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PARIS LYON NICE MONTPELLIER NANTES TOULOUSE GRENOBLE

PARIS LYON NICE MONTPELLIER NANTES …...Le film de Sophia Coppola « Lost in Translation » semble être un exposé parfait de ce que l’on peut trouver là-bas. Entre le Mont Fuji,

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Page 1: PARIS LYON NICE MONTPELLIER NANTES …...Le film de Sophia Coppola « Lost in Translation » semble être un exposé parfait de ce que l’on peut trouver là-bas. Entre le Mont Fuji,

P A R I S L Y O N N I C E M O N T P E L L I E R N A N T E S T O U L O U S E G R E N O B L E

Page 2: PARIS LYON NICE MONTPELLIER NANTES …...Le film de Sophia Coppola « Lost in Translation » semble être un exposé parfait de ce que l’on peut trouver là-bas. Entre le Mont Fuji,

L'international : Un état d'esprit Idracien

L’international est un nouvelhorizon. Les entreprises, les éco-les et les étudiants ont élargi leurangle de vue. La portée de leursvisions va au-delà des frontièresrégionales, nationales. Les appro-ches marketing s'enrichissent de ladiversité culturelle qui sous-tendla diversité des populations deconsommateurs. L’ouverture desfrontières est donc aussi celle desesprits.C’est cette tolérance qui fait laparticularité des étudiants del’IDRAC. Au-delà des solidescompétences et de la force decaractère que nous exigeons detous ceux qui chaque année sou-haitent intégrer notre école,nous avons toujours mis l’accentsur la capacité des étudiants àappréhender le monde de l’en-treprise avec la curiosité et l’in-térêt qui doivent précédertoute démarche pédagogique.La connaissance des langues, descultures, l’envie de découvrir, dese confronter à des réalités dif-férentes est, pour nous, la garan-tie que nos étudiants possèdentl’ouverture d’esprit nécessaire àune approche de l’entrepriseintelligente et pragmatique.Très tôt engagés dans une appro-che de l'entreprise ignorant lesfrontières, nous comptonsaujourd'hui de très nombreuxanciens sur tous les continents. Travaillant pour des entreprisesde toutes tailles, ils défrichent denouveaux marchés ou valorisentles postions déja acquises. Ils sont, pour nos étudiants, deséclaireurs, des modèles et offrentleurs expériences à ceux qui leurdemandent des conseils, car l'international représenteune option toujours prometteusepour nos étudiants.Des étudiants compétents etvolontaires, une approche péda-gogique performante, desanciens élèves attentifs : l'IDRACest résolument une école ouvertesur l'international.

« Le pays du merveilleux », c’est ainsi que je qualifierais l’Inde,comme le fait si bien le guide du routard. C’est donc cet ouvrage qui m’adonné envie de m’y aventurer pour mon International Work Experienceet je n’ai vraiment pas été déçue. C’est le pays du rêve, où tout peutarriver, où l’on vous sourit, on s’intéresse à vous, on vous aide.

Je n’ai pas de mot pour décrire l’amour que je porte à ce grand peu-ple, à ce grand pays. L’Inde, comme le disent les voyageurs ou les étu-diants qui ont eu la chance d’y aller, est inexplicable, inexprimable,

extraordinaire ! Ce pays, c’est celui del’aventure, où tout est possible. Vouspouvez trouver de tout en Inde, vouspouvez tout faire…

Il n’est pas improbable, de voir dansles rues de Bombay, un éléphant passantdevant une pompe à essence.Vous pouvez aussi voir des dro-madaires, ou encore des vaches. Mais pour ces dernières, c’esttout à fait normal pour l’Inde puisque la vache est l’animalsacré de ce pays. Les gens sont simples, souriants, gentils. Sivous êtes curieux, voyageur, ou si vous avez seulement envied’être dépaysé et de vivre une expérience unique, foncez versce pays incroyable !!!

