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Automobile La consommation en question 24 Heures de Spa Quand passion rime avec émotion The Belgian Owl Le whisky « made in Belgium » ALD switch 100% flexible Marieke Vervoort Vouloir, c’est pouvoir Sport Envoyez-vous en l’air avec l’Hoverboard MAGAZINE PERIODIQUE D’ALD AUTOMOTIVE SEPTEMBRE 2014 #3

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Automobile La consommation en questionAutomobile La consommation en question24 Heures de Spa Quand passion rime avec émotion24 Heures de Spa24 Heures de Spa Quand passion rime avec émotionQuand passion rime avec émotionThe Belgian Owl Le whisky « made in Belgium »The Belgian OwThe Belgian Owll Le whisky « made in Belgium »Le whisky « made in Belgium »ALD switch 100% fl exible

Marieke Vervoort Vouloir, c’est pouvoir

Automobile La consommation en questionAutomobile La consommation en questionSport Envoyez-vous en l’air avec l’Hoverboard

MAGAZINE PERIODIQUE D’ALD AUTOMOTIVE

SEPTEMBRE 2014#3

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3,8 - 4,2 L/100 KM • 99 - 109 g CO2/KM Informations environnementales AR 19/3/2004 : www.mercedes-benz.be - Donnons priorité à la sécurité.

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aim

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Des chiffres qui comptent. La nouvelle Classe C 180 BlueTEC. Best in class.

L’équation parfaite se juge sur base de chiffres. Jugez plutôt. Jusqu’à 100 kg de moins et un Cx de seulement 0,24. Une opération toute simple qui aboutit à une consommation minimale de 3,8 l/100 km. Ajoutez-y un taux d’émission de CO2 d’à peine 99 g/km et une déductibilité fiscale de 90 %, et percevez toute la justesse des chiffres.

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Cher lecteur, chère lectrice,

Comme le temps passe vite! Voici à peine quelques semaines, les vacances rythmaient encore votre quotidien, en famille ou entre amis, à l’étranger ou en Belgique. Que de bons souvenirs qui vous ont, nous l’espérons, permis de recharger les batteries à fond pour aborder la rentrée en pleine forme. Chez ALD Automotive, nous avons mis l’été à profit pour préparer un tout nouveau produit de mobilité : ALD poolbike. Fiscalement avantageux, excellent pour l’environnement, la santé, la mobilité et l’image de votre entreprise, ALD poolbike propose le financement de 6 vélos et d’un range-vélos ainsi que l’assurance, l’assistance et l’entretien. Ne perdez pas les bonnes habitudes prises pendant la semaine de la mobilité (du 16 au 22 septembre derniers) et mettez en selle votre entreprise grâce à un pool de vélos disponibles pour les petits déplacements des employés en journée.

L’été fut également l’occasion de vous concocter cette nouvelle édition de votre magazine Smile. Un numéro de rentrée qui fait la part belle au sport, qu’il soit automobile ou pas, avec un retour sur les 24 heures de Spa, un étonnant portrait de Marieke Vervoort, la présentation de notre équipe ALD Sport ou encore l’hoverboard, un drôle d’engin qui vous propulse plusieurs

mètres au-dessus de l’eau. La belgitude aussi est à l’honneur, avec le Belgian Owl, un whisky bien de chez nous, mais aussi des cordages de raquettes « made in Belgium » qui équipent les plus grands joueurs de tennis de la planète. Dans tout autre registre, c’est la technologie qui va vous étonner. Réduire la consommation des voitures, nettoyer les océans, faire marcher les paraplégiques : les domaines d’application sont aussi nombreux que surprenants.

Excellente lecture.

Miel HorstenManaging Director ALD Automotive

editoSEPTEMBRE 2014#3

sommaire

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3,8 - 4,2 L/100 KM • 99 - 109 g CO2/KM Informations environnementales AR 19/3/2004 : www.mercedes-benz.be - Donnons priorité à la sécurité.

A D

aim

ler

Bra

nd

Des chiffres qui comptent. La nouvelle Classe C 180 BlueTEC. Best in class.

L’équation parfaite se juge sur base de chiffres. Jugez plutôt. Jusqu’à 100 kg de moins et un Cx de seulement 0,24. Une opération toute simple qui aboutit à une consommation minimale de 3,8 l/100 km. Ajoutez-y un taux d’émission de CO2 d’à peine 99 g/km et une déductibilité fiscale de 90 %, et percevez toute la justesse des chiffres.

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04 BACK OFFICE ALD Sport05 NEWS06 ON THE MOVE ALD switch : 100% flexible08 CLIENT À L’HONNEUR Bel : du sourire à partager10 GASTRONOMIE The Belgian Owl : le whisky « made in Belgium »12 TECHNOLOGIE Exosquelette : lève-toi et (re)marche !14 SPORT AUTO 24 Heures de Spa : quand passion rime avec émotion16 CHALLENGE Marieke Vervoort : pour Wielemie, vouloir, c’est pouvoir18 AUTOMOBILE Consommation : de la théorie à la pratique22 ENVIRONNEMENT The Ocean Cleanup : le grand nettoyage24 SPORT Hoverboard : envoyez-vous en l’air26 MADE IN BELGIUM Luxilon : jeu, set et match!

COLOPHON AXUS SA, agissant sous sa dénomination commerciale ALD AutomotiveRue Colonel Bourg 120 – 1140 Evere – 02 706 41 11 – www.aldautomotive.beEditeur responsable - MIEL HORSTENCréation - ACTIVE - 02-467 61 50 - www.activeonline.bePublicité - PATRICK QUATENNENS – [email protected]

Loi relative à la protection des données à caractère personnel : les données à caractère personnel seront transmises et reprises dans un fichier d’AXUS S.A., ayant son siège social Rue Colonel Bourg 120 à 1140 Evere, le responsable du traitement. Les données à caractère personnel seront utilisées par ALD Automotive pour les finalités suivantes : la gestion des relations précontractuelles et contractuelles, la prévention d’abus et d’irrégularités, l’établissement de statistiques et de tests, l’assistance et l’information aux conducteurs et le lancement d’une enquête de satisfaction parmi les conducteurs. Les données à caractère personnel peuvent être transmises par ALD Automotive à des tiers qui sont en relation contractuelle avec AXUS, y compris les fournisseurs et les sous- traitants. Vous disposez d’un droit d’accès et de rectification de vos données à caractère personnel en contactant ALD Automotive par écrit à l’adresse susmentionnée. Ce magazine est protégé par le droit d’auteur. Son contenu est purement informatif et n’a aucune valeur contractuelle.

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04 Back Offi ce

Chez ALD Automotive, nous sommes in-timement persuadés qu’il ne suffi t pas de travailler ensemble pour être pleinement épanouis. C’est la raison pour laquelle, en plus de la passion qui unit les 240 pro-fessionnels actifs en Belgique, nous avons mis en place une série d’initiatives visant à « fédérer les troupes ». Un véritable es-prit d’équipe qui a donné naissance à trois « Inspiration Teams » : ALD Sport, ALD Eco et ALD Gives Back. Ce dernier, dont la mission est de soutenir, sponsoriser et en-courager des actions caritatives, vous a été présenté dans le précédent numéro de Smile. Cette fois, c’est au tour d’ALD Sport de passer sous les projecteurs.

RENFORCER LES LIENSLa raison d’être d’ALD Sport est de pro-mouvoir la participation des collègues d’ALD Automotive à une série d’activi-tés sportives et culturelles. Une manière saine et agréable de renforcer les liens qui unissent les employés tout en créant l’op-portunité de se (re)découvrir en dehors du cadre de travail habituel. « Un esprit sain dans un corps sain » : tel est le message qui nous permet à la fois d’être fi ers de

ALD Sport

UNE FOULE D’ACTIVITÉS PARMI LESQUELLES :- Color Run (course à pied)- Omega Pharma semi-marathon- Match de hockey sur glace- Visite du Théâtre de la Monnaie- VTT & kayak day- Mont Ventoux- Start To Run(coaching course à pied)- Pronostic Coupe du Monde de football- FIFA 2014 Game (football sur console de jeu)

Au total, pas moins de 407 partici-pants ont pris part aux activités orga-nisées par ALD Sport.

