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WFP / Name and Surname Annexes

Annexes - documents.wfp.org · homme ou d’une femme? 1 = Homme / 2 = Femme I__I 1.2 Quel âge a le chef du ménage? I__I ans 1.3 ... 4 = Manque de pâturages ou d’eau pour les

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WFP / Name and Surname

Annexes

Emergency Food Security Assessment Handbook / second edition262 Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition262

Annexes

Annexe 1: Questionnaire type destiné aux ménages 263Annexe 2: Questionnaire type destiné aux informateurs clés 281Annexe 3: Exemple de liste de référence des discussions avec

les groupes de concertation 291Annexe 4: Principaux avantages et inconvénients des options

d’intervention sélectionnées 301Annexe 5: Principales options d’intervention et informations

nécessaires pour juger de leur adéquation 304Annexe 6: Format standard d’une note de synthèse de l’évaluation

de la sécurité alimentaire en situation d’urgence 325

263

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Annexe 1: Questionnaire type destiné aux ménages

ÉVALUATION De LA SÉCURITÉ ALIMeNTAIRe

Code de référence du questionnaire I__I I__I I__I I__I I__I I__I I__I

Questionnaire destiné aux ménages

Nom de la ville/du village: __________________________ Code de la ville/du village: I__I

Code de la région: I__I

Nom de la rue/du quartier: ___________________ Code de la rue/du quartier: I__I I__I I__I[INCLUS UNIQUEMENT POUR LES ÉVALUATIONS EN MILIEU URBAIN]

Code de la grappe: I__I I__I Numéro de questionnaire destiné aux ménages: I__I I__I I__I

Date: I__I I__I / I__I I__I / I__I I__I I__I I__I Numéro d’équipe: I__I I__I jour mois année

Noms des enquêteurs: ____________________________ /_____________________________

Accord:Nous réalisons une enquête sur la sécurité alimentaire des ménages de ___________. Nous souhaiterions vous poser quelques questions sur votre famille et déterminer la taille et le poids de tous les enfants âgés de moins de 5 ans qui vivent dans votre foyer [FACULTATIF]. La réponse aux questions prend généralement 15 à 20 minutes [MODIFIER SI NÉCESSAIRE]. Les informations que vous nous fournirez seront traitées en toute confidentialité et ne seront pas communiquées à d’autres personnes. Votre participation s’effectue sur une base volontaire, et vous pouvez choisir de ne pas répondre à certaines questions. Toutefois, nous espérons que vous accepterez de répondre à ce questionnaire, car votre avis est important. Avez-vous des questions? Pouvons-nous commencer?

I - COMPOSITION DU MÉNAGe eT fRÉQUeNTATION SCOLAIRe

1.1 Qui est le chef du ménage? S’agit-il d’un homme ou d’une femme? 1 = Homme / 2 = Femme I__I

1.2 Quel âge a le chef du ménage? I__I ans

1.3

Quelle est la situation matrimoniale du chef du ménage?[Ne pas poser cette question lorsqu’il existe des données de référence et que la situation/le profil ne devrait pas avoir changé.]1 = Marié(e) 2 = Veuf/veuve 3 = Séparé(e)/divorcé(e) 4 = Union libre 5 = Jamais marié(e)

I__I

1.4 Combien de personnes au total vivent actuellement dans le ménage? I__I personnes

Combien d’enfants et d’adultes vivent actuellement dans le ménage? Hommes femmes

0 à 5 ans 1.5 I__I 1.6 I__I

6 à 11 ans [ADAPTER LES LIMITES D’ÂGE SI NÉCESSAIRE] 1.7 I__I 1.8 I__I

12 à 17 ans [ADAPTER LES LIMITES D’ÂGE SI NÉCESSAIRE] 1.9 I__I 1.10 I__I

18 à 63 ans [ADAPTER LES LIMITES D’ÂGE SI NÉCESSAIRE] 1.11 I__I 1.12 I__I

Personnes âgées (plus de 63 ans) [ADAPTER LES LIMITES D’ÂGE SI NÉCESSAIRE] 1.13 I__I 1.14 I__I

1.15 Combien de femmes enceintes vivent dans le ménage? Inscrire “0” si aucune femme enceinte ne vit dans le ménage. I__I

1.16 Combien de mères allaitantes vivent dans le ménage? Inscrire “0” si aucune mère allaitante ne vit dans le ménage. I__I

.../...

Annexes / Annexe 1: Questionnaire type destiné aux ménages

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition264

1.17Des membres adultes (18-59 ans) ont-ils été malades ou diminués physiquement pendant au moins 3 mois au cours des 12 derniers mois? Inscrire “0” si aucun membre du ménage n’a été dans ce cas.

I__I

1.18

TOUS les enfants d’âge primaire vont-ils régulièrement en classe depuis 6 mois?[ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN INDIQUANT “DEPUIS LE DÉBUT DE L’ANNÉE SCOLAIRE/DE LA CRISE”, PAR EXEMPLE.]

0 = Non / 1 = Oui99 = Sans objet

I__I i Si la réponse est Oui

ou 99, passer au point 1.21.

Vérifier le renvoi.

Pour quelle raison principale les enfants ne fréquentent-ils pas régulièrement l’école?[ADAPTER LES RÉPONSES POSSIBLES SI NÉCESSAIRE.]

filles Garçons

1 = Maladie/handicap 2 = Impossible de payer les frais de scolarité, les uniformes, les livres 3 = Impossible de payer le transport/école éloignée 4 = Mariage précoce (fille) 5 = Enseignant absent/enseignement de mauvaise qualité 6 = Installations scolaires insuffisantes (bâtiment, toilettes, etc.) 7 = Aucune école pour les filles/aucune enseignante disponible 8 = Aucune école avec internat 9 = Tâches ménagères non rémunérées (soins aux enfants, nettoyage, etc.) 10 = Travail non rémunéré des enfants pour le ménage (travaux agricoles, entreprise familiale, etc.) 11 = Travail des enfants contre une rémunération ou des vivres (travail occasionnel, petit commerce, mendicité, etc.) 12 = Manque de motivation 13 = Autres raisons (préciser) ____________99 = Sans objet

1.19 I__I 1.20 I__I

1.21

[Poser éventuellement cette question si la fréquentation d’un établissement secondaire est un problème ou si une aide alimentaire/des rations alimentaires sont fournies pour encourager la fréquentation des écoles secondaires par les filles.] TOUS les enfants d’âge secondaire vont-ils régulièrement en classe depuis 6 mois?[ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN INDIQUANT “DEPUIS LE DÉBUT DE L’ANNÉE SCOLAIRE/DE LA CRISE”, PAR EXEMPLE.]

0 = Non / 1 = Oui99 = Sans objet

I__I i Si la réponse est Oui ou 99, passer à

la section II.

Pour quelle raison principale les enfants ne fréquentent-ils pas régulièrement l’école?[ADAPTER LES RÉPONSES POSSIBLES SI NÉCESSAIRE.]

filles Garçons

1 = Maladie/handicap 2 = Impossible de payer les frais de scolarité, les uniformes, les livres 3 = Impossible de payer le transport/école éloignée 4 = Mariage précoce (fille) 5 = Enseignant absent/enseignement de mauvaise qualité 6 = Installations scolaires insuffisantes (bâtiment, toilettes, etc.) 7 = Aucune école pour les filles/aucune enseignante disponible 8 = Aucune école avec internat 9 = Tâches ménagères non rémunérées (soins aux enfants, nettoyage, etc.) 10 = Travail non rémunéré de l’enfant pour le ménage (travaux agricoles, entreprise familiale, etc.) 11 = Travail de l’enfant contre une rémunération ou des vivres (travail occasionnel, petit commerce, mendicité, etc.) 12 = Manque de motivation 13 = Autres raisons (préciser) ____________99 = Sans objet

1.22 I__I 1.23 I__I

265

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II - ACCÈS AU LOGeMeNT, À L’eAU eT À L’ÉNeRGIe

2.1

[Poser cette question si elle est pertinente pour cette évaluation et au regard de ce contexte. Modifier la formulation en cas de déplacement de population.]Quand êtes-vous arrivé(e) ici (personne déplacée ou résidente)?[ADAPTER LES PÉRIODES DE RÉFÉRENCE, EN UTILISANT LA DATE DU PREMIER DÉPLACEMENT ET CELLE DE L’ÉVALUATION COMME POINTS DE REPÈRE.]1 = Résident(e) 2 = Déplacé(e) il y a moins de 3 mois 3 = Déplacé(e) il y a 3 à 6 mois 4 = Déplacé(e) il y a 6 à 12 mois 5 = Déplacé(e) il y a plus de 12 mois

I__I

Si la réponse

est 1, passer au point 2.3.

2.2

Pour quelle raison principale êtes-vous venu(e) ici?[ADAPTER LES RÉPONSES POSSIBLES SI NÉCESSAIRE.]1 = Insécurité sur le lieu d’origine (conflit, menaces - peut inclure la perte de la maison, de la terre, des animaux)2 = Perte ou insuffisance des récoltes pour des raisons climatiques (sécheresse, inondations, glissements de terrain) 3 = Mort des animaux pour des raisons climatiques (sécheresse, inondations) 4 = Manque de pâturages ou d’eau pour les animaux 5 = Perte ou manque d’opportunités économiques/manque de travail sur le lieu d’origine 6 = Pour faire paître/boire les animaux 7 = Pour rejoindre d’autres membres de la famille 8 = Pour recevoir un traitement médical 9 = Pour bénéficier d’une éducation/faire des études10 = Pour une autre raison (préciser) ______________

I__I

2.3

Observer et noter le type d’habitation.[ADAPTER LES CATÉGORIES SI NÉCESSAIRE.]

1 = Maison privée principalement construite en matériaux durables (briques, ciment)2 = Habitation privée principalement construite en matériaux non durables (planches, plastique, boue, herbe)3 = Appartement dans un bâtiment de plusieurs étages4 = Chambre(s) dans une maison ou un appartement partagé5 = Chambre(s) dans un centre d’hébergement collectif/bâtiment public6 = Tente/bâche en plastique/abri dans un camp7 = Autre (préciser) ______

I__I

Si la réponse

est 5 ou 6 passer au point 2.9.

2.4 Êtes-vous propriétaire de votre logement? 0 = Non / 1 = Oui I__I i Si la réponse est Oui, passer au point 2.9.

2.5 Devez-vous payer un loyer pour votre logement? 0 = Non / 1 = Oui I__I i Si la réponse est

Non, passer au point 2.9.

2.6 Quel est le montant de votre loyer par mois? [DEVISE LOCALE] I____________I

2.7 Avez-vous actuellement des loyers de retard? 0 = Non / 1 = Oui I__I i Si la réponse est Non, passer au point 2.9.

2.8

Le nombre de vos loyers de retard a-il augmenté au cours des 6 derniers mois? [ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN PRENANT, PAR EXEMPLE, LE DÉBUT DE LA CRISE COMME POINT DE DÉPART.]

0 = Non / 1 = Oui I__I

.../...

Annexes / Annexe 1: Questionnaire type destiné aux ménages

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition266

[ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN PRENANT, PAR EXEMPLE, LE DÉBUT DE LA CRISE COMME POINT DE DÉPART; TENIR COMPTE DES ÉVENTUELS PROBLÈMES LIÉS AUX SAISONS (SOURCE D’EAU, ETC.).]

Actuellement Il y a 6 mois

[FACULTATIF: si l’on pense que la crise a eu des répercussions sur les aspects ci-après.]Où sont les toilettes utilisées par les membres du ménage?1 = Latrines à chasse d’eau/toilettes avec eau2 = Latrines traditionnelles à fosse (sans eau) - fosse à l’air libre (ni toit, ni cloison)3 = Latrines communales 4 = Aucune/buissons

2.9 I__I 2.10 I__I

Où vous procurez-vous l’eau que vous buvez?1 = Source sûre (eau sous conduite, fontaine publique, puits tubulaire/puits foré, puits protégé, eau de source protégée, eau de pluie, eau en bouteille)2 = Source non sûre (rivière, puits non protégé, eau de source non protégée, canal)

2.11

I__I

Si la réponse

est 1, passer au point 2.15.

2.12

I__I

Si la réponse

est 1, passer au point 2.15.

Traitez-vous l’eau avant de la boire?0 = Non 1 = Oui, avec des comprimés de chlore 2 = Oui, en la faisant bouillir 99 = Ne sait pas

2.13 2.14

[FACULTATIF: si l’on pense que la crise a eu des répercussions sur les aspects ci-après.]Combien de temps vous faut-il pour atteindre la source principale d’eau potable et en revenir (en minutes de marche)? Inscrire “0” si la maison ou le logement est relié à un réseau d’eau.

2.15 I__I min 2.16 I__I min

Quelle est votre principale source d’énergie pour la cuisson des aliments?1 = Bois 2 = Excréments d’animaux 3 = Électricité4 = Gaz 5 = Charbon/charbon de bois 6 = Autre (préciser)___________

2.17 I__I 2.18 I__I

Quelle principale difficulté éprouvez-vous pour vous procurer du combustible pour la cuisson des aliments?1 = Distance 2 = Insécurité 3 = Coût 4 = Autre (préciser)________

2.19 I__I 2.20 I__I

Quelle est votre principale source de combustible pour le chauffage?1 = Bois 2 = Excréments d’animaux 3 = Électricité4 = Gaz 5 = Charbon/charbon de bois 6 = Autre (préciser)________

2.21 I__I 2.22 I__I

267

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Annexes / Annexe 1: Questionnaire type destiné aux ménages

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition268

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IV - ANIMAUX

Poser les questions colonne par colonne.[SI CELA A UNE IMPORTANCE DANS LE CONTEXTE, AJOUTER LES PORCS, LES ANIMAUX DE TRAIT/UTILISÉS POUR LE TRANSPORT (chevaux/ânes et buffles, etc.).]

Bovins Moutons et/ou chèvres Volailles

Combien de ces animaux possédez-vous ACTUeLLeMeNT? 4.1 I__I 4.2 I__I 4.3 I__I

Possédiez-vous ces animaux il y a 6 mois? 0 = Non / 1 = Oui[ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN PRENANT, PAR EXEMPLE, LE DÉBUT DE LA CRISE COMME POINT DE COMPARAISON.]

4.4

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4.6

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passer au point 4.25.

Avez-vous vendu des animaux au cours des 6 derniers mois? 0 = Non / 1 = Oui[ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN PRENANT, PAR EXEMPLE, LE DÉBUT DE LA CRISE COMME POINT DE DÉPART.]

4.7

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réponse est Non,

passer au point 4.19.

4.8

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réponse est Non,

passer au point 4.20.

4.9

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réponse est Non,

passer au point 4.21.

Si la réponse est Oui, avez-vous vendu des femelles reproductrices? 0 = Non / 1 = Oui

4.10 I__I 4.11 I__I 4.12 I__I

Pour quelle raison principale avez-vous vendu des animaux (reproducteurs ou non)?1 = Besoin d’argent 2 = Âge/maladie des animaux3 = Stérilité 4 = Manque d’eau5 = Manque de fourrage/nourriture pour les animaux/pâturages6 = Autre raison (préciser) ____________________

4.13 I__I 4.14 I__I 4.15 I__I

Avez-vous vendu plus d’animaux que d’habitude à cette époque de l’année? 0 = Non / 1 = Oui

4.16 I__I 4.17 I__I 4.18 I__I

Des animaux sont-ils morts au cours des 6 derniers mois? 0 = Non / 1 = Oui[ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN PRENANT, PAR EXEMPLE, LE DÉBUT DE LA CRISE COMME POINT DE DÉPART.]

4.19

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4.20

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réponse est Non,

passer au point 4.3.

4.21

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passer au point 4.25.

.../...

Annexes / Annexe 1: Questionnaire type destiné aux ménages

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition270

Quelle fut la cause principale de la mort des animaux?[ADAPTER LES CATÉGORIES SI NÉCESSAIRE.]1 = Basses températures 2 = Vieillesse/maladie/avortement 3 = Blessure 4 = Manque d’eau 5 = Manque de fourrage/nourriture pour les animaux6 = Autre raison (préciser) ____________________

4.22 I__I 4.23 I__I 4.24 I__I

Quelles sont les principales difficultés que vous rencontrez pour faire de l’élevage? [ADAPTER LES CATÉGORIES SI NÉCESSAIRE.] 0 = Non / 1 = Oui

4.25 Manque d’argent pour acheter des animaux I__I

4.26 Manque d’eau I__I

4.27 Manque de pâturages/aliments pour les animaux trop chers I__I

4.28 Manque d’abris pour les animaux I__I

4.29 Épizooties/manque de services vétérinaires I__I

4.30 Manque de main-d’œuvre pour s’occuper des animaux I__I

4.31 Manque de débouchés pour vendre les animaux/produits de l’élevage I__I

4.32 Vols/pillage I__I

4.33 Autre contrainte (préciser) I__I

V - SOURCeS De ReVeNUS, SOUTIeN DeS PAReNTS eT AVOIRS

[ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN PRENANT, PAR EXEMPLE, LE DÉBUT DE LA CRISE COMME POINT DE DÉPART.]

Actuellement Il y a 6 mois

Combien de membres du ménage perçoivent un revenu? 5.1 I__I 5.2 I__I

Quelle est votre source de revenus la plus importante?Quelle est la seconde? [ADAPTER LES CATÉGORIES DE REVENUS SI NÉCESSAIRE.]

Source la plus importante Deuxième source

1 = Vente de la production de céréales (blé, maïs, orge)2 = Vente de légumes ou de fruits3 = Vente de coton, tabac ou autre culture de rapport4 = Vente d’animaux/de produits d’origine animale5 = Travail agricole salarié (emploi comme ouvrier agricole)6 = Travail non agricole (emploi comme surveillant de magasin, serveur, employé de maison, etc.)7 = Travail indépendant (taxi, menuisier, électricien, etc.)8 = Emploi public (enseignant, agent sanitaire, administration)9 = Emploi dans une entreprise privée ou une ONG10 = Travail journalier irrégulier, travail occasionnel11 = Vente de produits artisanaux 12 = Petit commerce (à petite échelle)13 = Entreprise (à plus grande échelle)14 = Retraite15 = Prestations destinées aux ménages, allocations chômage16 = Envois de fonds par des proches partis ailleurs (à l’intérieur ou à l’extérieur du pays)17 = Autre (préciser): ______ __________________99 = 2e source de revenus

5.3 I__I 5.4 I__I

.../...

271

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Quelle part de votre revenu total ces deux sources représentent-elles? Utiliser l’empilement proportionnel si nécessaire.Le total peut ne pas atteindre 100 % s’il y a plus de 2 sources de revenus, mais ne doit pas être supérieur à 100 %.

5.5 I__I % 5.6 I__I %

Ces deux sources de revenus sont-elles régulières? 1 = Temporaires/occasionnelles 2 = Saisonnières 3 = Stables/permanentes

5.7 I__I 5.8 I__I

5.19 Votre ménage contient-il des membres qui ne travaillent pas mais qui sont actuellement à la recherche d’un emploi? 0 = Non / 1 = Oui I__I

5.10

Vos revenus ont-il changé au cours des 6 derniers mois?[ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN PRENANT, PAR EXEMPLE, LE DÉBUT DE LA CRISE COMME POINT DE DÉPART.] 1 = Aucun changement / 2 = Diminution / 3 = Augmentation

I__ISi aucun

changement, passer au point 5.12.

5.11 De combien ont-ils varié (augmentation ou diminution)?Estimer la proportion (en %). Utiliser l’empilement proportionnel si nécessaire. I__I %

5.12 En cas de besoin, pouvez-vous demander de la nourriture à des parents, des voisins ou des amis?

0 = Non1 = Oui

I__I

5.13Avez-vous reçu un tel soutien au cours des 6 derniers mois?[ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN PRENANT, PAR EXEMPLE, LE DÉBUT DE LA CRISE COMME POINT DE DÉPART.]

I__I

5.14 Aidez-vous des parents en leur fournissant des vivres ou de l’argent en ce moment? I__I

5.15 Des membres de votre famille ont-ils émigré? 0 = Non / 1 = Oui

I__ISi la

réponse est Non,

passer au point 5.23.

Depuis quand sont-ils partis?1 = Moins de 1 mois 2 = Moins de 6 mois3 = Entre 6 et 12 mois 4 = Plus de 1 an99 = Pas de 2e migrant ou pas de 3e migrant

Migrant n° 1 Migrant n° 2 Migrant n° 3

Pourquoi sont-ils partis?1 = Travail 2 = Études 3 = Traitement médical 4 = Regroupement familial5 = Insécurité/menaces 99 = Pas de 2e migrant ou pas de 3e migrant

5.16 I__I 5.17 I__I 5.18 I__I

5.19 I__I 5.20 I__I 5.21 I__I

5.22 Certains des migrants envoient-ils de l’argent? 0 = Non / 1 = Oui I__I

.../...

Annexes / Annexe 1: Questionnaire type destiné aux ménages

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition272

[ADAPTER LA LISTE SI NÉCESSAIRE.]

Possédez-vous actuellement les éléments suivants?

0 = Non1 = Oui

Possédez-vous actuellement les éléments suivants?

0 = Non1 = Oui

5.23 Réfrigérateur I__I 5.24 Équipement agricole (tracteur, autre) I__I

5.25 Four (électrique, au gaz) I__I 5.26 Outils agricoles (machette, binette, etc.) I__I

5.27 Téléviseur I__I 5.28 Vélo I__I

5.29 Antenne parabolique I__I 5.30 Moto I__I

5.31 Radio I__I 5.32 Voiture, taxi, camion I__I

5.33 Téléphone portable I__I 5.34 Argent liquide, autres économies (bijoux, etc.) I__I

5.35 Machine à coudre I__I 5.36 Compte bancaire I__I

VI - DÉPeNSeS eT DeTTeS

En devise locale

Combien avez-vous dépensé en ALIMeNTATION

la SeMAINe DeRNIÈRe?

Combien avez-vous dépensé le MOIS DeRNIeR en:

6.1

Pain, blé[MODIFIER LES ALIMENTS DE BASE SI NÉCESSAIRE.]

ı________ı 6.2 Bois de feu/charbon de bois ı________ı

6.3 Riz ı________ı 6.4 Gaz/électricité ı________ı

6.5 Manioc ı________ı 6.6 Kérosène/pétrole ı________ı

6.7 Pommes de terre ı________ı 6.8 Logement (loyer, réparations) ı________ı

6.9 Huile, beurre, beurre liquide (ghee) ı________ı 6.10 Eau ı________ı

6.11 Sucre, miel, confiture ı________ı 6.12 Santé ı________ı

6.13 Lait, fromage, yaourt ı________ı 6.14 Éducation ı________ı

6.15 Viande, poisson, œufs ı________ı 6.16 Transports (pour des besoins privés) ı________ı

6.17 Légumes, fruits ı________ı 6.18 Vêtements, chaussures ı________ı

6.19 Arachides en coque, noix ı________ı 6.20 Savon, articles d’hygiène ı________ı

6.21

Autres dépenses alimentaires (condiments, boissons, etc.)