Coralie Faucheur

Mexique, été 2007 Cet été dans le cadre de l’International Work Experience, nous sommes3 Idraciennes à avoir décidé d’organiser un voyage au Mexique. Noussommes donc parties à l’aventure avec une carte, un sac à dos et quel-ques recommandations de nos prédécesseurs de deuxième année. LeMexique étant un pays immense, nous avons axé nos visites sur lesrégions du sud. Des ruines maya en passant par les villages indigènes, la

jungle, la mer des caraïbes, les vagues du Pacifique jusqu’aux volcansdu Guatemala, c’est cette multitude de paysages qui a su nous

étonner. Nos passages dans les villes, chargées de religion etd’histoire ainsi que les rencontres avec les habitants nous

ont permis d’avoir une véritable réflexion sur la vie etnotre quotidien.

Mais c’est encore notre expérience deprof de français et d’anglais qui a été laplus enrichissante. La rencontre avecnos élèves, la véritable participation àla vie mexicaine fut inoubliable, incroyablement riche, chargéed’émotions, de découvertes sur soi même et sur la vie.Une seule chose à dire : voyagez, découvrez, partagez.

Charlotte Venet,Virginie Lortscher, Manon Marlois

Mission humanitaire au Kenya

`Grâce à l’International Work Experience, j’ai pu réa-liser un projet qui me tenait vraiment à cœur : effec-tuer une mission humanitaire en Afrique.Le 4 juin 2007, cap sur le Kenya. Pendant deux moisj’ai été mêlée à la population locale mais j’ai aussi pupartager des moments de vie avec d’autres volontairesvenant d’Allemagne, d’Australie, de Corée du Sud, des

Etats-Unis, du Japon… L’interaction culturelle était aurendez-vous !

En travaillant un mois dans un orphelinat à Nairobi, puis unmois avec des enfants handicapés physiquement à Misyani,

j’ai pu découvrir le mode de vie des habitants d’un pays à deuxvitesses. Les kenyans vivent au rythme de l’african time et

sont des gens simples, accueillants et fiers deleur culture. Ils ne se plaignent jamais et sontvéritablement emprunts d’une joie de vivrepermanente. En dépit de la pauvreté, desdéchets, de l’insécurité visibles au quotidien, leKenya reste pour moi un souvenir inoubliable.

Julie Histrimont

Le pays du merveilleux : l’Inde

Spécial In

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L’International Work Experience au Cameroun

Dans le cadre de notre International Work Experience, nous avons décidé de combinernotre passion pour les voyages à notre envie de découvrir de nouvelles populations ainsiqu’une nouvelle culture. Pour cela, nous sommes partis au Cameroun dans la zoneanglophone à Bamenda. Nous logions et travaillions dansun orphelinat dirigé par un pasteur. Notre objectif étaitde les aider et de leur apporter tout ce dont on étaitcapable pendant deux mois, tant en terme de maind’œuvre que de joie de vivre.

Ce fut une expérience magnifique, inoubliable très tou-chante, et nous sommes prêts à la faire partager.

Grégoire D'Hondt, Baptiste Bigorgne, Arnauld Flippo,Antoine Quezel

J'ai pris l'avion le samedi 14 juillet très tôtle matin, direction l’aéroport de Stansted.Après une heure et demie de bus jusqu'àla capitale, je découvre enfin Londres danstoute sa splendeur : la conduite à gauche,la Tamise, le London Bridge et d'autresmonuments que je ne connaissais qu'àtravers les films et les magazines. J’avaisvraiment envie de mettre à profit ces quel-ques semaines pour découvrir cette villedans ses moindres détails.J’ai adoré la relève de la garde àBuckingam Palace et je dois dire que devoir les fameux gardes avec leurs toques,c’est assez fascinant, mais pas autant quela garde royale qui reste immobile pen-dant des heures !!! C'est incroyable, ilsparviennent à faire abstraction de tout cequi se passe autour d'eux malgré l'agita-tion des touristes...Le St James Park est ce que j'ai trouvé deplus beau à Londres, les écureuils viennentnous manger dans la main, un très bonsouvenir pour moi qui n’avais jamais vud'écureuil !!!Quant à Big Ben, c’est le monument qui caractérise principalement Londres à mes yeux et c'est d'ailleurs pour cette raison qu'au premier regard j'ai été un peu déçuecar je pensais qu'il allait être davantage mis en valeur.Pour résumer, je dois dire que j’en ai pris plein les yeux et je recommande vivementpour ceux qui ne connaissent pas, la visite de cette capitale.