C’est désormais un rendez-vous incontournable: dans chaque numéro de Smile, nous vous présentons ce qui se passe dans les coulisses d’ALD Automotive. Après ALD Gives Back, c’est au tout d’ALD Sport d’entrer sur scène.

nous-mêmes et de l’entreprise que nous représentons. En outre, les collègues d’ALD Sport organisent les activités en marge de leur travail quotidien. Un enga-gement fédérateur qui mérite d’être sou-ligné.

LE MONT VENTOUX À VÉLOALD Sport a mis sur pied un grand nombre d’activités dont le point d’orgue fut l’as-cension du Mont Ventoux à vélo. Un défi de taille qui s’est déroulé au mois de juin et auquel pas moins de 35 collègues du Benelux ont participé. Belges, Néerlan-dais et Luxembourgeois se sont ainsi mo-tivés mutuellement, non seulement durant l’ascension en elle-même, mais aussi au cours de la période d’entraînement qui a précédé. Une saine émulation qui a fait la part belle à la soli-darité, comme en témoigne l’encadrement organisé par 5 collègues qui suivaient le groupe à bord de la voiture balai avec le ravitaillement.

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L’hiver approche à grands pas, et vous vous demandez peut-être quel est le moment le plus opportun pour changer vos pneus. C’est en octobre qu’il est conseillé de monter les pneus hiver, tout simplement parce qu’au cours de ce mois, la température commence à descendre régulièrement sous la barre des 7°C. Octobre, c’est aussi le mois du passage à l’heure d’hiver (durant la nuit du 25 au 26), un bon moyen mnémotechnique pour ne pas oublier de prendre rendez-vous dans votre centrale de pneus pour effectuer l’opération.

ALD Automotive vous a également déjà envoyé un petit rappel par e-mail à ce sujet. Grâce à la composition spécifique de leur gomme, les pneus hiver restent plus souples à basse température et adhèrent mieux à la route, même s’il n’y a pas de neige. Et si la neige recouvre la route, il ne vous faudra que 35 mètres pour vous arrêter (à 50 km/h) avec des pneus hiver, contre 43 mètres avec des pneus été. Huit mètres – soit la longueur de deux voitures – qui font toute la différence lorsqu’il y a urgence.

News

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Fidèle à sa vocation de partenaire en mobilité, ALD Automotive a constaté un net renforcement des véhicules hybrides et électriques au sein de sa fl otte au cours de ces dernières années. Entre 2012 et 2014, leur nombre s’est accru de 134%. Et si l’on observe l’évolution au cours de ces quatre dernières années (2010-2014), l’augmentation atteint 280%. Une tendance qui refl ète clairement la volonté des entreprises de réduire leur empreinte écologique tout en offrant une alternative crédible et plaisante aux conducteurs.

UNE FLOTTE « AU COURANT »

CHANGEZ D’HEURE, CHANGEZ DE PNEUS!

VOITURE DU MOIS : VOLVO V40 CROSS COUNTRYC’est désormais une tradition : grâce à ses excellentes relations avec les constructeurs automobiles, ALD Automotive est en mesure de vous proposer, chaque mois, un modèle à un prix particulièrement avantageux. Pour le mois de septembre (l’action reste valable jusqu’à fi n octobre), c’est la Volvo V40 Cross Country qui est à l’honneur. La version diesel 1.6 D2, équipée du Pack Professionnal, est proposée à 486 euros/mois HTVA sur base d’un contrat de location long terme de 48 mois/120.000 km. Le Pack Professional comprend la peinture métallisée, les commandes audio intégrées au volant, la Navigation Sensus, le cruise control et le Sensus Connect High Performance Sound. Rendez-vous sur www.aldautomotive.be pour en profi ter.

A partir de

€ 486/mois HTVA

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En tant que conducteur de voiture de leasing, vous n’avez pas toujours besoin du même type de véhicule. Un utilitaire pour les déménagements, un monovolume pour les vacances ou un cabriolet pour un week-end en amoureux : ALD switch s’adapte à vos besoins et vos envies.

On the move06

100% flexibleTémoignage: ALD switch

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Leader en matière de solutions de mo-bilité, ALD Automotive a toujours placé la mobilité durable au cœur de sa po-litique de développement. Notre but : mettre à votre disposition des produits et des services parfaitement adaptés à l’évolution de vos besoins. C’est la rai-son d’être du label ALD newmobility : des solutions innovantes au service de votre mobilité. Parmi les nombreuses offres réunies dans la gamme ALD newmobility, ALD switch permet de combiner la location long terme d’une voiture avec l’usage d’autres types de véhicules. De ce fait, le conducteur bénéficie d’un véhicule peu polluant, mieux adapté à une utilisation urbaine, et peut recourir, lorsqu’il en a besoin, à un véhicule spécifique (utilitaire, mono-volume, SUV, cabriolet…).

DE LA PASSAT À LA GOLFBasée dans le zoning de Nivelles, la société WIS Telecom emploie une cin-quantaine de personnes et compte une douzaine de véhicules en parc. « Tous sont en leasing opérationnel chez ALD Automotive » explique Valérie Chanoine, Facilities & Procurement Coordinator. « Il s’agit principalement de voitures al-lemandes destinées au management et à la direction. » Parmi les bénéficiaires des voitures de société, Vincent De Keyzer, Provisioning & Support Mana-ger, a opté pour un contrat ALD switch. « Avant, je bénéficiais d’une VW Passat qui n’était pas vraiment adaptée à mon utilisation. J’habite à Bruxelles dans un quartier où les places de parking sont rares. Je ne profitais vraiment de l’es-pace de la Passat que durant les va-cances. Aujourd’hui je roule en Golf. Elle consomme moins et se gare plus facilement. » Vincent De Keyser a signé son contrat ALD switch en novembre 2013. Depuis, il a pu bénéficier à deux reprises d’un véhicule plus spacieux pour ses vacances. « Je suis parti skier en avril, et en vacances d’été en juil-let. Dans les deux cas, j’ai opté pour un monovolume qui m’a été livré sur le parking du bureau. Et comme je vais bientôt déménager, je compte bien uti-liser ALD switch pour bénéficier d’une camionnette à cette occasion. »

Extrêmement souple, ALD switch est une formule qui s’inscrit parfaitement dans une politique de mobilité durable.

RÉDUIRE LES COÛTSExtrêmement souple, ALD switch est une formule qui s’inscrit parfaitement dans une politique de mobilité durable puisqu’elle permet de calquer à tout mo-ment son moyen de transport sur les be-soins réels. En conséquence, le véhicule principal peut être plus compact, donc moins polluant et fiscalement moins onéreux. Pour l’employeur comme pour l’employé, le fait de choisir un véhicule principal moins puissant, plus compact ou moins bien équipé, permet de réduire l’impact fiscal tout en limitant les frais de carburant. Mais la réduction des coûts n’est pas la seule raison d’être d’ALD switch. Plutôt que d’être cantonné à un seul modèle de véhicule, l’utilisateur a la possibilité d’opter, selon ses besoins ou ses envies, pour un véhicule plus fonc-tionnel (van, minibus), plus familial (mo-novolume, break) ou plus prestigieux (cabriolet).

