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1 INTEGRATION ET COMPATIBILITE DE VIDEOS DANS UNE PRESENTATION POWERPOINT EN PROVENANCE DES MODALITES D’IMAGERIE INTEGRATION ET COMPATIBILITE DE VIDEOS DANS UNE PRESENTATION POWERPOINT EN PROVENANCE DES MODALITES D’IMAGERIE N.LABONNE – M.MICHEL – D.ROSIN – B.TAINE – T.BATCH – K.BARBARA – A.BLUM-MOYSE Service d’Imagerie Guilloz – CHU Nancy - France

INTEGRATION ET COMPATIBILITE DE VIDEOS …pe.sfrnet.org/.../pdf/2004/1/184473d7-5ecb-41f0-a4d4-6548cb8e7c41.pdf · contenant la totalité des informations de l’examen. • On ne

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INTEGRATION ET COMPATIBILITE DE VIDEOS DANS UNE PRESENTATION

POWERPOINT EN PROVENANCE DES MODALITES D’IMAGERIE

INTEGRATION ET COMPATIBILITE DE VIDEOS DANS UNE PRESENTATION

POWERPOINT EN PROVENANCE DES MODALITES D’IMAGERIE

N.LABONNE – M.MICHEL – D.ROSIN – B.TAINE – T.BATCH – K.BARBARA –A.BLUM-MOYSE

Service d’Imagerie Guilloz – CHU Nancy - France

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INTRODUCTION & OBJECTIFSINTRODUCTION & OBJECTIFS

• Produire des vidéos facilement, rapidement, afin de les communiquer aux correspondants ou de réaliser des présentations PowerPoint dans un but pédagogique.

• C’est une excellente alternative aux CD-ROM distribués actuellement contenant la totalité des informations de l’examen.

• On ne cherche ni une qualité extrême ni une résolution spatiale optimale.

• Il s’agit d’offrir un résumé pertinent de l’examen.

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Version Longue

Version Courte

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• LES FORMATS VIDÉO

- Présentation & Généralités (AVI, MPEG, QUICKTIME)- L’avenir : Matroska Video?

• LES CODECS ET LA COMPRESSION

- Intérêts de la compression- Généralités- Quelques codecs- Éviter les problèmes de lecture- Étude de la perte suite à une compression

• PRODUIRE UNE VIDÉO

- Six méthodes- Insertion dans un document PowerPoint- Logithèque utile

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LES FORMATS VIDÉOLES FORMATS VIDÉO

• Il existe de nombreux formats vidéo, chaque format possède ses avantages et ses inconvénients et donc des applications qui lui sont spécifiques.

• Les principaux formats vont vous être présentés en sachant que pour une présentation PowerPoint il est actuellement préférable d’utiliser le format MPEG4 version 2 et 3 (compatible Mac et Pc)

• Le lecteur peu intéressé par le détail de ces formats peut sans problème se diriger vers le chapitre codecs en cliquant ici.

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AVI (Audio Video Interleaved):

Format de fichier utilisé par Windows pour le stockage des images vidéo et du son, dans lequel les données vidéo alternent avec les données audio, accélérant ainsi la vitesse de restitution. Dans ce format, on dit que l'image et le son sont entrelacés. Cette caractéristique est un inconvénient quand il n’y a pas de son car même en cas de vidéo « muette », la place pour le son est réservée.

MPEG (1) (Moving Picture Experts Group):

Il permet des rapports de compression en temps réel de 1/30 à 1/200.

MPEG1 est prévu pour une vitesse de flux autour de 1,5MB pour une image n’excédant pas la résolution de 352x240 pixels. Cela correspond approximativement à la qualité du VHS. On peut noter que le MPEG1 a surtout été utilisé dans les pays d’Asie où il a su s’imposer à travers le format VCD (Vidéo CD), très employé entre autre dans les karaokés. Cependant MPEG1 a très vite montré ses limites. Dès lors que le matériel a permis de traiter des images de taille plus conséquente, il n’offrait plus les moyens techniques de garantir une qualité suffisante.

