Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

Embed Size (px)

Citation preview

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    1/68

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    2/68

    NEXUS MAGAZINE

    Anne 4 - N 18 - JANV/FEV 2002DIT PAR

    ditions MOAN, Les Cheyroux 24580 Plazac - France- Tel. 05 53 50 69 16 - Fax 05 53 50 71 10

    e.mail : [email protected] : http:www.nexus.fr

    DIRECTRICE DE PUBLICATIONMarie-Hlne COURTAT

    DITRICEAnne GIVAUDAN

    CONSEILLER SCIENTIFIQUEAntoine ACHRAM

    CONSEILLER TECHNIQUEJean-Louis GUASCO

    SECRETARIAT ET PUBLICITEMichel CHRTIEN

    MAQUETTE :Laurent Caignard Crations - 05 53 07 81 53

    ILLUSTRATIONSDessins : Peter Eade

    Somerhill - Guy Nicola Bernard Leblanc-Halmos

    IMPRIMEURImprimerie RICOBONO

    115, Chemin des Valettes83 490 Le Muy

    COMMISSION PARITAIREDpt lgal : Avril 1999 - ISSN 1296-633 X

    DISTRIBUTION FRANCEN.M.P.P.

    BUREAU CENTRALPO Box 30, Mapleton, Qld 4560, Australie

    Tl. : (07) 5442 9280 - Fax : (07) 5442 9381e-mail : [email protected]

    site : www.nexusmagazine.com

    BUREAU DE NOUVELLE-ZLANDEPO Box 226, Russell, Bay of Islands.

    Tl. : +64 (0)9 403 8196e-mail : [email protected]

    BUREAU DES TATS-UNISPO Box 177, Kempton, IL 60946-0177

    Tl. : (815) 253 6464 - Fax : (815) 253 6454e-mail : [email protected]

    BUREAU DE GRANDE-BRETAGNE55 Queens Rd, East Grinstead, West Sussex,

    RH19 1BG - Tl. : +44 (0)1342 322854Fax : +44 (0)1342 324574

    e-mail : [email protected]

    BUREAU EUROPENPO Box 372, 8250 AJ Dronten,

    Pays-Bas Tl. : +31 (0)321 380558Fax : +31 (0)321 318892

    e-mail : [email protected]

    DCLARATION DE RAISON DTREConscient que lhumanit traverse une importante prio-de de transformation, NEXUS sefforce de fournir desinformations indites afin daider tout un chacun tra-verser ces temps. NEXUS nest rattach aucune ido-logie religieuse, philosophique ou politique, ni aucuneorganisation.

    AUTORISATION DE REPRODUCTIONLa reproduction et la dissmination de linformation conte-nue dans NEXUS sont activement encourages ; nanmoins,

    toute personne prise en tirer un avantage financier sansnotre accord exprs aura en rendre compte.NEXUS nest aucunement responsable de la teneur desarticles et annonces qui sont sous la seule responsabi-lit de leurs auteurs. Pour tout problme de sant, leslecteurs sont invits prendre lavis dun mdecin.

    IMPRIM SUR PAPIER RECYCL

    100%BLANCHI SANS CHLORE

    Nous sommes descitoyens plantaires !

    Nous sommes des citoyens plantaires ! Grce laviation, la tlvisionet maintenant Internet, cest chaque jour un peu plus vrai. Alors quelAmrique se fait la championne du matrialisme le plus sauvage, quetout peut tre sacrifi sur lautel du dieu argent , de lAngleterre nousvient un souffle nouveau. Sa terre reoit de mystrieux pictogrammes qui laissent lemonde sans voix et ses crivains nous enchantent . Harry Potter et Le Seigneurdes anneaux nous ouvrent toutes grandes les portes du monde de la magie et dumerveilleux. il faut croire que nous nattendions que cela car livres et films reoiventun accueil plus quenthousiaste ! Le matrialisme le plus intransigeant rveille entout un chacun les lans les plus irrationnels. Ce nest finalement pas si trange,cest probablement une question dquilibre

    !Nexus est plus que jamais le porte-parolede nos proccupations daujourdhui. Sesoigner par la lumire, communiquer partlpathie ou se chauffer lnergie cosmi-que nappartiendront pas toujours au mondede la magie . Les scientifiques ne pour-ront pas toujours ignorer tout ce quils nepeuvent expliquer. Certains lont dj com-pris et des tudes sont en cours. Elles nese font malheureusement pas encore augrand jour et avec tous les moyens nces-saires mais cest juste une question detemps.

    Notre objectif est de faire connatre tout ceciparce que nous avons besoin de sortir des sentiers battus et rebattus dans lesquelsnous sommes enliss afin de pouvoir envisager pour la terre un autre avenir.Puisque le moment est venu de renouveler nos vux, nous vous souhaitons pour2002 des boules de joie et empruntons Bernard Leblanc-Halmos un petit texte mditer :

    La joie a un petit corps en peau de chagrin. A la fois farouche, mutine et cline, ellea vite fait si lon y prend garde, de disparatre labri des regards malveillants.

    Pourtant, malgr cette timidit apparente,rien ne peut la troubler. Elle demeure immi-nente et prte tout. Son petit corps plusvaste que le temps, lespace, la vie et lamort runis, plus vaste que locan primor-dial de matire-lumire, plus vaste que lin-fini, reste libre de vagabonder ds linstanto lon ne cherche pas lemprisonner. Lajoie est une merveilleuse compagne de tra-verse qui dpasse les eauxterritoriales et les grandes lignes toutes tra-ces.

    Alors bon vent et joyeuse anne 2002

    Marie-Hlne Courtat

    dito

    NEXUS N 18

    Nous vous prsentons toutes nos excusespour les pages illisibles du Nexus n 17.

    Les pages 17 31 ont t rimprimes

    et sont disponibles sur simple demande au journal.

    La joie est une merveilleuse

    compagne de traverse

    qui dpasse les eaux territoriales

    en lignes toutes traces.

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    3/68

    REGARD SUR LE MONDE P. 3Lactualit passe sous silence, depuis le rcent test de

    missile guid par GPS du Pentagone la mise au pointdun systme de fiscalit mondial.

    Crop CirClesLa cuve 2001 P. 9de Gavin DingleyAu milieu de lt, les champs anglais ont t le thatredun bel assortiment de pictogrammes dont un normevisage pixelis et une version digitalise dun messageenvoy de la terre dans lespace par les chercheurs en1974.

    soigNer par la lumire P.15La dcouverte de labsorption de lumire par les organis-mes biologiques, de son stockage dans lADN et de sarestitution des frquences spcifiques qui permettent lamatrise des processus biologiques, provoque une rvolu-tion dans le domaine des thrapies.

    Wall street, Ciaet trafiC de la drogue P. 23

    du rseau Guerrilla NewsMike Rupperts, ancien officier du Narcotic Bureau amri-cain, nous rvle les coulisses du trafic organis par laCIA, du blanchiment de largent Wall Street et desmanoeuvres de larme de larme amricaine enColombie.

    pouvoirs psyChiques P.41La recherche en ex-URSS

    pendant la guerre roide

    par Martin EbonEn 1952, la CIA fit connatre son intrt pour les percep-tions extra-sensorielles tout en gardant un oeil ouvert sur larecherche sovitique en parapsychologie. Mais en 1981,laCommission parlementaire de la science et fe la technolo-gie demanda une valuation prcise des applications duprogramme de recherche psy amricaine.

    Nouvelles de la sCieNCe P.49Observations aux confns du systme solaire

    de Jean-Pierre Petit.Entre les galaxies compactes, il y a dnormes vides.

    Lhypothse ghnralement admise par le milieu scientifi-que est quil existe une matire sombre et froide quiremplit ces vides. Lors dun rcent colloque, JP Petit amis une nouvelle hypothse selon laquelle il existerait undeuxime univers constitu de matire ombre qui seraitrpulsif au premier. Les observations des sondes amricai-nes Pioneer pourraient bien apporter de leau son mou-lin.

    eNergie libre P. 55Domestiquer lnergie cosmique universelle

    2me partie

    par Gavin Dingley.Certains aspects du rcepteur dnergie radiante de Morey

    restent un mystre, ainsi que la nature mme de lnergiepour le captage de laquelle il tait conu, avec une puis-sance potentielle illimite.

    ChRONiqUES SPATiALES 61Les gants ont bel et bien exist !

    par John MountDes rfrences aux gants se trouvent dans le folklore,lart ou les documents darchives historiques, mais lespreuves irrfutables de leur existence demeurent introuva-

    bles ou ont t secrtement effaces.

    LiRE : Lu et apprci pour vous P.66

    BOUTiqUE LiVRES MUSiqUES P.68Disponibles au journal

    ANCiENS NUMROS NEXUS P.70

    BULLETiN DABONNEMENT P.

    72GRiLLE PETiTES ANNONCES

    sommaire n 18

    Encart NEXUS FRANCE 18

    Une information technologique encode

    dans les Crop Circles............................. 31Tmoignage : Comment se forme

    un Crop Circle..................................... 33Bonnes Nouvelles :

    - Agir aux racines de la violence.......... 35- Parler aux animaux............................ 36- Nouvelles Internationales................... 37

    Courrier des Lecteurs France................. 39

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    4/68

    le Dr Jeff Patterson, le mdecin de lUni-versit de Washington qui a consacr unebonne partie de sa vie essayer de nousduquer sur les dangers des armes nuclai-res, est plus quinquiet, tout comme ungrand nombre dautres personnes, de voirque nn b n cn n n - c nn- nn n

    n. On trouve des preu-ves de cela dans un articledun journaliste dune agencenationale, Joe Conason, quele docteur Patterson a faitparvenir au magazine enligne Salon . Il prtendque le Pentagone a truqu letest de dfense anti-missilesdu mois dernier. En accord parfait avec leplan, la cible a t instantan-ment rduite en fume lorsde limpact et, avec elle, ou

    du moins cest ce quesp-raient les reprsentants duPentagone, le perptuel soucique la dfense anti-missilesne fonctionne pas, a critConason. Grce la coopration de gran-des organisations de presse et de pontifesconservateurs, cet essai a redonn de lavigueur la proposition de Bush, qui defaon assez opportune, avait t aborde auCongrs amricain par les reprsentants duMinistre de la Dfense juste deux joursplus tt. Il ny a quune seule chose queles heureux reprsentants ont oubli dementionner propos de leur dernier essai ,poursuivait-il. Le missile lanc depuisVandenberg tait dot dune balise GPS

    [systme mondial de localisation par satel-lite] qui guidait le vhicule cible vers lui.Autrement dit, il serait juste de dire que cetessai qui a cot 100 millions de dollarstait truqu ! Larticle de Conason dplo-rait le fait que les principaux mdias naientpas exploit ce point, mme si le Pentagonea confirm le rle jou par un systme GPS un reporter du magazine Defense Week

    plusieurs jours aprs lessai.

