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Semestre 2
Dynamique Humaine de l’organisation Cours 1
Intro
Plan du semestre - Perception :
o Connaissance scientifique vs. Intuition
o Rationalité limitée
- Décision
o Modèles de décisions rationnelles
o 7 effets de distorsion de décisions
- Influence et pouvoir
o 5 Sources du pouvoir
o 6 principes d’influence
- Morivation
o Première théories de motivations (Maslow, MgGregor, Herzberg, McLelland)
o Théories de motivation récentes ( Vroom, Locke, Bandura, Adams)
- Créativité
- Personnalité
Pourquoi étudier le OB (oganizational behavior) ?
1. En dépit de différences personnelles, notre comportement semble fonctionner selon certains
principes systématiques.
Exemple : le test de l’ascenseur, lorsqu’il y a un groupe de pression, ns avons tendance à
nous adapter, on est influencé et on réagit tous de la mm manière.
2. Notre perception semble aussi fonctionner selon certains principes systématiques. (c’est ce
que l’on ne peut voir, comme les sentiments…)
Exemple : Problème de la hanche, opération ou nouveau traitement. Quand l’alternative à un
problème est simple, on la choisit. Quand elle est complexe, nous avons tendance à rester
sur notre idée de base.
Rationalité limitée (Bounded rationality) : On traite seulement les informations jusqu’à
ce qu’on trouve une solution plausible qui ns satisfait. Après, on ne se donne plus la peine de
continuer.
Rationalité illimitée : Décision qui intègre ttes les info nécessaires.
3. Mm si des idées intuitives paraissent plausibles, elles peuvent être complètement fausses.
Exemple : Cube, le carré ds la face qui est ds la pénombre semble d’une autre couleur que
celle qui est à la lumière. Elles ont les 2, la mm couleur.
Semestre 2
Dynamique Humaine de l’organisation Cours 1
Nous sommes tous des chercheurs de l’OB car ns avons des théories intuitivement formées sur le
comportement des personnes, de par notre expérience personnelle.
Connaissance scientifique vs intuition :
Une théorie scient à tjrs ce format :
Situation (dépend de la culture, éducation, backgroung…)
Cause Effet (conséquences)
Relation ente VI et succès de l’entr
Productivité, satisfaction et créativité + motivation sont ce qui génère le profit.
(Prix – coûts variables)*(nbr de B vendus) – coûts fixes = Profit.
Compétences managériales pr notre succès
Techniques Application des connaissances spécialisées
Analytiques Diagnostique intellectuel de situations complexes
Sociales Collaboration, compréhension, motivation
Définition et niveaux d’analyse du OB
L’OB vise à explorer l’impact des individus, des groupes et des structures sur les comportements des
acteurs au sein d’une org, en vue d’améliorer l’efficacité de cette dernière.
3 niveaux : INDIVIDU, GROUPE, ORGANISATION
Les théories de l’OB sont fondée sur la psychologie, sociologie, psychologie sociale et enfin
l’anthropologie. Cela ns permet d’étudier les comportements des 3 niveaux ci-dessus au sein d’une
org.
Au niveau de l’individu
Perception
Décision
Influence et Pouvoir
Motivation
Créativité
Personnalité
Semestre 2
Dynamique Humaine de l’organisation Cours 1
Prise de de cision
L’escalade d’engagement
Définition et diagnostique
Renforcement de l’engagement envers une décision antérieure en dépit d’informations contraires.
On prends une mauvaise décision, le résultat est négatif, on la reprend quand mm. On essaye de
tourner la situation à notre avantage car on ne veut pas perdre ce qu’on a investi.
- Engagement de ressources ds un cours d’action ?
- Action ne produit pas de gains mais des pertes ?
Exemple : Nick Leeson, trader à la banque Barings.
Il investit ds le cours Nikkei, la bulle immobilière éclate au Japon, il continu d’investir, le cours chute,
la banque fait faillite. Il ne l’a pas fait pr des profits personnels mais il voulait le « succès » de son
opération.
Exemple : enchérissement avec les 10 frs. Prendre une mauvaise décision et continuer ds le mauvais
sens.
La dissonance cognitive
Elle permet d’expliquer l’escalade d’engagement.
