Nexus 12 - Jan Fev 2001 - Crop Circles (Complet)

8/7/2019 Nexus 12 - Jan Fev 2001 - Crop Circles (Complet)

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ciences & Actualits

NEXUS

O S E R L I N F O

D I T I O N F R A N A I S E

N12janvier - fvrier

CROP CIRCLES 2000

Fascinants

et mystrieux symboles

Crop circle apparu le 13.8.2000,prs du radio-tlscope du SETI

de Chilbolton (HamsphireGB) 2000.

U . S . A . U S D $ 4 . 9 5

R O Y A U M E - U N I S T G 2 . 5 0

A U S T R A L I E A U D $ 4 . 9 5

P A Y S - B A S N F L 8 . 9 5

I T A L I E L I R E 7 . 0 0 0

N O U V . - Z L A N D E N Z D $ 5 . 9 5

ZOMESla gomtrie sacre

en application

Expansion de la plante :une autre tectonique.

Le miracle des gurisseursphilippins

SANT :la frquence sonore,une clefpour soigner.


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NEXUS N 121

Edito . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .2Crop-Circle : millsime 2000. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3La saison 2000 rvle une collection fantastique de modles circulaires, triangulaires, en forme de cristal, de quadrillages ainsi que de surprenantesillusions doptique.

Regard critique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .9Les infos que vous pourriez avoir manques : de nouvelles lois oppressives trs discrtes ; le lancement de limplant Digital Angel ; la guerre dusida de la CIA ; la rvision par lOTAN du bilan de la guerre du Kosovo ; les possibilits accrues de localisation des utilisateurs des nouvelles gnra-

tions de portables et dautres.

La frquence sonore :une cl pour combattre les agents pathognes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15lanalyse de lempreinte sonore de la voix peut rvler les causes pathognes de maladies. En recevant les frquences complmentaires et harmoniques,le corps est aid dans son combat contre ces lments pathognes et retrouver un quilibre de sant.

Coulisses de linfo . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24Une vision dissidente la position officielle sur le sida, un procs intent aux USA contre Novartis pour avoir commercialis le mdicament Ritalin.

La dilatation du globeUne autre tectonique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29La thorie des plaques tectoniques sappuie sur des nouvelles donnes plantaires qui suggrent que la Terre sest expanse en taille particulirement

depuis le dbut de la priode du Jurassique.

Nouvelles de la science . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44Le circuit collecteur hautement efficace de Robert Calloway, la nouvelle thorie de la gravit de David W.Allan.

Gurisseurs philippins :Les miracles de la chirurgie psychique . . . . . . . . . . . . . . . . . . .49Des gurisseurs philippins Spiritualistes affirment que les oprations miraculeuses,

dignes de la quatrime dimension, dont ils sont les auteurs sont possibles grce lin-tervention de protecteurs spirituels tels que Jesus.

nigme archologique :Antiques guerres atomiques - Partie 2 de 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . 57Statues de sel radioactif dans la Mer Morte et ruines vitrifies dans la valle delIndus donnent de la crdibilit aux textes vdiques relatant les combats hautes-technologies des temps antiques.

Courrier des lecteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66

Rubrique livres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . .67

NEXUS

Sommaire

Zomes,

la conscience des formesParticularits, charmes nergtiques et esth-

tiques de ces structures multifacettes qui utilisent

les principes universels de la nature.

....................................................ENF 12 page 1

Rudolph Steiner - 1923Un texte visionnaire du clbre antroposopheau sujet de la vache folle........ENF 12 page 8

Nexus est imprimsur papier recycl 100%blanchi sans chlore

pour ldition webditions [email protected]://www.nexus.fr


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NEXUS N 12

idle son objectif, Nexus consacre la une de son numro 12, un phnomne inexpliqu. Tout a commenc dans le sud del'Angleterre dans les annes 80. Les champs de crales furent lethtre d'tranges manifestations. Une gigantesque main invisible

traait des symboles gomtriques en couchant les bls. Le phnomne con-tinue et s'amplifie aujourd'hui. Les crop circles apparaissent presque instan-tanment en gnral la nuit et les observateurs n'y voient que du feu... au sensfigur comme au sens propre, en effet, on a pu observer juste avant la forma-tion des figures un ballet de boules lumineuses...Les dessins de plus en plus sophistiqus et d'une ralisation parfaite font lesbeaux jours des surfeurs d'Internet. Les chercheurs quant eux scrutent le cielavec perplexit...Mme si l'on a pu dterminer que certains taient faits demain d'homme, pour d'autres ceci est impossible. Le mystre reste entier.Pourquoi s'interesser aujourd'hui ce phnomne me direz-vous ? Observonsson impact. Il est intressant plus d'un titre. Tout d'abord, il bouscule noscertitudes, et il n'est pas ngligeable aujourd'hui de relativiser la toute puis-

sance scientifique mais bien plus, il nous emmne vers "la gomtrie sacre".C'est Pythagore je crois qui prtendaient que Dieu tait un gomtre... Cesdessins nous invitent creuser cette piste. Les coles de mystres gyptiennesconnaissaient dj cela. Certains livres dits aujourd'hui au Qubec mettent la porte de tous des enseignements autrefois rservs aux initis. Enfin lesplus audacieux prtendent qu'il s'agirait l d'une tentative de communicationd'entits extrieures notre terre. Quant on remarque que ceci se manifeste cot des grandes oreilles dresses pour couter le cosmos, c'est troublant !Dans un tout autre domaine, des chercheurs se penchent sur l'analyse des sonset notamment de l'empreinte de la voix.Le corps humain est sensible auxfrquences sonores. On peut ainsi reprer des pathologies avant leur appari-tion mais galement les soigner.

Enfin, troisime menu de choix, la thse de James Maxlow sur la tectoniquedes plaques. Elle bouscule elle aussi les thses communement admises et pos-tule que la terre s'expanse en taille depuis le dbut de la priode du jurassique.Les informations sont enthousiasmantes ou carrment terrifiantes, qu' celane tienne !. Quoi qu'il en soit, il est important de savoir, de pouvoir regarderce qui est... et ensuite d'aller plus loin ! Tout ceci fait partie de notre monde.N'oublions jamais que c'est dans la plus grande adversit que surgissent leslans les plus lumineux. Que cette nouvelle anne soit pour vous l'anne del'affranchissement, des yeux ouverts et des mains tendus tant il est vrai que levisage du monde peut tre chang par le regard diffrent que nous portons lesuns sur les autres. Tous les phnomnes d'entraide et de solidarit sont lespierres de la nouvelle humanit que nous batissons ds aujourd'hui.

Dans l'espoir et la confiance, belle anne 2001.M-H Courtat

2

m

F

NEXUS MAGAZINEAnne 2 - N 12

JANVIER/FVRIER 2001

DIRECTRICE DE PUBLICATIONMarie-Hlne COURTAT

DITRICEAnne GIVAUDAN

CONSEILLER SCIENTIFIQUEAntoine ACHRAM

CONSEILLER TECHNIQUEJean-Louis GUASCO

SECRTAIRE DE LA RDACTIONDavid Dennery

PHOTOGRAPHIES DE COUVERTUREreproduites avec laimable autorisation

de Peter SorensenILLUSTRATIONS

Dessins : Phil Sommerville Jean-Jacques Colin

Ren Bickel Bernard Leblanc-HalmosPeintures : Yannick Souleil

Eclats de musiques p19Franois Schlesser

"La valle des mille soleils" p.35

MAQUETTE INTRIEUR ET COUVERTURELe Semeur dimages : Gilles Malgonne

IMPRIMEURSAGRAFIC, S.L., Pza Urquinaona, 14 - 7e, 3e

08010 Barcelone (Espagne)

DISTRIBUTION FRANCEN.M.P.P.

BUREAU CENTRALPO Box 30, Mapleton, Qld 4560, Australie

Tl. : (07) 5442 9280 - Fax : (07) 5442 9381e-mail : [email protected]

BUREAU DE NOUVELLE-ZLANDEPO Box 226, Russell, Bay of Islands.

Tl. : +64 (0)9 403 8196e-mail : [email protected]

BUREAU DES TATS-UNISPO Box 177, Kempton, IL 60946-0177

Tl. : (815) 253 6464 - Fax : (815) 253 6454e-mail : [email protected]

BUREAU DE GRANDE-BRETAGNE55 Queens Rd, East Grinstead, West Sussex,

RH19 1BG - Tl. : +44 (0)1342 322854Fax : +44 (0)1342 324574

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Pays-Bas Tl. : +31 (0)321 380558Fax : +31 (0)321 318892e-mail : [email protected]

DCLARATION DE RAISON DTREConscient que lhumanit traverse une importante pri-ode de transformation, NEXUS sefforce de fournir des

informa-tions difficiles dnicher afin daider les gens traverser ces temps. NEXUS nest rattach aucuneidologie religieuse, philosophique ou politique, nonplus qu une organisation.

AUTORISATION DE REPRODUCTIONLa reproduction et la dissmination de linformation con-tenue dans NEXUS sont activement encourages ; nan-moins, toute personne prise en tirer un avantagefinancier sans notre accord exprs aura en rendrecompte.NEXUS nest aucunement responsable de la teneurdes articles et annonces qui sont sous la seule respon-sabilit de leurs auteurs. Pour tout problme de sant,les lecteurs sont invits prendre lavis dun mdecin.

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DITORIAL

MYSTREET BOULES DE LUMIERE


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3

CROP CIRCLES : millsime 2000De mystrieuses figures gomtriques apparaissentcomme par magie, la nuit, dans des champs decrales en Angleterre. De quoi sagit-il ?Qui sont ces mystrieux et talentueux artistes ?

Southern Circular Research

13 Downsview Cottages

Cooksbridge, East Sussex BN8 4TA, GB

E-mail : [email protected]

Images tires du site Internet

Crop Circle Connector :

www.cropcircleconnector

Par Andy Thomas 2000

es premires observationsdu phnomne datent desannes 80. Ces mys-

trieuses figures gomtriques appa-raissaient l't dans les champs decrales juste avant les rcoltes. Onl'observait essentiellement dans lesud de l'Angleterre, mais il s'avratrapidement qu'il y en avait un peupartout dans le monde (environ4000 observations sont recenses

ce jour) De simples cercles au dbut,les dessins devinrent des motifsgomtriques de plus en plus com-plexes. Aujourd'hui, nous pouvonsadmirer des centaines de figuresrpertories sur quelques sites inter-net. On ne peut qu'tre frapps parla beaut et la rgularit de ces fig-ures (une aubaine pour les pho-tographes !) Certaines sont desimples motifs gomtriques,d'autres reprsentent des symbolesconnus. Aucune hsitation, aucune

maladresse, le trait est toujours par-fait. Les observations tant main-tenant de plus en plus nombreuseset prcises, on a pu remarquer queles plantes sont toujours couchesdans le sens des aiguilles d'une mon-tre. Elles ne sont pas couches encercles concentriques (comme onpourrait le faire avec une corde ouune chane) mais en arcs spirodauxpartant d'un centre et voluant pro-gressivement vers la priphrie du

cercle. Tous les pis sont absolumentintacts, nantis de tous leurs grains,la croissance persvrant, mme enposition couche.