    Soit ils ont dissimul linfor-mation soit ils lont ignore, a dclar le journaliste, vu la servilit avec laquelle ilsavaient clbr cette dcou-verte technologique capitaledeux semaines auparavant.Mais ceci nest que la partievisible de ce qui se passe dansla tentative pour vendre lesystme de dfense, a soute-nu Conason. Le Pentagoneet la Maison Blanche de Bushont bien lintention de rpri-

    mer toute divergence dopi-nion sur les capacits de leurjouet favori , a-t-il ajout. Ils nont pas cess de chercher reclasser secrets des docu-

    ments montrant que le systme ne fonc-tionne pas si bien quannonc. Et au coursde ces dernires semaines, ils ont tentdintimider Theodore Postol, professeur auMIT (Massachusetts Institute ofTechnology) qui est actuellement le plusgrand dtracteur du pays de la dfense anti-missiles. (Source : par Dave Zweifel, 21 aot 2001,

    envoy www.rense.com)

    LESSAI ANTI-MISSILESDU PENTAGONE TRUQUAVEC UN SYSTEMEGPS A BORD

    Page 3 NEXUS N 19

    regard sur le monde

    regard sur le monde regard sur le monde regard

    sur le monde

    ALLEMAGNEDES CELLULESCRBRALES VIVANTESRELIES DANS UNCIRCUIT LECTRONIQUE

    Pour la premire fois,

    des scientifiques ont associ

    de multiples cellules

    crbrales des plaquettes

    de silicium afin de crer un

    circuit lectronique mi-vivant

    mi-mcanique.

    pour construire ce circuit lectroni-que partiellement vivant, desscientifiques de lInstitut deBiochimie Max Planck en Allemagne ontrussi coller de multiples neuronesdescargots sur de minuscules puces transistor et ont dmontr que les cellulescommuniquaient entre elles ainsi quavecles pastilles. Cette avance constitue unpas important vers un objectif qui relvepour linstant plus de la science-fictionque de la science : dvelopper des rtinesartificielles et des prothses qui soientdes extensions du systme nerveuxhumain. Lide est de combiner les capa-cits mcaniques des circuits lectroni-ques la complexit et lintelligence

    extraordinaires du cerveau humain. Cesassociations de biologie et de technologiepourraient non seulement aider un jourles aveugles recouvrer la vue et lesparalyss faire bouger des objets par lapense, mais aussi permettre de construi-re des ordinateurs aussi inventifs et adap-tables que notre propre systme nerveuxainsi quune gnration de robots quimriteraient vraiment dtre qualifisdintelligents.

    (Source : Washington Post, 28 aot 2001

    - Voir aussi www.lemonde.fr, dition du

    15-11-01)

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    5/68

    regard sur le monde

    le procs, intent auprs de la cour fdrale de grande instancede Manhattan contre Pfizer, demande des dommages et intrtsnon spcifis au nom de 30 enfants ayant particip lexpri-mentation dun mdicament Kano, dans le nord du Nigeria.Selon les dires du procs, ces enfants faisaient partie des 200 jeunesqui participaient lexprimentation du Trovan, un mdicament quinavait pas encore fait ses preuves, administr sous une forme jamaisteste sur lhomme auparavant. Parmi les plaignants de ce procs,figuraient les familles de sept des onze enfants dcds suite leurparticipation cette exprimentation. Daprs le procs, ces essais ontt mens durant une pidmie de mningite bactrienne au Nigeria

    o les enfants avaient dsesprment besoin de soins mdicaux. Plutt que de donner aux enfants un traitement sans danger, efficace etayant fait ses preuves, Pfizer a dcid de slectionner des enfants pourquils participent lexprimentation mdicale dun nouveau mdica-ment, pas encore expriment et nayant pas encore fait ses preuves,sans avoir au pralable obtenu leur consentement en pleine connais-sance de cause, a-t-on dclar au procs. On affirme que ce mdica-ment tait connu pour avoir des effets extrmement graves, qui ontrapidement fait surface au cours des exprimentations dans une villeappauvrie, victime dpidmies de mningite bactrienne, de rougeoleet de cholra. Pfizer aurait acclr ses plans pour mener bien sesessais, prenant diverses mesures, en violation du droit international,

    des rglementations fdrales et du code dontologique.

    (Source : Tampa Bay Online, 29 aot 2001, http://apetbo.com)

    Pfizer accus davoir tu

    des enfants avec desmdicaments non tests

    ON INCITE LESINDIENS A ALLUMERLEUR TLVISIONET A METTRE LESEXE EN VEILLEUSE

    Page 4NEXUS N 18

    Pfizer Inc. a t accus davoir provoqu deslsions crbrales et mme la mort chez desenfants nigrians lors de lexprimentationsecrte dun nouveau mdicament contre la

    mningite en 1996.

    lInde espre scotcher les gens devant leur crande tlvision lheure daller se coucher, defaon ce quils cessent davoir des relations sexuel-les et pouvoir ainsi contrler cette population de plusdun milliard dhabitants, a rapport ce jeudi un jour-

    nal local. Dans le cadre de sa politique de planifica-tion familiale, le gouvernement a dcid de baisser leprix des postes de tlvision pour le peuple indienpriv de divertissement, a dclar le Ministre de laSant C. P.Thakur. Le divertissement constitue unepart importante de la politique en matire de popula-tion, a affirm le Times of India, citant le ministrequi sadressait aux lgislateurs du Parlement. Nousvoulons que les gens regardent la tlvision. Lesdputs ont dclar quils craignaient que la popula-tion de lInde, qui a franchi la barre du milliard enmai, ne dpasse bientt la nation la plus peuple dumonde, la Chine.(Source : Reuters, 30 aot 2001, ladresse :

    www.iol.co.za/html/frame_news.php)

    LA FUMEE DE LENCENSEST CHARGEE DEPRODUITS CHIMIQUESCANCRIGENES

    aTaiwan, des chercheurs ont dcouvert que lafume produite par de lencens que lon fait

    brler est charge de produits chimiques cancrig-nes. Les taux dun produit chimique suppos provo-quer le cancer du poumon taient 40 fois plus levsdans un temple mal ventil de Taiwan que dans desmaisons o les gens fumaient du tabac. Lencens quelon fait brler engendre aussi une pollution plus forteque la circulation routire au carrefour du coin. TaChang Lin, de la National Cheng Kung University deTainan, a dclar au magazine New Scientist : Nousesprons vraiment que faire brler de lencens nap-porte quun bien-tre spirituel, sans aucun inconv-nient physique.

    (Source : BBC News, 2 aot 2001, http://news.bbc.

    co.uk)

    La techno-science triomphante

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    6/68

    DES ANIMAUX DELABORATOIRE RENDUSSI FOUS QUE LES ESSAISNE SONT PAS VALABLESlindustrie de plusieurs milliards de dollars appele recherche animale a atteint un nouveau pic defolie.

    Des scientifiques amricains disent quils ont trouv lespreuves selon lesquel-les le simple ennui queconstitue la vie dunanimal de laboratoireen captivit peut suffire provoquer des lsionscrbrales ou entra-ner la folie et rendreainsi de nombreusesexpriences non valables. Pour commencer, utiliser desanimaux pour tester les effets de mdicaments et produits

    chimiques potentiellement dangereux en tant que mesureutile la sant de lhomme est absurde et insens. Lesexprimentations animales ne servent qu protger lesfabricants sur un plan lgal et nont pas ou peu de fonde-ment scientifique. Cest la raison pour laquelle des gensmeurent chaque jour des effets de mdicaments et produitschimiques soi-disant sans danger. Il existe beaucoup dedonnes montrant que la physiologie des animaux est trsdiffrente selon les espces, pour ne pas parler des hom-mes en ce qui concerne les ractions aux mdicaments,aux vitamines, aux produits chimiques ou encore la psy-chologie. Alors pourquoi se proccuper de savoir si lesrsultats sont imparfaits pour cause de folie ?(Source : The Guardian, Londres, 28 aot 2001, www.

    newsunlimited.co.uk)

    regard sur le monde

    Page 5 NEXUS N 18

    AUSTRALIE :LE SILICIUMPARLE A LAVITESSE

    DE LA LUMIEREles micro-puces de silicium pou-raient communiquer par la lumire,

    ouvrant ainsi la voie des ordina-

    teurs plus rapides et plus puissants.

    dans le cadre de ce qui constitue une pre-mire mondiale pour les chercheurs austra-liens, le Professeur Martin Green, quidirigeait une quipe de lUniversit de Nouvelle-

    Galles du Sud, a annonc quils avaient dcouvertque c-c c n c-n , n n n nc -n. Les nouveaux systmes de silicium rendentinutiles le montage et le cblage actuellement utili-ss pour faire communiquer les puces entre elles.Ceci signifie que les micro-puces peuvent sen-voyer des signaux directement, augmentant ainsi lavitesse de traitement ; et puisque la lumire estproduite par une petite quantit dnergie, on peutouvrir le circuit pour effectuer de nouvelles opra-tions.(Source : The Weekend Australian, 25-26 aot

    2001, www.theaustralian.com.au)

    H reculez une seconde. Nous navons pas encore fini de nous scher !

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    7/68

    regard sur le monde

    La communication via des ondes de pense et des sta-tions de radio personnalises va remettre en questionles mdias dinformations traditionnels, selon un

    universitaire amricain spcialis en journalisme. Lancienjournaliste du New York Times et directeur du dpartementde journalisme de lUniversit du Maryland, ThomasKunkel, a dclar lors dune confrence Brisbane que cettetechnologie ne se contentait pas de mener la marche maisquelle avanait toute allure. Oubliez la technologie du21me sicle ; dici cinq ou dix ans peine, nous seronsconfronts un genre dinnovations la Buck Rogers, adclar M. Kunkle. Ces deux dernires semaines, jai eudes conversations avec des gens srieux montrant quelpoint nous sommes prs de pouvoir communiquer via la

    pense. Pas laide de tours de passe-passe tlcintiquesmais grce des ordinateurs capables de lire les empreintesdes ondes crbrales individuelles. Imaginez les implica-

    tions commerciales dune telle chose, pour ne rien dire desimplications morales et thiques. Il a dclar que des cher-cheurs amricains avaient aussi dvelopp la capacit detransmettre des super-micro radiofrquences. Ceci pour-rait ouvrir la voie une diffusion personnalise de linfor-mation : votre propre chane, si vous le souhaitez, qui nesadresse qu vous, qui opre en votre nom, 24 heures sur24, a dclar M. Kunkel.Il a affirm que ces changements, combins une impor-tance accrue des profits et de la rationalisation des entrepri-ses, signifiaient que les journalistes et les organisations depresse devaient rflchir avec plus dattention aux principesde base de leur profession comme lthique et la valeur delinformation.(Source : par Paul Osborne, AAP, Herald and Weekly Times,16 juillet 2001)

    Les nouveaux billets europens

    possdent des caractristiquesde scurit secrtes

    La Banque Centrale Europenne (BCE) dclare que la monnaie centrale europenne, leuro, sera protgedes contrefaons par une kyrielle de mesures de scurit invisibles. Un porte-parole affirme que les nou-veaux billets seront protgs par pas moins de 90 caractristiques anti-fraude, dont un grand nombre

    constitue un secret jalousement gard. On prvoit dintroduire les billets dans 12 pays europens le 1er janvier2002. Lintroduction de leuro constituera le plus gros transfert de monnaie de lhistoire et la BCE tient absolu-ment empcher les faussaires de profiter du manque dhabitude du public. Actuellement, aucun billet necomporte autant de caractristiques de scurit, dclare un porte-parole de la BCE. Cette monnaie a t conuepour tre facilement reconnaissable et possdera des caractristiques anti-fraude familires telles quun filigra-ne, une bande mtallique, un hologramme et des marquages iridescents. Ceci devrait viter au public dtre duppar des faux de mauvaise qualit. Les billets possderont aussi des mesures anti-fraude caches que lon trouvedj sur des billets existants, comme une micro-impression uniquement visible au microscope ou des marquagesnapparaissant que sous la lumire fluorescente. Mais cette monnaie possdera aussi des caractristiques secr-tes dont certaines ne sont reconnaissables qu laide dun quipement spcial et dautres peuvent tre auto-matiquement reconnues par le nouvel quipement de tri des banques. Les caissiers seront capables de vrifierles billets laide dun quipement spcial et les banques centrales possderont des trieuses sophistiques pou-vant dtecter des proprits particulires, affirme un autre reprsentant de la Banque Centrale.

