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Université libre de Bruxelles EXPOSITION URBAN ART AT ULB Salle Allende du 24 avril au 27 juin 2015 LIVRET en consultation et disponible sur www.ulb.ac.be/culture Une initiative de ULB Culture - DSCU [email protected] - www.ulb.ac.be/culture - ULB Culture

URBAN ART AT ULB · notes de Swing Manouche grâce à Bruno Gontier et Jean-Phillipe Leclercq. 3 ... "Phutur Primitif" et l'autre se déroulant au Barrio. » Prix : 350€ l’oeuvre

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Université libre de Bruxelles

EXPOSITION

URBAN ART AT ULB

Salle Allende du 24 avril au 27 juin 2015

LIVRET

en consultation et disponible sur www.ulb.ac.be/culture

Une initiative de ULB Culture - DSCU [email protected] - www.ulb.ac.be/culture - ULB Culture

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Mouvement artistique contemporain, l’Art urbain ou Street art regroupe les formes d’art réalisées dans la rue, les lieux publics, et englobe différentes techniques telles que le graffiti, le pochoir, l’affichage, la mosaïque, ou encore les installations. A l’origine, parmi les formes d’expression les plus connues et répandues, le graffiti et le tag ont vu le jour dans les années ‘60 et ‘70 aux Etats-Unis. Aujourd’hui, les artistes cherchent à occuper l’espace public et évoluent généralement dans l’illégalité. Ils travaillent rapidement et signent ou affichent un style personnel de façon à être reconnus. Depuis, le Street art ou Art urbain est devenu une des formes de l’art contemporain, d’une grande variété de styles et de techniques, et est entré dans les galeries. A Bruxelles, on débat sur l’opportunité de laisser cet art dans la rue : cette expression est considérée comme du vandalisme et certains graffiti sont régulièrement effacés ; et dans le même temps, les autorités passent parfois commande auprès de ces mêmes artistes. ULB Culture, au sein d’une université comme espace propice aux expressions et aux origines multiples, a invité des artistes à intervenir librement, au cœur du campus, sur l’avenue Héger, avant l’exposition. Ce travail a été ensuite monté à la Salle Allende. L’exposition se poursuit jusqu’au 27 juin et les œuvres sont également proposées à la vente. Lors du vernissage : Performance vidéo, photo et musicale de Milva Ghenda et quelques notes de Swing Manouche grâce à Bruno Gontier et Jean-Phillipe Leclercq.

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FakeR crew: Badcats

«Sur base d'un répertoire de formes tantôt géométriques à d'autres moments organiques, le collectif ‘Badcats’ invente une calligraphie d'une exubérance glacée où s'exprime l'agitation inerte des villes contemporaines. Prétexte à ces recherches, l'alphabet est déstructuré et recomposé en lettres improbables et multicolores... Elles côtoient des ‘persos’ impromptus qui promènent leur non-sens dans un univers de formes inlassablement recréées. Ils militent pour la reconnaissance de cet art, ils animent ateliers et événements régionaux (murs de libre expression, peintures en live,..). Ils réalisent des fresques pour des particuliers et lieux publics (café, restaurant,..). Jouissant d'une bonne reconnaissance du milieu au niveau européen, ils désirent faire connaître leurs travaux au grand public et aux amateurs d'art. L'esthétique de la fresque urbaine est transférée sur d'autres supports et s'ouvre à d'autres techniques : toiles, infographies, photos, vidéos,.. » «Sur base d'un répertoire de formes tantôt géométriques à d'autres moments organiques, "FakeR" invente une calligraphie d'une exubérance glacée où s'exprime l'agitation inerte des villes contemporaines. Prétexte à ces recherches, l'alphabet est déstructuré et recomposé en ettres improbables et multicolores... » Titre : Deep Flow Prix : 1.050€ (sans vernis) et 1.150€ (avec vernis) Contact : 0471.52.46.92 - Badcats

