma sovoir quo Ce capital gliteuralt ai-stimen S entre ses main.. Avant de lui je-ter Clara à la Vête, i/ eut d'ailleurs soinde prendre les plue minutieuses infor-mations sur sa fortune. sur un fami/le.go: etractère. /I lui er ff'd de faire totverde sa tante sue lst. Lardinois. Et i

apprd ainsi l'hiedo1re di mariage de lamitre Daniel, Juscuelà, COMMe. ,

,SynliMlisaii MG peu avec Daniel, il nos'était guère attrapé do lui, quoique M.et Mme Lardinoisi vinssent de temps en LISEZtesnape à la amedslOode. °tee à Daniel, il

nefaisait de visites a Mme Cari eret quelorsqu'elle habitait son fallut du boule-vard des Invalides Alartial Des -roche. poussait la délicatesse jusqu'à nejamais mettre les pieds à la Chesnay. Ilne voulait connaitre que ses ami. ;14Ce/le-Sai L-Cloud ; eL nul enttétena ifquelques relations ans,. les Carteret. Pa-ris, ce &était fille par defftenee peulbean-pére.

La mère de Daniel était la veuve denOfficier de cavalerie, tué à la bêle de 'Ulisrégiment dams /a to rible charge de ar-zonville. Après la guerre, elle avait dé-darda qu'elle se C.: OCralt à son etre`fusé plusOurs foi- c se remarier, qtrolfqu'elle fut encore is belle. Mais. si sonfils avait hérité 5- d Ides qualités JIJ,peu e, mus ssrmu,1 sas lui te LiIons ses deMuls. IO ealonel de Clt ej.vert avait été un /. liant, un hep Jtruts,,officier, qui avait avent confondu soucapital av. ses olelts, qui avait fat!beaucoup de fol. 1 avait 1...éfemme autant t ogrin .411e de aue_heur. Tout jeune, vtolent eptporté, dépensier; cl/rayait sa farm 1.7

qui ne voyait en q,Je '

rendait pas jus! sou in le111,,,y,n1/ eIPUr, à .

sa mère Oe sonveet MOo

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hcau.upopIrai rue,faudrait un homme peur l'étovetis

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