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ACTIONS de Abrasifs Forge Chaudronnerie Agroéquipe- ment Usinage Mécatronique Moules & prototypes Usinage Abrasifs et carbures Usinage Pompes Usinage Métaux en feuilles Roulements Ressorts Machines & technologies de production Fixations Optique Équipements énergétiques Protections Matériel textile Traitements de surfaces Manutention Décolletage Filtration et épuration

Actions de syndicats

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Selon Jérôme Frantz, président de la FIM, « nos organisations professionnelles n'ont qu'un seul but : aider nos entreprises à construire un écosystème qui leur permette de reconquérir leur place dans l'économie. » La brochure « Actions de syndicats » en témoigne. Découvrez une vingtaine de syndicats professionnels, leurs actions et leurs projets du moment.

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ACTIONS de

Abrasifs

Forge

Chaudronnerie

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Mécatronique

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prototypes Usinage Abrasifs

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Équipements

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Matériel

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Manutention

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Usinage

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Difficile pour un chef d’entreprise de s’extraire du quotidien pour prendre de la hauteur, échanger avec ses pairs, trouver des appuis, améliorer sa visibilité ou se tenir informé de l’évolution de la conjoncture et des marchés. La solution ? Adhérer à un syndicat professionnel.

En adhérant à un syndicat pro-fessionnel, vous renforcez le champ d’action de votre entre-prise, tout en élargissant votre vision de l ’industrie méca-nique. Vos avis sont relayés par des porte parole auprès des décideurs du monde politique et économique. Vous bénéfi-ciez de l’expertise d’un réseau d’acteurs spécialisés qui faci-litent vos affaires au jour le jour en vous accompagnant dans vos problématiques quotidiennes d’ordres juridique, réglemen-taire, technique ou financier.

Cette brochure vous présente une vingtaine de syndicats pro-fessionnels, leurs actions et leurs projets du moment. Tous sont membres de la Fédération des Industries Mécaniques (FIM). Cette dernière regroupe les entreprises mécaniciennes fran-çaises et défend leurs intérêts auprès de l’Union européenne, des pouvoirs publics français et de tous les lieux de décision où il est utile d’être représenté.

Nos organisations professionnelles n’ont qu’un seul but : aider nos entreprises à construire un écosystème qui leur permette de reconquérir leur place dans l’économie mondiale. »

JÉRÔME FRANTZ, PRÉSIDENT DE LA FIM

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1. QUELS SERVICES LA FÉDÉRATION DES INDUSTRIES MÉCANIQUES PROPOSE-T-ELLE AUX SYNDICATS ET AUX

ENTREPRISES ADHÉRENTES ? La FIM permet aux entreprises adhérentes des syndicats de se faire entendre d’une seule voix sur des sujets communs. Les cibles de notre action : les pouvoirs publics, à l’échelle régionale, nationale, européenne et internationale ainsi que nos clients, fournisseurs et partenaires. Une fédération, c’est un formidable levier d’actions collectives. Tous les membres bénéficient de l’expertise et des compétences de la FIM dans les domaines juridiques, techniques, fiscaux, économiques, statistiques et dans le financement…

Comment conquérir de nouveaux marchés à l’international ? Comment interpréter les directives européennes ? Quels moyens sont disponibles pour l’innovation ? Comment maîtriser la réglementation technique ? Comment bénéficier d’une veille économique ? Tous les services de la FIM sont à même de répondre à ces questions. De plus, la FIM met à disposition des compétences pour la communication, l’organi-sation régionale, les groupements de marchés, l’environnement et l’international.

2. QUELLES SONT LES ACTIONS DE L’INDUSTRIE MÉCANIQUE À DESTINATION DES JEUNES ?

Avec 620 000 salariés, la mécanique est le premier employeur industriel. Le secteur a besoin de recruter entre 40 et 50 00 personnes par an d'ici 2020. La communication vers les jeunes mais aussi tous les publics concernés (parents, enseignants, pouvoirs publics, institutionnels…) est au cœur de nos priorités. C’est pourquoi nous venons de signer un accord avec l’Onisep. Celui-ci devrait nous permettre d’améliorer notre communication « métiers » et notre visibilité envers le monde académique. Des parcours métiers sur les salons, la rédaction de fiches métiers et bien d’autres projets sont déjà en cours. De plus, nous voulons développer la présence des industriels dans les conseils d’orientation et les conseils d’administration des écoles d’ingénieurs.

Quatre Questions à MICHEL ATHIMON, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE LA FÉDÉRATION DES INDUSTRIES MÉCANIQUES (FIM)

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www.bienplusqu1industrie.com

3. POURQUOI AVOIR LANCÉ UNE CAMPAGNE DE COMMUNICATION EN JUIN 2012 ?

Cette campagne de communication intitulée « La mécanique en France, bien plus qu’une industrie » doit remédier à un déficit d’image et de notoriété de l’industrie et de la mécanique en particulier. Il faut sensibiliser nos clients et partenaires mais aussi les décideurs politiques, économiques et le grand public au rôle central de la mécanique dans l’industrie et dans l’économie nationale.

Nous avons pour cela publié et diffusé à plus de 20 000 exemplaires un manifeste « Pourquoi concevoir et produire en France dans une économie globalisée ». Son ob-jectif : proposer des actions pour renforcer la compétitivité des entreprises de notre secteur, en France et à l’international. Le point d’orgue de la campagne, ce sont les Assises « So Mécanique » le 6 février 2013 à Paris, un grand moment de rencontres entre tous les professionnels de la mécanique et les décideurs économiques.

4. QUELLE EST LA STRATÉGIE DE LA FÉDÉRATION À MOYEN TERME ?

La FIM a un seul objectif : développer des actions pour améliorer la compétitivité des entreprises face à la concurrence mondiale. Nous allons accompagner les PME mécaniciennes à mieux se structurer dans cet objectif. Pour l’atteindre, un mot clé : ensemble.

Ensemble pour dynamiser le réseau de nos entreprises, en multipliant les occa-sions de rencontres. Ensemble, pour développer nos réseaux territoriaux dans toutes les régions. Nous souhaitons encourager nos entreprises à travailler « en équipe » sur de grands projets. Ensemble pour conquérir de nouveaux marchés. C’est tout l’objet des groupements de marchés qui permettent aux différents métiers de la mécanique de proposer des offres structurées notamment dans le médical, le ferroviaire, l’énergie… Ensemble pour élargir nos horizons. Nous allons également renforcer notre pré-sence dans le réseau des pôles de compétitivité de la mécanique. L’innovation est une opportunité pour développer l’exportation de nos PME. Ensemble avec d’autres fédérations, pour favoriser les synergies. Nous participons activement aux groupes de travail du Groupement des Fédérations Industrielles (GFI). Nous contribuons ainsi à la réflexion sur les grands enjeux de l’industrie française, tels que le coût du travail, la simplification de la réglementation ou la réciprocité des échanges commerciaux.

Quatre Questions à MICHEL ATHIMON, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE LA FÉDÉRATION DES INDUSTRIES MÉCANIQUES (FIM)

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Aux côtés de ses 30 syndicats professionnels membres, la FIM intervient sur des sujets d'inté-rêt commun aux mécaniciens dont elle se fait le porte-parole auprès des structures profession-nelles nationales et européennes.

Elle agit au cœur d’un réseau puissant : centres techniques, partenaires financiers, organisa-tions patronales telles que le Medef, le GFI (Groupe des Fédérations Industrielles) et d'organi-sations européennes telles que l’Orgalime, (Groupe de liaison des associations européennes des industries mécaniques, métalliques, électriques et électroniques).

La FIM au cœur de toutes les instances de décision

Comités européensEurope

Questions économiques et techniques

France

Centres techniques

2 500 entreprises adhérentes

30 syndicats professionnels

Questions sociales

LES GRANDS DOMAINES D’ACTIVITÉ DE LA FIM

45 % Équipement : machines, systèmes de production, composants 9 % Précision : optique, santé, instruments de mesure 46 % Transformation : sous-traitance, outillages, articles de ménages

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1- AFF p.6 Association française de forge Créer un environnement économique et technique favorable

2- Affix p.7 Association des fabricants de fixations mécaniques Partager l’expérience et l’information

3- Amics-E&PI p.8 Usinage, machines spéciales, procédés industriels Les mécaniciens parlent aux mécaniciens

4- Artema p.9 Association des roulements, des transmissions, de l’étanchéité et de la mécatronique associée Promouvoir nos technologies

5- Axema p. 10 Union des industriels de l’agroéquipement Regrouper les forces au niveau européen

6- Cisma p.11 Syndicat des équipements pour construction, infrastructures, sidérurgie et manutention La normalisation au cœur des préoccupations

7- FIM-AC p.12 Abrasifs et carbures La sécurité avant tout

8- FIM Moules & Prototypes p.13 Association française des industries du moule, modèle, maquette et métiers associés Au plus près des entreprises

9- FIM-Énergétique p.14 Association syndicale des équipements énergétiques Relever les défis énergétiques

10- FIM Ressorts p.15 Syndicat national des fabricants de ressorts Valoriser les entreprises

11- Gifo p.16 Groupement des industriels et fabricants de l’optique Fédérer les métiers de l’optique

12- Gimef p.17 Groupement français des industries transformatrices des métaux en feuilles Orienter les entreprises pour favoriser leur développement

13- Profluid p.18 Association française des pompes et agitateurs, des compresseurs et de la robinetterie Efficacité énergétique : une approche globale

