ENSEIGNEMENT SEcoNdaIrE - Boost Your Talentboostyourtalent.be/IMG/pdf/Boost_Your_Talent... · ENSEIGNEMENT SEcoNdaIrE STICHTING ALLEEN VOOR DURVERS Ce projet s’adresse aux écoles

ENSEIGNEMENT SEcoNdaIrE

ST I C H T I N G

A L L E E N VO O R D U RV E R S

Ce projet s’adresse aux écoles et aux structures locales de la Zone d’Intervention Prioritaire (ZIP) qui est constituée de quartiers situés dans les communes de Bruxelles-Ville, Schaerbeek, Anderlecht, Molenbeek-Saint-Jean, Forest, Saint-Gilles et Saint-Josse-ten-Noode.

Sens des responsabilitésPersévérance

créativité

Esprit d’initiative

Confiance en soi

Esprit d’équipe

Esprit d’équipE | sEns dEs rEsponsabilités | pErsévérancE | confiancE En soi | créativité | Esprit d’initiativE

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Entreprends ta vie !

l’esprit d’entreprendre s’acquiert-il sur les bancs d’école ?L’école motive-t-elle les jeunes à préparer leurs carrières ? Donne-t-elle les outils pour faire face à la vie professionnelle ? Parvient-elle à stimuler les projets et les passions ?

La réponse est « oui »… en théorie. En aidant à développer le savoir-être et des compétences telles que la créativité, l’ini-tiative, la curiosité ou la persévérance, l’école devrait former les professionnels dynamiques de demain. Mais sa tâche n’est pas aisée. C’est la raison pour laquelle Boost Your Talent peut lui prêter main forte.

« Boost Your Talent » est une initiative de l’Union européenne et de la Région de Bruxelles- Capitale. Son objectif ? Stimuler l’initiative et l’esprit d’entreprendre chez les jeunes. Le projet s’adresse en particulier aux élèves des écoles bruxelloises si-tuées dans la « zone du canal », sur les communes de Bruxelles-ville, Schaerbeek, Anderlecht, Molenbeek, Forest, Saint-Gilles et Saint-Josse-Ten-Noode.

Pour la première fois à Bruxelles, l’Agence Bruxelloise pour l’Entreprise (ABE), secondée par des structures de sensibili-sation à l’entrepreneuriat telles que l’Ichec PME, Groupe One, Les Jeunes Entreprises et Unizo, est amenée à définir une stra-tégie pour travailler avec les élèves et enseignants de ces écoles ; une cible qui, jusqu’à présent, était peu ou pas touchée par les actions de sensibilisation à l’entrepreneuriat.

« Boost Your Talent » propose aux enseignants d’intégrer à leurs cours des programmes adaptés aux différents niveaux d’études. Et ceci pour permettre aux élèves de mettre en place des projets qui les passionnent, tout en augmentant leur chance de réussir dans la vie économique et sociale.

Ces programmes et animations vous permettront, en tant qu’enseignant, d’ancrer l’apprentissage scolaire dans une pers-pective concrète, quelle que soit votre discipline ! Pas besoin d’enseigner l’économie ou la gestion pour réfléchir avec ses élèves à une question éthique, ou mettre sur pied un événement sportif ou culturel.

Et tant qu’à battre en brèche quelques clichés : l’entrepreneuriat ne doit pas uniquement être considéré comme le moyen de créer des entreprises. Il s’agit d’une attitude générale qui va s’avérer précieuse pour vos élèves.

Car enseigner l’entrepreneuriat permet aussi aux jeunes d’apprendre à mieux se connaître, d’identifier leurs passions, de passer à l’action, de découvrir leur potentiel, d’agir positi-vement sur leur environnement et d’acquérir une meilleure confiance en soi. Des attitudes positives qui peuvent indubi-tablement améliorer le climat de votre école.

Chers enseignants et directeurs, à nous de jouer...

Quelle expérience ! Mes élèves ont été confrontés tantôt à la nécessité d’une

planification solide, tantôt aux imprévus qui la battaient en brèche. Au final,

ils ont assumé toutes leurs décisions, fruits d’un travail à la fois collectif et

individuel.