Il s’agit d’un malaise psychologique ressenti par un individu du fait d’une incompatibilité entre 2 ou
plsrs de ses attitudes, ou entre son comportement et ses attitudes.
Exemple : Savoir qu’on est en perte (rationnel) mais continuer de miser (comportement non
rationnel).
Expliquer l’escalade d’engagement
1. Dissonance cognitive : Plus on pense devoir justifier sa décision antérieur, plus on risque de
tomber ds l’esc. d’eng. Car on se trouve des contrepoids (prétextes) pr atténuer le malaise :
oui, j’ai perdu bcp d’argent mais au moins j’ai gagné.
2. Expectancy théory : La motivation d’un individu dépend de l’attente de réussite par rapport
aux efforts fournis et de l’attractivité du résultat.
- Exemple : On est motivé si on pense qu’obtenir le diplôme de l’HEG nous permettra d’avoir
un bon travail.
Malaise psychologique (diss. cogn.)
Pression de justification de sa décision
Escalade d'engagement
Semestre 2
Dynamique Humaine de l’organisation Cours 1
Effort fourni par l’employé
Performance de l’employé
Rétribution de l’organisation
Objectifs personnels
Plus le résultat parait attractif et probable, plus on risque de tomber ds l’esc. d’eng.
3. Rationalité limitée : C’est lorsqu’on n’a pas une vision globale de la situation et qu’on se
contente de la « réponse » qui ns semble la plus probable. Notre perception est donc biaisée.
Rapport entre la théorie de dissonance et d’expectancy. Plus on pense devoir justifier nos
décisions, plus notre perception est faussée car les attentes que l’on a justifient notre
décision.
Exemple : On investit de millions de plus car on espère en gagner plus par après, on ne fait pas
attention à la situation de la bourse.
Quelques déterminants situationnels :
a) On fait un choix antérieur, les résultats sont prévisibles
- On la pression de justification de la décision antérieur (dissonance theory)
b) Le traitement de l’information est biaisé
c) Persistance de la raison de perte (on continue ds la mauvaise direction)
- Perception de probabilité et de valeur des résultats futurs (expectancy theory)
d) Escalade d’engagement
L’action des autres pt nous pousser à surenchérir et perdre de l’argent : cas des entreprises A et B qui
veulent acquérir la C pr une question de synergie et qui sont prêts à l’acheter plus qu’elle ne vaut car
ils pensent avoir bcp de profit par la suite.
L’incitation compétitive pt nous pousser aussi ds l’escalade d’engagment
Prescriptions pr l’éviter
1. Rechercher plusieurs perspectives, analyser la situation sous ts les aspects afin d’éviter le
« tunnel »
2. Redéfinir la situation : la considérer à chaque fois comme un nouveau problème.
3. Définir une limite à l’engagement : définir la somme maximale que ns sommes prêts à perdre par
exemple.
4. Eviter de se mettre la pression, surtt par rapport au temps.
5. Sortir du « feu des projecteurs » : être trop exposé pt ns pousser à prendre la décision qui est
attendue que l’on fasse et non celle qui ns servira.
6. Préparer des rapports de progrès : savoir étapes par étapes comment ns progressons.
7. Mettre l’accent sur le processus de décision et non de résultat !!
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Dynamique Humaine de l’organisation Cours 1
Modèle classique de décision rationnelles
1. Définir le problème
2. Identifier les critères de décision
3. Pondérer les critères
4. Elaborer les options
5. Evaluer les options
6. Choisir la meilleure option
Arbre de décision
courir
oui
top 5 (50%)
<top 5 (12.5%)
moteur cassé (29.2%)
autres raisons (8.3%)
non 790'000 (100%)
Semestre 2
Dynamique Humaine de l’organisation Cours 1
Distorsion de décision (recherche d'informations incomplètes)
La variable dépendante est incomplète
Dans les 2 cas
Conclusion: 100% de probabilité que le moteur casse avec des températures basses. (Causalité)
Conclusion: Il n'y a pas de corrélation (brosser les dents≠ carrière de PDG)
Conclusion: Il n'y a pas de corrélation (méthode mgmt ≠ succès)
Causes (variables)
Température (haute)
Température (basse)
Effe
ts
Casse de moteur (oui)
x x
Casse de moteur (non) x
Causes (variables)
Brossent leurs dents
Ne brossent pas leurs dents
Effe
ts
PDG (oui) x
Non-PDG (non) x x
Causes (variables)
Méthode mgmt utilisée
Méthode mgmt non-utilisée
Effe
ts
Succès (entreprise) x
Non-succès (Entreprise) x
Semestre 2
Dynamique Humaine de l’organisation Cours 1
Effets qui distordent les décisions
1. Dissonance cognitive (pression de justification + perception de probabilités et des résultats
futurs)
2. Variable dépendante incomplète
3. L'excès de confiance (overconfidence)
Tendance à surestimer sa capacité de prendre la bonne décision. (- on connait le domaine +
on va se surestimer)
Rechercher des avis d'experts extérieurs
4. Ancrage
Tendance à se focaliser dès le départ sur les informations initialement fournies (arbre de
décision)
Gains = pas prendre de risques. Pertes = risques. Si une entreprise est en faillite, elle préfère
prendre des risques.