Phnomne bizarre autant qu'-trange ! Les tentatives d'explicationvont bon train mais ce jour aucuned'entre elles ne s'est rvle com-pltement satisfaisante.

L'hypothse de l'action detrombes de vent, de tourbillons depoussire ou de mini-tornades a ttudie par le Dr Meaden, unmtorologiste anglais, qui a recon-nu lui-mme qu'une telle explication

ne pouvait tre retenue. Le mouve-ment l'intrieur de jeux de cerclesest toujours anticyclonique quelquesoit l'endroit et les conditions clima-tiques dans lesquelles ils sontapparus, ce qui n'est pas le cas desphnomnes mtorologiques. Laquasi perfection de ces cercles dansleur trac n'est pas conforme auxturbulences que peuvent causer lestrombes de vent : les plantes ne sontni brises, ni dracines.

On a ensuite tent de prouverdans les annes 1990-91 que cesdessins n'avaient rien de mystrieuxet avaient t faits de maind'hommes. Ils auraient t l'uvrede deux sexagnaires anglais dsir-ant faire parler d'eux ! Bien que cetteinformation ait t reprise par la plu-part des journaux de l'poque et sou-vent avance par les personnesdsireuses de se dbarrasser rapide-ment du phnomne, il s'avreaujourd'hui que cette explication

simpliste ne rsiste pas l'examen.Il a fallu chercher des explicationsplus sophistiques.

Les chercheurs srieux avaientobserv sur les chantillons de blscouchs l'endroit de la courbure,une modification de la structure cel-lulaire... Fallait-il envisager qu'uneforce inconnue couchait les bls ?

Jean-Pierre Velasco, l'poquedirecteur du CNES (centre nationaldes tudes spatiales) avana alorsune explication un peu plus auda-cieuse : des militaires testeraient une

arme rayons du genre "guerre destoiles", capable de provoquer dis-tance, un chauffement trs lev ettrs localis.

Il fallut constater l'appui decette hypothse que ces cercles appa-raissaient dans des rgions o setrouvait une forte concentration d'in-stallations militaires. Les fermiersne se plaignaient pas, comme s'ilstaient ddommags pour le prju-dice subi. les biologistes des univer-sits voisines ne se drangaient pas,comme s'ils connaissaient la cl del'nigme...

A ce jour le phnomne fascinetoujours le commun des mortelssans qu'aucune explicationrationnelle satisfaisante n'ait pu tredonne. L'information se rpand viaInternet. Des images de plus en plusbelles et sophistiques sont livresau public sous forme de photos,cartes postales, calendriers, livres...le commerce marche bien, merci

pour lui ! pourquoi pas puisque c'estbeau ! Ceci n'explique toutefois pasle phnomne.

L

Enqute


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On peut raisonnablement penser ce jour que certains sont des rali-sations humaines... Toutefois est-ilvraiment "draisonnable" de con-stater que bien des phnomnesrestent ce jour inexpliqus surnotre belle plante et que le sens relde ces dessins nous chappe peut

tre encore ? (NDEF)

C'est en 1990 que le mystre desCrop Circles fit pour la premire foisla une des mdia du monde entier avecune multitude de dessins extraordi-naires gravs dans les champs.Jusqu'alors, le phnomne avait relevde l'excentricit et de l'original ; maisavec cette nouvelle srie, on est passdes simples cercles une volutioninexplicable de dessins complexes qui

allaient continuer de fleurir et de sedvelopper au cours des dix annessuivantes.

Avec le dbut d'un nouveau sicle etd'une nouvelle dcennie, on s'attendait ce que le phnomne fasse de nou-veau un bond prodigieux. Les chosesne se sont pas tout fait passescomme cela, mais le progrs incessantde leurs courbes magiques fit que lesmerveilles de la cuve 2000 furent la

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Cette anne, les crop cir-

cles, abondants dans les

champs britanniques,

ont adopt des formes

circulaires, triangulaires,

des formes faon diamants

et faon grilles, sans oublier

quelques effets optiques

assez inhabituels.

Windmill Hill, prs de Avebury, Wiltshire ; Signal le 18 juin.

(image Francine Blake / Wiltshire Crop Circle Study Group 2000)

East Kennett, prs de Avebury, Wiltshire. Signal le 2 juillet.

(image Steve Alexander 2000)

Woodborough Hill, prs de Alton Priors, Wiltshire. Signal le 13

aot.. (image Steve Alexander 2000)


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hauteur des attentes.Le phnomne mit du temps

dmarrer, avec simplement quelquesformations embellissant les champsentre avril et juin ; toutefois, celles du20 mai Alton Barnes le clbre sitespcialis en la matire depuis le toutdbut annoncrent la couleur avec

leur pentagone effet 3D.L're des formations avec illusiond'optique tait ne et allait engendrerd'autres motifs rellement fascinants,plus tard dans l't. Une sorted'chiquier compos de rectangles Windmill Hill le 18 juin donnait enmme temps l'trange impressiond'une sphre. Une sorte de "casse-ttechinois", qui fit son apparition lamme nuit Bishops Cannings,ressemblait trois pentagrammes vusen perspective, accrochs la surfaced'une autre sphre.

L'ajout de triangles dans les motifsdevint galement un lieu commun. Cegenre de dessin apparut prs du grand

tumulus de West Kennett prs deAvebury le 2 juin. Au dpart peuimpressionnante et trs confuse, cetteforme triangulaire entoure de 12petits triangles aplatis, surprit soudaintout le monde le 3 juin car, pendant lanuit, elle s'tait transforme en uneuvre magnifique, faite de parties

aplaties ou non ; l'ordre avait mirac-uleusement remplac le chaos !En fait, ce fut toute la rgion de

Kennett/Silbury Hill qui fut cetteanne le thtre de ce phnomne,avec plus d'un champ sur deuxoccups par une formation et ce sur unkilomtre carr. Les mystiquesdclarrent que ce phnomne tait d l'ouverture soudaine et inexpliqued'un puits cylindrique au sommet del'ancienne et mystrieuse colline deSilbury Hill. Bien que cela soit cer-tainement d, en partie du moins, l'habilit douteuse de chasseurs de tr-sors il y a plus de 200 ans et qui nerefermrent pas correctement leurs

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fouilles mais simplement colmatrentle sommet, nombreux furent ceux quipensrent que des forces puissantesfurent libres lorsque le sommets'croula. D'tranges lumires furentaperues sur la colline au cours dessemaines prcdant l'ouverture dutrou. Quelles que soient les circon-

stances de cet affaissement (sommetoute quelconque), ceux qui pensentque Silbury est un accumulateur de"l'nergie de la Terre" affirment queson ouverture inattendue a permis lalibration massive du pouvoir naturelconcentr qui gonfle ce paysage sacr.

Parmi les formations quiapparurent cet endroit, la plusbouleversante fut un quadrillage, telune carte de circuit imprim, form de1600 composants rectangulaires, quivit le jour East Kennett le 2 juillet. Lalogique gomtrique utilise pour crerun tel dessin un mlange de carrsdebout et de carrs plats troublamme les plus grands spcialistes de

Avebury Trusloe, prs de Avebury, Wiltshire.

Signal le 22 juillet. (image Steve Alexander 2000)

Istead Rise, prs de Gravesend, Kent. Signal le 29 juillet.(image Andrew King 2000)


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crop circles. Au sol, on n'y comprenaitrien du tout et on se demandait com-ment un tre humain avait bien pu leconcevoir.

Cette formation, unique en songenre, attira l'attention des journaux ;mais les mdia, l'exception d'un oudeux autres articles positifs,

retombrent bientt dans le scepti-cisme facile attendu par les fans descrop circles, avec une srie d'articles etde lettres dnonant le canular.Plusieurs cercles faits par une maind'homme auraient t films pendantleur cration, le but tant de diffuserplus tard les images la tlvision sous les yeux rsigns et ennuys deschercheurs qui avaient vu et survcu tout ceci auparavant.

Les dclarations d'un chercheurspcialis dans ce domaine, Colin

Andrews il pense maintenant que lesformations sont l'uvre de l'hommedans 80% des cas, le reste tant crpar le magntisme naturel firentbeaucoup de publicit au phnomnemais rencontrrent le cynisme et l'in-diffrence non seulement des scep-tiques mais aussi des partisans duphnomne. Faute de document offi-ciel, cette dernire affirmation n'estqu'une thorie de plus jusqu' ce queles preuves ncessaires soient

fournies.L'ide selon laquelle des personnesseraient l'origine d'un grand nombrede ces formations a t svrementconteste par de nombreuxchercheurs qui citent plusieurs dtailssuggrant le contraire. Toutefois, l'idequ'un canular soit l'origine, disons,d'une grande partie de ces uvressemble maintenant avoir t admisepar les fans de crop circles sans trop demal certains considrant que, bien oumal, les formations faites par l'hommene font qu'ajouter au mystre et com-muniquent avec le paysage leurfaon. De nombreuses formations,toutefois, incitent se demander com-ment les hommes pourraient crer unetelle complexit et une telle beautsans aucune erreur et dans l'obscurit.

Le chef d'uvre de l'anne fut sansconteste le stupfiant et fantastiquedessin dcouvert le 22 juillet AveburyTrusloe. Une srie renversante de dia-mants debout et couchs, tourns vers

l'extrieur dans un cercle, donnrentl'impression (peut-tre ironiquement,tant donn les dclarations de

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Silbury Hill, prs de Avebury, Wiltshire. Signal le 25 juillet


Bishop Cannings, prs de Devizes, Wiltshire. Signal le 27 juin.


Sous Milk Hill, prs de Alton Barnes, Wiltshire. Signal le 1er juil-

let. (image Steve Alexander 2000)


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s'avra tre un cercle partag en qua-tre quartiers remplis linairement aulieu du tourbillon classique. La forma-tion 2000 de Everleigh Ashes a vuquatre de ces cercles diviss en quatrealigns comme une croix celtique tour-nant autour d'un tumulus rond, qui for-mait la partie centrale du dessin. Surcette butte antique, l'herbe avait t

balaye pour complter l'effet.Comme les choses ont volu !

Les photographes qui couvrent cetarticle tmoignent en faveur des nom-breuses et magnifiques formations quisont apparues cette anne. Mais tousles efforts de cette anne ne furent pasconfins l'intrieur des frontires duWiltshire ; d'autres comts parmilesquels l'Hampshire, le Kent, leLeicestershire, le Yorkshire, le Sussexet d'autres encore, tous jourent un

rle dans ce progrs incessant, commele firent les nombreux autres pays quimaintenant reoivent rgulirementleurs propres cadeaux chaque anne.