Enseignant 7e Enseignement professionnel, J’entreprends@school

SUPÉRIEURSECONDAIREPRIMAIRE

E X P L O R E R

E S S A Y E R

R E N C O N T R E R

NOtRE COMMUNE 3e ➛ 4e

CAP’tEN 5e ➛ 6e

CAP’tEN p. 4-51er degré

ExPlOR’ADO p. 6-72e degré

j’ENtREPRENDS@SChOOl p. 8-91er ➛ 3e degré

ENtREPRENEUR D’UN jOUR p. 10-113e degré

MINI-ENtREPRISE p. 12-133e degré

j’ENtREPRENDS@SChOOl BAC ➛ MAStER

yOUNg ENtERPRISE PROjECt BAC ➛ MAStER

DREAM p. 14-153e degré

Mon expérience m’a convaincue qu’une mini-entreprise est une excellente possibilité pour les jeunes d’apprendre, d’appliquer et surtout de retenir des notions qu’ils doivent de toute façon

voir en classe. Ils doivent être créatifs, prendre des initiatives et des responsabilités et travailler en équipe pendant une longue

période. Ceci les motive beaucoup même si le travail en équipe n’est pas facile et est souvent source de conflit entre eux.

Conseillère 6e, Mini-Entreprise

Lorsque le témoin a du charisme et des messages à faire passer, il est capable de

motiver les élèves, de leur faire entrevoir le monde professionnel de manière positive.

Cela les aide à mettre leur scolarité et leurs projets en perspective.

Enseignante 5e secondaire, Dream


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1er degré

Jeunes mousses à la barre

Munis d’un kit d’outils, les élèves mènent un projet personnel à leur mesure.

Il n’est jamais trop tôt pour éveiller l’esprit d’initiative qui sommeille en chacun de nous. Voilà pourquoi le programme Cap’Ten s’adresse aux élèves, du premier degré du secondaire.

du rêve à sa réalisationCap’Ten, c’est un ensemble d’outils qui permet à chaque jeune de rêver puis de réaliser un projet personnel, de groupe, de classe, d’école… Un projet construit à l’école, avec l’aide de l’enseignant, mais dans la plus grande autonomie possible. Par ce biais, l’élève découvre et travaille dix compétences : choix, autonomie, débrouillardise, persévérance, organisation, créa-tivité, participation, ouverture, communication et curiosité.

Concrètement, comment ça se passe ? L’enseignant reçoit un kit. Celui-ci contient un jeu de compétences qui permet aux élèves de mieux saisir le sens des mots tels que la créativité, la persévérance… Pour introduire le projet, l’enseignant fait écouter un CD qui retrace l’histoire de Zurk, la fourmi mas-cotte. Un dossier pédagogique lui permet ensuite d’accompa-gner ses élèves dans les différentes étapes.

L’élève reçoit quant à lui un kit avec un guide de Zurk : c’est son outil d’autonomie qui contient plein de conseils et d’astuces. Dans le kit, il trouvera également une Piste : son outil d’orga-nisation qui lui rappelle les étapes importantes d’un projet, un Fourmiroir pour s’auto-évaluer et une lettre aux parents. En cours de projet, on organise de temps en temps en classe un « marché aux idées ». Les élèves y posent leurs questions, cherchent ensemble des solutions et s’échangent des idées.

Cap’Ten…mettre des élèves de 2e professionnelle

en projet quant à leur avenir/choix de métier…

Enseignante 2e Enseignement professionnel

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www.capten.be

▲ Projet Un projet à la mesure de chaque élève

▲ Cibleélèves du 1er degré

▲ Outils ➦ élève : un kit avec des outils d’autonomie,

d’organisation et d’auto-évaluation ➦ Enseignant : jeu de compétences, CD audio,

dossier pédagogique, kit élève

▲ Durée/fréquence3 à 6 mois, 1 à 2 périodes par semaine (modulable)

➦ Le dossier pédagogique reprend des exemples de compétences disciplinaires auxquelles une démarche Cap’Ten peut être reliée (et elles sont nombreuses tant en français, qu’en maths, ou encore en éveil (sciences, art, géographie, histoire), en Seconde Langue

➦ De nombreux conseils et personnes ressources (PASS, Fondation Polaire, Réseau Scité…) sont à la disposition des élèves, ce qui leur permet de mener leur projet à bien avec beaucoup d’autonomie.