LES FORMATS VIDEOSLES FORMATS VIDEOS

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LES FORMATS VIDEOS ( suite)LES FORMATS VIDEOS ( suite)

MPEG (Suite):

• MPEG2 introduit de nouveaux concepts de compression tels que les références temporelles bidirectionnelles et le support natif des séquences entrelacées (très utilisées par/pour la télévision). MPEG2 apporte aussi énormément à la couche transport/multiplexage, ce qui en fait un candidat idéal pour des flux multimédias complexes avec une interactivité réduite. Sa fourchette de débit idéal se situe entre 1.5MB/s et 15MB/s.

• La qualité du MPEG-2 est si bonne que c'est le format utilisé pour les DVD et la télévision numérique par satellite. Le principal défaut du MPEG-2 est son exigence en ressource système.

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MPEG (Suite):

• MPEG4 est plus qu’une simple amélioration des générations précédentes.Il définit une véritable philosophie de la vidéo en dépassant les concepts de codage et de compression.Le MPEG4, en effet, définit à la fois une syntaxe du flux vidéo codé et un ensemble d’outils permettant la diffusion de cette vidéo sur des réseaux hétérogènes. L’aspect le plus visible du MPEG4 est l’introduction de la notion d’objets médias. La scène vidéo est décomposée en objets visuels indépendants, une personne, un meuble, une carte, ... et en objets audio comme la voix d’une personne, le bruit de moteur d’une voiture, ...

• Attention : ne pas confondre le format Mpeg4 et le codec DivX. Ce qui est appelé à tort format Divx n’est autre qu’un Mpeg4 encapsulé à du son en Mp3.

LES FORMATS VIDEOS ( suite)LES FORMATS VIDEOS ( suite)

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APPLE QUICKTIME, UNE NORME ISO :

QuickTime est un standard ISO pour la vidéo numérique (non une norme de format vidéo). QuickTime intègre le son, les animations, la vidéo et un environnement interactif comme Video for Windows. Des versions existent également pour les environnements Windows. Le Quicktime repose sur une technologie présente sur les ordinateurs Macintosh en mode natif. Toutefois, QuickTime se rencontre désormais fréquemment sur Internet puisqu'on estime à plus de cinq millions les utilisateurs qui ont transféré une copie du lecteur (versions Windows et Mac OS).

C’est une excellente solution de streaming (vidéo en direct sur le web).De nombreux sites, et non des moindres, l'ont adopté pour diffuser leur information sur le Web : BBC, Bloomberg, Microsoft, Macromedia, etc.

Depuis la version 2002 de Microsoft PowerPoint, il est possible d’intégrer ce type de format sans lien hypertexte.

NB : Le lecteur Quicktime est capable de lire la compression Divx depuis sa version 6.

LES FORMATS VIDEOS ( suite)LES FORMATS VIDEOS ( suite)

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APPARENTES AUX FORMATS VIDEOSAPPARENTES AUX FORMATS VIDEOS

APPLE QUICKTIME VR

QuickTime VR transporte les images photographiques du monde de la 2D en riches environnements de réalité virtuelle composés d’images 3D et de scènes interactives.

Il permet d’explorer des mondes virtuels ou des panoramas, et ce en utilisant la souris, aucun matériel spécifique n’étant nécessaire.

Ses applications en médecine sont intéressantes mais vont au delà du cadre de ce poster.

Le lecteur intéressé se référera à la thèse d’Alain Rieger (2).

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APPARENTES AUX FORMATS VIDEOSAPPARENTES AUX FORMATS VIDEOS

MACROMEDIA FLASH

Flash est un format de diffusion multimédia sur le Web dont le plug-in est installé, selon les chiffres de Macromedia, chez près de 289 millions d'utilisateurs.Les animations multimédia créées avec les outils de cet éditeur représentent ce qui se fait de mieux actuellement dans ce domaine sur le Web.

Le format Flash permet d'exécuter de petites applications Web oureproduire des interfaces graphiques sophistiquées. On le retrouve également sous forme de messages publicitaires interactifs ou d'animations intégrées directement dans les pages Web.

Notez que ce format peut également contenir du son au format MP3 (entre autres) et des séquences Quick Time.

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LES FORMATS VIDEO (SUITE)LES FORMATS VIDEO (SUITE)

L’AVENIR : MATROSKA VIDEO ?