NEXUS N 127

Andrews) de particules prises dans deschamps magntiques. Malgr lesinvitables revendications de pater-nit, faites par les habituels "artistes"gocentriques dans un journal comme toujours, sans la moindrepreuve pour les tayer mme leschercheurs chevronns restaientbouche be d'admiration devant un tel

spectacle. Mais ce spectacle ne s'arr-ta pas l, car un autre dessin des plustonnants aux principes mathma-tiques similaires fit son apparition le 13aot Woodborough Hill.

L'vnement qui illustra peut-tre lemieux l'ampleur que prit cephnomne au cours des 10 derniresannes fut la formation trs inhab-ituelle qui apparut le 19 juillet Everleigh Ashes. En 1989, le mondecralier eut un avant got des pro-

grs qui allaient l'branler jusque dansses jeunes fondations l'anne suivante,lorsque la dernire formation de cettesaison-l Winterbourne Stoke,

Nous avons beaucoup appris aucours de ces dix dernires annes mais nous ne possdons toujours pasla rponse ce mystre.Extraterrestre, gophysique, psy-chique ou spirituelle, la solution nouschappe encore. Mais les adeptes larecherche d'une crdibilit pour cettenigme unique en son genre ont une

passion qui n'a pas diminu, malgr lescepticisme blessant et les problmesrencontrs.

Cette anne, le GlastonburySymposium, symposium internationalqui dura trois jours, fta son 10meanniversaire avec un vnement ton-nant dont j'eus le privilge de faire par-tie : des personnes du monde entier sesont rassembles pour raffirmer leurenthousiasme pour ces dessins stup-fiants, les problmes qui y sont asso-cis et la rflexion de plus en plusimportante qu'elles engendrent.Durant tout l't, d'autres vnementseurent lieu rassemblant les individus de

Allington Down, prs de Devizes, Wiltshire. Signal le

1er aot.


South Field, Alton Priors, Wiltshire. Signal le 19 juin.

(image Francine Blake / Wiltshire Crop Circle Study Group

2000)


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mme pense. Chaque anne, leurnombre augmente ; Nombreux sontceux qui voient au-del du scepticismeet du battage publicitaire.

Dans un rcent article paru surInternet, le correspondant scientifiquede BBC Online, le Dr DavidWhitehouse, dclara que ceux qui pen-

saient que les crop circles n'taient pasl'uvre d'tres humains taient "desabuss, des fous ou des charlatans". Ilest clair que nombreux sont ceux quisont prts tre traits de tous cesnoms dans leur qute de la vrit.

Pour de plus amples renseignements etd'autres images, merci de contacter : Crop Circle Connector : www.crop-circleconnector.com Steve Alexander 27 St francis Road,

Gosport, Hants PO12 2UG, GBTel/Fax : +44 (0) 2392 352867E-mail :[email protected]

Traduction : Marie-Hlne Demillire

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A propos de l'auteur :

Andy Thomas est l'diteur de la revuebimensuelle SC sur les crop circles, mem-bre fondateur de la Southern CircularResearch Team et auteur de trois livres surl'tude des cercles : Fields of Mystery [leschamps de tous les mystres], Quest for

Contact (avec Paula Burra) [ la recherchedu contact] et Vital Signs [les signes fonda-mentaux]. (non traduits en franais notre con-naissance)

Uffington White Horse, prs de Woolstone, Oxfordshire. Signal

le 22 juillet (image Steve Alexander 2000)

White Hill, prs de Lockeridge dene, Wiltshire. Signal le 19

juillet (image Steve Alexander 2000)

Bishop's Sutton, prs de Winchester, Hampshire. Signal le 15

juillet. (image Steve Alexander 2000)

Bibliographie franaise

pour aller plus loin sur le sujet :

"Les Messagers de l'aube" et "Terre,cls pladiennes de la bibliothquevivante" de Barbara Marciniak - Ed.Ariane

"Alliance" de Anne Givaudan auxEditions SOIS lveil au Point Zro de GreggBraden

r


10/68NEXUS N 12

9

REGARD CRITIQUE...REGARD CRITIQUE...

isation et de navigation par satellite

Digital Angel est destin des usages multiples. En plus

de localiser des personnes disparues et de contrler des

donnes physiologiques, cet appareil sera lanc dans le

monde du commerce lectronique pour permettre de

vrifier lidentit du consommateur en ligne.

Semblable aux technologies puce actuellement util-

ises comme plaques didentit lectroniques pour les

LIMPLANT DIGITAL ANGELARRIVE

Un prototype oprationnel de limplant connu sous le

nom de Digital Angel[Ange numrique], conu pour

contrler la physiologie et la position de porteurs

humains, doit tre dvoil en octobre, avec deux mois da-

vance sur ce qui tait prvu, lors dune manifestation qui

se tiendra New York, sur invitation seulement.Lappareil, labor par la socit Applied Digital

Solutions Inc. de Palm Beach, en Floride, aux Etats-Unis,

est cens tre la toute premire combinaison opra-

tionnelle entre la technologie dun dtecteur biologique

et celle des tlcommunications sans fil rendues possibles

grce au Web et relies aux systmes mondiaux de local-

t a t s-U n i s

K o sovo

A f r ique

R o y a um e -Un i

E u ro p e nneUnion


11/68NEXUS N 12

On devrait noter que la plupart

des donnes sont tires dtudesralises sur des patients hospital-iss, et que ces estimations ne con-cernent que les dcs, etnenglobent pas les effets dfavor-ables responsables dun handicapou dun inconfort. Si lon prenaitles estimations les plus leves, lesdcs dus des causes iatrognesiraient de 230 000 284 000 paran.

En tout cas, ces 225 000 dcs

annuels dus des causes iatrognesconstituent la troisime causemajeure de dcs aux Etats-Unis,juste aprs la maladie cardiaque etle cancer.(Source : JAMA 284[4], 26 juillet 2000, http://jama.ama-asan.org/issues/)

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mations concernant la localisation de lindividu. Cesdeux groupes de donnes - informations mdicales et

localisation - seront alors transmises, grce une com-

munication sans fil, au poste au sol et seront consultables

sur des appareils de bureau, portables ou sans fil quips

dInternet.

Le responsable des recherches, le Docteur Peter Zhou,

montre un enthousiasme fou pour cet appareil.

Digital Angel vous reliera au monde lectronique. Ce

sera votre ange gardien, votre protecteur. Il vous apportera

plein de bonnes choses. Nous deviendrons un hybride de

lintelligence lectronique et de notre propre me.

(Sources : communiqu de presse ADS, 31 juillet 2000, HYPERLINK "http://www.digitalan-gel.netwww.digitalangel.net; WorldNetDaily, 13 aot 2000, HYPERLINK "http://www.world-netdaily.com/www.worldnetdaily.com/)

La population amricaine est

trs loin davoir la meilleuresant du monde. Sur 13 paysexamins lors dune rcentecomparaison, les Etats-Unis seclassent 12me (avant-derniers)pour 16 indicateurs de santdonns.

Les pays classs suivant lamoyenne des rangs obtenuspour les diffrents indicateurs de

REGARD CRITIQUE...REGARD CRIT

animaux domestiques, Digital Angel est un implant de lataille dune pice de monnaie qui est insr juste sous la

peau. Lorsquon limplante dans le corps, lappareil est

aliment de faon lectromcanique par le mouvement

des muscles, et il peut tre mis en marche soit par le por-

teursoit par un mcanisme de contrle.

Ceux qui auront la chance dassister cette manifesta-

tion New York verront limplant fonctionner lors dune

dmonstration multimdia. Un appareil de dtection

miniature - plus petit quun grain de riz et dot dune

antenne minuscule - captera et transmettra, grce une

communication sans fil, des donnes relatives aux fonc-

tions physiologiques vitales dune personne, telles que la

temprature ou le pouls, un poste au sol reli Internet.

De plus, lantenne recevra aussi du satellite GPS des infor-

sant (les premiers tant les

meilleurs) sont : le Japon, la Sude,le Canada, la France, lAustralie,lEspagne, la Finlande, les Pays-Bas,le Royaume-Uni, le Danemark, laBelgique, les Etats-Unis etlAllemagne.

Parmi les estimations amricainesdes effets combins des erreursmdicales et des effets dfavorablesse produisant cause de lsionsiatrognes non lies des erreursmdicales reconnaissables, on

compte :( 12000 dcs/an suite des

oprations chirurgicales superflues( 7000 dcs/an suite des erreurs

de mdication dans des hpitaux( 20000 dcs/an suite dautres

erreurs dans des hpitaux( 80000 dcs/an suite des infec-

tions nosocomiales dans des hpitaux( 106000 dcs/an non pas suite

une erreur mais aux effets dfavor-ables des mdicaments

Tout ceci fait au total 225 000dcs par an dus des causesiatrognes.

LES MEDECINS, TROISIEME CAUSE MAJEURE DE DECES AUX ETATS-UNIS


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REGARD CRITIQUE...REGARD CRI

tional dcoute indiscrte dirig par la NSA, connusous le nom dUKUSA, dont Echelon fait partieintgrante, sy sont engags.

Aux Pays-Bas, le service de scurit nerlandaisBVD a reconnu fin juillet quil avait recueilli des e-mails que des socits avaient envoys ltranger.A La Haye, des lois se prparent pour autoriser leMinistre de la Justice espionner les e-mails et lesarchives de labonn, examiner des messages etdes appels effectus par tlphone portable et suivre la trace les faits et gestes des utilisateurs. Legouvernement australien a dj ratifi des lois

autorisant les agents de scurit attaquer et pirater en secret des ordinateurs pour obtenir desinformations. Bon nombre dautres gouvernementssont en train de prvoir des plans similaires.

Ces dveloppements ne sont pas une conci-dence, mais le rsultat direct dune planificationsecrte sur sept ans par un groupe de coordinationinternationale tabli par le FBI - aprs que leCongrs eut refus par deux fois dtendre ses pou-voirs dcoute tlphonique aux rseauxnumriques. Sous le nom inoffensif de InternationalLaw Enforcement Telecommunications Seminar(ILETS) [Sminaire International sur la Lgalit enmatire de Tlcommunications], ce groupe sestruni chaque anne afin dlaborer des plans et defaire pression pour rendre les systmes de commu-nications propices linterception.

Le travail de lILETS est pour la premire foisapparu au grand jour fin 1997 lorsquun chercheurbritannique, Tony Bunyan, a rvl que des respon-sables de lUnion Europenne avaient collaboravec le FBI pendant de nombreuses annes. Desdtails du projet obligeant les fournisseurs de ser-

vices Internet du monde entier installer dans leurslocaux des botes noiresdinterception secrte surInternet, sont apparus sur Online lan dernier.