▲ journée pédagogique : programme à la carte

▲ Plus d’infosChristine Evrard 02 739 38 70 [email protected] inscriptions également accessibles via le site www.capten.be

un océan de possibilitésEn suivant les conseils de Zurk, Emmanuelle a ainsi construit la maquette d’une maison passive. Sophie, passionnée de séries télévisées policières, a voulu en savoir plus sur les méthodes de criminalistique. Elle a ensuite réalisé elle-même une reconsti-tution faciale en pâte à modeler. A côté des projets individuels, certaines classes ont préféré unir les forces des élèves autour d’un projet collectif. Une classe a ainsi monté un opéra de A à Z : de la rédaction des textes, la composition des musiques, les costumes, la mise en scène… jusqu’aux représentations ! Ces exemples le prouvent : Cap’Ten propose une méthode outillée qui s’ouvre sur un océan de possibilités.

Ni concurrence ni discrimination ne sont d’actualité dans ce projet puisque chaque élève place la barre à la hauteur de ses moyens et intérêts, et poursuit son cap à son rythme tout au long des 3 à 6 mois sur lesquels le projet se déroule. Le pro-gramme est flexible et adapté à tous, même aux élèves qui ne maîtrisent pas la langue nationale. Pour l’enseignant qui se lance dans l’odyssée, c’est aussi une belle occasion de découvrir ses élèves autrement.

le vent dans le dosLancé à l’initiative de l’Ichec-PME, Cap’Ten embarque chaque année près de 10.000 élèves dans l’aventure. Le projet encou-rage de très jeunes capitaines à mener leur propre barque. De quoi leur assurer des vents favorables pour l’avenir…

Avec l’aide des outils « Cap’Ten » j’ai pu donner confiance aux enfants, leur faire prendre conscience

de leurs capacités, les valoriser, multiplier les sources d’informations/de formations, que chacun puisse aborder, développer un sujet, un projet qui

lui tient à cœur.

Enseignante 1re différenciée


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2e degré

Explor’Ado

dans les méandres de la créativité

C’est bien connu : les ados bouillonnent d’idées qui fusent dans toutes les directions. Or, la créativité, capacité à imaginer des solutions nouvelles, est une compétence primordiale dans le développement du jeune, comme acteur enthousiaste de sa vie et de nos sociétés. Elle aura un impact sur sa capacité d’innovation et son esprit d’entreprendre. A l’aide d’outils pédagogiques et ludiques variés, Explor’Ado propose aux enseignants de 3e et 4e secondaires d’exercer la créativité de leurs élèves, mais aussi de mettre cette qualité au service d’un projet.

La participation au programme Explor’Ado est entièrement gratuite et se déroule de la façon suivante :

a la découverte de la créativité (+/-3 heures)Savez-vous ce que signifie le néologisme ‘Sérendipité’ ? A travers un conte, les élèves apprennent que ce n’est autre que l’art de faire des découvertes heureuses, inattendues et utiles par hasard, ou de transformer une erreur en réussite… Une introduction qui vous amènera à réfléchir en classe sur le sens de l’erreur, et à battre en brèche quelques idées reçues. Est-ce forcément un échec ? Ou plutôt une étape du processus d’apprentissage ? Pour illustrer le propos, les élèves découvrent comment ont été inventés le velcro, le post-it…

Comment fonctionne notre cerveau et comment s’expliquent nos comportements, particulièrement ceux qui nous em-pêchent d’être créatifs ? C’est ce que découvrent les élèves à l’aide d’un livret contenant une explication simple des 4 terri-toires cérébraux de l’être humain : du plus ancien, le reptilien, responsable de nos réflexes, au plus évolué, le préfrontal, siège de la créativité, de l’opinion personnelle, de la réflexion etc… Cette leçon est accompagnée d’une série d’images qui vont confronter les élèves à leurs certitudes et visions tronquées. S’ensuit un jeu qui les aidera à distinguer les idées gluantes, celles qui entravent la créativité, des idées étincelles qui, au contraire, la stimulent.

Quel bonheur d’avoir expérimenté « Explor’ADO » avec ma classe, une troisième technique de qualification

sciences sociales et animation. A chaque étape du processus, j’ai vu s’exprimer

un enthousiasme et une créativité extraordinaires et contagieux ! Sans

compter l’impact positif impressionnant sur le dynamisme du groupe.