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Milva GHENDA

Venant de Paris et passant par une école de photos, cette plasticienne suit des cours aux Beaux-Arts de Bruxelles. “L’individualité, l’identité, les sentiments uniques mais collectifs. Propres à chacun et pourtant SI collectiFs. Ce système, la vie n’est pas ou plus. Utiliser l’idée du corps comme objet. Mes modèles des sentiments fragmentés par la vie, Déstrusturer. Le viol de l’intimité, marcher à l’aveuglette, le flou. Le corps féminin, l’appât du gain. Une intrusion dans des corps. L’état de stagnatioN… Démontée, démembreés et assemblées. Mise à nu je donne un second corps à mon esprit.

Expérience traumatique. Mouvement et espaces clos. Pensées et images enregistrées. Fragments. Femmes ou Filles ? Filles et Femmes. Le souvenir, la mémoire, la perte. » Performance, video et photographies. http://milvaphotographe.tumblr.com - Shorts Storys

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Sébastien JACOBS

« Travaillant depuis plus de 10 ans dans l’image et l’encadrement, j’ai eu envie de passer de l’autre côté de l’objectif et de voir Bruxelles avec l’œil d’un photographe. Cela fait donc maintenant deux ans que j’ai commencé la photographie, avec pour sujet principal notre belle capitale. Je la photographie telle quelle, sans mise en scène, je montre ses lieux, ses habitants, ses événements... Pour l’expo Urban Art, j’ai voulu mettre en avant l’art de la rue et le confronter à la photographie de rue, avec des photos souvent en noir et blanc ou assez ternes.” Titre : Urban Art Centre Ville Prix : 50€ la photo Contact : Sébastien Jacobs Photography

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JAUNE

« Pour rester fidèle à ma démarche je me suis permis de la jouer légèrement humoristique, j'espère que cela ne sera pas un soucis: Jaune, artiste bruxellois, travail principalement le pochoir en utilisant comme protagoniste de son univers le personnage du balayeur publique qu'il s'amuse à détourner de sa fonction habituelle, le balayage, pour le placer au centre de saynète décalées et humoristiques dans un Bruxelles en modèle réduit. Depuis peu, il élargit son champ d'expression en sortant du miniature pour travailler le photoréalisme à grande échelle. Dans le cadre de l'exposition Urban Art at ULB, Jaune a peint une ode à l'été subtilement intitulée "craquage de mousse", une sorte d'hymne au soleil ou du moins aux moments de détente auxquels il invite. #TousEnTerrasse ». Titre : Craquage de mousse Prix : sur demande Contact : [email protected]

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Nelson LOUIS

« J'ai été à l’Académie royale des Beaux-arts de Bruxelles en secondaire et pour le moment je suis en 2e peinture à l'Ecole de Recherche Graphique. J'ai déjà monté deux expos avec des amis, l'une se nommant "Phutur Primitif" et l'autre se déroulant au Barrio. » Prix : 350€ l’oeuvre Contact : [email protected]

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Magic KKO

Prix : 950 euros Contact : [email protected]

Sonia MARCONI

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"Spécialisée en photographie argentique noir et blanc et infrarouge, je suis attirée par toute forme et ombre extérieure qui me surprend et m'aide à réfléchir de façon introspective. Je suis passionnée de voyages et photo-documentaires: rien de mieux pour s'ouvrir à des nouvelles pensées, regards et paysages. Mais parfois il n'est pas nécessaire de voyager loin pour trouver une nouvelle lumière. Alors je préfère la profondeur à la distance et décide d'observer et dévoiler ce qui se trouve juste à côté, que ce soit un parc ou une rue, une solitude ou une illusion, la spontanéité ou la mise en scène....et j'attends. La rue devient le scénario parfait pour un monde imaginaire, rempli de rêves et cauchemars. Á l’aide d’une lampe de poche et d’un trépied, rien n’est plus comme avant: fantômes, peurs, espoirs, sensations envahissent l’espace et l’irrationnel trouve sa place. La technique photographique utilisée est du light painting sur film argentique.

