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création collective d’ores et déjà mise en scène Sylvain Creuzevault Petit Théâtre du 16 septembre au 9 octobre 2009

création collective d’oresetdéjà création collective d ... · moinsde30ansetdemandeursd'emploi1 3€ lemardi1 9€ LaColline-théâtrenational 15rueMalte-BrunParis20 e presse

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création collective d’ores et déjàmise en scène Sylvain Creuzevault

Petit Théâtre

du 16 septembre au 9 octobre 2009

Conceptiongraphique

:AtelierterBekke&Behage/

Licencen°

1007515-1007516-1007517

création collective d’ores et déjàmise en scène Sylvain Creuzevault

Petit Théâtre

du 14 au 31 octobre 2009

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création collective d’ores et déjàmise en scène Sylvain Creuzevault

Petit Théâtre

du 16 septembre au 9 octobre 2009Conceptiongraphique

:AtelierterBekke&Behage/

Licencen°

1007515-1007516-1007517

création collective d’ores et déjàmise en scène Sylvain Creuzevault

Petit Théâtre

du 14 au 31 octobre 2009

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création collective d’ores et déjàmise en scène Sylvain Creuzevault

costumes Pauline Kiefferscénographie Julia Kravtsova

marionnettes et masques Joseph Lapostolle et Loïc Nébrédalumière Vyara Stefanova

avec

Samuel Achache, Benoit Carré, Antoine Cegarra,Éric Charon, Sylvain Creuzevault, Pierre Devérines,Vladislav Galard, Lionel Gonzalez, Arthur Igual,

Léo-Antonin Lutinier

création collective d’ores et déjàmise en scène Sylvain Creuzevault

costumes Pauline Kiefferscénographie Julia Kravtsova

marionnettes et masques Joseph Lapostolle et Loïc Nébrédalumière Vyara Stefanova

avec

Samuel Achache, Benoit Carré, Antoine Cegarra,Éric Charon, Sylvain Creuzevault, Pierre Devérines,Vladislav Galard, Lionel Gonzalez, Arthur Igual,

Léo-Antonin Lutinier

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Petit Théâtredu 16 septembre au 9 octobre 2009

du mercredi au samedi à 21h, le mardi à 19h et le dimanche à 16h

productiond’ores et déjà, La Colline — théâtre national, Festival d’Automne à Paris,

Nouveau Théâtre d’Angers — Centre dramatique national des Pays de la Loire,Célestins — Théâtre de Lyon, Culturgest — Lisbonne

avec la participation artistique du Jeune Théâtre Nationaldans le cadre de sa coproduction avec le Nouveau Théâtre d’Angers,

le spectacle a fait l’objet d’une résidence de création

tournéeCélestins - Théâtre de Lyon

du 24 novembre au 4 décembre 2009Nouveau Théâtre d’Angers

Centre dramatique national des Pays de la Loiredu 17 au 25 mars 2010Culturgest - Lisbonne8, 9 et 10 avril 2010

location: 01 44 62 52 52du lundi au samedi de 11h à 18h30et le dimanche de 13h30 à 16h30

(uniquement les jours de représentation)tarifs

en abonnement de 8 à 13€ la placehors abonnementplein tarif 27€

plus de 60 ans 22€moins de 30 ans et demandeurs d'emploi 13€

le mardi 19€

La Colline - théâtre national15 rue Malte-Brun Paris 20e

presse Nathalie Godard tél: 01 44 62 52 25télécopie: 01 44 62 52 91 - [email protected]

Festival d’Automne à Paris156 rue de Rivoli Paris 1er

presse Rémi Fort et Christine Delterme tél: 01 53 45 17 13

Petit Théâtredu 16 septembre au 9 octobre 2009

du mercredi au samedi à 21h, le mardi à 19h et le dimanche à 16h

productiond’ores et déjà, La Colline — théâtre national, Festival d’Automne à Paris,

Nouveau Théâtre d’Angers — Centre dramatique national des Pays de la Loire,Célestins — Théâtre de Lyon, Culturgest — Lisbonne

avec la participation artistique du Jeune Théâtre Nationaldans le cadre de sa coproduction avec le Nouveau Théâtre d’Angers,

le spectacle a fait l’objet d’une résidence de création

tournéeCélestins - Théâtre de Lyon

du 24 novembre au 4 décembre 2009Nouveau Théâtre d’Angers

Centre dramatique national des Pays de la Loiredu 17 au 25 mars 2010Culturgest - Lisbonne8, 9 et 10 avril 2010

location: 01 44 62 52 52du lundi au samedi de 11h à 18h30et le dimanche de 13h30 à 16h30

(uniquement les jours de représentation)tarifs

en abonnement de 8 à 13€ la placehors abonnementplein tarif 27€

plus de 60 ans 22€moins de 30 ans et demandeurs d'emploi 13€

le mardi 19€

La Colline - théâtre national15 rue Malte-Brun Paris 20e

presse Nathalie Godard tél: 01 44 62 52 25télécopie: 01 44 62 52 91 - [email protected]

Festival d’Automne à Paris156 rue de Rivoli Paris 1er

presse Rémi Fort et Christine Delterme tél: 01 53 45 17 13

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Le d’ores et déjà, groupe de jeunes acteurs réunis depuis 2002 dansun même esprit de recherche, travaille en collectif sur des textes— dernièrement Visage de feu de Mayenburg, Baal de Brecht — ouexpérimente, sans oeuvre préexistante, une écriture scéniquefondée sur l’engagement individuel des acteurs: ainsi est né Le PèreTralalère, présenté également à La Colline après Notre terreur.Nouvelle création collective pour dix acteurs et six techniciens,Notre terreur interrogera la chute de Robespierre, sa mort, sondernier jour. Qu’est-ce que la Terreur? Quel sillon laisse dans notreprésent l’idéal de démocratie et de pureté des hommes de quatre-

vingt-treize? Comment regardons-nous cette “scène primitive” de lalégende révolutionnaire? A-t-elle un avenir?La création est en cours... avec: comme paysage en ruines, la villeglobale; comme point de vue, la provocation; comme situation, l’en-trée de l’humanité dans une crise du capitalisme; comme expériencedu public, les luttes sociales gigantesques; comme sources enfin,les procès-verbaux des séances de la Convention, des historiensdu XIXe siècle, des poètes du XXe — Bertolt Brecht et Heiner Müller —... et les spectres de l’avenir.

