La sidérurgie en France...Date de publication : 11/03/19 page 2 La sidérurgie en France • • La sidérurgie représente la métallurgie des aciers alliés, non alliés ainsi que

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La sidérurgie en France

Le 8 mars 2019

Document élaboré par Cécile Collot, Consultante Manager

Katalyse – Bureau de Paris

page 2Date de publication : 11/03/19


• •

◊ La sidérurgie représente la métallurgie des aciers alliés, nonalliés ainsi que des ferroalliages (fonte, etc.)

◊ Le secteur de la sidérurgie intègre :

• Sidérurgie de base : transformation du minerai brut ou de la ferraille en acier

• Les activités de premières transformation

• Laminage : produits plats et longs industrie automobile (carrosserie, etc.),transports

• Profilage (produits longs obtenus par pliage en continu de tôles) glissièresd’autoroutes par exemple

• Tréfilage (fabrication de fils) industrie électrique

• Etirage (fabrication de barres) biens d’équipement, BTP, fabrication de vis etboulons

• Extrusion (passage dans une filière) profilés longs ou creux de grandeprécision

◊ Deux modes d’élaboration :

• La filière fonte (haut fourneau et convertisseur) : cette filière intègre plutôt duminerai et 10 à 20 % de ferraille et représente aujourd’hui 64% de laproduction française

• La filière ferrailles (four à arc électrique) : elle représente 36% de la productionfrançaise en 2012

Codes NAF représentés

24.10Z : sidérurgie

24.20Z : fabrication de tubes, tuyaux, profilés

creux et accessoires correspondants en acier

24.31Z : étirage à froid de barres

24.32Z : laminage à froid de feuillards

24.33Z : profilage à froid par formage ou pliage

24.34Z : tréfilage à froid

SIDÉRURGIE : DONNÉES DE CADRAGELe périmètre de la sidérurgie



• •

◊ Les débouchés de la sidérurgie sont

nombreux ;

◊ Les principaux consommateurs sont :

- La construction : principal client des producteurs d’acier

en Europe avec 36% de la consommation en volume

en moyenne

- L’industrie automobile représente 19% de la

consommation en volume

- Une diversité d’autres secteurs consommateurs : la

production d’équipements mécaniques (15%), la

fabrication d’article en métal (14%), la fabrication de

tubes (11%)…

35%

19%

15%

14%

11%

6% Construction

Automobile

Industriemécanique

Articles enmétal

Tubes

Autres

PRINCPAUX DÉBOUCHÉS DU SECTEUR DE LA

SIDÉRURGIE EN EUROPE, MOYENNE 2012-2016

Source : Eurofer (2016) ; retraitements Katalyse

SIDÉRURGIE : DONNÉES DE CADRAGELes principaux débouchés du secteur



• •

SIDÉRURGIE : DONNÉES DE CADRAGELes chiffres clés

◊ CA = 15,9 Mds € (2015) – source Xerfi

◊ 38 085 emplois en France* en 2017

◊ 422 établissements sur le territoire

◊ Une forte concentration des emplois

dans l’Est de la France (83% des

emplois dans les 5 régions de l’est de

la France)- Prédominance des Hauts de France (30%

des effectifs nationaux

◊ Une forte concentration de l’activité

dans quelques entreprises :- Une prédominance d’Arcelor Mittal

- Des groupes très présents et disposant de

plusieurs établissements : Aperam,

Vallourec, Eramet…

Bretagne

265 sal.

12 etb.

Nouvelle-

Aquitaine

1 337 sal.

28 etb.

Corse

2 sal.

2 etb.

Normandie

447 sal.

11 etb.

Martinique

71 sal.

4 etb.

La Réunion

205 sal.

14 etb.

Guyane

42 sal.

5 etb.

Guadeloupe

132 sal.

10 etb.

Auvergne-

Rhône-Alpes

6 389 sal.

81 etb.