14- SNCT p.19 Syndicat national de la chaudronnerie, tuyauterie et maintenance industrielle Privilégier les relations de partenariat avec les donneurs d’ordre

15- SNDEC p.20 Syndicat national du décolletage Expansion 2020, un plan stratégique unique à l’échelle d’une profession

16- Symop p.21 Syndicat des machines et technologies de production Productiver pour plus de compétitivité

17- Synamap p.22 Syndicat national des acteurs du marché de la prévention et de la protection Valoriser la protection de l’homme au travail

18- UCMTF p.23 Union des constructeurs de matériel textile de France Promouvoir les exportations et protéger la propriété intellectuelle

19- UITS p. 24 Union des industries de traitements de surfaces Acteur essentiel du développement durable

20- Uniclima p.25 Applications industrielles en matériels aérauliques Améliorer la qualité de l’air : la profession reléve le défi

Sommaire

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Forge1

« L’AFF (Association Française de Forge) représente les entre-prises françaises de la forge (estampage, matriçage, extrusion, forge libre et laminage circulaire). Transformatrice de nombreux métaux, cette profession s’affiche comme l’un des métiers qui a réussi sa mutation technologique pour répondre aux exigences du nou-veau millénaire. La forge française représente 9 000 employés pour 500 000 tonnes livrées vers des secteurs aussi variés que l’automo-bile, l’aéronautique, l’armement, le spatial, le matériel ferroviaire, le matériel médical, le BTP, la chimie, l’énergie, les constructions méca-niques, les accessoires de luxe, etc. Principale mission de l’AFF : créer avec ses adhérents un environne-ment économique et technique favorable en France comme à l’international. L’association les

Créer un environnement économique et technique favorable

NOUS L’AVONS FAIT

Taxe intérieure de consommation : les forges exemptéesLe secteur de la forge ayant été « oublié » lors des exonérations de taxe sur le gaz naturel au titre du double usage, l’AFF s’est mobilisée pour étendre aux forges utilisatrices de gaz naturel le bénéfice du dispositif plus favorable concernant l’électricité déjà obtenu par l’association en 2010. C’est chose faite depuis le 19 mars 2012 avec le décret paru au JO qui prévoit l’extension de l’exonération de la Taxe Intérieure de Consommation (TIC) sur les produits pétroliers, le charbon et le gaz naturel au bénéfice « … du travail mécanique à chaud des métaux par forgeage, matriçage et estampage » (rubrique 2560). Cet allégement de charges résulte directement de l’action conduite par l’AFF auprès du Président de l’Assemblée nationale à la suite de sa visite sur le stand de la profession sur le Midest, et des échanges avec le cabinet du ministre de l’Industrie.

accompagne dans les principaux défis que les forges doivent relever : maîtrise des coûts, internationali-sation et innovation technologique. Depuis 2000, l ’AFF publie une revue professionnelle, "La forge", seul magazine français intégrale-ment dédié à cette industrie et à ses secteurs clients. Son objectif : promouvoir et faire connaître la profession auprès des clients, des bureaux d’études, des fournisseurs et de l’enseignement.Quant à la norme NF E 82-004 sur les conditions de retouche avant livraison des pièces forgées à chaud, à mi-chaud, elle a été éla-borée à la demande et avec la col-laboration de l’AFF. Elle devrait prochainement devenir norme européenne. »

Jean-Luc Brillanceau, directeur général de l’AFF

TÉMOIGNAGE ANTOINE SELOSSE, RESPONSABLE D’EXPLOITATION DE NTN TRANSMISSIONS EUROPE CRÉZANCY

Échange de bonnes pratiques « La compétitivité et la pérennité de notre secteur industriel de la forge sont grandement liées à notre capacité à maîtriser nos coûts de production et à anticiper l’évolution des marchés. Les échanges de bonnes pratiques que nous avons sur les questions techniques au niveau de l’AFF nous permettent d’améliorer continuellement notre efficience énergétique et environnementale, notamment dans le cadre de la Commission Maintenance de l’AFF. »

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AFF

U 35 adhérents U Chiffre d’affaires de la profession : 1,6 milliard d’eurosU 9 000 emplois directsU 4 permanentsU Contact : Jean-Luc Brillanceau,directeur géné[email protected] 01 47 17 64 17

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Actions de Syndicats | 7

Fixations mécaniques2

« Notre ancêtre, la Chambre syndicale de la boulonnerie, aujourd’hui l’Affix, regroupe 90 % de la profession. Nous accueillons toutes les entreprises de fixations mécaniques à condition qu’elles produisent sur le sol français. Parmi nos membres, nous comptons de nombreuses PME qui travaillent sur des produits précis aux côtés de deux grands groupes mondiaux. La présence de ces groupes consti-tue un atout indéniable. Leurs collaborateurs font bénéficier les représentants des entreprises plus modestes de leur connaissance des marchés mondiaux. De plus, l’Affix joue un rôle moteur au niveau euro-péen, puisque le syndicat assure le secrétariat de l’organisation euro-péenne. Nos adhérents s’impliquent

Partager l’expérience et l’information

NOUS L’AVONS FAIT

Les fondamentaux de la fixationLa commission Distribution de l’Affix a décidé d’élaborer un guide intitulé « Fixations mécaniques, les fondamentaux ». Objectif : faire découvrir, notamment aux jeunes collaborateurs, les métiers, les produits et l’environnement des entreprises du secteur de la fixation. Les commissions R & D et qualité ont enrichi le support « Formation » qui verra le jour au cours du dernier trimestre 2012.Autre document en cours d’élaboration, le QCM (Questionnaires à choix multiples) permettra de valider l’acquisition des différents chapitres du support « Formation ».

beaucoup dans les commissions (juridique, logistique, qualité, nor-malisation, R & D…), notamment pour rédiger des documents de référence, tel que le guide des pra-tiques et des règles de l’art pour la fourniture des produits de fixations.Enfin, nous défendons nos adhé-rents qui travaillent à 50 % pour l’automobile. Nous alimentons la réflexion de la direction juridique de la FIM et nous lui faisons remon-ter des informations, notamment sur les délais de paiement et les pratiques abusives. En collectant des cas issus de différents secteurs, la FIM dispose ainsi de plus de poids pour faire avancer les choses. »

Denys Tremblais, délégué général de l’Affix

TÉMOIGNAGE FRANCIS MOLINA, PRÉSIDENT DE LA COMMISSION UNM 04

La normalisation, gage d’avance technologique « L’Affix représente tous ses adhérents dans les commissions de normalisation. Ainsi, le syndicat travaille actuellement sur les calculs d’assemblage pour lesquels il n’existe aucune norme officielle. La normalisation permet d’imposer des savoir-faire et des caractéristiques techniques qui peuvent donner une avance technologique aux fabricants qui les respecte. D’où l’importance d’être présent très en amont de l’élaboration des normes en participant aux travaux de l’Affix. »

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AFFIX

U 28 adhérents répartis dans 12 commissionsU Chiffre d’affaires de la profession : 950 millions d’eurosU 7 500 emplois directsU 3 permanentsU Contact : Denys Tremblais, délégué géné[email protected] 01 47 17 64 24www.affix.org

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agroalimentaire, l ’Amics-E&Pi traque l ’innovation auprès des acteurs majeurs de la profession, chaque printemps à l’occasion du salon CFIA (Carrefour des fournis-seurs de l’industrie agroalimen-taire) de Rennes.À l’automne, sur le salon Midest, les entreprises de l’usinage et de la machine spéciale sont mises à l’honneur en exposant sur le "vil-lage" de l ’Amics-E&Pi où nous organisons des parcours d’experts pour répondre aux besoins précis des visiteurs. »

Christian Guérin, délégué général de l’Amics-E&Pi

Usinage, machines spéciales, procédés industriels

« Au niveau national, les adhé-rents de notre syndicat pro-fessionnel prennent une part importante dans l’arbitrage des affectations budgétaires du Cetim tant pour la commission du maté-riel alimentaire (Mali) que pour celle de la mécanique industrielle et des machines spéciales, avec un budget global annuel proche d’un million d’euros.Au niveau territorial, outre notre contribution régulière aux événe-ments régionaux initiés par le Cetim pour l’usinage et les machines spé-ciales, nous participons activement à Equip’agro, notre comité rhônalpin de l’équipement agroalimentaire qui organise ses rencontres chez les grands comptes de l’alimentaire, par l’entremise de notre délégation régionale de la FIM basée à Lyon.Témoin de notre implication régio-nale, les présidences de plusieurs Comités Mécaniques, de PACA jusqu’au Nord-Pas-de-Calais en passant par les Pays-de-la-Loire, l’Île-de-France et prochainement la Franche-Comté, ont été confiées à des chefs d’entreprise membres actifs de l’Amics-E&Pi. Ce sont nos ambassadeurs régionaux.Cheville ouvrière de l’équipement

3Les mécaniciens parlent aux mécaniciens

TÉMOIGNAGE SERGE HORELLOU, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE COUÉDIC MADORÉ ÉQUIPEMENT

Défendre le chef d’entreprise« Confronté à un accident sur l’une de nos machines, un client a voulu engager ma responsabilité personnelle de chef d’entreprise. Par l’intermédiaire de l’Amics-E&pi, les juristes de la FIM m’ont apporté une aide précieuse avec rapidité, compétence et précision. J’ai pu adresser à mon client un courrier, dénué de toute agressivité, pour lui rappeler sa propre responsabilité en matière d’accident. Ce courrier constituera un élément juridique précieux en cas d’éventuelle poursuite.Face à ce type de problème, la première réaction est de se culpabiliser. Les juristes m’ont permis de sortir de ce piège, à un moment où le chef d’entreprise se sent bien seul. »

NOUS L’AVONS FAIT

Pot de terre contre pot de ferUne entreprise adhérente achète la licence de fabrication d’un équipement à la filiale d’une multinationale et investit plusieurs millions d’euros dans son développement. Deux ans plus tard la licence se révèle infructueuse et l’adhérent découvre l’existence d’une étude amont dissimulée qui condamnait cette technologie. L’action de lobbying menée par l’Amics-E&pi auprès des médias et de la maison mère de la filiale coupable a permis d’aboutir à une transaction rapide à hauteur des deux tiers du préjudice subi par la PME qui préférait nettement cette concession plutôt que de mourir avant d’obtenir gain de cause devant la justice.