    (Source : New Scientist, 31 aot 2001)

    Communiquer par la pensegrce des ordinateurs

    Page 6NEXUS N 18

    Nous sommes prs de pouvoir communiquer via la pense. Pas laide de tours de passe-

    passe tlcintiques mais grce des ordinateurs capables de lire les empreintes des ondes

    crbrales individuelles

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    8/68

    Les rayons cosmiques sont peut-tre loriginede lappauvrissement de la couche dozone

    regard sur le monde

    Page 7 NEXUS N 18

    La radiation de haute nergie de lespace intersidralest peut-tre en train de faire un trou dans notre cou-che dozone. Une nouvelle tude, publie dans

    Physical Review Letters (13 aot 2001), trouve une corrla-tion entre les rayons cosmiques, ainsi quon les appelle, etlamincissement de la couche dozone et elle montre, laide dexpriences, comment les rayons cosmiques pour-raient dtruire lozone. Les rsultats pourraient aider lesscientifiques tudiant latmosphre amliorer leurs mod-les dappauvrissement de lozone.Depuis 20 ans, les scientifiques reconnaissent que des

    molcules de chlore actif issu de chlorofluorocarbones desynthse (CFC) dtruisent lozone. La croyance populaireveut que la lumire ultra-violette du Soleil libre le chloreactif des CFC. Cependant, cette thorie pose un problme.Pendant le printemps polaire, lorsque la diminution delozone est la plus forte, des nuages de glace gants blo-quent la lumire ultra-violette du Soleil. Ces dernires

    annes, des chercheurs ont mis lhypothse que ces nuagespouvaient contenir des CFC et quun processus se droulantau plus profond deux-mmes dcomposait les CFC enchlore actif. Mais comment ce processus pouvait se drou-ler sans lumire ultra-violette demeure un mystre.Noya Leon Sanche et Qing-Bin Lu de lUniversit deSherbrooke au Canada pensent savoir ce qui provoque lalibration de chlore actif. Tous deux croient que les rayonscosmiques de lespace intersidral pntrent dans ces nua-ges et frappent les lectrons libres. Ces derniers interagis-sent avec les CFC pour librer les molcules de chlore actif.

    Selon Sanche et Lu, ces molcules peuvent rsider lint-rieur dun nuage polaire de glace jusquau printemps moment o il se dissout et les relche dans latmosphre.

    (Sources : Scientific American, www.sciam.com/

    news/080801/2.html ; New Scientist, www.newscientist.

    com)

    Cest dj assez moche quil nous ait mis la porte,

    mais les extra-terrestres aussi ?

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    9/68

    regard sur le monde

    Page 8NEXUS N 18

    Un systme fiscal mondial lordre du jour !

    Cela narrivera jamais, tait la rponse quasi-universelle nos premiers reportages sur une fiscalit mondiale il y apresque dix ans. Cependant, aux Nations-Unies, on croitque cela va arriver et sans tarder. En fait, une autre ConfrenceMondiale est prvue du 18 au 22 mars 2002 Monterrey, auMexique, pour examiner les recommandations dun comit spcialform de hauts responsables sur le Financement pour leDveloppement, qui travaille sur la question depuis le Sommet du

    Millenium de lan dernier. Le rapport prliminaire du comit estmaintenant rendu public et oh surprise la fiscalit mondiale faitpartie des recommandations. Leur rapport va bien plus loin quunesimple fiscalit mondiale : il propose de donner aux Nations-Uniesle contrle sur toute lactivit conomique. Le rapport est consulta-ble dans son intgralit ladresse www.un.org/esa/ffd/.A lpoque, beaucoup ont cart la Dclaration du Millenium,jugeant que ce ntait que du vent brass pardes bureaucrates lego dmesur.En ralit, depuis son adoptionpar les chefs dtat de plus de 150pays, elle donne carte blancheaux Nations-Unies pour faire cequil faut afin darriver un gou-

    vernement mondial. Le rapportcomporte 12 recommandationsprincipales, depuis lobligationpour les pays pauvres de mettrede lordre dans leur systme cono-mique jusqu la cration duneorganisation fiscale mondiale. Envoici quelques exemples : sassurer que les pays industria-liss contribuent raison de 0,7 % deleur PIB aider les pays en voie dedveloppement dans le cadre dun fonds commun devant tre distribu par les Nations-Unies ; crer un Conseil de Scurit conomique mondial, comme pro-pos par la Commission pour un Gouvernement Mondial ; crer une Organisation Fiscale Internationale ; tablir une source dimposition internationale approprie , savoir, la Tobin Tax sur les changes de devises et un impt mondialsur le carbone (lemploi de combustibles fossiles).Ces quatre recommandations ne constituent que les grandes lignesdu contrle conomique mondial. Dautres recommandationsdemandent aussi une coordination plus troite entre des institu-tions telles que la Banque Mondiale, le Fonds MontaireInternational, lOrganisation Mondiale du Commerce, le Programmedes Nations-Unies pour le Dveloppement et des partenaires issus du monde des affaires, de la socit civile et dautres organi-sations intergouvernementales.

    l Cn sc cnLe rapport de la Commission pour un Gouvernement Mondial,

    Notre voisinage mondial , consacre plus de 40 pages sur 410(p.157 196f) une discussion dtaille du nouveau Conseil deScurit conomique (ESC). Il recommande 23 membres, slec-tionns selon un principe dalternance, sans quaucun ne possde ledroit de veto et sans membres permanents, et prconise une mtho-de de consensus plutt quun vote pour prendre les dcisions.Sous les auspices de cette nouvelle cration des Nations-Unies,seraient rassembls tous les organismes et toutes les organisations

    ayant une influence sur lconomie internationale. La recomman-dation de la CGG rentre dans des dtails considrables sur le faitdenglober la mise en application des traits sur lenvironnementdans les responsabilits du nouveau ESC et de lOrganisationMondiale du Commerce. Tous les mcanismes dchanges finan-ciers tomberaient sous lautorit de cette nouvelle entit, conditionpralable au dveloppement dun mcanisme de collecte desi m p t s mondiaux, quelle que soit leur origine.

    un nn c nn-n

    La proposition de cette nouvelleorganisation des Nations-Unies est

    trs ambitieuse. La prsentantavec des termes qui suggrentquil y a un certain mrite li-miner la comptition fiscale ,le Comit form de hauts res-ponsables explique tous les mer-veilleux avantages quune telleorganisation pourrait offrir. Ellepourrait fixer une politique fisca-le internationale, par exemple,

    pour sassurer que tout le mondesoit impos de manire quitable

    et que les pays socialistes, dont letaux dimposition va jusqu 70 et mme 80 %, ne soient pas dsa-

    vantags par rapport aux Etats-Unis o le taux dimposition est trsbas. Elle envisage des politiques prvoyant quun ressortissanttranger, qui se trouve travailler en Amrique, paye des imptsdans son pays natal sur les revenus perus en Amrique. Elle envi-sage aussi de formuler un impt mondial sur le revenu. Cetterecommandation inclut le partage dinformations entre lesnations, coordonn par lintermdiaire des Nations-Unies afin desuivre, partout, lactivit conomique de chaque personne et dechaque entreprise.La proposition de la cration de cette organisation est lordre dujour de la rencontre du mois de mars, ainsi que dautres recomman-dations. Cest un fait bien rel ce nest pas du domaine de lima-gination et cest encourag par les grands dirigeants de cemonde.

    Traduction : Christelle GUINOT(Source : par Henry Lamb, Environmental Conservation Organization,

    http://eco.freedom.org/el/20010901/gtax.shtml)

    Un rapport qui va bien plus loin quune simple fiscalit mondiale : il proposede donner aux Nations-Unies le contrle sur toute lactivit conomique

    Ils sont malins Ils placent

    toutes ces choses sous le

    nez des adultes !

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    10/68

    Les sceptiques avaient mis denombreux avertissements ausujet de la pauvret de la

    rcolte de cette saison. Fin 2000, lapremire poursuite judiciaire jamaisintente au sujet dune formation,canular dun homme, qui fut trs

    mdiatise, suggrait que les artistesadeptes du land-art resteraient tous la maison par peur de la loi. Lamenace de lourdes amendes pour

    infraction qui pesait durant la crisede la fivre aphteuse qui affecta leRoyaume-Uni les assurait encoreplus de la difficult quaurait appa-ratre tout crop circle. Et mme sily en avait, personne naurait lauto-risation de les visiter.

    Aucune de ces sombres prdictionsne se ralisa, et bien que le dbut dela saison fut beaucoup plus tardifque celui des saisons prcdentes, la

    premire formation se manifestapendant lapoge de la crise de lafivre aphteuse la mi-mai.Naturellement, les sceptiques ne for-mulrent aucune excuse. Cependantlaccs aux champs tait plus strictquil ne lavait jamais t depuis le

    dbut du phnomne, mais ces res-trictions se rduisirent suffisammentpour quau milieu de lt, les fer-miers les ouvrent la visite sans

    Crop CirclesLa cuve 2001

    Cette anne, la saison des crop circles en Angleterre a connu undmarrage tardif. Mais finalement, des spcimens spectaculaireset des thmes rcurrents ont finalement honor le paysage.

    nigme

    Par Andy Thomas 2001

    Southern Circular Research 13 Downsview Cottages Cooksbridge,East Sussex BN8TA, RU - Email : [email protected]

    Images tire du site web : www.cropcircleconnector.com

    Page 9 NEXUS N 18

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    11/68

    apprhension.Les premiers motifs sinspiraient de thmes prsents en2000. Un de ces thmes rcurrents Wiltshire est unmandala base de triangles aux bords courbes, alorsquune formation Badbury reprenait lide de lchi-quier vu lanne prcdente, mais entour dun serpenten spirale se mordant la queue, dont le style rappelle lesculture aztque ou maya. Le symbolisme aztque occupafinalement le premier plan avec celui que beaucoup jug-rent comme le plus beau crop circle de lanne, Wakerley Woods dans le cont du Northamptonshire : unarrangement circulaire et segment de signes du calen-drier Maya. Mais en fait, les dessins les plus ambitieuxde la saison apparurent dans le nord de lAngleterre. Unautre motif spectaculaire et rcurrent apparut sous laforme dun mandala en toile rayonnant de petits cerclestandis que dautres thmes surprenants et inattenduscomme ces courbes ondules de style ingnieux et

    dconcertant commencrent apparatre en juillet Windmill Hill, dans le comt du Wiltshire. Une forma-tion, universellement plbiscite, baptise Lange,tait compos dun croissant rayonnant plus de 70 lignesparfaitement droites, sallongeant dun coup sans aucunedviation.Pourtant, malgr cela, certains exprimaient un sentimentplutt amer face la premire cinquantaine de motifs,dont peu atteignaient lingnuit et limpact des chefs-duvre des annes passes. Lvolution des dessinstait perue comme sessoufflant lgrement par cer-

    tains, auxquels dautres reprochaient des attentes irra-listes.Cependant, au moment dcrire cet article (mi-aot), uneformation majeure vient de paratre, semblant indiquerque la saison 2001 nous rserve le meilleur pour la fin delt. Celle-ci est un motif fractal six branches appelJulia set, large de 244 mtres et contenant environ 400cercles de toute taille, voquant les classiques de 1996,qui a stupfait les observateurs par son gnie et sonchelle. Avec cette moisson tardive, mais qui nous laisseencore au moins trois semaines pour avoir la chance

    dassister des formations encore plus remarquables,celles-ci apparaissant presque quotidiennement, on diraitquelles trouvent un rythme qui leur prserve assez dedisponibilit pour la suite.Mais ceux qui pensent le phnomne psychiquementinteractif avec les attentes humaines estiment que lesgermes de confusion dlibrment propags ont retardles formations de cette anne. Il y avait certainement,avec une anne commence avec des prophties catastro-phiques et de faibles attentes, beaucoup de confusion,une paranoa du canular, rappelant l'ambiance qui rgnaiten 1993, prcdant une renaissance considrable en1994. La paranoa fut relance fin 2000, avec le procssusmentionn, intressant une seule formation faite demain dhomme. La faible amende de 100 laquelle fut

    Page 10NEXUS N 18

    Berwick Bassett, prs de Avebury, Wiltshire. Observ le 9 juin Photo

    Steve Alexander 2001.