Bourgogne-

Franche-Comté

3 814 sal.

24 etb.

Centre-Val de

Loire

529 sal.

9 etb.

Grand Est

6 624 sal.

55 etb.

Ile-de-France

1 597 sal.

38 etb.

Occitanie

875 sal.

27 etb.

Hauts-de-

France

11 467 sal.

59 etb.

Provence-

Alpes-Côte

d’Azur

3 319 sal.

24 etb.

Pays de la

Loire

970 sal.

19 etb.

EFFECTIFS ET NOMBRE D’ÉTABLISSEMENTS EN FRANCE PAR RÉGION

Source : Carte IGN, Données ACOSS (2017) ; retraitements Katalyse

* France métropolitaine et DOM hors Mayotte



• •

EVOLUTION DES EMPLOIS SIDÉRURGIQUESUne tendance à la baisse

Le secteur a perdu 10 000 emplois entre

2008 et 2017 soit plus de 20% de ses effectifs.

Après une forte baisse, celle-ci s’est ralentie

depuis 2011. Le taux de croissance annuel

moyen constaté entre 2014 et 2017 (soit

depuis la réalisation de l’analyse de la filière)

est de -0,94%.

47 193 48 098

44 043 42 893 42 747

41 838

40 166 40 170 39 603 38 499 38 085

405

421

407413 411 408 413 415

401

422 422

0

50

100

150

200

250

300

350

400

450

0

5 000

10 000

15 000

20 000

25 000

30 000

35 000

40 000

45 000

50 000

2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017

Effectif Nombre d'établissements

ÉVOLUTION DES EFFECTIFS ET DU NOMBRE D’ÉTABLISSEMENTS DE 2007 À 2017 EN FRANCE

Source : Données ACOSS (2017) ; retraitements Katalyse



• •

EVOLUTION DES EMPLOIS SIDÉRURGIQUESUne baisse des emplois marquee dans la sidérurgie de base

La sidérurgie de base a perdu 7 700

emplois entre 2007 et 2017 soit près du

quart de ses effectifs, expliquant en grande

partie les 10 000 emplois perdus dans le

secteurs dans son ensemble.

Autre activité sidérurgique majeure, la

fabrication de tubes et tuyaux a connu une

baisse de ses effectifs, bien que moins

marquée. Celle-ci est plus récente et

associée notamment au repli des activités

d’Oil&Gas et de diminution des

investissements dans ce secteur.

Les activités de profilage à froid se sont

plutôt bien maintenues.

ÉVOLUTION COMPARÉE DES EFFECTIFS PAR SOUS-SECTEUR ENTRE 2007 ET 2017 EN FRANCE


32 646

24 928

7 772

7 562

3 343

3 646

1 912

1 336

0

5 000

10 000

15 000

20 000

25 000

30 000

35 000

40 000

45 000

50 000

2007 2017

24.31Z étirage à froidde barres

24.32Z Laminage àfroid de feuillards

24.34Z Tréfilage àfroid

24.33Z Profilage àfroid par formage oupliage

24.20Z Fabrication detubes, tuyaux, profiléscreux et accessoirescorrespondants enacier

24.10Z Sidérurgie

Total : 47 193

Total : 38 085



• •

EVOLUTION DE LA PRODUCTION D’ACIER BRUTUne relative stabilité de la production française

0

2 000

4 000

6 000

8 000

10 000

12 000

14 000

16 000

18 000

2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017

ÉVOLUTION DE LA PRODUCTION FRANCAISE D’ACIER BRUT (en millier de tonnes)Source : Worldsteel Association

La production d’acier brut en France

est relativement stable depuis 2010,

elle a même légèrement augmenté

entre 2010 et 2014 (de 15 414 Mt à

16 143 Mt).

2015 et 2016 ont vu la production

d’acier brut diminuer pour atteindre

14 143 Mt en 2016, période de

surproduction mondiale où la

concurrence de l’acier chinois à bas

prix a été particulièrement forte.