Pourquoi ce projet ferait partie de l’art urbain? Parce qu’il a été créé dans la rue et surtout parce qu’il est destiné à y retourner - là où il retrouverait sa place. » 3 photos argentiques 30*40 qui font partie d'une série initialle de 7 photos. Light painting sur film. Titre: Rêves et cauchemars Prix: 200€ la photographie Contact : [email protected]

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Jean-François MEUR

« Selon la phrase de Rops : ‘J'aime créér mes rêves et m'y promener.’ Battre pavés, humer la vie, respirer l'être, croire aux toujours de demain, danser ce qu'est le bonheur de vivre. L'Urbs, tout est là. » Titre : Free city Prix : 1.800€ Contact : [email protected]

François MIGNON

« Pour expliquer mon parcours artistique je dirais que j'étais à l'école en option Art, en secondaire. J'ai alors découvert le graffiti et c’est depuis mon principal hobby. J'ai commencé à peindre en 2006. Les techniques utilisées sont les marqueurs et crayons sur papier et la peinture en aérosols ou au rouleau pour les murs et autre grande surfaces.Le style est "wildstyle" pour les lettres et les personnages n'ont jamais été mon fort. Le projet : Avec un dégradé dans les lettres en des couleurs dans les tons mauves et un fond en couleurs. Je n'ai pas grand chose à dire si ce n'est que le graffiti m'a sauvé la vie. La technique utilisée est l'aérosol sur toile. »

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Mister X

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« Born in Koln Germany, december 1980, Mr.X is a belgian self-taught artist. Kid from the 80's, he has been drowned into tv shows and music from those days. He fell into art late, as if it was something he had to do instead of following some dead-end path. Since 2008, he has been experimenting with spraycans & paint pens. The ongoing evolving work is the result of fluo punk rock brainwash...but also the sum of interesting failures. » Titres et prix : Les toiles 50*70cm : 500€/pc Le flamand rose : 750€ L'aigle réalisé sur place : 2000€ Contact : [email protected] - http://xrmmrx.tumblr.com 0471.973.865

MONK

« MONK" graphiste/ pochoiriste / touche à toutiste... Mon parcours artistique est constitué de beaucoup de gribouillages dans mes notes de cours, d'un bref passage à l'académie, de longues études de graphisme et de beacoup de soirées et de w-e passés à découper du papier et jouer avec des bombes de peinture.. »

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NEAN

Titre : L’Absente Prix : 1.100€ Contact : [email protected]

Gaspard NIBELLE

« Je suis artiste peintre depuis une dizaine d'années et j'ai rejoins il y a trois ans le collectif de Street Artists Propaganza. J'effectue habituellement des peintures figuratives tirées de photomontages personnels qui témoignent d'un instant de vie ou d'un sujet particulier. L'œuvre réalisée en deux jours pour cet événement, reflète l'affection que je porte à la météo belge, bien que nous ayons eu, exceptionnellement, un temps merveilleux durant la réalisation des œuvres. »

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PAROLE and his descendants

« Né en 1982 et vit à Bruxelles, Belgique. Peintre, performeur et sculpteur, autodidacte issu du graffiti, PAROLE est un artiste qui refuse l’assignation des pratiques, des étiquettes, l’enfermement dans la posture d’expert ou de spécialiste. Artiste pluridisciplinaire, issu du mouvement graffiti, il s’attache à la distorsion des signes, la phonétique et les mots. Son travail est multiple, au carrefour des cultures, de savoir-faire et d’outils différents, au service d’une œuvre qui gravite souvent autour de l’écriture.