Le d’ores et déjà, groupe de jeunes acteurs réunis depuis 2002 dansun même esprit de recherche, travaille en collectif sur des textes— dernièrement Visage de feu de Mayenburg, Baal de Brecht — ouexpérimente, sans oeuvre préexistante, une écriture scéniquefondée sur l’engagement individuel des acteurs: ainsi est né Le PèreTralalère, présenté également à La Colline après Notre terreur.Nouvelle création collective pour dix acteurs et six techniciens,Notre terreur interrogera la chute de Robespierre, sa mort, sondernier jour. Qu’est-ce que la Terreur? Quel sillon laisse dans notreprésent l’idéal de démocratie et de pureté des hommes de quatre-

vingt-treize? Comment regardons-nous cette “scène primitive” de lalégende révolutionnaire? A-t-elle un avenir?La création est en cours... avec: comme paysage en ruines, la villeglobale; comme point de vue, la provocation; comme situation, l’en-trée de l’humanité dans une crise du capitalisme; comme expériencedu public, les luttes sociales gigantesques; comme sources enfin,les procès-verbaux des séances de la Convention, des historiensdu XIXe siècle, des poètes du XXe — Bertolt Brecht et Heiner Müller —... et les spectres de l’avenir.

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création collective d’ores et déjàmise en scène Sylvain Creuzevault

musique David Georgelincostumes Pauline Kiefferlumière Vyara Stefanova

scénographie Julia Kravtsovarégie générale Cédric Lemaignen

avec

Samuel Achache, Benoit Carré, Antoine CegarraÉric Charon, Caroline Darchen, Pierre Devérines

Lionel Gonzalez, Léo-Antonin Lutinier, Lise Maussion

création collective d’ores et déjàmise en scène Sylvain Creuzevault

musique David Georgelincostumes Pauline Kiefferlumière Vyara Stefanova

scénographie Julia Kravtsovarégie générale Cédric Lemaignen

avec

Samuel Achache, Benoit Carré, Antoine CegarraÉric Charon, Caroline Darchen, Pierre Devérines

Lionel Gonzalez, Léo-Antonin Lutinier, Lise Maussion

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Petit Théâtredu 14 au 31 octobre 2009

du mercredi au samedi à 21h, le mardi à 19h et le dimanche à 16h

productiond’ores et déjà, co-réalisation théâtre-studio d’Alfortvilleavec la participation artistique du Jeune Théâtre National

tournéeThéâtre du Nord

théâtre national région Nord Pas-de-Calaisdu 5 au 15 novembre 2009

location: 01 44 62 52 52du lundi au samedi de 11h à 18h30et le dimanche de 13h30 à 16h30

(uniquement les jours de représentation)tarifs

en abonnement de 8 à 13€ la placehors abonnementplein tarif 27€

plus de 60 ans 22€moins de 30 ans et demandeurs d'emploi 13€

le mardi 19€

La Colline - théâtre national15 rue Malte-Brun Paris 20e

presse Nathalie Godard tél: 01 44 62 52 25télécopie: 01 44 62 52 91 - [email protected]

Festival d’Automne à Paris156 rue de Rivoli Paris 1er

presse Rémi Fort et Christine Delterme tél: 01 53 45 17 13

Petit Théâtredu 14 au 31 octobre 2009

du mercredi au samedi à 21h, le mardi à 19h et le dimanche à 16h

productiond’ores et déjà, co-réalisation théâtre-studio d’Alfortvilleavec la participation artistique du Jeune Théâtre National

tournéeThéâtre du Nord

théâtre national région Nord Pas-de-Calaisdu 5 au 15 novembre 2009

location: 01 44 62 52 52du lundi au samedi de 11h à 18h30et le dimanche de 13h30 à 16h30

(uniquement les jours de représentation)tarifs

en abonnement de 8 à 13€ la placehors abonnementplein tarif 27€

plus de 60 ans 22€moins de 30 ans et demandeurs d'emploi 13€

le mardi 19€

La Colline - théâtre national15 rue Malte-Brun Paris 20e

presse Nathalie Godard tél: 01 44 62 52 25télécopie: 01 44 62 52 91 - [email protected]

Festival d’Automne à Paris156 rue de Rivoli Paris 1er

presse Rémi Fort et Christine Delterme tél: 01 53 45 17 13

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Ça commence comme ça: ce sont les noces de Lise et Léo. Le pèrede Lise s’est occupé du mariage. Il y a aussi le frère de Lise, lesamis de Lise et Léo, il y a Benoit, un présentateur de télévision,et Samuel, un employé du père. Tout va bien comme au début d’unepièce de théâtre classique. Puis tout va aller de moins en moinsbien comme dans une pièce de théâtre classique. Une petite lézarded’abord, puis une fissure, puis une faille: le réel vacille, l’ordrefamilial laisse apparaître ce qui le fonde et qui n’a rien d’ordonné nide calme. Les repas de famille continuent à se succéder avec leurrecto de rituel immuable et leur verso de cruauté; mais le spectateurest déjà emporté dans la courbe imprévisible du spectacle, de boufféede paradis en descente aux enfers. Drôle ou violent, ludique toujours,le d’ores et déjà se sert du théâtre pour faire advenir le rêve etla vérité du rêve, pas toujours agréable à entendre. Écrit à partird’improvisations, le spectacle se maintient ouvert aux aléas de lareprésentation. Ainsi n’est-il jamais tout à fait le même: dispensanttour à tour effroi et jouissance, la machine à détraquer la familles’emballe en direct sous nos yeux, révélant l’impossibilité desgénérations d’échapper l’une à l’autre, sans pardon ni merci.

