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universitaire universitaire l’Action LE JOURNAL DE L’UNION NATIONALE INTER-UNIVERSITAIRE N°252 Octobre 2005 2 Euros l’Action L’action universitaire - page 1 UNI - LA DROITE UNIVERSITAIRE - 8, rue de Musset - 75016 Paris - 01.45.25.34.65 - fax. : 01.45.25.51.33 Directeur de la publication : J. Rougeot - CPPAP 0507 G 79428 - dépôt légal quatrième trimestre 2005 - Mensuel Les syndicats du crime Par Guillaume Cabrol irculation bloquée, piquets de grèves sur le port, pira- tage du Pascal Paoli par les nervis du syndicat des travailleurs corses… Marseille vit depuis plu- sieurs mois des grèves en casca- des, qui paralysent l’activité de la ville et témoignent d’une mainmi- se croissante de l’extrême gauche syndicale sur les entreprises publiques locales. Non contents d’avoir fait reculer le gouvernement sur le dossier de la privati- sation de la SNCM, non contents d’avoir obtenu l’éviction du directeur du Port autonome de Marseille, bloqué l’approvisionnement de nombreuses entre- prises (35 millions d’euros de perte sèche selon la chambre de com- merce des Bouches-du-Rhône) et réduit 18 000 personnes au chômage tech- nique, la CGT récidive depuis 38 jours en bloquant le fonctionne- ment de la Régie des transports marseillais. Au cœur des revendi- cations : la hausse des salaires ? Les conditions de travail ? Rien à voir. Le principal motif de cette grève aujourd’hui jugée illégale (décision du TGI de Marseille du 4 novembre 2005), c’est la déci- sion de la communauté urbaine de Marseille de confier la gestion du futur tramway à une entreprise dans le cadre d’une délégation de service public. Autrement dit, en dehors de la RTM et donc du contrôle que la CGT y exerce. Pour protéger ses intérêts propres, la CGT use donc de cette recette classique qui consiste à prendre en otage les usa- gers des transports en commun. Le profil social de ces derniers plutôt modeste ne semble pas alarmer la CGT sur sa prétendue vocation sociale. Plus largement, ce funeste épisode illustre deux faits nouveaux et marquants sur la manière dont les syndicats agis- sent depuis une dizaine d’années : des visées politiques et des actes de plus en plus criminels. La Charte d’Amiens ? Connaît pas… Tout d’abord, les grandes centrales syndicales, CGT en tête, ne se cachent plus de poursuivre des C Les parlementaires de l'Assemblée Nationale constituante abolirent dans la seule nuit du 4 août 1789 l’ensem- ble des privilèges et des droits féo- daux. Deux siècles se sont écoulés et, pourtant, une nouvelle aristocratie prospère : les syndicats. Cette restau- ration a, notamment, été rendue pos- sible par un décret de 1966 qui octroie des privilèges exorbitants aux cinq grandes centrales syndicales. Pour elles tout les droits comme celui d’avoir des délégués syndicaux dans les entreprises même et surtout si elles n’ont qu’un seul adhérent en leur sein, ou encore celui de siéger dans de nombreuses instances (bran- ches et entreprises) sans avoir à se soucier d’être représentatif de quoi que ce soit. Depuis, débarrassée de la préoccupa- tion de représenter sincèrement les salariés, ces syndicats ont fait de la défense de leurs petits intérêts parti- culiers leur véritable combat. Le cor- poratisme le plus stérile leur tient lieu de boussole, comme l'a démontré la journée du 4 octobre. A cette occasion, les centrales syndi- cales avaient appelé à la mobilisation sans plus de précisions. L’enjeu n’était évidemment pas de défendre l’intérêt des salariés mais bien d’instaurer un bras de fer avec le gouvernement au moment ou celui-ci envisage d’étend- re le système du service garanti et tente de faire la lumière sur quelques un des grands dossiers de ce “syndi- calisme d’affaires” : CE d’EDF, SNCM .... De la “nuit du 4 août” à la journée du 4 octobre Ces affiches ont été collées partout en France, pour dénoncer le corporatisme des syndicats.