Enseignant 3e secondaire

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www.explor-ado.be

▲ ProjetDévelopper son potentiel créatif en classe, et le mettre (ou pas) au service d’un projet

▲ Cibleélèves du 2e degré

▲ Outils ➦ Pour l’élève : un outil de découverte de

sa créativité, l’ExploraGuide ➦ Pour l’Enseignant : les outils d’animation des séances

▲ Durée/fréquence+/-5 heures + réalisation des projetsFormation gratuite aux outils


▲ Plus d’infosChristine Evrard 02 739 38 70 [email protected] inscriptions également accessibles via le site www.explor-ado.be

le plaisir d’avoir des idées créatives (+/-2 heures)Toute idée est bonne à dire, sachez repérer et éviter les idées gluantes et distinguer les idées réalisables des utopies, sachez aussi que les idées en amènent d’autres d’où l’intérêt du brainstorming…

Après avoir établi ces quelques règles pour libérer la créati-vité ambiante, chaque élève, seul ou en groupe, choisit une idée à réaliser. Le projet peut être un clip vidéo, un plan, un aménagement dans l’école ou dans la classe, une campagne de sensibilisation, une saynète… La réalisation et la présentation de ces projets peuvent constituer les deux étapes suivantes du programme.

Explor’Ado est applicable dans tous les cours, aussi bien généraux, que techniques ou professionnels. Le programme vous incite à partir à la découverte des talents cachés de vos élèves, hors des sentiers battus et loin des méthodes scolaires traditionnelles.

Vous aventurerez-vous dans ces zones inexplorées de leurs cerveaux ?

Je trouve les documents très clairs et très conviviaux. J’ai fait les activités (sans faire la dernière étape) en

début d’année avec 5 élèves de 6e transition Sciences-Informatique. Ca leur a plu, ils ont bien participé. Cela

a pris 2 bonnes heures de cours. Ce qui m’a marqué, c’est dans le jeu des phrases gluantes, un grand nombre de phrases pouvaient être interprétées comme gluantes ou étincelles selon le sens qu’on donnait à la phrase…

J’avoue que quand j’avais préparé je n’avais pas remarqué toutes ces nuances…

Enseignante 5e et 6e secondaire

Cette courte aventure de deux fois trois heures a semé des graines qui ont germé durant toute l’année scolaire !

Ce petit détour a aidé chacun individuellement et l’ensemble du groupe à vivre une année extrêmement

riche en découvertes, en partage et en bonnes énergies positives. Merci Explorado !

Enseignant 3e secondaire, Explor’ado


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1er ➛ 3e degré

J’entreprends @School

un outil d’animation pour motiver à apprendre… et entreprendre !

Deux modules de jeux adaptés à vos élèves afin de leur donner les compétences de la Communauté française

aborder des notions économiques de baseLe temps de deux heures de cours, le jeu J’entreprends@school projette vos élèves à la tête de petites entreprises. Il vous permet d’aborder ou revoir par le jeu des notions de base de tous les niveaux (mathématiques, économie etc.) et de donner aussi à vos élèves bon nombre de compétences demandées par la Communauté française :

➦ saisie et traitement de l’information pour arriver à anticiper les problèmes

➦ traiter ces problèmes, ➦ réflexion, communication, négociation, prise en charge

de situations inattendues ➦ etc.

Les élèves doivent calculer et prendre des décisions quant à la bonne marche de leur entreprise. Les notions de coût fixe, coût variable, seuil de rentabilité, offre et demande deviennent pour eux concrètes et utiles !

premiers pas d’entrepreneur ➦ Démystifier le monde de l’entreprise ➦ Donner aux jeunes le goût d’entreprendre

J’entreprends@school place les participants dans un marché où évoluent consommateurs, producteurs, commerçants et dé-taillants. Cette approche ludique permet aux jeunes, sans aucun prérequis, de comprendre les principes de base de la gestion d’une entreprise et de s’initier à l’entrepreneuriat responsable.

L’animation permet aussi de démystifier le monde économique et d’inciter la réflexion du jeune sur un projet de vie. Cette mise en situation concrète aidera chaque jeune à renforcer son esprit d’initiative et à prendre confiance en ses capacités.

derrière le profit, d’autres cartes à jouer ➦ Débattre du développement durable

Comment concilier profit et responsabilité sociale et environ-nementale ? Une question posée de manière pratique et ludique dans ces jeux de rôle interactifs.

Vous pourrez sensibiliser vos élèves à des aspects insoupçonnés de l’économie et du développement durable. Après le jeu de rôle, une heure de débriefing permet de soulever des questions, susciter les réactions et tirer les leçons du jeu.

Enfin, j’ai pu comprendre ce qu’implique ce fameux réchauffement climatique ! C’est donc à la fois les entreprises et les citoyens

qui doivent en tenir compte.