A noter que dès 2017, la production

d’acier brut a remonté quasiment à

son niveau d’avant 2015.



• •

PERSPECTIVE 2018-2019

◊ Les résultats plutôt favorables de la filière en terme de

chiffre d’affaires en 2017 (source : Xerfi)

- +21,4% pour la sidérurgie de base

- +14,9% pour la première transformation – hors tubes et

tuyaux

- -1,8% pour le secteur des tubes et tuyaux (reprise encore

faible du marché de l’Oil &Gas

◊ Un accroissement lié à la hausse des prix des produits

sidérurgiques et ferroalliages (+5%) qui a plus que

compensé la baisse des volumes

◊ Les principaux marchés clients (construction,

automobile) ont connu une très bonne dynamique en

2018 et restent orientés à la hausse pour 2019

◊ Les mesures de sauvegarde de la commission

européenne ont atténué l’afflux de métaux et pièces

étrangères

Des indicateurs plutôt positifs

Facteurs favorables

◊ La concurrence étrangère forte

Facteurs défavorables



• •

LES SALARIES DU SECTEUR SIDÉRURGIQUERépartition par classes d’âge

◊ En 2015 plus du tiers des salariés

travaillant dans le secteur de la

métallurgie avaient 50 ans ou plus

(33,6%) ; ils étaient 17,5% à avoir 55

ans et plus.• Les besoins de renouvellement dans les

années à venir sont donc très importants

pour maintenir les effectifs. Ainsi pour

remplacer d’ici 2022 les départs des plus

de 55 ans, 560 recrutements seront

nécessaires en moyenne chaque année.

• A l’inverse on note la faible part des

moins de 30 ans (15%)

◊ Deux sous-secteurs ont une part de

population de plus de 50 ans plus

élevée (voir graphique en annexe) :• La fabrication de tubes et tuyaux qui

compte 7 600 emplois salariés dont 36%

ont plus de 50 ans

• Le tréfilage à froid (1 500 salariés) dont

42% ont plus de 50 ans.

PYRAMIDE DES ÂGES EN 2015, FRANCE ENTIÈRE

Source : Données INSEE (2015) ; retraitements Katalyse

0,01%

0,75%

4,97%

9,47%

12,37%

12,52%

12,87%

13,43%

16,16%

14,60%

2,33%

0,53%

0 0 0 0 0 0 0 0 0 0

Moins de 15 ans

15 - 19 ans

20 - 24 ans

25 - 29 ans

30 - 34 ans

35 - 39 ans

40 - 44 ans

45 - 49 ans

50 - 54 ans

55 - 59 ans

60 - 64 ans

65 ans et plus

Total : 39 603

(ACOSS, 2015)



• •

LES SALARIES DU SECTEUR SIDÉRURGIQUERépartition par CSP

◊ Plus de la moitié des effectifs de la

sidérurgie sont ouvriers :• 30% sont des ouvriers qualifiés

• 20% sont des ouvriers non qualifiés ; ce

sont ces emplois qui ont eu tendance à

diminuer et sont les plus menacés de

diminution (automatisation, robotisation

pour répondre aux enjeux de

productivité)

• Leur part est plutôt plus importante dans

les activités de tréfilage, laminage,

étirage et fabrication de tubes et tuyaux

◊ 36% des emplois concernent des

techniciens, cadres et contremaitres• 18% des effectifs sont des techniciens

• 12% sont des cadres d’entreprises

• 6% sont des contremaitres

RÉPARTITION DES EMPLOIS PAR CSP EN 2015, POPULATION ACTIVE, FRANCE ENTIÈRE


0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

70%

80%

90%

100%

Sidérurgie(secteur)