Être alerte à l'effet et gérer activement les points de référence
5. Représentativité
Tendance à évaluer la probabilité d'un évènement en essayant de l'associer à une situation
familière. (à quel point a = b?)
Problème: en évaluant la similarité on laisse "tomber" des facteurs pouvant déterminer la
probabilité
Ex. les jeunes des rues de La Boca veulent devenir des joueurs de foot comme Maradona. Ils
biaisent l'estimation de probabilité
Être alerte à l'effet et rechercher des informations complètes
6. accessibilité mentale
Tendance à fonder ses choix sur les informations immédiatement disponibles (en mémoire)
Renforcé par: récence, emotionalité, répétitions de l'information
Être alerte à l'effet et rechercher les informations
7. Confirmation
Tendance à rechercher des informations qui renforcent des choix passés et à négliger celles
qui les contredisent
Rechercher activement des informations qui contredisent nos choix/convictions actuels.
Les 6 principes d'influences
1. Appréciation /amitié
Principe: on aime ceux qui nous aiment
Déterminant 1: similarité
Déterminant 2: louange / prévenance
Découvrir des vrais similarités et louer sincèrement
2. Réciprocité Principe: on repaye de la même manière qu'on reçoit
Ex. objets matériels (cadeaux), faveurs comportement
Donner ce que l'on veut recevoir
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Dynamique Humaine de l’organisation Cours 1
3. Preuve sociale Principe: On suit l'exemple/ les raisonnements de personnes similaires
Important que les personnes similaires à mois soient reconnues comme tels
Utiliser le pouvoir des pairs tant que possible
4. Cohérence Principe: on s'aligne avec ses propres engagements (principe de dissonance cognitive)
Produite des engagements actifs, publique et volontaires
5. Autorité Principe: on se base sur des experts
≠ la hiérarchie
Un expert crédible représente un raccourci bienvenu dans la complexité de décisions
Exposer son expertise – souvent on suppose qu'elle est évidente
6. Pénurie Principe: on veut plus de ce qu'on a moins (les choses rares nous intéresse plus)
Souligner bénéfice uniques et infos exclusive
Meilleures efficacité = combiner les éléments
Si les principes sont utilisés de manière fausse, ils vont être contre-productifs.
5 sources du pouvoir
Définition: pour un acteur A, d'influencer le comportement de B, afin que B agisse avec les souhaits
de A.
Base: la dépendance
impact
importance des ressources (de A pour B)
substiabilité des ressources (A)
dépendance
(B de A)
pouvoir
(de A sur B)
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Dynamique Humaine de l’organisation Cours 1
sources de pouvoir formel: fondé sur la position dans l'organisation
1. Coercition: capacité d'influence basée sur la possibilité de refuser de récompenser ou de
punir
2. Récompense: la possibilité de distribuer des récompenses intrinsèque et extrinsèques,
jugées profitable par le sujet.