Elève 2e Enseignement général

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www.groupeone.be

▲ ProjetJeu de simulation d’entreprise

▲ Cibleélèves du 1er au 3e degré du secondaire (général, technique et professionnel)

▲ OutilsFormation de deux jours pour l’enseignant (ou possibilité de faire venir un animateur en classe), guide de l’animateur, présentation power point, mallette pédagogique

▲ Durée/fréquence2 cas de figure

➦ Le jeu est mené par un animateur de Groupe one : 2h de jeu + 1h de débriefing avec les élèves

➦ Le jeu est animé par l’enseignant : 2 jours de formation pour l’enseignant + 2h de jeu + 1h de débriefing avec les élèves


▲ Plus d’infosLaurent Staner 02 893 08 89 0485 32 12 20 [email protected]

des modules de jeux adaptés à vos élèves.Pour le premier degré (module 12-14) : cinq équipes de fabri-cants de sacs de coton vont être incarnées par les élèves pen-dant 3 années virtuelles. Ceux-ci, vont devoir se concerter et planifier leur production et leurs ventes mais aussi les achats nécessaires à la vie de leur entreprise ainsi que celle de leur fa-mille. Bien entendu, la vie ne sera pas un long fleuve tranquille et les élèves vont devoir faire face à bon nombre d’imprévus (panne de machine, problème familial ou médical, pollution…) tout en ayant la possibilité de constater leur impact en matière d’émission de carbone. Les élèves en sortent sensibilisés à l’es-prit d’entreprendre mais aussi à la consommation responsable.

Pour le second et troisième degré ( module 15+) : d’un côté, deux entreprises de fabrication de sacs en coton, de l’autre une entreprise de détail. Les élèves doivent non seulement réagir face aux évènements provoqués par l’animateur mais également négocier entre eux la vente des sacs. Quantité et prix sont ainsi l’objet de discussions ardues et chronométrées. Soumis au réchauffement climatique et à bien d’autres défis sociaux ou environnementaux, les jeunes en sortent stimulés à entreprendre dans le respect des principes du développement durable.

Placez le sort d’une entreprise entre les mains de vos élèves, laissez-les abattre leurs cartes et multipliez les contraintes et les défis. Vous voilà bientôt face aux entrepreneurs de demain ou tout simplement face à des consommateurs plus responsables.

Lors de leur planification hebdomadaire, les élèves ont pu utiliser les termes et concepts appropriés relatifs

vus à mon cours de sciences éco. Certains sont de vrais flambeurs, d’autres thésaurisent et puis il y a les plus

responsables qui ont compris qu’il valait mieux soigner leurs travailleurs… C’était amusant de découvrir sous un

nouvel angle les personnalités de mes élèves.

Enseignante 5e Enseignement professionnel

Mes élèves sont tout d’abord rentrés dans les négociations très agressivement avant

de comprendre petit à petit qu’il était plus efficace et utile de considérer l’autre

partie comme un partenaire plutôt qu’un adversaire.

Enseignant 6e Enseignement général


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3e degré

Entrepreneur d’un jour

En un jour, les élèves se familiarisent avec l’entreprise

Pour ce faire, Les Jeunes Entreprises et Groupe One les emmènent dans le monde fascinant de l’entrepreneuriat.Cette journée leur permet de faire le lien avec ce que leurs professeurs leur ont enseigné et leur donne l’occasion d’acquérir ou d’approfondir de nombreuses compétences transversales.

pour qui ?Ces activités s’adressent aux élèves du 3e degré de l’enseigne-ment secondaire.

comment ?

Programme du matin ➦ Les élèves sont accueillis avec leur professeur. ➦ Ils ont décidé à l’avance du produit ou du service qu’ils

vont commercialiser. ➦ Ils choisissent l’un des trois séminaires/ateliers offerts :

plan d’affaires, marketing ou vente. En une matinée, vos élèves vont dresser un business plan, se répartir les fonctions, convaincre un banquier, élaborer une stratégie commerciale, fabriquer les produits et les supports/décorations nécessaires pour leurs ventes. Les premières étapes vers la création de leur propre entreprise sont franchies !

Temps de Midi Le repas est offert à tous les participants.

On est très content que plusieurs écoles aient participé à cette formation d’un

jour. On a pu faire le lien entre la théorie vue en classe et la pratique. A refaire,

on prendrait plus de temps pour choisir un produit, l’acheter et se constituer un

uniforme.