Tréfilage àfroid

Profilage àfroid parformageou pliage

Laminageà froid defeuillards

Étirage àfroid debarres

Fabr tubestuyauxprofilés

creux acier

Sidérurgie

Autres*

Employés administratifsd'entreprise

Professions intermédiairesadministratives etcommerciales des entreprises

Contremaîtres, agents demaîtrise

Cadres d'entreprise

Techniciens

Ouvriers non qualifiés

Ouvriers qualifiés



• •

CARTOGRAPHIE DES PRINCIPAUX MÉTIERS

Concevoir –

Rechercher

8%

Préparer-

Organiser

0,5% Produire-Réaliser

63%

Acheter-

Commercialiser

6%

Installer- Maintenir

11%

Gérer-Administrer

9%

Métier spécifique à l’élaboration des métaux

Ingénieur modélisation

/ simulation

Architecte /

développeur logiciel

Ingénieur R&D produits

/ applications clients

Chercheur métallurgisteConcepteur méthodes

& Industrialisation

Animateur amélioration

continueIngénieur R&D

procédés

Technicien de

maintenance

(électromécanique,

électrotechnique,

automatisme…)

Ingénieur technico-

commercial

Commercial

Responsable de

production

Ingénieur de

maintenance

Responsable achats

Fonctions

administratives,

fonctions support

Autres fonctions : 2,5%

Conducteurs de ligne Opérateurs

Opérateur / technicien

CD / CNDResponsable qualité

Opérateur traitement de

surfaceOpérateur traitement

thermique



• •

DÉTAIL DES MÉTIERS DE LA PRODUCTION

Métier spécifique à l’élaboration des métaux

Découpe à froid et

emboutissage

Chef d’équipe de

fabrication

Conducteur de ligneRégleur

Coulée continue

Pilote d’installation de coulée

continue

Opérateur de coulée continue

Machiniste Canaliste

Conducteur de four

Fonderie / four

Responsable opérationnel

réglages fonderie

Opérateur four

Agglomération /

Cokerie

Conducteur d’installation

d’agglomération

Opérateur agglomération

Conducteur d’installation de

cokerie

Technicien opérationnel réglages

cokerie

Opérateur de fabrication cokerie

Régleur de cokerie

Laminage à

chaud


laminage à chaud

Opérateur de laminoir à chaud

Lamineur étireur

Laminage à froid


laminage à froid

Opérateur de laminoir à froid

Contrôleur visuel



• •

LES TENDANCES D’ÉVOLUTION

◊ AUTOMATISATION ET NUMÉRISATION DES PROCESS (POUR GAGNER EN PRODUCTIVITÉ)

Des impacts forts dans l’ensemble des métiers :

- En R&D : simulation numérique des process, capacité à intégrer le numérique pour favoriser l’optimisation des process ; capacité à

compiler et analyser l’ensemble des données issues des capteurs intégrés dans les chaines de production et des données produits (big

data analyst métier inexistant aujourd’hui dans le secteur mais des besoins dans les années à venir)

- En maintenance : augmentation des besoins de roboticiens, automaticiens, électromécaniciens, techniciens de maintenance ; mais

surtout recherche de techniciens de maintenance pluridisciplinaires.

Intégration progressive de la e-maintenance, intégration des outils numériques et capteurs, de la réalité augmentée

- En production : Diminution des besoins pour les métiers d’opérateurs manuels et de manutention ; mutation vers des métiers de

surveillants de ligne (nécessité d’avoir des personnes à l’aise avec l’environnement informatique)

- En contrôle : intégration d’outils de contrôle plus performants, limitant d’une part la responsabilité des conducteurs de ligne (qui

effectuent le contrôle visuel) et nécessitant pour les responsables de contrôle de maitriser les nouveaux outils

◊ DIFFÉRENCIATION PAR DES PRODUITS À FORTE VALEUR AJOUTÉE (EN TERMES DE RÉSISTANCE, DE

FONCTIONNALITÉ…), DEMANDE ACCRUE D’ALLIAGES COMPLEXES PAR LES INDUSTRIELS DE

L’AÉRONAUTIQUE, DE L’ÉNERGIE, ETC.

