14
DOSSIER DE PRESSE Institut des Cultures d’Islam BAGDAD MON AMOUR EXPOSITION 29.03 > 29.07.18 Latif Al Ani, Shorja Street, Bagdad, 1950 (détail) © Latif Al Ani, courtesy Ruya Foundation Sous le patronage de l’UNESCO Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture Makiya Kufa Avec le soutien de l’actualité du Maghreb en Europe le courrier de D’ailleurs et CI ! D L’affirmation d’une France plurielle

Institut des Cultures d’Islam BAGDAD MON AMOUR · Salam Atta Sabri Julien Audebert Dia Azzawi Himat Hanaa Malallah Mehdi Moutashar Mosul Eye Bureau Michael Rakowitz Jewad Selim

  • Upload
    others

  • View
    1

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

  • DOSSIER DE PRESSE

    Institutdes Cultures

    d’Islam

    BAGDADMON AMOUR

    EXPOSITION 29.03 > 29.07.18

    Latif Al Ani, Shorja Street, Bagdad, 1950 (détail) © Latif Al Ani, courtesy Ruya Foundation

    Sous le patronage de l’UNESCO

    Organisationdes Nations Unies

    pour l’éducation,la science et la culture

    Makiya Kufa

    Avec le soutien de

    l’actualité du Maghreb en Europe

    le courrier de D’ailleurs etci !dNuméro 2

    L’affirmation d’une France plurielle

  • 2

  • 3

    SOMMAIRE

    ExpositionLe mot du commissaireParcours scénographiqueCatalogueVisuels libres de droit

    Agenda

    L’Institut des Cultures d’Islam : connaître, comprendre, partager

    Contacts

    p. 03

    p. 11

    p. 13

    p. 14

    Institutdes Cultures

    d’Islam

  • 4

  • 5

    The Invisible Ennemy Should Not Exist (détail) © Michael Rakowitz, crédit photo : Nick Ash

    LE MOT DU COMMISSAIRE

    avec les œuvres de

    Sherko AbbasLatif Al AniResmi Al KafajiAli AssafSalam Atta SabriJulien AudebertDia AzzawiHimatHanaa MalallahMehdi MoutasharMosul Eye BureauMichael RakowitzJewad Selim Lorna SelimWalid SitiSharif WakedAla Younis

    Placée sous le patronage de l’UNESCO, l’exposition Bagdad mon amour est une investigation collective sur les stratégies artistiques liées à la réinvention du patrimoine national irakien, qu’il s’agisse de l’Irak mésopotamien ou de l’Irak moderne.

    Cette pulsion protectrice, chez des artistes travaillant en majorité hors du pays, s’appuie sur l’archéologie, la muséologie et l’architecture et s’exprime à travers tous les médiums sous la forme de l’allégorie, de la parodie et du montage. Leurs œuvres nous aident à penser et surmonter les destructions du patrimoine et les pillages des musées, un phénomène systématisé depuis les années 2000 suite à la deuxième Guerre du Golfe menée par les États-Unis et leurs alliés, et aux agressions du groupe terroriste État islamique.

    En célébrant une culture visuelle d’autant plus vivante qu’elle résiste à sa destruction programmée, l’exposition Bagdad mon amour montre également les liens possibles entre les artistes « alerteurs » du présent et ceux du Bagdad Modern Art Group, emmenés notamment par Jewad Selim. Cette génération, engagée dès les années 1950 dans la réinvention de son héritage culturel, avait élu refuge au musée d’archéologie de Bagdad pour s’inspirer des antiquités islamiques, sumériennes et assyriennes. Elle questionna la notion de patrimoine national conçu comme un collage d’influences et planta la graine de l’« antique modernité ». Mais, alors que ces artistes s’inscrivaient dans le projet post-indépendance d’une nation nouvelle, les pratiques contemporaines répondent aux urgences humanitaires et patrimoniales d’une nation déchue, hantée par des objets-fantômes et des collections-contrebandes.

    Bagdad mon amour jette donc un pont à travers l’histoire de l’Irak, par-delà ses musées réels et ses « musées sans murs » offerts par les artistes. Ces derniers s’emparent d’outils tels que l’inventaire, la reconstitution, l’étude des monuments et des archives, pour créer des œuvres inquiètes mais toutes prêtes à imaginer la prochaine « renaissance » de Bagdad.