ı________ı 6.22 Cérémonies, loisirs ı________ı

6.23

Repas à l’extérieur, collations, boissons consommées à l’extérieur du foyer

ı________ı 6.24 Remboursement de dettes ı________ı

6.25 Toute autre dépense non alimentaire ı________ı

.../...

273

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6.26

Vos dépenses ont-elles évolué depuis 6 mois?[ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN PRENANT, PAR EXEMPLE, LE DÉBUT DE LA CRISE COMME POINT DE DÉPART.] 1 = Aucun changement 2 = Diminution 3 = Augmentation

I__I

Quelles dépenses ont changé?1 = Aucun changement2 = Diminution 3 = Augmentation

6.27 Alimentation I__I 6.28 Santé I__I

6.29Énergie (cuisine, chauffage, éclairage)

I__I 6.30 Éducation I__I

6.31 Logement I__I 6.32 Transports I__I

6.33 Avez-vous des dettes ou crédits à rembourser actuellement?

0 = Non1 = Oui

I__I i Si la réponse est Non, passer au point 7.1.

6.34

Avez-vous contracté de nouvelles dettes ou de nouveaux emprunts au cours des 6 derniers mois?[ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN PRENANT, PAR EXEMPLE, LE DÉBUT DE LA CRISE COMME POINT DE DÉPART.]

I__I i Si la réponse est Non, passer au point 6.36.

6.35

Pour quelle raison principale avez-vous contracté de nouvelles dettes ou de nouveaux emprunts?1 = Pour acheter de la nourriture 2 = Pour couvrir des dépenses de santé3 = Pour payer les frais de scolarité, d’éducation 4 = Pour acheter des intrants agricoles (semences, outils, etc.)5 = Pour acheter de la nourriture pour les animaux et du fourrage et payer les frais vétérinaires6 = Pour acheter des animaux7 = Pour acheter ou louer des terres8 = Pour acheter ou louer un appartement/une maison9 = Pour acheter des vêtements, des chaussures 9 = Pour payer des frais de cérémonie10 = Pour payer un billet de transport/couvrir des frais de migration 11 = Autre raison (préciser)________________

I__I

6.36

Qui est la principale source de crédit pour toutes vos dettes et tous vos emprunts (récents et anciens)?1 = Parents (à l’exclusion des envois de fonds de membres ayant émigré à l’étranger) 2 = Marchands/commerçants3 = Banque/établissement de crédit/projet de microcrédit 4 = Prêteur d’argent5 = Propriétaire (plus de 1 mois de retard de loyer) 6 = Autre (préciser) _______________

I__I

6.37 Dans combien de mois pensez-vous que vous serez en mesure de rembourser vos dettes ou vos crédits? I__I mois

Annexes / Annexe 1: Questionnaire type destiné aux ménages

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition274

VII - CONSOMMATION ALIMeNTAIRe

Adultes enfants de 1 à 5 ans

Hier, combien de repas ont été pris par les: 7.1 I__I 7.2 I__I

Ce nombre est-il différent du nombre habituel?

1 = Supérieur / 2 = Identique / 3 = Inférieur

7.3 I__I 7.4 I__I

Ne PAS prendre en compte les petites quantités (moins de 1 cuiller à café/personne).[ADAPTER LA LISTE SI NÉCESSAIRE, MAIS NE PAS DÉPASSER 13 ou 14 ARTICLES.]

Nombre de jours de consommation de

l’aliment au cours des 7 DeRNIeRS JOURS?

Principale source d’aliments au cours

des 7 DeRNIeRS JOURS?

Où vous procurez-vous HABITUeLLeMeNT la majeure

partie de ces aliments?[Poser la question pour chaque aliment, même s’il n’a pas été consommé au cours des 7 derniers jours.]

0 = Non consommé 1 = 1 jour2 = 2 jours 3 = 3 jours4 = 4 jours 5 = 5 jours6 = 6 jours 7 = 7 jours

1 = Cultures familiales/potager 2 = Achat au marché central3 = Achat au magasin/marché local 4 = Travail contre vivres 5 = Emprunts/dettes 6 = Dons des voisins/parents 7 = Aide alimentaire 8 = Troc ou commerce de biens/services9 = Récupération de déchets/cueillette d’aliments sauvages 99 = Non consommé au cours des 7 derniers jours ou non consommé habituellement

Pain, blé 7.5 I__I 7.6 I__I 7.7 I__I

Riz 7.8 I__I 7.9 I__I 7.10 I__I

Pommes de terre 7.11 I__I 7.12 I__I 7.13 I__I

Pâtes, biscuits 7.14 I__I 7.15 I__I 7.16 I__I

Haricots, lentilles, pois, noix 7.17 I__I 7.18 I__I 7.19 I__I

Légumes 7.20 I__I 7.21 I__I 7.22 I__I

Fruits 7.23 I__I 7.24 I__I 7.25 I__I

Viande, abats 7.26 I__I 7.27 I__I 7.28 I__I

Œufs 7.29 I__I 7.30 I__I 7.31 I__I

Poisson 7.32 I__I 7.33 I__I 7.34 I__I

Lait, fromage, yaourt 7.35 I__I 7.36 I__I 7.37 I__I

Sucre, miel, confiture 7.38 I__I 7.39 I__I 7.40 I__I

Huile, matières grasses 7.41 I__I 7.42 I__I 7.43 I__I

Aliments vendus dans la rue 1 (préciser le produit le plus fréquent)

7.44 I__I 7.45 I__I 7.46 I__I

Aliments vendus dans la rue 2 (préciser le 2eproduit le plus fréquent)

7.47 I__I 7.48 I__I 7.49 I__I

275

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VIII - CHOCS, STRATÉGIeS De SURVIe eT ASSISTANCe

Quels ont été les principaux chocs ou problèmes auxquels vous avez dû faire face au cours des 6 derniers mois? [ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN PRENANT, PAR EXEMPLE, LE DÉBUT DE LA CRISE COMME POINT DE DÉPART.]Ne PAS lire la liste; laisser le ménage répondre spontanément, puis lui demander de fournir les 3 événements les plus importants. [ADAPTER LA LISTE SI NÉCESSAIRE.]1 = Perte d’emploi/diminution de salaire 2 = Maladie/dépenses de santé 3 = Décès d’un membre du ménage/funérailles 4 = Prix élevé des produits alimentaires5 = Prix élevé du carburant 6 = Paiement du loyer 7 = Dette à rembourser 8 = Eau non potable/disponible irrégulièrement9 = Coupure d’électricité/de gaz 10 = Insécurité/vols11 = Mauvaises récoltes/sécheresse 12 = Problèmes environnementaux (pollution, industries)13 = Inondations, fortes pluies, glissements de terrain 14 = Autre choc (préciser)99 = Pas de 2e ou 3e problème mentionné

1er problème 2e problème 3e problème

8.1 I__I 8.2 I__I 8.3 I__I

8.4

Au cours des 6 derniers mois, avez-vous manqué d’argent pour acheter des vivres ou assurer d’autres dépenses essentielles (santé, combustible pour la cuisson des aliments, frais de scolarité, etc.)?[ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN PRENANT, PAR EXEMPLE, LE DÉBUT DE LA CRISE COMME POINT DE DÉPART.]

0 = Non1 = Oui I__I

Au cours des 6 derniers mois, avez-vous dû réaliser une ou plusieurs des actions suivantes pour assurer vos besoins alimentaires et autres? [ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN PRENANT, PAR EXEMPLE, LE DÉBUT DE LA CRISE COMME POINT DE DÉPART.]

0 = Non / 1 = Oui

8.5 Utiliser les stocks de semences prévus pour la saison prochaine I__I

8.6 Limiter les dépenses en engrais, pesticides, fourrage, alimentation animale, soins vétérinaires, etc. I__I

8.7 Vendre des avoirs du ménage (radio, meubles, réfrigérateur, téléviseur, tapis, etc.) I__I

8.8 Vendre des avoirs productifs (outils agricoles, machine à coudre, moto, terres, etc.) I__I

8.9 Vendre davantage d’animaux qu’à l’habitude I__I

8.10 Diminuer les dépenses de soins de santé I__I

8.11 Retirer les enfants de l’école I__I

8.12 Changer d’emploi ou chercher un travail supplémentaire, faire des heures supplémentaires I__I

8.13 Demander à d’autres membres du ménage de migrer pour trouver du travail ou des produits alimentaires I__I

.../...

Annexes / Annexe 1: Questionnaire type destiné aux ménages

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition276

Au cours des 7 derniers jours, l’un des membres de votre ménage a-t-il dû réaliser l’une des actions suivantes? [NOTER QUE LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE DE 7 JOURS PROVIENT DES DERNIÈRES ORIENTATIONS SUR L’INDICE DES STRATÉGIES DE SURVIE POUR LES STRATÉGIES LIÉES À LA NOURRITURE.]

0 = Jamais 1 = Rarement (moins de 15 jours sur 30)2 = Souvent (plus de 15 jours sur 30) 3 = Toujours

8.14 Recourir à des aliments moins appréciés et moins chers I__I

8.15 Emprunter des aliments I__I

8.16 Recevoir des dons de vivres/solliciter l’aide d’amis ou de parents I__I

8.17 Limiter la taille des parts pendant les repas I__I

8.18 Réduire la consommation des adultes pour nourrir les jeunes enfants I__I

8.19 Diminuer le nombre de repas par jour I__I

8.20 Passer des journées entières sans manger I__I

8.21 Acheter des produits alimentaires à crédit, s’endetter I__I

Bénéficiez-vous actuellement de l’assistance suivante?Poser la question séparément pour chaque type d’assistance indiqué. [ADAPTER LA LISTE SI NÉCESSAIRE.]

0 = Non1 = Oui [ADAPTER LA LISTE SI NÉCESSAIRE.] 0 = Non

1 = Oui

8.22Alimentation pour les enfants scolarisés (rations consommées à l’école ou à emporter)

I__I 8.23Semences, engrais gratuits (y compris les programmes avec remboursement)

I__I

8.24

Alimentation pour les jeunes enfants/enfants souffrant de malnutrition ou les femmes enceintes/mères allaitantes

I__I 8.25 Outils agricoles gratuits I__I

8.26 Rations alimentaires gratuites pour le ménage I__I 8.27 Fourrage, aliments pour animaux

gratuits I__I

8.28 Vivres contre travail I__I 8.29 Services vétérinaires gratuits I__I

8.30 Espèces contre travail I__I 8.31 Bâche en plastique, tente, autres matériaux de construction d’abri I__I

8.32

Transferts monétaires (subventions, allocations pour les enfants, allocations familiales, etc.) des ONG, d’autres organismes ou des programmes gouvernementaux d’assistance sociale

I__I 8.33 Ustensiles de cuisine, fourneau, ensemble de cuisine I__I

8.34 Soins de santé/médicaments gratuits I__I 8.35 Vêtements, couvertures I__I

8.36 Microcrédit I__I 8.37 Moustiquaires I__I

8.38Semences, engrais gratuits (y compris des programmes avec remboursement)

I__I 8.39 Ustensiles de cuisine I__I

8.40 Outils agricoles gratuits I__I 8.41 Bidons I__I

8.42 Fourrage, aliments pour animaux gratuits I__I 8.43 Autre assistance

(préciser) _____________________ I__I

.../...

277

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De quelle assistance avez-vous besoin en priorité actuellement?Ne PAS lire la liste; laisser le ménage répondre spontanément, puis lui demander de fournir les 3 principales priorités.

1ère priorité 2e priorité 3e priorité

1 = Alimentation scolaire2 = Aliments pour les jeunes enfants/enfants souffrant de malnutrition ou autres groupes vulnérables3 = Aliments pour le ménage en général4 = Transferts monétaires 5 = Crédit6 = Emploi 7 = Augmentation du salaire, de la retraite8 = Semences 9 = Engrais10 = Pesticides 11 = Outils agricoles12 = Fourrage, aliments pour animaux 14 = Services vétérinaires15 = Irrigation 16 = Eau à usage domestique17 = Services de santé (infrastructures, personnel), traitement (subventions, médicaments gratuits) 18 = Vêtements, chaussures 19 = Routes 20 = Transports publics 21 = Infrastructures scolaires/enseignants 22 = Logement/abri (réparations, construction) 23 = Carburant (subventions, dons) 24 = Sécurité 25 = Autre assistance (préciser)________

8.44 I__I 8.45 I__I 8.46 I__I

Annexes / Annexe 1: Questionnaire type destiné aux ménages

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition278

IX -

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Annexes / Annexe 1: Questionnaire type destiné aux ménages

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition280

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281

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Annexe 2: Questionnaire type destiné aux informateurs clés

ÉVALUATION De LA SÉCURITÉ ALIMeNTAIRe

Code de référence du questionnaire: I__I I__I I__I I__I I__I I__I I__I I__I

Questionnaire destiné aux informateurs clés

Nom de la ville/du village: _______________ Code de la ville/du village: I__I Code de la région: I__I

Nom de la rue/du quartier: _____________________ Code de la rue/du quartier: I__I I__I I__I[INCLUS UNIQUEMENT POUR LES ÉVALUATIONS EN MILIEU URBAIN]

Code de la grappe: I__I I__I Numéro de questionnaire pour les informateurs clés: I__I I__I I__I

Date: I__I I__I / I__I I__I / I__I I__I I__I I__I Numéro d’équipe: I__I I__I jour mois année

Coordonnées GPS Position Y (latitude) _______________ Position X (longitude) ____________

Noms des enquêteurs: ____________________ ____________________________

I- INfORMATIONS DÉMOGRAPHIQUeS

1.1 Combien de personnes vivent dans ce village/quartier? [SÉLECTIONNER LE SITE CONCERNÉ.] I__I__I__I__I__I

1.2 Combien de ménages RÉSIDeNTS vivent dans ce village/quartier? [SÉLECTIONNER LE SITE CONCERNÉ.] I__I__I__I__I

1.3 Combien de ménages DÉPLACÉS vivent dans ce village/quartier? [SÉLECTIONNER LE SITE CONCERNÉ.] I__I__I__I__I

1.4

Au cours des 6 derniers mois, des personnes ont-elles quitté définitivement le village/quartier? [ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN INDIQUANT, PAR EXEMPLE, LE DÉBUT DE LA CRISE COMME POINT DE DÉPART.]

0 = Non / 1 = Oui I__I

1.5 De quelles personnes s’agit-il le plus souvent?

1 = Hommes 2 = Femmes et enfants3 = Familles entières 4 = Ne sait pas I__I

1.6 Où sont-elles allées principalement?

1 = Villages environnants 2 = Villes environnantes3 = Capitale 4 = Hors du pays 5 = Ne sait pas I__I

1.7

Au cours des 6 derniers mois, des personnes sont-elles venues s’installer dans le village/quartier? [ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN INDIQUANT, PAR EXEMPLE, LE DÉBUT DE LA CRISE COMME POINT DE DÉPART.]

0 = Non / 1 = Oui I__I

1.8 De quelles personnes s’agit-il le plus souvent?

1 = Hommes 2 = Femmes et enfants3 = Familles entières 4 = Ne sait pas I__I

1.9 D’où venaient-elles principalement?

1 = Villages environnants 2 = Villes environnantes3 = Capitale 4 = Réfugiés retournant chez eux 5 = Ne sait pas

I__I

Annexes / Annexe 2: Questionnaire type destiné aux informateurs clés

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition282

II - LOGeMeNT eT INfRASTRUCTUReS

Ces questions doivent être posées lorsque des catastrophes/crises ont endommagé les logements et les infrastructures.

2.1Combien de maisons ont été totalement détruites? (ou demander la proportion de maisons, en utilisant le cas échéant la technique de l’empilement proportionnel.)

I__I__I__I__I

(ou |__|__| %)

2.2Combien de maisons ont été partiellement endommagées? (ou demander la proportion de maisons, en utilisant le cas échéant la technique de l’empilement proportionnel.)

I__I__I__I__I

(ou |__|__| %)

2.3 Combien de ménages vivent dans des centres d’hébergement collectifs (écoles, autres bâtiments)? I__I__I__I__I

2.4 Combien de ménages vivent dans des camps (tentes, bâches en plastique)? I__I__I__I__I

2.5 Combien de ménages sont hébergés par des ménages résidents? I__I__I__I__I

2.6 Le réseau de distribution d’électricité a-t-il été touché?

1 = Aucun dégât 2 = Dégâts modérés3 = Dégâts importants4 = Destruction5 = Sans objet (aucune infrastructure préalable)

I__I

2.7 Les installations d’approvisionnement en eau ont-elles été touchées? I__I

2.8 Les installations d’assainissement ont-elles été touchées? I__I

2.9 Le réseau téléphonique a-t-il été touché? I__I

2.10 Les infrastructures scolaires ont-elles été touchées? I__I

2.11 Les infrastructures des services de santé ont-elles été touchées? I__I

2.12 Les infrastructures des marchés ont-elles été touchées? I__I

283

AN

NE

XE

S

III - SOURCeS De ReVeNUS, SOURCeS De NOURRITURe eT MARCHÉS

Quelles sont les 3 principales sources de revenus des ménages?[ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN SE REPORTANT, PAR EXEMPLE, À LA SITUATION AVANT LA CATASTROPHE][ADAPTER LES CATÉGORIES SI NÉCESSAIRE - VÉRIFIER QU’ELLES CORRESPONDENT À CELLES UTILISÉES DANS LE QUESTIONNAIRE DESTINÉ AUX MÉNAGES.]1 = Vente de la production de blé ou de pommes de terre 2 = Vente de légumes ou de fruits3 = Travail agricole salarié 4 = Travail indépendant (taxi, menuisier, etc.)5 = Travail non agricole salarié (commerces, restaurants, banque, services, etc.) 6 = Emploi dans la fonction publique 7 = Emploi salarié dans une ONG, entreprise privée 8 = Vente de produits artisanaux 9 = Vente d’animaux/de produits d’origine animale 10 = Petit commerce 11 = Retraite, allocations 12 = Travail journalier ou occasionnel 13 = Vente de produits alimentaires de fabrication artisanale 14 = Envois de fonds par des proches 15 = Autre (préciser): ______ 99 = Pas de 2e ni de 3e source de revenus

Actuellement Il y a 6 mois

3.11ère source:

I__I3.2

1ère source:

I__I

3.32e source:

I__I3.4

2e source:

I__I

3.53e source:

I__I3.6

3e source:

I__I

Quelle proportion de personnes exerce ces différentes activités génératrices de revenus? Actuellement Il y a 6 mois

1ère source de revenus (voir la réponse à la question précédente) 3.7 I__I %

1ère source 3.8 I__I % 1ère source

2e source de revenus (voir la réponse à la question précédente) 3.9 I__I %

2e source 3.10 I__I % 2e source

3e source de revenus (voir la réponse à la question précédente) 3.11 I__I %

3e source 3.12 I__I % 3e source

[ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN SE REPORTANT, PAR EXEMPLE, À LA SITUATION AVANT LA CATASTROPHE]Comment les ménages se procurent-ils la majeure partie de leur alimentation?[ADAPTER LES CATÉGORIES SI NÉCESSAIRE - VÉRIFIER QU’ELLES CORRESPONDENT À CELLES UTILISÉES DANS LE QUESTIONNAIRE DESTINÉ AUX MÉNAGES.]1 = Cultures/potager pour la consommation personnelle 2 = Achats3 = Travail contre vivres 4 = Emprunt de vivres/dettes 5 = Dons des voisins/parents 6 = Aide alimentaire 7 = Troc ou commerce de marchandises

Actuellement Il y a 6 mois

3.131ère source:

I__I3.14

1ère source:

I__I

3.152e source:

I__I3.16

2e source:

I__I

Quelle proportion de ménages utilise ces deux sources d’aliments? Actuellement Il y a 6 mois

1ère source d’aliments (voir la réponse à la question précédente) 3.17 I__I %

1ère source 3.18 I__I % 1ère source

2e source d’aliments (voir la réponse à la question précédente) 3.19 I__I %

2e source 3.20 I__I %2e source

.../...

Annexes / Annexe 2: Questionnaire type destiné aux informateurs clés

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition284

Où la plupart des ménages vont-ils acheter leur alimentation?1 = Marché local du village (ou du quartier)2 = Marché local du village voisin (ou du quartier voisin)3 = Magasin local du village (ou du quartier)4 = Marchands itinérants

Actuellement Il y a 6 mois

3.21

Lieu d’achat:

|__|

3.22

Lieu d’achat:

|__|

Quels sont les produits alimentaires disponibles sur le marché local (le plus proche)?[SÉLECTIONNER 8 PRINCIPAUX ALIMENTS AU MAXIMUM.]

Actuellement, par rapport à 6 mois auparavant

Pommes de terre

1 = Quantité nulle ou presque2 = Moins de la moitié de la quantité habituelle3 = Environ la moitié de la quantité habituelle4 = Quantité presque normale ou habituelle

3.23 I__I

Blé 3.24 I__I

Sorgho 3.25 I__I

Lentilles 3.26 I__I

Légumes 3.27 I__I

Lait, produits laitiers 3.28 I__I

Viande 3.29 I__I

Quelles sont les tendances des prix des produits alimentaires sur le marché local (le plus proche)? [SÉLECTIONNER 8 PRINCIPAUX ALIMENTS AU MAXIMUM.]

Actuellement, par rapport à 6 mois auparavant

Pommes de terre

1 = Doublement des prix (ou plus) par rapport à 6 mois auparavant2 = Augmentation des prix (moins du double)3 = Aucun changement ou presque4 = Diminution par rapport à 6 mois auparavant

3.30 I__I

Blé 3.31 I__I

Sorgho 3.32 I__I

Lentilles 3.33 I__I

Légumes 3.34 I__I

Lait, produits laitiers 3.35 I__I

Viande 3.36 I__I

Quelles sont les tendances des prix du bétail sur le marché local (le plus proche)? [SÉLECTIONNER 4 ESPÈCES ANIMALES AU MAXIMUM.]

Actuellement, par rapport à 6 mois auparavant

Bovins (préciser le sexe, l’âge, la race le cas échéant)

1 = Doublement des prix (ou plus) par rapport à 6 mois auparavant2 = Augmentation des prix (moins du double)3 = Aucun changement ou presque4 = Diminution par rapport à 6 mois auparavant

3.37 I__I

Ovins (préciser le sexe, l’âge, la race le cas échéant) 3.38 I__I

Caprins (préciser le sexe, l’âge, la race le cas échéant) 3.39 I__I

Quels sont les niveaux de salaire des travailleurs occasionnels non qualifiés? [SÉLECTIONNER 4 TYPES D’EMPLOI AU MAXIMUM.]