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AMICS-E&PI

U 69 adhérents de la TPE à la filiale de grands groupes, répartis entre usineurs et concepteurs/constructeurs de machines spéciales et de process industrielsU 1 bureau de 7 industriels, 1 conseil d’administration de 16 membres U Chiffre d’affaires de la profession : 7 milliards d’euros pour les usineurs dont 20 % à l’exportation ; 6 milliards d’euros pour les concepteurs/constructeurs de machines spéciales et de process, dont près de la moitié à l’exportationU 50 000 emplois directs pour les usineurs, 30 000 pour les concepteurs/constructeurs de machines spéciales et de process industrielsU 2 permanents adossés aux experts de la FIMU Contact : Christian Guérin, délégué géné[email protected] 47 17 64 31www.amicsepi.fr

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Roulements, transmissions, étanchéité et mécatronique associée4

« Artema est avant tout un lieu d’échanges entre les industriels de la mécatronique. Le syndicat orga-nise plus de 60 réunions par an, dont les journées Artema qui ras-semblent environ 100 personnes chaque année. Les groupes professionnels défi-nissent les actions du syndicat sui-vant deux axes prioritaires. D’abord, la défense et la promotion de nos professions. La mécanique est notre premier secteur client, nous en sommes donc très dépendants. Nous nous attachons à promou-voir les technologies développées par nos professions notamment face aux évolutions normatives et réglementaires. Par exemple, en matière d’écoconception et d’effi-cacité énergétique, la Commission européenne a tenté de produire des textes visant à substituer la trans-mission électrique aux transmis-sions hydrauliques, mécaniques et

Promouvoir nos technologies

NOUS L’AVONS FAIT

IMA : l’événement mécatronique En 2010, avec le Gimelec, Artema a créé IMA. Organisé tous les deux ans sous la forme de trois rendez-vous itinérants régionaux, « Innovative Mechatronics Automation » se veut un événement professionnel à taille humaine qui favorise le contact direct entre l’offre et le marché dans les domaines complémentaires de la mécatronique et de l’automation. Objectif : valoriser l’innovation de la profession et mettre en avant la valeur ajoutée des solutions multi-technologiques. Chaque rencontre s’articule autour de trois pôles complémentaires : des conférences et des tables rondes experts, un espace de rencontres et un outil web.

pneumatiques. Nous sommes inter-venus avec succès pour que la régle-mentation n’impose pas le choix de telle ou telle technologie, ce choix devant rester du ressort des clients et des utilisateurs.Deuxième axe prioritaire de notre action, la connaissance précise du marché. Artema fournit à ses adhé-rents des chiffres et des données spécifiques à nos métiers qu’ils ne peuvent trouver nulle part ailleurs. Une connaissance fine des marchés qui constitue un atout supplémen-taire pour nos adhérents. »

Laurence Chérillat, déléguée générale d’Artema

TÉMOIGNAGE GILLES DE JUVIGNY, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE CMD

Rompre l’isolement du chef d’entreprise « Pour un chef d’entreprise, il est essentiel de ne pas rester isolé et de rencontrer ses pairs qui sont confrontés à des problèmes similaires aux siens. Appartenir à un syndicat permet de rompre cet isolement et de prendre du recul. Par exemple, nous avons traité récemment des salaires des cadres pour voir si notre politique salariale était adaptée. De même, nous échangeons sur les évolutions générales et les perspectives du marché. Des échanges qui peuvent avoir lieu au niveau européen, pour parler technique, relations avec les fournisseurs, tendances des marchés… »

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ARTEMA

U 110 adhérents répartis dans 8 groupes professionnels et 4 commissions transversesU 1 conseil d’administration de 13 industrielsU Chiffre d’affaires de la profession : 5,3 milliards d’euros, dont 53 % à l’exportationU 28 800 emplois directsU 7 permanentsU Contact : Laurence Chérillat, déléguée géné[email protected] 47 17 63 94www.artema-france.org

Ateliers animés par les adhérents aux journées Artema 2011

Page 12: Actions de syndicats

10 | Actions de Syndicats

Agroéquipement5

« L’évolution des normes et de la directive machine figure parmi nos principales préoccupations. Pour mieux défendre les intérêts de notre profession et garantir la compétitivité de nos entreprises, nous travaillons au niveau euro-péen avec nos neuf homologues du Vieux Continent, par l’intermédiaire d’un bureau de représentation à Bruxelles animé par trois perma-nents qui suivent les dossiers et portent notre voix.Outre ce travail d’influence et de lobbying, le syndicat est très actif sur les salons professionnels. Il est d’ailleurs partie prenante des deux événements les plus importants de la profession en France (hors le Salon de l’agriculture) : le SIMA (Salon mondial des matériels et équipements de l’agriculture et de l’élevage) et le SITEVI (Salon inter-national des techniques et équipe-ments vitivinicoles et arboricoles). Nous travaillons actuellement sur le devenir de ces salons ainsi que sur notre positionnement sur les

Regrouper les forces au niveau européen

salons à l’étranger, notamment en Algérie, en Chine et en Argentine. Objectif : valoriser encore mieux nos entreprises sur les marchés les plus importants. »

Alain Savary, délégué général d'Axema

TÉMOIGNAGE GILBERT JOUAN, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE SULKY-BUREL

Défendre les intérêts français « Nous avons investi 20 millions d’euros dans un nouvel outil industriel plus flexible, plus modulable, qui nous permet de fabriquer à la commande des machines innovantes, tout en réduisant notre impact sur l’environnement. Nous sommes confiants dans l’avenir du marché agricole et nous souhaitons produire des machines plus grandes pour répondre à de nouvelles exigences, notamment à l’exportation. En effet, nous voulons porter de 30 à 50 % la part de notre chiffre d’affaires à l’export. Nous avons fait le choix d’investir en France pour profiter du savoir-faire de nos salariés et de celui de notre réseau de sous-traitants.Dans ce contexte, le syndicat professionnel nous permet d’échanger des expériences et des informations entre collègues, de mener des actions communes, de découvrir ensemble de nouveaux marchés. Une façon de s’ouvrir au monde. »

NOUS L’AVONS FAIT

Connaître le marché par les immatriculationsAxema gère désormais un nouveau portail des immatriculations des véhicules agricoles. À ce titre, il reçoit mensuellement les 150 000 mouvements qui affectent les 800 000 lignes contenues dans sa base de données. Pour les professionnels du secteur, ces données sont enrichies des référentiels des constructeurs et de la localisation des engins. Ce qui leur permet, mois par mois, de se situer par rapport au marché global, et ce, jusqu’à l’échelle de la commune.

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AXEMA

U 230 adhérents U Chiffre d’affaires de la profession : 4 milliards d’eurosU 20 000 emplois directsU 15 permanents répartis entre les services technique, économie, international, adhérents/communicationU Contact : Alain Savary, délégué général [email protected] 42 12 85 91www.axema.fr

Page 13: Actions de syndicats

Actions de Syndicats | 11

Construction, infrastructures, sidérurgie et manutention6

« Pour les fabricants de biens d’équipement, les réglementa-tions européennes ont une impor-tance capitale. C’est pourquoi, nous sommes très vigilants sur leur déve-loppement et leur application, et no-tamment sur le contenu des normes liées à la réglementation. Ainsi, nous représentons et défendons la profession dans les commissions de normalisation. En corollaire, le syndicat se montre très actif en ma-tière de surveillance des marchés. Par exemple, nous intervenons sur les salons ou dans les ventes aux enchères, pour repérer les produits non conformes et nous travaillons en relation avec les fédérations qui représentent nos clients. Le Cisma souhaite également offrir à ses entreprises adhérentes des outils leur permettant de se développer.

La normalisation au cœur des préoccupations

NOUS L’AVONS FAIT

Demoroute : au plus près des utilisateursDepuis une dizaine d’années, le Cisma organise Demoroute. Cette manifestation s’adresse aux services techniques des collectivités territoriales, aux directions interdépartementales des routes, aux sociétés concessionnaires d’autoroutes et aux entreprises. Tous les ans, dans une région de France, les industriels du secteur de la viabilité hivernale, de l’entretien des dépendances routières et de l’entretien routier y présentent leurs matériels en mouvement et mettent en avant leurs technologies.