• Le Matroska est un conteneur (=capsule)• Rappel : Un conteneur n'est pas un codec, il encapsule (enveloppe) des flux qui ont été encodés par des codecs...

• Exemples d’autres conteneurs : AVI, OGM, RMVB (vidéo rv9 + audio ra8 ou vidéo rv10+audio AAC)

• Dans une capsule AVI, il y a, par exemple, un flux vidéo en XviD et un flux audio en mp3 • Tous ces conteneurs sont limités à certains codecs: impossible de mettre un RV10 dans un AVI ou de mettre du OGG dans un RMVB...• Il existe un conteneur qui permet tout ceci: le MKV!

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LES FORMATS VIDEOS ( suite)LES FORMATS VIDEOS ( suite)

MATROSKA VIDEO, LES AVANTAGES :

• Il permet de muxer (assembler dans une capsule) quasiment tous les flux vidéo : Divx, Xvid, mpeg, realvideo

• Il permet de muxer quasiment tous les flux audio : mp3, aac, ogg, realaudio

• L‘overhead (espace utilisé pour assembler les différents flux) est nul voire négatif!

Exemple : vous avez une vidéo de 610Mo avec une piste audio de 90Mo.Le fichier fera 713Mo en AVI (donc 13Mo de perte) alors qu'il ne fera qu'à peine 700Mo (699Mo) en MKV...

• Il résiste mieux aux erreurs

• Il est open source!

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LES FORMATS VIDEOS ( suite)LES FORMATS VIDEOS ( suite)

MATROSKA VIDEO, LA LECTURE :

• Pour sa lecture, le mkv nécessite l’installation d’un filtre (ffdshow) et des codecs appropriés.

Il suffit, comme pour lire un fichier AVI, d'avoir les codecs correspondants aux flux encapsulés dans ce MKV. Par exemple, si le MKV encapsule du RV10 et du Ogg, il suffit d’avoir les codecs Real Video et OGG Vorbis

• Astuce : La lecture de .mkv est facilitée avec le lecteur Windows Media Classic V6, moins gourmand en ressources.Videolan (3) supporte lui aussi les .mkv

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POUR EN SAVOIR PLUSPOUR EN SAVOIR PLUS

• MPEG7 - A Multimedia Content Description Interface

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Le terme « codec » est dérivé des mots "Compresseur" et "Décompresseur".

Un codec est un algorithme de compression, utilisé afin de réduire la taille du flux . Lorsqu'il est utilisé pour traiter des fichiers VIDEO sur un PC, un CODEC peut compresser un fichier vidéo AVI et le réduire à une fraction de sa taille initiale (non compressée).

Les fichiers vidéo numériques sont très volumineux. Quelques secondes de vidéo peuvent consommer plusieurs Megaoctets d'espace disque. Une certaine forme de compression est absolument nécessaire lors de l'utilisation de la vidéo sur un PC, surtout si les résultats sont destinés à être distribués.

Le choix d’un codec est donc essentiel pour réaliser une vidéo en imagerie médicale mais attention à ne pas prendre un codec trop récent et trop peu répandu qui ne serait pas lisible sur tous les ordinateurs.Bien que nous conseillons fortement la lecture de ce chapitre, le lecteur peut accéder directement au chapitre concernant la création de vidéos en cliquant ici.

LES CODECS ET LA COMPRESSIONLES CODECS ET LA COMPRESSION

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LES CODECS ET LA COMPRESSION (Suite)LES CODECS ET LA COMPRESSION (Suite)

INTERETS DE LA COMPRESSION :

• En plus de la réduction de la taille globale d'un fichier vidéo numérique, la compression peut aider à diminuer la "fréquence des données" à un niveau adapté à l'appareil de lecture.

Ex: La télévision émet 25im/s à 50Hz, l’œil ne gère pas plus de 18im/s.Un débit de 15im/s est suffisant à la fluidité d’une vidéo.

Il en résulte un gain de taille non négligeable sans pour autant perdre en qualité « visible à l’œil nu »

• Il est possible qu'un fichier AVI non compressé contienne 1 Mo ou davantage de données pour chaque seconde de vidéo. Il est évident que ce fichier perdra de sa fluidité sur un lecteur de CD-ROM capable de transférer uniquement 150 Ko par seconde.