Actuellement Il y a 6 mois

Travail agricole occasionnel (désherbage, par exemple) [DEVISE

LOCALE] par jour

3.40 I_________I 3.41 I_________I

Travail non agricole occasionnel (construction, par exemple) 3.42 I_________I 3.43 I_________I

285

AN

NE

XE

S

IV - CULTUReS eT BÉTAIL

[SÉLECTIONNER 6 CULTURES PRINCIPALES AU MAXIMUM - VÉRIFIER QU’ELLES CORRESPONDENT À CELLES UTILISÉES DANS LE QUESTIONNAIRE DESTINÉ AUX MÉNAGES.]

Tomates Oignons Pommes de terre Blé Sorgho Lentilles

Quelle est la proportion de ménages pratiquant habituellement les cultures suivantes? Utiliser des catégories si cela facilite l’opération (1 = Aucun ménage, 2 = Moins de la moitié des ménages, 3 = Environ la moitié des ménages, 4 = Plus de la moitié des ménages, 5 = Presque tous les ménages).

4.1I__I__I %

(ou I__I )4.2

I__I__I %

(ou I__I )4.3

I__I__I %

(ou I__I )4.4

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(ou I__I )4.5

I__I__I %

(ou I__I )4.6

I__I__I %

(ou I__I )

Quelle est la proportion de cultures endommagées selon les estimations? Au lieu de pourcentages, utiliser des catégories si cela facilite l’opération (1 = Aucun dégât 2 = Moins de la moitié des cultures endommagées, 3 = Environ la moitié des cultures endommagées, 4 = Plus de la moitié des cultures endommagées, 5 = Cultures presque toutes endommagées)

4.7I__I__I %

(ou I__I )4.8

I__I__I %

(ou I__I )4.9

I__I__I %

(ou I__I )4.10

I__I__I %

(ou I__I )4.11

I__I__I %

(ou I__I )4.12

I__I__I %

(ou I__I )

Quelles seront les principales difficultés auxquelles les ménages devront faire face pour cultiver leurs terres la saison prochaine? [ADAPTER LES CATÉGORIES SI NÉCESSAIRE - VÉRIFIER QU’ELLES CORRESPONDENT À CELLES UTILISÉES DANS LE QUESTIONNAIRE DESTINÉ AUX MÉNAGES.]

0 = Non / 1 = Oui

Perte de terres (inondations, glissements de terrain, occupation par d’autres personnes) 4.19 I__I

Manque d’engrais 4.20 I__I

Manque de pesticides 4.21 I__I

Manque d’outils agricoles 4.22 I__I

Manque d’irrigation 4.23 I__I

Manque de main-d’œuvre 4.24 I__I

Insécurité pour accéder aux champs 4.25 I__I

.../...

Annexes / Annexe 2: Questionnaire type destiné aux informateurs clés

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition286

[SÉLECTIONNER 4 PRINCIPALES ESPÈCES ANIMALES AU MAXIMUM - VÉRIFIER QU’ELLES CORRESPONDENT À CELLES UTILISÉES DANS LE QUESTIONNAIRE DESTINÉ AUX MÉNAGES.]

Bovins Moutons et/ou chèvres Volailles

Quelle est la proportion de ménages possédant habituellement ces animaux? Utiliser des catégories si cela facilite l’opération (1 = Aucun ménage, 2 = Moins de la moitié des ménages, 3 = Environ la moitié des ménages, 4 = Plus de la moitié des ménages, 5 = Presque tous les ménages).

4.26I__I__I %

(ou I__I )4.27

I__I__I %

(ou I__I )4.28

I__I__I %

(ou I__I )

Quelles sont les pertes estimées (morts) d’animaux? Au lieu d’un % de perte, utiliser des catégories si cela facilite l’opération (1 = Aucune perte, 2 = Perte de moins de la moitié des animaux, 3 = Perte de la moitié environ des animaux, 4 = Perte de plus de la moitié des animaux, 5 = Perte de presque tous les animaux).

4.29I__I__I %

(ou I__I )4.30

I__I__I %

(ou I__I )4.31

I__I__I %

(ou I__I )

Quelles seront les principales difficultés auxquelles les ménages devront faire face pour continuer ou reprendre leur élevage la saison prochaine? [ADAPTER LES CATÉGORIES SI NÉCESSAIRE - VÉRIFIER QU’ELLES CORRESPONDENT À CELLES UTILISÉES DANS LE QUESTIONNAIRE DESTINÉ AUX MÉNAGES.]

0 = Non / 1 = Oui

Manque de pâturages/alimentation animale trop chère 4.32 I__I

Manque d’eau 4.33 I__I

Manque de services vétérinaires/Épizooties 4.34 I__I

Manque d’abris pour les animaux 4.35 I__I

Manque de main-d’œuvre 4.36 I__I

Manque de marchés pour vendre les animaux/produits d’origine animale 4.37 I__I

Insécurité lors des trajets vers les pâturages ou lors des transhumances 4.38 I__I

V - SANTÉ eT ÉDUCATION

[ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN SE REPORTANT, PAR EXEMPLE, À LA SITUATION AVANT LA CATASTROPHE]

Actuellement Il y a 6 mois

Où la plupart des ménages se rendent-ils pour bénéficier d’un traitement médical?1 = Centre de santé du village (ou du quartier)2 = Centre de santé du village voisin (ou du quartier voisin)3 = Centre de santé/hôpital du district le plus proche (ou de la ville)4 = Centre de soins itinérant/de proximité 5 = Centre de soins privé6 = Guérisseur traditionnel 7 = Remède maison

5.1 I__I 5.2 I__I

Combien de temps faut-il pour se rendre à pied au centre de santé le plus proche? 5.3 I__I

min 5.4 I__I min

Quelles sont les principales maladies qui touchent la population?1 = Infections respiratoires aiguës 2 = Paludisme 3 = Diarrhée 4 = Problèmes cutanés 5 = Autre (préciser) _________________

5.5 I__I 5.6 I__I

.../...

287

AN

NE

XE

S

Quelles sont actuellement les principales difficultés auxquelles doivent faire face les ménages pour bénéficier d’un traitement médical? [ADAPTER LES CATÉGORIES SI NÉCESSAIRE.]Ne PAS lire la liste de catégories; laisser les personnes interrogées répondre spontanément.

0 = Non / 1 = Oui

Distance 5.7 I__I

Manque d’argent pour payer les médicaments et/ou les traitements 5.8 I__I

Manque de médicaments dans le centre de santé 5.9 I__I

Manque de médecins et autres agents sanitaires 5.10 I__I

Insécurité pour accéder au centre 5.11 I__I

[ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE SI NÉCESSAIRE, EN SE REPORTANT, PAR EXEMPLE, À LA SITUATION AVANT LA CATASTROPHE]

Actuellement Il y a 6 mois

Dans quelle école primaire vont la plupart des enfants?1 = École primaire du village (ou du quartier)2 = École primaire du village voisin (ou du quartier voisin)

5.12 I__I 5.13 I__I

Combien de temps faut-il pour se rendre à pied à l’école primaire la plus proche? 5.14 I__I

min 5.15 I__I min

Quelles sont actuellement les principales difficultés auxquelles les ménages doivent faire face pour envoyer leurs filles et leurs garçons à l’école primaire? [ADAPTER LES CATÉGORIES SI NÉCESSAIRE.] Ne PAS lire la liste de catégories; laisser les personnes interrogées répondre spontanément.

0 = Non / 1 = Oui

Garçons filles

Distance 5.16 I__I 5.17 I__I

Manque d’argent pour les vêtements, l’uniforme, les livres, etc. 5.18 I__I 5.19 I__I

Manque d’enseignants 5.20 I__I 5.21 I__I

Installations scolaires insuffisantes 5.22 I__I 5.23 I__I

Insécurité sur le trajet de l’école 5.24 I__I 5.25 I__I

Enfants malades ou souffrant de la faim 5.26 I__I 5.27 I__I

Enfants devant travailler/aider aux tâches ménagères 5.28 I__I 5.29 I__I

Annexes / Annexe 2: Questionnaire type destiné aux informateurs clés

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition288

VI - PRINCIPAUX PROBLÈMeS, PRIORITÉS eT INTeRVeNTIONS

Quelles sont les 3 principaux problèmes ou chocs ayant touché la population du village/quartier au cours des 2 dernières années? [ADAPTER LA PÉRIODE DE RÉFÉRENCE ET LES CATÉGORIES SI NÉCESSAIRE.]1 = Sécheresse 2 = Ouragan 3 = Inondations, glissements de terrain4 = Basses températures 5 = Prix élevé des produits alimentaires 6 = Prix élevé du carburant7 = Épidémie humaine 8 = Manque de soins de santé 9 = Coupures d’électricité 10 = Épizooties 11 = Infestation de criquets 12 = Violence, insécurité 13 = Arrivée de personnes déplacées ou de réfugiés14 = Migration et réception des fonds envoyés par des proches rendues plus difficiles 15 = Perte d’emploi

6.1

I__I

1er problème

6.2

I__I

2e problème

6.3

I__I

3e problème

Pensez-vous que les problèmes de la population du village/quartier sont différents de ceux de l’année dernière à la même époque?1 = Moins de problèmes 2 = Identiques à l’année dernière 3 = Plus de problèmes

6.4I__I

Si la réponse est 1 ou 2, passer au point 6.6.

D’après vous, quelle est la principale raison de l’aggravation de la situation?1 = Hausses des prix2 = Sécheresse/pluies irrégulières3 = Inondations4 = Autre événement climatique (neige, grêle, vent, gel) 5 = Glissements de terrain/érosion6 = Ravageurs et maladies des cultures7 = Maladies du bétail8 = Maladies/épidémies humaines9 = Insécurité/violence10 = Restriction de l’accès aux marchés11 = Chômage12 = Autre raison (préciser) ___________________

6.5 I__I

À quand remonte la dernière crise comparable à celle-ci?Inscrire 9999 si la personne ne sait pas répondre. 6.6 |__||__||__||__| ans

Quels sont les groupes de population qui rencontrent le plus de problèmes pour accéder à la nourriture et à un revenu?Ne PAS lire la liste de catégories; laisser les personnes interrogées répondre spontanément.[ADAPTER LES CATÉGORIES SI NÉCESSAIRE.]

0 = Non / 1 = Oui

Familles nombreuses 6.7 I__I

Personnes âgées, retraités 6.8 I__I

Ménages comptant des personnes handicapées 6.9 I__I

Ménages dirigés par une femme 6.10 I__I

Ménages comptant des orphelins 6.11 I__I

Ménages sans terres 6.12 I__I

.../...

289

AN

NE

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Ménages sans animaux 6.13 I__I

Ménages ne recevant pas de fonds de proches ayant émigré ou dont aucun membre n’a émigré 6.14 I__I

Quels sont actuellement les besoins prioritaires de la majorité des ménages?Ne PAS lire la liste de catégories; laisser les informateurs clés répondre spontanément.Une fois qu’ils ont répondu, leur demander d’isoler les trois catégories les plus importantes.[ADAPTER LES CATÉGORIES SI NÉCESSAIRE - VÉRIFIER QU’ELLES CORRESPONDENT À CELLES UTILISÉES DANS L’ENQUÊTE AUPRÈS DES MÉNAGES (triangulation).]

1 = Alimentation scolaire 2 = Aliments pour les jeunes enfants/enfants souffrant de malnutrition ou autres groupes vulnérables3 = Aliments pour les ménages en général4 = Transferts monétaires 5 = Crédit6 = Emploi 7 = Augmentation des salaires, des retraites8 = Semences 9 = Engrais10 = Pesticides 11 = Outils agricoles12 = Fourrage, alimentation animale 14 = Services vétérinaires15 = Irrigation 16 = Eau à usage domestique17 = Services de santé (infrastructures, personnel), traitement (subventions, médicaments gratuits) 18 = Vêtements, chaussures 19 = Routes 20 = Transports publics 21 = Infrastructures scolaires/enseignants 22 = Logement/abri (réparations, construction) 23 = Carburant (subventions, dons) 24 = Sécurité 25 = Autre assistance (préciser)________

6.15I__I

1ère priorité6.16

I__I

2e priorité6.17

I__I

3e priorité

Ce type d’assistance est-il actuellement assuré dans le village/quartier?Poser la question pour chaque type d’assistance indiqué. [ADAPTER LA LISTE SI NÉCESSAIRE - VÉRIFIER QU’ELLE EST SIMILAIRE À CELLE UTILISÉE DANS L’ENQUÊTE AUPRÈS DES MÉNAGES (triangulation).]

0 = Non1 = Oui

[ADAPTER LA LISTE SI NÉCESSAIRE - VÉRIFIER QU’ELLE EST SIMILAIRE À CELLE UTILISÉE DANS L’ENQUÊTE AUPRÈS DES MÉNAGES (triangulation).]

0 = Non1 = Oui

6.18Alimentation pour les enfants scolarisés (rations consommées à l’école ou à emporter)

I__I 6.19Semences, engrais gratuits (y compris les programmes avec remboursement)

I__I

6.20

Alimentation pour les jeunes enfants/enfants souffrant de malnutrition ou pour les femmes enceintes/mères allaitantes

I__I 6.21 Outils agricoles gratuits I__I

6.22 Rations alimentaires gratuites pour le ménage I__I 6.23 Fourrage, aliments pour

animaux gratuits I__I

6.24 Vivres contre travail I__I 6.25 Services vétérinaires gratuits I__I

.../...

Annexes / Annexe 2: Questionnaire type destiné aux informateurs clés

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition290

6.26 Espèces contre travail I__I 6.27Bâche en plastique, tente, autres matériaux de construction d’abri

I__I

6.28

Transferts monétaires (subventions, allocations pour les enfants, allocations familiales, etc.) des ONG, d’autres organismes ou des programmes gouvernementaux d’assistance sociale

I__I 6.29Ustensiles de cuisine, fourneau, ensemble de cuisine

I__I

6.30 Soins de santé/médicaments gratuits I__I 6.31 Vêtements, couvertures I__I

6.32 Microcrédit I__I 6.33 Moustiquaires I__I

6.34 Semences, engrais gratuits I__I 6.35 Ustensiles de cuisine I__I

6.36 Outils agricoles gratuits I__I 6.37 Bidons I__I

6.38 Fourrage, aliments pour animaux gratuits I__I 6.39 Autre assistance (préciser)

_____________________ I__I

291

AN

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Annexe 3: exemple de liste de référence des discussions avec les groupes de concertation

ÉVALUATION De LA SÉCURITÉ ALIMeNTAIRe eN SITUATION D’URGeNCe - DISCUSSIONS AVeC DeS GROUPeS De CONCeRTATION

Code de référence du questionnaire: I__I I__I I__I

Nom de la ville/du village: _______________ Code de la ville/du village: I__I Code de la région: I__I

Nom de la rue/du quartier: __________________ Code de la rue/du quartier: I__I I__I I__I[INCLUS UNIQUEMENT POUR LES ÉVALUATIONS EN MILIEU URBAIN]

Code de la grappe: I__I I__I Numéro de questionnaire destiné aux ménages: I__I I__I I__I

Date: I__I I__I / I__I I__I / I__I I__I I__I I__I Numéro d’équipe: I__I I__I jour mois année

Noms des enquêteurs: ___________________________ / _____________________________

Instructions destinées aux animateurs de la discussion:

• Demandez au chef du village/responsable du quartier de vous aider à réunir entre 5 et 12 personnes dans un lieu relativement discret.

• Dans chaque village, organisez une discussion avec uniquement des hommes OU uniquement des femmes OU un groupe mixte composé d’hommes et de femmes si cela est acceptable. [CHOISISSEZ LA COMPOSITION DES GROUPES AVANT L’ENQUÊTE, EN TENANT COMPTE DU CONTEXTE ET DES COUTUMES LOCALES.]

• Chaque discussion doit durer de préférence entre une heure et une heure et demie, sans excéder deux heures.

• La sélection des participants doit être effectuée en fonction du village/quartier. Dans la mesure du possible, les personnes du groupe doivent être représentatives des ménages moyens qui vivent dans le village/quartier (autrement dit, elles ne doivent pas être issues des ménages les plus déshérités, ni compter parmi les personnalités les plus éduquées, aisées et influentes). [CHOISISSEZ LE PROFIL DES PARTICIPANTS AVANT L’ENQUÊTE, EN TENANT COMPTE DES OBJECTIFS DE CELLE-CI.]

• Il faut demander aux pouvoirs publics et responsables locaux de ne pas assister à ces discussions, en leur indiquant qu’ils seront consultés séparément (utiliser le questionnaire des informateurs clés).

• Informez les participants que l’objectif de la discussion est d’en savoir plus sur la manière dont les personnes gagnent leur vie dans cette zone et comment elles font face aux difficultés. Expliquez-leur que ces renseignements sont importants pour comprendre les principaux problèmes, les solutions adoptées actuellement pour les résoudre et les difficultés qu’il reste à surmonter.

• Indiquez clairement aux personnes que leur participation à cette réunion n’entraînera pas automatiquement la fourniture d’une assistance à ce village/quartier en particulier et que les participants ne seront pas non plus forcément sélectionnés en tant que bénéficiaires. Précisez toutefois que les résultats seront communiqués à leurs supérieurs hiérarchiques, qui les utiliseront pour prendre les décisions appropriées.

• Dès qu’un sujet a été traité, prenez le temps de résumer les informations recueillies à l’aide de modèles standard (fournis).

• Le cas échéant (vérifiez auprès du chef du village/responsable du quartier), demandez aux participants de se présenter. Soulignez toutefois qu’il est important que les participants ne parlent pas pour leur propre compte et qu’ils exposent la situation de la majorité des ménages dans le village/quartier, telle qu’ils la perçoivent.

• Commencez par deux ou trois questions générales pour mettre les personnes à l’aise. Exemple:Je vais commencer par me présenter, puis j’aimerais que chacun d’entre vous nous donne son nom et nous indique où il vit dans le village /quartier et s’il a déjà participé à une discussion de ce type auparavant.

Annexes / Annexe 3: Exemple de liste de référence des discussions avec les groupes de concertation

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition292

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293

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2.2

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Annexes / Annexe 3: Exemple de liste de référence des discussions avec les groupes de concertation

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition294

2.2

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295

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Annexes / Annexe 3: Exemple de liste de référence des discussions avec les groupes de concertation

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition296

3.3

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ts 1

.2 e

t 2.

2)

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3.4

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Annexes / Annexe 3: Exemple de liste de référence des discussions avec les groupes de concertation

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition298

3.6

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Annexes / Annexe 3: Exemple de liste de référence des discussions avec les groupes de concertation

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition300

4.4

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301

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Annexe 4: Principaux avantages et inconvénients des options d’intervention sélectionnées

Type d’intervention Avantages Inconvénients

Réponse aux problèmes d’inadéquation de l’accès à la nourriture pour tout ou partie des ménages

Transferts alimentaires: distribution gratuite de vivres, Vivres contre travail (VCT)

• Les vivres constituent une réponse directe aux déficits alimentaires et aux carences nutritionnelles. Ils seront probablement consommés, car ils s’échangent moins facilement que les espèces.

• Au niveau des ménages, la nourriture est généralement gérée par les femmes.

• Les transferts alimentaires sont efficaces et nécessaires lorsque les marchés ne parviennent pas à satisfaire l’ensemble des besoins de la population.

• La distribution de vivres est souvent coûteuse en raison des frais généraux de transport, d’entreposage et d’administrationi.

• Les colis de vivres sont encombrants et difficiles à transporter pour les bénéficiaires; ces derniers peuvent avoir à supporter d’importants coûts de transport lorsque les points de distribution sont éloignés de leur domicile.

• On constate parfois des retards de distribution quand la chaîne logistique jusqu’au point de distribution est longue.

• Si les distributions sont importantes et maintenues pendant longtemps dans une zone où les paysans essaient de vendre leur production, elles risquent de perturber le marché et l’économie de la zone, de réduire le revenu des producteurs locaux et de constituer un facteur dissuasif pour la production vivrière locale à venir.

• Les produits alimentaires disponibles peuvent ne pas répondre à l’ensemble des besoins nutritionnels des populations ou ne pas satisfaire les préférences et les goûts locaux.

• Les vivres peuvent devenir une arme en cas de conflit, et les factions belligérantes peuvent imposer des obstacles administratifs.

Transferts monétaires: distribution d’espèces, Espèces contre travail (ECT)

• Les espèces permettent aux ménages de définir leurs propres priorités de dépenses.

• Lorsque certains produits alimentaires sont disponibles sur le marché, la distribution d’espèces peut venir en complément de celle de vivres et permettre aux bénéficiaires de compenser le manque de variété des rations alimentaires.

• Les transferts monétaires peuvent être inclus dans un ensemble mixte d’activités de redressement, afin d’aider les personnes à reconstituer leurs moyens de subsistance et d’appuyer un processus de survie.

• Les injections de liquidités peuvent stimuler l’économie et favoriser la productivité.

• Les transferts monétaires présentent un meilleur rapport coût-efficacité que d’autres options d’intervention, car les coûts de distribution sont peu élevés.

• Les espèces ne peuvent pas être utilisées dans une économie de troc, mais uniquement dans une économie monétaire.

• Le ciblage peut être difficile, car les espèces intéressent tout le monde.

• Les injections de liquidités peuvent être vecteurs d’inflation si les commerçants des marchés ne veulent ou ne peuvent pas augmenter l’approvisionnement immédiatement.

• Les femmes sont généralement chargées de nourrir la famille, mais peuvent ne pas avoir le contrôle de l’argent ni des choix de dépense.

• Les donateurs peuvent être plus réticents à l’idée de distribuer des espèces plutôt que des vivres, surtout quand les sommes requises sont importantes.

.../...i. Les coûts correspondant au transport, à l’entreposage et à la manutention des produits alimentaires de base, entre leur point d’origine et le site de distribution, s’élèvent souvent à plusieurs fois le coût des produits mêmes, notamment en cas de longues distances et de problèmes logistiques.

Annexes / Annexe 4: Principaux avantages et inconvénients des options d’intervention sélectionnées

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition302

Type d’intervention Avantages Inconvénients

Projets de travaux publics: VCT, ECT

• Les projets de travaux fournissent des emplois aux chômeurs, ce qui leur donne des avantages sur le plan tant psychologique qu’économique.

• Ils peuvent contribuer à améliorer les disponibilités alimentaires et l’accès à la nourriture pour l’ensemble de la communauté en créant soit un avoir commun via des activités VCT ou ECT, soit les conditions d’un rétablissement par des activités Vivres pour le redressement (VPR).

• Certains projets de travaux entraînent un autociblage (seules les personnes qui en ont réellement besoin y participent).

• Les projets de travaux de grande ampleur sont difficiles à organiser rapidement dans des conditions de crise aiguë, la gestion des demandes administratives étant souvent impossible en situation d’urgence. Ils sont plus adaptés aux crises à évolution lente, à la phase de redressement consécutive aux catastrophes naturelles soudaines et aux situations d’urgence complexes prolongées, lorsque les conditions de sécurité le permettent.