Pour qu’elles aient une bonne connaissance des marchés mon-diaux, le syndicat produit des sta-tistiques économiques fines, des revues techniques et nombre de données accessibles sur Internet. C’est également pour les aider dans leur développement, que nous les accompagnons dans les expositions en France et à l’étranger.Enfin, le Cisma se veut un lieu de rencontres et d’échanges entre responsables d’entreprise, dans le respect d’une charte éthique. »

Renaud Buronfosse, délégué général du Cisma

TÉMOIGNAGE FRANKLIN LANGDORF, PDG DE CEFAM ATLAS

Défendre les intérêts français « La norme européenne qui régit les tables élévatrices devait être modifiée. Les pouvoirs publics cherchaient qui pouvait représenter les intérêts français dans le comité de normalisation. Étant leader dans ce domaine, nous nous sommes tout naturellement proposés. Nous avons donc dépêché des collaborateurs pour assister à des réunions techniques de normalisation en France, mais également en Allemagne et en Grande-Bretagne. Le Cisma a pris en charge une partie du salaire de ces représentants dans le comité de normalisation au travers d’une subvention obtenue auprès du ministère du Redressement Productif (Squalpi) et nous a apporté son regard technique sur l’élaboration de la norme. Aujourd’hui, la norme EN 1570 est publiée au journal officiel. Il n’est pas si fréquent que les intérêts français soient si bien représentés. »

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CISMA

U 197 adhérents de la TPE à la filiale de multinationale répartis en 20 sections, 5 commissions transversalesU 1 bureau de 8 industrielsU Chiffre d’affaires de la profession : 7 milliards d’euros, dont 65 % à l’exportationU 35 500 emplois directsU 15 permanentsU Contact : Renaud Buronfosse, délégué géné[email protected] 01 47 17 63 20www.cisma.fr

Page 14: Actions de syndicats

12 | Actions de Syndicats

Abrasifs et carbures7

« Les disques de tronçonnage et les scies diamant sont soumis à des contraintes mécaniques et thermiques extrêmement élevées qui peuvent provoquer des acci-dents graves si des règles simples de sécurité ne sont pas respectées. Ainsi, l’éclatement d’une meule de tronçonnage travaillant à 80 m/s peut projeter des débris solides ou métalliques à 290 km/h ! La profession a défini des normes de sécurité strictes qui limitent considérablement le risque de

La sécurité avant tout NOUS L’AVONS FAIT

Une Place des Carburiers à Industrie 2012Pour valoriser les outils de coupe et pièces d’usure en carbure et montrer leur rôle prépondérant dans la rentabilité et la productivité des entreprises, la CSC (Chambre syndicale des carburiers) proposait une Place des Carburiers sur le salon Industrie 2012.En effet, trop souvent les acheteurs se concentrent sur l’acquisition de la machine-outil et négligent la sélection des outils et pièces en carbure. De ces derniers dépend pourtant l’utilisation optimale de la machine et la rentabilité de l’investissement.

tels accidents. En France, le décret Raffarin du 28/02/2003 a rendu ces normes obligatoires pour les meules et les disques utilisés sur machines électroportatives. Il s’agit des normes EN 12413 pour les meules agglomérées (disques à tronçonner, à ébarber…), et EN 13236 pour les abrasifs diamantés (disques et meules de tronçon-nages notamment pour la pierre et la construction). Le SNAS informe les professionnels (importateurs, distributeurs, socié-tés de BTP) et le grand public via la presse et des courriers d’informa-tion. »

Franck Verguet, secrétaire général de FIM-AC

TÉMOIGNAGE JEAN-PHILIPPE GUYOT, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE SEA ABRASIFS

Former les utilisateurs « Les employeurs de l’industrie et du bâtiment ignorent souvent qu’ils doivent former les opérateurs à l’utilisation des produits abrasifs et diamantés. Grâce au SNAS, nous les fabricants pouvons proposer des formations adaptées centrées sur la sécurité des utilisateurs. »

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FIM-AC

U 57 adhérents de PME/PMI, TPE et groupes internationaux, regroupés au sein de 2 syndicats pour les abrasifs et les superabrasifs (SNAS, 33 adhèrents), les outils de coupe et pièces d’usure en carbure (Chambre Syndicale des Carburiers, 24 adhèrents)U 1 bureau de 8 industrielsU Chiffre d’affaires de la profession : 694 millions d’euros dont 30 % à l’exportationU 4 300 emplois directsU 1 permanentU Contact : Franck Verguet, secrétaire géné[email protected] 45 81 25 90www.snas-abrasifs.com

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Actions de Syndicats | 13

Moules et prototypes8

« Face à la volonté des don-neurs d’ordre de choisir des fournisseurs étrangers capables de vendre des outillages à un coût défiant toute concurrence, sans te-nir compte de la qualité, des délais de livraison, ni de la maintenance, les métiers des entreprises de notre secteur ont changé. Seules ont pu se développer les entreprises qui ont

Au plus près des entreprises

NOUS L’AVONS FAIT

Le premier congrès national des moulistesLe 17 janvier 2013, à la Maison de la Mécanique à Courbevoie, FIM Moules & Prototypes organise le premier Congrès National des Moulistes. Principaux thèmes abordés : l’innovation technologique et le savoir-faire, atouts concurrentiels des moulistes français, ainsi que les perspectives face à l’évolution des marchés. De grands donneurs d’ordre, des experts et des fournisseurs interviendront à cette occasion. Un rendez-vous incontournable.

su mener une stratégie de diversifi-cation, apporter plus de valeur ajou-tée et de nouveaux services, s’ouvrir à l’international, et mieux commu-niquer sur leurs savoir-faire. Fort d’un Comité de direction consolidé et représentatif des entreprises de la profession, FIM Moules & Proto-types accompagne ces évolutions. Ainsi, en partenariat avec le Pôle Européen de la Plasturgie et le Ce-tim, le syndicat a donné accès à une plateforme technologique répon-dant aux besoins des entreprises. Le syndicat organise également des visites de centres techniques tels que le Fraunhofer d’Aachen en Allemagne. Il apporte aussi des ser-vices très concrets à ses membres en termes de conseil juridique, financement, international. Pour travailler au plus près des entreprises, le syndicat a mis en place deux délégations en Rhône-Alpes et dans le Grand-Ouest. Les délégués y animent le réseau des entreprises moulistes et organisent des rencontres techniques et straté-giques. »

Catherine Larroque, déléguée générale

de FIM Moules & Prototypes

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FIM MOULES & PROTOTYPES

U 41 adhérentsU 1 bureau de 10 industrielsU Chiffre d’affaires de la profession : 900 millions d’eurosU 8 500 emplois directsU 2 permanents et 2 délégués régionauxU Contact : Catherine Larroque, déléguée générale, [email protected] Masson, délégué régional Grand-Ouest, [email protected]éphanie Deplanche, déléguée régionale [email protected]

Page 16: Actions de syndicats

14 | Actions de Syndicats

Équipements énergétiques9

« Des turbines hydrauliques aux réacteurs nucléaires en passant par les moteurs (hors véhicules routiers) et les turbines à gaz et à vapeur, FIM-Énergétique regroupe des fabricants d’équipements de production d’énergie, de taille variable et issues de secteur d’acti-vités multiples.Des secteurs qui connaissent des mutations profondes pour répondre aux défis énergétiques auxquels est confrontée notre planète. Les besoins énergétiques croissants, la nécessaire diminution de la part de l’énergie fossile, la montée en puis-sance des énergies renouvelables, autant de facteurs qui bouleversent les modes de production d’énergie en les faisant évoluer vers un meil-

Releverles défis énergétiques

NOUS L’AVONS FAIT

La Vallée de l’énergieLe soutien de FIM-Énergétique a été important dans le développement de la « Vallée de l’Énergie ». Au cœur de la Franche Comté, la « Vallée de l’Énergie » est une association qui regroupe des industriels, des universitaires, et les collectivités territoriales. Sa mission : promouvoir la filière énergie de puissance et coordonner des projets fédérateurs nécessaires aux nouveaux besoins en matière de production d’énergie, notamment dans le cadre du nouveau « mix énergétique » à venir.

leur respect de l'environnement et contribuer à l'indépendance éner-gétique.Dans ce contexte, FIM-Énergétique, travaille dans quatre directions : l’accompagnement des entreprises de tailles plus importantes dans leur relation avec les pouvoirs publics ; la participation à l ’élaboration de réglementations nationales ou européennes ; le suivi de la nor-malisation ou des actions de R & D réalisées dans un cadre collectif en liaison avec la FIM, l’UNM et le Cetim. Ainsi, à de nombreuses occa-sions, les industriels ont pu présen-ter leur position aux représentants des ministères français, ceci entre autre dans le cadre des réglemen-tations relatives aux pollutions atmosphériques. FIM-Énergétique gère également le CIMAC France. Cette organisation regroupe les industriels du monde des moteurs de grosses puissances, notamment marins (fabricants, armateurs, fournisseurs de compo-sants, fournisseurs de carburants et lubrifiants). Son objectif : échanger les expériences sur les moteurs et rédiger des documents techniques reflétant l’état de l’art. »

Rémy Leclerc, secrétaire général

de FIM-Énergétique

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TÉMOIGNAGE ROBERT GLEITZ, VICE-PRÉSIDENT PRODUITS ET PLATEFORMES POUR L’ACTIVITÉ VAPEUR D'ALSTOM THERMAL POWER ET PRÉSIDENT DE FIM-ÉNERGETIQUE

Envoyer un message cohérent aux pouvoirs publics « Aujourd’hui, l’industrie est prête à relever les défis énergétiques, notamment celui de la transition énergétique. Elle n’attend plus que leur traduction politique, notamment en termes législatifs.Pour nous faire entendre des pouvoirs publics, mieux vaut adresser un message unique et cohérent à travers le syndicat plutôt que d’agir en ordre dispersé chacun de son côté. FIM-Énergétique est le garant de cette cohérence. »