    Morad Montazami

    Morad Montazami est historien de l’art, éditeur et commissaire d’exposition. Il est research curator « Moyen-Orient et Afrique du nord » à la Tate Modern (Londres). Il est également directeur des éditions Zamân Books, qui s’attachent à développer les études transnationales sur les modernités arabes, asiatiques et africaines.

    Institutdes Cultures

    d’Islam

    ^

    Cloth Windows : For my mother, 1993© Ali Assaf, crédit photo : Giampiero Ortenzi

  • 6

    Les installations de Julien Audebert et Ali Assaf soulignent la persistance des symboles mésopotamiens et islamiques comme source d’inspiration des artistes contemporains.

    Alors que Julien Audebert reconstruit un fragment de la porte d’Ishtar, l’une des huit entrées de la cité de Babylone, Ali Assaf explore l’imaginaire du deuil et les rituels de lamentation dans la tradition musulmane.Les lourds sacs de sable militaires assemblés par Julien Audebert reconstituent « le Panneau du lion passant » aujourd’hui conservé au Musée du Louvre. L’animal totem de la déesse babylonienne fait face à la représentation beaucoup plus ésotérique et transculturelle de la main de Fatma – préexistante à l’islam – brodée sur les étendards colorés de Ali Assaf.

    Ces croisements d’époques et d’usages différents organisés par les artistes contemporains questionnent la mise en scène des symboles mais aussi notre faculté à communier à travers eux.

    RÉINVENTER LES SYMBOLES

    PARCOURS SCÉNOGRAPHIQUE

    Avec la modernisation accélérée des années 1950, Bagdad présente autant de visages que de styles architecturaux. La ville est à cette époque un terrain d’expérimentations pour les grands noms de l’architecture européenne et américaine. Citons notamment le campus de l’université de Bagdad conceptualisé par Walter Gropius mais réalisé par l’agence The Architect Collaborative, la Cité sportive de Le Corbusier en partie construite après sa mort ou encore le Musée des Beaux-Arts d’Alvar Aalto, resté à l’état de projet… L’architecte Mohamed Makiya, connu pour son style unique mêlant formes islamiques et modernistes, estimera d’ailleurs que la génération des années 1950 a « vécu le Moyen-Age, le Moderne et le Postmoderne dans la même vie ».

    Les artistes du Baghdad Modern Art Group comme Jewad et Lorna Selim, auxquels se joignent des architectes tel que Rifat Chadirchi, s’inspirent de l’architecture traditionnelle – notamment celle des mosquées – pour inventer un langage visuel et créer des œuvres évoquant des fantaisies urbaines. Les artistes actuels sont porteurs de cet héritage, qu’ils l’abordent par le biais des archives comme Ala Younis ou à travers les dynamiques spatiales comme Mehdi Moutashar.

    ENTRE MONUMENTS ET DOCUMENTS : MILLE ET UNE UTOPIES (I)

    Julien AudebertSandbagwal, 2011© Julien Audebertcourtesy de l’artiste et de Art : Concept, crédit photo : Quentin Madec / La Brasserie

    Ala YounisPlan for Greater Baghdad, 2015© Ala Younis, crédit photo : Alessandra Chemollo, 2015Courtesy la Biennale di Venezia

    Institutdes Cultures

    d’Islam

  • 7

    PARCOURS SCÉNOGRAPHIQUE

    La diversité architecturale qui s’épanouit en Irak est menacée par l’instabilité politique et les destructions liées aux différents conflits (guerre Iran-Irak, guerres du Golfe…). Chaque bâtiment qui part en fumée éloigne la perspective d’une vie stable entre les différentes communautés et traditions, dans un Bagdad multi-facettes. Attirés par les documents et archives où cette mémoire protéiforme a survécu, les artistes observent et analysent l’architecture avec un regard aussi bien poétique que politique. Ils deviennent les dépositaires d’un répertoire de signes (minaret, dôme, ziggurat, croissant, brique, arche…) qui prend une nouvelle dimension à travers la maquette, la sculpture, la vidéo, la photographie ou le dessin.

    ENTRE MONUMENTS ET DOCUMENTS : MILLE ET UNE UTOPIES (II)

    Hanaa MalallahDrone hits the Great Ziggurat of Ur© Hanaa Malallah

    Institutdes Cultures

    d’Islam

    Cette salle présente un ensemble composé d’une installation d’art contemporain, d’un film amateur et d’une collection de diapositives d’œuvres d’art.