Laika Mulla

Un séjour en Asie et de longue durée est une chance à ne pas rater, pouvoir le faire pendantses études est encore plus incroyable. J’ai donc passé un an dans une université japonaise,près de la ville d’Osaka, métropole d’excellence, sur un campus avec des installations sporti-ves impressionnantes (7 terrains de tennis, un terrain de foot, un terrain de base-ball, unepiscine, une salle de musculation, du kendo, du judo, etc…), un vrai petit paradis.Bien-sûr, débarquer et ne pas parler la langue n’est pas très pratique mais on s’y fait, avecquelques efforts. Les seuls problèmes rencontrés, outre la barrière linguistique, sont de l’or-dre de la compréhension globale, du code de vie, des erreurs à éviter (toute catastrophe

diplomatique étant toujours possible, il faut se documenter avant de partir). L’intégrationaussi n’est pas évidente mais l’université nous aide en rassemblant tous les étudiants étrangers dans le

même immeuble. En revanche, une simple demande, même en anglais, et votre interlocuteur se mettra en quatrepour vous aider dans vos démarches (on est loin du service à la française !!!).

J’ai donc adopté un mode de vie version japonaise, avec des sorties dans la ville où les yeux sont éblouis par toutes ces pubs clignotantesde la taille des immeubles et les oreilles sont éclatées par tous ces gens qui vantent les mérites de leurs magasins… Mais au détour d’uneruelle on se retrouve sur une petite place où un temple shintoïste nous permet de regagner le calme et on finit par se retrouver dans un« izakaya » (bar à forfait 2h pour tout ce que l’on veut boire et manger) pour ensuite aller dans un karaoké.Le film de Sophia Coppola « Lost in Translation » semble être un exposé parfait de ce que l’on peut trouver là-bas. Entre le Mont Fuji,Tokyo, Kyoto, Nara, Osaka, Koyasan, entre le japon des shoguns et celui de la suprématie technologique, entre la montagne sacrée et l’océandu bout du monde, cette année à l’étranger fut une magnifique expérience comme toute année à l’étranger, vu par beaucoup comme unecésure avec une p’tite touche de manga et de Kurosawa dans la vie de tous les jours… à refaire !!!

Guillaume Lejeune

Japon, destination exotique de ma troisième année

Summer in London

A l’occasion de notre première année au sein del’IDRAC, nous devions partir à l’étranger poureffectuer notre International Work Experience. J’aidécidé pour ma part de profiter de ces deux moispour me diriger vers un pays assez éloigné etmon choix s’est arrêté sur l’Australie, plus préci-sément à Perth (Western – Australia). Cette expé-rience hors du commun a été formidable, aussibien professionnellement que personnellement. Jedois toutefois admettre que tout n’a pas été sim-ple. En effet, une fois arrivée, mon stage a étéannulé. J’ai donc travaillé dans un « house-keeping » pendant 3semaines, tout en cherchant un stage. J’ai finalement trouvé unemission marketing chez Emerson Stewart. Ce mois passé aveceux a été le plus formateur et enrichissant de tout le séjour.Ce voyage a également été un moment d’échanges et de rencon-tres avec des personnes issues des 5 continents d’autant plusqu’en Australie, 32,9% de sa population est née à l’étranger.Cette expérience restera inoubliable…