    Knap Hill, prs de Alton Priors, Wiltshire. Observ le 5 aot. Photo

    Steve Alexander 2001.

    Gog Magog Hills, prs de Cambridge, Cambridgeshire. Observ le 25

    juillet. Photo Steve Alexander 2001.

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    12/68

    condamn lauteur du canular ne reprsente quun faibleeffet dissuasif, et le rsultat fut que limportante couver-ture mdiatique de laffaire provoqua un dsquilibre delattention du public en faveur de la composante dori-gine humaine du phnomne. Ceci fut accentu ensuitepar la personne condamne qui lana une campagne pare-mails et tracts et procda la ralisation dautres cropcircles.La cration par lhomme de crop circles, soit dans un butde recherche, soit pour des missions tlvises, ne sontpas de nature aider tablir la vracit des faits. Le faitque certains chercheurs reconnus dans le domaine setrouvent impliqus dans le parrainage de certaines de cesoprations fut mal reu par beaucoup de sympathisants,dont certains furent trs critiques lgard de leursmthodes, des protocoles suivis et de leurs motivations,remettant en cause leurs conclusions.La ralisation russie dune copie dun crop circle au

    motif astronomique de 1995, pour les besoins dunefiction cinmatographique, branla la foi de certains,bien que pour les observateurs scrupuleux, les diffren-ces taient videntes alors que les dtails subtils quisingularisait loriginal manquaient cette copie.En dpit de ces subterfuges, il semble que le secteur delaudiovisuel connaisse une recrudescence dintrtpour la question, avec la prsence de pas moins de cinqquipes de tournage vido, venues des quatre coins de laplante, qui suivaient les passionns de crops dans leschamps, les pubs et les confrences. Les productions en

    rsultant devraient se retrouver sur le petit cran courant2002.Loin du grand cirque qui accompagne habituellementces formations au Royaume-Uni, dautres pays ontconnus leurs propres spcimens qui purent tre exami-ns dans une ambiance moins stressante et controver-se.LAllemagne a battu son record en observant dix forma-tions ( cette heure), chacune aussi labore que sescomparses britanniques et possdant sa propre cou-leur. Le Canada, la Rpublique Tchque, Isral, la

    Serbie et la Pologne ont galement rendu compte denouveaux crop circles.La Hollande, qui en a connu sept, est devenue le centred'intrt en mettant en oeuvre un important travail scien-tifique sur le phnomne. Lquipe BLT Research, baseaux USA et dirige par Nancy Talbot, qui avait fait beau-coup pour la promotion des travaux du Dr W. CLevengood sur les anomalies biologiques observes surles plantes issues dun motif, a continu ses recherchessur la rotondit des mouvements ayant couch les vg-taux, et les liens du phnomne avec les boules delumire observes en Hollande. Elle tudie aussi en par-ticulier le cas dun jeune homme dAmsterdam qui sem-ble attirer de telles apparitions, dont ses tudes confir-ment lauthenticit.

    Par ailleurs, le Dr Eltjo Haslhoff a men ses propresrecherches sur les effets physiques et leurs liens avec lephnomne de lumires ariennes dj observ. Il estdevenu la seconde personne avoir publi un articlescientifique dans le domaine de lagronomie cralirecouvert par la revue spcialise Physologa Plantarum(une version vulgarise existe sur le site www.swirled-news.com).Le Dr Haselhoff se retrouva directement en prise avecun mystre intriguant alors quil tudiait une formationen forme de scorpion a Stadskanaal en compagnie dunequipe hollandaise du Dutch Center for Crop CirclesStudies au dbut du mois daot. Alors quils dambu-laient dans le motif, un cercle supplmentaire apparut,mais personne nobserva directement lvnement ; tout coup, il tait l. Les photos prouvent que ce ntait pasle cas lorsquils ont tout dabord pntr sur le site. Ilcommencrent ressentir des malaises en lapprochant

    et dcidrent de quitter les lieux au cas o ce nouveaucercle aurait des proprits nuisibles. Les piles dunappareil photo, partie de lquipement furent instantan-ment plat, et un appareil numrique rvla plus tardque sa mmoire avait t endommage. Cest encore unedmonstration qui, malgr toutes les intrigues et la para-noa qui affectent la communaut des croppies de

    Page 11 NEXUS N 18

    Newhouse Farm, prs de Acton Turnville, North Somerset. le 5

    aot. Photo Steve Alexander/Karen Douglas 2001.

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    13/68

    Page 12NEXUS N 18

    temps en temps, rappelle quun mystre de taille planetoujours sur ce merveilleux phnomne inexpliqu.La science pourra peut-tre expliquer pourquoi certainsdes plus prcoces des crop circles de cette saison sem-blaient comme attnus. Les donnes ont montr queleur apparence tait lie au niveau des nappes phrati-ques. En effet, BLT Research a observ que les ts plussecs ont offerts des motifs plus nombreux, plus contras-ts et plus expressifs. La pluviomtrie trs importante decette anne a engendr des niveauxanormalement levs au dbut de la saison.Il est aussi intressant de noter que BLT Research obser-ve uniformment les mmes anomalies biologiques surles chantillons de plantes provenant de formations desquatre coins du monde. Particularits que les motifs ra-liss par lhomme sont incapables de reproduire, malgrles affirmations injustifies des auteurs de mystifica-tions. Ainsi,mme si certains motifs sont excuts de

    main dhomme, cela nexplique pas tout sifacilement.En plus du film britannique en projet, 2002 verra la sortiesur les crans dune superproduction hollywoodienneavec Mel Gibson jouant le rle dun fermier dont la vieest bouleverse par lapparition dun crop circle sur saproprit. Quelque soit la faon dont le film traite lemystre, lintrt pour les rels crop circles sera sansdoute multipli par cent la sortie du film, une nouvellegnration entire pourrait bien dcouvrir une manifesta-tion ct de laquelle elle tait passe jusquici.

    Cest en partie en considrant cette conjoncture que lor-ganisme Southern Circular Research a mis en ligne avecsuccs son site web : www.swirlednews.com, couvrantlactualit du domaine enrichie de commentaires etdanalyses, dans le but de faire contre-poids lintoxica-tion et la propagande du camp des sceptiques.

    Englishcombe, prs de Bath, Somerset. Observ le 12 aot.

    Photo Gary Howe 2001.

    Milk Hill, prs de Alton Barnes, Wiltshire. Observ le 13 aot.

    Photo Steve Alexander/Karen Douglas 2001.

    Woodborough Hill, prs de Alton Barnes, Wiltshire.

    Observ le 10 aot. Photo Steve Alexander 2001.

    Yatesbury, prs de Avebury Trusloe, Wiltshire.

    Observ le 22 juillet. Photo Steve Alexander 2001.

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    14/68

    Page 13 NEXUS N 18

    All Cannings Bridge, prs de All Cannings, Wiltshire. Observ le 30

    juin. Photograph Steve Alexander/Karen Douglas 2001.

    Silbury Hill, prs de Avebury, Wiltshire. Observ le 24 juillet.

    Photo Stuart Dike 2001.

    Chilcomb Down, prs de No Man's Land, Hampshire.

    Observ le 15 juillet. Photo Steve Alexander 2001.

    Lane End Down, prs de Kilmeston, Hampshire.

    Observ le 22 juillet. Photo Steve Alexander 2001.

    Milk Hill, prs de Alton Barnes, Wiltshire.

    Observ le 12 juillet. Photo Steve Alexander 2001.

    Hill Barn, prs de Badbury, Wiltshire. Observ le 17 juin.

    Image Stuart Dike 2001.

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    15/68

    Page 14NEXUS N 18

    Les formations

    de lobservatoire de Chilbolton :une rponse au message envoy depuis

    la Terre en 1974 ?Par Linda Moulton Howe -c- 2001

    depuis quelques annes, plusieurs formations sont djapparues dans le champ de bl voisin de lobservatoirede Chilbolton, au Sud de la ville d'Andover, dans le cont duHampshire. Celle de lan pass semble dailleurs lie cellesapparues ce mois daot. La premire tait une des plusimportantes formations apparues en Angleterre en terme desurface, quelques pas du terrain sur lequel ltat a construitun complexe abritant un radio tlescope en 1965. Les instal-lations sont entoures dune haute clture de fils de fer bar-bels.Les proportions du motif figurant le message cod sont de61 mtres sur 26, alors que celle du visage sont de 49

    mtres sur 55. Selon un chercheur, Charles Mallet, toutesdeux sont provoques par la verse du bl dune faon pres-que identique.Selon un employ de lobservatoire, le visage est apparu lejeudi 14 aot 2001, suivi le lundi suivant, 20 aot, du codebinaire. l p v, le directeur de l'IndependantResearch Center for Unexplained Phenomena de Southsea,dans le Cont du Hampshire, nn cn, cnn n n - c n nc n -c 16 n 1974 c ac, p rc. Lenvoi de ce message avait t organis par

    des astronomes, dont Carl Sagan, de lUniversit de Cornell.Celle-ci exploitait ce tlescope de 300 mtres de diamtre,construit dans la montagne, la faveur dun accord de coop-ration avec la National Science Foundation.Vous pouvez voir ci-contre la version graphique en noir etblanc du message qui fut transmis en 1974 en direction dunamas dtoiles appel M13, distante de la Terre denviron23000 annes-lumire. A ct, est reproduit la formation deChilbolton, pour comparaison. Le message original figure ladouble hlice de lADN humain par les deux lignes archesau-dessus de la silhouette humanode. Il existe pourtant unelgre diffrence entre les deux motifs.