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FIM-ÉNERGÉTIQUE

U 17 adhérents, de la TPE à la multinationale ou leur filiale répartis en 5 sections et 2 commissions transversalesU 1 bureau de 8 industrielsU Chiffre d’affaires de la profession : 10 milliards d’eurosU 10 000 emplois directsU 2 permanentsU Contact : Rémy Leclerc, secrétaire géné[email protected] 47 17 60 70www.fim-energetique.fr

Page 17: Actions de syndicats

Actions de Syndicats | 15

Ressorts10

« Notre syndicat a pour mission essentielle de représenter et de défendre la profession des fabri-cants de ressorts, du travail du fil et du feuillard. Depuis plusieurs années, avec l’appui de son Comité de direction, FIM Ressorts construit une stratégie basée sur l’échange, la formation et le développement technique. Nous organisons régulièrement des journées techniques pour faire le point sur les dernières avancées technologiques et échanger sur des sujets communs comme la sécurité, la qualité, la productivité, etc. Notre syndicat a su tisser des rap-ports étroits avec nos collègues eu-ropéens au travers de missions de découverte à l’étranger et de notre participation à l’ESF (European Spring Federation).Structuré sur un véritable partena-riat horizontal associant clients, fabricants de ressorts et fournis-seurs, notre syndicat détecte les besoins des entreprises. Différentes recherches ont pu être conduites

Valoriser les entreprisesnotamment dans les domaines de la défaillance des ressorts, du traite-ment de surface, de la fatigue et du grenaillage de précontrainte (avec l’appui du Cetim).Par ailleurs, plusieurs industriels fabricants de ressorts, et membres de FIM Ressorts, sont impliqués dans les travaux de normalisation. À titre d’exemple, l’instance euro-péenne a décidé de réviser les normes relatives aux calculs de conception des ressorts hélicoï-daux.En matière de normalisation inter-nationale, 2 sujets sont actuelle-ment en cours d’élaboration, l’un relatif aux symboles des ressorts, l’autre aux ressorts de compression formés à chaud.Ces exemples démontrent que le syndicat, animé par ses membres, s’inscrit dans une dynamique d’évo-lution de la profession en anticipant ses attentes. »

Philippe Basson, président de FIM Ressorts

TÉMOIGNAGE MICHEL FAUCONNIER, DIRIGEANT DE BONATRE

Participer aux travaux de normalisation « Nous sommes adhérents depuis quelques années et nous avons fait suivre des formations spécifiques à nos salariés. L’intervention ponctuelle d’experts de FIM Ressorts nous a conduits à améliorer avec efficacité et rapidité certains aspects critiques de la production. En outre, ces formations nous ont permis d’apporter des réponses et des conseils plus pertinents à nos clients. »

NOUS L’AVONS FAIT

Des formations sur mesure Après avoir labellisé les meilleurs experts dans les domaines du calcul, du choix de la matière et de l’analyse de défaillance des ressorts, FIM Ressorts propose des formations. Ayant rencontré un franc succès, le syndicat poursuit la mise en place de nouvelles formations qui seront proposées au cours du premier semestre 2013 telles que le grenaillage et le meulage des ressorts.

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FIM RESSORTS

U 22 adhérentsU 1 bureau de 6 industrielsU Chiffre d’affaires de la profession : 430 millions d’eurosU 2 300 emplois directsU 2 permanentsU Contact : Catherine Larroque, déléguée géné[email protected] 47 17 64 12www.fimressorts.fr

Page 18: Actions de syndicats

16 | Actions de Syndicats

Optique11

« Réseaux de transmission, microélectronique, biotechno-logies, ophtalmologie, micro-chirurgie, aéronautique… Les industries de l’optique trouvent leur place au cœur de la plupart des technologies innovantes. Avec ses 195 entreprises membres, le Gifo fédère les trois domaines de compétences de la filière optique en France : l’optique photonique, l’optique ophtalmique et la contac-tologie. Chacun de ces secteurs est représenté au sein du Gifo par un syndicat spécifique. Ainsi, le syn-dicat agit sur les problématiques et enjeux transversaux de l’ensemble de la filière.

Fédérer les métiers de l’optique

NOS SYNDICATS LEOO (Les Entreprises de l’Optique Ophtalmique)Conception, fabrication et distri-bution de montures de lunettes op-tiques, solaires, de sport ; de com-posants de lunetterie ; de verres de lunettes et d’instruments d’optique. U 80 adhérentsFrédéric Mathieu, président U Contact : Céline Wurtz, secrétaire générale, [email protected], 01 43 46 27 51

SIDOL (Syndicat des Importateurs et Distributeurs en Optique Lunetterie)Importation et distribution sur le marché français de produits d’op-tique lunetterie (verres, montures,

instruments, accessoires et astro-nomie). U 31 adhérents Bernard Galan, président U Contact : Martine Virlouvet, 01 47 17 64 76, www.sidol.org

SYFFOC (Syndicat des Fabricants et Fournisseurs d’Optique de Contact)Fabrication et distribution de len-tilles de contact et de solutions d’entretien. U 14 adhérents Alain Clouzet, président U Contact : Martine Magnant, secrétaire générale, [email protected], 01 43 46 28 73, www.syffoc.org

AFOP (Syndicat professionnel de l’Optique Photonique)Fabrication, distribution & services dans les technologies suivantes : composants et matériaux, fibres optiques, couches minces, détec-teurs photoniques, astronomie, ho-lographie, sources/laser/led, spec-trométrie/instruments d’optique, nanotechnologies/nano optique.U 70 adhérentsMichel Mariton, président U Contact : Ivan Testart, directeur des opérations, 01 43 46 27 54, [email protected], www.afoptique.org

Catalyseur d’échanges entre les in-dustriels, le Gifo est très actif dans le suivi de la normalisation touchant à la filière de l’optique en France et à l’étranger. Ainsi, nous représentons les industriels au sein des commis-sions de normalisation de l’Afnor et des groupes de travail sont mis en place. Interlocuteur des pouvoirs publics, le Gifo assure un soutien juridique aux entreprises et les accompagne dans la mise en œuvre des nouvelles réglementations. »

Céline Wurtz, secrétaire générale du Gifo

NOUS L’AVONS FAIT

Soutien au développement internationalPar le biais de ses syndicats, le Gifo participe au développement de ses entreprises sur les marchés d’exportation. Différents leviers sont alors mobilisés pour permettre aux entreprises d’augmenter leur courant d’affaires à l’international : organisation de pavillons France (en partenariat avec Ubifrance) sur des salons professionnels, veille sur les marchés à potentiel, mise en place de VIE sur les zones clés, actions de communication internationale, etc.

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U 195 adhérents, du groupe international à la TPE familialeU 3 domaines de compétences : optique photonique, optique ophtalmique, contactologieU 4 syndicats autonomes et interdépendantsU Contact : Éric Léonard, présidentCéline Wurtz, secrétaire géné[email protected] 43 46 27 51www.gifo.org

Page 19: Actions de syndicats

Actions de Syndicats | 17

Transformation des métaux en feuilles 12

« Aujourd’hui, les grands donneurs d’ordre agissent à l’échelle de la planète. Nous savons que le marché français n’est pas suffisant : exporter devient un impératif. Dans ce contexte, le Gimef s’est fixé une double mission : d’une part, aider ses adhérents à se tour-ner vers l’international, notamment en créant des filiales à l’étranger pour accompagner leurs donneurs d’ordre ; d’autre part, conseiller les entreprises sur les secteurs à forte valeur ajoutée permettant aux PME de se développer. Le syndicat sert à rassembler les entreprises

Orienter les entreprises pour favoriser leur développement

NOUS L’AVONS FAIT

Faire respecter la loiRéunir autour d’une même table une dizaine d’entreprises. Avec le service juridique de la FIM, relever dans les contrats d’un donneur d’ordre les points non conformes à la loi. Et transmettre le dossier au médiateur inter-entreprises. Cette action menée par le Gimef a débouché : le donneur d’ordre a revu ses conditions générales d’achat.En parallèle, le syndicat a réuni une dizaine d’entreprises pour rédiger un guide des bons usages dans la profession en matière de négociations commerciales.

de la profession et à les orienter. Nous représentons également la profession dans les commissions de normalisation pour trouver avec nos clients un langage commun, ou face aux donneurs d’ordre pour promouvoir les bonnes pratiques notamment en matière de délais de paiement. Le Gimef joue enfin un rôle impor-tant sur le plan technique. Chaque année, un budget de 600 000 à un million d’euros est consacré à la recherche & développement en collaboration avec le Cetim. Une recherche & développement indis-pensable à l’innovation qui devient aujourd’hui un élément clé de la compétitivité des entreprises. Autant de sujets abordés lors des Assises du découpage et de l’em-boutissage organisées par le Gimef qui ont rassemblé 180 personnes à Besançon en 2011 et qui se réu-nissent en 2012 à Lyon. »

Éric Moleux, président du Gimef

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TÉMOIGNAGE PATRICK JOBARD, PRÉSIDENT DE CVM

Favoriser la croissance externe « En 2011, j’ai décidé d’acheter deux sociétés Mérien, dans la Mayenne, et MMO au Maroc, dans le cadre d’une stratégie de croissance externe. Pour financer cette opération, le Gimef m’a mis en relation avec Cemeca. La centrale de garantie des industries mécaniques, électriques et électroniques a étudié le dossier et apporté une partie du financement sous forme de prêts participatifs au travers du dispositif Croissance PMI. »