Ça commence comme ça: ce sont les noces de Lise et Léo. Le père de Lises’est occupé du mariage. Il y a aussi le frère de Lise, les amis de Lise etLéo, il y a Benoit, un présentateur de télévision,et Samuel, un employé du père. Tout va bien comme au début d’une piècede théâtre classique. Puis tout va aller de moins en moins bien commedans une pièce de théâtre classique. Une petite lézarde d’abord, puis unefissure, puis une faille: le réel vacille, l’ordrefamilial laisse apparaître ce qui le fonde et qui n’a rien d’ordonné ni decalme. Les repas de famille continuent à se succéder avec leur recto derituel immuable et leur verso de cruauté; mais le spectateur est déjàemporté dans la courbe imprévisible du spectacle, de bouffée de paradis endescente aux enfers. Drôle ou violent, ludique toujours, le d’ores et déjàse sert du théâtre pour faire advenir le rêve et la vérité du rêve, pastoujours agréable à entendre. Écrit à partir d’improvisations, le specta-cle se maintient ouvert aux aléas de la représentation. Ainsi n’est-iljamais tout à fait le même: dispensant tour à tour effroi et jouissance,la machine à détraquer la famille s’emballe en direct sous nos yeux, révé-lant l’impossibilité des générations d’échapper l’une à l’autre, sans pardonni merci.

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Depuis la création de la compagnied’ores et déjà, vous avez travaillé àpartir d’oeuvres d’auteurs dramatiques(Larry Tremblay ou Mark Ravenhill, parexemple) avant de vous défaire, peu àpeu, de tout texte dramatique pré-existant aux répétitions. Quels sontles éléments qui ont motivé ce passage?

Sylvain Creuzevault: C’est, en fait, lafaçon que nous avions de travailler surles textes dramatiques qui nous a pro-pulsés vers la répétition sans oeuvrepréalable. Ce passage émane du ques-tionnement permanent de la compagnied’ores et déjà sur le théâtre politique,sur la façon dont il peut prendre formeaujourd’hui, s’il est encore possible qu’ilen prenne une. Personnellement, je netrouve pas à exprimer ce questionne-ment avec un texte préexistant,actuellement. S’il faut poser la questionde la représentation ou de l’absence dereprésentation, nous nous sommes ren-dus compte qu’il fallait peut-être laposer à l’intérieur même du processusde répétition. Nous ne sommes peut-être plus dans une période où le théâtredoit représenter des faits, proposerune dénonciation de moeurs, une critiquesociale ou je ne sais quoi. C’est enquelque sorte beaucoup plus complexe…Est-il possible, souhaitable, aujourd’huide faire du théâtre selon la même formede représentation qu’à l’époque deMolière? On ne peut plus, non plus, fairedu théâtre politique comme Brecht lefaisait – même si cet auteur m’a énor-mément nourri – ce serait perçu commeune leçon de morale… Est-ce le momentde proposer un discours très frontalsur les plateaux? Ou au contraire faut-il continuer imperturbablement de résis-ter au temps consommable, consumable,en travaillant sur les temps, ralentis, dupoème? Ces interrogations sont visiblesdans nos créations.Nous essayons chaque fois de devinerquel processus de travail est le plusadapté avec un objet.

En l’occurrence, Le Père Tralalère nes’appuie sur aucun texte préalable auxrépétitions mais est entièrement crééà partir d’improvisations autour de lacellule familiale. De quelle façon avez-vous travaillé la dramaturgie?

Sylvain Creuzevault: Le Père Tralalèren’a pas de texte dans le sens “pasd’oeuvre dramatique préexistante à lacréation”, mais il a un poème de répéti-tion, avec une oralité… Les espaces dela famille sont lourds de malentendus,avec des temps spécifiques, desconflits qui vont et repartent.L’improvisation était la forme la plus àmême pour rendre ces éclats sensibles.Il était important que les personnes,sur le plateau, puissent avoir des réac-tions impulsives, épidermiques. Cela faitd’ailleurs advenir du rire, mais un rire deconscience, un rire critique. Le PèreTralalère met en demeure une critiquesociale – ici la première cellule socialequi est celle de la famille, mais elle estperturbée dans le spectacle parquelque chose de plus théâtral, pluscharnel, proche de l’expérience sensible.Concrètement la pièce est composée dequatre mouvements, qui développentquatre fois la même problématique, maisen dilatant toujours plus l’espace duconflit théâtral. La situation de baseest un dîner familial, une discussion àtable comme on en voit au quotidien,très proche de ces formes de théâtrehyperréaliste… Et progressivement, onpasse de ce temps accéléré à des tempsplus informes, plus ouverts, propres aupoème et aux problématiques que nousavons choisies. On part d’un format trèsproche de la vie sociale pour entrer, àmesure que le temps se ralentit, dansl’espace du guignol pour aboutir à dessituations carnavalesques. Certainsspectateurs ont trouvé dommage quel’on perde “cette vérité du début duspectacle” alors que c’est précisémentcette vérité qui est douteuse! Cettechose est de la vie une forme plus men-

Depuis la création de la compagnied’ores et déjà, vous avez travaillé àpartir d’oeuvres d’auteurs dramatiques(Larry Tremblay ou Mark Ravenhill, parexemple) avant de vous défaire, peu àpeu, de tout texte dramatique pré-existant aux répétitions. Quels sontles éléments qui ont motivé ce passage?

Sylvain Creuzevault: C’est, en fait, lafaçon que nous avions de travailler surles textes dramatiques qui nous a pro-pulsés vers la répétition sans oeuvrepréalable. Ce passage émane du ques-tionnement permanent de la compagnied’ores et déjà sur le théâtre politique,sur la façon dont il peut prendre formeaujourd’hui, s’il est encore possible qu’ilen prenne une. Personnellement, je netrouve pas à exprimer ce questionne-ment avec un texte préexistant,actuellement. S’il faut poser la questionde la représentation ou de l’absence dereprésentation, nous nous sommes ren-dus compte qu’il fallait peut-être laposer à l’intérieur même du processusde répétition. Nous ne sommes peut-être plus dans une période où le théâtredoit représenter des faits, proposerune dénonciation de moeurs, une critiquesociale ou je ne sais quoi. C’est enquelque sorte beaucoup plus complexe…Est-il possible, souhaitable, aujourd’huide faire du théâtre selon la même formede représentation qu’à l’époque deMolière? On ne peut plus, non plus, fairedu théâtre politique comme Brecht lefaisait – même si cet auteur m’a énor-mément nourri – ce serait perçu commeune leçon de morale… Est-ce le momentde proposer un discours très frontalsur les plateaux? Ou au contraire faut-il continuer imperturbablement de résis-ter au temps consommable, consumable,en travaillant sur les temps, ralentis, dupoème? Ces interrogations sont visiblesdans nos créations.Nous essayons chaque fois de devinerquel processus de travail est le plusadapté avec un objet.