Elèves 7e GTPE

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www.groupeone.be www.lesjeunesentreprises.be

▲ ProjetEntrepreneur d’un jour

▲ Cibleélève du 3e degré du secondaire

▲ Outils ➦ Dossier pour les élèves et les enseignants ➦ Séminaires/ateliers et matériel de décoration

▲ Durée/fréquenceUne journée deux fois par an


▲ Plus d’infosLaurent Staner 02 893 08 89 0485 32 12 20 [email protected] Poot 02 648 99 89 0498 52 61 63 [email protected]

Programme de l’après-midi ➦ Ils installent leur matériel pignon sur rue et appliquent

leur plan d’affaires en vendant réellement leurs produits et services aux clients potentiels : passants, connaissances etc.

➦ Ils se rendent directement compte de la validité de leur approche de vente et doivent parfois rectifier le tir.

Leurs professeurs les aident si nécessaire.

clôture Une comptabilité sommaire est établie et chaque groupe pré-sente ses résultats.

Quelles entreprises ont assuré l’équilibre financier ? Lesquelles ont fait encore mieux ? Quelles furent les difficultés rencon-trées ? Quelles furent les bonnes décisions, les moins bonnes ?

Ce programme dynamique est particulièrement bien reçu tant par les professeurs que par les élèves.

Cette expérience a permis à mes élèves de se rendre compte de comment les choses se passent en réalité. Les

ateliers et les ventes ont créé une dynamique dans les groupes et cela a donné confiance aux jeunes.

Enseignante 7e GTPE

C’était très convivial ! On est très content, on a quasi tout vendu et puis si on avait

une question, il y avait toujours un responsable près de nous.

Elèves 6e Enseignement général


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3e degré

Mini Entreprise

learning by doing

Imaginer puis lancer un véritable produit ou service sur le marché. Les élèves s’essaient aux métiers de l’entreprise… en Mini.

Ce soir, à l’occasion de l’Assemblée Générale, Florian a revêtu son costume. Car c’est à lui que revient le privilège d’ouvrir la séance et d’accueillir les actionnaires. A 17 ans, Florian occupe le poste très prisé de PDG. Quant à Sana, à ses côtés, 18 ans, elle fait ses premiers pas en tant que responsable de la communica-tion. Avec 10 autres élèves de leur école, ces jeunes découvrent la réalité économique de manière très pratique par le biais de leur mini-entreprise.

Le programme Mini-Entreprise s’adresse principalement aux élèves de dernière année de l’enseignement secondaire, toutes sections et tous réseaux confondus. Un groupe d’une douzaine d’élèves imagine, crée et gère puis clôture une entreprise de taille réduite bâtie sur le modèle de société par actions.

du concept à la clôtureAu départ, les élèves choisissent un lieu de travail, leur siège social, et mettent en place les différents départements : com-mercial, financier, technique…Pour chacun de ceux-ci, il faut désigner des responsables. Deuxième étape : trouver l’idée d’un produit ou d’un service, et un nom accrocheur qui permettra de le vendre. Cela étant fait, toute l’équipe peut se mettre en quête d’actionnaires pour financer la production.

S’ensuivent la production et la vente des produits, au sein de l’école ou à l’extérieur. En cours d’année, il faut organiser une assemblée générale pour informer les actionnaires de profits potentiels, tenir les journaux d’achat, de vente, de la compta-bilité, calculer le seuil de rentabilité, du prix de revient, des salaires,… Cette expérience unique permet d’inculquer aux élèves le sens des responsabilités, leur apprend à communiquer et à se fixer des objectifs à court - moyen et long terme. S’essayer

J’ai compris la difficulté liée au travail de groupe, j’ai développé mon sens

de l’initiative ainsi que mon sens des responsabilités et plus important

encore, j’ai découvert l’importance de la motivation que ce soit par rapport à la

mienne ou plus encore à celle de ceux qui m’entourent.