Meggie Juton

L’Australie sous le signe de l’échange et des rencontres

Une histoire de famille à Philadelphie

Pour mon International WorkExperience, je suis partie entant que fille au pair àPhiladelphie. Grâce au siteInternet nommé « great au pair »j’ai pu faire la connaissance decette famille américaine quim’a hébergée pendant 8 semaineset m’a permis de découvrir denombreux sites de la côte Estdes Etats-Unis comme NewYork,Washington, Boston, l’Etat du Maine... Mon travail consis-

tait à m’occuper de deux enfants (6 mois et 4 ans), 50h par semaine en contrepartie d’unlogement, des repas et d’un petit salaire. Pendant ces deux mois, j’étais totalement considéréecomme un membre de la famille. Je suis très heureuse de cette expérience qui, malgré les dif-ficultés pour s’acclimater à cette culture totalement différente de celle de la France, m’a donnéla possibilité de découvrir pour la première fois les Etats-Unis et d’améliorer considérablementmon anglais. Je recommande aux prochains étudiants de 1ère année de partir en tant que filleou garçon au pair car je pense que c’est réellement le meilleur moyen d’améliorer l’anglais etde s’imprégner d’une culture nouvelle car l’immersion est totale !!!

Mélodye Blanchet

nternational

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Une aventure à New York

Dans le cadre de ma premièreannée d’études à l’IDRAC, j’ai réa-lisé une « International WorkExpérience » de trois mois, àNew York aux Etats-Unis.J’ai trouvé un job dans un barrestaurant durant mon séjourdans lequel j’ai occupé diffé-rents postes, ce qui m’a permisde me rendre compte des énormesdifférences qu’il peut y avoir avec laFrance au niveau des conditions detravail, de rencontrer beaucoup demonde et de me faire une véritableidée de la vie d’un américain àManhattan ou plutôt d’un françaisperdu dans New York.New York est une ville gigantesque,vivante, qui mélange toutes les natio-nalités ce qui est très intéressantdans la vie de tous les jours puisquechacune a, en quelque sorte sa fonc-tion dans la société.Tout fonctionne différemment, la lan-gue est différente, les gens sont diffé-

rents, mais c’est tout ceci qui fait de cette expérience une réelle aven-ture jour après jour plus enrichissante encore.Cette chance que nous avons eu de partir de cette façon est une réelle opportunité pour notre vie profes-sionnelle de demain. Elle constitue un rôle plus qu’important dans l’ensemble de notre formation.

Thibault Tron

Il est dit de ce lieu, qu’il renferme des paysages aussi époustouflantspar leurs diversités que par leur beauté…

Nous pouvons après avoir vécu deux mois dans ce pays, vous confir-mer la splendeur de ses multiples déserts, ses montagnes, ses côtes del’océan Atlantique avec des falaises impressionnantes, ses bords del’océan Indien parsemés de plages de sable blanc ou encore de sespetites régions des alentours du Cap gorgées d’histoire et de charme.Mais l’Afrique du Sud est aussi la terre d’une immense diversité d’ani-maux et de plantes qui ont su être conservés dans leur état de natureloin de tout artifice humain.Ce pays se doit d’être également découvert à travers ses populationsplus différentes et intéressantes les unes que les autres.

C’est donc un pays qui est entré dans un 21ème siècle avec des villescomme Le Cap qui combinent à la fois une attractivité touristique etéconomique pour le continent africain et les pays occiden-taux, mais qui reste conscient du caractère sacré de leurpatrimoine culturel et naturel.En dehors des visites, nous travaillions dans une réservenaturelle dans laquelle notre objectif était de restaurer desroutes et de faire fonctionner les puits laissés à l’abandon.Sous un soleil de plomb, les journées n’étaient pas de toutrepos, mais quel bonheur de voir les yeux émerveillés de lapopulation lorsqu’elle a pu à nouveau puiser cette eau siprécieuse. L’Afrique du Sud saura, comme cela nous estarrivé, vous séduire par sa beauté et par les richessesqu’elle peut offrir.

David Margairaz, Jean Romain Roy de Lachaise,Paul Maixent Deveugle

South Africa

IDRAC "International Work Experience" :une expérience plus qu'enrichissante,une ouverture sur d'autres horizonset une possibilité de partager desmoments forts avec la population...