En juillet, le Parlement Europen a nomm 36dputs chargs denquter pendant un an surEchelon - le nom de code dun systme en grandepartie amricain destin contrler le trafic sur dessatellites de communications commerciales.Echelon est devenu le terme courant pour dsignerle rseau international des signaux des servicessecrets (SIGINT) ou le rseau dcoute lectronique,

dirig par les Quartiers Gnraux desCommunications du Gouvernement (GCHQ), con-jointement avec lAgence Nationale de Scurit desEtats-Unis. Cette enqute cherchera savoir si les

droits des citoyens europens sont correctementprotgs et vrifiera si lindustrie europenne estmise en danger par linterception des communica-tions lchelle mondiale.

Lcoute lectronique est devenue un champ debataille entre les Etats-Unis et la Russie. Le Trust andCooperation Act [loi sur la coopration] entre laRussie et les Etats-Unis, adopt le 19 juillet 2000,oblige le prsident Clinton stopper ses projetsvisant r-chelonner ou ponger les milliards dedollars que les Russes doivent son pays moins defermer dfinitivementune base despionnage russe

situe Cuba. Cette base de Lourdes, situe sur unterrain lou bail prs de La Havane, tait linstal-lation la plus importante des services secrets de lan-cienne Union Sovitique. Elle utilise des systmes dutype Echelon pour recueillir des donnes partirdappels tlphoniques et de liaisons par satellitecouvrant tous les Etats-Unis, et fournit soi-disantentre 60% et 70% de toutes les donnes que pos-sdent les services secrets russes sur les Etats-Unis.

La Maison Blanche souhaite stopper la cam-pagne visant faire fermer Lourdes parce que

dautres pays pourraient alors demander aux Etats-Unis de fermer les bases similaires quils possdent.Des documents suggrent que les Etats-Unis red-outeraient particulirement que la consquence delaffaire Lourdes gagne la Grande-Bretagne,lAllemagne et lAustralie, o la NSA gre des sitesimportants. Leur station de Menwith Hill, dans leYorkshire, en Angleterre, est la plus grande baselectronique des services secrets au monde.(Sources : par Duncan Campbell, The Guardian, Londres, 10 aot 2000, HYPERLINK"http://www.guardianunlimited.co.uk/online/www.guardianunlimited.co.uk/online/;Intelligence, France, n370, 10 juillet 2000, www.blythe.org/Intelligence)

Traduction : Christle Guinot


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LA TRS DISCRTE ADOPTION DU NOUVEAU CODE DU SECRET DE LUNION EUROPENNE

REGARD CRITIQUE...REGARD CRIT

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t a t s -U n is

K o sovo

A f r ique

R o y a um e -Un i

E u ro p enn eUnion

Les gouvernements de lUnion

Europenne (UE) ont approuv de

larges et nouveaux contrles de linfor-

mation, y compris des dtails sur la

proposition dune nouvelle force de

police paramilitaire europenne.

Le nouveau code du secret de lUEavait t approuv un peu plus tt en

aot par une procdure crite,

prvenant ainsi tout dbat au sein du

Parlement Europen. Il entra en vigueur

dans lUE le 23 aot. Ce code a t

rdig en secret par le chef suprme de

la scurit de lUE, Javier Solana, qui

est aussi secrtaire gnral du Conseil

des Ministres de lUE, en collaboration

avec son successeur au poste de

Secrtaire Gnral de lOTAN, LordRobertson.

Ces contrles ont t excuts dur-

gence malgr lopposition du mdia-

teur europen, Jacob Soderman, qui a

prvenu que ce code pourrait sappli-

quer des domaines politiques actuelle-

ment accessibles la consultation

publique.

Daprs le plan Solana, tous les doc-

uments classs secrets concernant la

scurit et la dfense de lUnion ou delun ou plusieurs de ses tats mem-

bresou bien la gestion de crises mili-

taires ou non-militairesseront

dfinitivement exclus dune consultation

publique.

Les rgles du secret couvriront les

propositions visant tablir une force de

police paramilitaire de lUE, forte de

5000 hommes, ainsi que les projets con-

cernant une force de raction rapide.

Elles pourraient couvrir tous les dbats delUE sur la justice pnale, le contrle des

frontires et la politique commerciale.

Ce code permettra aussi aux gou-

vernements de lOTAN ne faisant par

partie de lUE dapposer leur veto la

divulgation de documents de lUE.

Cependant, des documents divul-

gus montrent que ces projets vont

beaucoup plus loin que des oprations

purement militaires. La force de rac-

tion rapide voque pourrait tre util-ise pour rprimer la croissance de la

violence et la dstabilisation de lordre

public, les attentats lordre public, le

dclenchement de combats, les conflits

arms et les mouvements massifs de

population.

Parmi les documents qui auraient t

supprims selon les nouveaux con-

trles, on compte le procs-verbal

dune rencontre entre les polices

UN MOUCHARD DANS VOTREPOCHE

La prochaine gnration de tlphones portables permettra bien

plus facilement la police de surveiller en secret des citoyens,dclarent des dfenseurs des liberts civiques au Royaume-Uni.

Ils mettent en garde contre le fait que la combinaison de la tech-

nologie de dtection de localisation intgre dans les tlphones et

les droits accords la police selon le Regulation of Investigatory

Powers (RIP) Act [loi visant rglementer les pouvoirs dinvestiga-

tion], signifie que les propritaires de tels tlphones peuvent tre

observs, et ils le seront. Ils avertissent actuellement les gens quen

utilisant lun de ces nouveaux tlphones ils pourraient avoir du

mal prserver leur intimit.

Reconnaissant ces implications, les compagnies de tlphones

recherchent des faons de permettre leurs clients de cacher len-

droit o ils se trouvent en appuyant sur une touche.

Bien que des combins GSM existants puissent servir dappareils

de localisation, ils ne donnent en gnral une position qu 200

mtres prs. Cette prcision peut tre amliore si les combins

sont dots dun logiciel spcial qui donne une position 50 mtres

prs de la position relle. Les nouvelles technologies des tl-

phones portables comme les General Packet Radio Services (GPRS)

et Universal Mobile Telecommunications Services (UMTS) ont int-gr des systmes de localisation encore plus prcis. Les services

GPRS doivent tre disponibles dans le monde entier cette anne, et

les rseaux de tlphones UMTS doivent tre branchs en 2002.

Mais Caspar Bowden, directeur de la Fondation pour la

Recherche sur la Politique dInformation, prvient que la loi rcem-

ment adopte (le RIP Act) pourrait permettre dutiliser les donnes

dans un but bien plus sinistre. Il dclare que le RIP Act considre

les informations utilises pour localiser les tlphones comme des

transmissions de donneset que la police na pas besoin de jus-

tification pour y avoir accs. La police pourrait se servir de ces

informations pour surveiller en secret tout individu utilisant un

tlphone portable.(Source : par Mark Ward, BBC News Online, 14 aot 2000, HYPERLINK"http://news.bbc.co.uk/hi/english/sci/tech/http://news.bbc.co.uk/hi/english/sci/tech/)

t a t s -U n is

K o sovo

A f r ique

R o y a um e -Un i

E u rop e nneUnion


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REGARD CRITIQUE...REGARD CRI

DES MEDECINS BRITANNIQUES DE LAGENCE DE CONTRLE DES MDICAMENTSCORROMPUS PAR LES COMPAGNIES PHARMACEUTIQUES

Un bon nombre des experts qui conseillent le gouvernement britannique sur la scurit des mdicaments possdent des actions dansles socits pharmaceutiques qui tirent un bnfice de leurs dcisions.

Selon des reportages diffuss dans les mdia britanniques, plus des deux-tiers des mdecins et des universitaires qui officient dans descommissions de lAgence de Contrle des Mdicaments (MCA) possdent des investissements dans lindustrie pharmaceutique ou bn-ficient de largent des compagnies pharmaceutiques.

Certains mdecins ont un norme portefeuille dactions dont la valeur slve plus d1 million de francs dans de grosses compag-nies comme SmithKline Beecham et AstraZeneca. Beaucoup dautres dpendent des services dexpertise, des honoraires et des boursesde recherche des gants de lindustrie.

Nicholas Harvey, le porte-parole des Dmocrates Libraux en matire de sant, a appel un renforcement des arrts gouvernantles intrts des conseillers et a condamn la confidentialit des runions des commissions, qui se tiennent toutes labri des regardsindiscrets.

Le Sunday Express a dcouvert que plus de 170 membres sur les 248 membres que compte la MCA ont des liens financiers avecdes compagnies pharmaceutiques. Au total, 42 membres possdent des actions dans plusieurs compagnies.

(Source : par Jonathan Calvert et Lucy Johnston, Sunday Express, Londres, 6 aot 2000, site Internet HYPERLINK "http://www.lineone.net/express/www.lineone.net/express/)

FIASCO DES BOMBARDIERS BRITANNIQUESLORS DU CONFLIT AU KOSOVO

Le gouvernement britannique est accus davoir cherch dtru-

ire un rapport montrant que seules 3 des 150 bombes explosifs,

non tlguides, largues par des appareils britanniques lors du

conflit au Kosovo lan dernier, avaient bien atteint leur cible.

Ce rapport, prsent par la Defence Evaluation and Research

Agency [Organisme de Recherche et dEvaluation sur la Dfense]

du Ministre de la Dfense, a aussi montr que seulement 40% de

toutes les bombes largues par les appareils de la RAF (Royal Air

Force) pendant cette campagne avaient atteint leur cible.

Ceci fait apparatre une perspective suggrant que les victimes

civiles et les dgts matriels ont t srieusement sous-estims.

(Source : The Independent, 15 aot 2000, www.independent.co.uk/news/World/Europe/2000-08/kosovo150800.shtml)

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E u ro p e nne

Union

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E u rop e nn eUnion

VOLTE-FACE DE LOTANSUR LE NOMBRE DE VICTIMES AU KOSOVO

Les dcouvertes des quipes mdico-lgales envoyes par leTribunal Criminel International de la Haye pour lancienneYougoslavie (ICTY) ont oblig lOTAN admettre que, tout au plus,3000 personnes avaient t tues par les forces yougoslaves auKosovo au cours du conflit.

Lan dernier, lOTAN a accus les forces yougoslaves davoirmassacr au moins 10 000 personnes. Les porte-parole de lOTANont laiss entendre que 500 000 personnes soi-disant disparuesavaient aussi t tues.

LOTAN a maintenant t oblige dadmettre quelle avait en faitmen une guerre de propagande pour tre soutenue lors de sa pro-pre intervention illgale qui a tu plus de 3000 yougoslaves, dontenviron un tiers denfants. (Source : Workers World news-paper, 31 aot 2000, HYPERLINK "http://www.workers.orgwww.workers.org)

UN ALLEGEMENT PARTIEL DE LA DETTE RISQUE DAGGRAVER ENCORE PLUS LA SITUATION DES PAYS PAUVRES

Les efforts internationaux visant rduire la dette des pays les plus pauvres du monde sont en train de laisser certains de ces pays sen-

detter de dizaines de millions de dollars supplmentaires vis--vis de leurs cranciers occidentaux, dclare Oxfam.