Accroissement des besoins de R&D :

- Connaissances solides en métallurgie ainsi qu’en mécanique : pluridisciplinarité recherchée

- Besoins d’experts sur différents sujets liés à l’élaboration de superalliages, au comportement des alliages à haute température, à leur

formage (forge, fonderie, fabrication additive), etc.

- Besoins de concepteurs d’outils de simulation avec le développement de modules spécifiques (« outils maison ») permettant des études

complexes sur le comportement des alliages et leur élaboration

4 tendances majeures impactant les besoins en compétences (1/2)



• •

LES TENDANCES D’ÉVOLUTION

◊ VERS UN DÉVELOPPEMENT DE SERVICES ET DES PRODUITS FINIS POUR RÉPONDRE À LA DEMANDE CLIENT

Des impacts :

- Sur les métiers de conception produits, en termes de compétences relationnelles (capacité à travailler avec un donneur d’ordre et à

s’adapter à ses besoins), et techniques (capacité à proposer de nouvelles fonctionnalités aux produits…)

- Sur les fonctions commerciales (élargissement du catalogue, évolution de la démarche…), avec le besoin de compétences techniques

importantes pour comprendre le besoin client, avec des innovations de service également (ex. : plate-forme de e-commerce iTube de

Vallourec, intégrant des outils de calcul de conception)

- Sur les métiers de la production, avec le développement d’opérations d’usinage et de parachèvement (traitement thermique,

traitement de surface…)

◊ ENJEUX DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE ET ÉNERGÉTIQUE À INTÉGRER DANS LE PROCESS

• Optimisation énergétique des process

• Intégration d’une part plus importante de produits recyclés en intrant

4 tendances majeures impactant les besoins en compétences (2/2)

Page 15

Annexes

Zooms par sous-secteurs



• •

ZOOM PAR SOUS-SECTEUR24.10Z – Sidérurgie de base

Bretagne

0 sal.

0 etb.

Nouvelle-

Aquitaine

192 sal.

3 etb.

Corse

1 sal.

1 etb.

Normandie

1 sal.

1 etb.

Martinique

9 sal.

1 etb.

La Réunion

0 sal.

0 etb.

Guyane

0 sal.

0 etb.

Guadeloupe

0 sal.

0 etb.

Auvergne-

Rhône-Alpes

4 658 sal.

20 etb.

Bourgogne-

Franche-Comté

1 992 sal.

8 etb.

Centre-Val de

Loire

0 sal.

0 etb.

Grand Est

4 318 sal.

15 etb.

Ile-de-France

1 005 sal.

13 etb.

Occitanie

506 sal.

4 etb.

Hauts-de-

France

8 597 sal.

21 etb.

Provence-

Alpes-Côte

d’Azur

3 089 sal.

3 etb.

Pays de la

Loire

560 sal.

6 etb.

EFFECTIFS ET NOMBRE D’ÉTABLISSEMENTS EN FRANCE PAR RÉGION (2017)


32 646 31 493

28 435 27 543 27 428

26 720

25 545 25 645 25 375 25 087 24 928

102103

99102 101

97 96 97 9699

96

0

20

40

60

80

100

0

5 000

10 000

15 000

20 000

25 000

30 000

2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017


ÉVOLUTION DES EFFECTIFS ET DU NOMBRE D’ÉTABLISSEMENTS EN FRANCE




• •

ZOOM PAR SOUS-SECTEUR24.20Z Fabrication de tubes, tuyaux, profilés creux et accessoires

correspondants en acier

Bretagne

103 sal.

4 etb.

Nouvelle-

Aquitaine

724 sal.

6 etb.

Corse

1 sal.

1 etb.

Normandie

245 sal.

3 etb.

Martinique

0 sal.

0 etb.