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LES CODECS ET LA COMPRESSION (Suite)LES CODECS ET LA COMPRESSION (Suite)

GENERALITES :

NB : La plupart des méthodes se basent sur un échantillonnage des couleurs choisi judicieusement afin d'utiliser moins de bits par pixel (YUV) et une réduction de l'information redondante pour diminuer le débit total à 2 niveaux:

– l'intratrame réduisant la redondance dans une trame (image)– l'intertrame entre les trames où il y a beaucoup de

redondance (entre les images).

Plusieurs codecs différents sont disponibles.

Certains sont installés par le système d'exploitation et d'autres peuvent être propriétaires et sont uniquement installés en conjonction avec des matériels ou logiciels spécifiques.

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LES CODECS ET LA COMPRESSION (Suite)LES CODECS ET LA COMPRESSION (Suite)

QUELQUES CODECS :

• Cinepak : répandu, peu gourmand en ressources mais qualité moyenne sur les fichiers volumineux. Il tend à être abandonné

• Indeo : très répandu, plus gourmand en ressources mais qualité supérieure.Son avantage est sa grande compatibilité avec la plupart des systèmes.

• Xvid : XviD est l'encodeur MPEG4 le plus évolué. Il est compatible avec les formats avi, ogm et mkv.

• Divx 5.2 : DivX est l'encodeur MPEG4 ASP le plus populaire. Il est compatible avec les formats avi, ogm et mkv.

Ces deux derniers codecs sont surtout à utiliser dans les compressions de fichiers contenant de l’audio mais apportent néanmoins une réduction de taille très intéressante (env. 50% de moins qu’un MPEG4 v3).Contrairement au MPEG4 v3, ils exposent au risque d’être incompatibles avec d’autres ordinateurs.

QUELQUES CODECS :

• Cinepak : répandu, peu gourmand en ressources mais qualité moyenne sur les fichiers volumineux. Il tend à être abandonné

• Indeo : très répandu, plus gourmand en ressources mais qualité supérieure.Son avantage est sa grande compatibilité avec la plupart des systèmes.

• Xvid : XviD est l'encodeur MPEG4 le plus évolué. Il est compatible avec les formats avi, ogm et mkv.

• Divx 5.2 : DivX est l'encodeur MPEG4 ASP le plus populaire. Il est compatible avec les formats avi, ogm et mkv.

Ces deux derniers codecs sont surtout à utiliser dans les compressions de fichiers contenant de l’audio mais apportent néanmoins une réduction de taille très intéressante (env. 50% de moins qu’un MPEG4 v3).Contrairement au MPEG4 v3, ils exposent au risque d’être incompatibles avec d’autres ordinateurs.

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CODECS : Connaître le codec utilisé

Pour connaître le codec utilisé pour la compression du fichier vidéo et ainsi faciliter sa lecture, il suffit de faire un clic droit sur le fichier et demander ses propriétés.

CODECS : Connaître le codec utilisé

Pour connaître le codec utilisé pour la compression du fichier vidéo et ainsi faciliter sa lecture, il suffit de faire un clic droit sur le fichier et demander ses propriétés.

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L’utilisation de codecs permet de réduire la taille du fichier mais contribue à le rendre moins universel car dépendant, pour sa lecture, des codecs installés sur les machines.

Une solution existe à travers différents logiciels et notamment Videolan (3), logiciel Open Source et gratuit.

Ce logiciel utilise des formats conteneurs : AVI, OGM, Matroska etc.

En raison d’incompatibilités, n’importe quel codec ne peut pas être mis dans n’importe quel format conteneur, cependant Videolan permet de régler la très grande majorité des problèmes de lecture et ce sans l’installation fastidieuse et parfois hasardeuse de multiples codecs.

CODECS : Éviter les problèmes de lectureCODECS : Éviter les problèmes de lecture

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Ex: AVI destructeur (ex Indeo5)

La perte se situe surtout dans les blancs et dans les noirs.

Il est donc essentiel d’avoir une échelle de gris adaptée lors de la réalisation du film.

Dans le pire des cas, la perte ne sera que de quelques pixels sur la surface totale, et ne perdra (ou ne prendra) que quelques niveaux de gris.