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GIMEF

U 60 adhérents (+ 110 % depuis 2009)U 1 comité directeur composé de 15 industrielsU Chiffre d’affaires de la profession : 5 milliards d’eurosU 27 000 emplois directsU 3 permanentsU Contact : Catherine Larroquedéléguée géné[email protected] 47 17 64 12www.gimef-france.com

Page 20: Actions de syndicats

18 | Actions de Syndicats

Pompes, agitateurs, compresseurs et robinetterie

« Depuis plusieurs années main-tenant, EUROPUMP, le comité sec-toriel européen des fabricants de pompes, avec l’appui de Profluid, « milite » pour s’affranchir d’une approche de l’efficacité énergétique centrée sur le produit. La grande majorité des produits faisant l’ob-jet d’une réglementation ecodesign (électroménager, moteurs élec-triques et maintenant pompes à eau claire…) est jugée par rapport à une consommation d’énergie. Or, les rendements hydrauliques sont opti-misés et les économies potentielles sont donc limitées et coûteuses. Des gains substantiels sont possibles en considérant l’ensemble des compo-sants : la pompe est entraînée par un moteur électrique, lui-même piloté par un convertisseur. Seule la bonne adéquation dans leur choix permettra d’obtenir le meilleur rendement global. La profession a mené des travaux pour quantifier ces économies et construire une méthodologie de calcul du rende-ment du "produit étendu". Ces tra-vaux ont convaincu la Commission européenne et seront appliqués aux prochains lots étudiés : "pompes d’assainissement", "pompes de pis-cine" et "compresseurs". Par ailleurs, une pompe ou un compresseur étant intégrés dans un système, l’optimisation de ces

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Efficacité énergétique : une approche globale

systèmes permet des économies d’énergie sans commune mesure avec ce qui est obtenu en travaillant sur les composants, et pour des coûts bien moindres…Profluid et les industriels euro-péens ont été moteurs pour lancer des travaux de normalisation sur les audits énergétiques des systèmes, et les travaux vont bon train dans la rédaction des futures normes ISO 14414 et ISO 11011. Ces projets de normes trouveront naturellement leur place en application de l’ISO 50001 (systèmes de management de l’énergie) et EN 16247 (audits énergétiques). »

Christophe Bochaton, responsable Technique &

Environnement de Profluid

TÉMOIGNAGE ALEXANDRE LACOUR, DIRECTEUR EXÉCUTIF DE SOMEFLU

Ce réseau est un moteur de développement« Pour une petite entreprise familiale comme Someflu, l’adhésion au syndicat permet de gagner beaucoup de temps sur les aspects juridiques ou en matière de ressources humaines. Nous avons ainsi bénéficié du travail du syndicat sur les conditions générales de vente ou sur les fiches de poste.Par ailleurs, à travers le syndicat, nous profitons de l’expérience des grands groupes notamment à l’international. Pour une PME comme la nôtre, ce réseau est un moteur de développement. »

NOUS L’AVONS FAIT

Un club AchatsProfluid a mis en place pour ses adhérents un Club Achats qui permet aux responsables Achats de se rencontrer et de monter des actions collectives. Parmi les réalisations de ces dernières années : la formalisation d’échanges réguliers avec les professions partenaires, des missions de sourcing, l’optimisation des frais généraux ainsi que la mise en place d’une formation sur les achats dédiée aux adhérents… Autant d’échanges de bonnes pratiques.

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PROFLUID

U 120 adhérents répartis sur 3 marchés principaux : Cycle de l’eau – Industrie & Énergie – BâtimentU 1 conseil d’administration de 20 industriels U Chiffre d’affaires de la profession : 7 milliards d’euros dont 64 % à l’exportU 28 000 emplois directsU 7 permanentsU Contact : Laure Hélard, déléguée géné[email protected] 01 47 17 62 98www.profluid.org

Page 21: Actions de syndicats

Actions de Syndicats | 19

Chaudronnerie, tuyauterie et maintenance industrielle

« La prolongation de la durée de vie du parc nucléaire fran-çais devrait générer une très forte activité supplémentaire pour nos métiers. Le SNCT a participé à la Charte de Progrès et de Développe-ment Durable qui formalise les rela-tions de partenariat entre EDF et ses prestataires représentés par leurs organisations professionnelles. Nous allons signer prochainement une charte du même type avec EDF Thermique et nous entretenons des contacts avec la direction achats de groupes pétroliers. Autant d’exemples qui traduisent la volonté du syndicat de développer les par-tenariats avec les grands donneurs d’ordre pour mieux défendre les intérêts de nos adhérents. C’est précisément parce que nos entreprises interviennent sou-vent comme sous-traitants dans la maintenance d’installations importantes, que la sécurité au

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Privilégier les relations de partenariat avec les donneurs d’ordre

travail constitue l’une de nos pré-occupations essentielles. Le SNCT intervient régulièrement au comité technique national de la Caisse d’assurance maladie pour rédiger des préconisations sur les risques inhérents à certaines professions et les moyens de s’en protéger.Enfin, depuis quelques années, notre communication s’ouvre vers l’extérieur, notamment au travers de notre congrès national qui réunit les acteurs de nos professions (four-nisseurs, clients, institutionnels, centres techniques…), la rédaction d’une revue trimestrielle, la réali-sation de DVD ou la rédaction d’un livre prestige sur nos métiers. »

Gérard Fabiani, secrétaire général du SNCT

TÉMOIGNAGE PATRICK VERRIER, FIVES NORDON PRÉSIDENT DU COMITÉ TECHNIQUE DU SNCT

Codes de construction : les références qualité et sécurité« Le SNCT édite et met à jour quatre codes de construction français sur les appareils à pression, la tuyauterie industrielle, les appareils à vapeur et les réservoirs de stockage. Des experts, des adhérents, des clients, l’administration participent à la rédaction et à la mise à jour de ces codes qui rassemblent l’ensemble des prescriptions permettant de calculer, fabriquer et contrôler les équipements. Des outils essentiels pour nos entreprises, gage pour nos clients de la qualité de notre travail et de la sécurité de leurs installations. »

NOUS L’AVONS FAIT

La chaudronnerie : une filière d’avenirwww.metiers-avenir.com. En collaboration avec le ministère de l’Éducation nationale, le SNCT a lancé le premier site internet exclusivement dédié aux métiers de la chaudronnerie. Il propose aux jeunes, aux parents, aux enseignants et aux industriels de découvrir de manière ludique les professions de tuyauteur, chaudronnier et soudeur. Il comprend notamment l’espace « Offres d’emploi » qui met en relation les jeunes et les industriels, ainsi qu’une rubrique d’offres de stages.

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SNCT

U 150 adhérents, entreprises de 10 à 4 000 salariés en majorité patrimoniales, 4 comités, 9 sections professionnelles, 6 régionsU 1 bureau de 6 industriels, 1 conseil d’administration de 40 membres U Chiffre d’affaires de la profession : 7 milliards d’euros, dont 20 % d’exportation directe et plus de 50 % indirecteU 60 000 emplois directsU 10 permanentsU Contact : Gérard Fabiani, secrétaire géné[email protected] 47 17 62 70www.snct.org

Page 22: Actions de syndicats

20 | Actions de Syndicats

Décolletage

Le SNDEC a mobilisé industriels et partenaires pour mettre en œuvre Expansion 2020, un plan stratégique visant à dynamiser l’industrie française du décolletage pour les 10 prochaines années et à la faire entrer dans une ère de déve-loppement de grande ampleur. Il poursuit quatre objectifs à l’horizon 2020 : + 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires ; + 15 % de part à l’export ; + 3 000 emplois ; multiplier par 3 la recherche et développement.Quatre thèmes stratégiques struc-turent ce projet : l’international, l ’ innovation, l ’ intelligence et l’engagement des hommes, l’inves-tissement. Avec déjà des avancées concrètes : la création d’une cel-lule de marketing stratégique pour conquérir de nouveaux marchés ; des effectifs en hausse dans les

établissements scolaires parte-naires grâce à des actions de valo-risation et de communication ; la création d’un groupement d’em-ployeurs pour mutualiser les exper-tises au bénéfice des entreprises de la profession ; la création de deux fonds de capital développement pour renforcer les fonds propres des entreprises ; un projet de Tech-nopôle, centre de référence interna-tional du décolletage et de l’usinage de précision.Plan stratégique unique à l’échelle d’une profession, Expansion 2020 a été retenu dans le cadre de l’appel à projets filières industrielles straté-giques du programme des Investis-sements d’Avenir.

Claude Morisseau, secrétaire général du SNDEC

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Expansion 2020, un plan stratégique unique à l’échelle d’une profession

NOUS L’AVONS FAIT

Arve Industries Capital : renforcer les fonds propresDans le cadre d’Arve Industries Haute-Savoie Mont-Blanc, le SNDEC, en partenariat avec le Crédit Agricole des Savoie et la Banque Populaire des Alpes, a créé deux fonds de capital développement pour renforcer les fonds propres des entreprises :- un FCPR (Fonds Commun de Placement à Risques) destiné aux investisseurs institutionnels. Objectif : 30 millions d’euros. Participations de 0,5 à 3 millions d’euros dans des entreprises de toutes tailles ;- un FIP (Fonds d’Investissement de Proximité) destiné aux investisseurs privés assujettis à l’ISF. Objectif : 10 millions d’euros. Participations de 200 à 447 000 euros dans les entreprises de moins de 250 salariés et de moins de 50 millions d’euros de chiffre d’affaires ou dont l’actif ne dépasse pas 43 millions d’euros.