élève 6e secondaire

www.lesjeunesentreprises.be

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▲ Projet Créer, gérer et clôturer une petite entreprise


▲ OutilsUn congrès, un concours, un encadrement par des conseillers issus du monde de l’entreprise, un guide du jeune entrepreneur, un CD-Rom, un site Internet

▲ Durée8 mois (ou 4 dans la version light)Les jeunes se réunissent 1 fois par semaine

▲ MéthodologieEncadrement par un enseignant et/ou 1 conseiller extérieur Formations organisées pour les jeunes, les enseignants et les conseillers


▲ Plus d’infos et inscriptionsEdgard Poot02 648 99 890498 52 61 63 [email protected]

dans un domaine qui pourrait constituer des études ultérieures ou de futurs métiers

Encadrement professionnelToutes les tâches sont réalisées par les élèves avec l’appui et les conseils de vrais professionnels bénévoles, issus du monde de l’entreprise. Chaque jeune entrepreneur qui mène la ‘Mini’ à son terme obtient le certificat du Jeune Entrepreneur. Et pour faire des émules, l’ASBL ‘Les Jeunes Entreprises’ organise aussi un concours parmi toutes les écoles participantes qui prime le meilleur projet.

Vous souhaitez lancer une Mini-Entreprise dans votre école ? Quatre formules s’offrent à vous :

➦ le modèle classique : les élèves se réunissent sur base volontaire pendant les heures de pause ou après les cours ;

➦ le modèle en classe : l’enseignant intègre le programme dans les cours (d’économie ou de gestion par exemple) ;

➦ le modèle à finalité sociale : les élèves décident, avec l’accord des actionnaires, de verser au moins 1/3 de leurs bénéfices à une cause humanitaire ou à un projet caritatif.

➦ La Mini-Artistique : les élèves peuvent organiser un bal de fin d’année, une pièce de théâtre ou encore concours de groupes musicaux belges peu connus sur podium. Une initiation à l’organisation d’événements qui s’oriente davantage sur des activités de marketing et de sponsoring.

Les Mini-Entreprises offrent une occasion unique de confron-ter les élèves à leurs futurs choix d’étude et au monde du tra-vail. Alors, encouragez-les à passer à l’action !

Les apports de l’expérience mini-entreprise sont nombreux : tout d’abord,

cela permet de tisser des liens avec nos camarades de classe ; ensuite, on apprend à respecter les autres et à les

écouter ; je trouve aussi que le rapport élève-professeur est moins « conflictuel »

et enfin, nous avons une expérience professionnelle.

élève 6e secondaire

Lors de leur participation au Congrès des mini-entreprises, nos élèves étaient bien décidés à se faire connaître.

Mais ils se sont vite rendu compte que, sur le terrain, la concurrence est rude… Même si les bénéfices n’ont pas

été importants, ce fut très enrichissant et valorisant pour eux. Ils voulaient prouver qu’eux aussi étaient capables de

mener à bien un projet de longue durée !

Enseignante et conseiller


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3e degré

Dream

En tête-à-tête avec son métier d’avenir

Construire son projet de vie, décider de son avenir professionnel, choisir un métier et comprendre le(s) chemin(s) qui y mène(nt), voilà une tâche qui s’avère souvent bien complexe pour les jeunes en fin de secondaire. Pour les soutenir dans cette étape-clé de leur vie et les guider vers un avenir plein de promesses, DREAM propose aux jeunes de 5e, 6e et 7e secondaires, une méthode outillée, dynamique et flexible. Le programme les invite à prendre un temps de réflexion afin de mieux se connaître ( pour découvrir leurs moteurs de motivation profonde) et ensuite, à rencontrer des professionnels enthousiastes disposés à partager avec eux leur parcours, leur métier et leur passion. Une occasion rêvée pour les élèves de réfléchir à leur future profession et de se mettre en action.

Chaque année, pas moins de 15.000 jeunes prennent part à l’expérience ! La participation au programme DREAM est entièrement gratuite.

L’action se déroule en 3 phases et peut être introduite auprès des élèves à l’aide du DVD de présentation.

première étape : la connaissance de soi Cette première étape de l’action est accompagnée d’un ques-tionnaire à l’attention de l’élève (basé sur l’approche neuroco-gnitive et comportementale). Bien s’orienter, c’est d’abord bien se connaître. L’élève est donc invité à réfléchir individuelle-ment à son parcours, ses forces, ses sources de motivation, ses atouts, ses centres d’intérêt et son fonctionnement.

J’ai appris que tout métier est accessible si c’est réellement un métier que l’on veut

vraiment faire. Je suis désormais motivé à prendre au sérieux mon futur métier.