Action universitaire - octobre 2005

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universitaireuniversitairel’Action

❚ LE JOURNAL DE L’UNION NATIONALE INTER-UNIVERSITAIRE ❚ N°252 ❚ Octobre 2005 ❚ 2 Euros ❚

l’Action

L’action universitaire - page 1

UNI - LA DROITE UNIVERSITAIRE - 8, rue de Musset - 75016 Paris - ✆ 01.45.25.34.65 - fax. : 01.45.25.51.33Directeur de la publication : J. Rougeot - CPPAP 0507 G 79428 - dépôt légal quatrième trimestre 2005 - Mensuel

❚ Les syndicats du crimePar Guillaume Cabrol

irculation bloquée, piquetsde grèves sur le port, pira-tage du Pascal Paoli par les

nervis du syndicat des travailleurscorses… Marseille vit depuis plu-sieurs mois des grèves en casca-des, qui paralysent l’activité de laville et témoignent d’une mainmi-se croissante de l’extrême gauchesyndicale sur lesentreprises publiqueslocales. Non contentsd’avoir fait reculer legouvernement sur ledossier de la privati-sation de la SNCM,non contents d’avoirobtenu l’éviction dudirecteur du Portautonome deMarseille, bloquél’approvisionnementde nombreuses entre-prises (35 millionsd’euros de pertesèche selon lachambre de com-merce desBouches-du-Rhône) et réduit 18000 personnes au chômage tech-nique, la CGT récidive depuis 38jours en bloquant le fonctionne-ment de la Régie des transportsmarseillais. Au cœur des revendi-cations : la hausse des salaires ?Les conditions de travail ? Rien àvoir. Le principal motif de cettegrève aujourd’hui jugée illégale(décision du TGI de Marseille du

4 novembre 2005), c’est la déci-sion de la communauté urbainede Marseille de confier la gestiondu futur tramway à une entreprisedans le cadre d’une délégation deservice public. Autrement dit, endehors de la RTM et donc ducontrôle que la CGT y exerce.Pour protéger ses intérêts propres,

la CGT use doncde cette recetteclassique quiconsiste à prendreen otage les usa-gers des transportsen commun. Leprofil social de cesderniers plutôtmodeste ne semblepas alarmer la CGTsur sa prétenduevocation sociale.Plus largement, ce

f u n e s t eé p i s o d ei l l u s t r edeux faits

nouveaux et marquants sur lamanière dont les syndicats agis-sent depuis une dizaine d’années :des visées politiques et des actesde plus en plus criminels.

La Charte d’Amiens ?Connaît pas…

Tout d’abord, les grandes centralessyndicales, CGT en tête, ne secachent plus de poursuivre des

C Les parlementaires de l'AssembléeNationale constituante abolirent dansla seule nuit du 4 août 1789 l’ensem-ble des privilèges et des droits féo-daux. Deux siècles se sont écoulés et,pourtant, une nouvelle aristocratieprospère : les syndicats. Cette restau-ration a, notamment, été rendue pos-sible par un décret de 1966 quioctroie des privilèges exorbitants auxcinq grandes centrales syndicales.Pour elles tout les droits comme celuid’avoir des délégués syndicaux dansles entreprises même et surtout sielles n’ont qu’un seul adhérent enleur sein, ou encore celui de siégerdans de nombreuses instances (bran-ches et entreprises) sans avoir à sesoucier d’être représentatif de quoique ce soit.

Depuis, débarrassée de la préoccupa-tion de représenter sincèrement lessalariés, ces syndicats ont fait de ladéfense de leurs petits intérêts parti-culiers leur véritable combat. Le cor-poratisme le plus stérile leur tient lieude boussole, comme l'a démontré lajournée du 4 octobre.

A cette occasion, les centrales syndi-cales avaient appelé à la mobilisationsans plus de précisions. L’enjeu n’étaitévidemment pas de défendre l’intérêtdes salariés mais bien d’instaurer unbras de fer avec le gouvernement aumoment ou celui-ci envisage d’étend-re le système du service garanti ettente de faire la lumière sur quelquesun des grands dossiers de ce “syndi-calisme d’affaires” : CE d’EDF, SNCM ....

De la “nuit du 4 août” à

la journée du 4 octobre

Ces affiches ont été collées partout en France,

pour dénoncer le corporatisme des syndicats.