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TÉMOIGNAGE LAUREN DAYVE-CERA, RESPONSABLE QUALITÉ SYSTÈME ENVIRONNEMENT CHEZ PERNAT EMILE S.A.

Valoriser les entreprises de la profession en préservant l’environnement« Fournisseur de rang 1 du secteur automobile, Pernat Emile produit des pièces mécaniques de précision en petite, moyenne et grande séries. Lors de l’étude de l’agrandissement du site de Marignier, nous étions conscients que nos activités présentaient un impact sur l’environnement que nous avons souhaité limiter en améliorant nos pratiques et nos installations. Nous nous sommes tournés vers le SNDEC pour trouver des solutions techniques et financières. Aujourd’hui, nos installations sont conformes à la réglementation et nous sommes certifiés ISO 14001. L’accompagnement du SNDEC a servi de levier dans ce projet. »

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SNDEC

U 100 adhérents de la TPE à l’ETIU 1 conseil d’administration de 20 membres U Chiffre d’affaires de la profession : 2 milliards d’euros, dont 35 % d’exportationU 14 000 emplois directsU 5 permanentsU Contact : Claude Morisseau, secrétaire géné[email protected] 50 98 07 68www. sndec.com

Page 23: Actions de syndicats

Actions de Syndicats | 21

Machines et technologies de production

NOS TECHNOLOGIES AU CŒUR DE VOTRE COMPÉTITIVITÉ

« Après "Robotcaliser" (voir ci-contre), place à "Productivez !", une démarche plus large qui vise à favoriser la réindustrialisation de la France.Le Symop a identifié trois leviers pour améliorer la compétitivité de nos entreprises : le coût du tra-vail sur lequel il est difficile d’agir, la formation et l’adaptation des salariés aux nouveaux besoins, et l’optimisation des process. Il est possible d’intervenir rapidement sur ce troisième levier qui permet aux PME/PMI de réduire leurs coûts de production, de gagner en effica-cité et en qualité pour répondre aux exigences des marchés. Avec "Productivez !", le Symop entend sensibiliser les pouvoirs pu-blics, les médias et les entreprises à la nécessité d’adapter nos moyens de production pour que notre indus-trie puisse rivaliser avec ses concur-rents étrangers. Le dispositif se décline en quatre axes : proposer un audit global de l’appareil productif français ; élargir à l’outil de production le soutien à l’innovation trop souvent limité à

16Productiver pour plus de compétitivité

la R & D ; décliner les mesures au niveau régional pour profiter de la dynamique territoriale et s’adapter aux spécificités locales ; sensibili-ser les entreprises et promouvoir l’industrie auprès des jeunes. »

Vincent Schramm, directeur général du Symop

TÉMOIGNAGE FRANCK DESCOURS, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE SCHENCK SAS

Se regrouper pour développer son entreprise, pour mener des actions d’envergure« Mon entreprise adhère au Symop depuis une dizaine d’années. Tout dirigeant se sent parfois seul face aux contraintes réglementaires ou aux difficultés rencontrées pour aborder certains marchés. Vient un moment où il éprouve le besoin d’échanger avec des confrères, y compris des concurrents. Au Symop, la notion de réseau est très importante. Nous bénéficions en outre d’une expertise précieuse dans les domaines juridique et fiscal, et d’une assistance à travers la centrale d’achat qui nous permet de réduire nos frais de fonctionnement. Enfin je pense qu’il est indispensable de se regrouper pour se faire entendre auprès des pouvoirs publics, des parlementaires, de la presse. Des interlocuteurs qu’une entreprise seule ne peut convaincre de l’intérêt stratégique de nos technologies. »

NOUS L’AVONS FAIT

Robotcaliser : développer la robotique auprès des PMELa France compte 34 500 robots, contre 157 200 en Allemagne et 62 200 en Italie. 66 % du parc se trouvent dans les entreprises de plus de 1 000 salariés. Pour aider les PMI à se robotiser, afin de devenir plus compétitives, le Symop a déployé, à travers « Robotcaliser », des actions de sensibilisation. Ces dernières vont déboucher prochainement sur « Robot Start PME », un dispositif qui s’inscrit dans les Investissements d’Avenir. Avec le soutien du Cetim et du CEA, il offre aux entreprises une aide au diagnostic, à la définition des besoins et à l’investissement dans la robotisation. Le projet sera doté de 33 millions d’euros, dont 4,5 millions d’euros de fonds publics.

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SYMOP

U 250 adhérents, 12 groupes répartis entre 3 pôles (Métal et autres matériaux ; Bois, Papier, Imprimerie, Packaging ; Automatisation et contrôle)U 1 bureau de direction composé d’une trentaine d’industriels U Chiffre d’affaires de la profession : 10 milliards d’euros, dont 50 % d’exportationU 49 400 emplois directsU 12 permanentsU Contact : Vincent Schramm, directeur géné[email protected] 47 17 67 07www.symop.com

Page 24: Actions de syndicats

22 | Actions de Syndicats

Prévention et protection

« Promouvoir la prévention et la protection de l’homme au tra-vail, valoriser la protection indivi-duelle et la protection collective, mais aussi défendre les intérêts de ses adhérents : telle est la vocation première du Synamap. Pour y répondre efficacement, le syndicat a renforcé son équipe en 2010 : une preuve de sa montée en puissance. Cette dernière se traduit également par une augmentation ininterrompue du nombre de ses adhérents depuis 2007, et ce, mal-gré les conséquences désastreuses de la crise économique traversée par les entreprises.Cette spirale vertueuse est sans doute le fruit des résultats obte-nus par le syndicat qui milite au

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Valoriser la protection de l’homme au travail

quotidien à la mise en place d’un champ économique harmonisé, stable et respectueux des prin-cipes fondamentaux du droit en vigueur, ainsi qu’à une rationalisa-tion du processus normatif. Deux demandes récurrentes de la part de ses adhérents qui estiment que les normes ne peuvent être utiles à la structuration du champ industriel qu’à une double condition : être robustes et ne pas faire l’objet de révisions incessantes. »

Antoine Fabre, délégué général du Synamap

TÉMOIGNAGE WAHIB OUAZZANI (3M), PRÉSIDENT DE LA COMMISSION « PROTECTION RESPIRATOIRE » DU SYNAMAP

Dynamique et efficace« Le SYNAMAP est une organisation présente dans toutes les instances de nature à influer sur le marché des EPI (AFNOR, COS, ESF...). Dans le domaine de la protection respiratoire sa capacité d’influence nous a permis d’obtenir le retour des organismes notifiés au niveau de la normalisation ISO. Sur le plan réglementaire, Le Synamap a obtenu de rectifier certaines erreurs qui, si elles avaient perdurées, auraient créé une grande confusion sur le marché. »

NOUS L’AVONS FAIT

Clarifier la portée juridique des normesSauf carence de la version antérieure ou amélioration significative du niveau de protection, l’existence d’une norme révisée n’implique pas qu’un produit qui a été fabriqué selon une version antérieure de la norme ne peut plus être mis sur le marché. Depuis des années, le Synamap militait pour cette précision officielle de la Commission européenne, qui rompt opportunément le silence des autorités françaises sur ce sujet.

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SYNAMAP

U 78 adhérents et membres associésU 7 commissions techniques : chaussures de sécurité, distribution, gants de protection, protection contre les chutes de hauteur, protection respiratoire, protection de la tête, vêtements de protectionU Chiffre d’affaires de la profession : 1 milliard d’eurosU 14 000 emplois directsU Contact : Antoine Fabre, délégué géné[email protected] 01 47 17 64 36www. synamap.fr

Page 25: Actions de syndicats

Actions de Syndicats | 23

Machines textiles

« L’Asie, et en particulier la Chine, réalisent une part pré-pondérante de la production mon-diale de textile. La promotion mon-diale de nos entreprises constitue donc l’activité principale de notre syndicat professionnel. Pour être efficace à terme, elle s'accompagne d’un effort permanent de sécurisa-tion des droits liés à notre propriété intellectuelle.La promotion collective se fait en organisant des colloques et des ren-contres acheteurs (très souvent en collaboration avec Ubifrance) dans des pays stratégiques pour notre activité ; en accompagnant nos membres sur les principaux salons internationaux ; en organisant des pavillons français ; en menant des actions auprès de la presse spécia-lisée internationale et la réalisation de la documentation du syndicat et des entreprises membres en une dizaine de langues étrangères.La protection de la propriété intel-lectuelle de nos adhérents requiert la mise en place de réseaux locaux de professionnels et une action per-manente auprès des organisateurs des salons. Lors du principal salon asiatique de la machine textile, à

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Promouvoir les exportations et protéger la propriété intellectuelle

Shanghai au printemps 2012, cette politique commune aux construc-teurs européens a permis de faire retirer des machines fabriquées localement qui ne respectaient pas les droits des constructeurs euro-péens. L’une des forces de l’UCMTF est d’être membre de l’organisation européenne propriétaire d'ITMA et ITMA Asia, les salons leaders du secteur. Ce qui lui permet de défi-nir la stratégie de la profession en matière de salons. »

Evelyne Cholet, secrétaire général de l'UCMTF

TÉMOIGNAGE LAURENT LEJOSNE, DIRIGEANT DE LA SAS BARBIER-EBELMANN

Une petite entreprise sur des marchés mondiaux« Avec une dizaine de salariés, Barbier-Ebelmann est la plus petite des entreprises de l’UCMTF, spécialisée dans des dispositifs de coupe en acier, carbure et même avec inserts en diamant polycristallin, adaptés aux fibres d’aramide, de verre et de carbone. Nos savoir-faire sont recherchés par des clients importants en Europe et au Japon, nous devons donc être présents sur les principaux marchés mondiaux.L’UCMTF nous accompagne dans notre démarche marketing et commerciale en nous mettant sur un pied d’égalité avec des entreprises plus importantes que nous, aussi bien dans les colloques que dans la promotion de ses membres auprès de la presse spécialisée internationale. »

NOUS L’AVONS FAIT

Former notre futur encadrementPour attirer des jeunes talents, ingénieurs, commerciaux et gestionnaires, l’UCMTF organise régulièrement des journées de rencontre constructeurs /étudiants, ainsi que des visites de professeurs de l'enseignement textile dans les usines des constructeurs.Le syndicat sponsorise chaque année le Challenge ITECH. Sous l’égide de cette prestigieuse école française d’ingénieurs textiles, au cœur d'un réseau européen d'une soixantaine d'écoles, des équipes pluridisciplinaires d’étudiants et d’industriels se réunissent pour travailler sur des innovations technologiques demandées par le marché.