En l’occurrence, Le Père Tralalère nes’appuie sur aucun texte préalable auxrépétitions mais est entièrement crééà partir d’improvisations autour de lacellule familiale. De quelle façon avez-vous travaillé la dramaturgie?

Sylvain Creuzevault: Le Père Tralalèren’a pas de texte dans le sens “pasd’oeuvre dramatique préexistante à lacréation”, mais il a un poème de répéti-tion, avec une oralité… Les espaces dela famille sont lourds de malentendus,avec des temps spécifiques, desconflits qui vont et repartent.L’improvisation était la forme la plus àmême pour rendre ces éclats sensibles.Il était important que les personnes,sur le plateau, puissent avoir des réac-tions impulsives, épidermiques. Cela faitd’ailleurs advenir du rire, mais un rire deconscience, un rire critique. Le PèreTralalère met en demeure une critiquesociale – ici la première cellule socialequi est celle de la famille, mais elle estperturbée dans le spectacle parquelque chose de plus théâtral, pluscharnel, proche de l’expérience sensible.Concrètement la pièce est composée dequatre mouvements, qui développentquatre fois la même problématique, maisen dilatant toujours plus l’espace duconflit théâtral. La situation de baseest un dîner familial, une discussion àtable comme on en voit au quotidien,très proche de ces formes de théâtrehyperréaliste… Et progressivement, onpasse de ce temps accéléré à des tempsplus informes, plus ouverts, propres aupoème et aux problématiques que nousavons choisies. On part d’un format trèsproche de la vie sociale pour entrer, àmesure que le temps se ralentit, dansl’espace du guignol pour aboutir à dessituations carnavalesques. Certainsspectateurs ont trouvé dommage quel’on perde “cette vérité du début duspectacle” alors que c’est précisémentcette vérité qui est douteuse! Cettechose est de la vie une forme plus men-

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songère que l’espace du conflit théâtral…

La trajectoire de d’ores et déjà estjalonnée de créations qui interrogent lafamille. Après Les Mains bleues de LarryTremblay, Visage de feu de Marius vonMayenburg, ou Baal de Bert Brecht,vous revenez sur ce motif avec Le PèreTralalère. De quelle façon la réflexionsur la cellule familiale vient-elle nourrirvotre recherche théâtrale?

Sylvain Creuzevault: Pour Le PèreTralalère, nous avions donné deux pistesde travail : la première “la question desorigines, depuis votre naissancejusqu’aux répétitions”, et la seconde,“l’évolution du corps depuis laRenaissance jusqu’au XXe siècle”. Laseconde a été délaissée dans la mesureoù les acteurs ont choisi d’improvisersur la question de la fuite des originesen passant par celle de la cellule fami-liale. La famille n’est pourtant pas unestructure sociale qui m’intéresse en soi.Je porte un regard plutôt cruel sur sesdispositifs. Je ne sais pas pour lesautres membres de la compagnie d’oreset déjà, mais personnellement, la famillene m’intéresse que pour être détruite,absolument pas pour être défendue.Cependant, le fait même de la “détruire”sur un plateau rend son existence juste.Il y a des mouvements sensibles intimes,qui peuvent être d’une grande violence.Il n’y a pourtant rien de spectaculaire,pas de grandes révélations comme dansle film Festen qui est souvent évoquédans les plaquettes de théâtres ausujet du Père Tralalère. Dès que l’ontravaille sur la famille, que l’on met enscène un repas familial, tout le mondeparle de Noces chez les petits bourgeoisde Brecht ou de Festen, c’est curieux…Le sujet a tellement été travaillé depuisla nuit des temps que l’on peut voirpasser beaucoup d’oeuvres dans Le PèreTralalère.Ensuite, travailler en improvisationnécessite souvent de choisir des sché-mas très connus, d’emblée partageables.

Cela peut être pénible pour un jeuneacteur de refaire Médée parce que l’ontravaille sur la famille, mais en mêmetemps, le corps doit passer par cetteexpérience là. Vouloir aller trop vite,croire qu’il faut s’abstenir de prendrecertaines vagues, c’est un piège. Il fal-lait passer par ce “trop connu” pourraconter la famille dans une forme spé-cifique, qui nous soit propre.Le Père Tralalère, c’est l’histoire d’unerelation, entre un père et sa fille,entre un homme et sa mort, c’est laperversion de la figure du père, c’est laproblématique liée à l’héritage et à lafaçon dont des gens peuvent être dicta-teurs même après leur mort. Mais avanttout cela, c’est l’histoire de notre pro-pre rapport au théâtre.

Quelle place occupe la pièce dans cequi semble être un cycle sur la famille?

Sylvain Creuzevault: En quelque sorte,ce n’est pas un désir que l’on a formulésur scène avec Le Père Tralalère, mais lafin d’un désir. Il y a eu un premier mou-vement dans le parcours de la compagnied’ores et déjà pendant lequel, au traversde plusieurs spectacles, nous avonsfouillé cette structure de base qu’estla famille. Mais Le Père Tralalère estcomme un acte zéro dans la compagnie,comme notre première pièce, alors qu’ily en a eu neuf autres avant! Il fauténormément de temps pour se “dés-oeuvrer” des raisons initiales qui nouslient au théâtre. Choisir de faire descréations plutôt que des mises enscène, travailler collectivement avec lesmêmes acteurs, nous a chacun poussé àlaisser tomber nos chevaux de bataillerespectifs (les oeuvres, les auteurs, lesesthétiques aimées...).Le processus de création collectivenous a mené à amoindrir nos origines dethéâtre. Comme un désoeuvrement desinfluences... Du coup, ce que j’aime dansle fait que Le Père Tralalère et Notreterreur soient présentés ensemble auThéâtre de la Colline, c’est que Notre

songère que l’espace du conflit théâtral…

La trajectoire de d’ores et déjà estjalonnée de créations qui interrogent lafamille. Après Les Mains bleues de LarryTremblay, Visage de feu de Marius vonMayenburg, ou Baal de Bert Brecht,vous revenez sur ce motif avec Le PèreTralalère. De quelle façon la réflexionsur la cellule familiale vient-elle nourrirvotre recherche théâtrale?