RESPECT DE L’ENVIRONNEMENTMeilleure gestion des coûts, flexibilité optimale…Deux atouts majeurs aux-

quels vient se greffer un troisième bé-néfice : le respect de l’environnement. En souscrivant un contrat de leasing flexible, l’utilisateur peut sélection-ner, comme véhicule principal, un mo-dèle plus compact et moins gourmand puisqu’il a la possibilité d’en changer à plusieurs reprises.

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Il est de ces marques dont la simple évo-cation fait immédiatement appel à l’imagi-naire collectif. Kiri, Babybel, La Vache qui rit sont de celles-là. Des fromages qui ré-sonnent comme autant de souvenirs d’en-fance pour nombre d’entre nous. Toutes trois appartiennent au groupe Bel, qui englobe également Boursin, Leerdammer ou encore Maredsous. Numéro 3 mondial des fromages de marque, et numéro 1 en Belgique, Bel produit chaque année plus de 400.000 tonnes de fromage, dont plus de 16 milliards de portions, au sein de ses 27 sites de production. Mais si le groupe emploie aujourd’hui près de 11.000 colla-borateurs et réalise un chiffre d’affaires de

Depuis près de 150 ans, Bel crée de véritables blockbusters du secteur fromager, connus et appréciés partout dans le monde, tout en restant une entreprise à taille humaine. Aujourd’hui n°3 mondial des fromages de marque, le groupe cultive également le sens de la famille.

08 Client à l’honneur

« ALD est un partenaire particulièrement fiable et transparent dans ses procédures. »

Bel, du sourire à partager2,7 milliards d’euros (en 2013), il n’en a pas toujours été ainsi.

QUESTION DE PORTIONContrairement à ce que son nom pour-rait laisser croire, Bel ne trouve pas son origine en Belgique, mais bien en France, et plus précisément dans le Jura où Jules Bel installe, en 1865, son commerce d’affinage et de négoce de comté. En 1921, Léon Bel fonde la Société ano-nyme des fromageries Bel et dépose la marque La Vache qui rit. Les années 50 et 60 verront les lancements successifs de Babybel, Apéricube et Kiri, puis Bel acquiert Leerdammer en 2002 et Boursin

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Bel, du sourire à partager

en 2007. Mais c’est bien le fromage en portion qui reste la signature du groupe. Un modèle de consommation plébiscité pour son caractère ludique et pratique, pour ses capacités de conservation et son rôle en matière d’équilibre nutritionnel.

Produits familiaux par excellence, les fro-mages Bel sont consommés par toutes les générations. Ce sens de la famille, Bel le cultive également avec ses 10.830 collaborateurs. Et si la famille compte autant pour Bel, c’est parce qu’il s’agit d’un groupe familial depuis sa créa-tion en 1865. Les héritiers des familles Bel et Fiévet détiennent aujourd’hui plus de 70% de la holding familiale Unibel.

NIVELLES ET MAREDSOUSEn Belgique, Bel regroupe une cen-taine de collaborateurs répartis sur deux sites : le siège social situé à Nivelles et les caves d’affinage de Maredsous sur le site de l’abbaye. « Bel est présent en Belgique depuis 1933. Ce fut la seconde implantation hors de France, juste après l’Angleterre » explique Guy Roland, Di-recteur Financier et Administratif de Bel Belgium. « Notre groupe s’internationalise de plus en plus. Il grandit et s’affranchit peu à peu de sa mère patrie. » Le site de Nivelles, qui compte une soixantaine de collaborateurs (dont 15 délégués com-merciaux « sur la route ») regroupe les

services marketing, vente, logistique et administration et finance. Un effectif qui bénéficie largement de voitures de socié-té puisque la flotte, gérée conjointement par Guy Roland et Anne-Gaëlle Claes (Responsable des Ressources Humaines) compte 44 véhicules, dont une partie en leasing opérationnel chez ALD Automotive

SHOPPING LIST Chez Bel, la car policy distingue quatre ca-tégories de bénéficiaires : délégués, cadres junior, cadres sénior et direction. « Dans chaque catégorie, les employés peuvent choisir différents types de véhicules présé-lectionnés (berline, break, monovolume). Cette shopping list a pour but d’assurer la cohérence de la flotte en matière de coûts, de rejets de CO

2, de motorisation ou encore d’options. De 2011 à 2013, le CO2 moyen de notre flotte est passé de 135 à 122 g. En outre, nous sommes particulièrement attentifs à la mise à jour de cette liste en fonction des nouveautés qui arrivent sur le marché, des tests que nous effectuons et de nos échanges d’in-formations avec les sociétés de leasing. Bel Belgium, en tant qu’acteur européen, privilégie également les constructeurs européens. C’est un choix délibéré. »

SENSIBILISER LES CONDUCTEURS Parallèlement à la gestion rigoureuse des véhicules et des contrats de leasing, Bel

met un point d’honneur à sensibiliser ses conducteurs à la réduction des coûts, que ce soit en matière de carburant, de sinistres ou de procès-verbaux. « Nous avons mis en place un classement des conducteurs en fonction de leur consommation de carburant. Nos collaborateurs se sont ra-pidement pris au jeu, d’autant que nous les tenons informés très régulièrement de leur position dans cette compétition. Les moins bons ont même pu bénéficier, gratuitement, de cours d’écoconduite. »

RELATION DE CONFIANCE Parfaitement conscient de la complexi-té que peut représenter une gestion de flotte efficace, Bel accorde également une grande importance à ses partenaires. « Chez ALD, nous avons trouvé des gens à l’écoute de nos besoins spécifiques, capables d’adapter ou de corriger au besoin les contrats avec beaucoup de souplesse. ALD est un partenaire par-ticulièrement fiable et transparent dans ses procédures, prêt à faire preuve de créativité et à entamer de solides ré-flexions si nécessaire. La stabilité est un autre élément très appréciable. Nous avons le même contact pour notre flotte chez ALD Automotive depuis 9 ans. La confiance est établie, le dialogue est franc et le service de qualité, ce qui est précieux dans un secteur où les relations d’affaires sont parfois compliquées. »

BEL EN QUELQUES CHIFFRES (2013)• 2,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires

• 57% du chiffre d’affaires généré par les ventes de fromage en portion

• 1,5 milliard de litres de lait collectés auprès de 3.300 producteurs

• Plus de 400.000 tonnes de fromage produites

• 5.800 distributeurs dans le monde

• N°1 belge (et N°3 mondial) des fromages de marque

• Plus de 16 milliards de portions produites

• 10.830 collaborateurs au niveau mondial

• 30 marques, dont 5 marques « cœur »

• 27 sites de production

• Commercialisation dans plus de 120 pays

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C’est une histoire comme on n’en lit que dans les livres. Pourtant, celle-ci est authentique. Tout commence à Fexhe-le-Haut-Clocher, un petit village situé au cœur du triangle d’or de Hes-baye. Issu d’une famille de liquoristes de Grâce-Hollogne, Etienne Bouillon caresse le rêve de distiller son propre whisky. Pour les ingrédients, les condi-tions sont réunies. L’appellation Whisky Single Malt, la seule qui compte à ses yeux, n’en autorise que deux : l’orge et l’eau. La Hesbaye repose sur une nappe phréatique d’excellente qualité et l’orge, cultivé en agriculture raison-née, fournit un malt irréprochable.

TROIS ANS D’ATTENTEDébut 2004, pour parfaire ses compétences, Etienne Bouillon part s’immerger en Ecosse, au sein de la distillerie Bruichladdich. De retour en Belgique, il s’associe avec Pierre Roberti (agriculteur) et Christian Polis (financier) pour donner naissance au Belgian Owl. Après quelques tests prometteurs, le trio achète, en décembre 2004, de la publicité dans les journaux pour annoncer le lancement du whisky. Le pari est osé car il s’agit de proposer aux lecteurs d’acheter une bouteille qu’ils ne recevront que 3 ans plus tard. C’est

Dans les années 90, une petite graine d’orge nourrissait déjà les rêves d’Etienne Bouillon. Quinze ans plus tard, le premier whisky belge single malt sortait des alambics, au beau milieu de la Hesbaye.