• Les projets de travaux sont sans effet pour les ménages qui ne comptent plus aucun adulte valide ou pour ceux dont tous les membres physiquement aptes sont occupés à plein temps, par exemple pour préparer et ensemencer la terre en vue de la prochaine récolte.

• Ils risquent d’accroître la charge pesant sur les femmes si celles-ci doivent effectuer ces travaux.

Appui aux moyens de subsistance

Projets d’appui aux moyens de subsistance

• Les projets d’appui aux moyens de subsistance protègent la sécurité alimentaire à long terme et favorisent le redressement et l’autonomie.

• Ils reposent sur les ressources existant aux niveaux des ménages et des communautés.

• Ils s’attaquent à certaines causes profondes de l’insécurité alimentaire et de la pauvreté, et servent à ce titre de mesures de prévention de l’insécurité alimentaire future.

• Les projets d’appui aux moyens de subsistance peuvent ne pas répondre aux besoins des ménages indigents qui ne possèdent aucun avoir matériel et/ou ne sont pas économiquement actifs.

• Ces projets sont parfois inadaptés lorsque les personnes sont coupées de leur base de subsistance, encore qu’une formation permettant de maîtriser des moyens de subsistance futurs puisse être pertinente dans ce cas.

• Ils peuvent être difficiles (mais pas impossibles) à mettre en œuvre en cas de conflit ou de crise politiqueii.

• Ils nécessitent une planification rigoureuse, une gestion attentive et, souvent, une phase pilote préalable à petite échelle. Ils peuvent être difficiles à mettre en place à grande échelle.

.../...

ii. A Critical Review of Approaches to Assessing and Monitoring Livelihoods in Situations of Chronic Conflict and Political Instability (SCCPI), de S. Jaspars et J. Shoham, Institut britannique de développement outre-mer (ODI), document de travail n° 191, 2002. Londres, ODI.

303

AN

NE

XE

S

Type d’intervention Avantages Inconvénients

Réponse aux problèmes de nutrition ou d’inadéquation d’accès à la nourriture de certaines personnes

Alimentation scolaire

• Si les enfants/adolescents ne sont pas suffisamment nourris chez eux, l’alimentation scolaire augmente la qualité et la quantité de leurs apports alimentaires, à condition que la part servie à la maison ne soit pas réduite d’autant.

• Si les aliments sont enrichis, l’apport en micronutriments des enfants en est amélioré.

• Les repas pris à l’école permettent de réduire la faim et d’aider les enfants à se concentrer en classe.

• L’alimentation scolaire peut maintenir et augmenter la fréquentation, mais aussi réduire et prévenir l’abandon des études, particulièrement en période de crise. Il est ainsi possible d’améliorer les résultats de l’enseignement ainsi que l’efficacité de l’école comme canal de mise en place de mesures sanitaires telles que le déparasitage.

• L’alimentation scolaire et ses répercussions sur la fréquentation et l’apprentissage peuvent favoriser un sentiment de normalité dans la communauté.

• Dans les communautés déplacées, l’alimentation scolaire permet de cibler les enfants d’âge scolaire dont les besoins nutritionnels de base ne sont pas satisfaits par la ration générale.

• Il peut se produire des erreurs d’exclusion: l’alimentation scolaire ne profite qu’aux enfants qui fréquentent l’école. Certains (parfois de nombreux) enfants issus des ménages les plus pauvres et les plus touchés par l’insécurité alimentaire ne sont pas scolarisés et ne tirent donc aucun profit des programmes d’alimentation scolaire.

• Il peut se produire des erreurs d’inclusion: l’alimentation scolaire cible tous les enfants scolarisés. Certains d’entre eux, issus de ménages en situation de sécurité alimentaire, peuvent ainsi recevoir l’aide.

Supplémentation alimentaire dans un centre

• Le personnel observe la nourriture consommée et est en contact plus régulier avec les mères ou les accompagnants, ce qui lui permet d’aider plus efficacement les personnes à se rétablir.

• L’alimentation sur site entraîne un coût pour les mères ou les accompagnants en raison du temps qu’elle leur demande.

• Ce type d’aide est plus coûteux pour l’organisme d’exécution.

• Il existe un risque de transmission des infections dans les centres d’alimentation bondés.

• Les bénéficiaires peuvent voir leur ration diminuée à la maison en raison du supplément reçu par ailleurs.

Supplémentation alimentaire à emporter

• Le coût d’opportunité pour les mères ou les soignants/aides en termes de temps passé est inférieur à celui d’une supplémentation alimentaire dans un centre.

• Ce type d’aide est moins coûteux pour l’organisme d’exécution et plus rapide à mettre en œuvre.

• Il est probable que les aliments fournis seront partagés entre les membres du ménage; il convient donc d’en distribuer davantage pour tenir compte de ce fait.

• Il existe un risque potentiel d’insécurité.

Annexes / Annexe 4: Principaux avantages et inconvénients des options d’intervention sélectionnées

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition304

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our

met

tre

en œ

uvre

rap

idem

ent

un p

roje

t d

’aid

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n al

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taire

son

t-el

les

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Dis

pos

e-t-

on d

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arte

naire

s, d

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qui

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ents

et

des

intr

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tec

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néce

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res,

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ion

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curit

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t-el

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istiq

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nom

bre

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mén

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s ne

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un p

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t d

’aid

e p

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emp

loi,

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es

mén

ages

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ent

prin

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alem

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fem

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es e

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d

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t

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rap

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atio

n to

uché

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Situ

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n sa

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ire d

e la

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ulat

ion

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hée.

• la

pop

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il n’

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s oc

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les

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pop

ulat

ion

touc

hée.

En

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alim

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s p

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ns s

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r si

les

cond

ition

s ci

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sus

sont

rem

plie

s.

305

AN

NE

XE

S

Informations complémentaires nécessaires pour concevoir un programme de distribution gratuite générale ou ciblée de vivres:• Nombre et localisation des bénéficiaires.• Durée de l’intervention.• Rôles respectifs des hommes et des femmes, et schémas de répartition intrafamiliale. • Capacité de se déplacer à l’extérieur du ménage.• Situation au regard de la sécurité. • Calendriers saisonniers, quotidiens et hebdomadaires des hommes, des femmes et des enfants, afin d’éviter

que les distributions ne perturbent les activités économiques ou autres. • Habitudes alimentaires de la population ciblée, denrées de base préférées et substituts jugés acceptables

par cette population, habitude de consommation/acceptation des produits distribués.• Accès des ménages à du combustible pour la préparation des aliments proposés, et capacité de stocker ces

aliments.• Besoins en micronutriments, afin de juger de la nécessité d’une alimentation enrichie. • Points de distribution possibles et système de distribution approprié.• Médias et réseaux communautaires disponibles pour faire connaître les conditions donnant droit aux rations

et les arrangements de distribution.• Capacités (personnel, équipements et administration) des partenaires en matière de systèmes de distribution

et de suivi.• Infrastructures (routes, capacité d’entreposage et installations de meunerie, si nécessaire).• Besoins de la population d’accueil lorsque les distributions sont destinées à des personnes déplacées.

Annexes / Annexe 5: Principales options d’intervention et informations nécessaires pour juger de leur adéquation

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition306

Op

tio

n d

’inte

rven

tio

nS

itua

tio

ns p

oss

ible

sIn

form

atio

ns n

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n en

visa

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cont

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• N

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s d

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• le

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varié

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ind

ique

que

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t

• D

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s al

imen

taire

s ac

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nce

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tuel

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défi

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alim

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l ou

nat

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l - r

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(s) d

éfici

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tend

ance

s et

éla

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ité d

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de

pro

dui

ts a

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s su

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nnée

, et

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ant

sur

l’évo

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pos

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s d

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s su

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pro

visi

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men

t al

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taire

-

cap

acité

des

act

eurs

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irs p

ublic

s ou

com

mer

çant

s) à

com

ble

r un

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et

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pos

sib

le d

es in

terv

enan

ts h

uman

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s d

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l’ap

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au

gouv

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t ou

au

sect

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priv

é.

• le

s m

énag

es e

n si

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ion

d’in

sécu

rité

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enta

ire c

omp

tent

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per

sonn

es v

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es

et s

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emp

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u so

us-e

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loyé

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e q

ui

sign

ifie

qu’

il ex

iste

un

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den

t d

e m

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d’œ

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dan

s le

s m

énag

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iblé

s; e

t

• C

omp

ositi

on d

es m

énag

es e

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tuat

ion

d’in

sécu

rité

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enta

ire: n

omb

re m

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d

e p

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nnes

val

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par

mén

age;

pou

rcen

tage

des

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s le

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aucu

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re v

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e n’

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dis

pon

ible

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Car

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l’em

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ier,

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ant

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• d

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s so

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ou

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t.•

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néc

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tant

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d’œ

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et

susc

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les

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limen

taire

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e et

aux

ser

vice

s d

estin

és a

ux m

énag

es e

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ion

d’in

sécu

rité

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enta

ire.

• le

s in

tran

ts n

on a

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taire

s né

cess

aire

s,

tels

que

les

mat

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uip

emen

t et

la

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sion

tec

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• D

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alim

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ires,

des

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ts e

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u p

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• le

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aprè

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• il

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rend

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qui

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ages

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ale

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rem

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en é

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t b

eauc

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mai

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’œuv

re.

• D

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onib

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mén

ages

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situ

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taire

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term

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mis

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éta

t.

iii.

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les:

rép

arat

ion

d’in

fras

truc

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s en

dom

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ées

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réat

ion

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voirs

mat

érie

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que

des

rou

tes,

des

éco

les

et d

es s

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rigat

ion.

307

AN

NE

XE

S

Informations complémentaires nécessaires pour concevoir un projet VCT: • Nombre de bénéficiaires/travailleurs ciblés. • Disponibilité de travaux publics profitant à la communauté et renforçant la sécurité alimentaire à long

terme.• Calendrier souhaitable/envisageable des travaux, caractéristiques saisonnières à prendre en compte. • Emplacements des sites possibles de travaux publics. • Capacités (personnel, équipements, systèmes d’administration et de suivi) des partenaires dans le domaine

de la planification et de la mise en œuvre des activités.• Situation au regard de la sécurité.• Rôles respectifs des hommes et des femmes, et conséquences sur la participation à des travaux publics

selon le moment.• Salaires journaliers locaux et valeur de transfert des produits de base, afin de déterminer la rémunération en

produits alimentaires d’une activité VCT. • Attrait des aliments de base disponibles.• Médias et réseaux communautaires disponibles pour faire connaître le projet.• Infrastructures (routes, capacité d’entreposage, installations de meunerie) permettant la livraison des

produits alimentaires de base et des matériaux nécessaires aux activités de travaux publics.• Propriété des avoirs créés.• Répercussions environnementales possibles des projets de travaux publics.

En présence de populations importantes de personnes déplacées, les opportunités d’emploi doivent être proposées à la fois aux personnes déplacées et aux groupes de la population d’accueil qui sont en situation d’insécurité alimentaire; les activités ne doivent pas se dérouler au détriment de la population locale.

Informations complémentaires nécessaires pour concevoir un projet VPR: • Nombre de bénéficiaires/travailleurs ciblés. • Emplacements des sites possibles de travaux publics. • Capacités des partenaires dans le domaine de la planification et de la gestion des distributions.• Salaires journaliers locaux et valeur de transfert des produits de base, afin de déterminer la rémunération en

produits alimentaires d’une activité VPR.

Annexes / Annexe 5: Principales options d’intervention et informations nécessaires pour juger de leur adéquation

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition308

Op

tio

n d

’inte

rven

tio

nS

itua

tio

ns p

oss

ible

sIn

form

atio

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visa

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Situ

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• N

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ie d

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es.

• la

zon

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ossè

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des

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pon

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alim

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ires;

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• D

isp

onib

ilité

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niv

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x) lo

cal,

infr

anat

iona

l ou

nat

iona

l - r

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ns d

e ce

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éfici

t(s),

tend

ance

s et

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dui

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limen

taire

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l’évo

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e;-

pos

sib

ilité

s d

e so

urce

s su

bst

itutiv

es d

’ap

pro

visi

onne

men

t al

imen

taire

-

cap

acité

des

act

eurs

loca

ux (p

ouvo

irs p

ublic

s ou

com

mer

çant

s) à

com

ble

r un

défi

cit,

et

rôle

pos

sib

le d

es in

terv

enan

ts h

uman

itaire

s d

ans

l’ap

pui

aux

p

ouvo

irs p

ublic

s ou

au

sect

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priv

é.

• le

s m

énag

es e

n si

tuat

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d’in

sécu

rité

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enta

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tent

des

per

sonn

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et s

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loi o

u so

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es, c

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sign

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il ex

iste

un

excé

den

t d

e m

ain-

d’œ

uvre

dan

s le

s m

énag

es c

iblé

s; e

t

• C

omp

ositi

on d

es m

énag

es e

n si

tuat

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d’in

sécu

rité

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omb

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par

mén

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• d

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re e

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scep

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séc

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me

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ux s

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m

énag

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n si

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sécu

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• le

s in

tran

ts n

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s né

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s,

tels

que

les

équi

pem

ents

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la s

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visi

on

tech

niq

ue, p

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nt ê

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four

nis.

• C

apac

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des

par

tena

ires

dan

s le

dom

aine

de

la p

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pro

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ibili

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tran

ts m

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u p

erso

nnel

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que

néc

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ires)

.

309

AN

NE

XE

S

Informations complémentaires nécessaires pour concevoir un projet eCT:• Nombre de bénéficiaires/travailleurs ciblés.• Localisation des travaux publics à entreprendre.• Situation au regard de la sécurité.• Rôles respectifs des hommes et des femmes.• Salaires journaliers locaux et coût de la vie, y compris les frais médicaux et les frais d’obsèques dans les

zones où les répercussions du VIH/sida sont lourdes, afin de déterminer la rémunération d’une activité ECT.

• Calendrier et durée des activités. • Calendrier de paiement.• Durée probable du projet.• Médias et réseaux communautaires disponibles pour faire connaître le projet.• Capacités (personnel, équipements et systèmes d’administration et de suivi) des partenaires. • Présence de banques.• Avantages des travaux publics pour la sécurité alimentaire à long terme.• Propriété des avoirs créés par ces travaux publics.• Répercussions environnementales des travaux publics.

En présence de populations importantes de personnes déplacées, les opportunités d’emploi doivent être proposées à la fois aux personnes déplacées et aux groupes de la population d’accueil qui sont en situation d’insécurité alimentaire; les activités ne doivent pas se dérouler au détriment de la population locale.

Annexes / Annexe 5: Principales options d’intervention et informations nécessaires pour juger de leur adéquation

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition310

Op

tio

n d

’inte

rven

tio

nS

itua

tio

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oss

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form

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sair

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e l’a

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visa

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Pro

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sfer

ts

mo

néta

ires

:d

istr

ibut

ion

d’e

spèc

es à

des

b

énéfi

ciai

res

cib

lés

Situ

atio

ns d

ans

lesq

uelle

s:

• le

s p

rod

uits

alim

enta

ires

sont

dis

pon

ible

s su

r le

s m

arch

és lo

caux

, mai

s le

s m

énag

es n

’ont

p

as le

s m

oyen

s d

e le

s ac

hete

r sa

ns e

ntam

er

leur

s av

oirs

ess

entie

ls; o

u

• P

rix s

ur le

s m

arch

és d

es a

limen

ts d

e b

ase

hab

ituel

s et

d’a

utre

s d

enré

es d

e b

ase

moi

ns a

pp

réci

ées.

• É

volu

tion

des

prix

.•

Rev

enu

et p

ouvo

ir d

’ach

at d

es m

énag

es e

n si

tuat

ion

d’in

sécu

rité

alim

enta

ire.

Pré

senc

e d

e gr

oup

es v

ulné

rab

les

ne p

artic

ipan

t p

as a

ux a

ctiv

ités

écon

omiq

ues.

• le

s co

ûts

d’a

pp

rovi

sion

nem

ent

et d

e tr

ansp

ort

des

pro

dui

ts a

limen

taire

s ju

squ’

à la

zon

e to

uché

e so

nt é

levé

s, m

ais

les

com

mer

çant

s ré

pon

dra

ient

à la

dem

and

e; o

u

• C

oûts

de

livra

ison

et

de

dis

trib

utio

n d

e l’a

ide

alim

enta

ire.

• C

omp

étiti

vité

et

inté

grat

ion

des

mar

chés

.•

Cap

acité

des

com

mer

çant

s à

rép

ond

re à

une

dem

and

e en

hau

sse.

• la

mob

ilisa

tion

de

l’aid

e al

imen

taire

pre

ndra

it b

eauc

oup

de

tem

ps;

ou

Dél

ai d

e liv

rais

on d

e l’a

ide

alim

enta

ire.

• l’o

bje

ctif

est

d’a

pp

uyer

le r

edre

ssem

ent

écon

omiq

ue a

utan

t q

ue la

sur

vie,

et

Per

spec

tives

de

red

ress

emen

t éc

onom

ique

en

l’ab

senc

e d

’inte

rven

tion.

• le

ris

que

infla

tionn

iste

d’u

ne in

ject

ion

de

liqui

dité

s es

t fa

ible

; et

Ris

que

d’in

flatio

n.

• le

s ca

pac

ités

néce

ssai

res

à la

ges

tion

du

pro

gram

me

sont

dis

pon

ible

s; e

t

• C

apac

ités

adm

inis

trat

ives

néc

essa

ires

à la

mis

e en

œuv

re d

u p

rogr

amm

e, t

elle

s q

ue le

sys

tèm

e b

anca

ire.

• C

apac

ités

de

suiv

i et

de

com

pta

bili

satio

n.

• le

s d

onat

eurs

son

t d

isp

osés

à a

pp

uyer

un

pro

gram

me

de

dis

trib

utio

n d

’esp

èces

.P

oliti

que

s d

éfini

es p

ar le

s d

onat

eurs

pot

entie

ls.

Bo

ns

d’a

limen

tati

on:

d

istr

ibut

ion

de

bon

s d

’alim

enta

tion

à d

es b

énéfi

ciai

res

cib

lés

Dan

s le

s si

tuat

ions

sim

ilaire

s à

celle

s d

écrit

es

pou

r le

s p

rogr

amm

es d

e tr

ansf

erts

mon

étai

res,

av

ec le

s d

iffér

ence

s su

ivan

tes:

les

don

ateu

rs n

e so

uhai

tent

pas

fina

ncer

d

es d

istr

ibut

ions

d’e

spèc

es, m

ais

acce

pte

nt

d’a

pp

uyer

un

dis

pos

itif d

e b

ons

d’a

limen

tatio

n;

et

Pol

itiq

ues

défi

nies

par

les

don

ateu

rs p

oten

tiels

.

• le

s d

étai

llant

s lo

caux

son

t d

isp

osés

à c

oop

érer

au

pro

gram

me

et à

acc

epte

r d

es b

ons

cont

re

un r

emb

ours

emen

t ul

térie

ur e

n es

pèc

es o

u en

na

ture

(pro

dui

ts a

limen

taire

s).

Pré

senc

e d

e d

étai

llant

s d

isp

osés

à c

oop

érer

.

.../.

..

311

AN

NE

XE

S

Op

tio

n d

’inte

rven

tio

nS

itua

tio

ns p

oss

ible

sIn

form

atio

ns n

éces

sair

es p

our

jug

er d

e l’a

déq

uati

on

de

l’op

tio

n en

visa

gée

Éch

ang

e d

e la

p

rod

ucti

on:

four

nitu

re

de

pro

dui

ts

alim

enta

ires

aux

mén

ages

ru

raux

tou

chés

en

éch

ange

de

la

pro

duc

tion

de

ces

mén

ages

, pou

r la

que

lle il

n’e

xist

e au

cun

mar

ché

loca

l

Situ

atio

ns d

ans

lesq

uelle

s:

• la

séc

here

sse

a en

traî

né la

mor

t d

’une

par

tie

des

tro

upea

ux e

t un

effo

ndre

men

t d

es p

rix d

u b

étai

l, p

laça

nt le

s p

aste

urs

dan

s un

e si

tuat

ion

extr

êmem

ent

diffi

cile

iv; o

u•

les

pay

sans

font

face

à u

ne p

énur

ie a

iguë

de

pro

dui

ts a

limen

taire

s et

ser

aien

t co

ntra

ints

de

cons

omm

er le

ur s

tock

de

sem

ence

sv ; ou

• le

s sy

stèm

es d

e co

mm

erci

alis

atio

n se

son

t ef

fond

rés,

de

sort

e q

ue le

s p

rod

ucte

urs

rura

ux

de

cultu

res

de

rap

por

t so

nt d

ans

l’im

pos

sib

ilité

d

e ve

ndre

leur

pro

duc

tion

et d

’ach

eter

des

vi

vres

vi.

• P

rix d

u b

étai

l et

évol

utio

n d

es p

rix.

• Te

rmes

de

l’éch

ange

bét

ail c

ontr

e cé

réal

es e

t au

tres

art

icle

s es

sent

iels

.•

Taux

de

mor

talit

é d

u b

étai

l.

• S

tock

s d

e se

men

ces

dét

enus

par

les

pay

sans

pau

vres

.•

Acc

ès d

es p

aysa

ns p

auvr

es à

l’al

imen

tatio

n.

• P

rob

lèm

e d

’inté

grat

ion

des

mar

chés

tou

chan

t d

es z

ones

et

des

pro

duc

tions

p

artic

uliè

res.

Pro

gra

mm

e d

’ass

ista

nce

aux

mar

chés

vii :

mis

e à

la d

isp

ositi

on

des

dét

ailla

nts

de

pro

dui

ts

alim

enta

ires

de

moi

ndre

sta

tut,

q

ui s

eron

t ve

ndus

à d

es p

rix

abor

dab

les

Situ

atio

ns d

ans

lesq

uelle

s:

• le

prix

des

alim

ents

de

bas

e ha

bitu

els

n’es

t p

lus

abor

dab

le p

our

bea

ucou

p e

n ra

ison

de

pén

urie

s et

de

l’infl

atio

n q

ui e

n d

écou

le; e

t

• P

rix s

ur le

s m

arch

és d

es a

limen

ts d

e b

ase

hab

ituel

s et

d’a

utre

s d

enré

es d

e b

ase

moi

ns a

pp

réci

ées.

• É

volu

tion

des

prix

(tau

x d

’infla

tion)

.•

Éca

rt d

e p

rix e

ntre

les

alim

ents

de

bas

e p

rinci

pau

x et

les

alim

ents

de

bas

e à

bas

p

rix.

• le

s ra

tions

gén

éral

es c

iblé

es n

e so

nt p

as

pos

sib

les,

not

amm

ent

dan

s le

s zo

nes

urb

aine

s; e

t

• O

ptio

ns d

’ass

ista

nce

cib

lant

dire

ctem

ent

les

mén

ages

en

situ

atio

n d

’insé

curit

é al

imen

taire

.