Lorganisme daide a dcrit le contrat dallgement de la dette que la Banque Mondiale et le Fonds Montaire International proposent

la Zambie, lun des pays dAfrique les plus appauvris, comme tant une escroquerie.

Des documents confidentiels issus du FMI, obtenus par Oxfam, montrent que les intrts facturs la Zambie sont censs passer de 910

millions de francs en 1999 1,5 milliard de francs en 2002, mme si lon espre quelle intgrera le programme occidental officiel dal-

lgement de la dette en octobre de cette anne. Cette augmentation est due des remboursements dun important prt du FMI venant

chance.

Oxfam a exig du FMI quil passe en pertes et profits tout largent que lui doit la Zambie sur ces quelques prochaines annes, au lieu dof-

frir ce pays un allgement partiel de la dette.

Au cours des pres ngociations des cranciers, lultime indice pour mesurer la viabilit de la dette doit tre le besoin des habitants,

plutt que des indicateurs financiers abstraits,dclare David Bryer, le directeur dOxfam.

Les chiffres dOxfam montrent que dans six pays dAfrique - le Mali, le Burkina Faso, la Tanzanie, le Mozambique, la Zambie et le Malawi- le paiement de la dette devancera les dpenses consacres lenseignement primaire, mme aprs que les pays se soient qualifis pour le

programme dallgement de la dette. (Source : The Guardian, 21 aot 2000)


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NEXUS N 1215

LA FRQUENCE SONORE :UNE CLPOUR COMBATTRE LES AGENTS PATHOGNES

De nombreux agents pathognes l'origine de maladieset de problmes de sant peuvent tre identifis grce l'empreinte vocale puis neutraliss par l'introduction defrquences et d'harmoniques complmentaires.

PO Box 416Albany, Ohio 45710, USA

Tel : +1 (740) 698 9119Fax : +1 (740) 698 6116

E-mail : [email protected] Internet : www.sound-

healthinc.com

Par Sharry Edwards,Med 2000Sant

epuis la nuit des temps, l'homme est victimede maladies infectieuses. Grce aux progrsde la biologie moderne et l'arrive desantibiotiques, un bon nombre de ces mal-

adies ancestrales semblent avoir t radiques.Cependant, de nouvelles maladies ont fait leur appari-tion (certaines tant des mutations de maladies "dis-parues") sous la forme d'agents pathognes trsrsistants. Notre cosystme tout entier est maintenant

devenu la proie de ces agents pathognes rsistants : aufur et mesure que ces envahisseurs se dplacent d'hteen hte, ils subissent une mutation, si bien que ce qui lesdtruit aujourd'hui sera inoffensif demain. Les respons-ables de la sant publique sont aujourd'hui trs inquiets.Si nous ne pouvons contrler ces mutations, commentpeut-on protger les gens ? Saura-t-on se protger con-tre toute infection ?

Hulda Clark, une biophysicienne controverse, adclar dans son livre, The Cure For All Disease [leremde pour chaque maladie], que le cancer, l'une desmaladies les plus redoutes, tait provoqu par des

agents pathognes - et plus prcisment par des para-sites dont les cycles de vie sont favoriss par les produitschimiques que nous rencontrons. Elle n'est pas la seule avoir dcouvert qu'il existait des liens entre les para-sites/agents pathognes et les maladies du monde mod-erne. La fatigue chronique a des liens troits avec le virusd'Epstein Barr. Les maladies cardiaques et l'embolie pul-monaire ont t associes au Chlamydia pneumoniae.La liste est encore longue et ne cesse de crotre. Ajout cela, il faut savoir que les agents pathognes sont capa-bles d'utiliser les processus du corps contre lui-mme.En utilisant la protine bouclier de l'hte, ces agentspathognes ont la facult de crer un cran protecteur

pour faire croire notre corps que l'agent pathogne enquestion fait partie de notre systme.

DES SOLUTIONS POUR COMBATTRELA MALADIE

Que faire face ce problme ? Le Sound HealthResearch Institute, organisation but non lucratif situedans l'Ohio, USA, effectue des recherches en se servantd'une toute nouvelle technique appele BioAcousticsTM,dans le but de trouver des rponses.

Au cours des derniers mois, BioAcoustics a russi

dissoudre la barrire protique dont s'entouraient cer-tains de ces agents pathognes afin de se cacher. Cettetechnique a t utilise avec succs contre le virus deEpstein Barr, la bactrie Chlamydia pneumoniae et lalevure. Elle pourrait galement permettre d'radiquer desmaladies telles que la fatigue chronique, la grippe, leSIDA, etc., et de lutter contre les agents pathognes quirsistent encore aux antibiotiques tels que les "microbescarnivores" qui ont rcemment dfray la chronique.

Au tout dbut des recherches, ils ont utilis lesfrquences dont parlait le livre du Dr Clark, mais il s'estavr que ces dernires taient inefficaces ou que des

mutations dans les agents pathognes les avaient ren-dues inutilisables ; il fallait donc en trouver de nouvelles.Les paragraphes qui suivent retracent brivement l'-tude initiale, impliquant 17 participants, qui avait pourobjectifs le virus d'Epstein Barr, la bactrie Chlamydiapneumoniae et la levure (il faut noter que dans le cas dela levure, l'identification et la dsactivation se pro-duisirent si rapidement que l'on ne pu voir la levure quependant environ une minute).

Le virus d'Epstein BarrUn enregistrement sur film de l'activit sous le micro-

scope montre que lorsque l'enveloppe entourant le virus

d'Epstein Barr fut dissoute, les neutrophiles (globulesblancs qui attaquent les envahisseurs) furent activs.L'activit de ces neutrophiles tait nulle jusqu' ce que le

D


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NEXUS N 1217

symptmes. Le Doxycycl HYC, un antibiotique puissant, est, dit-

on, capable de dtruire le Chlamydia pneumoniae,mais n'a pas t trs efficace dans ce cas. Le simple faitde donner l'quivalent de frquence du Doxycycl pro-duisit des effets secondaires, comme si le mdicamentavait t donn et mme si le sujet n'en avait jamais prisauparavant.

Un client infect et particulirement vulnrabledveloppa de petites ecchymoses fines, comme s'il avaitt pinc.

Un autre client se vit implanter un pacemaker afinde ralentir son rythme cardiaque, mais ses problmes derespiration et d'ides confuses demeurrent, mmeaprs l'implantation du pacemaker.

Un client apprit qu'il devait subir une opration ducur afin de nettoyer des artres bouches, mais aprsun second avis il dcouvrit que cela n'tait pas nces-saire.

Le corps mdical dclara un autre client que toutallait bien et qu'il ne s'agissait que de stress.

Quatre personnes participant l'tude terminrent l'hpital, mais aucun hpital ne dcouvrit qu'un agentpathogne tait l'origine du problme.

Le Chlamydia pneumoniaeli aux maladies cardiaques

Selon un article publi en juin 2000 dans TownsendLetters for Doctors and Patients, l'augmentation des mal-adies cardiaques peut tre attribue dans de nombreuxcas un Chlamydia pneumoniae non diagnostiqu quirinfecte en permanence son hte.

Jeffrey S.Bland, PhD, et Sara H. Benum, MA,

dclarrent dans Genetic Nutritioneering (KeatsPublishing, Los Angeles, 1999), (pp. 142-144) que :"Des chercheurs en mdecine sudois avaient pass

plusieurs annes tenter de dterminer la cause dudcs de 16 athltes en super forme physique ; toustaient morts d'un arrt cardiaque soudain alors qu'ilstaient en train de pratiquer leur sport. Une autopsiervla une inflammation du cur qui aurait t provo-que par une infection chronique due au parasiteChlamydia pneumoniae.

Suite cette dcouverte, des chercheurs du servicecardiologie de la Facult de Mdecine de l'Utah confir-mrent le lien qui existait entre les maladies cardiaqueset l'infection due au Chlamydia pneumoniae.

Une meilleure assimilation des protines (dont la pro-tine du lait) favorise l'limination des protines perduesque les agents pathognes tels que le Chlamydia pneu-moni utilisent pour se masquer.

LA FREQUENCE SONORE : LA CLE POURCOMBATTRE LES AGENTS PATHOGENES

L'utilisation de la frquence sonore pour dmasquerces agents pathognes constitue la premire tape."Nous avons l'impression de complter les travaux que

Rife avait commencs et que le monde n'tait pas prt

recevoir", a dclar Karen Almashy, une participante l'tude du South Health Research Institute. "A l'poquede Rife, il n'y avait pas urgence ; maintenant oui".

Rife et de nombreux autres chercheurssavaient que la frquence sonore tait la cl pourcontrler les agents pathognes. C'tait la seulefaon de stimuler le corps pour l'amener com-battre ses propres agents pathognes. Le prob-

lme majeur a t de trouver la frquencecorrespondante, compte tenu des mutations constantes,ainsi que la forme d'onde adquate. Si l'on envoie aucorps des ondes directes, cela peut provoquer de nom-breux dgts. Avec les nouvelles techniques, lesfrquences sont envoyes de fadon trs prcise, avecdes transmissions trs courtes ne dpassant pas environ8 minutes. Cette technique s'avre trs puissante et effi-cace pour dissoudre les barrires protiques.

Pourquoi la frquence sonore parvient-elle dis-soudre les barrires protiques qu'utilisent les agentspathognes rsistants pour se protger ? Et qu'entend-on exactement par le mot frquence ? La lumire est unefrquence. Le son est une frquence. L'arme est unefrquence. L'motion est une frquence. La vibration est

une frquence. La musique est une frquence. Les ondes

crbrales sont des frquences. L' influx nerveux est unefrquence. Tout est frquence et la frquence est tout. Enralit, la forme solide n'existe pas. Nous vivons dans ununivers entirement compos d'nergie. Einstein l'aprouv. La frquence en est la preuve.

Comment le corps sait-il ce qu'il doit faire de toutesces frquences ? En fait, il entend la frquence. Lesoreilles transforment ces donnes sensorielles en impul-sions biochimiques et les envoient au cerveau. Les yeuxcaptent les frquences de la lumire, transforment cesimpulsions en nergie biochimique et les envoient aucerveau. Le nez reoit les armes. Chaque impulsion esttransforme en donne biochimique puis envoye au

cerveau. Chaque organe sensoriel capte les frquencespuis transforme ces donnes en impulsions biochimiquesqu'il envoie au cerveau. Le cerveau, son tour, numrise

mais les documents faisant

rfrence aux civilisations antiques

rvlent que le son avait t utilis

pendant des milliers d'annes pour

l'quilibre et le maintien de la

sant. Les Tibtains connaissent

les effets vibratoires positifs des

cloches et des chants.