J'ai passé un mois et demi en España :deux semaines de découverte deBarcelona, une ville aux mille surpriseset en perpétuel mouvement.Ensuite, un mois de travail à PortAventura, grand parc d'attractions de larégion catalane où j'ai vécu avec d'au-tres jeunes de plusieurs nationalités,une véritable immersion sans échap-patoire possible, dans le rythme de la

vie espagnole et au cœur de l’apprentissage de la langue. Sansen rajouter, je suis tombée amoureuse de ce pays où l’ambianceensoleillée est propice au dialogue spontané entre tous ! Enfin, jesuis partie pour un mois en mission de solidaritéau Burkina Faso. Avec un groupe de cinq autresaventuriers, nous avons vécu des moments departage plus qu’incroyables avec une populationqui ne cesse de donner et d’offrir du temps ainsique des sourires en toute simplicité.Avant tout, l’IWE a été pour moi l’occasion deprendre encore un peu plus mon envol vers mesaspirations futures... une carrière à l’international.Ces voyages sont des opportunités à exploiter aumaximum et des expériences à ne pas rater!

Lucie Besson

Partage et découverte en Espagne et au Burkina Faso

A la découverte du CanadaL’International Work Experience a été une expérience sans égal. Entant que petite française, j’ai atterri dans un pays qui paraît déme-suré par rapport à la France : le Canada. Il ne peut être que trèsdélicat de résumer en quelques lignes ces deux mois et demi pas-sés entre les Rocheuses et les plaines de l’Alberta.

Le style de vie que j’ai adopté était marqué par un grandcontraste avec celui de la France. J’ai eu l’occasion de rencon-trer de très nombreuses personnes à l’esprit ouvert, toujoursravies et curieuses de faire la connaissance d’une française etde sa culture.

Le « job » m’a permis de m’imprégner du mode de vie etde la culture canadienne. Ces quelques semaines passées

dans le deuxième plus grand pays du monde m’ont permisde découvrir des paysages plus qu’impressionnants. Autant vous dire que

le retour dans notre si petite France à été difficile.

Lucie Berland

nternational

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J’ai choisi de faire mon deuxième semestre de 3ème année àRiverside, aux Etats-Unis car j’y ai vu l’opportunité de découvrir uneautre façon d’étudier et aller aux USA faisait partie de mes projetsdepuis longtemps.Nous sommes quatre de la promo à avoir participé à cette aventure.Nous avons suivi un programme à l’Université de Californie, dans uneformation destinée également aux professionnels dont les cours sontdispensés par des spécialistes de l’entreprise.

Nous étions à peu près unequinzaine, venant des quatrecoins du monde : France,Brésil, Allemagne, Japon,Corée du Sud,Taïwan, Chine, Afrique…Les cours étaient dispensés sur le mode américain : la théorie le matinet la pratique l’après-midi.En ce qui concerne la vie sur place, Riverside est une ville étudiante où ilest relativement facile et surtout rapide de trouver un logement. Lesloyers sont à peu près équivalents à ceux de la France, mais le coût dela vie est moins élevé aux Etats-Unis. Lesaméricains sont très ouverts et très sympas.Le seul petit bémol reste la nourriture, diffi-cile quand on est français de s’habituer auxhamburgers au quotidien !!!J’ai profité de ces quelques mois pour visiterdes endroits mythiques comme Los Angeles,Las Vegas, Palm Spring et San Francisco.

Au final, un retour difficile mais j’ai tellementappris de ce semestre que j’y retournerai,affaire à suivre !!!