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UCMTF

U 30 adhérentsU Chiffre d’affaires de la profession : 850 millions d’euros dont 91 % à l'exportation6ème exportateur mondial, 6,5 % du marché mondialU 4 000 emplois directsU Contact : Evelyne Choletsecrétaire géné[email protected]él. : 01 47 17 63 45

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24 | Actions de Syndicats

Traitements de surfaces

« Sans mécanique, pas de traitement de surfaces ; sans traitement de surfaces, pas de mécanique. Les deux activités sont intimement liées au point que le traitement de surfaces représente 50 % de la valeur ajoutée opération-nelle d'un produit mécanique. C'est pourquoi défendre les intérêts de l'industrie du traitement de sur-faces, c'est défendre les intérêts de la mécanique française dans son ensemble.Notre profession souffre d'une image dégradée face au grand public, notamment du fait des pro-duits chimiques que nous utilisons. Pourtant, en assurant la durabi-lité des produits mécaniques, nous sommes des acteurs essentiels du développement durable.L'un des rôles principaux de l'UITS consiste à montrer la réalité de nos métiers. Et ce, notamment auprès des pouvoirs publics et des ins-tances européennes au moment où la réglementation Reach, si elle est mal appliquée, pourrait provoquer une vague de délocalisation du trai-tement de surfaces d'abord, de la mécanique ensuite.Voilà pourquoi, l'UITS a réuni au-tour d'une table les producteurs, les formulateurs et les applicateurs

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Acteur essentiel du développement durable

de trioxyde de chrome pour travail-ler sur la question, notamment avec l'Echa (European chemical agency). Objectif : parvenir à un accord qui autorise les industriels maîtrisant bien les process à utiliser le trioxyde de chrome, ce produit indispen-sable à notre profession. »

Denis Thery, délégué général de l'UITS

NOUS L’AVONS FAIT

Parrainer les jeunesDepuis deux ans, l'UITS parraine des jeunes du lycée professionnel Condorcet de Montreuil. Sélectionnés pour leur motivation, ces élèves de bac professionnel traitements de surfaces sont soutenus par un professionnel d'une entreprise adhérente qui les encourages et leur montre les débouchés du métier. 5 jeunes ont ainsi réussi leur bac pro et poursuivent leur scolarité en BTS.Pour cette année scolaire, 6 jeunes bénéficient de ce dispositif et 2 nouvelles entreprises se sont portées volontaires pour les accompagner.

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TÉMOIGNAGE FABRICE PROST, DIRECTEUR COMMERCIAL TECHNIQUES SURFACES, FILIALE DU GROUPE HEF

Vers des traitements de plus en plus verts« L'UITS est un pourvoyeur d’information, mais aussi, un fédérateur et un porte-parole agissant sur des dossiers très importants comme les relations sous-traitant donneurs d’ordre ou encore l’assimilation de Reach. L’UITS se doit aussi de tourner notre industrie vers l’avenir. Notre métier évolue beaucoup et l'heure est aux technologies de traitement "vertes" valorisant ainsi le traitement de surfaces pour sa contribution environnementale. Les nouvelles technologies amènent des gains en performance et durabilité qui contribuent directement à la réduction de l’empreinte environnementale des mécanismes.Elles n'incorporent plus de polluants et notamment de métaux lourds tant lors de la mise en œuvre que sur le produit fini pour assurer l’aptitude à être recyclé en fin de vie. C’est dans ce contexte que le groupe HEF continue de développer fortement ses technologies basées sur les liquides ioniques et les dépôts sous vides. »

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UITS

U 194 adhérents regroupant toutes les activités du traitement des matériaux répartis en 3 sections et 3 commissionsU 1 conseil d’administration composé de 23 industrielsU Chiffre d’affaires de la profession : 2 milliards d’eurosU 25 000 emplois directsU 3 permanentsU Contact : Denis Thery, délégué géné[email protected] 47 17 64 35www.uits-france.com

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Actions de Syndicats | 25

Filtration et épuration pour la qualité de l’air 20

« Aujourd’hui, qui dit qualité d’air intérieur dit ventilation et filtration. Cette donnée se heurte à une autre exigence imposée par la nécessité d’améliorer l’effica-cité énergétique : l’étanchéité des bâtiments. Ainsi, dans l’habitat, la nouvelle réglementation thermique des bâtiments conduit à améliorer toujours plus l’isolation, au détri-ment de la qualité de l’air intérieur. L’enjeu pour notre profession est de résoudre ce paradoxe. Notre syndi-cat et ses adhérents font le pari de la recherche et développement pour devancer la loi. Actuellement, seule l’ambiance du poste de travail fait l’objet de réglementations. Mais, il y a fort à parier que la législation concernera bientôt l’ensemble des bâtiments industriels, tertiaires,

Améliorer la qualité de l’air : la profession relève le défi

NOUS L’AVONS FAIT

Un forum dédié à la qualité d’airPour la cinquième année consécutive, Uniclima, partenaire de Pollutec, animera lors de ce salon le forum Qualité d’air, notamment en organisant un cycle de conférences sur des thèmes touchant le tertiaire et l’industrie : la réglementation, les outils de mesure, les techniques pour améliorer la qualité de l’air, la sécurité, la protection de l’environnement… Un rendez-vous attendu par la profession et les visiteurs qui permettra de partager les expériences et de rencontrer des experts du domaine. En 2011, c’est au cours de ce forum que le ministère de l’Écologie avait annoncé la parution du décret imposant la surveillance de la qualité de l’air dans certains établissements recevant du public (ERP).

ainsi que l’habitat. Le Comité fil-tration et épuration pour la qualité de l’air a la chance de compter dans ses rangs des industriels aux com-pétences multiples. Spécialistes de la filtration, des économies d’éner-gie, de la conception d’installation… Au sein d’Uniclima les échanges se multiplient pour favoriser des systèmes capables de purifier l’air sans nuire à l’efficacité énergétique du bâtiment. Nous travaillons éga-lement à réduire la consommation d’énergie de nos équipements. Un formidable défi. »

Arnaud Paque, président du comité filtration et épuration pour

la qualité de l’air d'Uniclima

TÉMOIGNAGE PHILIPPE CLÉMENT, PRÉSIDENT DE FREUDENBERG FILTRATION ET DU COMITÉ DE NORMALISATION UNM 710 « SÉPARATEURS AÉRAULIQUES »

Des industriels impliqués dans la normalisation « Uniclima a compris très tôt qu'il était essentiel pour développer l'activité de la filtration et apporter au marché les outils de décision les plus performants, de peser de tout son poids sur la scène européenne et mondiale. Le syndicat s'est donc investi dans la normalisation, donnant accès aux commissions à ses adhérents. C’est en quelques chiffres : 8 experts sur 17 que compte le comité UNM 710, 6 publications et 6 nouveaux projets de normes en 2011. La demande de performance évoluant de plus en plus vite (efficacité énergétique, amélioration de la qualité de l’air intérieur), il est plus que jamais nécessaire de faire reconnaître les nouvelles technologies répondant à cette demande par le biais de la normalisation. Nous prenons ainsi une part active au développement durable et à l’amélioration de la qualité de vie, assumant pleinement notre responsabilité sociétale. C'est aussi dans ce contexte le meilleur moyen de nous prémunir de l'entrée sur les marchés français et internationaux de produits plus ou moins "exotiques" qui ne répondent pas aux standards, et de donner aux utilisateurs l’opportunité d’un choix éclairé. »

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UNICLIMA

U 11 adhérentsU 1 bureau de 2 industrielsU Chiffre d’affaires de la profession : 100 millions d’eurosU 1 permanentU Contact : Jean-Paul Ouin, délégué géné[email protected] 01 45 05 70 00www.uniclima.fr

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Direction de la Communication 92038 Paris La Défense cedex • 39-41, rue Louis Blanc - 92400 Courbevoie

Tél. : +33 (0)1 47 17 60 27 - Fax : +33 (0)1 47 17 64 37 - [email protected] internet : www.fim.net • Site extranet : www.extranet.fim.net

ACTIONS de

Agitateurs

Construction

Sidérurgie

Transmissions

Compresseurs

Tuyauterie

Robinetterie

Roulements

Machines

spéciales

Procédés

industriels

Maintenance

industrielle

Infrastruc-

tures

Etanchéité

Prom

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Com

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