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les donnes et les redistribue aux diffrents systmes etfonctions du corps afin que ce dernier puisse conserverl'homostase.

Comment le cerveau parvient-il envoyer ces don-nes au bon endroit ? Rponse : grce l'octave defrquence. Si la frquence arrive un rythme de :

1-2 cycles par seconde, le cerveau l'enregistre endonne biomagntique;

2-4 cycles par seconde, le cerveau l'enregistre endonnes biolectriques; 1-4 cycles par seconde, le cerveau l'enregistre en

frquence gntique (combinaison de donnes biomag-ntiques et biolectriques) ;

4-8 cycles par seconde, le cerveau l'enregistre endonnes biochimiques;

8-16 cycles par seconde, le cerveau l'enregistre endonnes structurales (musculaires et osseuses) ;

16-32 cycles par seconde, le cerveau l'enregistre endonnes neurophysiques.

Chaque frquence, ou jeu de frquences, possde desfonctions spcifiques, la fois structurelles et fonction-

nelles, l'intrieur du corps. Chaque jeu de frquences ases propres tches et peut partager ses frquences avecd'autres pour faire fonctionner d'autres systmesbiologiques. Cela est dj arriv mais on ne savait pas,jusqu' trs rcemment, quel en avait t le mcanisme.

Le corps, dans son infinie sagesse, a le pouvoir dediagnostiquer lui-mme le problme et de fournir le jeude frquences adquates qui le gurira. Ce systme encircuit ferm - la voix produit le son et l'oreille le peroit- est un outil de diagnostic parfait qui permet de fournirles options curatives adquates pour conduire l'auto-gurison. Cela n'existe dans aucune partie du corps. Ce

systme fonctionne mme lorsque nous sommes dans untat comateux. Il ne cesse que lorsque notre force vitalecesse - et nous n'en sommes pas entirement srs. Nosoreilles transmettent un son stabilisateur, une missionoto-acoustique, qui essaie continuellement de fournir aucorps des frquences curatives.

Ce n'est que depuis peu que cette technique est recon-nue comme tant un complment valable la mdecinemoderne, mais les documents faisant rfrence aux civil-isations antiques rvlent que le son avait t utilis pen-dant des milliers d'annes pour l'quilibre et le maintiende la sant. Les Tibtains connaissent les effets vibra-toires positifs des cloches et des chants. La mdecinechinoise traditionnelle reconnat qu'une bonne circula-tion de l'nergie, ou chi, est ncessaire une sant saineet quilibre. La Bible assimile "le Verbe", une forme deson, Dieu et la cration.

Aujourd'hui, il semblerait que l'on revienne cessagesses antiques au moment o la mdecine tradition-nelle, qui auparavant ne s'appuyait que sur la mthodescientifique, commence s'intresser la frquence entant que technique permettant au corps de parvenir l'auto-gurison. Le corps mdical commence seulement reconnatre le lien qui existe entre les frquencesvocales et l'aspect nutritionnel (voir l'article de Danielle

Campbell dans Advance Journal for Speech} LanguagePathologists and Audiologists}, 31 mai 1999).

Nous possdons chacuns des harmonies de

frquences uniques que l'on exprime par la voix.Toutefois, lorsque les frquences du corps perdent leurquilibre, ce trouble s'exprime galement par la voix etressort en maladie ou stress aux niveaux biochimiques etstructurels du corps.

Un court segment de la voix - un enregistrement demoins d'une minute - peut tre vrifi en utilisant un sys-tme qui analyse les frquences d'un individu. Ces

frquences, associes de faon trs prcise, peuvent leur tour tre utilises pour confirmer une forme et unefonction tout fait normales.

HARMONIQUES, ACCORDSET EQUIVALENTS DE FREQUENCE

Chaque note et chaque frquence possde un jeu defrquences diffrentes avec lesquelles elles "jouent" afinde crer un quilibre holistique au sein d'un systme.

Chaque note et chaque frquence possde galementun jeu d'harmoniques avec lesquelles elles "jouent" afinde crer les harmoniques que nous observons dans tousles systmes du corps. Les harmoniques peuvent treutilises pour nourrir les nombreux systmes victimes dustress. Par exemple, les frquences qui peuvent tre util-ises pour normaliser et provoquer des "rmissionsspontanes" de certains types de cancer (le sujet est lim-it) sont les harmoniques du cycle de Krebs (le cycle del'acide citrique, quelques tapes dans l'oxydation deshydrates de carbone). Dans certaines tudes, cesfrquences ont t prsentes en utilisant des moyens

prcis afin de parvenir un "accord" harmonique, unematrice mathmatique spcifique et reconnaissable.Normalement, ces jeux de frquences peuvent tre

utiliss pour traiter un systme ou un problme.Toutefois, de nombreux systmes l'intrieur du corpsutilisent ces accords. Ce qui est intressant, c'est quenous les avons imits et transcrits en thorie musicalesans nous rendre compte que ces accords existaient djdans nos cellules en tant que frquence et masse musi-cales.

Chaque substance biochimique et nutritive, chaqueorgane et chaque motion possdent des liens prvisi-bles de nature mathmatique. Par exemple, l'quivalent

de frquence de la choline (une substance nutritivencessaire apparente la vitamine B) a un quivalentde frquence oppos. Ces deux frquences s'associentafin d'harmoniser le corps ainsi que le systme de con-version d'nergie. En soustrayant l'quivalent defrquence numrique de la choline du 6e quivalent defrquence harmonique (180 degrs en non harmonie),on obtient comme rsultat l'quivalent de frquence del'actylcholine. C'est exactement le procd qu'emploiele corps lorsque ces composants sont introduits. End'autres termes, ce que le corps fait avec les composantsest prvisible et peut tre dmontr mathmatiquement.

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LA MATRICE MATHEMATIQUE DU CORPS

Le corps est une matrice mathmatique d'interactionsde frquences. Les relations biochimiques sont des rela-tions de frquences.

Examinons les faits suivants : le fait que le nombre 8soit l'oppos du nombre 11 est une notion trangre la plupart des gens. On ne l'apprend pas l'cole mais

notre corps la reconnat et rpond des nombres et des frquences en remplissant les fonctions qui lui sontattribues.

En fait, on comprend tout fait les opposs math-matiques lorsque l'on utilise d'autres formes d'oppossreconnus par la science et l'art. Chaque couleur a sonoppos, connu sous le nom de complmentaire. Chaquecouleur peut tre reprsente par une frquence. Lesfrquences qui reprsentent les couleurs complmen-taires sont des complments de frquences.BioAcoustics appelle ces complments de frquencesdes Equivalents de Frquences.

De la mme manire que le vert et le rouge sont desopposs ou des couleurs complmentaires, il y a desfrquences vertes (dans la gamme de frquence du 11)et des frquences rouges (dans la gamme de frquencedu 8). Ainsi, une surabondance de la frquence du 11peut tre compense en utilisant la frquence du 8, etvice versa. En utilisant le 8 (ou toute autre frquencechoisie comme base), nous pouvons commencer con-struire des formules que le corps utilise naturellementpour fournir un quilibre au corps.

Les donnes tires de l'analyse vocale dmontrent quechaque muscle, chaque composant, chaque processuset structure du corps possde un quivalent de frquence

qui peut tre calcul mathmatiquement. Le fait que lecorps puisse se soigner lui-mme a pour origine uneinteraction, biochimique et/ou structurelle, qui n'estautre qu'une frquence mathmatique prvisible.

Par exemple, le corps utilise la fois le calcium et lemagnsium. En combinant les quivalents de frquencedu calcium et du magnsium, on obtient l'quivalent defrquence du phosphore. Le phosphore est un com-posant dont le calcium et le magnsium ont besoin pourtre synergiques. Les harmoniques de frquence de lamatrice du corps imitent les ractions du corps. Les rac-tions biologiques du corps humain et les quivalents de

frquence de la matrice mathmatique sont les mmes.Une des frquences capables de fortifier le pouce estla note Do. En prsentant la note spcifique dans lagamme du Do, il a t dmontr que les muscles dupouce se fortifient. En prsentant la frquence compl-mentaire, ce mme muscle s'affaiblira. L'quivalent defrquence du muscle du pouce correspondant l'quiva-lent de frquence du zinc, le corps acceptera galementles composs du zinc pour soutenir ce muscle.

Notre corps physique est apparemment labor par-tir d'un modle cr par des milliers de ces combi-naisons. Chaque organe, chaque muscle, nutritif oubiochimique, possde un quivalent de frquence ainsi

qu'une matrice harmonique (Harmonic MatrixTM) quisont interdpendants via l'unit centrale de traitementque reprsentent le systme nerveux et le cerveau.

L'empreinte vocale peut rvler la combinaison denotes et les frquences correspondantes pouvant treutilises pour crer les modles mathmatiques dontnotre corps a besoin. Lorsque ces modles deviennentdiscordants, la maladie apparat. Il serait donc si simplede contrler notre sant en rvisant chaque jour notreempreinte vocale ?

Certaines frquences seraient plus importantes pour

notre sant que d'autres. La frquence du 16 est unefrquence intrieure trs importante puisqu'elle aide

librer l'oxygne et le calcium dans les cellules. Dans sonlivre Cross Currents (Jeremy P. Tarcher, Inc., LosAngeles, 1990), Robert Becker, MD, a prouv que le cal-cium, lment nutritif prcieux dans le processus degurison du corps, tait libr par la frquence de 16cycles par seconde.

Les donnes concernant le nombre 16 en tant qu'har-monique de frquence pourraient changer la mdecineet la faon dont nous traitons la maladie. il ne sagit lque du simple dveloppement de la thorie sur les har-moniques dvelopp par le mathmaticien Pythagore,au 6e sicle av. J.-C. Il remarqua que sur deux ficelles demme longueur et de mme tension, en en prenant une

et en la divisant en deux on obtenait, en faisant vibrercette demi ficelle, une harmonique exactement unoctave plus haut que celui de l'autre ficelle reste entire.

Peinture : Yannick Souleil

Carte postal : Ed. Le Chant des Toiles - Tl : 05 53 50 74 40


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En continuant de diviser la ficelle, Pythagore observa lesprincipes harmoniques qui gouverne encore une grandepartie des thories musicales d'aujourd'hui.

La dcouverte des rapports mathmatiques servant defondement la science des sons dmontre de faon trsnette que l'harmonique n'est pas un concept abstraitmais qu'elle adhre des principes mathmatiquesprvisibles et stricts. Ces harmoniques, utilises conjoin-

tement avec les quivalents de frquence, forment unesynergie harmonique complexe qui permet de main-tenir la sonostatique essentielle pour une sant opti-male.