• le

s d

étai

llant

s so

nt in

tére

ssés

par

une

p

artic

ipat

ion

au p

rogr

amm

e; o

u•

Nom

bre

de

dét

ailla

nts

dis

pos

és à

par

ticip

er a

u p

rogr

amm

e.

• il

est

néce

ssai

re d

e re

vita

liser

le s

ecte

ur

meu

nier

. •

Exi

sten

ce d

e ca

pac

ités

de

meu

nerie

et

d’e

ntre

pos

age.

• C

apac

ité d

e p

rod

uctio

n d

’alim

ents

de

bas

e en

richi

s à

bas

prix

.

.../.

..

iv.

Dan

s ce

typ

e d

e si

tuat

ion,

il

est

pos

sib

le d

e d

istr

ibue

r d

es c

éréa

les

cont

re d

es b

êtes

(ré

duc

tion

du

trou

pea

u) e

t d

’util

iser

la

vian

de

dan

s d

’aut

res

activ

ités

de

pro

gram

me.

v. D

ans

ce t

ype

de

situ

atio

n, il

est

pos

sib

le d

e d

istr

ibue

r d

es c

éréa

les

en é

chan

ge d

es s

emen

ces,

pui

s d

e st

ocke

r ce

s d

erni

ères

et

de

les

red

istr

ibue

r à

tem

ps

pou

r la

ca

mp

agne

sui

vant

e.vi

. A

insi

, au

Moz

amb

ique

, dan

s le

s an

nées

80,

des

cér

éale

s on

t ét

é éc

hang

ées

cont

re d

es n

oix

de

cajo

u.vi

i. P

our

une

brè

ve d

escr

iptio

n d

’un

pro

gram

me

de

ce t

ype,

mis

en

œuv

re p

ar C

AR

E e

t ap

puy

é p

ar l’

US

AID

, con

sulte

z l’é

tud

e d

e ca

s M

AP

P-M

alaw

i sur

le D

VD

.

Annexes / Annexe 5: Principales options d’intervention et informations nécessaires pour juger de leur adéquation

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition312

Op

tio

n d

’inte

rven

tio

nS

itua

tio

ns p

oss

ible

sIn

form

atio

ns n

éces

sair

es p

our

jug

er d

e l’a

déq

uati

on

de

l’op

tio

n en

visa

gée

So

utie

n d

es

mar

chés

: ré

duc

tion

des

gou

lets

d

’étr

angl

emen

t lo

gist

ique

s ou

oc

troi

de

créd

its

aux

com

mer

çant

s

Situ

atio

ns d

ans

lesq

uelle

s:•

le m

auva

is é

tat

de

rout

es, d

e p

onts

ou

d’a

utre

s in

fras

truc

ture

s em

pêc

he le

s co

mm

erça

nts

d’a

pp

rovi

sion

ner

la z

one

à un

niv

eau

corr

ect;

ou

• E

mp

lace

men

t et

nat

ure

des

gou

lets

d’é

tran

glem

ent

logi

stiq

ues

qui

frei

nent

l’a

rriv

ée d

ans

la z

one

touc

hée

de

pro

dui

ts a

limen

taire

s p

rove

nant

d’a

utre

s p

artie

s d

u p

ays.

• Fa

isab

ilité

de

la r

emis

e en

éta

t/d

e l’a

mél

iora

tion

des

infr

astr

uctu

res

pou

r p

erm

ettr

e l’i

mp

orta

tion

dan

s la

rég

ion

de

plu

s gr

and

es q

uant

ités

de

nour

ritur

e.

• le

s co

mm

erça

nts

qui

ap

pro

visi

onne

raie

nt

norm

alem

ent

la z

one

en p

rod

uits

alim

enta

ires

sont

dan

s l’i

ncap

acité

de

le fa

ire e

n ra

ison

d’u

n m

anq

ue d

e m

oyen

s (c

réd

it) o

u d

’un

man

que

d

’acc

ès a

u ca

rbur

ant

et a

ux p

ièce

s d

étac

hées

.

• C

ontr

aint

es, a

utre

s q

ue lo

gist

ique

s, e

mp

êcha

nt le

s co

mm

erça

nts

qui

ap

pro

visi

onne

raie

nt e

n te

mp

s no

rmal

la z

one

en p

rod

uits

alim

enta

ires

de

four

nir

ou d

’aug

men

ter

cet

app

rovi

sion

nem

ent.

• S

olva

bili

té d

es c

omm

erça

nts

et e

xist

ence

d’u

n m

écan

ism

e (o

u p

ossi

bili

té d

’en

met

tre

un e

n p

lace

) per

met

tant

de

leur

pro

pos

er d

es c

réd

its e

t d

’ass

urer

les

rem

bou

rsem

ents

.

313

AN

NE

XE

S

Problèmes liés aux programmes de transferts monétairesL’expérience des programmes de transfert monétaires est relativement limitée; il reste donc un certain nombre d’inconnues sur ce type d’aide, notamment:• le niveau de pouvoir d’achat et l’éloignement de l’approvisionnement nécessaires pour être sûr qu’un flux

entrant de produits alimentaires ou d’autres articles s’établira;• le comportement des prix suite à une injection de liquidités;• le seuil d’apport de liquidités entraînant inévitablement une poussée inflationniste;• la façon dont les personnes dépensent l’argent dont elles disposent dans différentes circonstances (urgence/

absence d’urgence) selon leur sexe, leur statut économique, etc.;• les risques d’insécurité dans des situations de conflit et d’instabilité politique.

Problèmes liés aux programmes d’échange de la production• Les taux de change devraient normalement être fixes, compte tenu des prix relatifs sur les marchés locaux

avant l’urgence et au moment de l’intervention.• Les produits reçus en échange peuvent être utilisés dans des programmes de secours locaux ou être

transportés sur des marchés urbains pour y être vendus. Il peut arriver qu’ils soient rechargés dans les camions qui apportent l’aide alimentaire de secours dans la zone.

Annexes / Annexe 5: Principales options d’intervention et informations nécessaires pour juger de leur adéquation

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition314

Ap

pui

no

n al

imen

tair

e au

x ac

tivi

tés

de

sub

sist

ance

Op

tio

n d

’inte

rven

tio

nS

itua

tio

ns p

oss

ible

sIn

form

atio

ns n

éces

sair

es p

our

jug

er d

e l’a

déq

uati

on

de

l’op

tio

n en

visa

gée

Ap

pui

no

n al

imen

tair

e au

x ac

tivi

tés

de

sub

sist

ance

: fo

urni

ture

d

’intr

ants

et

de

serv

ices

de

pro

duc

tionvi

ii afin

d

e re

cons

titue

r /

rem

ettr

e en

éta

t le

s av

oirs

mat

érie

ls

des

per

sonn

es

et d

es m

énag

es

en s

ituat

ion

d’in

sécu

rité

alim

enta

ire, m

ais

écon

omiq

uem

ent

actif

s

Situ

atio

ns d

ans

lesq

uelle

s:

• le

s m

énag

es c

iblé

s on

t ac

cès

au s

tock

de

ress

ourc

es n

atur

elle

s; e

t•

Acc

ès d

es m

énag

es a

u st

ock

de

ress

ourc

es n

atur

elle

s, s

truc

ture

s d

e p

rop

riété

.

• le

s m

énag

es c

iblé

s m

anq

uent

d’in

tran

ts d

e p

rod

uctio

n; e

t

• S

tock

s d

’intr

ants

de

pro

duc

tion

des

mén

ages

, en

tem

ps

norm

al e

t m

aint

enan

t.•

Cap

acité

des

mén

ages

à a

chet

er d

es in

tran

ts d

e p

rod

uctio

n (s

chém

as d

e d

épen

se, a

voirs

, acc

ès a

u cr

édit)

.

• le

s in

tran

ts d

e p

rod

uctio

n d

e la

qua

lité

voul

ue

ne s

ont

pas

dis

pon

ible

s; e

t•

Dis

pon

ibili

té d

es in

tran

ts d

e p

rod

uctio

n d

e q

ualit

é sa

tisfa

isan

te s

ur le

s m

arch

és

loca

ux.

• ce

man

que

lim

ite o

u lim

itera

la p

rod

uctio

n.

• N

ivea

ux d

e p

rod

uctio

n, n

orm

aux

et a

ctue

ls.

• Fa

cteu

rs in

fluan

t su

r le

s ni

veau

x d

e p

rod

uctio

n: a

ccès

au

stoc

k d

e re

ssou

rces

na

ture

lles,

dis

pon

ibili

té d

e la

mai

n-d

’œuv

re, s

ituat

ion

au r

egar

d d

e la

séc

urité

et

/ou

accè

s au

x in

tran

ts d

e p

rod

uctio

n et

dis

pon

ibili

té d

e ce

ux-c

i.

viii

Les

intr

ants

de

pro

duc

tion

peu

vent

com

pre

ndre

des

sem

ence

s, d

es o

utils

, une

irrig

atio

n, d

u fo

urra

ge o

u d

’aut

res

pro

dui

ts n

éces

saire

s à

l’éle

vage

. Les

ser

vice

s p

euve

nt

incl

ure

des

soi

ns v

étér

inai

res,

une

vul

garis

atio

n, l

’am

élio

ratio

n d

e l’a

ccès

aux

pât

urag

es e

t au

x se

rvic

es fi

nanc

iers

, te

ls q

ue d

es p

rêts

d’u

rgen

ce a

ux p

erso

nnes

et

aux

mén

ages

en

situ

atio

n d

’insé

curit

é al

imen

taire

, quo

ique

éco

nom

ique

men

t ac

tifs,

pou

r la

rec

onst

itutio

n ou

la r

emis

e en

éta

t d

e le

urs

avoi

rs m

atér

iels

.

315

AN

NE

XE

S

Informations complémentaires nécessaires pour concevoir un projet d’appui aux moyens de subsistance: • Nombre et répartition géographique des bénéficiaires. • Durée probable du projet.• Situation au regard de la sécurité.• Rôles respectifs des hommes et des femmes.• Calendrier saisonnier des activités de subsistance. • Calendrier de distribution des intrants prévus dans le projet. • Médias et réseaux communautaires disponibles pour faire connaître le projet.• Capacités (personnel, équipements et systèmes d’administration et de suivi) des partenaires. • Répercussions environnementales du projet.• Accès à des marchés et des banques en fonctionnement, notamment pour les projets de microfinancement.

Annexes / Annexe 5: Principales options d’intervention et informations nécessaires pour juger de leur adéquation

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition316

Op

tio

n d

’inte

rven

tio

nS

itua

tio

ns p

oss

ible

sIn

form

atio

ns n

éces

sair

es p

our

jug

er d

e l’a

déq

uati

on

de

l’op

tio

n en

visa

gée

Alim

enta

tio

n sc

ola

ire:

fo

urni

ture

à l’

écol

e d

’un

rep

as o

u d

’une

col

latio

n nu

triti

onne

llem

ent

équi

libré

(e)

aux

enfa

nts

/ ad

oles

cent

s;

dis

trib

utio

n d

e ra

tions

à e

mp

orte

r au

x en

fant

s /

adol

esce

nts

fréq

uent

ant

l’éco

le

Situ

atio

ns d

ans

lesq

uelle

s:•

la fr

éque

ntat

ion

scol

aire

est

faib

le e

t un

rep

as

à l’é

cole

pou

rrai

t en

cour

ager

l’as

sid

uité

des

fil

les

com

me

des

gar

çons

; ou

• Ta

ux d

e sc

olar

isat

ion

et t

aux

d’a

ssid

uité

des

fille

s et

des

gar

çons

.•

Coû

t d

’op

por

tuni

té s

upp

orté

par

les

mén

ages

qui

sco

laris

ent

leur

s en

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s,

et é

valu

atio

n d

e l’u

tilité

d’u

ne d

istr

ibut

ion

de

ratio

ns p

our

inci

ter

les

par

ents

à

envo

yer

leur

s en

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s ré

guliè

rem

ent

à l’é

cole

. •

les

résu

ltats

sco

laire

s so

nt fa

ible

s p

arce

que

le

s en

fant

s q

ui fr

éque

nten

t l’é

cole

ont

faim

, ne

son

t p

as a

ssez

nou

rris

che

z eu

x et

/ou

ont

un r

égim

e al

imen

taire

insu

ffisa

mm

ent

varié

, et

care

ncé

en m

icro

nutr

imen

ts e

ssen

tiels

; ou

• C

onso

mm

atio

n al

imen

taire

des

enf

ants

(acc

ès à

l’al

imen

tatio

n d

es fa

mill

es

d’e

nfan

ts s

cola

risés

, sch

émas

de

rép

artit

ion

intr

afam

ilial

e et

div

ersi

té d

u ré

gim

e al

imen

taire

).•

Rés

ulta

ts s

cola

ires

et r

aiso

ns a

vanc

ées

par

les

ense

igna

nts

pou

r ex

pliq

uer

les

mau

vais

es p

erfo

rman

ces.

• un

e fr

éque

ntat

ion

scol

aire

rég

uliè

re p

ourr

ait

aid

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s en

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s à

surm

onte

r un

tra

umat

ism

e p

sych

osoc

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u à

réd

uire

leur

exp

ositi

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ux

sévi

ces

et à

l’ex

plo

itatio

n, e

t l’a

limen

tatio

n sc

olai

re p

ourr

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enco

urag

er e

t p

erm

ettr

e ce

tte

assi

dui

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t

• N

ivea

u d

e st

ress

sub

i par

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enfa

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tend

ue d

u tr

aum

atis

me

psy

chos

ocia

l, d

’ap

rès

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rap

por

ts d

es t

rava

illeu

rs s

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ux e

t d

es e

nsei

gnan

ts fo

rmés

.•

Ris

que

s d

e sé

vice

s et

d’e

xplo

itatio

n au

xque

ls s

ont

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osés

les

enfa

nts.

• le

s éc

oles

dis

pos

ent

des

inst

alla

tions

de

bas

e né

cess

aire

s au

sto

ckag

e et

à la

pré

par

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n d

es a

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ts; e

t •

les

ense

igna

nts

et le

s co

mité

s d

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aren

ts

sont

dés

ireux

et

ont

la c

apac

ité d

’org

anis

er la

p

rép

arat

ion

et la

dis

trib

utio

n d

es a

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ts; e

t

• C

apac

ités

des

éco

les

en m

atiè

re d

e st

ocka

ge e

t d

e p

rép

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ion

des

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ents

(p

erso

nnel

dis

pon

ible

, com

bus

tible

pou

r la

cui

sson

, ust

ensi

les

de

cuis

ine

et

esp

ace

de

stoc

kage

, acc

ès à

de

l’eau

pot

able

et

inst

alla

tions

d’a

ssai

niss

emen

t co

rrec

tes)

.

• en

cas

de

mis

e en

œuv

re d

’un

pro

gram

me

de

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trib

utio

n gé

néra

le d

e ra

tions

, l’a

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tatio

n sc

olai

re e

st p

révu

e co

mm

e fa

isan

t p

artie

in

tégr

ante

de

la s

trat

égie

glo

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’ass

ista

nce

alim

enta

ire.

• S

trat

égie

glo

bal

e d

’ass

ista

nce

à la

séc

urité

alim

enta

ire.

• B

esoi

ns n

utrit

ionn

els

des

enf

ants

d’â

ge s

cola

ire.

Une

alim

enta

tion

pré

scol

aire

peu

t êt

re a

pp

rop

riée

dan

s le

s si

tuat

ions

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s le

sque

lles:

• le

s en

fant

s d

’âge

pré

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aire

ont

des

bes

oins

nu

triti

onne

ls p

artic

ulie

rs a

uxq

uels

une

rat

ion

géné

rale

sta

ndar

d n

e ré

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d p

as; e

t•

ces

enfa

nts

fréq

uent

ent

des

éta

blis

sem

ents

p

résc

olai

res.

• B

esoi

ns n

utrit

ionn

els

des

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ants

d’â

ge p

résc

olai

re.

• C

apac

ités

des

éco

les

en m

atiè

re d

e st

ocka

ge e

t d

e p

rép

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ion

des

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ents

(p

erso

nnel

dis

pon

ible

, com

bus

tible

pou

r la

cui

sson

, ust

ensi

les

de

cuis

ine

et

esp

ace

de

stoc

kage

, acc

ès à

de

l’eau

pot

able

et

inst

alla

tions

d’a

ssai

niss

emen

t co

rrec

tes)

.

À t

itre

exce

ptio

nnel

, une

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enta

tion

scol

aire

p

eut

être

ap

pro

prié

e d

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les

situ

atio

ns d

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lesq

uelle

s:•

des

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ants

/ a

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esce

nts

plu

s âg

és o

nt d

es

bes

oins

nut

ritio

nnel

s p

artic

ulie

rs a

uxq

uels

une

ra

tion

géné

rale

sta

ndar

d n

e ré

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d p

as; e

t•

ces

enfa

nts

/ ad

oles

cent

s fr

éque

nten

t l’é

cole

.

• B

esoi

ns n

utrit

ionn

els

des

enf

ants

/ a

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esce

nts

plu

s âg

és, e

n fo

nctio

n d

e le

ur

taill

e et

de

leur

niv

eau

d’a

ctiv

ité.

• E

xist

ence

d’é

cole

s.•

Pro

fil d

es é

lève

s.

317

AN

NE

XE

S

Informations complémentaires nécessaires pour concevoir un programme d’alimentation scolaire: • Nombre de centres d’apprentissage sûrs.• Nombre d’écoles opérationnelles et non opérationnelles dans la zone.• Couvertures sociale et géographique des écoles.• Nombre d’enfants à nourrir.• Durée probable de l’intervention.• Préférences alimentaires et disponibilité des denrées acceptables susceptibles d’être préparées à l’école.• Rôles respectifs des hommes et des femmes et besoins spécifiques des filles.• Répercussions environnementales (du type de fourneaux utilisé par exemple).• Disposition de la communauté à participer.• Situation au regard de la sécurité.• Infrastructures (routes, capacité d’entreposage, installations de meunerie, approvisionnement en eau et

assainissement).• Capacité des partenaires à fournir les intrants complémentaires.

Annexes / Annexe 5: Principales options d’intervention et informations nécessaires pour juger de leur adéquation

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition318

Op

tio

n d

’inte

rven

tio

nS

itua

tio

ns p

oss

ible

sIn

form

atio

ns n

éces

sair

es p

our

jug

er d

e l’a

déq

uati

on

de

l’op

tio

n en

visa

gée

Viv

res

four

nis

à d

’aut

res

étab

lisse

men

ts

de

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ice

soci

al:

orp

helin

ats,

fo

yers

pou

r le

s p

erso

nnes

âgé

es

ou h

and

icap

ées,

pita

ux e

t ce

ntre

s d

e sa

nté,

p

ar e

xem

ple

Situ

atio

ns d

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lesq

uelle

s:•

les

étab

lisse

men

ts d

e se

rvic

e so

cial

n’o

nt p

as

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ress

ourc

es n

éces

saire

s p

our

assu

rer

une

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enta

tion

adéq

uate

à le

urs

pat

ient

s ou

à

leur

s ré

sid

ents

; et

• le

s fa

mill

es d

es r

ésid

ents

n’o

nt p

as a

ccès

à

suffi

sam

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t d

e vi

vres

pou

r le

s no

urrir

; et

• Q

uant

ité e

t q

ualit

é d

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enré

es a

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taire

s d

isp

onib

les

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s ch

aque

ét

ablis

sem

ent

par

rap

por

t au

nom

bre

de

rési

den

ts, r

égim

e al

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taire

de

ces

rési

den

ts.

• É

tat

nutr

ition

nel e

t ét

at d

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nté

des

rés

iden

ts.

• N

ivea

ux a

ctue

ls d

’acc

ès à

l’al

imen

tatio

n d

es fa

mill

es d

es r

ésid

ents

:•

qua

ntité

/typ

e d

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vres

ob

tenu

s p

ar le

s m

écan

ism

es n

orm

aux;

• ni

veau

x ac

tuel

s d

e co

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mat

ion;

• p

éren

nité

des

str

atég

ies

utili

sées

par

les

fam

illes

pou

r fa

ire fa

ce à

la s

ituat

ion.

• le

per

sonn

el e

t le

s in

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latio

ns n

éces

saire

s au

st

ocka

ge e

t à

la p

rép

arat

ion

des

alim

ents

son

t as

suré

s d

ans

chaq

ue é

tab

lisse

men

t.

• P

our

chaq

ue é

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lisse

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t: in

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latio

ns d

e cu

isin

e, e

spac

e d

e st

ocka

ge,

uste

nsile

s d

e cu

isin

e et

per

sonn

el d

isp

onib

les

pou

r p

rép

arer

et

faire

cui

re le

s al

imen

ts.

Pro

gra

mm

es

de

soin

s d

e p

roxi

mit

éix:

des

tinés

aux

en

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s no

n ac

com

pag

nés,

au

x or

phe

lins

et

aux

autr

es e

nfan

ts

vuln

érab

les

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s le

s zo

nes

de

fort

e p

réva

lenc

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u V

IH/s

ida

Situ

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ns d

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lesq

uelle

s:•

la p

and

émie

de

VIH

/sid

a a

géné

ré u

n gr

and

nom

bre

d’o

rphe

lins

et a

utre

s en

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s vu

lnér

able

s; e

t•

les

com

mun

auté

s p

eine

nt à

s’o

ccup

er d

e ce

s en

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s et

de

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bre

ux e

nfan

ts d

’âge

p

résc

olai

re d

isp

osen

t de

très

peu

d’a

limen

ts; e

t•

les

cent

res

de

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s d

e p

roxi

mité

offr

iront

un

e p

rote

ctio

n à

ce g

roup

e re

ndu

vuln

érab

le

par

son

âge

et

cont

ribue

ront

à r

enfo

rcer

la

sécu

rité

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enta

ire a

u ni

veau

des

vill

ages

par

d

es p

rogr

amm

es a

gric

oles

et

des

initi

ativ

es

à l’i

nten

tion

des

orp

helin

s et

aut

res

enfa

nts

vuln

érab

les.

• N

omb

re d

’orp

helin

s et

d’e

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ts v

ulné

rab

les

de

la c

omm

unau

té.

• D

onné

es p

rob

ante

s fa

isan

t ét

at d

e ta

ux d

e m

alnu

triti

on p

lus

imp

orta

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chez

ces

en

fant

s.•

Don

nées

pro

ban

tes

fais

ant

état

de

taux

de

mal

nutr

ition

plu

s im

por

tant

s d

ans

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mén

ages

acc

ueill

ant

ces

enfa

nts.

• P

reuv

es d

e l’e

xpos

ition

de

cett

e tr

anch

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’âge

à u

n ris

que

de

viol

ence

sex

uelle

.

.../.

..

ix.

Les

pro

gram

mes

de

cent

res

de

soin

s d

e p

roxi

mité

et c

eux

des

tinés

aux

orp

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s et

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enfa

nts

vuln

érab

les

ont é

té é

lab

orés

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s le

con

text

e d

’IPS

R m

ises

en

œuv

re

dan

s le

s p

ays

d’A

friq

ue a

ustr

ale.