Sylvain Creuzevault: Pour Le PèreTralalère, nous avions donné deux pistesde travail : la première “la question desorigines, depuis votre naissancejusqu’aux répétitions”, et la seconde,“l’évolution du corps depuis laRenaissance jusqu’au XXe siècle”. Laseconde a été délaissée dans la mesureoù les acteurs ont choisi d’improvisersur la question de la fuite des originesen passant par celle de la cellule fami-liale. La famille n’est pourtant pas unestructure sociale qui m’intéresse en soi.Je porte un regard plutôt cruel sur sesdispositifs. Je ne sais pas pour lesautres membres de la compagnie d’oreset déjà, mais personnellement, la famillene m’intéresse que pour être détruite,absolument pas pour être défendue.Cependant, le fait même de la “détruire”sur un plateau rend son existence juste.Il y a des mouvements sensibles intimes,qui peuvent être d’une grande violence.Il n’y a pourtant rien de spectaculaire,pas de grandes révélations comme dansle film Festen qui est souvent évoquédans les plaquettes de théâtres ausujet du Père Tralalère. Dès que l’ontravaille sur la famille, que l’on met enscène un repas familial, tout le mondeparle de Noces chez les petits bourgeoisde Brecht ou de Festen, c’est curieux…Le sujet a tellement été travaillé depuisla nuit des temps que l’on peut voirpasser beaucoup d’oeuvres dans Le PèreTralalère.Ensuite, travailler en improvisationnécessite souvent de choisir des sché-mas très connus, d’emblée partageables.

Cela peut être pénible pour un jeuneacteur de refaire Médée parce que l’ontravaille sur la famille, mais en mêmetemps, le corps doit passer par cetteexpérience là. Vouloir aller trop vite,croire qu’il faut s’abstenir de prendrecertaines vagues, c’est un piège. Il fal-lait passer par ce “trop connu” pourraconter la famille dans une forme spé-cifique, qui nous soit propre.Le Père Tralalère, c’est l’histoire d’unerelation, entre un père et sa fille,entre un homme et sa mort, c’est laperversion de la figure du père, c’est laproblématique liée à l’héritage et à lafaçon dont des gens peuvent être dicta-teurs même après leur mort. Mais avanttout cela, c’est l’histoire de notre pro-pre rapport au théâtre.

Quelle place occupe la pièce dans cequi semble être un cycle sur la famille?

Sylvain Creuzevault: En quelque sorte,ce n’est pas un désir que l’on a formulésur scène avec Le Père Tralalère, mais lafin d’un désir. Il y a eu un premier mou-vement dans le parcours de la compagnied’ores et déjà pendant lequel, au traversde plusieurs spectacles, nous avonsfouillé cette structure de base qu’estla famille. Mais Le Père Tralalère estcomme un acte zéro dans la compagnie,comme notre première pièce, alors qu’ily en a eu neuf autres avant! Il fauténormément de temps pour se “dés-oeuvrer” des raisons initiales qui nouslient au théâtre. Choisir de faire descréations plutôt que des mises enscène, travailler collectivement avec lesmêmes acteurs, nous a chacun poussé àlaisser tomber nos chevaux de bataillerespectifs (les oeuvres, les auteurs, lesesthétiques aimées...).Le processus de création collectivenous a mené à amoindrir nos origines dethéâtre. Comme un désoeuvrement desinfluences... Du coup, ce que j’aime dansle fait que Le Père Tralalère et Notreterreur soient présentés ensemble auThéâtre de la Colline, c’est que Notre

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terreur est comme un acte 1. Le champest totalement ouvert. Tout ce que l’onsavait en entamant la création de Notreterreur, c’était qu’il y aurait une com-munauté réunie dans un espace, et quecertains de ses membres observeraientun objet élaboré par d’autres…

Quels ont été vos matériaux de basepour la création collective Notreterreur, elle aussi exclusivement bâtiesur des improvisations?

Sylvain Creuzevault: Plusieurs élémentsse sont mêlés et ont nourri la recherche.Lorsque j’ai proposé, pour la créationdu Père Tralalère, le thème de la fuitedes origines j’avais une idée en tête quiétait 1789: cette origine là de nossociétés modernes, la fin de l’absolu-tisme, la fin de la féodalité, la fin desprivilèges, la justice… Dès que l’on pose,en Histoire, la question d’un renverse-ment de l'ordre social existant dont lemouvement est une révolution, on estconfronté à un moment à la question dela violence, qui peut parfois atteindre laterreur; comme en 1793-1794. D’autrepart, en 1989, deux cents ans après laRévolution, c’est la chute du mur deBerlin, et cette célébration un peu déca-féinée du bicentenaire de la Révolution,dont je garde un souvenir flou vu quej’étais enfant. Il y a eu, depuis, uneréappropriation terrible des vocablesrévolutionnaires. J’avais également entête le courant historiographique repré-senté par l’académicien François Furetqui condamne la Terreur, avec une sortede dégoût, né de la peur... Ce qui mefascine, surtout, c’est ce paradoxefondateur de la société moderne entreÉgalité et Liberté. Ces deux conceptsont généré des conflits terribles endeux cents ans, allant de la libertéjusqu’au libéralisme, et de l’égalité àl’égalitarisme. Ce matériau de travailpermet des éclairages intimes puissantspuisqu’il me semble que chacun vit enpermanence avec cette contradictionentre les deux concepts.

Historiquement, la période de la Terreur(qui s’étend de septembre 1793 à juillet1794) les réunit. L’écrasement pour lesalut public, des libertés individuellesétait nécessaire et cette nécessité làva créer un flot de boue historiqueincommensurable. Le thème de Notreterreur est alors sûrement celui duretour aux origines.Nous tentons donc de comprendre pour-quoi la période historique de la Terreurest incarnée dans le corps deRobespierre, par exemple, ou de com-prendre les raisons qui font que LouisXIV ou Napoléon sont présentés commede grandes figures de l’éducation histo-rique alors que le premier gouvernementrévolutionnaire est incroyablemententaché dans les livres d’Histoire.L’Histoire c’est toujours l’histoire del’État. Tout ce qui lui est néfaste estpendu aux cordes de l'oubli, exposé ausoleil, et ça pue.