    (Source : site de Linda Moulton Howe, www.earthfiles.com)

    Traduction : David Dennery

    Dessus : Comparaison montrant gauche la formation-code de Chilbolton et

    droite la version graphique de la transmission du 16 novembre 1974 mise par

    le radiotlescope d'Arecibo en direction du groupe d'toiles M13 (from Cosmos

    1976 Carl Sagan).

    A gauche : Le "code binaire", droite : le "visage", dans un champ de bl prsde l'observatoire de Chillbolton, dans le Hampshire, en Angleterre, dont les

    apparitions ont t observes deux dates diffrentes, d'aprs les dires d'un

    employ du radiotlescope. Le "visage" fut observ le jeudi 14 aot, tandis que

    le "code" le fut le lundi 20 aot. Aerial photo 2001 by Steve Alexander.

    "Visage" dans les bls prs de l'observatoire de Chilbolton".

    Photo arienne 2001 by Steve Alexander.

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    16/68

    Soigner

    par la lumire

    Page 15 NEXUS N 18

    sant

    Selon la thorie de lmission biophotonique,

    la cl de la vie et des processus biochimiquesde communication est la lumire.

    LES BIOPhOTONS,LUMIRE DES CELLULES

    Les fonctions de vie et la force vitale sontlies au phnomne lumineux. En fait, lavie organique absorbe, fabrique et metde la lumire. Pour comprendre ces ph-nomnes, il nous faut jeter un regard sur

    les hypothses davant garde et les dcou-vertes rvolutionnaires dans ce nouveaudomaine scientifique. Celles-ci sontdailleurs la base de la mthode thra-

    peutique par les couleurs que jai mise aupoint.en 1922, le docteur et biologiste RusseAlexander Gurwitsh et sa femme obser-vrent que les cellules doignon sparespar une vitre en quartz, taient capablesde communiquer. Ils supposrent alorsquil sagissait dune transmission din-

    formation via les radiations ultraviolet-tes.Mais il faut attendre 1954 pour que lonrussisse mesurer cette faible radiation

    luminescente laide dun nouvel appa-reil, le photo multiplieur. Les mesuresfurent effectues sur plusieurs plantes. Lespectre de la radiation lumineuse se trou-vait entre le rouge et le vert du champvisible de la lumire et son intensitsvaluait de plusieurs dizaines des cen-taines de photons au centimtre carr par

    seconde.Dans les annes 1970, le biochimisteallemand Fritz-Albert Popp se demandacomment limportante perte de cellules

    Fiat Lux de Catherine Lesecq - Carte postale : Ed. Le chant des toiles - 24580 PLAZAC - 05 53 50 74 40

    Par Christa Muths, 2001 Espacio International Centre for Holistic Studies302 Winchester Road - Southampton, Hampshire SO16 6TU, UK

    Tl : +44 (0)23 8036 6181 - fax : +44 (0)23 8077 1168

    Email : [email protected] - Site web : www.espacio-time.com

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    17/68

    Page 16NEXUS N 18

    se trouvait quilibre par la cration de nouvelles cellules dansle mme temps. Notre organisme est rellement une merveillede la nature. Notre cur bat 100 000 fois par jour, nos poumonsrespirent 25 000 fois dans le mme temps, et chaque secondevoit se produire la mort de 10 millions de cellules et leur rem-placement. Comment un tel synchronisme est-il possible ?

    A lchelle atomique, notre corps

    se renouvelle presque entirement

    tous les quatre ans.

    Notre corps semble possder une forme dense clairement dfi-nie. Cependant, au niveau atomique, nous devenons quelquunde diffrent chaque seconde ! La plupart de nos 100 milliardsde cellules (approximativement) se renouvellent constammentelles-mmes. Mme lADN est soumis un programme dergnration. Le pancras remplace la majorit de ses celluleschaque jour ; les cellules de la muqueuse de lestomac le sont

    tous les trois jours, les globules blancs tous les dix jours, celles

    de la peau une fois par mois. Mme les os se rgnrent eux-mmes.A lchelle atomique, notre corps se renouvelle presque enti-rement tous les quatre ans.Afin de remplacer les cellules mortes, notre corps tire les nutri-ments de lalimentation et sait, avec une tonnante prcision,intgrer exactement les substances dont il a besoin. Ainsi donc,

    comment ce processus dune prcision sub-molculaire se pro-duit-il, mme lorsque lon mange irrgulirement ou mme sile corps nobtient pas les quantits suffisantes des composantsindispensables comme les vitamines, les enzymes et les acidesamins ? Do provient cette nergie vitale et comment le corpssen sert-il ? Beaucoup de chercheurs ont mis en oeuvre desexprimentations afin de rpondre ces questions.Une rponse innovante fut formule en 1975 par un laboratoirede Kaiserslautern. Popp tait maintenant en mesure de dmon-trer lexistence dune luminescence extrmement faible, et labaptisait mission biophotonique. Selon lui, la cl du codelmentaire utilis par la vie, la forme de communication entreles diffrentes formes de vie, le facteur de matrise des organis-mes biologiques, est tout simplement la lumire.1

    Une exprience intressante le dmon-tre. Deux verres contenant du sangfrais de cochon sont placs cte cte.Un agent est introduit dans le premierverre dont le sang ragit immdiate-ment en fabriquant des anticorps. Maison remarque alors que le sang dusecond verre a commenc lui aussi fabriquer des anticorps bien quaucunagent ny ait t ajout. Si on ralise lamme exprience en plaant un cran

    total entre les deux verres, linforma-tion dclenchant la production danti-corps dans le second verre nest pastransmise.Popp a observ que les biophotons secomportent comme un laser transmet-tant des messages et servent la ma-trise des processus biochimiques. Il at dmontr quaucune raction bio-chimique n'est capable de grer auniveau molculaire une telle transmis-sion dinformation dans des laps de

    temps aussi courts.Au dbut, ces rsultats rvolutionnai-res furent considrs comme mta-physiques et donc sans valeur scienti-fique. Cependant, en dpit du ridiculejet sur la question par le principalcourant de pense scientifique, desquipes de chercheurs, partout dans lemonde, travaillent sur ce sujet. Lesrsultats de cette recherche sontdailleurs utiliss en pharmacie et danslindustrie, spcialement au sein dumouvement prnant les valeurs du

    bien-tre.Personnellement je travaille lint-

    gration de ces nouvelles connaissances,Illustration 1

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    18/68

    Page 17 NEXUS N 18

    qui intressent la logique et le rle de la lumire dans nos cel-lules, mon travail sur la thrapie laide des couleurs.De nos jours, on peut percevoir et mesurer le passage des seulsphotons la minute, et mme la seconde. La valeur sexprimedans une gamme allant de 10 -19 10 16 watts par centimtrecarr. La lumire du jour est environ 10 18 fois plus intense.Plus le systme est vitalis, plus le mouvement des photons est

    intense, plus lmission est forte et plus longue est la capacitde stockage de la lumire dans les cellu-les. Cependant, lmission photoniquereste trs faible et ne peut tre dcelequ laide de gros efforts et de moyensimportants. De plus elle ne doit pas treconfondue avec la radiation thermique oula bioluminescence.2

    Grce la photographie haute vitessedobturation qui fut mise au point dans lesannes cinquante, il est possible de mon-trer que les toiles ne sont pas seules rayonner, et que cest le cas aussi pour lecorps humain. Le procd Kirlian de la pho-tographie fut dvelopp par le couple russe,Kirlian et Krisanova entre 1939 et 1958.Grce cette mthode, lexistence de laurapu tre dmontre la pense occidentalepour la premire fois ; les concepts dner-gies subtiles, dauras, de mridiens dnergieavaient t tablis depuis longtemps en Chine,en Inde, et dans certaines autres cultures anti-ques.

    MISSIONSBIOPhOTONIQUESSans lumire, il ny aurait pas de vie sur Terre. Le soleil est lasource de chaleur et dnergie la plus importante du systmesolaire. Il met un large spectre de radiations capables de pn-trer latmosphre des degrs divers. Cinq pour cent de cettenergie est compose dultraviolets. La figure 1 montre le spec-tre des radiations solaires, la longueur dondes et leur degrdabsorption par latmosphre terrestre.3 LADN et lARNpossdent une capacit intrinsque sautorparer. Les recher-ches faites sur ce sujet ont montr que les enzymes rparateursde lADN et de lARN ne peuvent oeuvrer quen prsence de

    lumire ultra-violette. Lors dexpriences en laboratoire, lesanimaux, exposs une lumiredont le spectre ultraviolet avaitt supprim, dvelopprent degraves maladies. Les couleurssont les enfants de la lumire,ce qui signifie quelles se mani-festent lorsque la lumire frappeun objet. La lumire est alorssoit : reflte (un objet blancreflte tous les photons reus) ;soit absorbe ( un objet noirabsorbe tous les photons) ; soitpasse travers (ex : une fentre)ou se trouve dvie ou brise(en pntrant un milieu diff-

    rent comme leau). La lumire voyage une vitesse de 300 000kilomtres par seconde dans le vide. Cette vitesse dcrot quandla lumire traverse un milieu transparent. A travers leau cettevitesse est plus basse qu travers lair. Lorsquelle pntre unematire comme leau ou le verre, sa vitesse ralentit nettement.Cependant, en janvier dernier, deux instituts scientifiques am-ricains indpendants ont russi arrter la lumire pour la pre-

    mire fois.4.

    La lumire tait envoye travers une vapeur desodium trs rfrigre. Cela permit destopper la lumire trs brivement avantde la laisser continuer son chemin.5 Lescouleurs stalonnent par longueur dondede pic pic, et lunit de mesure est lenanomtre (nm). Le rouge se trouve entre670 et 760 nm, le jaune, lorange et le roseentre 560 et 630 nm, le vert entre 490 et560 nm, le bleu entre 430 et 490 nm, et leviolet entre 380 et 430 nm (figures 1 et 2).La lumire violette est plus courbe que la

    lumire rouge parce que sa longueur dondesest plus courte et quelle peut tre plus facile-ment dvie. Il existe autant de listes diffren-tes de radiations solaires en nanomtres quilexiste de livres scientifiques sur le sujet !Par le processus de la photosynthse, lner-gie solaire est convertie en nergie chimiquepar les plantes et les bactries. La photosyn-thse est lune des ractions les plus impor-tantes dans la nature et reprsente une condi-tion pralable ce qui est gnralement dfini

    comme la vie. Loxygne que nous respirons est issu de ceprocessus g denviron 350 x 10 9 annes. Latmosphre de la

    plante contenait alors beaucoup plus de mthane, et notre tauxdoxygne actuel exigea lactivit photosynthtique de mil-liards dorganismes utilisant lnergie et la lumire du soleil. Lalumire est pourvue d'une nature paradoxale et duelle ; elle est la fois particule et onde. Il est cependant impossible de mesu-rer la fois les ondes et les particules laide des technologiesactuelles ; les mthodes scientifiques ne mesurent habituelle-ment que lune ou lautre de ces deux formes.Le modle de latome, qui fut mis au point par Rutherford en1911, est devenu le fondement de notre comprhension de lastructure atomique et des biophotons, mme si ce modle nestplus considr comme valide par de nombreux physiciens

    quantiques.

    Illustration 2

    Notre organisme est

    rellement une merveille

    de la nature. Notre cur

    bat 100 000 fois par jour,

    nos poumons respirent

    25 000 fois dans le mme

    temps, et chaque seconde

    voit se produire la mort de

    10 millions de cellules

    et leur remplacement.

    Comment un tel

    synchronisme est-il

    possible ?