319

AN

NE

XE

S

Op

tio

n d

’inte

rven

tio

nS

itua

tio

ns p

oss

ible

sIn

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atio

ns n

éces

sair

es p

our

jug

er d

e l’a

déq

uati

on

de

l’op

tio

n en

visa

gée

Sup

plé

men

tati

on

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enta

ire

cib

lée

sous

fo

rme

de

rati

ons

à

emp

orte

r:

four

nitu

re a

ux

mèr

es d

’enf

ants

at

tein

ts d

e m

alnu

triti

on e

t au

tres

per

sonn

es

souf

fran

t d

e ce

tte

affe

ctio

n d

’une

ra

tion

à em

por

ter

en p

lus

de

la r

atio

n gé

néra

le; c

ette

ac

tion

vise

à é

vite

r q

ue la

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nutr

ition

m

odér

ée

n’év

olue

ver

s un

e m

alnu

triti

on g

rave

, no

tam

men

t ch

ez

les

enfa

nts

de

moi

ns d

e 5

ans,

ch

ez le

s en

fant

s p

lus

âgés

, che

z le

s en

fant

s q

ui s

orte

nt

de

pro

gram

mes

d

’alim

enta

tion

thér

apeu

tique

, ch

ez le

s fe

mm

es

ence

inte

s et

ch

ez le

s m

ères

al

laita

ntes

Situ

atio

ns d

ans

lesq

uelle

s un

e d

istr

ibut

ion

géné

rale

est

en

cour

s et

où:

• 10

à 1

4 %

des

enf

ants

de

moi

ns d

e 5

ans

ont

un in

dic

e p

oid

s/ta

ille

infé

rieur

à -

2 éc

arts

-typ

es

ou à

80

% d

e la

méd

iane

; ou

• 5

à 9

% d

es e

nfan

ts d

e m

oins

de

5 an

s on

t un

in

dic

e p

oid

s/ta

ille

infé

rieur

-2

écar

ts-t

ypes

ou

à 80

% d

e la

méd

iane

, et

il ex

iste

des

fact

eurs

ag

grav

ants

; et

• P

réva

lenc

e d

e la

mal

nutr

ition

che

z le

s en

fant

s âg

és d

e 6

à 59

moi

s, e

n p

artic

ulie

r p

ourc

enta

ge d

’enf

ants

don

t l’i

ndic

e p

oid

s/ta

ille

est

infé

rieur

à -

2 éc

arts

-typ

es o

u à

80 %

de

la m

édia

ne.

• P

rése

nce

d’œ

dèm

e ch

ez le

s en

fant

s âg

és d

e 6

à 59

moi

s.•

Pré

senc

e d

’aut

res

fact

eurs

agg

rava

nts,

not

amm

ent:

une

rat

ion

géné

rale

infé

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e au

x b

esoi

ns é

nerg

étiq

ues

moy

ens,

un

taux

de

mor

talit

é b

rut

sup

érie

ur à

1

pou

r 10

000

par

jour

, une

ép

idém

ie d

e ro

ugeo

le o

u d

e co

que

luch

e, o

u un

e fo

rte

pré

vale

nce

de

mal

adie

s re

spira

toire

s ou

de

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adie

s d

iarr

héiq

ues.

• il

est

pos

sib

le d

’iden

tifier

et

de

cib

ler

les

per

sonn

es s

ouffr

ant

de

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nutr

ition

; et

• C

apac

ité d

es p

arte

naire

s à

dis

tingu

er/s

élec

tionn

er le

s p

erso

nnes

sou

ffran

t d

e m

alnu

triti

on.

• il

y a

des

rai

sons

de

pen

ser

que

les

per

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es

cib

lées

con

som

mer

ont

une

par

t im

por

tant

e d

e la

nou

rritu

re; e

t•

la t

aille

de

la r

atio

n au

toris

e un

cer

tain

par

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en

tre

les

mem

bre

s d

e la

fam

ille,

pui

sque

ce

par

tage

est

pris

en

com

pte

dan

s la

tai

lle

stan

dar

d r

ecom

man

dée

des

rat

ions

à e

mp

orte

r d

istr

ibué

es.

• S

chém

as d

e ré

par

titio

n in

traf

amili

ale

- m

odal

ités

de

par

tage

de

la n

ourr

iture

à

l’int

érie

ur d

u m

énag

e. C

erta

ins

alim

ents

son

t-ils

rés

ervé

s au

x en

fant

s? a

ux

fem

mes

?

.../.

..

Annexes / Annexe 5: Principales options d’intervention et informations nécessaires pour juger de leur adéquation

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition320

Op

tio

n d

’inte

rven

tio

nS

itua

tio

ns p

oss

ible

sIn

form

atio

ns n

éces

sair

es p

our

jug

er d

e l’a

déq

uati

on

de

l’op

tio

n en

visa

gée

Sup

plé

men

tati

on

alim

enta

ire

cib

lée

sur

site

: les

en

fant

s et

d’a

utre

s p

erso

nnes

so

uffr

ant

de

mal

nutr

ition

re

çoiv

ent

des

al

imen

ts à

co

nsom

mer

sur

p

lace

, en

plu

s d

e la

rat

ion

géné

rale

; ce

tte

actio

n vi

se à

évi

ter

que

la

mal

nutr

ition

m

odér

ée

n’év

olue

ver

s un

e m

alnu

triti

on g

rave

, no

tam

men

t ch

ez

les

enfa

nts

de

moi

ns d

e 5

ans,

ce

ux q

ui s

orte

nt

de

pro

gram

mes

d

’alim

enta

tion

thér

apeu

tique

, les

fe

mm

es e

ncei

ntes

et

les

mèr

es

alla

itant

es

Situ

atio

ns d

ans

lesq

uelle

s un

e d

istr

ibut

ion

géné

rale

est

en

cour

s et

où:

10-1

4 %

des

enf

ants

de

moi

ns d

e 5

ans

ont

un

ind

ice

poi

ds/

taill

e in

férie

ur à

-2

écar

ts-t

ypes

ou

à 80

% d

e la

méd

iane

; ou

• 5-

9 %

des

enf

ants

de

moi

ns d

e 5

ans

ont

un

ind

ice

poi

ds/

taill

e in

férie

ur à

-2

écar

ts-t

ypes

ou

à 8

0 %

de

la m

édia

ne, e

n p

rése

nce

de

fact

eurs

agg

rava

nts;

et

• P

réva

lenc

e d

e la

mal

nutr

ition

che

z le

s en

fant

s âg

és d

e 6

à 59

moi

s, e

n p

artic

ulie

r p

ourc

enta

ge d

’enf

ants

don

t l’i

ndic

e p

oid

s/ta

ille

est

infé

rieur

à -

2 éc

arts

-typ

es o

u à

80 %

de

la m

édia

ne.

• P

rése

nce

d’œ

dèm

e ch

ez le

s en

fant

s âg

és d

e 6

à 59

moi

s.•

Pré

senc

e d

’aut

res

fact

eurs

agg

rava

nts,

not

amm

ent:

une

rat

ion

géné

rale

infé

rieur

e au

x b

esoi

ns é

nerg

étiq

ues

moy

ens,

un

taux

de

mor

talit

é b

rut

sup

érie

ur à

1

pou

r 10

000

par

jour

, une

ép

idém

ie d

e ro

ugeo

le o

u d

e co

que

luch

e, o

u un

e fo

rte

pré

vale

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de

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adie

s re

spira

toire

s ou

de

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adie

s d

iarr

héiq

ues.

• il

est

pos

sib

le d

e ci

ble

r le

s p

erso

nnes

sou

ffran

t d

e m

alnu

triti

on; e

t•

Cap

acité

des

par

tena

ires

à d

istin

guer

/sél

ectio

nner

les

per

sonn

es s

ouffr

ant

de

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nutr

ition

.

• il

y a

des

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sons

de

pen

ser

qu’

une

ratio

n à

emp

orte

r se

rait

larg

emen

t p

arta

gée;

ou

• S

chém

as d

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titio

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amili

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- m

odal

ités

de

par

tage

des

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ents

à

l’int

érie

ur d

u m

énag

e. C

erta

ins

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ents

son

t-ils

rés

ervé

s au

x en

fant

s? a

ux

fem

mes

?

• la

pré

par

atio

n d

es a

limen

ts a

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yer

est

diffi

cile

(le

mén

age

man

que

de

com

bus

tible

et/

ou

d’u

sten

sile

s p

our

cuis

iner

); ou

• A

ccès

des

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ages

cib

lés

au c

omb

ustib

le e

t à

des

ust

ensi

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de

cuis

ine.

• le

niv

eau

d’in

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rité

est

tel q

u’il

sera

it ris

qué

p

our

les

bén

éfici

aire

s d

e re

ntre

r ch

ez e

ux a

vec

la r

atio

n; e

t•

Situ

atio

n au

reg

ard

de

la s

écur

ité.

• il

est

pos

sib

le d

’éta

blir

des

site

s d

écen

tral

isés

d

e su

pp

lém

enta

tion

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enta

ire à

pro

xim

ité

du

dom

icile

des

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aire

s ci

blé

s, c

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ui

per

met

de

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uire

les

coût

s d

’op

por

tuni

té p

our

les

aid

es.

• É

tend

ue d

e la

zon

e à

l’int

érie

ur d

e la

que

lle v

iven

t le

s b

énéfi

ciai

res

cib

lés.

• C

apac

ité d

es p

arte

naire

s à

étab

lir e

t à

gére

r d

es s

ites

de

sup

plé

men

tatio

n al

imen

taire

dan

s d

e no

mb

reux

lieu

x.

.../.

..

321

AN

NE

XE

S

Op

tio

n d

’inte

rven

tio

nS

itua

tio

ns p

oss

ible

sIn

form

atio

ns n

éces

sair

es p

our

jug

er d

e l’a

déq

uati

on

de

l’op

tio

n en

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gée

Sup

plé

men

tati

on

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enta

ire

gén

éral

isée

so

us

form

e d

e ra

tio

ns

à em

por

ter:

fo

urni

ture

à t

ous

les

enfa

nts

et

autr

es p

erso

nnes

nu

triti

onne

llem

ent

vuln

érab

les

d’u

ne

ratio

n à

emp

orte

r en

plu

s d

e la

rat

ion

géné

rale

Situ

atio

ns d

ans

lesq

uelle

s un

e d

istr

ibut

ion

géné

rale

est

en

cour

s et

où:

• 15

% d

es e

nfan

ts d

e m

oins

de

5 an

s on

t un

in

dic

e p

oid

s/ta

ille

infé

rieur

à -

2 éc

arts

-typ

es o

u à

80 %

de

la m

édia

ne; o

u•

10 à

14

% d

es e

nfan

ts d

e m

oins

de

5 an

s on

t un

ind

ice

poi

ds/

taill

e in

férie

ur à

-2

écar

ts-

typ

es o

u à

80 %

de

la m

édia

ne e

t il

exis

te d

es

fact

eurs

agg

rava

nts;

ou

• la

filiè

re d

’ap

pro

visi

onne

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t fia

ble

néc

essa

ire

pou

r un

e ra

tion

géné

rale

ad

équa

te n

’a p

as

enco

re p

u êt

re m

ise

en p

lace

, aux

pre

mie

rs

stad

es d

’une

cris

e ai

guë;

et

• P

réva

lenc

e d

e la

mal

nutr

ition

che

z le

s en

fant

s âg

és d

e 6

à 59

moi

s, e

n p

artic

ulie

r p

ourc

enta

ge d

’enf

ants

don

t l’i

ndic

e p

oid

s/ta

ille

est

infé

rieur

à -

2 éc

arts

-typ

es o

u à

80 %

de

la m

édia

ne.

• P

rése

nce

d’œ

dèm

e ch

ez le

s en

fant

s âg

és d

e 6

à 59

moi

s.•

Pré

senc

e d

’aut

res

fact

eurs

agg

rava

nts,

not

amm

ent:

un

taux

de

mor

talit

é b

rut

sup

érie

ur à

1 p

our

10 0

00 p

ar jo

ur, u

ne é

pid

émie

de

roug

eole

ou

de

coq

uelu

che,

ou

une

fort

e p

réva

lenc

e d

e m

alad

ies

resp

irato

ires

ou d

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alad

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dia

rrhé

ique

s;

ou b

ien

une

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n gé

néra

le in

suffi

sant

e p

our

couv

rir le

s b

esoi

ns é

nerg

étiq

ues

moy

ens

des

per

sonn

es.

• il

y a

des

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sons

de

pen

ser

que

les

per

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es

cib

lées

con

som

mer

ont

une

par

t im

por

tant

e d

e la

nou

rritu

re; e

t•

la t

aille

de

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atio

n au

toris

e un

cer

tain

par

tage

en

tre

les

mem

bre

s d

e la

fam

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pui

sque

ce

par

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est

pris

en

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pte

dan

s la

tai

lle

stan

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d r

ecom

man

dée

des

rat

ions

à e

mp

orte

r d

istr

ibué

es.

• S

chém

as d

e ré

par

titio

n in

traf

amili

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- m

odal

ités

de

par

tage

des

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ents

à

l’int

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ur d

u m

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e. C

erta

ins

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ents

son

t-ils

rés

ervé

s au

x en

fant

s? a

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fem

mes

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Sup

plé

men

tati

on

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enta

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gén

éral

isée

su

r si

te: f

ourn

iture

à

tous

les

enfa

nts

et

autr

es p

erso

nnes

nu

triti

onne

llem

ent

vuln

érab

les

d’a

limen

ts à

co

nsom

mer

sur

p

lace

, en

plu

s d

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rat

ion

géné

rale

Situ

atio

ns d

ans

lesq

uelle

s un

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istr

ibut

ion

géné

rale

est

en

cour

s et

où:

• 15

% d

es e

nfan

ts d

e m

oins

de

5 an

s on

t un

in

dic

e p

oid

s/ta

ille

infé

rieur

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2 éc

arts

-typ

es o

u à

80 %

de

la m

édia

ne; o

u•

10 à

14

% d

es e

nfan

ts d

e m

oins

de

5 an

s on

t un

ind

ice

poi

ds/

taill

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férie

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écar

ts-

typ

es o

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80 %

de

la m

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ne e

t il

exis

te d

es

fact

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agg

rava

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• P

réva

lenc

e d

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mal

nutr

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che

z le

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fant

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à 59

moi

s, e

n p

artic

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ants

don

t l’i

ndic

e p

oid

s/ta

ille

est

infé

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2 éc

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-typ

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u à

80 %

de

la m

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ne.

• P

rése

nce

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dèm

e ch

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s en

fant

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moi

s.•

Pré

senc

e d

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res

fact

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nts,

not

amm

ent:

une

rat

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géné

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esoi

ns é

nerg

étiq

ues

moy

ens,

un

taux

de

mor

talit

é b

rut

sup

érie

ur à

1

pou

r 10

000

par

jour

, une

ép

idém

ie d

e ro

ugeo

le o

u d

e co

que

luch

e, o

u un

e fo

rte

pré

vale

nce

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adie

s re

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s ou

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adie

s d

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héiq

ues.

• il

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des

rai

sons

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pen

ser

qu’

une

ratio

n à

emp

orte

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rait

larg

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t p

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ou

• S

chém

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e ré

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titio

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traf

amili

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- m

odal

ités

de

par

tage

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alim

ents

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l’int

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u m

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e. C

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ins

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ents

son

t-ils

rés

ervé

s au

x en

fant

s? a

ux

fem

mes

?

• la

pré

par

atio

n d

es a

limen

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u fo

yer

est

diffi

cile

, le

mén

age

man

que

de

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bus

tible

et

/ou

d’u

sten

sile

s p

our

cuis

iner

; ou

• A

ccès

des

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ages

au

com

bus

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et

à d

es u

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sile

s d

e cu

isin

e.

• le

niv

eau

d’in

sécu

rité

est

tel q

u’il

sera

it ris

qué

p

our

les

bén

éfici

aire

s d

e re

ntre

r ch

ez e

ux a

vec

la r

atio

n; e

t•

Situ

atio

n au

reg

ard

de

la s

écur

ité.

Annexes / Annexe 5: Principales options d’intervention et informations nécessaires pour juger de leur adéquation

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition322

Informations complémentaires nécessaires pour concevoir un programme de supplémentation alimentaire: • Nombre et localisation des bénéficiaires.• Durée probable de l’intervention.• Acceptabilité des produits de base susceptibles d’être distribués dans le cadre du programme.• Sites potentiellement utilisables comme points de distribution de la supplémentation alimentaire ou comme

centres d’alimentation.• Situation au regard de la sécurité.• Médias et réseaux communautaires disponibles pour faire connaître les informations relatives à la

supplémentation alimentaire. • Causes possibles de malnutrition en dehors de la pénurie de nourriture, telles que les maladies diarrhéiques

dues à un manque d’accès à l’eau potable et à un dispositif d’assainissement.• Capacité des partenaires à traiter les causes profondes de malnutrition autres que la pénurie de nourriture.• Capacité (personnel, compétences, équipements, systèmes d’administration et de suivi) des partenaires

à établir et à gérer des programmes de supplémentation alimentaire, et notamment, pour les programmes sur site, à régler les problèmes de disponibilités de combustible pour la cuisson, d’ustensiles de cuisine et d’espace de stockage, d’accès à l’eau potable et d’assainissement.

• Infrastructures (routes, capacité d’entreposage, installations de meunerie).• Arrangements possibles en matière de suivi et d’information tout au long du projet.

323

AN

NE

XE

S

Op

tio

n d

’inte

rven

tio

nS

itua

tio

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oss

ible

sIn

form

atio

ns n

éces

sair

es p

our

jug

er d

e l’a

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uati

on

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l’op

tio

n en

visa

gée

Alim

enta

tio

n th

érap

euti

que

su

r si

te: f

ourn

iture

d

’un

trai

tem

ent

méd

ical

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nutr

ition

nel d

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les

cent

res

de

sant

é ou

dan

s d

es c

entr

es

d’a

limen

tatio

n th

érap

eutiq

ue

spéc

iale

men

t cr

éés,

afin

de

sauv

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vie

d

es p

erso

nnes

so

uffr

ant

de

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nutr

ition

gra

ve

Situ

atio

ns d

ans

lesq

uelle

s:•

il ex

iste

un

nom

bre

imp

orta

nt d

e p

erso

nnes

(e

nfan

ts e

t/ou

ad

ulte

s) s

ouffr

ant

de

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nutr

ition

gra

ve o

u un

e au

gmen

tatio

n m

anife

ste

du

nom

bre

de

ces

per

sonn

es; e

t

• P

réva

lenc

e d

e la

mal

nutr

ition

gra

ve c

hez

les

enfa

nts

âgés

de

6 à

59 m

ois,

en

par

ticul

ier

pou

rcen

tage

d’e

nfan

ts d

ont

l’ind

ice

poi

ds/

taill

e es

t in

férie

ur à

-3

éca

rts-

typ

es d

e la

méd

iane

et/

ou q

ui p

rése

nten

t d

e l’œ

dèm

e.•

Pré

vale

nce

de

la m

alnu

triti

on g

rave

che

z le

s en

fant

s âg

és d

e 5

à 9

ans,

en

par

ticul

ier

pou

rcen

tage

d’e

nfan

ts d

ont

l’ind

ice

poi

ds/

taill

e es

t in

férie

ur à

-3

éca

rts-

typ

es d

e la

méd

iane

et/

ou q

ui p

rése

nten

t d

e l’œ

dèm

e.•

Pou

rcen

tage

d’a

dul

tes

(hor

s p

erso

nnes

han

dic

apée

s et

fem

mes

enc

eint

es) â

gés

de

20 à

59

ans

don

t l’I

MC

est

infé

rieur

à 1

6 et

/ou

qui

pré

sent

ent

de

l’œd

ème.

• le

s b

énéfi

ciai

res

pot

entie

ls s

ont

suffi

sam

men

t re

grou

pés

pou

r ju

stifi

er la

mis

e en

pla

ce d

e ce

ntre

s d

’alim

enta

tion

thér

apeu

tique

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s le

s co

mm

unau

tés

conc

erné

es; e

t

• R

épar

titio

n gé

ogra

phi

que

des

cas

de

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nutr

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gra

ve.

• il

exis

te o

u il

est

pos

sib

le d

e tr

ouve

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u p

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nnel

de

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é fo

rmé

pou

r su

per

vise

r to

us

les

cent

res.

• D

isp

onib

ilité

de

per

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el d

e sa

nté

form

é.

So

ins

thér

apeu

tiq

ues

com

mun

auta

ires

: fo

urni

ture

d

e p

rod

uits

al

imen

taire

s th

érap

eutiq

ues

à em

por

ter

aux

enfa

nts

souf

fran

t d

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triti

on

grav

e, a

vec

un

suiv

i au

nive

au

com

mun

auta

ire

par

des

age

nts

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Annexes / Annexe 5: Principales options d’intervention et informations nécessaires pour juger de leur adéquation

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition324

Informations complémentaires nécessaires pour concevoir un programme d’alimentation/de soins thérapeutiques, sur site ou dans les communautés• Nombre de personnes concernées et répartition géographique de celles-ci.• Durée de l’intervention.• Sites potentiels d’établissement des centres de traitement, dans les centres de santé ou sous forme de

centres d’alimentation thérapeutique distincts.• Situation au regard de la sécurité.• Capacité dont disposent les structures de santé pour traiter les personnes souffrant de malnutrition grave:

disponibilité d’installations de soins intensifs.• Capacité dont disposent les structures de santé pour traiter les causes profondes de la malnutrition.• Capacité des partenaires à fournir un appui social et psychosocial aux aidants qui amènent des enfants à

traiter. • Arrangements possibles en matière de suivi et d’information tout au long du projet.

325

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Annexe 6: format standard d’une note de synthèse de l’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence

DATe De PARUTION xx/xx/xxxxNote de synthèse de l’évaluation de la sécurité

alimentaire en situation d’urgence - [pays]

Ajouter le logo des partenaires ayant participé à l’évaluation.

Voir la page finale de ce document pour obtenir des conseils complémentaires généraux sur la rédaction de cette note.

Vue d’ensemble, portée et méthodes

¸ Rédigez un paragraphe introductif décrivant le contexte (informations générales sur le pays, crise ou situation chronique) et précisant ce qui a déclenché l’évaluation (choc).

¸ Si une opération d’urgence ou une IPSR est en cours, ajoutez une phrase pour en préciser les dates, le nombre de bénéficiaires et les interventions.

¸ Ajoutez un paragraphe sur l’objet de l’évaluation, particulièrement si celle-ci doit éclairer la conception d’un programme du PAM, en donnant la liste des membres de l’équipe (organismes, ONG et ministères) et en indiquant l’étendue géographique couverte par l’évaluation (pays tout entier, certaines régions ou zones) et les dates d’intervention sur le terrain.