Notre corps fonctionne comme une compila-tion de frquences et de rapports de frquences}.Le cerveau fonctionne grce aux ondes crbrales quel'on mesure en frquences. Le cur met une frquencepour pouvoir battre en rythme. La transmission nerveuseest possible grce aux passages des frquences. Lesorganes, les nerfs, les tissus et les os sont eux-mmesconstitus de substances qui sont, la base, de l'nergie- mesurable en cycles par seconde. Le corps regorge defrquences qui interagissent en rsonance conjointe, enharmonie.

Tous les quivalents de frquence, correspondant l'utilisation de substances nutritives et biochimiques quise rapportent un jeu d'harmoniques particulier, peu-vent tre utiliss afin d'valuer l'efficacit des interactionsimpliques. Cette matrice mathmatique projette lecroisement de l'alchimie et de la coopration entre lesdiffrents systmes du corps. Si un minral, un acidegras, un acide amin, une substance biochimique et uneenzyme, par exemple, avaient des frquences similaires,elles pourraient toutes tre interchangeables et faire le

mme travail. Le soufre et l'acide palmitique ont lesmmes quivalents de frquence. Chacun peut doncremplacer l'autre pour lutter contre les agentspathognes. Les autres composants se trouvant dans lemme jeu d'harmoniques ragissent de faon analogue.

Le corps est expert en l'art de compenser, de sub-stituer et de transmuter les frquences. Si une enzymen'est pas disponible pour combattre les agentspathognes, les acides gras et les minraux peuvent luitre substitus.

Les jeux d'harmoniques des quivalents de frquencepeuvent servir reconnatre les substituts en utilisant les

matrices mathmatiques. Cela veut dire que si l'on con-struit un jeu d'harmoniques pour les quivalents defrquence de la vitamine C, nous pouvons les utiliserpour observer tous les autres composants qui interagis-sent avec la vitamine C et, de plus, voir quels sont lesaspects structurels les plus affects par la vitamine C.

Dans la clinique, une frquence est prsente unsujet et sa voix surveille afin d'observer les quivalentsde frquence des composants influencs. Dans lamajeure partie des cas, on ne sait pas l'avance ce quiva se passer. Par exemple, dans le cadre d'une tudedestine dterminer les facteurs l'origine de prob-lmes de genou chez des joueurs de tennis, on a dcou-

vert que le genou n'y tait pour rien ; le problmeprovenait d'un muscle du pied.

Les recherches effectues par BioAcoustics indiquent

que des jeux d'harmoniques normaliss peuvent treutiliss pour prdire, reprsenter et contrler les inter-actions et les rapports chimiques et comportementauxdes systmes vivants.

Lorsque tous les quivalents de frquence des com-posants et de la physiologie sont connus, il est facile d'-tudier chaque aspect de n'importe quelle frquence.Nous pouvons alors comprendre les rapports qu'ont les

frquences entre elles et comment elles s'entendent avectoutes les autres structures, substances biochimiques etautres procds. Dans un avenir relativement proche,nous pourrons mettre au point une grille de frquenceslmentaire semblable au tableau de classification pri-odique des lments. Chaque composant possde unquivalent de frquence bas sur son poids molculaire.Si l'on prsente au corps un quivalent de frquence enforme analogique, le corps dtectera la prsence de cecomposant. En prsentant une frquence complmen-taire base sur une formule mathmatique de l'quivalentde frquence, la substance devient oprationnelle.

L'quivalent de frquence qui permet au cerveau d'en

prendre conscience est appel un Brain Wave Multiple(BWM) [multiple d'ondes crbrales]. En cas de maladie,le corps peut ne pas possder les BWM ncessaires l'i-dentification ou la stimulation d'un composant ou d'unmuscle. Un quivalent de frquence peut alors fournir lesBWM permettant de stimuler la dtection et la fonctiond'un composant ou d'une structure. Au vu des donnesprsentes jusqu'ici, il semble que le cur donne lerythme mme de la frquence (la forme d'onde) alors quele cerveau dtermine la frquence qui sera utilise.

Il est impratif que les BWM soient prsents enforme analogique} (et non digitale). D'aprs Robert O.

Becker et de nombreux autres chercheurs, les mcan-ismes d'entre de donnes du corps sont analogiques etrpondent de faon beaucoup plus efficace des don-nes analogiques.

CE QUE LA VOIXPEUT REELLEMENT NOUS DIRE

Les frquences de la voix peuvent tre prophtiques,diagnostiques, prescriptives et curatives. L'empreinte

vocale peut identifier les toxines, les agents pathognes,les complments qui sont trop levs ou trop bas ainsique les muscles faibles ou forts. Les systmes quirefusent de cooprer peuvent tre dtects grce unereconnaissance vocale ; il en va de mme pour les caus-es d'une maladie ou d'un symptme. L'empreinte vocalepeut dterminer les mdicaments les plus compatiblespour une personne et ceux qui ne conviennent pas. Ellepeut mme aider trouver l'me sur et le job adquat !

La frquence vocale peut tre prophtiqueMichael tait en route pour le Sound Health Research

Institute situ dans l'Ohio, en rase campagne, afin defaire la dmonstration d'un nouveau produit. Cette nou-velle technique mise au point par BioAcoustics et dont ilavait tant entendu parler l'intriguait beaucoup, et il se

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demandait si elle rvlait rellement la condition physiquedu corps.On fit visiter les locaux Michael qui accepta volontiers

de faire analyser sa voix. Son empreinte vocale rvlaqu'il avait un grave problme de thyrode, mais aucunmdecin ne lui en avait parl auparavant. Pour en tretout fait sr, on suggra Michael de consulter songnraliste. Quelques jours plus tard, les analyses effec-tues ne dcelrent rien d'anormal. Michael et sonmdecin taient ravis que tout aille bien et se moqurentdes points faibles de cette nouvelle technique ; puis la viereprit son cours.

Neuf jours plus tard, Michael s'vanouit et les mys-trieux symptmes dconcertrent les mdecins. Sonrythme cardiaque tait irrgulier, il transpirait consid-rablement, il tait angoiss et dsorient. Les mdecinsne comprenaient pas mais Michael se souvint du testvocal. Il s'avra qu'il s'agissait bien d'un problme grave auniveau de la thyrode. L'empreinte vocale avait rvl,neuf jours avant} tout symptme et rsultat d'analyse quesa thyrode fonctionnait mal.

La frquence vocale peut reconnatre les toxinesAu cours de l't, Andi, ge de sept ans et premire

de sa classe en lecture, ne savait plus lire. Son professeur

demanda ce qu'elle soit envoye dans une classe de rat-trapage en lecture. Andi en avait honte et allait l'cole contrecoeur. Elle pleurait tous les jours. Les jours o ellene pleurait pas, elle disait qu'elle tait malade.

Andi fut envoye dans une clinique BioAcoustics oelle subit un test vocal pour dterminer s'il existait desraisons biochimiques ses problmes de lecture. Pendantles tests, alors qu'elle recevait un son basse frquence,Andi lut clairement et sans aucune hsitation. Le testpermit d'tablir qu'elle avait peut-tre t empoisonneau formaldhyde, un conservateur chimique.

On commena un programme de dsintoxication et leprofesseur de Andi remarqua un changement immdiat

et radical chez la fillette. L'amour propre de Andi remon-ta en flche. Elle tait redevenue l'enfant intelligente,joyeuse et radieuse qu'elle tait auparavant. Et en plus de

cela, elle savait de nouveau lire !La frquence vocale peut dceler une tension, untraumatisme et une faiblesse musculaires

Bob tait avocat, mais en plus de cela, il tait un fande moto. Il y a cinq ans, il eut un accident tellement graveque les mdecins voulaient lui amputer la jambe. Joueurde tennis passionn, il refusa toute opration ; mais aubout de quatre annes de kinsithrapie, il y avait peu d'e-spoir qu'il remarche normallement un jour. La partieinfrieure de sa jambe tait aussi grosse qu'un ballon defoot ; il ne pouvait pas marcher droit ni plier sa chevilleet il n'avait plus aucune endurance. Il ferma son cabinet

d'avocat et repartit chez ses parents qui vivaient dans unepetite communaut dans l'Ohio. Pour lui sa vie, telle qu'ill'entendait, tait termine.

Dans une picerie, Bob fit la connaissance d'un joueurde tennis qui plus tard lui parla d'une technique expri-mentale qui tait pratique dans une facult des environs.Deux mois plus tard, aprs avoir travaill avecBioAcoustics, Bob tait de nouveau sur les courts de ten-nis et donnait aux gens du coin une sance stimulante demise en forme. Il pouvait marcher droit et presque courir ;il pouvait courir aprs une balle de tennis. Sa jambe avaitdsenfl et ses muscles avaient retrouv tonus et mouve-

ment. Il revivait et avait retrouv le sourire. Bob sedbrouillait si bien sur le court qu'on lui demanda d'trel'entraneur du lyce.

La frquence vocale peut identifier les agentspathognes

La frquence vocale peut identifier les agentspathognes et galement fournir un jeu de frquencesmathmatiques permettant au corps de les liminer,comme c'est le cas dans l'exemple suivant :

Laura tait trs fatigue. Les tests qu'elle avait faitsn'avait pas servi grand chose. Une analyse de sang con-firma que Laura souffrait du virus d'Epstein Barr. Dans

l'empreinte vocale, les frquences du virus d'Epstein Barrprouvent qu'il y a prsence d'un agent pathogne. Oncra alors des formules mathmatiques qui furent utilisespour dmasquer l'agent pathogne et permettre au corps


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peuvent tre utilises pour dtecter un tat de maladie oude stress avant mme que les symptmes n'apparaissent.Des protocoles sont en cours de cration visant identi-fier les rapports de frquences du cancer, des maladiescardiaques, de l'arthrite et des blessures sportives, de largnration et du processus anti vieillissement. L'tudede nombreuses empreintes vocales a permis auxchercheurs de dtecter les marqueurs de frquences cor-

respondant diverses maladies.L'utilisation de la voix pour contrler le corps est unescience nouvelle en plein dveloppement. Nous ne pos-sdons pas encore toutes les rponses mais il y a suff-isamment de donnes connues pour reconnatredfinitivement certaines maladies. Le Dr Andy Weil, leDr Robert O. Becker, le Dr William Tillis, Le Dr JoshOschman, Le Dr Alfred Tomatis et le Dr Richard Gerber,parmi d'autres professionnels de renom, sont tous d'ac-cord pour dire que la frquence et le rythme, sont desaspects importants pour comprendre et gurir le corps.

L'analyse vocale, capable de diagnostiquer et d'valuerl'tat du corps, est bien partie pour devenir une partintrinsque des soins mdicaux traditionnels.

Tout comme l'arc-en-ciel n'est complet que lorsqu'ilpossde tout son spectre de couleurs, le corps a besoinde tous les sons crs par les jeux d'harmoniques corre-spondants pour pouvoir tablir et maintenir un tat desant parfait.