3. Légitime: la position hiérarchique de l'individu et sur la conviction partagée qu'il a le droit
d'exercer son autorité
Sources de pouvoir personnel: fondé sur les caractéristiques de l'individu
4. Expertise: une compétence / un savoir particulier dont les autres ont besoin et qu'ils ne
possèdent pas
5. Pouvoir de référence: la possession de ressources/traits de personnalité appréciable
auxquels les autres cherchent à s'identifier (charisme)
Le pouvoir des réseaux sociaux
"clique" "réseaux entrepreneurial"
- Informations redondantes - infos diverses
- Coopération de team et control - accès à opportunités, innovations
- Maximise récompenses intangibles - haute autonomie et flexibilité
A retenir
- Développez un portfolio diversifié de contacts sociaux
- Trouvez des opportunités de brokerage
- Pour le long-terme gérer activement le réseau (confiance) et créer des interdépendances
- Comme managers: rester attentif au pouvoir des brokers
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Dynamique Humaine de l’organisation Cours 1
Motivation
Définition : processus par lequel un individu consacre une intensité, une direction et une persistance
à une tâche en vue d’atteindre un objectif.
Intensité : vigueur avec laquelle la personne se met à la tâche
Direction : effort doit être canalisé pour atteindre le résultat désiré
Persistance : durée de l’effort
Maslow
Un besoin suit l’autre
Critiques
Peu de démonstration dans la vie réelle
Les besoins ne peuvent pas être satisfaits de manière durable
Hiérarchie influencée par la culture (individualisme)
Ex. en Asie, le besoin d’appartenance est presque en première place
Mcgregor
Deux visions des cadres (X ou Y)
Ces visions dirigent les comportements des cadres envers leurs employés, comment ils essaient de
les motiver.
Employés selon théorie X Employés selon théorie Y
Sont paresseux Sont créatifs
N’aiment pas le travail Aiment le travail
Evitent les responsabilités Recherchent les responsabilités
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Dynamique Humaine de l’organisation Cours 1
Il faut les pousser à travailler L’être humain veut développer son potentiel
Conditionner les employés par des récompenses On va donner la liberté à ses personnes
Frederick Herzberg
La satisfaction et l’insatisfaction proviennent de facteurs différents.
Facteur d’hygiènes (insatisfaction) Facteurs moteurs (satisfaction)
Politique d’entreprise Développement personnel
Salaire Reconnaissance
Conditions de travail accomplissement
Les facteurs hygiènes doivent être présents pour éviter l’insatisfaction au travail, mais ne
créent pas de satisfaction.
David McClelland : Théorie des besoins
3 besoins appris motivent certains comportements
- Accomplissement : volonté d’exceller, de se surpasser, de réussir (travaillent pour eux-
même)
- Pouvoir : volonté d’amener les autres à adopter un comportement (s’engager dans des
mouvements) => les autres s’adaptent à nous
- Appartenance : volonté de fortes relations interpersonnelles, amicales (appartenance
sociale)
Un bon gérant le besoin de pouvoir et d’appartenance
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Dynamique Humaine de l’organisation Cours 1
Victor Vroom : théorie des attentes
Ou encore Expectancy Theory : La motivation d’un individu dépend de l’attente de réussite par
rapport aux efforts fournis, du résultat effectif obtenu et de l’attractivité de ce résultat.
Lien 1 : Effort -> Performance
Lien 2 : Performance –> rétribution : Il faut féliciter l’employé s’il atteint les objectifs fixés, lui
montrer de la reconnaissance.
Lien 3 : Rétributions -> obj. Pers. : L’employé cherche à être reconnu, il peut être poussé par un
besoin d’appartenance.
Cause : Ce qui pousse l’employé à agir
- Puis-je atteindre un résultat en fournissant de l’effort (lien 1)
- Quelle attractivité le résultat a-t-il pour moi ?
Effet : MOTIVATION
Exemple : Dire à son employé « fait de ton mieux » à moins d’impact que dire « Notre but est
d’atteindre une croissance de 15% du chiffre d’affaire ». Les employés se donnent plus.
Edwin Locke : Théorie des buts d’accomplissements (Goal setting theory)
Un objectif précis et difficile à atteindre, suivi d’un feedback, optimise la performance.
Les objectifs difficiles, mais décrits précisément accompagnés d’un feedback (qui ns permet de suivre
l’évolution de notre avancé) : (le feedback est l’élément essentiel)
- Captivent l’attention
- Augmentent la persévérance
- Donne de la confiance en soi à l’employé
- La tâche semble plus simple et maîtrisé
Effet : Cela booste la performance.