Gastronomie

THE BELGIAN OWL

The Belgian Owl, dont le premier fût a été rempli le 29 octobre 2004, fait aujourd’hui partie des meilleurs whiskies de la planète.

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Le whisky « made in Belgium »

en effet le temps minimum requis pour le vieillissement du whisky.

RENOMMÉE INTERNATIONALEThe Belgian Owl, dont le premier fût a été rempli le 29 octobre 2004, fait aujourd’hui partie des meilleurs whiskies de la planète. En 2010, deux ans après les premières ventes en magasin, le flacon est élu « European Single Cask Whisky of the Year » avec une note exceptionnelle de 95,5% dans la Whisky Bible de Jim Murray. La référence absolue en la matière ! Depuis, The Belgian Owl s’est distingué à de nombreuses reprises et fait la fierté de celui qui a eu l’idée un peu folle de se lancer dans une aventure hors du commun.

www.belgianwhisky.com

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Véhicule illustré: nouveau CITROËN Grand C4 Picasso Exclusive (option: peinture métallisée). (1) Offre HTVA, remise � eet déduite, réservée aux détenteurs d’un numéro d’entreprise et sous réserve de modi� cation du prix catalogue. (2) Estimation de la contribution mensuelle que l’employé devra réellement payer pour l’avantage de toute nature sur base du taux d’imposition maximum de 53,5% (calculé sur un nouveau CITROËN Grand C4 Picasso 1.6 e-HDi 90 ETG6 Airdream Business). Cette offre ne correspond pas au véhicule illustré. Plus d’infos concernant la gamme Business sur www.citroenbusiness.be. Offres valables du 01/09/2014 au 30/09/2014, réservées aux sociétés, non cumulables avec toutes autres promotions en cours et valables dans les points de vente Citroën participants.

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EXOSQUELETTE

Lève-toi et (re)marche !

Technologie12

Le 12 juin dernier, c’est un paraplégique équipé d’un exosquelette qui a donné le coup d’envoi de la Coupe du Monde de football. Une image qui a marqué les esprits et levé le voile sur l’univers fascinant des technologies biomédicales.

Personne n’a oublié l’image de ce jeune paraplégique se levant de son fauteuil pour frapper dans le tout premier ballon de la compétition devant 65.000 spec-tateurs et plus d’un milliard de téléspec-tateurs. C’était le 12 juin dernier, juste avant le match d’ouverture Brésil-Croa-tie, sur la pelouse de l’Arena Corinthians à Sao Paulo. Un exploit rendu possible grâce à un exosquelette de 70 kilos ap-pelé BRA-Santos Dumont. En quelques secondes, le monde des valides s’est rendu compte que la vie des moins-vali-des était sur le point d’être bouleversée par une technologie révolutionnaire ca-

pable de redonner vie à leurs membres inertes.

INSPIRÉ PAR LA NATUREUn exosquelette, par opposition à un en-dosquelette, est une caractéristique anato-mique externe qui supporte ou protège un être vivant. Beaucoup d’invertébrés, com-me les insectes, les crustacés et les mollus-ques, possèdent un exosquelette. Depuis quelques années, une poignée de cher-cheurs se sont inspirés de la nature pour développer des exosquelettes biomécani-ques ou motorisés pour des besoins mili-taires, mais aussi industriels ou médicaux.

Le squelette mécanique soutenant le patient est relié à un casque à électrodes qui envoie les informations du cerveau à un petit ordinateur placé dans le dos.

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COMMANDÉ PAR LE CERVEAU !L’exosquelette utilisé pour le coup de pied inaugural du mondial a été créé dans le cadre d’un projet scientifique baptisé « Walk again » sur lequel travaille une équipe internationale de 156 cher-cheurs, dirigée par le brésilien Miguel Nicolelis, professeur en neuroscience à l’université américaine de Duke. Spécia-liste en interfaces « cerveau-machine », c’est lui qui, en 2008, avait fait contrôler les pas d’un robot au Japon par un signe situé aux Etats-Unis ! Cette fois, il a mis au point une combinaison composée de trois éléments principaux : un exos-quelette, un ordinateur et un casque à électrodes. Le squelette mécanique soutenant le patient est ainsi relié à un casque à électrodes qui envoie les infor-mations du cerveau à un petit ordinateur placé dans son dos. L’exosquelette est composé d’une structure de tiges métal-liques motorisées qui supportent les jambes pendant les mouvements. Sta-

bilisées par des gyroscopes, ces tiges sont alimentées par une batterie installée dans un sac à dos.

« C’est la première fois qu’un exosque-lette est contrôlé par l’activité cérébrale et offre un feedback au patient » a dé-claré Miguel Nicolelis. « L’avancée, c’est non seulement que nous arrivons à faire marcher une personne paralysée, mais qu’en plus nous parvenons à lui faire sentir qu’elle marche. Ce que nous avons présenté au mondial vient couronner 30 ans de travail et redonne de l’espoir à tous ceux qui ne peuvent plus marcher. »

AFFRANCHIR L’HOMME DE SES LIMITES PHYSI-QUESPorter de lourdes charges, gagner en rapidité ou en endurance : les exosque-lettes permettent de décupler la force physique de l’être humain et de repous-ser ses limites. Les armées du monde entier se sont emparées du phénomène

Les exosquelettes permettent de décupler la force physique de l’être humain et de repousser ses limites.

dans un but militaire, mais c’est sans doute dans le domaine de la santé, et plus particulièrement celui du handicap, qu’il est le plus exploré. L’un des projets les plus aboutis est celui de la société japonaise Cyberdyne. Baptisée HAL (Hy-brid Assistive Limb), il équipe déjà depuis 2010 près de 150 hôpitaux au Japon et a obtenu récemment plusieurs certifica-tions en vue d’une commercialisation à plus grande échelle. Plus près de nous, c’est la startup française Wandercraft qui fait office de pionnière avec son projet de jambes motorisées. Destiné aux person-nes atteintes de maladies neuromuscu-laires et de paralysie des membres inféri-eurs, son exosquelette permet la marche grâce à l’articulation mécanique des jambes entraînées par le mouvement du buste. Pour autant, le chemin entre les prototypes et leur commercialisation est long, et il faudra probablement encore attendre quelques années avant que les exosquelettes se démocratisent.

Le chemin entre les prototypes et leur commercialisation est long.

L’exosquelette est composé d’une structure de tiges métalliques motorisées.

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Quand passion rime avec émotionPoint d’orgue du championnat Blancpain Endurance Series, la 66e

édition des 24 Heures de Spa qui se déroulait le dernier week-end de juillet sur le plus beau circuit du monde restera gravée dans les mémoires, la victoire se jouant dans les ultimes minutes d’une épreuve marquée par un grand nombre d’incidents et une neutralisation de plus d’une heure de la course. Parvenant à tirer leur épingle du jeu, deux des trois Mercedes SLS AMG engagées par le team HTP Motorsport et sponsorisées par ALD Automotive, ont terminé dans le top 10. L’équipage composé de Maximilian Buhk, Maximilian Götz et Jazeman Jaafar se classe 5e à 4 tours des vainqueurs, alors que la voiture n°84 emmenée par Bernd Schneider, Harold Primat et le pilote belge Nico Verdonck finit en 9e position. Un résultat encourageant, tant en matière de fiabilité que de gestion de la course,

Sport Auto14

En marge de la course, les 24 Heures de Spa 2014 furent également le théâtre d’une magnifique expérience humaine.