La compression se doit toutefois d’être appliquée à un niveau raisonnable, le principe étant juste de rendre le fichier transportable

ETUDE DE LA PERTE SUITE À UNE COMPRESSIONETUDE DE LA PERTE SUITE À UNE COMPRESSION

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EXEMPLES DE METHODES DE PRODUCTION DE FILMS

EXEMPLES DE METHODES DE PRODUCTION DE FILMS

1.PAR BANC DE MONTAGE VIDEO

2.PAR ANIMATION SHOP

3.STATIONS DS3000 PACS AGFA (Application IMPAX)

4.SIEMENS LEONARDO (Application InSpace)

5.GENERAL ELECTRIC ADVANTAGE WINDOWS

6.VOXAR (Application intégrée aux stations DS3000 AGFA)

Les méthodes 1 et 2 sont présentées ici dans un souci d’exhaustivité.Elles ont été très utilisées il y a quelques années mais elles ont depuis étésupplantées par des solutions plus efficientes, grâce au développement des consoles de post-traitement et des stations PACS

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PRODUIRE UNE VIDÉO (MÉTHODE 1)PRODUIRE UNE VIDÉO (MÉTHODE 1)

• A l’aide d’un banc de montage logiciel (ex Adobe Première) et d’un magnétoscope (plus carte d’acquisition)

• Origine des images : support K7 (VHS, SVHS ou DV)CD-ROMImages fixesObjets 3D

•Il s’agit d’une solution non linéaire, c’est-à-dire qu’il est possible de copier, couper, supprimer une image, une séquence d’images dans un flux vidéo. Cela permet aussi l’incrustation d’objets multimédias (ex : titres, flèches…).

•Cependant, c’est une méthode qui nécessite un équipement coûteux et des compétences en montage vidéo.

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ILLUSTRATION (METHODE 1)ILLUSTRATION (METHODE 1)

Exemple de banc de montage

Assemblage de l’image et du son.

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RESULTAT (METHODE 1)RESULTAT (METHODE 1)

Attention : départ automatique du film

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PRODUIRE UNE VIDÉO (MÉTHODE 2)PRODUIRE UNE VIDÉO (MÉTHODE 2)

• PC et Jasc Animation Shop

– La méthode consiste à assembler des images .bmp issues d’une station de post-traitement quelconque.

– Divers paramètres sont à préciser (durée d’affichage de l’image, fréquence etc.…)

– Cette méthode est aisée à mettre en place mais nécessite un équipement logiciel qui peut être onéreux et un transfert d’images de la station de traitement vers un PC.

– Son caractère fastidieux et le développement de méthodes plus performantes la rangent au rayon des souvenirs.

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DÉMONSTRATION (METHODE 2)DÉMONSTRATION (METHODE 2)

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RESULTAT (METHODE 2)RESULTAT (METHODE 2)

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PRODUIRE UNE VIDÉO A PARTIR DE LA STATION PACS (MÉTHODE 3)

PRODUIRE UNE VIDÉO A PARTIR DE LA STATION PACS (MÉTHODE 3)

• Images origine Dicom

• Méthode « sur station DS3000 AGFA » : – Afficher la série– Sélectionner l’outil et cliquer sur la série– Choisir la résolution– Choisir la vitesse de défilement– Choisir le codec

NB : Le codec le plus souvent utilisé est l’Indeo. En cas de nécessité, la vidéo est ensuite compressée en Mpeg4 sur un autre poste à l’aide de VirtualDub.

Le taux de compression a été laissé a 100 afin de limiter la destruction de la vidéo.

Taille : 7,91Mo (en cas de compression à 85 : 7,55Mo, poids du fichier 4% inférieur)

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DÉMONSTRATION (METHODE 3)DÉMONSTRATION (METHODE 3)

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RESULTAT (METHODE 3)RESULTAT (METHODE 3)

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PRODUIRE UNE VIDÉO A PARTIR DE LA STATION DE POST-TRAITEMENT LEONARDO (MÉTHODE 4)

PRODUIRE UNE VIDÉO A PARTIR DE LA STATION DE POST-TRAITEMENT LEONARDO (MÉTHODE 4)

• Station Leonardo (Siemens) : • Logiciel InSpace

- Charger le volume :

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Volume final après traitement

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Préparation du film

• Choix de la compression :

Mpeg 4 V2 compatible Mac et Pc

Icône haute résolution : à appliquer afin d’obtenir une qualité vidéo optimale

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Choix du répertoire de destination et création du film

L’enregistrement démarre lorsque l’on appuie sur le bouton rouge.