    Le bureau de la Iraqi Numismatic Society, présenté par l’artiste Sherko Abbas, ressuscite, « à la chaine », des pièces de monnaie irakiennes qui ne sont plus en circulation aujour-d’hui. Il lutte ainsi contre l’effacement de certains symboles nationaux comme le palmier, la carte du pays, le barrage de Mossoul ou le code d’Hammourabi et questionne leur signification du point de vue de l’intime.

    Un autre exemple de mémoire confisquée est le film d’une visite au Musée d’art moderne de Bagdad en 1999. On y découvre une accumulation absurde de portraits de propagande de Saddam Hussein. Son image de « Raïss » (chef) envahit tous les espaces du Saddam Art Center comme pour mieux recouvrir la collection d’art moderne hébergée dans ces lieux. Touchée ensuite par les pillages de 2003, cette dernière aurait pu s’effacer définitivement des mémoires, mais le diaporama de Waddah Faris, intitulé The Lost Museum, établit une collection de reproductions des tableaux perdus, symboles de la modernité irakienne. Le film et le diaporama sont deux documents rares, l’un par son pouvoir de censure, l’autre par son pouvoir de mémoire.

    ICONES NATIONALES : ENTRE CONFISCATION ET CIRCULATION

    Sherko AbbasIraqi Numismatic Society© Sherko Abbas

    Les photographies du Bagdad des années 1960 de Latif Al Ani font plus que jamais office de boussole dans l’exploration de cet héritage. Quasiment aucun bâtiment n’échappe alors à son regard enthousiaste, appréciant la coexistence de l’architecture mésopotamienne, de la tradition islamique et du style moderniste.

    Les artistes actuels, comme Walid Siti ou Hanaa Malallah, plus que de rejouer simplement des formes, achèvent le rêve d’une architecture vécue comme un labyrinthe de formes éparses, un voyage dans l’utopie.

  • 8

    Comment se sentir pleinement dans le temps présent, lorsque l’effacement du passé vous hante  ? Les artistes présents dans cet espace invitent à un travail de mémoire sur la destruction du patrimoine irakien. Qu’ils puisent dans leur paysage mental ou dans les vestiges historiques, tous renouent avec les formes sumériennes, assyriennes, babyloniennes ou islamiques.

    Dans les années 1950, les artistes du Bagdad Modern Art Group sont les premiers à planter cette graine de « l’antique modernité ». Ils sont emmenés par Jewad Selim pour qui le salut de l’artiste passe par celui du patrimoine. Revendiquant avec brio ce « collage » de civilisations et de formes « primitives », son style devient une collection de signes-talismans dans laquelle d’autres créateurs continuent de puiser.

    Mais là où les artistes de l’époque post-indépendance affichaient leur désir d’offrir un langage visuel à une nation nouvelle, les artistes d’aujourd’hui répondent à une situation d’urgence. Face à la guerre, ils tentent de conjurer le danger, la terreur, l’oubli.

    UNE ANTIQUE MODERNITÉ : À LA RECHERCHE DU TEMPS PERDU

    Mosul Eye Bureau prolonge l’œuvre de la plateforme médiatique Mosul Eye, qui chroniquait les réalités indescriptibles de la ville sous l’emprise du groupe terroriste État islamique, et résistait à la falsification de l’histoire par ce dernier en décrivant l’identité cosmopolite de Mossoul, ainsi que la diversité de ses cultures et de ses religions.

    Mosul Eye Bureau a aujourd’hui vocation à présenter des objets issus de l’artisanat local et des œuvres d’art créées par la jeune génération confrontée à la brutalité de l’État islamique. Beaucoup de ces pièces ont été perdues lors des combats, des pillages et des vols. Le Bureau fait découvrir une ville qui tente de renaître de ses cendres. Pensé à l’origine par Angela Boskovitch et Omar Mohammed, il n’est visible que dans sa version « inachevée » ; les œuvres absentes étant empêchées de circuler pour des questions de limitations douanières.