En décrochant les 5e et 6e places en catégorie « Pro », les voitures aux couleurs d’ALD Automotive engagées lors des dernières 24 Heures de Spa ont démontré tout le potentiel de l’écurie HTP Motorsport. Mais au-delà de la compétition, l’événement fut aussi l’occasion de réaliser le rêve d’un enfant malade grâce à l’association Make-A-Wish.

qui place le professionnalisme au centre des valeurs partagées par ALD Automotive et HTP Motorsport.

« UNE COURSE INCROYABLE »« Nous avons réalisé un excellent départ. Après notre qualification en 7e place sur la grille, nous sommes rapidement remontés en 5e position. A la tombée du soir, nous étions 3e, et notre Mercedes fut l’une des voitures les plus rapides tout au long de la nuit. Malheureusement, deux crevaisons et un problème mécanique ont eu raison de nos ambitions de podium. » Nico Verdonck a réalisé pas moins de 5 doubles relais, soit un total de 11 heures de conduite intensive. « Ce fut une course incroyable, ponctuée de nombreux incidents, mais l’esprit d’équipe est resté intact. Je voudrais saluer ALD Automotive et le team HTP Motorsport pour leur professionnalisme et leur enthousiasme. »

UNE FOULE D’ACTIVITÉSSpectacle grandiose et riche en émotions, les 24 Heures de Spa 2014 furent l’occasion pour ALD Automotive de proposer une foule d’activités aux quelque 1.300 personnes conviées, dont les gagnants du concours organisé dans la précédente édition de Smile. Au programme, une visite de l’écurie HTP Motorsport, un tour en 4x4 sur les voies de sécurité du circuit, un simulateur

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Quand passion rime avec émotion

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de course ou encore une balade en vélo électrique. Les papilles étaient également à la fête avec une dégustation de champagne Taittinger et un atelier de sushis sous la houlette d’Audrey Lenoir, l’ancienne finaliste de Masterchef. Enfin, les participants ont pu découvrir ALD poolbike, un nouveau produit « deux roues » 100% déductible et fiscalement avantageux.

DEUX ANS D’ATTENTEEn marge de la course, les 24 Heures de Spa 2014 furent également le théâtre d’une magnifique expérience humaine grâce à la collaboration entre ALD Automotive et l’association Make-A-Wish. Au cœur de l’événement, Senne Janssens, un petit garçon de 6 ans atteint d’un cancer, a pu réaliser son rêve : faire un tour de circuit à bord d’une voiture de course, aux côtés d’un pilote professionnel. « Senne nous avait fait part de son rêve il y a déjà deux ans, mais nous avons dû attendre car il a été mis en isolement pendant un long moment à cause de sa maladie » explique Bernadette Lanoizelé, la coordinatrice bénévole de Make-A-Wish qui a pris en charge l’enfant. « Son rêve n’a pas été facile à réaliser. Ce n’est pas évident de trouver une voiture, un pilote, avoir les autorisations, les assurances, accéder au circuit… Finalement, c’est

grâce à ALD Gives Back que nous avons pu mettre tout en place. »

SON PLAT PRÉFÉRÉC’est à 10h du matin que Senne a découvert le circuit de Spa-Francor-champs en arrivant dans la tente VIP d’ALD Automotive. Direction les pad-docks pour la découverte du team HTP Motorsport et la rencontre avec les pi-lotes. « Il était très impressionné par les mécaniciens qui travaillaient et le matériel utilisé » poursuit Bernadette. Après cette première mise en bouche, place au lunch, spécialement cuisiné pour lui. « Il a eu droit à son plat préféré : des boulettes à la sauce tomate avec de la purée. »

LES 24 HEURES DE SPA EN QUELQUES CHIFFRES61 voitures au départ37 teams220 pilotes engagés32 nationalités 11 marques automobiles40 voitures à l’arrivée527 tours couverts par le vainqueur65.000 spectateurs pendant le week-end

Au cœur de l’événement, Senne Janssens, un petit garçon de 6 ans atteint d’un cancer, a pu réaliser son rêve.

EN AUDI R8, AVEC KOEN WAUTERSVers 13h30, c’est une autre surprise de taille qui attendait le petit Senne : un tour en hélicoptère au-dessus du circuit. « Comme il y avait 4 places dans l’hélicoptère, il a pu emmener son papa et sa sœur pour un survol inoubliable de 20 minutes. » Mais le meilleur était encore à venir. Grâce à Kris Wauters, membre du groupe Clouseau et parrain de Make-A-Wish, Senne a pu embarquer à bord d’une Audi R8 pilotée par le chanteur et pilote Koen Wauters (frère de Kris) pour deux tours de piste qui resteront à jamais gravés dans sa mémoire.

La journée s’est terminée par une ballade en 4x4 sur les voies de sécurité du circuit, avant un retour bien mérité au chalet, des images plein la tête.

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Atteinte d’une maladie affectant la moelle épinière, Marieke Vervoort s’est retrouvée dans une chaise roulante en 2000. Douze ans plus tard, en 2012, « Wielemie » remportait l’or et l’argent aux Jeux paralympiques de Londres dans les épreuves de sprint en fauteuil roulant. La joie intense après sa victoire sur le 100 m est restée gravée dans la mémoire collective.

Challenge16

Pour Wielemie, vouloir, c’est pouvoir

« Si on me fait un gros câlin, je suis la personne la plus heureuse au monde. »

« Je suis très reconnaissante à ALD Automotive pour la Hyundai i40 qu’ils m’ont offerte. C’est tout simplement génial d’avoir une voi-ture qui répond à mes besoins, avec laquelle je peux aller et venir, m’asseoir et rouler, où je veux. Grâ-ce à ALD Automotive, Trapmann Autoaanpassingen et Hyundai, je profi te de cette voiture magnifi que et parfaitement adaptée sur la rou-te des Jeux paralympiques de Rio

en 2016 ! »

teuil, où la seule femme que j’étais ne faisait pas pâle fi gure devant tous ces hommes. En 2004, on m’a demandé si je n’avais pas envie de participer à une épreuve de nata-tion. Peu de temps après, j’ai commencé à m’entraîner activement et je me suis affi liée à un club de triathlon. Trois ans plus tard, mon rêve devenait réalité et je m’alignais au dé-part du célèbre Ironman d’Hawaii. Ensuite, j’ai fait une rechute sérieuse qui ne permet-tait plus de faire du triathlon. En 2012, je suis devenue mordue des épreuves de sprint en fauteuil et j’ai commencé à évoluer dans la catégorie T52 (tétraplégiques qui ont des triceps fonctionnels). Actuellement, j’ai 5 re-cords du monde et 2 médailles olympiques à mon actif. Il en a fallu des efforts pour ar-river à ce palmarès. J’ai aujourd’hui 35 ans, mais je suis plus forte et plus ambitieuse que jamais. Vivement les Championnats du Monde et les Jeux paralympiques ! »

Aujourd’hui, tu détiens le record du monde dans ta discipline, le sprint en fauteuil roulant, sur 400 mètres, 800 mètres, 1.500 mètres et 5.000 mètres. Mais ton appétit est insatiable. Que pouvons-nous attendre de Marieke Vervoort ?

« Je suis en pleine préparation pour les Championnats du Monde qui se tiendront à Doha l’année prochaine. Je veux y décrocher le record du monde sur le 100 mètres et le 200 mètres, ce qui me permettra de détenir tous les records du monde en sprint en fau-teuil roulant. Mon prochain objectif sera les Jeux paralympiques de 2016 à Rio de Janei-ro, où je vise de nouveau l’or. Je pense qu’il faut se fi xer sans cesse des buts dans la vie. »

Tu souffres de myélopathie progressive, une maladie qui a paralysé la partie in-férieure de ton corps. Tu as néanmoins toujours réalisé des performances de haut niveau.

« Tout les défi s que j’ai relevé m’ont donné envie de plus. Je suis une dingue d’entraî-nement, je dois bien l’avouer. Après avoir atterri dans une chaise roulante, je me suis inscrite dans un club de basket-ball en fau-

On te connaît pour ta joie de vivre et ton positivisme...