Il suffit alors d’imprimer un mouvement au volume qui sera enregistré par le mode ciné.

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RESULTAT

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AUTRES POSSIBILITÉSAUTRES POSSIBILITÉS

Deux séries totalement indépendantes sur le même écran

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Un des avantages essentiels de cette méthode est sa grande souplesse puisqu’il est possible de faire des pauses pendant l’enregistrement ou de modifier tous les paramètres en temps réel (seuillage, opacité, épaisseur du volume, zoom, rotation, translation, segmentation).

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PRODUIRE UNE VIDÉO A PARTIR DE LA STATION DE POST TRAITEMENT GENERAL ELECTRIC (MÉTHODE 5)

PRODUIRE UNE VIDÉO A PARTIR DE LA STATION DE POST TRAITEMENT GENERAL ELECTRIC (MÉTHODE 5)

• STATION ADVANTAGE WINDOWS 4.2 (G.E.)

• A partir d’une position d’origine, on définit une trajectoire et l’angle séparant chaque image.

• Le format de sortie est un AVI assez volumineux à qualité maximum (dans notre exemple 80Mo).

• Lorsque l’on baisse cette qualité à 85%, le format devient un MPEG 2 et sa taille diminue considérablement (dans notre exemple 11Mo)

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DÉMONSTRATION (METHODE 5)DÉMONSTRATION (METHODE 5)

Il est alors possible d’exporter le film par un protocole ftp ou http ou vers un graveur de CD qui proposera une mise en page HTML ou PDF

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RESULTAT (METHODE 5)RESULTAT (METHODE 5)

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PRODUIRE UNE VIDÉO AVEC LE LOGICIEL VOXAR (MÉTHODE 6)

PRODUIRE UNE VIDÉO AVEC LE LOGICIEL VOXAR (MÉTHODE 6)

• VOXAR : Application de traitement volumique de l’image.

• Ce logiciel est vendu séparément (4)

• Il est également intégré aux stations DS3000 AGFA.

• L’avantage de ce logiciel est qu’il ne nécessite pas de configuration matérielle très importante, les recommandations sont :

– Pentium 4 2.4Ghz– Carte graphique 64Mo– 2Go Ram– Disque dur SCSI (mais fonctionne aussi sur disques durs IDE)

• L’autre avantage de ce logiciel est aussi son coût raisonnable (20.000€)

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DÉMONSTRATION (METHODE 6)DÉMONSTRATION (METHODE 6)

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RESULTATS (METHODE 6)RESULTATS (METHODE 6)

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Contrôle d’un pontage de l’artère ulnaire: obstruction des artères digitales

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INSERTION DANS POWERPOINTINSERTION DANS POWERPOINT

• L’insertion d’une vidéo dans PowerPoint est aisée. Il suffit de donner l’adresse du répertoire où est stockée la vidéo.

• Cependant, il est important pour garder le lien que la vidéo conserve son nom et son adresse d’origine. En effet, la vidéo n’est pas, comme peut l’être une image, intégrée au document PowerPoint.

• Elle peut être stockée dans un dossier séparé qu’il faudra joindre au diaporama. Il est en général recommandé de placer la vidéo dans le même fichier que la présentation.

• Il faut veiller de plus à respecter la norme Joliet et à ne pas dépasser 255 caractères pour l’appellation des fichiers de la présentation et des vidéos.

• Il faut également éviter les caractères " / \ [ ] % etc…Utiliser de préférences des underscore ( _ ) pour les espaces entre les mots.

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L’EXCEPTION QUICK TIME L’EXCEPTION QUICK TIME

• Pour les versions de PowerPoint antérieures à 2002, il faut créer un

lien hypertexte et pointer vers le fichier Quick Time correspondant.

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SYNCHRONISATION DE VIDEOSSYNCHRONISATION DE VIDEOS

Il est possible de lancer chaque vidéo en cliquant sur l’image.