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objectifs purement politiques.Ayant tardivement pris consciencede leur perte de représentativitédans le monde du travail depuis30 ans (- 66 % d’effectifs pour laCGT, - 14 % pour FO, - 31 % pourla CFDT), le mouvement syndicaltente de reprendre pied en politi-sant les conflits sociaux. Si la CGT- arrière boutique d’un PCFméprisé par les catégories ouvriè-res (à peine 6 % du vote ouvrierlors des présidentielles de 2002) –était jusqu’alors la seule à entrete-nir un lien avec une organisationpolitique, de nombreux groupus-cules syndicaux ont éclos depuis lafin des années 1990 et concourentà politiser le champ syndical. Il enva des mouvements anti-OGMcomme de la nébuleuse qui gravi-te autour de la Confédération pay-sanne, plus connue pour sonvoyou moustachu que pour ladéfense du statut paysan. Chaquemouvement politique tente de tirerles marrons du feu, comme l’abien souligné la crise de la SNCMqui a mis en lumière les liensétroits qui unissaient le Syndicatdes travailleurs corses (STC) a lamouvance indépendantiste corse.Le paysage syndical à gauche separtage désormais entre les com-promis (CGT) et les anti-mondia-listes, qui bénéficient d’uneaudience médiatique certaine. Larevendication politique s’affirmeplus encore lorsque les « acquissont menacés », autrement ditquand la gauche n’est plus auxaffaires… et qu’elle prive ses syndi-cats d’un relais politique efficace,parce que docile. Mais dans uncontexte où le syndicalisme ne faitplus recette - sauf peut-être aucomité d’entreprise d’EDF… - etmanque de légitimité en Europe(avec un taux de syndicalisation enFrance de 9 % contre 71 % auDanemark et 82 % en Suède), lessyndicats abordent le rapport deforce différemment, en passantd’une logique du nombre à uneradicalisation des actes, quitte àbasculer dans l’illégalité et la vio-lence. Un pas que nombre d’entre

eux a franchi depuis longtemps.

Pourquoi une telle évolution ?Parce que se définir comme syndi-caliste, c’est se présenter sous unjour favorable, celui de la tradition-nelle lutte des « petits contre lesgros ». Mais de quels gros parle-t-on aujourd’hui ? Des cultivateursde maïs transgénique aux champsbrûlés ? Des employés d’un MacDo franchisé qui voient leurinstrument de travail démonté ?Des employés de la préfecture del’Aveyron, séquestrés en 1999 pardes membres de la Confédérationpaysanne ? Des distributeurs dejournaux gratuits molestés en pleinParis ? Dans une course constanteau pouvoir certains syndicats sur-fent sur les difficultés économiquesde notre pays et dévoient leur phi-losophie au profit de méthodesmafieuses et criminelles.

Une dérive criminalo-mafieuse

On distingue dans le paysage syn-dical deux mouvances qui usentde la violence pour des motifs dif-férents.En premier lieu, la CGT se posecomme un syndicat « rentier » etuse de la violence pour préserverun certain nombre de privilèges,dont la centrale use et abuse à sonprofit. Le syndicat du livre (FIL-PAC-CGT) a fait des coups deforce et de l’illégalité son moyend’action privilégié : pillage despresses concurrentes et non-affi-liées aux NMPP (où le syndicat estmajoritaire), contrôle et syndicali-sation obligatoire des ouvriers dulivre, surpayés et sous-employés (àtel point que même Serge July esti-me que le prix moyen des jour-naux s’en trouve artificiellementaugmenté de 30 %), jusqu’au pas-sage à tabac des chauffeurs rou-tiers à la frontière franco-belge aumilieu des années 1980 (quandRobert Hersant, pour échapper à lamainmise du syndicat, faisait tirerle journal en Belgique). Dernièreagression en date, celle des jour-

naux gratuits à l’automne 2000(saccage des presses, destructiondes exemplaires, agression desemployés chargés de distribuer lejournal).EDF-GDF représente quant à ellel’exemple le plus abouti de l’em-prise mafieuse que les syndicatspeuvent avoir sur une entreprise.Un exemple qui pourrait bientôtdevenir un cas d’école dans les tri-bunaux et les écoles d’avocats,depuis l’ouverture en septembre2004 d’une enquête judiciairepour « abus de confiance, escro-querie, faux et usage de faux ».Disposant du contrôle de la CCAS(Caisse centrale d’action sociale,autre nom donné au comité d’en-treprise d’EDF), la CGT a la hautemain sur un véritable trésor deguerre : 400 millions d’euros, quicorrespondent au 1 % légal dubénéfice que chaque entreprisedoit verser à son CE (pour EDF,cette acception est élargie au chiff-re d’affaires). Une manne long-temps restée sous le seul contrôlede la CGT qui a pu monter pen-dant plusieurs décennies un systè-me de financement occulte à sonprofit (les trois quart des membresde la CCAS sont des permanentsde la CGT) et à celui du parti com-muniste, de l’Humanité (dont EDFa indirectement épongé le déficit)et d’une kyrielle de sociétés pro-ches du syndicat. On comprendaisément que l’ouverture du capi-tal d’EDF et les conséquences quecela pourrait induire en terme detransparence de gestion puissentagacer nombre de cégétistes quiprennent à leur tour les usagers enotage (avec les coupures de cou-rant) pour se faire entendre.