Le titre que vous choisissez est éloquent:vous éliminez la majuscule de “Terreur”,comme pour signifier que ce spectaclene se réduit pas à une pièce historique…

Sylvain Creuzevault: Nous ne nouscontentons évidemment pas de philoso-pher sur Rousseau! Il s’agissait detrouver à l’intérieur de ces probléma-tiques – qui furent nourries de rechercheshistoriographiques – les espaces pro-prement théâtraux. Les acteurs ontd’ailleurs travaillé sur le mouvement phy-siologique, neurologique de la terreur.C’est une émotion passionnante théâ-tralement car elle n’est pas univoque:on peut aussi bien terroriser qu’êtreterrorisé. Elle engendre des dynamiquesd’actions et de réactions très richespour le jeu de l’acteur (tirer, pousser,emmener vers soi, ou hors de soi, etc.).

La réflexion politique au coeur deNotre terreur alimente sûrement cellesur le fonctionnement de la compagnied’ores et déjà. Vous revendiquez descréations collectives, sans hiérarchie

terreur est comme un acte 1. Le champest totalement ouvert. Tout ce que l’onsavait en entamant la création de Notreterreur, c’était qu’il y aurait une com-munauté réunie dans un espace, et quecertains de ses membres observeraientun objet élaboré par d’autres…

Quels ont été vos matériaux de basepour la création collective Notreterreur, elle aussi exclusivement bâtiesur des improvisations?

Sylvain Creuzevault: Plusieurs élémentsse sont mêlés et ont nourri la recherche.Lorsque j’ai proposé, pour la créationdu Père Tralalère, le thème de la fuitedes origines j’avais une idée en tête quiétait 1789: cette origine là de nossociétés modernes, la fin de l’absolu-tisme, la fin de la féodalité, la fin desprivilèges, la justice… Dès que l’on pose,en Histoire, la question d’un renverse-ment de l'ordre social existant dont lemouvement est une révolution, on estconfronté à un moment à la question dela violence, qui peut parfois atteindre laterreur; comme en 1793-1794. D’autrepart, en 1989, deux cents ans après laRévolution, c’est la chute du mur deBerlin, et cette célébration un peu déca-féinée du bicentenaire de la Révolution,dont je garde un souvenir flou vu quej’étais enfant. Il y a eu, depuis, uneréappropriation terrible des vocablesrévolutionnaires. J’avais également entête le courant historiographique repré-senté par l’académicien François Furetqui condamne la Terreur, avec une sortede dégoût, né de la peur... Ce qui mefascine, surtout, c’est ce paradoxefondateur de la société moderne entreÉgalité et Liberté. Ces deux conceptsont généré des conflits terribles endeux cents ans, allant de la libertéjusqu’au libéralisme, et de l’égalité àl’égalitarisme. Ce matériau de travailpermet des éclairages intimes puissantspuisqu’il me semble que chacun vit enpermanence avec cette contradictionentre les deux concepts.

Historiquement, la période de la Terreur(qui s’étend de septembre 1793 à juillet1794) les réunit. L’écrasement pour lesalut public, des libertés individuellesétait nécessaire et cette nécessité làva créer un flot de boue historiqueincommensurable. Le thème de Notreterreur est alors sûrement celui duretour aux origines.Nous tentons donc de comprendre pour-quoi la période historique de la Terreurest incarnée dans le corps deRobespierre, par exemple, ou de com-prendre les raisons qui font que LouisXIV ou Napoléon sont présentés commede grandes figures de l’éducation histo-rique alors que le premier gouvernementrévolutionnaire est incroyablemententaché dans les livres d’Histoire.L’Histoire c’est toujours l’histoire del’État. Tout ce qui lui est néfaste estpendu aux cordes de l'oubli, exposé ausoleil, et ça pue.

Le titre que vous choisissez est éloquent:vous éliminez la majuscule de “Terreur”,comme pour signifier que ce spectaclene se réduit pas à une pièce historique…

Sylvain Creuzevault: Nous ne nouscontentons évidemment pas de philoso-pher sur Rousseau! Il s’agissait detrouver à l’intérieur de ces probléma-tiques – qui furent nourries de rechercheshistoriographiques – les espaces pro-prement théâtraux. Les acteurs ontd’ailleurs travaillé sur le mouvement phy-siologique, neurologique de la terreur.C’est une émotion passionnante théâ-tralement car elle n’est pas univoque:on peut aussi bien terroriser qu’êtreterrorisé. Elle engendre des dynamiquesd’actions et de réactions très richespour le jeu de l’acteur (tirer, pousser,emmener vers soi, ou hors de soi, etc.).

La réflexion politique au coeur deNotre terreur alimente sûrement cellesur le fonctionnement de la compagnied’ores et déjà. Vous revendiquez descréations collectives, sans hiérarchie

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entre metteur en scène et acteurs…

Sylvain Creuzevault: Cela alimente eneffet la question suivante: la répéti-tion est-elle ou non un espace social?Savoir ce que doit être la troupe, nosmodes de fonctionnement, nos moyensde production, savoir ce que doit êtrele théâtre public, s’il faut passer dansune structure égalitariste, égalitaire,s’il est possible de fonctionner en véri-table démocratie, sont autant dedébats permanents dans d’ores et déjà.Il est très difficile de se soustraire àune autorité sur un plateau, sansrejoindre le délire des années 1970!Notre travail collectif consiste à trou-ver le processus qui ne rende pas lemetteur en scène plus important quel’acteur. L’acte de mise en scène nem’appartient pas uniquement puisquel’acteur en est le principal ouvreur. Ilme semble cependant primordial d’avoirle regard extérieur du metteur en scènepour savoir si les propositions sont ounon saisissables.Le théâtre est toujours pour moi unehistoire d’espace, une façon de trouverla bonne distance avec laquelle observerles choses.

Propos recueillis par Eve Beauvalletpour le Festival d'Automne

entre metteur en scène et acteurs…

Sylvain Creuzevault: Cela alimente eneffet la question suivante: la répéti-tion est-elle ou non un espace social?Savoir ce que doit être la troupe, nosmodes de fonctionnement, nos moyensde production, savoir ce que doit êtrele théâtre public, s’il faut passer dansune structure égalitariste, égalitaire,s’il est possible de fonctionner en véri-table démocratie, sont autant dedébats permanents dans d’ores et déjà.Il est très difficile de se soustraire àune autorité sur un plateau, sansrejoindre le délire des années 1970!Notre travail collectif consiste à trou-ver le processus qui ne rende pas lemetteur en scène plus important quel’acteur. L’acte de mise en scène nem’appartient pas uniquement puisquel’acteur en est le principal ouvreur. Ilme semble cependant primordial d’avoirle regard extérieur du metteur en scènepour savoir si les propositions sont ounon saisissables.Le théâtre est toujours pour moi unehistoire d’espace, une façon de trouverla bonne distance avec laquelle observerles choses.