Comment l’évaluation a-t-elle été réalisée? Décrivez brièvement les méthodes utilisées: analyse de données secondaires, enquêtes auprès des ménages, entretiens avec des informateurs clés, etc. Précisez le nombre de villages visités et de ménages interrogés en les situant géographiquement. Indiquez le nombre d’enfants dont les mesures anthropométriques ont été prises et le nombre de mères interrogées.

Combien de personnes sont en situation d’insécurité alimentaire ou de vulnérabilité?

¸ Indiquez le nombre absolu de personnes en situation d’insécurité alimentaire et le pourcentage de la population totale que cela représente. Expliquez clairement comment la situation d’insécurité alimentaire a été établie.

¸ Indiquez le nombre absolu de personnes vulnérables et le pourcentage de la population totale que cela représente. Expliquez clairement comment la vulnérabilité a été déterminée, en prenant pour base les modes de consommation alimentaire et l’accès des ménages à l’alimentation, et ce que cela signifie dans le cas présent.

¸ Expliquez clairement en quoi la situation représente un danger vital pour les personnes.

¸ Dans la mesure du possible, indiquez comment la situation a évolué en vous reportant à la dernière évaluation ou aux données de référence s’il en existe.

¸ Donnez les pourcentages de personnes souffrant de malnutrition (enfants âgés de moins de 5 ans présentant un retard de croissance, une émaciation ou une insuffisance pondérale, mères, etc.), en précisant les sources et les dates des données.

Annexes / Annexe 6: Format standard d’une note de synthèse de l’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition326

Où se trouvent les personnes en situation d’insécurité alimentaire ou de vulnérabilité?

¸ Ajoutez une carte montrant où se trouvent les personnes en situation d’insécurité alimentaire et de vulnérabilité. Ajoutez un texte explicatif court.

¸ Assurez-vous que la carte et sa légende sont lisibles. Le cas échéant, indiquez quelles régions comptent le plus grand nombre de personnes en situation d’insécurité alimentaire et de vulnérabilité.

Qui sont les personnes en situation d’insécurité alimentaire ou de vulnérabilité?

¸ Dressez le profil des personnes en situation d’insécurité alimentaire: sexe, âge, sources de nourriture, caractéristiques de leurs moyens de subsistance, etc.

Pourquoi ces personnes sont-elles en situation d’insécurité alimentaire ou de vulnérabilité?

Donnez une vue d’ensemble du contexte et des causes de la crise, en abordant notamment les points ci-après.

¸ Présentez les principales causes d’insécurité alimentaire: par exemple, celles liées aux disponibilités alimentaires, à l’accès à l’alimentation et à la consommation/à l’utilisation des aliments. Cette partie de la note peut être scindée en autant de catégories que vous en avez retenues.

¸ Expliquez les conséquences que cette situation a sur les vies humaines et les moyens de subsistance.

¸ Soulignez les conclusions relatives aux marchés, pour ce qui concerne les disponibilités alimentaires et l’accès à l’alimentation.

¸ Mettez en évidence les conclusions les plus importantes de l’EFSA en matière de consommation alimentaire, d’accès, de stratégies de survie et d’opportunités rémunératrices, etc.

¸ Présentez les données et les conclusions relatives à la nutrition, si celles-ci sont disponibles. Précisez si la malnutrition est principalement liée à la sécurité alimentaire ou à d’autres facteurs tels que la santé, l’assainissement et les soins.

La situation devrait-elle évoluer dans les prochains mois?

¸ Ajoutez des informations sur les chocs éventuels et les perspectives, et décrivez le scénario probable pour les mois à venir. Expliquez en quoi le choc potentiel pourrait influer sur les moyens de subsistance et la sécurité alimentaire des personnes. Indiquez si cette prévision modifiera le nombre et le type des personnes dont la vie ou les moyens de subsistance sont exposés.

327

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Recommandations relatives aux interventions

¸ Résumez les principales options recommandées pour la programmation alimentaire et non alimentaire, en mentionnant si possible le nombre de personnes à cibler dans chaque cas, la durée suggérée et les éventuels critères de ciblage (paysans sans terre, personnes déplacées, etc.). Expliquez brièvement les liens entre les interventions proposées et les causes de l’insécurité alimentaire.

¸ Si des interventions sur les marchés ou des interventions appuyées par des transferts monétaires sont recommandées, spécifiez quelles conditions doivent être en place (surveillance des marchés, par exemple), s’il existe une expérience antérieure ou des capacités d’exécution, et s’il convient d’envisager des interventions de repli (par exemple, des activités Vivres contre travail au cas où des activités Espèces contre travail ne seraient pas réalisables).

¸ Ajoutez des recommandations sur les activités non alimentaires complémentaires: agriculture, eau et assainissement, soutien des marchés.

¸ Ajoutez des recommandations sur les évaluations de suivi et/ou la surveillance continue pour réactualiser la connaissance de la situation, le cas échéant.

Pour plus d’informations sur l’efSA, veuillez prendre contact avec les personnes suivantes: [Nom du directeur de pays ou du directeur régional], PAM [pays]Adresse électronique: [email protected]

[Nom du responsable de l’EFSA au PAM, c’est-à-dire chef de l’équipe d’EFSA]Adresse électronique: [email protected]

Inclure le lien vers le document intégral s’il est disponible: Le rapport complet sera publié sur le site www.wfp.org.

Conseils complémentaires pour la rédaction de la note de synthèse

1. En principe, la note de synthèse doit tenir sur deux pages, trois au maximum. Dans la mesure du possible, elle doit suivre le format établi. Rappelez-vous que vous devez remplir toutes les zones du formulaire, y compris les hauts et bas de page (date de parution) et les autres sections surlignées en jaune.

2. Les destinataires de cette note sont principalement les décideurs et responsables humanitaires, internes et externes au PAM, qui connaissent bien les questions de sécurité alimentaire: directeurs de pays, directeurs régionaux, représentants des donateurs, représentants des organismes partenaires, représentants des pouvoirs publics. Compte tenu de la diversité de ce groupe, évitez d’utiliser des sigles internes au PAM et un langage trop technique.

3. Assurez-vous que les conclusions et recommandations clés sont présentées de façon claire, convaincante et concise.

4. La note de synthèse doit être rédigée par l’un des principaux auteurs du rapport de l’EFSA et son établissement doit commencer dès que les conclusions et recommandations majeures sont finalisées. Elle peut servir à diffuser les constatations essentielles sans attendre la finalisation du rapport principal.

5. La note doit être rédigée dans la langue du public intéressé au premier chef, qui est généralement la même que celle utilisée pour le rapport d’évaluation. Pour élargir le groupe de décisionnaires touchés, elle doit également être traduite en anglais.

Annexes / Annexe 6: Format standard d’une note de synthèse de l’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition328

6. La note doit s’appuyer sur les résultats finals de l’évaluation, tels qu’approuvés par le directeur de pays ou le directeur régional. Si elle reprend des résultats provisoires, ce point doit être clairement spécifié.

7. Veillez à respecter la plus grande cohérence possible entre la note de synthèse et tout document public produit par le bureau de pays ou le Siège (notamment le Groupe des rapports sur les opérations du PAM au Siège) et traitant de la même intervention.

8. Toutes les notes de synthèse sont publiées sur le site Web public du PAM, sur la page consacrée à l’analyse de la sécurité alimentaire; assurez-vous donc d’envoyer les versions finales au Service de l’analyse de la sécurité alimentaire au Siège, qui se charge de cette publication.

9. La note doit être approuvée par le chef d’équipe de l’EFSA et le directeur de pays, puis diffusée par le bureau de pays.

329

Glossaire

Accès à l’alimentationCapacité d’un ménage de se procurer régulièrement des aliments en les produisant, en puisant dans ses stocks, en les achetant ou en ayant recours au troc, aux dons, à l’emprunt ou à l’aide alimentaire, ou encore en combinant ces différentes sources.

Analyse de situationAnalyse de la situation actuelle de la sécurité alimentaire et de la nutrition des populations et des risques pesant sur leur vie et leurs moyens de subsistance.

Analyse des forces, faiblesses, opportunités et menaces (SWOT) des différentes options d’interventionAppréciation systématique de différentes possibilités d’intervention, au vu de leurs forces et faiblesses, ainsi que des opportunités et des menaces qui leur sont associées.

Analyse des options d’interventionAnalyse visant à déterminer la nécessité ou non d’une intervention et, le cas échéant, à définir les types d’action, le calendrier et les critères de ciblage les plus adaptés.

Analyse prévisionnelleAnalyse destinée à prévoir la nature des opportunités et des chocs à venir ainsi que l’évolution probable de la situation.

AvoirsBiens ou personnes auxquels on peut attacher une valeur ou une utilité telles qu’une compétence ou une qualité69. Le Cadre des moyens de subsistance durables70 définit les six catégories d’avoirs suivantes:

humains - état de santé et nutritionnel, capacité physique, compétences, niveau d’éducation, etc.;

69. Chambers Compact Dictionary, Chambers Harrap Publishers Ltd, Edinburg, Roaume-Uni, 2005

70. Carney D. (2002) - Sustainable Livelihoods Approaches: progress and possibilities for change. London, DFID.

Glossaire

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition330

sociaux - réseaux d’entraide familiaux et de solidarité entre ménages, groupes communautaires; valeurs, comportements et rapports de confiance qui facilitent l’accès aux moyens de subsistance;financiers - revenus, crédits et emprunts, économies, liquidités, etc.;matériels - avoirs productifs (outils et équipements), réserves, logement, bétail, infrastructures, etc.;naturels - terres, eau, forêts, etc.;politiques - rapports de force, accès aux processus de prise de décisions politiques, aux niveaux local et national, et influence sur ce pouvoir décisionnel.

Base de l’échantillonnageZone et population couvertes par l’évaluation.

Besoins d’informationDonnées, issues de sources primaires ou secondaires, qui doivent être collectées et traitées pour réaliser les objectifs de l’évaluation des besoins.

ChocÉvénement ayant des répercussions négatives sur la sécurité alimentaire ou la situation nutritionnelle des ménages, ou les deux. Les chocs peuvent être naturels ou provoqués par l’homme.

Choc multipleInteraction de plusieurs chocs différents.

Déficit d’accessibilité alimentaireDifférence entre les dépenses alimentaires d’un ménage et le coût d’un assortiment alimentaire minimum, en tenant compte de la part des aliments non achetés (vivres issus de la production familiale, par exemple). Déficit de consommation alimentaireDifférence entre la consommation alimentaire indispensable à la satisfaction des besoins nutritionnels minimaux et la consommation alimentaire réelle, en tenant compte de l’apport énergétique minimal et de la qualité du régime alimentaire en termes de micronutriments essentiels.

Déficit de disponibilités alimentairesDifférence entre les vivres à disposition dans la zone étudiée et les produits alimentaires nécessaires pour nourrir la population touchée.

Discussion avec un groupe communautaireEntretien avec un groupe hétérogène constitué d’hommes, de femmes et de jeunes issus de toutes les composantes de la communauté (village, camp, zone urbaine), etc.

••

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331

Discussion avec un groupe de concertationDiscussion structurée sur un sujet particulier (objet de la concertation) avec des personnes possédant des connaissances ou une expérience en la matière.

Disponibilités alimentairesVivres à disposition dans la zone étudiée, issus de la production intérieure sous toutes ses formes, des importations commerciales et de l’aide alimentaire. Ces disponibilités peuvent être regroupées à l’échelle d’une région, d’un pays, d’un district ou d’une communauté.

DonnéesInformations collectées auprès de sources primaires et secondaires.

Données primairesDonnées collectées pendant l’évaluation des besoins, lors d’entretiens avec des informateurs clés, des groupes de concertation, des ménages et des individus.

Données qualitativesInformations non numériques décrivant souvent des comportements, des perceptions et des intentions.

Données quantitativesInformations numériques.

Données secondairesDonnées collectées en dehors de l’évaluation des besoins en cours. Il peut s’agir, par exemple, d’informations recueillies par d’autres organisations.

ÉchantillonSélection de ménages ou de personnes dans l’ensemble de la population concernée.

Échantillonnage à plusieurs degrésVoir échantillonnage par grappes.

Échantillonnage aléatoire (échantillonnage probabiliste)Technique de sondage reposant sur la théorie statistique formelle qui permet de calculer des estimations fiables et de limiter les biais; tous les membres de la population échantillonnée ont une chance connue et non nulle d’être sélectionnés. Les résultats peuvent être extrapolés à l’ensemble de la population avec un degré de précision qui dépend de la taille de l’échantillon et de la variabilité de l’indicateur.

Glossaire

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition332

Échantillonnage cumulatifTechnique de sondage selon laquelle les personnes et les ménages sont sélectionnés sur les recommandations d’autres informateurs; chaque informateur recommande le groupe suivant d’informateurs.

Échantillonnage de commoditéTechnique de sondage selon laquelle les personnes et les ménages sont sélectionnés en fonction de leur facilité d’accès.

Échantillonnage directTechnique de sondage selon laquelle les personnes et les ménages sont sélectionnés directement dans la base d’échantillonnage générale.

Échantillonnage par choix raisonné (échantillonnage non probabiliste)Technique de sondage selon laquelle les groupes à interroger sont choisis par la personne qui effectue les recherches. Ce procédé ne faisant pas appel à une sélection aléatoire, il est impossible d’extrapoler sans précautions les résultats à des populations plus vastes; son intérêt réside dans la sélection de cas riches en information en vue d’une analyse approfondie des questions étudiées.

Échantillonnage par grappesTechnique de sondage selon laquelle l’échantillon est défini en plusieurs étapes. La base de l’échantillonnage (ou population étudiée) est divisée en groupes, ou grappes, le plus souvent par zone géographique, site ou village; un échantillon est ensuite sélectionné au sein de chaque grappe; il s’agit généralement de ménages ou de personnes. D’autres étapes peuvent suivre le cas échéant. À partir de la deuxième étape, les unités d’échantillonnage sont constituées au sein des grappes déjà définies: certains ménages dans l’un des villages sélectionnés, certains membres dans l’un des ménages retenus, etc.

entretien semi-structuréEntretien reposant sur une liste de référence et une série de questions préparées à l’avance dont la formulation, l’ordre et la forme ne sont pas prédéterminés.

entretiens avec des informateurs clésDiscussions avec des personnes possédant une bonne connaissance de certaines caractéristiques de la communauté et de la situation d’urgence en cours.

Évaluation approfondieÉvaluation réalisée lorsque l’on dispose de suffisamment de temps et de ressources et que l’on a accès aux populations. Cette évaluation utilise des méthodes rigoureuses adaptées au contexte, telles que des enquêtes à échantillonnage aléatoire à grande échelle sur la sécurité alimentaire et la nutrition des ménages ou des enquêtes de référence sur l’économie des ménages.

333

Évaluation initialeÉvaluation réalisée rapidement à la suite: i) d’une crise soudaine; ii) d’informations indiquant une dégradation de la situation vers une crise durable; ou iii) de l’amélioration de l’accès aux populations au cours d’une crise. Cette évaluation repose principalement sur des données secondaires et des entretiens avec des informateurs clés, mais il est aussi possible d’effectuer des visites rapides sur le terrain.

Évaluation rapideÉvaluation des besoins effectuée dans le cadre d’une réévaluation ou à la suite d’une évaluation initiale lors d’une crise soudaine. L’évaluation rapide s’appuie sur une combinaison de données secondaires et primaires.

facteurs de déclenchement d’une évaluationÉvénement ou série d’événements indiquant que la situation de la sécurité alimentaire ou de la nutrition se dégrade ou a déjà atteint un niveau de crise, et qu’il convient de réaliser une évaluation. Ces indicateurs sont établis à partir des données collectées par les systèmes d’alerte rapide et de suivi de la sécurité alimentaire et se composent de diverses variables génériques et spécifiques signalant la nécessité de s’intéresser de plus près à la situation.

Groupe de subsistance71 (ou groupe partageant les mêmes moyens de subsistance)groupe de perSonnes ayant les mêmes moyens élémentaires de subsistance et le même mode de vie (principales activités de subsistance et génératrices de revenu similaires, pratiques sociales et culturelles comparables) et exposées à des risques identiques d’insécurité alimentaire et nutritionnelle.

IndicateurVariable ou combinaison de variables donnant un éclairage sur un aspect particulier de la situation.

Indicateur de substitutionMoyen indirect de mesurer une variable difficile ou impossible à évaluer par elle-même. Fournit, de manière détournée, des informations sur un facteur.

Indice des stratégies de survieIndice simple et concis montrant comment les ménages en situation d’insécurité alimentaire font face aux pénuries de vivres. Les comportements des ménages en cas de pénurie sont évalués au moyen d’un score correspondant à la fréquence du recours aux stratégies d’adaptation et à la perception de la dangerosité de ces stratégies. Plus le score est élevé, plus le niveau d’insécurité alimentaire est élevé72.

71. NdT: ce terme correspond au terme anglais «livelihood group».

72. The Coping Strategies Index, Field Methods Manual, Daniel Maxwell (Feinstein International Center, Université Tufts), Richard Caldwell (TANGO International), CARE USA, deuxième édition, janvier 2008.

Glossaire

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition334

Informations contextuellesRenseignements sur les facteurs servant de référence pour interpréter la situation d’urgence et explications de ces phénomènes; facteurs permettant d’appréhender la situation et de fournir des éclairages sur les interventions appropriées.

Insécurité alimentaire chroniqueIncapacité durable des ménages de satisfaire leurs besoins alimentaires minimaux.

Insécurité alimentaire transitoireIncapacité temporaire des ménages de satisfaire leurs besoins alimentaires minimaux, sans pour autant que leurs chances de récupération soient compromises.

Mandat73

Décrit le déroulement de l’évaluation des besoins ainsi que les rôles et responsabilités de l’équipe qui en est chargée; le mandat est défini au début du processus.

Méthode d’observationRelevé des caractéristiques visibles et importantes de la zone touchée.

Moyens de subsistance (ou moyens d’existence)Capacités, avoirs (matériels et sociaux) et activités dont disposent les ménages pour survivre et garantir leur bien-être futur74.

Opportunités et chocs majeursOpportunités et chocs qui auront la plus forte incidence sur l’évolution de la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans les mois à venir.

Opportunités et chocs secondairesOpportunités et chocs qui sont: i) provoqués par l’événement majeur (réactions en chaîne); ii) non liés à l’événement majeur, mais contribuant à en renforcer ou en atténuer les effets (effets de synergie); ou iii) inclus dans l’événement majeur.

Plan d’analysePlan élaboré à partir des principales hypothèses à tester et décrivant comment les données collectées seront analysées. Le plan d’analyse peut également indiquer les données à recueillir auprès des sources primaires et secondaires.

Points d’entréeSecteurs et types d’action qui permettent de commencer à répondre aux besoins; les points d’entrée sont répertoriés lors de l’analyse des options d’intervention.

73. NdT: communément désigné «termes de référence».

74. Charte humanitaire et normes minimales pour les interventions lors de catastrophes, Le Manuel Sphère, Genève (Suisse), 2004

335

QuestionnaireSérie de questions soigneusement formulées et organisées pour obtenir des informations auprès des personnes, des ménages et des communautés interrogés. Au sein de l’échantillon sélectionné, les questionnaires diffèrent selon qu’il s’agit d’une personne, d’un ménage ou d’une communauté.

RésilienceCapacité d’une personne ou d’une communauté de se relever suite à une catastrophe ou à une période difficile, et de tirer parti de ces épreuves.

ScénarioDescription d’une situation susceptible de se produire, à partir d’un ensemble d’hypothèses fondées sur la connaissance de la situation présente75.

Score de la consommation alimentaireScore établi à partir de la diversité, de la fréquence de consommation et de l’importance nutritionnelle relative des différents groupes d’aliments utilisés. Plus le score de la consommation alimentaire est élevé, plus le régime alimentaire a de chances d’être diversifié et plus les ménages ont de chances d’atteindre leur équilibre nutritionnel.

Sécurité alimentaireSituation dans laquelle tous les êtres humains ont, à tout moment, un accès physique et économique à une nourriture suffisante, saine et nutritive leur permettant de satisfaire leurs besoins énergétiques et leurs préférences alimentaires pour mener une vie saine et active (Sommet mondial de l’alimentation 1996).

Sécurité nutritionnelleSituation dans laquelle l’ensemble des personnes et ménages jouissent de la sécurité alimentaire, bénéficient d’un accès approprié aux soins de santé préventifs et curatifs et adoptent des pratiques de soins saines et durables.

Stratégie de subsistance76 (ou stratégie relative aux moyens de subsistance)Façon dont les ménages utilisent et combinent leurs avoirs pour se procurer des vivres, un revenu et d’autres biens et services.

Stratégie de survie77

Conduite adoptée pour obtenir de la nourriture, un revenu et/ou des services en cas de déstabilisation des moyens de subsistance habituels.

75. Contingency Planning and Humanitarian Action, a Review of Practice, R. Choularton, note n° 59 de l’Institut britannique de développement outre-mer (ODI), mars 2007.

76. *NdT: ce terme correspond au terme anglais « livelihood strategies»

77. NdT: ce terme correspond au terme anglais «coping strategies».

Glossaire

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition336

Tableau croisé (analyse croisée)Comparaison de plusieurs indicateurs permettant, par exemple, d’apporter des éclaircissements sur la prévalence et les causes de la malnutrition et de l’insécurité alimentaire.

TriangulationProcessus permettant de comparer des informations issues de sources différentes afin de déterminer si elles sont convergentes.

Urgence (situation d’)Situation provoquant des pertes humaines et des dégâts matériels, économiques ou environnementaux menaçant la vie et/ou les moyens de subsistance des populations et face à laquelle les capacités de réaction des communautés touchées et/ou du gouvernement sont insuffisantes.

Utilisation des alimentsi) façon dont les ménages préparent les produits alimentaires auxquels ils ont accès et les répartissent; et ii) capacité des personnes d’assimiler et de métaboliser les aliments (efficacité de la transformation des aliments par l’organisme).

Variables dynamiquesFacteurs susceptibles d’évoluer rapidement et révélant des problèmes transitoires qui risquent d’aggraver les problèmes chroniques actuels.

Variables structurellesFacteurs contextuels caractéristiques d’une zone; ces variables ne changent pas rapidement et influent par conséquent sur les moyens de subsistance disponibles des personnes et des communautés.

VulnérabilitéExposition à des risques et incapacité de faire face aux conséquences.