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    19/68

    Les lectrons gravitent en orbite autour du noyau atomiquedune faon similaire aux trajets des plantes autour du soleil.(figure 3). Les protons du noyau sont lectriquement chargspositivement alors que les lectrons ont une charge ngative.Lorsquun photon heurte un lectron, il propulse ce dernier surune orbite plus extrieure et plus charge nergtiquement.Llectron restera sur son nouvel orbite aussi longtemps quil

    peut garder lnergie supplmentaire pro-cure par le photon. Il rejoint alors sonancien orbite, relchant de lnergie sousla forme dune radiation photonique(illustration 4). Lnergie des photons semesure en lectronvolts (eV). Il sagit dela quantit dnergie gagne par un lec-tron ou une particule subissant une diff-rence de tension de 1 volt.6

    Le prix Nobel Niels Bohr, dcrivit unnouveau modle de latome en 1913.Pour ce modle, encore aujourdhui leplus rpandu au monde, les lectrons gravi-tent sur des orbites stables. Il suppose que leslectrons peuvent quitter ou rejoindre leursorbites en mettant ou en absorbant une cer-taine quantit dnergie : cest la thorie dessauts quantiques. Lide mme dorbite repo-se sur la physique classique alors que lidedatomes communiquant pour dterminerleur niveau dnergie provient de la thoriedes quanta. Bohr construisit son modle enaccolant des lments de thories de physi-que classique et quantique.Bien que sa thorie ne donne pas dindication expliquant le

    mouvement de latome (le modle savrera erron sous pres-que tous ses aspects), il aida les scientifiques progresser car iloffrait une transition vers une thorie quantique plus exacte delatome. Ce modle est simple et beau, une vision sduisantede latome comme systme solaire miniature, il reste le plusemploy, mme si sa valeur est sur-estime. La figure 5 illustre

    la conception la plus moderne de latome. Ici le noyau estenglob dans un champ magntique. Une animation 3D mon-trerait magnifiquement la vibration du noyau et de ses lectrons.Ces derniers reprsentent simplement quelque chose en dpla-cement lextrieur du noyau et possdant une certaine quan-tit dnergie ainsi que dautres proprits. Leurs mouvementssont mystrieux, mais ils aiment rester proches du noyau. Le

    principe dincertitude postul parHeisenberg estime que la position exactedun atome ne peut tre dtermine.8 Ceciest d aux caractristiques des ondes.Comme llectron est beaucoup pluslger que le noyau, son incertitude estbeaucoup plus grande, et la rgion danslaquelle il peut tre heurt est beaucoupplus tendue que celle du noyau.9 Celainduit la possibilit paradoxale de la pr-sence dun atome plusieurs endroits aumme moment. Il est cependant important

    dexposer ces modles trs diffrents car ils :- constituent un excellent reflet de lvolutiondes processus ltude ;- montrent lvolution du niveau de conscien-ce des scientifiques ;- illustrent combien de tels dveloppements nesintgrent pas dans le savoir commun, et res-tent non crdibles dans lesprit des gens, endpit de la publicit qui leur est faite dans lesmdias ;- reprsentent la base de notre comprhension

    gnrale de la ralit.Le modle statique fut rvolutionnaire en son temps et il reste

    prdominant aujourdhui dans les programmes dcole.Pourtant, il est une diffrence substantielle entre la comprhen-sion dun monde qui se dplace sur des orbites statiques, etcelle dun monde englob dans un champ lectromagntique.Le point crucial rside dans la comprhension du fait que lesmouvements de la vibration et de londe ne peuvent tre calcu-

    ls prcisment mais doivent tre conuscomme un processus en constant devenir.Tous les tats sont possibles tout moment,et les situations ne peuvent tre dcritesquen termes de probabilits. Selon notreapproche actuelle, ils ne sont jamais cal-

    culables ou dterminables.Le volume additionn du noyau et deslectrons ne reprsente que0,000000000001 pour cent du volumetotal de latome ; les 99,999999999999pour cent restants sont constitus despacevide. Cela correspond exactement laconfiguration des plantes et du soleil.La lumire ne transmet pas que de lner-gie, elle est aussi source ou porteuse din-formation. Elle porte la signature de saprovenance. Chaque lment chimiquelaisse une empreinte caractristique dans

    le spectre lumineux.10 Ce savoir est uti-lis par lindustrie depuis de nombreusesdcennies. Une des applications, lanalyse

    Page 18NEXUS N 18

    Seln lui, la cldu cde lmentaire

    utilis par la vie,la frme de

    cmmunicatinentre les diffrentes

    frmes de vie,

    le facteurde matrise

    des rganismesbilgiques,est

    tut simplementla lumire.

    Illustration 3

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    20/68

    spectrale, est une mthode importante pour identifier les ato-mes et les molcules. Dans ce domaine, le vert indique la pr-sence doxygne alors que le bleu et le violet celle datomesdazote. Mme le nombre de photons prsents dans luniverspeut tre estim par lobservation du cosmos : approximative-ment 10 89, soit un milliard de fois plus nombreux que lesatomes. Plus un corps est sain, plus ses lectrons peuvent stoc-

    ker longtemps la lumire, lnergie duphoton. Cela signifie que llectron peutse dplacer plus longuement sur un orbiteextrieur, permettant ainsi latome, lacellule, et lorganisme entier de ragiravec souplesse en sadaptant tout chan-gement de condition.Popp a scientifiquement prouv que lesoeufs issus dlevage en plein air poss-dent une bien meilleure capacit stockerla lumire que ceux pondus par des pou-les vivant en cage.11La mme diffrenceest galement manifeste entre des tomatesbiologiques et celles qui ont pouss sousserres. Les aliments surgels rayonnentmoins (et plus irrgulirement) vitalementque les produits frais, et il en est de mmepour les pommes de terre dont les plants ontreu un fertilisant de synthse compares celles cultives biologiquement. Toute mani-pulation, y compris lutilisation de pestici-des, produit un impact ngatif sur ltatlectromagntique initial de la nourriture.Les lectrons ont un mouvement permanent autour du noyau ;les protons et les neutrons galement au sein du noyau ; et les

    quarks (particules encore plus petites) bougent galementconstamment au sein des protons et des neutrons. Il est possiblede dfinir lexacte position des orbites lors dexprimentationsen laboratoire, mais ce faisant, on ne peut que capter cette posi-tion des particules (lectron, proton, neutron, photons) lors decourts segments de temps. Nous ne savons rien des relationsvibratoires quelles entretiennent entre elles, ni comment ellesstablissent, ni quelles sont les influences susceptibles de lesaffecter. On procde alors en cumulant de nombreux instanta-ns pour construire une thorie, qui, en retour, nest que le ras-semblement dimpressions et daperus momentans. Cela nerend pas compte des interactions internes au systme observ.

    En physique moderne, il est trs important de comprendre com-ment les photons se dplacent dans le continuum espace-temps,car ils sont les porteurs des forces lectriques. Si deux photonsapprochent lun de lautre, il se repoussent cause de leurcharge lectrique. Un photon est libr par llectron dont ilsloigne et est absorb par lautre lectron qui va sauter sur unorbite suprieur. Un photon se dplaant dans le continuumespace-temps produit spontanment un couple lectron/posi-tron. Les positrons ont la mme masse que les lectrons, maisse dplacent dans une autre direction et sont chargs positive-ment. Pour chaque particule, il existe une antiparticule quipossde la mme masse, suit la mme rotation, possde lamme dure de vie et une charge contraire. Si une particule

    instable se brise pour librer des particules plus lmentaires,son antiparticule se brise aussi en antiparticules lmentaires.Le photon, ou quanta de lumire, est identique son antiparti-

    cule. Si une particule interagit avec son antiparticule, les deuxsont dtruites et leur nergie est convertie en photons et enmesons.12 On peut donc supposer que toute forme ou systmematriel, ainsi que les formes non matrielles qui nous restentinvisibles, vibre dans un champ de rsonance dondes. Bien quecet quilibre soit stable, il est aussi instable. Toute perturbationdans ce champ dclenche des bouleversements. Si un objet est

    excit et augmente sa pulsation, cela modi-fie lensemble du champ et la rsonance detoute la rgion lenvironnant, affectant soninteraction avec dautres objets. Les cellu-les et les tissus normaux, comme les bio-photons, rsonnent selon des modlesondulatoires spcifiques. Les lipides radi-caux libres prsents dans le foie, le cer-veau et la bile, rayonnent dans les partiesbleu-vertes et rouges du spectre. Les tissusnormaux peuvent sadapter rapidement etsont flexibles face aux changements

    constants des conditions. Dans la plupart descirconstances, le systme automatique derponse de lorganisme humain est capable dese rparer jusqu rtablir sa configurationoptimale. Les tissus cancreux, cependant,peuvent tre dfinis comme des tissus ayantperdu leur programme cohrent de vie, etdonc nayant plus la capacit ragir en rso-nance aux changements de situation. Enconsquence, la tumeur nest plus capable decommuniquer logiquement par les biopho-

    tons.13

    ADN, LUMIRE ET INfORMATIONladN n cn ck nn c. Sa forme est celle dune double spirale enroule

    Page 19 NEXUS N 18

    Le vlume additinndu nyau et

    des lectrns nereprsente que

    0,000000000001 purcent du vlume

    ttal de latme ;

    les 99,999999999999pur cent restants sntcnstitus despace

    vide. Cela crrespndexactement lacnfiguratin des

    plantes et du sleil.

    Illustration 4

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    21/68

    Page 20NEXUS N 18

    sur elle-mme qui peut tourner vers la gauche ou vers la droite.Il appartient au groupe des acides nucliques, qui comportedeux types de chanes protiniques. : lADN et lARN. Lesdeux ont cette forme de double hlice. Les brins forment lastructure et sont composs de glucides et de phosphates quicomposent une raction basique. Les liaisons aux glucides sontdordre basique. Pourtant, il ny a que

    quatre bases dans lADN : lademine, lathymine, la cytosine et la guanine. Ellessont gnralement symbolises par leurinitiale : A, T, C, G. Leurs relations sonttelles que A est oblig de se combineravec T et C avec G. La squence des basesest dcrite jusquici comme constituantnotre code gntique.Trs rcemment, n 2001, deschercheurs ralisrent que lADN etlARN sont des conducteurs efficacespour les lasers, et quils peuvent produire unhologramme optique qui communique avecla rsonance des champs contextuels de laTerre, des autres plantes et des galaxies.Cependant, 20 ans auparavant, Popp avaitprcis son ide sur ce type dinteractions ense rfrant au fait que les cellules, en particu-lier dans lADN, nabsorbent pas seulementmais mettent aussi de la lumire dune faoncohrente. Cela signifie quelles peuventrelcher de la lumire dune manire non-chaotique. La cohrence est la capacit des ondes se chevau-cher quand les sources dmission diffrentes saffaiblissent ouse renforcent mutuellement. Ceci rsulte en un tat structur

    pour lequel les ondes peuvent former un champ de communica-tion cohrent, interactif un haut degr. Dans le cas de photonsnon-cohrents, toute interfrence cause leurdisparition en quelques secondes.14

    Do la grande importance de la faon dont est produite la trsfaible luminescence des cellules. Elles nirradient pas chaoti-quement mais se comportent de manire stable, synchronisescomme un laser, qui est constitu de lumire cohrente. Lathorie biophotonique est base sur une relation de cause effet

    qui nest pas linaire ou cible, comme la science moderne lacomprise, mais remplit son rle la faon dune coopration.La communication savre tre un paramtre fondamental decette recherche, quil sagisse des relations lintrieur dunsystme ou avec lextrieur. Leur objectif est de contrecarrerlentropie, la perte de structure, le chaos, les tats dsordonns,

    afin de crer et de maintenir un tat dex-

    citation. La condition dun ordre stable estinhrente un flux dinformations non-perturb. Cet tat, maintient le mtabolis-me et les autres processus de la vie. Lafabrication et la reproduction des cellules,la synthse des protines, des hydrocarbo-nes et des lipides ainsi que le courant desneurotransmetteurs et le mtabolismecomplet de la cellule, fonctionnent en seservant dun flux extrmement rapidedinformations qui ne peut tre produit

    que par le vecteur lumineux. Les blocages oules manques dnergie sont des signes signifi-catifs dune perturbation du flux du processusde vie. Ces perturbations peuvent intervenir tout niveau, corpusculaire, atomique, cellu-laire, organique ou psychique. De l, on peutdduire que toute maladie peut tre interpr-te comme la manifestation dune perte decommunication lintrieur du corps !Dans ce monde de science matrialiste inspirdu darwinisme, nous sommes en comptition,

    luttant les uns contre les autres, et mme les gnes essaient dese dominer les uns les autres. Dans ce monde conu comme unejungle, il nexiste pas dide dinteraction ou de coopration.