Propos recueillis par Eve Beauvalletpour le Festival d'Automne

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En septembre 2002, Sylvain Creuzevault, Louis Garrel, Arthur Igualet Damien Mongin créent le théâtre d’ores et déjà sous la formed’une association loi 1901.

Les Mains bleuesde Larry Tremblay, mise en scène Sylvain CreuzevaultStudio-Théâtre d’Asnières (mai 2003)Théâtre des deux rives de Charenton (mai 2004, reprise)

Un homme qui dortde Georges Perec, mise en scène Damien MonginConservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (avril 2004)

Visage de feude Marius von Mayenburg, mise en scène Sylvain CreuzevaultThéâtre des deux rives de Charenton (avril 2005)

La Cordecréation de Damien MonginThéâtre des deux rives de Charenton (avril 2006)

Foetuscréation collective, mise en scène Sylvain Creuzevault et Damien MonginOdéon - Théâtre de l’Europe (Festival Berthier 06)

Baalde Bert Brecht, mise en scène Sylvain CreuzevaultOdéon-Théâtre de l’Europe, dans le cadre du Festival d’Automne à Paris (octobre 2006)Wiener Festwochen, Autriche (mai 2007)

Le Père Tralalèrecréation collective, mise en scène Sylvain CreuzevaultThéâtre - Studio d’Alfortville (création le 29 octobre 2007, reprise janvier 2008)Théâtre de Vanves, scène conventionnée pour la danse (octobre 2008)Équinoxe, scène nationale de Châteauroux (novembre 2008)Théâtre universitaire de Nantes (mars 2009)Nouveau Théâtre d’Angers, centre dramatique national des Pays de la Loire (avril 2009)Atelier du Rhin, théâtre de la Manufacture (mai 2009)Célestins - Théâtre de Lyon (juin 2009)

Jackson Pancréation de Lise MaussionAgitakt, Paris (décembre 2007)Théâtre de Vanves, scène conventionnée pour la danse (octobre 2008)

Waldcréation d’Antoine CegarraThéâtre de Vanves, scène conventionnée pour la danse (novembre 2008)

En septembre 2002, Sylvain Creuzevault, Louis Garrel, Arthur Igualet Damien Mongin créent le théâtre d’ores et déjà sous la formed’une association loi 1901.

Les Mains bleuesde Larry Tremblay, mise en scène Sylvain CreuzevaultStudio-Théâtre d’Asnières (mai 2003)Théâtre des deux rives de Charenton (mai 2004, reprise)

Un homme qui dortde Georges Perec, mise en scène Damien MonginConservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (avril 2004)

Visage de feude Marius von Mayenburg, mise en scène Sylvain CreuzevaultThéâtre des deux rives de Charenton (avril 2005)

La Cordecréation de Damien MonginThéâtre des deux rives de Charenton (avril 2006)

Foetuscréation collective, mise en scène Sylvain Creuzevault et Damien MonginOdéon - Théâtre de l’Europe (Festival Berthier 06)

Baalde Bert Brecht, mise en scène Sylvain CreuzevaultOdéon-Théâtre de l’Europe, dans le cadre du Festival d’Automne à Paris (octobre 2006)Wiener Festwochen, Autriche (mai 2007)

Le Père Tralalèrecréation collective, mise en scène Sylvain CreuzevaultThéâtre - Studio d’Alfortville (création le 29 octobre 2007, reprise janvier 2008)Théâtre de Vanves, scène conventionnée pour la danse (octobre 2008)Équinoxe, scène nationale de Châteauroux (novembre 2008)Théâtre universitaire de Nantes (mars 2009)Nouveau Théâtre d’Angers, centre dramatique national des Pays de la Loire (avril 2009)Atelier du Rhin, théâtre de la Manufacture (mai 2009)Célestins - Théâtre de Lyon (juin 2009)

Jackson Pancréation de Lise MaussionAgitakt, Paris (décembre 2007)Théâtre de Vanves, scène conventionnée pour la danse (octobre 2008)

Waldcréation d’Antoine CegarraThéâtre de Vanves, scène conventionnée pour la danse (novembre 2008)

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Samuel Achache

Formation au Conservatoire du Ve arron-dissement avec Bruno Wacrenier etSolène Fiumani, et au ConservatoireNational Supérieur d’Art Dramatiquedans les classes d’Árpád Schilling,Philippe Adrien, Alain Françon et dansl’atelier masque de Mario Gonzales.

Au cours de sa formation, il joue dansles mises en scène de Jeanne Candel,Samuel Vittoz et Arthur Igual (LesFrères Karamazov de Fedor Dostoïevski),Raphaëlle Bouchard (Une visite inoppor-tune de Copi), Samuel Vittoz (Descouteaux dans les poules de DavidHarrower), Olivier Coulon-Jablonka(Calderon de Pier Paolo Pasolini), JeanneCandel (Icare, création de danse).

Au théâtre, il joue dans les mises enscène de Jacques Rebouillat (LesCourtes de Jean-Claude Grumberg),Sébastien Davis (Thyeste 1947 d’aprèsSénèque), Sylvain Creuzevault (Baal deBert Brecht, Le Père Tralalère, créationcollective d’ores et déjà), AntoineCegarra (Wald).

Il danse dans L’Imprudence, chorégraphied’Isabelle Catalan.

Au cinéma, il joue dans Ti amo (court-métrage de Franco Lolli) et Marcel(court-métrage de Jean Achache).

Benoit Carré

Formation à l’École du Studio d’Asnièresavec Jean-Louis Martin-Barbaz etEdmond Tamiz et au ConservatoireNational Supérieur d’Art Dramatiquedans les classes de Dominique Valadié,Daniel Mesguich et Muriel Mayette.