La Réunion

0 sal.

0 etb.

Guyane

19 sal.

3 etb.

Guadeloupe

14 sal.

3 etb.

Auvergne-

Rhône-Alpes

605 sal.

21 etb.

Bourgogne-

Franche-Comté

1455 sal.

8 etb.

Centre-Val de

Loire

441 sal.

5 etb.

Grand Est

852 sal.

15 etb.

Ile-de-France

317 sal.

15 etb.

Occitanie

109 sal.

9 etb.

Hauts-de-

France

2 322 sal.

25 etb.

Provence-

Alpes-Côte

d’Azur

100 sal.

10 etb.

Pays de la

Loire

255 sal.

6 etb.





7 772

9 888

9 391 9 168 9 262 9 179

8 895 8 775

8 539

7 837 7 562

110

117

111115

121 120124

122

124

129

134

0

20

40

60

80

100

120

140

0

1 000

2 000

3 000

4 000

5 000

6 000

7 000

8 000

9 000

10 000

2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017




• •

ZOOM PAR SOUS-SECTEUR24.31Z étirage à froid de barres

Bretagne

0 sal.

0 etb.

Nouvelle-

Aquitaine

0 sal.

0 etb.

Corse

0 sal.

0 etb.

Normandie

0 sal.

0 etb.

Martinique

0 sal.

0 etb.

La Réunion

0 sal.

0 etb.

Guyane

0 sal.

0 etb.

Guadeloupe

0 sal.

0 etb.

Auvergne-

Rhône-Alpes

140 sal.

5 etb.

Bourgogne-

Franche-Comté

0 sal.

0 etb.

Centre-Val de

Loire

0 sal.

0 etb.

Grand Est

72 sal.

1 etb.

Ile-de-France

22 sal.

1 etb.

Occitanie

0 sal.

0 etb.

Hauts-de-

France

37 sal.

3 etb.

Provence-

Alpes-Côte

d’Azur

0 sal.

0 etb.

Pays de la

Loire

0 sal.

0 etb.





627

477

344332 331

306293

270 273 273 271

15

14 14

15

14

12 12

11 11

10 10

0

2

4

6

8

10

12

14

16

0

100

200

300

400

500

600

2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017




• •

ZOOM PAR SOUS-SECTEUR24.32Z Laminage à froid de feuillards

Bretagne

1 sal.

1 etb.

Nouvelle-

Aquitaine

0 sal.

0 etb.

Corse

0 sal.

0 etb.

Normandie

0 sal.

0 etb.

Martinique

0 sal.

0 etb.

La Réunion

0 sal.

0 etb.

Guyane

0 sal.

0 etb.

Guadeloupe

0 sal.

0 etb.

Auvergne-

Rhône-Alpes

212 sal.

2 etb.

Bourgogne-

Franche-Comté

24 sal.

1 etb.

Centre-Val de

Loire

20 sal.

1 etb.

Grand Est

61 sal.

1 etb.

Ile-de-France

11 sal.

1 etb.

Occitanie

0 sal.

0 etb.

Hauts-de-

France

13 sal.

1 etb.

Provence-

Alpes-Côte

d’Azur

0 sal.

0 etb.

Pays de la

Loire

0 sal.

0 etb.





893

842

709680

515

464442

394373 362

342

13

12

11

10

8

9 9 9 9 9

8

0

2

4

6

8

10

12

14

0

100

200

300

400

500

600

700

800

900

2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017




• •

ZOOM PAR SOUS-SECTEUR24.33Z Profilage à froid par formage ou pliage

Bretagne

142 sal.

6 etb.

Nouvelle-

Aquitaine

388 sal.

17 etb.

Corse

0 sal.

0 etb.

Normandie

64 sal.

5 etb.

Martinique

62 sal.

3 etb.

La Réunion

169 sal.

12 etb.

Guyane

23 sal.

2 etb.

Guadeloupe

70 sal.