A côté de cette centrale « histo-rique », émerge depuis quelquesannées une nouvelle forme de syn-dicalisme plus spontané et moinscontrôlable encore. C’est danscette tendance que l’on peut clas-ser les syndicats typeConfédération paysanne, le STC etles mouvements indépendants, liésà des conflits ponctuels et locali-

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Mercredi 26 octobre, une délé-gation de l’UNI a été reçue parle Ministre de l’EducationNationale et le ministre déléguéà l’enseignement supérieur et àla recherche afin d’aborder,notamment la question de l’in-sertion professionnelle des jeu-nes diplômés.

Depuis quelques mois, le chô-mage des jeunes diminue.L’emploi reste malgré tout lapremière préoccupation desétudiants. Selon les filières, lessituations peuvent être très dif-férentes et toutes n’offrent pasles mêmes garanties en termede débouchés. C’est pourquoi,l’UNI a soutenu la propositionde François GOULARD consis-tant à faire publier les statis-tiques d’insertion professionnel-le filière par filière pour chacu-ne des universités. Cette mesu-re est très attendue par les étu-diants qui souvent, ont du mal,

au moment de leur orientation,à appréhender la réalité dumarché de l’emploi.

D’ores et déjà, certaines univer-sités publient ces chiffres, cequi démontre la faisabilité de ceprojet à tous ceux qui se refu-sent à la transparence en pré-textant l’impossibilité techniquede fournir de telles statistiques.

L’UNI a, par ailleurs, demandédes mesures afin de permettreaux étudiants qui le souhaitentde concilier dans de bonnesconditions, travail et études. Lesministres ont jugé que la ques-tion ne devait pas être taboue,et qu’effectivement le fait de tra-vailler pendant ses études étaitvalorisé par les futursemployeurs. Certaines disposi-tions doivent donc être trouvéespour concilier intelligemmentces deux activités.

❚ Insertion professionelle :

La priorité étudiante sés. Plus violents, ces syndicats ont faitde l’illégalité leur créneau, voyant là unmoyen efficace d’occuper l’espacemédiatique, les autres organisationsétant tentées de les imiter : fauchage dechamps, incendies de locaux du MEDEFet occupation de biens privés, séques-tration (comme trois employés de lapréfecture de Rodez par des militants dela Confédération paysanne en 1999,action qui fut condamnée par le tribunalde cette ville la même année). Cetteescalade peut aboutir à la mise en dan-ger d’autrui, comme l’on fait les grévis-tes de l’usine Cellatex (Ardennes) qui,pour protester contre la fermeture deleur usine, ont menacé de la faire explo-ser à l’aide des 46 tonnes de sulfure decarbonne présente sur le site. Pourprouver leur détermination, ils sont allésjusqu’à déverser 10 000 litres d’acidesulfurique dans un affluent de la Meuse.Plus inquiétant, les syndicats tradition-nels – CGT en tête – loin de canaliserde tels actes (en sont-ils capables enco-re aujourd’hui ?), emboîtent le pas deces nouveaux groupuscules ultra-vio-lents et radicalisent à leur tour leursactions sur le terrain. Le plus à craindreserait de voir cette action se banaliser,voire être encouragée (comme pour lesmouvements anti-OGM). Selon la termi-nologie du code pénal français (art. 421-1), peut-être caractéristique d’un acteterroriste « […] le détournement d’aéro-nef, de navire ou de tout autre moyen detransport […] ». Dès lors, José Bové(reconnu coupable pour entrave à la cir-culation d’un aéronef par le tribunal deTahiti le 20 octobre 1998) et plus enco-re le STC devraient être exposés auxsanctions prévues pour de tels actes (20ans de prison ferme) et témoigner de lagravité extrême de leurs actes.On ne peut que se féliciter de la répon-se ferme que le gouvernement appliqueà ces manifestations irresponsables etdangereuses, tandis que l’opposition,croyant reconquérir ses électeurs, semue dans un silence coupable. Plus quejamais il revient au pouvoir politique desoutenir la justice dans son travail cont-re ces terroristes en bleu de travail etl’imposture des syndicats, plus soucieuxd’imposer par la force la sauvegarde deleurs privilèges que de défendre les inté-rêts du travail en France.

Universités-entreprises

• Une enquête nationaleauprès des étudiants (diffuséeà 100 000 exemplaires)

• Une enquête auprès des « recruteurs » (10 000 exemplaires)

• Une campagne d’affichage (50 000 exemplaires)

• La publication au mois de mars d’un livre blanc sur l’emploides étudiants.

Cette campagne nationale vise à améliorer la connais-sance réciproque entre les étudiants et leurs futursemployeurs. Trop souvent, la méconnaissance entre cesdeux mondes constitue un handicap pour les jeunesdiplômés à la recherche d’un emploi. Cette campagne sedécline en :

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