« Mon avenir est rempli de points d’interro-gation, car je ne sais pas ce que ma maladie me réserve. Je ne peux pas faire autrement que de vivre au jour le jour, m’amuser à 100 % et profi ter de chaque moment. Si on me fait un gros câlin, je suis la personne la plus heureuse au monde. Je sais que j’ai énor-mément de chance d’être entourée par des personnes particulièrement adorables. Selon la citation, les vrais amis se comptent sur les doigts d’une seule main. Personnellement, deux mains ne suffi sent pas. Dans ce do-maine, je suis née sous une bonne étoile. »

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Automobile

De la théorie à la pratique.

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CONSOMMATION :

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De la théorie à la pratique.

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S’il est un sujet qui alimente réguliè-rement le débat, c’est bien celui de la consommation des voitures. Dernier épisode en date : la plainte (jugement prévu en février 2015) déposée par le propriétaire d’une Renault Scénic dCi 110 contre le constructeur français. Mo-tif : il consomme 7 l/100 km en ville, alors que la consommation urbaine annoncée est de 4,5 l/100km. Pourquoi cette dif-férence ? Peut-on parler d’information trompeuse ? Comment sont calculés les chiffres de consommation normalisée ? Autant de questions légitimes auxquelles il convient de répondre clairement et en toute objectivité.

DIRECTIVE EUROPÉENNETout d’abord, il faut savoir que c’est l’Europe, et non pas e ne sont pas les constructeurs automobiles, mais bien l’Europe, qui a mis en place la procé-dure de test. Il suffit d’être entré dans la salle d’exposition d’un concessionnaire ou d’avoir visité le Salon de l’Auto pour connaître le label CO2, obligatoirement apposé sur tout véhicule neuf depuis l’introduction de la directive européen-ne 1999/94/EC. L’étiquette informe le consommateur au sujet de l’incidence environnementale (consommation et émissions de CO2) afin de l’inciter à choi-sir un modèle peu gourmand.

PROCÉDURE D’AGRÉMENTAvant sa mise sur le marché, tout véhi-cule doit satisfaire à une procédure d’agrément qui comporte une série de tests. Consommation et émissions sont ainsi mesurées sur un banc d’essai équi-pé d’un système de rouleaux. Le véhi-cule est soumis à un cycle standard de changements de rapports, de ralentis-

sements et de périodes à vitesse con-stante. Ce cycle, baptisé NEDC (New European Driving Cycle), comporte 4 fois le cycle UDC (Urban Driving Cycle simulant la conduite en ville) et une fois le cycle EUDC (Extra Urban Driving Cycle, ou conduite extra-urbaine). Lors de ces tests, une sonde placée à la sortie du pot d’échappement mesure les émissions nocives.

Trois principes ont guidé le développe-ment de ce test : établir une base ob-jective de comparaison, représenter les conditions moyennes de circulation et mesurer les progrès et évolutions entre marques et modèles. Quant à la procé-dure d’agrément, elle décrit en détail les conditions à respecter ainsi que les pa-ramètres autorisés pour le déroulement des tests, y compris la supervision par un organisme indépendant agréé.

RÉALITÉ SIMPLIFIÉEPlusieurs de ces paramètres ayant une influence notable, dans un sens comme dans l’autre, ont donc été exploités au maximum par les constructeurs

La question est récurren-te : pourquoi les chiffres de consommation normalisée annoncés par les construc-teurs automobiles sont-ils inférieurs à ceux constatés par les automobilistes en conduite réelle ? Enquête sur les coulisses de la polémi-que…

Les constructeurs automobiles mettent tout en œuvre pour réduire au maximum la consommation de leurs modèles.

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automobiles les ont donc exploités au maximum de manière àafin d’ optimiser les résultats dans les limites autorisées. Cela dit, ce cycle de test simplifie inévitablement la réalité. Il est censé simuler l’utilisation qu’un automobiliste moyen pourra faire de son véhicule. Cependant, il va de soi que les conditions ne sont pas les mêmes partout et pour tous, que du contraire. C’est l’une des raisons pour lesquelles les valeurs observées s’écartent des simulations.

LE POIDS, C’EST L’ENNEMIPar ailleurs, les constructeurs automobiles mettent tout en œuvre pour réduire au maximum la consommation de leurs modèles. L’un des principaux bras de levier pour y parvenir concerne la réduction du poids. L’utilisation de matériaux légers comme l’aluminium et les aciers à très haute limite élastique permettent à chaque génération de modèles de gagner plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines de kilos. L’aérodynamique est une autre piste suivie de manière assidue, tout comme le downsizing des moteurs, la généralisation des systèmes stop-start ou encore l’allongement des rapports de boîte de vitesses.

ECO-CONDUITEParmi les facteurs qui expliquent la différence de résultat entre le cycle normalisé et la réalité, le comportement du conducteur arrive en première position. Il faut en effet savoir qu’à l’issue d’un cours d’éco-conduite, la consommation baisse en moyenne de 8%. Certains conducteurs parviennent même à rouler en consommant 15% de moins qu’auparavant, et ce dans les mêmes conditions. La nature des déplacements est un autre facteur déterminant : entre le commercial qui parcourt de longs tronçons d’autoroute et le citadin qui circule principalement en ville, les différences de consommations sont considérables. Le relief, le climat, la densité du trafic ou encore l’entretien du véhicule sont d’autres éléments à prendre en compte, tout comme la pression des pneus qui, si elle est insuffisante, peut entraîner jusqu’à 10% d’augmentation.

ET DEMAIN ?Un test normalisé est nécessaire et apporte un éclairage objectif ainsi qu’une base de comparaison. C’est pourquoi l’industrie automobile collabore pleinement avec

les groupes d’experts et les autorités compétentes au développement d’un nouveau cycle harmonisé au niveau mondial, plus représentatif de la réalité.

Ce cycle en devenir s’appelle WLTP (Worldwide harmonized Light vehicles

10 réflexes pour moins consommerPartenaire d’ALD Automotive depuis plusieurs années, DrivOlution or-ganise des formations pour une conduite à la fois plus sûure et plus écologique. N’hésitez pas à appliquer leurs conseils.

Regardez au loin et dans la direction que vous voulez suivre Lâchez l’accélérateur dès que possible pour utiliser l’inertie et profiter de la coupure d’alimentation du moteurAnticipez au maximumGardez vos distancesCoupez le moteur à l’arrêt si vous n’avez pas de Start&StopPassez rapidement les vitesses pour atteindre votre vitesse de croisière (n’hésitez pas à accélérer franchement)Changez de rapport à environ 2.000 tr/min avec une diesel et 2.500 tr/min avec une essence.Vérifiez régulièrement la pression de vos pneus (pneus sous-gonflés = surconsommation)Evitez de transporter du poids inutileOtez les barres et coffres de toit s’ils ne sont pas utilisés

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Test Procedures). Plus long (23 km) que le cycle actuel, il présente des accélérations plus fortes et une vitesse moyenne plus élevée (46 km/h) que l’actuel NEDC. Le premier objectif est d’élargir le spectre d’utilisation du moteur (charge, régime) pour le rendre plus réaliste.

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Environnement22

Vous l’avez certainement entendu ou lu quelque part : nos océans sont pollués par des millions de tonnes de déchets et ressemblent à une « soupe de plastique » dont personne ne sait comment se débarrasser. Mais Boyan Slat, un étudiant âgé de 20 ans de l’université de technologie de Delft, pense avoir trouvé la solution. Avec son projet baptisé The Ocean Cleanup, le jeune Néerlandais est persuadé qu’il peut nettoyer nos océans en cinq ans.