6 etb.

Auvergne-

Rhône-Alpes

416 sal.

29 etb.

Bourgogne-

Franche-Comté

62 sal.

4 etb.

Centre-Val de

Loire

68 sal.

3 etb.

Grand Est

1 002 sal.

17 etb.

Ile-de-France

242 sal.

8 etb.

Occitanie

195 sal.

12 etb.

Hauts-de-

France

498 sal.

9 etb.

Provence-

Alpes-Côte

d’Azur

130 sal.

11 etb.

Pays de la

Loire

115 sal.

6 etb.





3 343

3 573 3 455

3 564 3 605 3 603 3 497

3 612 3 534 3 536

3 646

132

142139 141

138141

144148

134

148 150

0

20

40

60

80

100

120

140

160

0

500

1 000

1 500

2 000

2 500

3 000

3 500

2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017




• •

ZOOM PAR SOUS-SECTEUR24.34Z Tréfilage à froid

Bretagne

19 sal.

1 etb.

Nouvelle-

Aquitaine

33 sal.

2 etb.

Corse

0 sal.

0 etb.

Normandie

137 sal.

2 etb.

Martinique

0 sal.

0 etb.

La Réunion

36 sal.

2 etb.

Guyane

0 sal.

0 etb.

Guadeloupe

48 sal.

1 etb.

Auvergne-

Rhône-Alpes

358 sal.

4 etb.

Bourgogne-

Franche-Comté

281 sal.

3 etb.

Centre-Val de

Loire

0 sal.

0 etb.

Grand Est

319 sal.

6 etb.

Ile-de-France

0 sal.

0 etb.

Occitanie

65 sal.

2 etb.

Hauts-de-

France

0 sal.

0 etb.

Provence-

Alpes-Côte

d’Azur

0 sal.

0 etb.

Pays de la

Loire

40 sal.

1 etb.





1 912 1 825

1 709

1 606 1 606 1 566

1 494 1 474 1 509

1 404

1 336

33 33 33

3029 29

28 2827 27

24

0

5

10

15

20

25

30

0

200

400

600

800

1 000

1 200

1 400

1 600

1 800

2 000

2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017




• •

LES SALARIES DU SECTEUR SIDÉRURGIQUERépartition par classes d’âge – zoom par secteur

RÉPARTITION PAR SOUS-SECTEUR EN 2015, FRANCE ENTIÈRE


18% 6% 6%

5%

5%

5%

5%

5%

9%

6%

9%

4%

4%

9%

10%

6%

12%

7%

10%

10%

6%

11%

13%

6%

13%

10%

13%

12%

15%

12%

13%

7%

13%

15%

17%

18%

20%

13%

12%

7%

13%

14%

16%

23%

20%

14%

13%

7%

16%

22%

15%

12%

15%

18%

16%

6%

15%

17%

11%

18%

17%

16%

14%

6%

2%

3%

2%

1%

1%

2%

2%

19%Population française

Sidérurgie (secteur)

24.34Z - Tréfilage à froid

24.33Z - Profilage à froid par formage ou pliage

24.32Z - Laminage à froid de feuillards

24.31Z - Étirage à froid de barres

24.20Z - Fabr tubes tuyaux profilés creux acier

24.10Z - Sidérurgie

Moins de 15 ans 15 - 19 ans 20 - 24 ans 25 - 29 ans 30 - 34 ans 35 - 39 ans 40 - 44 ans 45 - 49 ans 50 - 54 ans 55 - 59 ans 60 - 64 ans 65 ans et plus

Total :

1 509

Total :

39 603

Total :

3 534

Total :

373

Total :

273

Total :

8 539

Total :

25 375

(ACOSS, 2015)

Documents

La sidérurgie en France...Date de publication : 11/03/19 page 2 La sidérurgie en France • • La sidérurgie représente la métallurgie des aciers alliés, non alliés ainsi que