    Cette conception gnrale de la vie, comme de la guerre sex-prime delle mme dans le langage scientifique. On y parle dusystme immunitaire comme dune arme combattant bactrieset virus.16A linverse, la thorie biophotonique propose un modle pourlequel la vie et tous les composants dun systme communi-quent entre eux pour aboutir une coopration sensible ayantpour objet de produire les conditions optimales pour le systmeentier. Lmission de lumire est la plus forte lors de la multi-

    Notre organisme est

    rellement une merveille

    de la nature. Notre cur

    bat 100 000 fois par jour,

    nos poumons respirent

    25 000 fois dans le mme

    temps, et chaque seconde

    voit se produire la mort de

    10 millions de cellules

    et leur remplacement.

    Comment un tel

    synchronisme est-il

    possible ?

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    22/68

    Page 21 NEXUS N 18

    plication de lADN. Environ 90 pour cent des biophotons sontmis par lADN dans le noyau de la cellule.Cependant,selon la comprhension du courant scientifique offi-ciel, lADN ne participe pas au mtabolisme. Jestime que cestune faon trs linaire de voir lorganisme et ses fonctions.LADN est un excellent vecteur du stockage de la lumire, etpar consquent de loxygne du fait de sa forme de double

    hlice. Peut-tre est-ce la raison pour laquelle lADN est labase de tous les processus vitaux du corps, dont le mtabolisme.Au moins deux fonctions sont couramment attribues lADN: le codage de linformation gntique, transmise la gnra-tion suivante dans le germe de la cellule, et le stockage delinformation pour la fabrication des composants des cellules.La lumire cohrente provenant de lADN contrle tous lesprocessus biochimiques et de changements importants. Cesprocessus sont provoqus directement par linformation vhicu-le par les biophotons.La connaissance des tches, des fonctions et du rle de lADN,nest pas nouvelle. Lorsque lanthropologue Jeremy Narbyvcut dans la jungle en compagnie des Indiens pruviens, ildcouvrit la phnomnale tendue de leur savoir au sujet desplantes, des ractions biochimiques et de lADN, quils symbo-lisent par deux serpents dansants.17 Leurs chamans vont aucontact de ces nergies, utilisant leur propre champ de rso-nance personnel, celui du patient et des plantes. Ainsi, ils sontcapables de recueillir les informations concernant non seule-ment les mdecines et leurs applications mais aussi le type demaladie et ses causes. Les Curanderos mexicains travaillent defaon similaire. Ils se portent au contact du champ de rsonancedu malade aussi bien que de celui de son environnement afindobtenir les informations dtailles sur les soins possibles. Laplus rcente dcouverte de la science moderne, celle de la pro-

    duction par lADN et lARN dhologrammes optiques, ainsique celle de leur rsonance avec les champs contextuels, corres-pond la comprhension et lapproche des vieux chamans, etaussi la conception quont du monde de nombreux thrapeu-tes holistiques de la couleur.

    Traduction : David Dennery

    Notes de fin

    1. Ppp, Fritz Albert, Biologie des Lichtes, Hamburg, 1984.

    2. Redeke, Michael, Die ultraschwache Zellstrahlung, 1999.

    3. Brandmeyer, Elke and Bd Khler, Licht schenkt Leben,

    Fit frs Leben Verlag, 1997.

    4. Rwland Institute fr Science, and Harvard Smithsnian

    Center fr Astrphysics, Cambridge, Massachusetts.

    5. Frankfurter Allgemeine Zeitung, Frankfurt, 24 January

    2001.

    6. dtv Atlas Atomphysik, Mnchen, 1997, p. 15.

    7. Gribbin, Jhn, In Search of Schrdinger's Cat, Reading,

    1991, p. 153.

    8. Heisenberg, Werner, "Was ist ein Elemtarteilchen?", dansNaturwissenschaften 1 Jan 1963, pp. 1-7; Physics and

    Philosophy, Harper & Rw, 1959; The Physicist's Conception

    of Nature, Cnnecticut, 1970.

    9. Vir www.quantenwelt.de, February 2001.

    10. Vaas, Rdiger, Das Flstern der Photonen, Bild derWissenschaft, 1998.

    11. Ppp, Fritz-Alpert, Die Botschaft der Nahrung,

    Zweitausendundeins, Frankfurt, 2000.

    12. dtv Atlas Atomphysik, Mnchen, 1997, p. 111.

    13. Ppp, F. A., About the Coherence of Biophotons,

    Internatinal Institute f Biphysics, www.datadiwan.de.

    14. Bischf, Marc, Biophotonen, Zweitausendundeins,

    Frankfurt, 1995, p. 484.

    15. Internatinal Institute f Biphysics, Cnference n

    Biphtns 1999, www.datadiwan.de.

    16. Muths, Christa, "Kriegssprache in der Medizin", espacio-

    time, 3 Jhg, Nr. 3, cmme www.espaci-time.cm.17. Narby, Jeremy, DNA and the Origins of Knowledge,

    Lndres, 1998.

    Illustration 4

    Au sujet de lauteur :

    Christa Muths, est membre de lAcadmie des Sciences de New York

    et du Rseau scientifique et mdical du Royaume-Uni, auteur de

    nombreux articles et de quatre livres sur les soins holistiques et les

    thrapies nergtiques. Christa, enseignante avertie en spiritualit et

    en soins, a fond en 1991 Espacio, le Centre international dtudes

    holistiques. Elle dite galement Espacio-Time magazine trimes-

    triel consacr lintgration du corps, du mental et de lesprit,

    couvrant les domaines scientifique, mdical, philosophique et spiri-tuel, dans leurs approches thoriques et pratiques. Espacio propose

    un ventail de formations diplomantes dans divers secteurs holisti-

    ques dont la thrapie par la couleur.

    Pour plus de renseignements, visitez le site web (en anglais) : www.

    espacio-time.com

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    23/68

    Page 22NEXUS N 17

    STOP-ONDES H.F.INTERACTIF

    SPCIFIQUE POUR LES BANDESDE FRQUENCES USUELLES DE

    800 MHZ 1900 MHZ.

    Ce STOP-ONDES est spcialementconu et tudi pour tre plac l'arrire d'un tlphone portable, afind'viter la pollution lectromagnti-que des 2 watts H.F. mis par l'an-tenne place trs prs de la tte.Risque pour le cerveau, les yeux et la

    glande thyrode qui sont trs fragiles ces frquences et puissances impor-tantes.Il est constitu d'un circuit imprimsouple, contenant les systmes cap-teurs accords, le dphasage lectro-nique et la rmission dphase d'uneonde antidote ces pollutions. Il fonc-tionne selon un principe de physiqueconnu, qui est le dphasage 180d'un phnomne lectromagntique,

    pour le rendre moins polluant selon leprincipe de la soustraction de l'ampli-tude de 2 oscillations aussi bien elec-trique que magntique pour un trslarge spectre de frquences. Le STOP-ONDES ne ncessite aucun rglage,ni mise en service, il ne consommeaucune nergie extrieure, ni pile, nicourant pour son fonctionnement,seule l'nergie polluante mise par lesappareils protger, suffit pour qu'ilfonctionne. Ce n'est pas un gadget

    pseudo-scientifique, mais un appareilphysique issu de la technologie lec-tronique contemporaine. Fabriqu enFrance par un spcialiste des pollu-tions lectromagntiques, d'autresappareils drivs de ce principe sontdj en service depuis plusieursannes avec d'excellents rsultats.

    LE DPHASAGE

    Lorsque deux ou plusieurs signaux

    et les harmoniques lectromagnti-

    ques sont prsents et en phase (casfrquents), ils sadditionnent donc lapollution augmente.

    Si l'on dphase ces signaux 180,on soustrait la pollution lectroma-gntique ou on l'annule, dans unpourcentage trs important. L'ondeen phase reste nanmoins prsente,mais par effet secondaire, le spectregnral est devenu une sorte d'onde

    antidote (c'est le terme courammentutilis).

    La force positive et la force ngatives'quilibrent ou se compensentmutuellement. Au niveau physiologi-que et biologique l'individu est pro-tg par ces ondes induites, consid-res comme des ondes antidotes,selon le terme consacr. Les 2 forcessont nanmoins toujours mesurableset rayonnent mutuellement, maiselles se compensent, donc nous pro-tgent de la pollution lectromagnti-que.

    Un exemple type : un marteau qui

    frappe une tle va faire un creux

    dans la tle, c'est l'nergie en phase.Si l'on frappe au mme momentl'autre ct de la tle, celle-ci ne bou-gera pas si les coups sont synchroni-ss : c'est l'nergie dphase. Il y aquilibre des 2 forces. Dans le travaildes tles il existe des capteurs pizo-lectriques qui permettent de dpha-ser ou de mettre en phase certainesmachines selon les besoins.Le STOP-ONDES H.F. est extra

    plat (0,5 mm d'paisseur) et secolle l'arrire de tous les tlpho-nes portables. Il peut galementtre plac l'arrire du combindes tlphones installs bord desvhicules ainsi que des tl-phones privs et talkies-walkies.(Sauf C.B).

    RAPPORT DE CONTRLESUR LE STOP-ONDES

    Test ralis par le conseil en proc-ds d'approche de la sant (CPAS)grce un appareil bas sur la biorsonance : LE VEGA-TEST.L'analyse sur 50 personnes dmon-tre qu' chaque fois qu'un tlpho-ne portable en fonctionnement estapproch d'une personne, il y asystmatiquement une perte d'ner-gie et indication d'une forte pollu-tion lectromagntique.

    Aprs avoir appliqu le STOP-ONDES sur le portable, la mesurede la perte d'nergie t effectuede nouveau. Rsultat : aucune perted'nergie n'a alors pu tre mise envidence. Ce qui permet d'affirmerl'efficacit du STOP-ONDES dansces expriences.