Application de la théorie des buts « Management by objectives »
- Les buts de l’entreprise sont subdivisés pr chaque niveau hiérarchiques (descriptions précise
pr chacun)
- Les cadres et les collaborateurs déterminent ensemble des buts individuels
Effort fourni par l'employé (lien1)
Performance de l'employé(lien 2)
Rétributions de l'organisation (lien 3)
Objectifs personnels
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Dynamique Humaine de l’organisation Cours 1
Caractéristique de buts SMART :
S : Spécifique (pour chaque département, groupe)
M : Mesurable (permet un feedback)
A : acceptable (pertinent pr les buts de l’entreprise)
R : réaliste (mais difficile)
T : temporel (critères limites en terme de délais, date, quantité)
Albert Bandura : Théorie d’auto-efficacité (Self-efficacity theory)
Attente d’auto-efficacité : croyance d’un individu ds le fait qu’il est capable d’exécuter une tâche.
Base : Attribution du contrôle (interne vs. Externe)
L’autorégulation (mastery) Sentiment d’auto-efficacité L’apprentissage vicariant
Persuasion verbale
L’état d’éveil mental
Cause 1 : Effet 1 = cause 2 Effet 2
- L’autorégulation Sentiment
- L’apprentissage vicariant d’auto-efficacité MOTIVATION
- Persuasion verbale
Ces 3 facteurs produisent un sentiment d’auto-efficacité, ce qui augmente la motivation.
John Stacey Adams : Théorie de l’équité (equity theory)
Les employés tendent à comparer les caractéristiques inhérentes à leur travail (ex : effort fourni), et
ce qu’ils en retirent (ex : reconnaissance, salaires…) à celle d’un référent. C’est-à-dire qu’ils se
comparent à d’autres.
Rétribution A < Rétribution B = Perception d’injustice (ex : trop peu payé)
Contribution A Contribution B
Rétribution A = Rétribution B = perception d’égalité (ex : perception d’équité)
Contribution A Contribution B
Rétribution A > Rétribution B = Sentiment d’injustice (ex : trop payé)
A représente le collaborateur, B le référent (ex : un collègue)
4 référents :
- Moi-même (self-inside) : expérience de l’employé à un poste différent ds la mm entreprise.
- Moi-dehors (self-outside) : expérience de l’employé à un poste différent dans une autre entr.
Semestre 2
Dynamique Humaine de l’organisation Cours 1
- Autrui-dedans (other-inside) : expérience d’un autre individu, ds la mm entr.
- Autrui-dehors (other-outside) : expérience d’un autre individu, ds une autre entr.
6 réactions, pr rétablir de l’équité :
- Adapter 1) sa contribution, 2) ses résultats (on bosse pr obtenir ce que l’on vx)
- Adapter 3) perception de soi, 4) perception des autres
- Adapter 5) la personne de référence
- 6) ou démissionner.
Ce qui importe c’est la perception d’équité :
= Perception de ce qui est JUSTE au travail. Il faut ces 3 justices pr arriver à la justice org.
La théorie de l’équité :
Cause Effet
Perception de justice organisationnelle
(Distribution/Processus/Interaction) -> MOTIVATION
Intégration des théories de motivation
McClelland : Besoin d’accomplissement
Bandura : Adams : Maslow/McClelland :
auto-efficacité Equité Besoins
Locke : BUTS
Justice organisationnelle
Justice procédurale :
Equité ou processus pour
définir la rétribution
Justice interactionnelle : Traitement avec respect et dignité
Justice distributive : Equité de la rétribution
Effort fourni par l'employé Performance de l'employé Rétributions de l'organisation Objectifs personnels
Semestre 2
Dynamique Humaine de l’organisation Cours 1
Personnalité et créativité
Les « big five »
1. Ouverture à l’expérience : intérêt à tt ce qui est nouveau. Personnes créatives, curieuses,
sensibles aux arts…
2. Consciencieux : Degré de fiabilité. Personnes responsables, organisées, fiables
persévérantes…
3. Extraverti : Capacité d’être en relation avec autrui. Personnes sociables, assurées,
énergétiques…
4. Agréable : propension d’être agréable envers les autres. Personnes coopératives,
chaleureuses, confiantes…
5. Neuroticisme : instabilité émotionnelle. Personnes nerveuses, inquiètes, dépressives, non-
sécurisées…