On ne connaît pas vraiment l’ampleur de cette soupe de plastique. On estime la quantité de déchets plastiques dans l’océan entre 7 et 100 millions de tonnes. Les évaluations les plus divergentes concernent également la surface de cette pollution, allant de 700.000 km2 à 15 mil-lions de km2.

Les ingrédients de cette « soupe » com-prennent de gros éléments, des bouteilles en PET ainsi que des microparticules. En outre, cette nappe représente une sé-rieuse menace pour toutes les espèces vivant dans les océans et l’équilibre éco-logique déjà fragile. Les microparticules toxiques se retrouvent dans la chaîne

THE OCEAN CLEANUP

alimentaire, et donc dans notre assiette. Si l’on en croit les spécialistes, cette « soupe » est impropre à la consomma-tion humaine, car elle est cancérigène.

Une part importante du problème réside dans le fait qu’il s’agit d’une pollution qui fl otte d’une part et qui se dilue dans l’eau d’autre part. Elle est donc constamment en mouvement. En raison des courants de surface, cette soupe de plastique se concentre à certains endroits où elle prend des proportions faramineuses. Le plus important « dépotoir mouvant » se trouve dans le nord de l’océan Pacifi que qui attire tant les déchets de l’Amérique du Nord que du Japon.

UNE SOLUTION « À COURT TERME » ?Selon les estimations, il faudrait 79.000 ans (!) pour nettoyer les océans avec les techniques actuelles. Mais le temps est compté. C’est pourquoi l’étudiant néerlandais Boyan Slat a décidé d’in-venter lui-même une solution. Dans le cadre d’une étude de faisabilité, celle-ci a été soumise au regard critique de plus de 100 experts qui ont décrit le projet comme viable, « tant d’un point de vue pratique que fi nancier ».

Slat se sert des courants de surface pour laisser dériver le plastique vers les plateformes de collecte. Ces débris sont ensuite récupérés par un réseau

Le grandnettoyage !

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ancré de bras flottants, que Slat appelle des stations de collecte. Ce système permet au plancton de se séparer du plastique, qui est filtré et stocké pour être recyclé. Les installations du petit génie ont de très longs bras flottants en forme de V. Ceux-ci mesurent 100 kilo-mètres de long et 3 mètres de haut et sont fixés à des endroits stratégiques au fond de la mer. « De cette manière, nous pouvons collecter la majeure par-tie du plastique, » déclare Slat. Grâce aux courants marins, les déchets plas-tiques viennent s’engouffrer dans la pointe du V. Ils s’infiltrent ensuite dans une colonne où ils restent emprisonnés. Tous les mois et demi, un navire-citerne

vide la colonne. Selon Slat, le système ne constitue pas un danger pour la faune et la flore, parce qu’elles sont em-menées par le courant en dessous des structures.

Ce projet semble donc prometteur. Mais est-il réalisable à court terme ? L’étu-diant pense pouvoir mettre en oeuvre son invention en 2020 entre Hawaï et la Californie, l’un des espaces océaniques les plus affectés par la concentration de plastiques. « En dix ans, nous pourrions retirer environ la moitié du plastique dans cette région, » estime-t-il.

L’opération est peu énergivore car ce sont les courants marins qui font le gros du travail. Tout le plastique ne peut pas être traité de cette manière, mais l’on s’attend à pouvoir débarras-ser les océans d’un tiers des déchets

plastiques. La solution de Boyan Slat diffère des autres méthodes envisagées anté-rieurement, en ce sens qu’elle ne recherche pas le plastique, mais qu’elle le récolte à des endroits où il s’amoncelle natu-rellement.

FINANCEMENT PARTICIPATIFLa mise sur pied d’un tel projet de-mande naturellement de gros inves-tissements. On cherche actuellement, notamment au moyen du financement participatif, le budget nécessaire pour développer et lancer le système. Ce budget est estimé à 2 millions de dol-lars, dont plus de 75% a déjà été ré-coltée.

En outre, The Ocean Cleanup tra-vaille avec plusieurs partenaires, dont de grosses pointures comme USG Engineering. Si le projet est mis en œuvre, il sera encore soumis à une condition importante pour porter ses fruits à long terme. « Nous devons de toute urgence éliminer la pollution à la source, sinon le projet est voué à l’échec, » explique le jeune inventeur néerlandais.

D’OÙ PROVIENT LA SOUPE DE PLASTIQUE ?Comment tout ce plastique se retrouve-t-il dans les océans ? En Belgique, nous possé-dons une longue tradition de recyclage, mais d’autres pays sont plus laxistes en la mati-ère. L’industrie et les villes continuent donc à décharger en masse leurs déchets plasti-ques, qui migrent vers la mer via les rivières, les canaux et les ports. Les navires, la pêche et l’industrie off-shore sont également d’im-portants pollueurs.

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Sport

Relié au jet-ski, l’ Hoverboard vous propulse jusqu’à 5 mètres au-dessus de l’eau.

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Envoyez-vous en

HOVERBOARD

l’air ! Vous vous souvenez du skateboard volant utilisé par Michael J. Fox dans Retour vers le futur ? De la fi ction à la réalité, il n’y a qu’un pas que Franky Zapata, un Français passionné de jet ski, n’a pas hésité à franchir.

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Ce fut le buzz de l’été. Imaginez un surf propulsé dans les airs à plusieurs mètres de haut par la turbine d’un jet-ski. De Monaco à Saint-Tropez, l’Hoverboard a fait tourner bien des têtes sur les plages de la Côte d’Azur. L’inventeur de cette planche, qui per-met de voler à la façon de Marty Mc Fly dans Retour vers le futur, n’est autre que Franky Zapata, patron de Zapata Racing. On lui doit déjà le Flyboard, qui avait révolutionné le monde des loisirs nautiques en 2012.

MADE IN FRANCEFranky Zapata a commencé le jet-ski en 1996. Il avait 17 ans. Après des an-nées difficiles, pendant lesquelles il a dû se battre seul contre les plus grandes équipes d’usine du monde, il devient pilote officiel Sea Doo-BRP en 2005. Mais cela ne lui suffit pas. « Je voulais créer mon propre team et fabriquer moi-même les machines » se plaît-il à répéter. C’est ainsi qu’est né Zapata Racing. La société, basée près de Mar-seille, développe et produit alors des VNM (Véhicules Nautiques à Moteur) haut de gamme, destinés aussi bien à la compétition qu’aux loisirs sportifs. Le succès est au rendez-vous, notam-ment en compétition, et Franky Zapata imagine de nouveaux produits délirants, dont le Flyboard qui permet de se pro-jeter en l’air grâce à la turbine d’un jet-ski, mais sans planche de surf.

JUSQU’À 5 M DE HAUT !Le projet Hoverboard débute en hiver 2014, au moment de tester les premiers prototypes. S’en suivent plusieurs mois de développement et d’essais inten-sifs pour « affiner l’intuitivité du vol ». En avril dernier, l’Hoverboard est pré-

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En Belgique, l’école SeaSky propose des cours d’Hoverboard (et de Flyboard) en vue de l’obtention d’un brevet de base.

senté pour la première fois au grand public à Cancun, au Mexique. Iden-tique à celui du Flyboard, le principe de l’Hoverboard est relativement simple. La pression nécessaire à la propulsion est fournie par la turbine d’un jet-ski et canalisée jusqu’à la planche par un tuyau flexible d’une longueur de 18 mètres. La hauteur et la vitesse de déplacement dépendent directement de la puissance du moteur. Un jet-ski classique d’une centaine de chevaux permet à un adulte de se déplacer à 15 km/h environ 2,5 mètres au-dessus de l’eau. Une machine de 180 ch vous propulse jusqu’à 5 mètres à 25 km/h.