Bérangère Bedin

Mes études à Riverside

Départ 7h30 le 4 juillet, arrivé dans la journéeà Combe, un petit village anglais dansl’Oxfordshire. Le but de cet International WorkExperience s’est traduit pour moi par uneexpérience au pair en immersion totale dansune famille anglaise.C’est là que l’aventurea commencé !!!Une famille auxhabitudes de vie à

l’opposé de ce que je connaissais : organisation,nourriture, propreté. Bien sûr, j’aurais pu m’adapterà un autre style de vie, en revanche je n’ai pasréussi à me faire au manque d’hygiène et j’ai doncpréféré partir vers d’autres horizons.J’ai choisi Londres où un ami de longue date,Idracien lui aussi, m’a accueilli. Les recherches dejob n’ayant pas abouti, j’en ai profité pour décou-vrir la formidable et multiculturelle capitaleanglaise en visitant : « The Museum ofLondon », « The National Gallery »,« The Museum of Sciences » …

Finalement, bien que mon voyage ne se soitpas déroulé tout à fait comme prévu, il m’apermis de rencontrer des personnes tra-vaillant à la Chambre de CommerceFrançaise de Londres ou dans d’autres ins-titutions françaises qui me permettrontpeut-être d’obtenir des stages dans lesannées à venir…

Thomas Delalande

Expérience mouvementée du côté de l’Angleterre

Une autre facette du monde, la ThaïlandeDundee, petite ville située dans un estuaire, àquelques kilomètres des somptueux golfs deSt Andrews, est un lieu magique où j’ai vécuen l’espace d’un an, l’équivalence de plu-sieurs années.

Dès mon arrivée, j’ai fait connaissanceavec de jeunes étrangers venus dumonde entier (Pologne, Italie, Espagne,Allemagne, Etats-Unis, Chine, Inde,Angleterre, Irlande, etc…). Ce mélange

est un véritable avantage plutôt que de rester avec d’autres français, d’au-tant plus que cela m’a permis de découvrir et de comprendre de nouvelles cultures.

La première semaine d’intégration m’a permis de bien assimiler le fonctionnementde l’université Abertay, et surtout de me familiariser avec l’accent écossais, carcroyez-moi, au premier abord vous avez vraiment l’impression de n’avoir jamaisappris l’anglais! Il m’a fallu seulement 2 à 3 semaines avant d’être capable de comprendre et parti-ciper aux différents cours. Mais finalement, on apprend relativement vite lorsque l’onest dans le bain.

Abertay, université très agréable, est un mélange d’Harry Potter et d’architecturemoderne située à quelques minutes du centre de Dundee. Sa bibliothèque, très bienéquipée en matériel informatique et en ouvrages permet des recherches approfon-dies et contribue à la réalisation des projets demandés.Au sein de l’université, il y a également « un student center », c’est une sorte de pubgigantesque où les étudiants se retrouvent après les cours pour jouer au billard ouencore regarder les matchs de football et de rugby. L’ambiance extraordinaire et lesfilles peu vêtues font oublier la grisaille du climat, bien que Dundee ne soit pas unendroit particulièrement pluvieux.

Ce que j’ai trouvé très appréciable c’est que les universités en Ecosse vous proposenttoutes sortes d’activités sportives : musculation, football, basket-ball, rugby, hockey surgazon, karaté, danse et même frisbee, et j’en ai bien profité !!!

En revanche, il faut faire attention tout de même au coût de la vie. Les logementssont assez onéreux tout comme la nourriture. Fort heureusement, les salaires sontplus élevés qu’en France, c’est pourquoi j’ai profité de mon temps libre pour faire despetits jobs.

Durant cette année, j’ai aussi visité les Highlands ; ces paysages et ces couchers desoleil extraordinaires avec des tons mauve et orangé m’ont coupé le souffle !!!Edinburgh est également une des plus belles villes que j’ai eu l’occasion de visiter.Allez donc voir un concert traditionnel de « bagpipes » (cornemuses), c’est vraiment très sympa.