Traduction : Marie-Hlne Demillire

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d'identifier l'intrus. Une fois l'agent pathogne repr, lescellules tueuses l'identifirent facilement et l'attaqurent. Cefut un succs avec les bactries et les levures prsentes dansle corps de Laura. Depuis, Laura a repris sa vie active.

La frquence vocale peut tre diagnostiqueBarbara avait la maladie de Paget. Ses os taient dans

un tat de destruction et de remplacement permanents,avec pour consquence des os poreux, clairs et hyper-trophis. Barbara s'tait cass le col du fmur et venaitjuste de sortir de l'hpital lorsqu'elle dcida de faire appel l'analyse vocale de BioAcoustics. La maladie de Pagetest considre comme incurable ; son mdecin avait donctrs peu d'espoir. Toutefois, Barbara tait convaincuequ'un traitement tait possible et tait dtermine explorer toute possibilit de mdecine parallle.

La premire sance de Barbara rvla que son corpsn'utilisait pas un complment trs peu connu. Ce com-plment tait un minral qui gnralement ressort enprsence de la maladie de Paget. On l'ajouta rapidement sa dose quotidienne de vitamines. Barbara marche

maintenant sans bquilles et a rcemment dit qu'elle dan-sait mme le quadrille !

La frquence vocale peut elle seule prescrire letraitement adquat

Une femme adepte de jogging fut envoye la clin-ique car elle avait une jambe plus courte que l'autre de 5centimtres, suite un accident. On envisagea uneopration pour essayer d'allonger l'os.

L'empreinte vocale rvla qu'un muscle de la cuissetait trs tendu. On lui envoya un son analogique bassefrquence pour dtendre ce muscle. Aprs quelques min-utes de manipulation, les deux jambes taient de nou-veau de la mme longueur, et avec un peu d'exercice,elles gardrent leur tat normal.

UNE SANTE HARMONIEUSE

Ces exemples ne reprsentent qu'une partie infime desdonnes que l'on peut recueillir partir de l'empreintevocale. Le domaine de l'analyse vocale, se servant del'ide selon laquelle les frquences contenues dans la voix

sont des rprsentations holographiques de notre tat desant, voit son excellente rputation s'accrotre de jouren jour.

Les recherches effectues ne cessent de dmontrerque chaque muscle, chaque composant, chaque proces-sus et chaque structure du corps possde un quivalent defrquence qui peut tre calcul mathmatiquement. Del le concept selon lequel le corps est capable de se soign-er grce aux frquences qui interagissent entre les sig-naux molculaires de tout le corps. Lorsqu'il y adiscordance, la maladie apparat. Quand on prsente leson analogique basse frquence correct, une nouvelleharmonie voit le jour et la personne gurit de faon

notable.Non seulement BioAcoustics voit le corps comme une

matrice mathmatique, mais il affirme que les frquences

A propos de l'auteur

Sharry Edwards, MEd, est Directeur Excutif de Sound

Health Research Institute, Inc., un institut de

recherche but non lucratif et pdagogique spcial-

is dans le tout nouveau domaine de la bioacous-

tique. Les cours dvelopps partir de cette

technologie, mise au point par Edwards, sont l'orig-

ine d'un programme de sant (Allied Health Program)

sur trois niveaux dispens par le Hocking College,

Ohio le seul programme de ce genre accrdit aux

Etats Unis. Edwards, confrencier international et

crivain, organise rgulirement des confrences sur

BioAcoustics et des ateliers de travail pour les profes-

sionnels.

Note de l'diteurPour de plus amples renseignements sur

BioAcoustics et sur les diffrents praticiens dans le

monde entier, contactez le site Internet de Sound

Health, www.soundhealthinc.com.


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STTOP-ONDES H.FOP-ONDES H.F..

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Ce STOP-ONDES est spcialementconu et tudi pour tre plac l'ar-rire d'un tlphone portable, afind'viter la pollution lectromagn-tique des 2 watts H.F. mis par l'an-tenne place trs prs de la tte.Risque pour le cerveau, les yeux et laglande thyrode qui sont trs fragiles ces frquences et puissances impor-tantes.Il est constitu d'un circuit imprimsouple, contenant les systmes cap-teurs accords, le dphasage lectron-ique et la rmission dphase d'uneonde antidote ces pollutions. Il fonc-tionne selon un principe de physiqueconnu, qui est le dphasage 180d'un phnomne lectromagntique,pour le rendre moins polluant selon leprincipe de la soustraction de l'ampli-tude de 2 oscillations aussi bien elec-

trique que magntique pour un trslarge spectre de frquences. LeSTOP-ONDES ne ncessite aucunrglage, ni mise en service, il ne con-somme aucune nergie extrieure, nipile, ni courant pour son fonction-nement, seule l'nergie polluantemise par les appareils protger, suf-fit pour qu'il fonctionne. Ce n'est pasun gadget pseudo-scientifique, maisun appareil physique issu de la tech-nologie lectronique contemporaine.Fabriqu en France par un spcialiste

des pollutions lectromagntiques,d'autres appareils drivs de ceprincipe sont dj en service depuisplusieurs annes avec d'excellentsrsultats. Contient aussi des capsulesde terres rares qui apportent un"plus"incontestable et salutaire(voir thoriedes quanta).

LE DLE DPHASAPHASAGEGE

Lorsque deux ou plusieurs signaux etles harmoniques lectromagntiquessont prsents et en phase (casfrquents), ils sadditionnent donc lapollution augmente.Si l'on dphase ces signaux 180,on soustrait la pollution lectromag-ntique ou on l'annule, dans un pour-centage trs important. L'onde enphase reste nanmoins prsente, maispar effet secondaire, le spectregnral est devenu une sorte d'ondeantidote (c'est le terme couramment

utilis).La force positive et la force ngatives'quilibrent ou se compensentmutuellement. Au niveau physi-ologique et biologique l'individu estprotg par ces ondes induites, con-sidres comme des ondes antidotes,selon le terme consacr. Les 2 forcessont nanmoins toujours mesurableset rayonnent mutuellement, mais ellesse compensent, donc nous protgentde la pollution lectromagntique.Un exemple type : un marteau qui

frappe une tle va faire un creux dansla tle, c'est l'nergie en phase. Si l'onfrappe au mme moment l'autre ctde la tle, celle-ci ne bougera pas siles coups sont synchroniss : c'estl'nergie dphase. Il y a quilibredes 2 forces. Dans le travail des tlesil existe des capteurs pizo-lec-triques qui permettent de dphaser oude mettre en phase certainesmachines selon les besoins.

EFFET CAEFFET CATTALALYSEYSE

DES TERRES RARES.DES TERRES RARES.La thorie des quanta peut expliquerle processus. Les terres rares figurentdans la table de classification des l-ments de Mendlev. Il faut retenirsimplement que les informationsvibratoires programmes par les ter-res rares sont transmises vers l'indi-vidu par les STOP-ONDES, afin decorriger, renforcer, rgnrer, assimi-ler et protger certains points dfail-lants de notre organisme provoqus

par les pollutions lectromagntiques.

Ces missions dphases et program-mes (informations) sont trs faiblesmais suffisantes pour protger nos cel-lules (capteurs sensibles).Le STOP-ONDES H.F. est extraplat (0,5 mm d'paisseur) et se colle l'arrire de tous les tlphonesportables. Il peut galement treplac l'arrire du combin destlphones installs bord desvhicules ainsi que des tlphonesprivs et talkies-walkies. (Sauf C.B).

RAPPORRAPPORT DE CONTRLET DE CONTRLESUR LE STSUR LE STOP-ONDESOP-ONDES

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L'analyse sur 50 personnes dmon-tre qu' chaque fois qu'un tlphoneportable en fonctionnement estapproch d'une personne, il y a sys-tmatiquement une perte d'nergie

et indication d'une forte pollutionlectromagntique.Aprs avoir appliqu le STOP-ONDES sur le portable, la mesurede la perte d'nergie t effectuede nouveau. Rsultat : aucune perted'nergie n'a alors pu tre mise envidence. Ce qui permet d'affirmerl'efficacit du STOP-ONDES dansces expriences.

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PUBLI-REPORTAGE


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Coulisses de linfo

n tant quancien bnficiairedune bourse de recherchepour mon travail sur le SIDA,

je tiens fliciter le prsident sud-africain Thabo Mbeki davoir eu lecourage de dclarer publiquement savolont dcouter des scientifiques quiremettent en question lorthodoxie enmatire de SIDA.

Pendant neuf ans, partir de1987, je me suis impliqu sur le plan

professionnel dans des recherches surle SIDA/HIV. Au cours des annes1990, jai reu deux boursesfdrales pour ce travail de la part duSmall Business Innovation ResearchProgram du National Cancer Institute[Institut National de lutte contre leCancer] des Etats-Unis. A la fin decette priode, jtais devenu scep-tique face aux convictions officiellesconcernant le SIDA.

Javais pour objectif de concevoir

un logiciel informatique qui valueraitle risque dune infection actuelle parle HIV. Aprs avoir estim la proba-bilit dinfection en intgrant lesrponses quun utilisateur anonymeaura fourni lors dun entretien dtail-l sur son pass, entretien men enpriv, le logiciel donne son avis enindiquant si lindividu devrait passerun test pour voir sil possde des anti-corps pour le HIV.

Afin dobtenir ces bourses, il a fallu

que je parcoure les crits pidmi-ologiques pour arriver des estima-tions plausibles du risque detransmission du HIV pour diffrents

types de comportements sexuels,ainsi que pour parvenir des estima-tions raisonnables de la frquencedune infection par le HIV lintrieurde divers groupes de population auxEtats-Unis.

A partir de ces recherches, jaiconclu quil ny avait absolumentaucune raison de redouter unepidmie du HIV chez les htrosex-uels, pidmie qui serait propage

par la pratique de relations sexuellesvaginales aux Etats-Unis.Bien que de nombreuses tudes

aient dmontr la probabilitextrmement faible dune pidmiedu HIV chez les htrosexuels, lesCentres de Contrle des Maladies(CDC) ont dcid de les ignorer et ontlanc une campagne dintimidationfrauduleuse destine convaincre lamajorit du public amricain que lespersonnes ayant une activit sexuelle

soutenue courent un risque importantde contracter le HIV.La campagne alarmiste a dbut

la fin des annes 1980, et ntait riendautre quune stratgie politique des-tine susciter le soutien populairelors des dpenses gouvernementalesleves pour divers programmes con-cernant le SIDA, dont la poursuite delinsaisissable rve de remdes mira-cles. Les compagnies pharmaceu-tiques ont tir de jolis bnfices de cet

effort, et cherchent maintenant tendre leurs entreprises en

Documents

Nexus 12 - Jan Fev 2001 - Crop Circles (Complet)