Il est également possible de synchroniser deux vidéos:- ouvrir la fenêtre «personnaliser l’animation » (clic droit sur une des images)- placer la seconde vidéo en tête de liste- lui affecter le paramètre « démarrer avec le précèdent »

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ExempleExemple

Syndrome du marteau hypothénarien chez un homme de 47 ans avec un petit anévrysme fusiforme de l’artère ulnaire et une thrombose partielle de l’arcade palmaire superficielle. Noter l’apport de l’imagerie dynamique en artériographie comme en angioscanner.

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CONCLUSION CONCLUSION

• De multiples procédés de création de vidéos existent et engendrent une grande variété de formats vidéos matériellement dépendants

• Le MPEG4 version 2 ou 3 représente actuellement le meilleur compromis qualité/taille. Il est de plus compatible avec les environnements MACINTOSH et Microsoft.

• L’intégration de vidéos dans une présentation PowerPoint permet de la rendre plus vivante.

• L’avenir est incarné par des formats vidéos orientés objets multimédias (MPEG7 et MPEG21)

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LOGITHÈQUE UTILELOGITHÈQUE UTILE

Viewers :

Videolan (Freeware Open Source)

Codecs :

Ace Mega Codecs Pack

Nimo Codecs Pack

(NB : l’utilisation de pack de codecs peut se révéler pratique mais peut créer différents conflits avec certains matériels. Il est préférable d’installer les codecs au fur et à mesure des besoins)

Compression :

VirtualDub (Freeware)

TMPGenc (Freeware) (Uniquement MPEG1 et MPEG2)

Présentations :

Camtasia - Techsmith

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• Remerciements à Hervé Arnoud (CHU Nancy – Hôpitaux de Brabois) pour son aide dans la réalisation du chapitre consacré à l’Advantage Windows.

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REFERENCESREFERENCES

(1) : MPEG Official Websitehttp://www.chiariglione.org/mpeg/

(2) Alain Rieger. Illustration Médicale :Techniques traditionnelles et numériques pour la communication médicale. Thèse Faculté de Médecine de Nancy, 22/03/2002

(3) : Videolan :http://www.videolan.org

(4) : Voxar :http://www.voxar.com

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CONTACT CONTACT

• Nicolas LabonneService d’Imagerie GuillozHôpital Central54000 Nancy

[email protected]

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VERSION COURTEVERSION COURTE

• Formats : MPEG, RV10, MOV

• Formats « Encapsulés » : AVI, MATROSKA, RMVB

• Codecs : Divx, Indeo, Cinepak, Xvid

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PRODUCTION DE VIDEOPRODUCTION DE VIDEO

• Banc de montage non linéaire (ex : Adobe Premiere)

• Assemblage d’images linéaire ( Jasc Animation Shop)

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EXPORT DIRECT DEPUIS CONSOLES DE TRAITEMENTEXPORT DIRECT DEPUIS CONSOLES DE TRAITEMENT

– PACS : AVI Codec Indeo, Cinepak…

– Siemens Leonardo : Mpeg4, AVI

– GE Advantage Windows : AVI, Mpeg

– Mitra Voxar : AVI

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• Format compatible : MPEG 4 version 2

• Exception QuickTime : lien hypertexte

• Format compatible : MPEG 4 version 2

• Exception QuickTime : lien hypertexte

INSERTION DANS POWER POINTINSERTION DANS POWER POINT

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ExempleExemple

Syndrome du marteau hypothénarien chez un homme de 47 ans avec un petit anévrysme fusiforme de l’artère ulnaire et une thrombose partielle de l’arcade palmaire superficielle. Noter l’apport de l’imagerie dynamique en artériographie comme en angioscanner.

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CONCLUSION CONCLUSION

• De multiples procédés de création de vidéos existent et engendrent une grande variété de formats vidéos matériellement dépendants

• Le MPEG4 version 2 ou 3 représente actuellement le meilleur compromis qualité/taille. Il est de plus compatible avec les environnements MACINTOSH et Microsoft.

• L’intégration de vidéos dans une présentation PowerPoint permet de la rendre plus vivante.

• L’avenir est incarné par des formats vidéos orientés objets multimédias (MPEG7 et MPEG21)