Mais pour mieux comprendre ce que je vous décris, je vous conseille vivement de vous rendre sur place,une fois que vous aurez goûté aux plaisirs de Dundee, le retour au pays sera très difficile…

Tanguy Nicolini

Nous somme deux de notre promo à avoir fait nos bagages direction l’Asie pour découvrir la Thaïlande.Au début de notre périple, nous étions dans le Sud à Kho Phi Phi, l’île touchée par le tsunami en 2004.Nous avons participé avec l’association humanitaire, « Phi Phi relève-toi », au nettoyage des plages ainsiqu’à l’encadrement des enfants pour des activités sportives. Nous avons découvert une culture très diffé-rente de la nôtre.

Dans un deuxième temps, nous avons fait route vers la frontière du Cambodge où nous avons été accueil-lies par une famille thaïlandaise. Ce fut une expérience très difficile car le mode de vie est loin d’être aussiconfortable qu’en Europe, mais cela s’oublie très rapidement car malgré leur grande pauvreté, les thaïlandais ont un grand cœur et sont très avenants.

Nous avons ensuite fini notre voyage par un petit tour à Bangkok où nousavons vécu dans une famille qui nous a fait découvrir les coutumes ainsi quel’architecture thaïlandaise.Ce voyage nous a montré une autre facette du monde avec des paysagesmagnifiques, une culture très enrichissante, de nombreuses rencontres… et unebelle leçon de vie !

Marie Mauvoisin

Dundee city, une partie de ma vie

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PARIS LYON NICE MONTPELLIER NANTES TOULOUSE GRENOBLE

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2ème cycle Marketing et Négociation Industrielle

3ème cycle Marketing et Management Appliqués, Double Compétence

3ème cycle spécialisé (M1-M2)

MBA

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2007

IDRAC45/47, rue Sergent

Berthet CP 60769258 - LYON Cedex 09Tel : 04 72 85 72 72Fax : 04 72 85 72 49

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Tel : 04 76 09 15 72Fax : 04 76 40 37 [email protected]

IDRAC7-11, avenue des chasseurs

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L’International Work Experience est un temps fortdans la scolarité à l’IDRAC.Pour cette expérience, mon choix s’est porté versDublin, capitale de la république d’Irlande. Biensûr, cette ville est le repère des pubs et de la bière.

Un pub Irlandais est inimitable et cette ambianceest vraiment à vivre. Mais, de la part d’étudiantsen école de commerce, il est important de décou-vrir ce pays qui connaît actuellement un véritable

essor économique, un pays où toute l’Europe semélange et où les salaires sont supérieurs à ceuxproposés en France, grâce notamment à unemanière différente de travailler. Un étudiant doitconnaître tout ça, en mélangeant jeunesse, fêtes,rencontres et travail pour un meilleur épanouissement personnel.

Ce que je retire de plus riche sur ces deux mois, c’est au niveau du développement personnel. Il est vrai que lefait d’être éloigné de ses proches et de sa famille pendant 8 semaines, dans un pays qui nous est plus ou moinsinconnu et où la débrouille est de rigueur, est un grand pas vers la maturité et aujourd’hui, pour une grande par-tie d’entre nous, nous nous accordons à le dire et à penser que nous sommes plus grands depuis notre retour.

Adrien Besançon

IWE à Dublin

La Norvège, le pays des Fjords

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J'ai choisi de partir en Norvège pour mon International WorkExperience pendant plus de 9 semaines. C’est une destinationà laquelle nous ne pensons pas forcément mais qu’il ne fauttout de même pas laisser de côté. Ce pays scandinave est rêvépour tous les amoureux de la nature. J’ai eu le temps de décou-vrir la beauté des Fjords, le soleil de minuit mais je regrettevivement de ne pas avoir pu admirer les aurores boréales quin’ont lieu qu’en hiver!

Etre au pair dans ce pays si riche et développé m’a laissé letemps adéquat pour visiter ce territoire aussi diversifié. J’ai eula chance d’être au sein d’une famille très accueillante qui atoujours su me mettre à l’aise et qui a pris le temps de m’ex-pliquer le fonctionnement et les habitudes de ce pays.Mais attention aux élans qui rodent dans les forêts,vous pourriez bien avoir la peur de votre vie...mieux vaut les avoir dans votre assiette!"

Camille Gaschet