337

Aaccès à l’alimentation - 28, 33-34, 51-53, 77-79, 80-85accès physique - 106, 179-181, 203adaptation - 34, 190-191alimentation collective - 223alimentation scolaire - 223, 303, 316aliments de dernier recours - 78, 80analyse de la situation - 86, 167, 206-207, 213, 224analyse des composantes principales - 63analyse des options d’intervention - 223-242, 252analyse des parties prenantes- 227arbre de décision - 234-235assainissement - 51-52, 232-234, 250autosuffisance alimentaire - 78, 81avoirs - 26-32, 53, 79, 81, 181-191, 209-212, 226avoirs de subsistance - 31, 82, 209-210

Bbénéficiaires - 76, 216-217, 239-242, 252bétail - 80-81biais - 109, 117, 154bons d’alimentation - 223, 232-233

Ccadre conceptuel - 25-34, 52-53, 168, 185, 224cadre d’intervention stratégique - 189calendrier saisonnier - 158camp - 108, 126-127, 200-201causalité - 184-185chocs - 194-199, 212-221, 252chronologie historique - 158-159ciblage - 219, 240-241, 252classement par paires - 160-161communautés - 32, 40, 114-115, 241-244

Index

Index

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition338

communication - 131, 247-260consommation alimentaire - 52-53, 59-64, 72-86crise à évolution lente ou prolongée - 99, 106-108, 220, 243, 249crise durable - 38crise en cours - 60-61, 101, 157-158crise prolongée 15, 99crise soudaine - 231critères - 69-70, 235-241

Ddéficit vivrier - 60, 214-219déplacement - 51, 191, 199, 210discussions avec des groupes communautaires - 28, 105, 140, 147-149discussions avec des groupes de concertation - 149-151, 169, 176, 181, 186disponibilités alimentaires - 31, 199, 225-226, 232distribution de vivres - 197, 232, 236, 238distribution gratuite de vivres - 233diversité du régime alimentaire - 60, 72, 190-191données primaires - 105-108, 135, 137-161données qualitatives - 176-177, 207, 213-214données quantitatives - 179-180, 207, 212-213données secondaires - 101-105, 127, 141-142, 186, 216

eéchantillonnage à plusieurs degrés - voir: échantillonnage par grappeséchantillonnage aléatoire - 109-110, 118-128, 147, 175échantillonnage cumulatif - 110, 117échantillonnage par choix raisonné - 110-117, 128, 139, 147, 175échantillonnage par grappes - 332EFSA séquentielle - 21émaciation - 61, 68-71, 121, 186, 188, 243empilement proportionnel - 159-160, 177, 215endettement - 86, 187, 209-210enfants - 29-33, 58-61, 69-71, 89-92, 126-127, 183-184enquête anthropométrique - 49, 68, 102, 122enquête auprès des ménages - 65, 121, 146-147, 149, 212enquête par questionnaire - 63, 108, 142, 193enquêteurs - 126, 135-146entretiens avec des informateurs clés - 152-154, 169, 176, 186environnement sanitaire public - 30, 178-179envois de fonds par des proches - 42, 144, 160, 218équipe d’évaluation - 134, 150-151, 174, 183Espèces contre travail (ECT) - 13, 223, 233, 239état clinique - 71état nutritionnel/situation nutritionnelle - 31, 58-60, 152-153, 178-161, 188

339Index

évaluation approfondie - 39, 108, 121évaluation conjointe - 41évaluation des récoltes - 16, 41évaluation initiale - 38, 107évaluation rapide (EFSA) - 38, 107évaluations interorganisations - 39-41extrapolation - 68, 121, 176

ffacteur de déclenchement - 98-99facteurs de risque - 180, 182, 224-225, 230, 240faisabilité - 46, 220, 235-238femmes - 27-31, 56-57, 69-71, 183, 231, 239-240femmes enceintes et mères allaitantes - 29, 239-240

Ggrappe - 122-123, 126-128groupes d’aliments - 72-74, 191groupes de concertation - 148-151, 169, 176, 181, 186groupes de subsistance - 168-171, 209-210, 215, 219groupes vulnérables - 168-171, 209-210, 215, 219

Hhypothèses - 46-48, 115

Iimpact - 47-49, 83, 170, 212indicateur de la sécurité alimentaire - 121indicateurs de marché - 59, 83-84indicateurs de substitution - 59-60, 70, 79indice de masse corporelle (IMC) - 68-70, 188indice des prix à la consommation - 57, 84indice des stratégies de survie - 87-92, 188informateurs clés - 152-154, 169, 215-216informations contextuelles - 55-57, 101, 174insécurité alimentaire aiguë - 304insécurité alimentaire chronique - 171, 185, 187, 237insécurité alimentaire transitoire - 90, 185intervalle de confiance - 123intervention - 222-241interventions non alimentaires - 259-260IPC - 13, 188-190

Jjugement de valeur - 61

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition340

Lliste de référence - 146, 150-153logistique - 98, 130-131, 220

Mmalnutrition - 174-182, 185-193, 209-210, 232, 234-235malnutrition aiguë globale - 61, 69, 188, 235mandat de l’évaluation - 97, 100-101, 248marche transversale d’observation - 155marchés - 83-84, 171-172, 179mesure du périmètre brachial - 60, 68micronutriments - 30, 33-34, 67mortalité - 67, 187-190, 250moyens de subsistance - 25-28, 30-34, 212-219, 224-226

Nnutriments - 30, 33-34, 60, 72-73, 234, 237nutrition - 29-34, 67-72, 101, 187-188

Oobservation - 154-156, 215observation structurée - 155-156opportunités et chocs - 194-199, 211-214options d’intervention - 222-241, 252orphelins - 233

Ppartenaires - 41, 132-133, 191personnes âgées - 29-30, 176, 231personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays - 41, 126, 184personnes souffrant de malnutrition - 29, 176, 223piliers (sécurité alimentaire) - 28plan d’analyse - 46-48, 100, 133, 144planification - 97-133, 205-206plans d’intervention en cas d’urgence - 97, 196, 205-206politiques - 56, 202, 236pouvoir d’achat - 79-80pratiques de soins - 30, 71, 227précision - 39, 105, 109, 160, 216prévision - 167, 194-221prise de décisions - 21, 26, 39probabilité proportionnelle à la taille (PPT) - 120, 128procédure d’appel global - 41profils - 179-180, 181-182, 206-208programme d’assistance aux marchés - 311

341

programme de supplémentation alimentaire - 322programmes de santé - 223projets de travaux publics - 302

Rrapport poids/âge - 37rapport poids/taille - 69rapport taille/âge - 69recommandations - 39-40, 138, 252,réfugiés - 41, 126, 184résilience - 27-28, 36, 166, 200ressources humaines - 128-130, 228, 236retard de croissance - 69-70, 186, 189-190revenu - 79, 144, 159, 218risques - 25, 176, 187-188, 224

Sscénarios - 200-206, 252score de la consommation alimentaire - 72-77, 179, 188sécurité (personnel) - 131seuils contextuels - 61soins thérapeutiques communautaires - 323soutien des marchés - 233, 239stratégie de survie - 88, 183stratégies de subsistance - 26, 225stratification - 119-120supplémentation alimentaire à emporter - 303supplémentation alimentaire ciblée - 319supplémentation alimentaire généralisée - 321systèmes d’alerte rapide - 98SWOT - 223, 235-238, 252

Ttableau croisé (analyse croisée) - 56-57, 178-179, 207-208taux brut de mortalité analyse des données - 61, 67, 189-190termes de l’échange, 58, 79, 81, 83, 85, 217transferts alimentaires - 301transferts monétaires - 301triangulation - 111, 171-172, 183

Uutilisation des aliments/vivres - 28

Index

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition342

Vvariables structurelles - 187VIH/sida - 117, 166, 198-199, 210Vivres contre travail (VCT) - 223, 227, 232-233, 239, 241vulnérabilité - 27-28, 32

Zzones de subsistance - 119, 120zones rurales - 53, 112, 200, 203

343Bibliographie

Bibliographie

Publications du PAM

Les publications suivantes sont présentées dans l’ordre alphabétique des titres ou des noms de séries. Veuillez noter que le Service de l’évaluation des besoins d’urgence (ODAN) et sa Sous-Division de l’analyse et de la cartographie de la vulnérabilité (VAM) ont été fusionnés en janvier 2008 au sein du Service de l’analyse de la sécurité alimentaire (OMXF).

A Manual: Measuring and Interpreting Malnutrition and Mortality. CDC et PAM, juillet 2005.

Estimating Population Size in Emergencies, de A. Henderson. Service de l’évaluation des besoins d’urgence du PAM, décembre 2006.

Fiche d’orientation, Renforcement des évaluations rapides de la sécurité alimentaire et nutritionelle. Service de l’évaluation des besoins d’urgence du PAM, juillet 2007.

Fiche technique n° 1, Prise en compte des migrations et des déplacements de populations dans les évaluations de la sécurité alimentaire en situation d’urgence. Service de l’évaluation des besoins d’urgence du PAM, mai 2007.

Fiche technique n° 4. Facteurs de déclenchement d’une évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence lors de crises à évolution lente. Service de l’évaluation des besoins d’urgence du PAM, novembre 2007.

Fiche technique n° 5. Distinction entre insécurité alimentaire chronique et transitoire dans les EFSA, Service de l’évaluation des besoins d’urgence du PAM. Service de l’évaluation des besoins d’urgence du PAM, décembre 2007.

Fiche technique n° 6. Évaluations initiales de la sécurité alimentaire en situation d’urgence, Service de l’évaluation des besoins d’urgence du PAM. Service de l’évaluation des besoins d’urgence du PAM, novembre 2007.

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition344

Fiche technique n° 7. Méthode aréolaire d’estimation de la taille et des caractéristiques démographiques d’une population dans les évaluations de la sécurité alimentaire en situation d’urgence, de A. Henderson. Service de l’évaluation des besoins d’urgence du PAM, septembre 2007.

Fiche technique n° 9. Collecte et analyse de données qualitatives pour les évaluations de la sécurité alimentaire, de L. Morinière. Service de l’évaluation des besoins d’urgence du PAM, septembre 2007.

Fiche technique n° 10. Méthode Delphi d’estimation de la taille et des caractéristiques démographiques d’une population dans les évaluations de la sécurité alimentaire en situation d’urgence, de A. Henderson. Service de l’analyse de la sécurité alimentaire du PAM, janvier 2008.

Fiche technique n° 11. Utilisation de la méthode d’échantillonnage en T pour estimer la taille et les caractéristiques démographiques d’une population dans les évaluations de la sécurité alimentaire en situation d’urgence, de A. Henderson. Service de l’analyse de la sécurité alimentaire du PAM, à paraître.

Fiche technique n° 12. Méthodes et outils complémentaires pour une évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence, Service de l’évaluation des besoins d’urgence du PAM, décembre 2007.

Fiche technique n° 13. Analyse de la capacité nationale à répondre aux crises menaçant la sécurité alimentaire, Service de l’analyse de la sécurité alimentaire du PAM, septembre 2008.

Food Consumption Analysis - Calculation and use of the Food Consumption Score in food consumption and food security analysis. Sous-Division de l’analyse et de la cartographie de la vulnérabilité du PAM, janvier 2008.

Guidelines for Comprehensive Food Security and Vulnerability Analysis (CFSVA). Service de l’analyse de la sécurité alimentaire du PAM, janvier 2009.

Market Analysis in Emergency Food Security Assessments: Guidelines on Market Situation Analysis and Forecast and Response Protocol. Service de l’évaluation des besoins d’urgence du PAM, août 2007.

Market Analysis Tool: Terms of Trade. Unité des analyses économiques du PAM, août 2007.

Methods and Tools for Conflict Analysis. Unité des situations d’urgence et de transition du PAM, août 2007.

Participatory Techniques and Tools - A WFP Guide, 2001.

345Bibliographie

Policies and Procedures for the Use of the Immediate Response Account (IRA). Directive conjointe du Département des opérations et du Département de l’administration du PAM, 18 octobre 2005 (OD2005/005, A 2005/009).

Thematic Guidelines on Sampling. Sous-Division de l’analyse et de la cartographie de la vulnérabilité du PAM, décembre 2004.

Publications d’autres organisations

Les publications suivantes sont présentées dans l’ordre alphabétique des noms d’organisations éditrices.

CARe USA. The Coping Strategies Index, Field Methods Manual, de D. Maxwell (Feinstein International Center) et R. Caldwell (TANGO International). Deuxième édition, janvier 2008.

DfID. Sustainable Livelihoods Approaches: progress and possibilities for change, de D. Carney. Londres, 2002.

fAO. Integrated Food Security Phase Classification (IPC) User Guide. Projet en cours de finalisation. Juillet 2008.

fICR. Lignes directrices pour l’évaluation des situations d’urgence, 2005.

IASC. Directives en vue d’interventions contre la violence basée sur le sexe dans les situations de crise humanitaire, Centrage sur la prévention et la réponse à la violence sexuelle dans les situations d’urgence, septembre 2005.

IPC, Partenaires globaux. Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire - Manuel technique - Version 1.1, FAO, Rome, 2008.

ODI. A Critical Review of Approaches to Assessing and Monitoring Livelihoods in Situations of Chronic Conflict and Political Instability (SCCPI), de S. Jaspars et J. Shoham, document de travail n° 191 de l’ODI, 2002. Londres.

ODI. Contingency Planning and Humanitarian Action, a Review of Practice, de R. Choularton, note n° 59 de l’ODI, mars 2007.

ODI. Remittances during crises: implications for humanitarian response, sous la direction de K. Savage et P. Harvey. Rapport n° 25 du Humanitarian Policy Group. Londres, mai 2007.

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition346

Réseau pour l’apprentissage actif sur la responsabilité et la performance en matière d’assistance humanitaire (ALNAP). Participation by Crisis-Affected Populations in Humanitarian Action: A Handbook for Practitioners, 2003.

Save the Children. Emergency Nutrition Assessment: Guidelines for Field Workers, 2004.

Save the Children. The practitioners’guide to the Household Economy Approach. Regional Hunger and Vulnerability Programme, Food Economy Group and Save the Children, 2007.

Sphere Project (The). Humanitarian Charter and Minimum Standards in Disaster response, Geneva, 2004.

347Liste des Encadrés

Liste des encadrésEncadré 1.1 Avoirs et stratégies 26Encadré 2.1 Faisabilité de l’évaluation 46Encadré 2.2 Terminologie employée dans le plan d’analyse

d’une EFSA 47Encadré 2.3 Établissement des besoins d’information prioritaires

au moyen du Cadre conceptuel de la sécurité alimentaire et nutritionnelle 52

Encadré 2.4 Indicateurs de substitution de la sécurité alimentaire 60Encadré 2.5 Analyse croisée 63Encadré 2.6 Calcul du score de la consommation alimentaire 73Encadré 2.7 Validation du score de la consommation alimentaire 76Encadré 2.8 Procédure d’établissement de l’indice des stratégies

de survie 87Encadré 2.9 Élaboration des indicateurs des stratégies de survie 90Encadré 3.1 Règle empirique de constitution d’un échantillon

raisonné 113Encadré 3.2 Échantillonnage aléatoire en deux étapes ou simple 120Encadré 3.3 Règle empirique d’estimation de la taille de

l’échantillon dans une enquête auprès des ménages 121Encadré 3.4 Règle empirique de détermination du nombre

de grappes dans un échantillon aléatoire 123Encadré 3.5 Problèmes courants liés aux données primaires 137Encadré 3.6 Principales caractéristiques des questionnaires 140Encadré 3.7 Principales caractéristiques des entretiens

semi-structurés 141Encadré 3.8 Conseils relatifs à la conduite d’entretiens

semi-structurés 145Encadré 3.9 Collecte de données dans un contexte de

violence sexuelle et sexiste 148Encadré 3.10 Conseils visant à faciliter les discussions avec

des groupes de concertation 150Encadré 3.11 Règles générales de sélection des informateurs clés 152Encadré 4.1 Insécurité alimentaire chronique et transitoire 171Encadré 4.2 Utilisation de données qualitatives pour déterminer

les groupes de population, ménages et personnes exposés à l’insécurité alimentaire et à la malnutrition 177

Encadré 4.3 Utilisation de données qualitatives pour établir les profils des personnes et des ménages exposés à l’insécurité alimentaire et à la malnutrition 181

Encadré 4.4 Compilation des informations antérieures à la crise à l’aide d’une discussion avec un groupe de concertation 186

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition348

Encadré 4.5 Démarche adoptée dans l’IPC 189Encadré 4.6 Estimation et utilisation du déficit de consommation

alimentaire 192Encadré 4.7 Estimation et utilisation du déficit d’accessibilité

alimentaire 193Encadré 4.8 Opportunités et chocs 195Encadré 4.9 Prévision des opportunités et des chocs 196Encadré 4.10 Parties prenantes traditionnelles des programmes

d’intervention en matière de sécurité alimentaire 228Encadré 4.11 Analyse des conflits et principe consistant

à “ne pas nuire” 239Encadré 5.1 Utilisateurs potentiels du rapport d’une EFSA 255Encadré 5.2 Procédures du PAM en matière de communication

des résultats d’une EFSA 256

349Liste des Figures

Liste des figuresFigure 1.1 Cadre conceptuel de la sécurité alimentaire et nutritionnelle 31Figure 3.1 Exemple de calendrier saisonnier 158Figure 3.2 Exemple de chronologie historique 159Figure 3.3 Exemple d’empilement proportionnel 160Figure 4.1 Arbre de décision pour la sélection des options

d’intervention 235

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition350

Liste des TableauxTableau 1.1 Évaluations interorganisations 41Tableau 2.1 Modèle de plan d’analyse 47Tableau 2.2 Modèle de collecte d’informations sur les moyens

de subsistance avant le choc 50Tableau 2.3 Chocs soudains et répercussions sur la situation

nutritionnelle et la sécurité alimentaire 51Tableau 2.4 Crises à évolution lente et répercussions

sur la situation nutritionnelle et la sécurité alimentaire 51Tableau 2.5 Informations contextuelles 56Tableau 2.6 Taux bruts de mortalité 67Tableau 2.7 Indicateurs anthropométriques et cliniques

de la situation nutritionnelle 69Tableau 2.8 Exemples d’indicateurs complémentaires

permettant d’éclairer la situation nutritionnelle 71Tableau 2.9 Modèle de calcul du score de la consommation alimentaire 75Tableau 2.10 Seuils de score de la consommation alimentaire

et niveaux d’apport énergétique par catégorie de consommation alimentaire 77

Tableau 2.11 Exemples d’indicateurs de l’accès à l’alimentation 78Tableau 2.12 Indicateurs de marché 83Tableau 3.1 Sources de données secondaires 101Tableau 3.2 Détermination des déficits d’information, exemples 102Tableau 3.3 Cas d’emploi des différents types d’échantillonnage 110Tableau 3.4 Tableau de définition des grappes 127Tableau 3.5 Exemple de calendrier d’une EFSA 133Tableau 3.6 Difficultés courantes des entretiens par questionnaire

et solutions 143Tableau 3.7 Exemple de formulaire de consignation des observations 156Tableau 3.8 Exemple de classement par paires 161Tableau 4.1 Phases d’analyse d’une EFSA 167Tableau 4.2 Caractéristiques des ménages souffrant de malnutrition 178Tableau 4.3 Exemples de personnes et de ménages exposés à

des risques menaçant leur santé et leurs moyens de subsistance, et raisons possibles 184

Tableau 4.4 Interprétation de la gravité à l’échelon de la population des indicateurs de mortalité et d’état nutritionnel 188

Tableau 4.5 Principaux indicateurs et seuils de référence utilisés dans la démarche de l’IPC 190

Tableau 4.6 Documentation des opportunités et des chocs, exemples 197Tableau 4.7 Chocs et répercussions potentielles sur la sécurité alimentaire 199Tableau 4.8 Scénarios et répercussions, exemples 206

351Liste des Tableaux

Tableau 4.9 Chocs et répercussions sur les différents groupes, exemples 209Tableau 4.10 Processus général de détermination du déficit vivrier 215Tableau 4.11 Vue d’ensemble des groupes touchés dans les différents

scénarios, exemples 221Tableau 4.12 Facteurs associés aux risques des différents groupes,

exemples 225Tableau 4.13 Interventions en cours et prévues, exemples 229Tableau 4.14 Résumé des interventions et des lacunes

pour les groupes exposés 230Tableau 4.15 Interventions d’ordre alimentaire et non alimentaire

selon le facteur de risque 233Tableau 4.16 Interventions ciblées, exemples 240Tableau 4.17 Données et calendrier de surveillance continue, exemple 243Tableau 5.1 Modèle de rapport d’une EFSA 249Tableau 5.2 Contenu de la note de synthèse 257

Manuel d’évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence / Deuxième édition352

Documents sur le DVD

Le DVD contient les documents de référence, manuels, fiches techniques et autres ressources utiles pour mener une analyse de la sécurité alimentaire.

Langues: les documents sont en anglais, à moins d’une indication contraire. Manuels efSA (éditions de 2009 et 2005) en anglais, français et espagnolGuide technique de l’analyse approfondie la sécurité alimentaire et de la vulnérabilité - CfSVA (édition 2009) fiches techniques VAM (certaines sont en français)- Evaluation initiale - Evaluation en milieu urban- Analyse des marchés- Nutrition- Moyens et stratégies de subsistance- Consommation alimentaire- Estimation de la taille d’une population et échantillonnage - Analyse qualitative- VIH /sida- Participation et genre- Capacité de réponse au niveau national- AutresDirectives interorganisations en matière d’évaluation des besoins- Lignes directices HCR/PAM pour les Missions d’évaluation conjointe (JAM),

mars 2009- Lignes directrices FAO/PAM pour les Missions d’évaluations des récoltes et de la

sécurité alimentaire (CFSAM), janvier 2009- Fiche technique Evaluation rapide initiale (IRA), Comité Permanent

Interorganisation (IASC)- Cadre de l’analyse des besoins, Processus d’Appel Global (CAP), avril 2005Directives interorganisations et des partenaires en matière de sécurité alimentairePrincipes humanitaires et protection Directives du PAM pour l’élaboration d’un plan de contingenceInstruments et modèles à utiliser lors d’une efSA, CfSVA ou évaluation inter-agence- Examples de termes de référence- Exemples de listes de vérification et de questionnaires - Exemples de notes de synthèse (briefs) et format standard- Exemples de rapports- Format standard des fiches de contrôle de la qualité

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353Crédits

Crédits

PhotographiesCouverture, première ligne, de gauche à droite PAM / Kornelius Schiffer PAM / Sven Torfinn PAM / Elmer Martinez

Couverture, deuxième ligne, de gauche à droite PAM / Marcus Prior PAM / Riccardo Gangale PAM / Rein Skullerud

Couverture, troisième ligne, de gauche à droite PAM / Caroline Chaumont PAM / Riccardo Gangale

Page 8: PAM / Edith ChampagnePage 19: PAM / Evelyn Hockstein-Polaris Page 43: PAM / Alejandro ChicheriPage 93: PAM / Amy Horton Page 163: PAM / Rein Skullerud Page 245: PAM / Leah Richardson Page 261: PAM / Frederic Loward

TraductionIsabelle BuiretteChristophe LaffargeSonia Massé

Graphisme et mise en pageAdriana BrunettiEnrico Masci

RelectureOdile Ratinaud

ImpressionStilgrafica SRL

ProductionCaroline ChaumontMark Bennett

Notes

Notes

Notes