    MOSUL EYE BUREAU

    Jewad SelimPastoral© Jewad Selim, collection Makiya

    Hilal AnnazLa mosquée Al Safar, 2017© Hilal Annaz, Mosul Eye Bureau

    Institutdes Cultures

    d’Islam

    PARCOURS SCÉNOGRAPHIQUE

  • 9

    CATALOGUE

    Institutdes Cultures

    d’Islam

    À paraîtrele 30 mai

    Ouvrage publié en coédition avec Zamân Booksà l’occasion de l’exposition Bagdad mon amour, présentée par l’Institut des Cultures d’Islam, de mars à juillet 2018

    ---

    Textes de Ahmed Naji Al-Said, Allan Kaval, Caecilia Pieri et Morad Montazami

    ---

    Bilingue : anglais / françaisBroché, 15 × 22 cm, 144 pages,100 illustrationsISBN : 979-10-93781-11-2

    Zamân Books

    BAGDAD MON AMOUR,DOCUMENTS D’EXPOSITION

    Latif Al AniHatra, vers 1960© Latif Al Ani, courtesy Ruya Foundation

  • 10

    Le format de l’image ne doit pas dépasser une demi-page. Pour toute autre utilisation, ou pour l’utilisation d’autres photographies, merci de contacter directement Emeric Descroix ([email protected]).Ces autorisations sont valables pour promouvoir l’exposition Bagdad mon amour qui se tiendra à l’Institut des Cultures d’Islam du 29 mars au 29 juillet 2018. Ces photographies peuvent être utilisées deux mois avant l’ouverture de l’exposition, jusqu’à la fin de celle-ci. Les photographies de presse doivent être légendées et créditées (copyright) tel qu’indiqué dans l’iconographie.

    VISUELS LIBRES DE DROIT

    LATIF AL ANIShorja Street, Bagdad, 1960 (détail)© Latif Al Anicourtesy Ruya Foundation

    Institutdes Cultures

    d’Islam

    ALA YOUNISPlan for Greater Baghdad, 2015© Ala Younis, crédit photo : Alessandra Chemollo, 2015Courtesy la Biennale di Venezia

    MICHAEL RAKOWITZThe Invisible Ennemy Should Not Exist (détail) © Michael Rakowitz, crédit photo : Nick Ash

    HANAA MALALLAHDrone hits the Great Ziggurat of UrEncre sur toile, 2013© Hanaa Malallah

  • 11

    AGENDA

    Tout au long de l’exposition, de nombreux événements mettent à l’honneur l’Irak de l’antiquité à nos jours. Le public pourra écouter le plus ancien récit du monde, danser sur des sonorités à la croisée de l’orient et de l’occident, plonger dans le quotidien d’une famille avant et après la chute de Saddam Hussein, découvrir le destin méconnu de l’archéologue et espionne Gertrude Bell, partir pour le Kurdistan et les rues fantasmées d’un Bagdad en Technicolor®... sans quitter Paris ! Des conférences se pencheront sur la sauvegarde du patrimoine en zones de conflits, la situation des journalistes en Irak, la bataille de Mossoul, le modernisme architectural et littéraire irakien, ou encore l’histoire de grandes figures des cultures d’islam comme le philosophe Al-Farabî, le poète Al Mutanabbî et le calife Al-Ma’mun. Constructions babyloniennes en LEGO® , voyage de Bagdad à l’Andalousie dans les pas d’un poète-musicien, ciné-goûters et ateliers de pratiques artistiques embarqueront aussi le jeune public vers d’autres horizons. Et à l’occasion du ramadan, l’ICI proposera chaque samedi une soirée exceptionnelle : contes des Mille et Une Nuits, puis iftars à partager en famille ou entre amis, suivis de spectacles et projections en plein air.

    Radio Bagdad © Fawzy Al-Aiedy, crédit photo : Dominique Secret

    Institutdes Cultures

    d’Islam

    ARTS DE LA SCÈNE

    mardi 3 avril[danse] 30 nuances de Noir(es)