SEUL OU À DEUXChez Zapata Racing, on précise que « malgré sa facilité de prise en main, l’Hoverboard n’en reste pas moins un engin de sport extrême à pratiquer avec vigilance. » Idéalement, la discipline se pratique à deux. Une personne installée sur le jet-ski contrôle la puissance tandis que l’autre surfe sur la planche. « Cette pratique est commune aux bases de locations et recommandée dans les pre-mières heures de pratique. » Mais il est également possible de s’envoyer en l’air tout seul grâce au kit électronique de gestion à distance. Ce kit permet à l’uti-lisateur de gérer la puissance du jet-ski depuis l’Hoverboard grâce à un boîtier étanche qui tient dans la main.

ACCESSIBLE À TOUSMême s’il n’y a pas de limite d’âge offi-cielle, il est recommandé d’avoir minimum 16 ans pour pratiquer l’Hoverboard. « Le poids n’est pas non plus un pro-

blème, mais l’expérience nous montre qu’au-delà de 110 kilos, l’expérience n’est pas optimale » précise-t-on chez Zapata Racing. La discipline peut se pratiquer aussi bien en mer qu’en lac, pour autant que la profondeur atteigne 4 mètres. Casque, gilet de sauvetage et combinaison en néoprène sont obli-gatoires.

En Belgique, l’école SeaSky propose des cours d’Hoverboard (et de Flyboard) en vue de l’obtention d’un brevet de base. Elle dispose également d’une structure adaptée à l’organisation de journées d’entreprise, de sorties entre amis, d’en-terrements de vie de garçon, etc. La saison s’étale du 15 avril au 15 octobre. Plus d’infos sur www.seasky.be.

Prix de l’Hoverboard (hors jet-ski) : 3.833,33 euros.Renseignements : www.zapata-racing.com

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Made in Belgium26

Aujourd’hui, Luxilon est surtout réputée pour ses cordages de tennis, qui représentent 60 % de son chiffre d’affaires total. Mais cela n’a pas toujours été le cas. En effet, l’entreprise de Wijnegem débute en 1959 avec la vente de fil à coudre. Après quelques années, elle décide de le produire elle-même et se lance assez rapidement dans la production de fil synthétique. Celui-ci s’avère adapté à dif-férentes utilisations : des bordures de tapis à des applications plus complexes dans la navigation aérienne et le secteur automobile. Actuellement, l’entreprise est toujours active dans les deux secteurs.

« Leaders in quality & technology », c’est ce qu’on peut lire sur la carte de visite de Nico

Van Malderen, directeur général de Luxilon. Et ce n’est pas de la publicité mensongère. Luxilon est spécialisée en monofilament et multifilaments pour des applications dans le sport, l’industrie et le secteur médical. Luxilon fabrique ainsi les cordages des raquettes de tennis des meilleurs joueurs de la

planète, mais aussi des fils chirurgicaux pour les points de suture.

Roger Federer utilise les cordages Luxilon.

Jeu, set et match !

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Il y a même des joueurs qui sont sous contrat chez un autre fournisseur, mais qui préfèrent nos cordages.

hommes et 55 % des femmes du circuit profession-nel sont cordés Luxilon. »

RELATION WIN-WINDes stars du tennis comme Federer, Djokovic, Sharapova et les sœurs Wil-liams, pour ne citer qu’eux, optent pour les cordages Luxilon de Wijnegem. « Certains pros sont rémunérés pour jouer avec une marque, mais nous ne participons pas à ce genre de pratique. Les joueurs professionnels ne doivent pas payer nos cordages, tant que nous pouvons utiliser en échange leurs pho-tos à des fins promotionnelles. S’ils re-fusent, alors ils doivent payer comme vous et moi, » confie un Nico Van Malde-ren sûr de lui. « Il y a même des joueurs qui sont sous contrat chez un autre fournisseur, mais qui préfèrent nos cor-dages. Ils apposent simplement le logo de l’autre fabricant sur nos cordages et le tour est joué. Cela ne nous pose aucun problème dans la mesure où la facture est réglée ! »

WILSON, REVENDEUR MONDIAL« Notre atout majeur est de disposer du bon cordage pour tout type de joueur. Du gros frappeur au joueur plus tech-nique en passant par le débutant et le professionnel, tous trouvent leur bon-heur chez nous, » se réjouit Nico Van Malderen. Et Wilson n’échappe pas à la

L’EFFET GUGAC’est en 1987 que la société se tourne vers la fabrication de cordages de raquettes de tennis. Les débuts lui donnent du fil à retordre, mais Luxilon garde confiance en sa petite entreprise. En 1991, cette persévérance débouche sur le cordage « Big Banger », très en avance sur son temps d’un point de vue technologique. A l’époque, les grands joueurs utilisaient des cordages fabri-qués à partir d’intestins de bovins, mais l’année 1996 allait marquer un véritable tournant sur les courts de tennis.Nico Van Malderen, directeur général : « Un manager de tennis me téléphone et m’explique qu’il a pris sous son aile un joueur brésilien, qui est intéressé par notre cordage Big Banger. À ce mo-ment-là, ce jeune homme est 70e joueur ATP. Il commence alors à jouer avec notre cordage et remporte le tournoi de Roland Garros six mois plus tard. Il s’agit de Gustavo Kuerten, dit « Guga ». Le flamboyant Brésilien, connu pour ses équipements branchés, déclare par la suite que son nouveau cordage lui a permis de sortir vainqueur sur la terre battue parisienne. »

Luxilon allait saisir la balle au bond : L’année suivante, 10 joueurs profes-sionnels évoluent avec nos cordages. Ce chiffre connaît alors une crois-sance exponentielle au fil des ans. Au-jourd’hui, 20 ans plus tard, 72 % des

Jeu, set et match !

règle. Depuis 2006, la célèbre marque américaine est le revendeur mondial des cordages Luxilon. Luxilon ne dis-tribue ses propres cordages qu’en Bel-gique et au Grand-Duché de Luxem-bourg.

L’entreprise bénéfice d’une situation favorable à Wijnegem, près d’Anvers, et emploie 25 personnes motivées qui fabriquent jour après jour les cordages pour répondre aux besoins des utilisa-teurs finaux. Une petite équipe proac-tive et bien rodée qui permet à la so-ciété belge de conserver une longueur d’avance sur ses concurrents.

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(L/100KM): 4,3 - 7,7 CO2 (G/KM): 113 - 179* Prix hors TVA pour une i40 Wagon 1.7 CRDi (115 ch) Business Edition. Leasing opérationnel sur 48 mois, 120.000 km, formule Standard. Offre de Hyundai Lease pour professionnels et valable jusqu’au 31/12/2014. Sous réserve de l’acceptation du dossier de crédit par Hyundai Lease et des changements de prix, tarifs, taxes et TVA. Photo non contractuelle. Informations environnementales (A.R. 19/3/2004) hyundai.be. ** Action SMS valable jusqu’au 31/12/2014.

En tant qu’indépendant, vous vous dépensez chaque jour sans compter pour votre affaire et vos clients. Et naturellement, votre vie privée et votre famille ont tout autant d’importance à vos yeux. Alors, joignez l’utile à l’agréable et offrez-vous une voiture de société confortable. Connaissez-vous la Hyundai i40 Business Edition ? Une voiture parfaitement équipée à un prix très intéressant. Elle est déjà disponible à partir de € 492 par mois via une formule de leasing particulièrement attractive. Vous prendrez autant de plaisir à la conduire dans votre vie professionnelle que pour vos escapades familiales. Nos Business Editions sont destinées exclusivement aux personnes assujetties à la TVA. Comme vous, donc.

Équipement de série :

Système start/stop (ISG)Système de navigation avec caméra de recul intégréAir conditionné automatique Système audio Premium avec amplificateur externe et subwooferKeyless go : système clé mains libresRétroviseurs extérieurs électriques rabattables 5 ans de garantie, sans limitation de kilométrage…

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