Ville et développement durable centre urbain septembre 2011

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VILLE et DEVELOPPEMENT DURABLE» VILLE NATURE» VILLE MARCHANTE» VILLE RESPONSABLE

Centre urbain, Bruxelles, le 21 septembre 2011

Pierre Vanderstraeten

Pensée systémique Réencastrer les 3 sphères

VILLE NATURE

STRASBOURG « Twin tracks »: structures écomobile et écologique

« The two tracks are the public transport hierarchy and the greenspace/waterspace system. One provides the shaping for concentrations of human activity, while the other enables the ecology of the settlement to work effectively. » H. Barton

Ecopolis: LobbenstadTjallinghii

Macrostructures urbaines d’après H. Frey:

Core city Linear city Star city

Satellite city Regional city Galaxy of settlements

STUTTGART: plan climat

VILLE MARCHANTE

BruxellesRang vélo

Double vélo couché à assistance électrique

TRANSPORT COLLECTIF STRUCTURANT- SPTC- BHNS

Plus besoin de connaître l’horaire…

Tram-trainKarlsruhe

ParisBateau bus

Distrivaart NL

Distrivaart - NL Cargo-vélo, Paris

Citycargo - AmsterdamTram vicinal de marchandises

Schaerbeek en 1910

Chaîne écomobile pour le transport des marchandises

Ni plus dense,ni moins dense

En marchant° Ville des courtes distances si distance réelle > 70 % distance vol d’oiseau

° Emboitement des échelles« Le tramway, c’est un piéton qui fait une pause. »

Viabilité transports publics

Moyenne: 30 hab/ha 70 hab/ha 100 hab/ha 115 hab/ha

R. Thomas, « Sustainable urban design; an environmental approach »,Ed. Spon Press, London, 2003.

LIEUX + RESEAUX = NŒUDS

Gestionnaires de nœuds écomobiles intermodaux

ORIGINE et DESTINATION –> REENCHANTEMENT des LIEUX

D’une route nationale à une avenue urbaine

Aménagement actuel

Aménagement transitoire

Aménagement final

Gestion des temps sociaux

HAREN - NLESPACE PARTAGE

ESPACE PARTAGE HAREN - NL

- Compétences sociales- « Safety of danger »

La rue ne nous rend plus assez intelligent-> Affaiblissement de notre être social

« Les motifs de la mise en place de tels dispositifs séparatifs résident en effet, le plus souvent, dans le constat d’un affaiblissement des règles de partage du domaine public…A défaut d’une politesse ou d’une règle partagées, c’est l’espace lui-même et non plus les citoyens qui doit garantir une coexistence des usages sur le domaine public. »

LANDAUER P., 2009, L’architecte, la ville et la sécurité, Paris, éd. PUF, p. 46.

Nörkopping

Avant:langage routier

Après:Langage urbain

MECHELEN

Napoli

The Public Realm•Culturally defined

•Personal

•Spatial

•Multi-purpose

•Constantly changing

•Unpredictable

•Contextual

•Cultural / social rules

•Eye contact

The Highway•Regulated

•I mpersonal

•Linear

•Single Purpose

•Consistent

•Predictable

•Systematic

•State controlled

•Signs and markings

H. Monderman - www.shared-space.org

VILLE RESPONSABLE

Superficie de la planète 100%

Sol écologiquement

productif (en diminution)

17%

Sol non productif (en progression)

12%

Océans71%

Ville responsable de son écosystème

METABOLISME URBAIN et ECOLOGIE INDUSTRIELLE:boucler - étanchéifier - intensifier/dématérialiser - alléger/décarboniser

ESPACE PARTAGE HAREN - NL

ESPACE PARTAGE HAREN - NL

FREY H. et YANESKE P., 2007, Visions of sustainability, cities and regions, ed.Taylor & Francis, London, p. 88

L’empreinte écologique de la région de Bruxelles-Capitale:408 x sa surface,soit 66 096 km2 ,soit 2,17 x la surface de la Belgique.

Que signifie une Région à part entière ?

« Ces tas d’ordures au coin des bornes, ces tombereaux de boue cahotés la nuit dans les rues, ces affreux tonneaux de la voirie, ces fétides écoulements de fange souterraine que le pavé vous cache, savez-vous ce que c’est ? C’est la prairie en fleur, c’est de l’herbe verte, c’est du serpolet et du thym et de la sauge, c’est le mugissement satisfait des grands bœufs le soir, c’est du foin parfumé, c’est du blé doré, c’est du pain sur votre table, c’est du sang chaud dans vos veines, c’est de la santé, c’est de la joie, c’est de la vie. »

Victor Hugo, extrait de Les Misérables,

cité par BARLES S., 2005, L’invention des déchets urbains; France: 1790-1970, Seyssel, éd. Champ Vallon, p. 122.

ESPACE PARTAGE HAREN - NL

Centralisé >< décentraliséGrands réseaux techniques >< métabolisme local

Concilier solidarité et responsabilité

LILLE - Fr

SphèreAutonome

Intelligence collective

ESPACE PARTAGE HAREN - NL

A la suite de cette animation, chacun a pris quelques minutes pour proposer des actions envisageables à l’échelle du quartier, et au final ce sont quatre grandes propositions qui se sont dégagées :

• Mise en place d’un GAS (groupement d’achat solidaire) pour permettre à chacun de mieux s’alimenter en disposant de produits plus sains pour un prix moins élevés

• Mise en  place d’un potager collectif sur Saint Gilles, chacun pourrait venir y cultiver des fruits et légumes, au profit de tous. Au préalable, des aspects formations et sensibilisation pourraient être mis en place (avec visite de jardins collectifs, démonstrations, etc..)           

• Mise  en place d’un groupe de simplicité volontaire qui aurait comme objectif de proner une consommation plus locale, d’apprendre aux écoliers comment il est possible de décrypter la publicité, de créer des systèmes d’échanges locaux etc… A ce sujet, une réunion d’information pour la mise en place d’un Service d’Echange Local (SEL) aura lieu le 16 mars de 18 à 19h dans les locaux de la maison médicale au 110 rue de la victoire (pour plus d’infos voir le site http://selofan.be/)

• Création d’un « échange de plat du jour » par les restaurateurs du quartier. L’idée serait ici qu’un restaurateur du quartier réalise une fois par semaine un plat du jour que chacun puisse ensuite consommer sur place ou venir chercher et remporter. Cela permettrai de découvrir différents types de cuisine mais aussi d’économiser l’énergie normalement consommée pour la cuisine domestique de chacun.           

« At three or four stories, one can still walk comfortably down to the street, and from a window you can still feel part of the street scene: you can see details in the street – the people, their faces, foliage, shops. From three stories you can yell out, and catch the attention of someone below. Above four stories these connections break down. The visual detail is lost; people speak of the scene below as if it were a game, from which they are completely detached. The connection to the ground and to the fabric of the town becomes tenuous; the building becomes a world of its own: with its own elevators and cafetarias. »

ALEXANDER C., ISHIKAWA S., SILVERSTEIN M., 1977, A pattern language, New York, ed. Oxford University Press, p. 118.

ECOCONSTRUCTION

Maison passiveRue J. Wauters à Schaerbeek

Architecte: I. Camacho

Bureau passifrue U. Britsiers à Schaerbeek

Architecte: Architectes Associés

Ilot d’habitations passivesà Frankfurt

Travail sur l’existant

Merci pour votre attention

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