Elève 5e Enseignement professionnel

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www.dreamday.be

▲ ProjetRencontre avec un professionnel passionné


▲ Outils ➦ Pour l’élève : questionnaire « Apprends à te connaître »,

Outil « Pars à la recherche de ton témoin », outils disponibles sur le site www.dreamday.be (guide des témoins, courriers et exemples d’appels téléphonique pour contacter des témoins, comment rédiger un cv…)

➦ Pour l’Enseignant : DVD de présentation, un dossier pédagogique, un manuel pour le témoin, le guide des témoins, qui reprend une liste de professionnels ayant accepté de recevoir un groupe d’élèves (en ligne sur www.dreamday.be)

▲ Durée/fréquenceEnviron 6 x 50 minutes avant, pendant et après le DREAM Day


▲ Plus d’infosChristine Evrard 02 739 38 70 [email protected] inscriptions également accessibles via le site www.dreamday.be

deuxième étape : la rencontreA l’aide des outils mis à leur disposition, les élèves, en petits groupes, partent à la recherche d’un professionnel (témoin) qu’ils aimeraient rencontrer pour échanger avec lui sur son métier, son parcours… Ils préparent et organisent sa rencontre, se renseignent sur le métier, la société du témoin, imaginent les questions qu’ils ont envie de poser,… Lors d’une journée, appelée Dream Day, les élèves rencontrent le témoin qu’ils ont choisi, si possible sur son lieu de travail. C’est le moment d’en-tamer un dialogue ouvert et sincère avec un professionnel pas-sionné, mais aussi une occasion en or de découvrir un métier, et de confronter ses rêves ou préjugés à la réalité de terrain.

troisième étape : la phase de “bilan”De retour en classe, et toujours grâce aux outils fournis, les élèves peuvent faire le point sur leurs projets et aspirations, et sur ce qu’ils ont appris au cours du programme.

Les outils permettent aux jeunes d’avancer dans la démarche en toute autonomie.

DREAM amène les jeunes à y voir un peu plus clair parmi les nombreux choix qui s’offrent à eux, à se poser des questions sur eux-mêmes, à découvrir de nouveaux métiers et à battre en brèche quelques idées reçues sur certaines professions… Et ce, afin qu’ils puissent s’élancer vers leur avenir avec confiance, en s’appuyant sur leurs acquis, et surtout, avec passion !

Pour moi qui ai l’habitude de voir en 6e année le CV et la lettre de

candidature, et d’essayer que les élèves se connaissent mieux et précisent leur

projet professionnel, la participation au projet Dream m’a confortée dans ma

démarche et aidée (je retrouvais dans le questionnaire des éléments dont j’avais

parlé avec les élèves).

Enseignante 6e secondaire

Les élèves venaient d’une école dite de discrimination positive, j’ai beaucoup aimé partager le chemin de vie. Le chemin du possible… il y a moyen d’y arriver si on se bat

que l’on accepte les échecs, les changements… J’ai senti un retour, de l’intérêt de la part de ces jeunes même si il y avait beaucoup de peur pour l’avenir dans leur regard

ce que je comprends.

Professionnel-témoin

En bref,

côté flamandEntreprendre mais aussi… ondernemen in Brussel ! Dans l’enseignement néerlandophone, c’est via la Fondation “Onderwijs & Ondernemen”* d’UNIZO** que les jeunes découvrent et expérimentent les métiers d’indépendant et d’entrepreneur.

Les fonds européens ciblent la zone du canal

Dans le cadre de la nouvelle programmation des Fonds Structurels Européens FEDER (Fonds Européen de Développement Economique Régional), le gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale a défini ses objectifs pour la période 2007-2013 dans un Programme Opérationnel.

objectif 2013 : « Investissons ensemble dans le développement urbain ! »

Le but de ce programme est de relancer une zone en diffi-culté structurelle qui possède pourtant de nombreux atouts. Le Gouvernement a décidé de concentrer les moyens dispo-nibles sur une « Zone d’Intervention Prioritaire », dite « ZIP », située sur les rives est et ouest du canal, du nord au sud de la Région de Bruxelles-Capitale. Il s’agit de Bruxelles-ville, Schaerbeek, Anderlecht, Molenbeek, Forest, Saint-Gilles, Saint-Josse-Ten-Noode.

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virginie lossoncoordinatrice boost Your talentagence bruxelloise pour l’Entreprise (abE)tour & taxisav. du port 86c, b211 – 1000 bruxelles

tél. : +32 2 800 00 69fax : +32 2 422 00 43contact@boostyourtalent.bewww.boostyourtalent.bewww.facebook.com/boostyourtalent.be

la zonE d’intErvEntion prioritairE

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