« Nous étions trois, Timaël 1 an, Nahyl 3 ans et moi 33 ans. C'était la première fois que mes enfants peignaient une toile aussi grande Nahyl a utilisé une toute petite bombe à base d'eau (pour les enfants), de couleur rouge. Je lui ai juste expliqué comment appuyer sur la pipette, et le reste, c'est lui qui allait le découvrir. Ensuite, lorsqu'il a terminé sa performance, Timaël, le plus petit, a continué dans la même couleur, plus ou moins à la même échelle, mais au pinceau. Ils ont réalisé une sorte de paysage fantastique, une écriture étrange, ressemblant à de la calligraphie Arabe, et visuellement très proche du travail de Cy Trombly. Par la suite, en évitant de toucher à leur poésie, j'ai réalisé un cercle en noire, coté gauche en haut de la fresque, avec un texte en français improvisé, dans une écriture brouillée, et dissimulée. La composition en assez minimale, zen, japonisante, avec ses rythmes propres, il y a de l'air, des souffles, des vapeurs. Elle libère un espace d’interpellation et d’interprétation, de simplicité et d'innocence. Le lieu rempli de passage, la surface de lin ,la belle météo, et le thème "Urban Art", que pouvions nous espérer de mieux comme contexte pour nous amuser, pour danser les signes et la couleur, et ce... en famille! Titre : J'ai nommé l’œuvre « On est pas ici juste pour ce musée, vous avez encre tendu?! » mais Nahyl (3 ans) qui a participé à la réalisation, l'a nommée « Machine cassée » (et je trouve ça très bien). Prix : 4.500 € Contact : [email protected] - www.parole.name

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NSKLan

« Nous somme une bande de 4 jeunes étudiants en graphisme, architecture et cinéma, diplômé de Saint-Luc secondaire. »

Stephan ROGALA

Contact : [email protected]

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SOMEY

[email protected]

Caroline STAQUET « Elle suit des cours de photographie argentique depuis quatre ans en cours du soir. Son travail se penche essentiellement sur la matière et sa transformation. Convaincue que la photographie est un dialogue, elle partage depuis quelques mois ses photos et des citations d'artistes qui nourrissent sa réflexion sur son blog https://dialoguephotos. wordpress.com/ » Série Venice Beach : « Ces photographies ont été prises à Venice Beach, également connue sous le nom de Muscle Beach, à Los Angeles, à l’été 2012. Cette plage constitue l’un des symboles de la ville, sorte de centre sportif municipal à ciel ouvert, où se côtoient aussi bien artistes de rue, sportifs, touristes et sans-abris. Ces images veulent mettre en lumière ceux qui s’expriment par le mouvement et offrent au regard des toiles graphiques. » Série sur les collages et écritures urbains : « Ces images s’inscrivent dans une recherche globale sur la matière et sa transformation. La désagrégation, le passage du temps sont sources d’insoupçonnés, de potentiels. En perpétuelle transformation, la matière vibre et trace de nouvelles écritures, indéchiffrables, au gré de rencontres fortuites avec l’être humain. » Titres et prix : Venice Beach

Venice Beach, 2012 : 155 € Venice Beach, 2012 : 155 €

Série sur les collages Watermael, 2014 : 150 € Paris, 2013 : 150 € Venise, 2014 (photo d'un vieux mur et de tag) : 165 € Venise, 2014 (photo de papiers qui se décollent) : 155 €

Technique : tirage argentique Contact : [email protected]

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Orkez VAN AKA

« Van Thang ou l’expression typo graphique Influencé par la mixité architecturale urbaine et par sa culture asiatique, Bruxellois d’origine vietnamienne, il retrace les artères de la capitale par le biais du graffiti. Attiré très tôt par l’esthétique typographique, son tracé, net et précis, évolue vers un concept épuré et stylisé, où la forme, s’alliant avec le fond, le mène à travailler sur plusieurs supports et avec différents media. Caractérisé par son style visuel hyper graphique, une construction typographique équilibrée, un trait distinct très graffiti. » Contact : +32 (0) 475.783.722 www.orkez.com