    STOP-ONDES* h.F. iNTERACTiF

    NOUVELLE GNRATiON DE PROTECTEURS ELECTROMAGNTiqUESSPECiAUX POUR LES TLPhONES PORTABLES

    PRIX : 165 F soit 25,15 + port (de 1 10 pices) : 20 F soit 3 Pour commander : Editions MOAN - Les Cheyroux 24580 PLAZAC

    Merci de joindre votre rglement par chque la commande.

    PUBLI-REPORTAGE

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    24/68

    Page 23 NEXUS N 18

    politique internationale

    Un ancien policier de Los Angeles Mike Ruppert dnonce lerle jou par Wall Street dans le blanchiment de largentde la drogue pour des entreprises de la CIA et prvient quela Colombie sera le centre du prochain conflit rgional.

    Wall streetCIA et trafic

    de droguePouvez-vous vous prsenter en quelques mots ?

    Je mappelle Mike Ruppert et je publie le bulletin dinformationsFrom the Wilderness. Je suis un ancien agent des stups de Los Angeleset, de faon gnrale, un fauteur de troubles qui se bat contre la cor-ruption et les trafics d influences dans le monde entier.

    l z c c n nn, n nz- n nnn ?Et bien, en mars 1998, environ quatre mois aprs ma confrontationtlvise retransmise dans le monde entier avec le directeur de la CIAJohn Deutch Locke High School il tait venu Los Angeles pourparler des allgations selon lesquelles la CIA trempait dans des traficsde drogue. Je me suis lev CNN et ABC Nightline et jai dclar : Je suis un ancien agent des stups. Jai travaill South Central et jepeux vous dire, Monsieur le Directeur, que la CIA trempe dans destrafics de drogue dans ce pays depuis longtemps. Et l, la salle a

    explos et ce moment-l, jai vu le manque flagrant dinformationsdu milieu politique sur le nombre de preuves relles des activitscriminelles de la CIA, en particulier le trafic de drogue. Jai ajout : Attendez une minute ; je peux vous montrer une petite circulairedinformations et vous dire que si vous lisez ce document, vous aurezla preuve de ce que javance. Parce que de nombreuses personnesrepartirent avec la vague impression que la CIA regorgeait demchants qui avaient mal agi et quelles ignoraient combien il yavait de preuves concrtes. Alors, voil ce que fut ma mission : appor-ter les preuves concrtes et irrfutables de ce qui se passe.

    Parlons de votre exprience sur le terrain et de ce quoi vous avez

    t confront en tant que citoyen essayant de mettre de lordre dans

    les rues ce doit tre une vritable jungle !

    Cela fait longtemps que je ne suis plus policier maintenant. Jaiobtenu mon diplme de lEcole de Police de Los Angeles lors de lapromotion de novembre 1973 et battu le pav des rues de SouthCentral Los Angeles ds janvier 1974. Ctait un monde bien diff-

    rent lpoque ; il ny avait pas de cocane, nous avions des six-coupset des matraques mais personne ne se baladait avec une radio. Mais lemonde a normment chang. Je me suis rapidement spcialis dansles stupfiants et lhrone tait la drogue prdominante dans les ruesde mon secteur ; cette poque, ctait de lhrone mexicainebrune.Et ce qui marriva, cest que je fis la rencontre dune femme, dont jetombai amoureux, qui tait agent contractuel de la CIA, un agent decarrire. Or, je viens dune famille proche de la CIA et ils ont essayde me recruter, alors cela ne ma pas tonn, mais jai commenc voir quelle protgeait des cargaisons de drogue et que la CIA taitactivement implique dans le trafic de drogue. Cest ce quelle a fait Hawa, au Mexique, au Texas et la Nouvelle-Orlans et je ne ces-sais de rpter que jtais un agent des stups et que je nallais pasfermer les yeux sur des cargaisons de drogue. Cest, au fond, ce quima entran dans le cours irrversible des vnements qui ont dter-

    min le reste de ma vie. Ctait en 1977.

    On imagine quun agent de la CIA pense protger le pays, ou du

    moins, on imagine le milieu des services secrets comme quelque

    chose qui protge la scurit nationale. Quest-ce qui, selon vous,

    les pousse vouloir concilier dans le pays les cargaisons de drogue

    avec cette activit ?

    Et bien, ils nont mme pas besoin de le concilier. Cest ce que jaimis si longtemps comprendre. Mais ce que nous enseignonsaujourdhui avec From The Wilderness, cest que cela ne se limitaitpas au fait que la CIA trempait dans des trafics de drogue pour finan-cer des oprations secrtes. Cest que largent de la drogue fait partieintgrante de lconomie amricaine. Il en a toujours t ainsi, toutcomme avec les Britanniques, dans les annes 1600, lorsquils intro-

    duisirent lopium en Chine pour financer le commerce triangulaireavec la Compagnie Britannique des Indes Orientales.Limportant nest pas que la CIA ait fait le commerce de la droguependant lre des Contras pour financer lopration secrte dans

    EntretienavecMichaelC.RuppertParGuerillaNewsNetwork2000ExtraitdelapageInternet:www.guerillanews.com/crack/m_

    ruppert.html

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    25/68

    Page 24NEXUS N 18

    laquelle le Congrs refusait de sengager. La CIA trempe dans le traficde drogue depuis ses 50 annes dexistence et mme dans les 50annes qui ont prcd, avant quelle ne devienne la CIA. Et lintrtest que, avec 250 milliards de dollars par an dans des mouvementsillgaux dargent sale, blanchi dans lconomie amricaine, cet argentprofite Wall Street. Cest l tout lintrt du trafic de drogue prohi-bitif que la CIA gre avec efficacit dans lintrt de Wall Street. Justeavant la guerre des Contras, la consommation annuelle de cocane

    dans ce pays tait denviron 50 tonnes mtriques par an ; disons en1979. En 1985, elle tait de 600 tonnes mtriques par an. Nousconsommons toujours 550 tonnes mtriques de cocane par an dans cepays, et largent que cela gnre est utilis disons quun trafiquantde drogue colombien appelle General Motors et achte un millier deSuburbans GM ne demande pas do a vient. Philip Morris estactuellement poursuivi en justice par 28 dpartements colombiens(lquivalent des tats amricains) pour avoir fait entrer en contre-bande dans ce pays pour deux milliards de dollars de cigarettesMalboro et stre fait payer avec largent de la cocane ! Cet argent afait monter les actions Philip Morris Wall Street ; mme chose pourGeneral Electriccela est archiv au Ministre amricain de laJustice.Ainsi, lobjectif de limplication de la CIA dans le trafic de drogue est

    de gnrer de largent liquide illgal, des fonds de roulement disponi-bles, ce qui donne ceux qui peuvent y mettre la main dessus unavantage dloyal sur le march.

    Cest que largentde la drogue faitpartie intgrantede lconomie

    amricaine.Alors quand vous entendez lexpression Guerre contrela drogue

    Et bien, ce nest pas une guerre contre la drogue. Cest une guerrecontre le peuple. Rflchissez ceci : Joseph McNamara, ancien chefde San Jose de lInstitut Hooverde lUniversit de Stanford, a publides chiffres vraiment parlants. En 1972, lorsque Richard Nixon lanala Guerre contre la Drogue, le budget annuel fdral allou la miseen application de la loi slevait 110 millions de dollars. Pour lan-ne fiscale 2000, soit 28 ans plus tard, le budget allou slevait 17milliards de dollars par an, et pourtant, en 2000, il y a davantage dedrogues dans ce pays, elles sont moins chres et plus puissantesquen 1972. Ceci pour vous dire quil se cache l-dessous

    quelque autre plan.

    Pour en revenir la Chine et la Guerre de

    lOpium, on la dcrit aussi comme une guerre

    contre le peuple chinois, visant les amener

    vers un tat de passivit dans lequel ils ne

    pouvaient plus reprsenter une force

    relle. Considrez-vous dune certaine

    faon que les drogues servent

    satisfaire un objectif raciste les

    lois sur le crack concernant en

    particulier les populations noi-

    res des quartiers dshrits ?

    Il y a diffrentes faons de voir

    les choses. Pour lesBritanniques, lintroduction delopium en Chine tait unmoyen darriver leur fin. La

    Chine avait une culture homogne. Lorsque les Britanniques sontarrivs, ils taient ces barbares du Caucase. Les Chinois ne voulaientpas avoir affaire eux ; ils ne voulaient pas cder leur th, ils ne vou-laient pas cder leur soie et les Britanniques ont dit Nous ne pou-vons pas tolrer cela . Ils sont alls en Inde et ont fait pousser dupavot aux Indes orientales, sur les contreforts de lHimalaya et lontfait entrer clandestinement en Chine. Et en un sicle, ils ont transfor-m la Chine qui, dune culture homogne et unifie, devint une

    socit de chefs militaires se battant pour dterminer qui allaientappartenir les rgions o circulait la drogue.Si vous examinez ce qui sest pass South Central, Los Angeles,dans les annes 1980, le modle est exactement le mme ; a na paschang. Quand je parle des stupfiants, jadopte plusieurs points devue diffrents. Je ne suis pas seulement un ancien agent de la brigadedes stups de Los Angeles ; je suis aussi un alcoolique repenti qui aidedes gens sen sortir depuis 17 ans. Jai t membre du conseil dad-ministration du Conseil National contre lAlcoolisme. Lalcool estune drogue. Jai crit plus de 35 articles dans le journal amricainJournal of Drug and Alcohol Dependence sur le traitement de ladpendance et la faon de sen sortir. Le problme avec les droguesest le suivant : les gens vont devenir dpendants, quoi que lon fasse,et un certain pourcentage de nimporte quelle population deviendra

    toujours dpendant.Ce qua fait la CIA (et jai crit un article particulier sur ce point ; ilest sur mon site Internet), par lintermdiaire dinstitutions telles quela Rand Corporation, lInstitut de Neuropsychiatrie de lUCLA et uncertain nombre de projets universitaires quelle finance, cest quellesest dlibrment engage dans des recherches pharmacologiquespour dcouvrir quelles taient les drogues qui craient le plus dedpendance. Par exemple, en 1978-1979, bien avant que lpidmiede cocane ne frappe ici aux Etats-Unis, des scientifiques de lInstitutde Neuropsychiatrie de lUCLA, parmi lesquels Louis Jolly West, quientretenait un lien troit avec le programme MK-ULTRA, effec-tuaient des recherches en Amrique du Sud, l o les Sud-Amricainsfumaient du basuco, qui a le mme effet que le crack. La dpendancetait si forte quon leur faisait subir des lobotomies et que les gensfumaient encore le basuco en Colombie ; ils le savaient parce quelInstitut de Neuropsychiatrie et la Rand Corporation avaient rapportces informations.Donc, en 1980, la CIA savait exactement quels allaient tre les effetsdu crack une fois quil svirait dans les rues.

    Qui profite le plus dune population dpendante dans les quartiers

    dshrits ?

    La question nest pas simplement de savoir qui en profite le plus ; laquestion est de savoir comment de nombreuses personnes peuvent ent i r e r profit et dans combien de

    domaines diffrents.Dans mon bulle-

    tin dinfor-

  • 8/7/2019 Nexus 18 - jan fev 2002 - Crop circles (complet)

    26/68

    Page 25 NEXUS N 18

    mation From The Wilderness de mai 1998, nous avons publi unarticle de Catherine Austin Fitts, ancienne secrtaire-adjointe lUr-banisme [et au Logement]. Elle a exhib un plan en 1996, au moisdaot mois o larticle de Gary Webb a paru dans l