    vendredi 20 avril[lecture performée] Dévoiler

    vendredi 15 juin[concert] Fawzy Al-Aiedy - Radio Bagdad 4.0

    jeudi 21 juin[concert] Arat Kilo, Mamani Keita & Mike Ladd

    vendredi 22 juinSoirée d’ouverture du festival Palest’In & Out #3

    samedi 7 juillet[lecture performée] L’épopée de Gilgamesh

    vendredi 13 juillet[concert] Bal Trans-Saharien

    Représentation d’Al Fârâbî © Georgios Kollidas

    CONFÉRENCES & DÉBATS

    jeudi 5 avrilLes jardins suspendus de Babylone

    jeudis 12 avril, 24 mai & 7 juinGrandes figures des cultures d’Islam

    jeudi 26 avrilLa bataille de Mossoul

    jeudi 3 maiÊtre journaliste au Moyen-Orient

    mardi 15 maiLe Patrimoine en péril

    samedi 16 juinL’exil comme source d’inspiration

    jeudi 28 juinLa ville arabe moderne dans la littérature et l’architecture

  • 12

    FILMS

    Une aventurière en Irak : Gertrude Bell © DR

    mercredi 4 avrilLe voleur de Bagdad

    mardi 17 avrilUne aventurière en Irak : Gertrude Bell

    vendredi 25 maiJeunesse d’une femme

    mardi 29 maiMy Sweet Pepper Land

    vendredi 29 & samedi 30 juinHomeland : Irak, année zéro

    LES IFTARS DE L’ICI

    Layla Darwiche © Danica-Bijeljac / NOOR © Guillemette Silvand

    samedi 19 maiLes Mille et Une Nuits + iftar + Zaman, l’homme des roseaux

    samedi 26 maiLes Mille et Une Nuits + iftar + Les Rossignols de Bagdad

    samedi 2 juinLes Mille et Une Nuits + iftar + NOOR

    samedi 9 juinLes Mille et Une Nuits + iftar + Refugees for Refugees

    JEUNE PUBLIC

    Le Voyage de Zyriab © Bab Assalam

    mercredis 4 & 18 avril, 2 & 23 mai, 6 & 20 juin, 25 juillet[atelier] Symboles Magiques

    mercredis 11 avril, 30 mai & 4 juillet[atelier] Les ruches d’ICI

    samedi 21 avril[ciné-goûter] La rose de Bagdad

    du lundi 23 au vendredi 27 avril[stage] LEGO® Médina

    mercredi 16 mai[conte musical] Le Voyage de Zyriab

    samedi 19 mai[ciné-goûter] Les aventures du prince Ahmed

    mercredi 27 juin[conte] Contes de Bagdad

    du lundi 9 au vendredi 13 juillet[stage] En scène !

    du lundi 16 au vendredi 20 juillet[stage] Haut les masques !

    ACTIVITÉS CULTURELLES

    Tablette cunéiforme © Fonds Khéops

    samedis 7 avril & 21 juillet[visite guidée] Sur la piste du street art

    samedis 21 avril & 9 juin[atelier] À la découverte du cunéiforme

    samedis 5 mai & 16 juin[visite guidée] Goutte d’Or insolite

    samedis 2 juin & 7 juillet[visite gustative] Saveurs d’ici et là

  • 13

    L’Institut des Cultures d’Islam est un établissement culturel de la Ville de Paris. Ancré dans le quartier populaire de la Goutte d’Or et ouvert sur le monde, il est à la fois un centre d’art contemporain, une scène musicale, un lieu de dialogue et d’apprentissage. L’ICI organise toute l’année des expositions, concerts, conférences, cafés littéraires, projections-débats, activités culturelles, cours d’arabe, de wolof, de calligraphie, de chant, de cuisine… Un public d’une grande diversité, essentiellement parisien et francilien, vient y découvrir des artistes, universitaires et spécialistes des cultures d’Islam. L’ICI propose au jeune public une offre dynamique : ateliers artistiques et culturels, spectacles vivants, ciné-goûters et visites sur mesure des expositions pour les enfants, les familles, les écoles et les centres de loisirs. Les activités de l’ICI se répartissent sur deux bâtiments, qui comportent chacun des espaces d’exposition et des salles de cours. Le site de la rue Léon dispose également d’un patio, d’une scène à ciel ouvert et d’un restaurant (La Table Ouverte) tandis que l’on trouve un hammam dans celui de la rue Stephenson. Une salle de prière, gérée par une association cultuelle, occupe le premier étage de ce bâtiment, dans une configuration inédite et respectueuse de la loi de 1905.

    L’INSTITUT DES CULTURES D’ISLAMCONNAÎTRE, COMPRENDRE, PARTAGER

    Institutdes Cultures

    d’Islam

  • 14

    Institutdes Cultures

    d’Islam

    CONTACT PRESSE

    Emeric DescroixResponsable de Communication

    [email protected] 53 09 99 83

    Institut des Cultures d’Islam

    56, rue Stephenson – 19, rue Léon 75018 Paris

    Présidente : Bariza KhiariDirectrice générale : Stéphanie ChazalonDirectrice artistique : Bérénice Saliou