Au théâtre, il joue dans les mises enscène de Jacques Osinski (Richard II deShakespeare), Jean-Louis Martin-Barbaz(Le Songe d’une nuit d’été de

Shakespeare), Noël Casale (Antoine etCléopâtre de Shakespeare), SergeTranvouez (Gibiers du temps de Didier-Georges Gabilly), Claude Buchvald (UbuRoi d’Alfred Jarry), Lionel Gonzalez (LaMoscheta de Ruzzante et Sganarelle oule cocu imaginaire de Molière), Jean-Claude Penchenat (L’Endroit du coeur dePhilippe Meyer), Julie Deliquet(L’Homosexuel ou la difficulté de s’ex-primer de Copi), Antoine Caubet (LesFusils de la mère Carrar de Bert Brecht),Sylvain Creuzevault (Baal de Bert Brechtet Le Père Tralalère, création collectived'ores et déjà), Antoine Cegarra (Wald),Karine Tabet (Mort accidentelle d’unanarchiste de Dario Fo), Jordan Beswick(Inconcevable).

À la télévision il joue dans plusieurstéléfilms réalisés par Philippe Bérengerainsi que dans la série Le Bureau (réali-sation Nicolas & Bruno).

Antoine Cegarra

Formation à l’École du Théâtre nationalde Chaillot avec Jean-Claude Durand etPierre Vial, au Conservatoire d’Orléanset à l’Université Paris III (Maîtrised’Études théâtrales).

Au théâtre, il joue dans les mises enscène d’Olivier Py (Épître aux jeunesacteurs - Festival d’Edimbourg),Christophe Maltot (Trois nôs d’Irlandede W.B. Yeats, Le Sourire du Tigre deBenoit Guibert), Jérémie Fabre(Lorenzaccio de Musset, L’Autre mondede Cyrano de Bergerac), Mariana Lézin(Feydeau 3), Cécile Fraisse (À tous ceuxqui de Noëlle Renaude), Bénédicte Budan(Le Cid de Corneille), Sylvain Creuzevault(Le Père Tralalère, création collectived’ores et déjà).

Il est stagiaire à la mise en scèned’Olivier Py (Les Vainqueurs) et assistantde Thomas Matalou (Amour(e)s naufra-gées). Il écrit et met en scène Wald

Samuel Achache

Formation au Conservatoire du Ve arron-dissement avec Bruno Wacrenier etSolène Fiumani, et au ConservatoireNational Supérieur d’Art Dramatiquedans les classes d’Árpád Schilling,Philippe Adrien, Alain Françon et dansl’atelier masque de Mario Gonzales.

Au cours de sa formation, il joue dansles mises en scène de Jeanne Candel,Samuel Vittoz et Arthur Igual (LesFrères Karamazov de Fedor Dostoïevski),Raphaëlle Bouchard (Une visite inoppor-tune de Copi), Samuel Vittoz (Descouteaux dans les poules de DavidHarrower), Olivier Coulon-Jablonka(Calderon de Pier Paolo Pasolini), JeanneCandel (Icare, création de danse).

Au théâtre, il joue dans les mises enscène de Jacques Rebouillat (LesCourtes de Jean-Claude Grumberg),Sébastien Davis (Thyeste 1947 d’aprèsSénèque), Sylvain Creuzevault (Baal deBert Brecht, Le Père Tralalère, créationcollective d’ores et déjà), AntoineCegarra (Wald).

Il danse dans L’Imprudence, chorégraphied’Isabelle Catalan.

Au cinéma, il joue dans Ti amo (court-métrage de Franco Lolli) et Marcel(court-métrage de Jean Achache).

Benoit Carré

Formation à l’École du Studio d’Asnièresavec Jean-Louis Martin-Barbaz etEdmond Tamiz et au ConservatoireNational Supérieur d’Art Dramatiquedans les classes de Dominique Valadié,Daniel Mesguich et Muriel Mayette.

Au théâtre, il joue dans les mises enscène de Jacques Osinski (Richard II deShakespeare), Jean-Louis Martin-Barbaz(Le Songe d’une nuit d’été de

Shakespeare), Noël Casale (Antoine etCléopâtre de Shakespeare), SergeTranvouez (Gibiers du temps de Didier-Georges Gabilly), Claude Buchvald (UbuRoi d’Alfred Jarry), Lionel Gonzalez (LaMoscheta de Ruzzante et Sganarelle oule cocu imaginaire de Molière), Jean-Claude Penchenat (L’Endroit du coeur dePhilippe Meyer), Julie Deliquet(L’Homosexuel ou la difficulté de s’ex-primer de Copi), Antoine Caubet (LesFusils de la mère Carrar de Bert Brecht),Sylvain Creuzevault (Baal de Bert Brechtet Le Père Tralalère, création collec-tive d'ores et déjà), Antoine Cegarra(Wald), Karine Tabet (Mort accidentelled’un anarchiste de Dario Fo), JordanBeswick (Inconcevable).

À la télévision il joue dans plusieurstéléfilms réalisés par Philippe Bérengerainsi que dans la série Le Bureau (réali-sation Nicolas & Bruno).

Antoine Cegarra

Formation à l’École du Théâtre nationalde Chaillot avec Jean-Claude Durand etPierre Vial, au Conservatoire d’Orléanset à l’Université Paris III (Maîtrised’Études théâtrales).

Au théâtre, il joue dans les mises enscène d’Olivier Py (Épître aux jeunesacteurs - Festival d’Edimbourg),Christophe Maltot (Trois nôs d’Irlandede W.B. Yeats, Le Sourire du Tigre deBenoit Guibert), Jérémie Fabre(Lorenzaccio de Musset, L’Autre mondede Cyrano de Bergerac), Mariana Lézin(Feydeau 3), Cécile Fraisse (À tous ceuxqui de Noëlle Renaude), Bénédicte Budan(Le Cid de Corneille), Sylvain Creuzevault(Le Père Tralalère, création collectived’ores et déjà).

Il est stagiaire à la mise en scèned’Olivier Py (Les Vainqueurs) et assistantde Thomas Matalou (Amour(e)s naufra-gées). Il écrit et met en scène Wald

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(création d’ores et déjà).Il a créé le collectif Serres Chaudesavec lequel il met en scène Serreschaudes, d’après des poèmes de MauriceMaeterlinck et prépare pour 2010 lacréation de Léonce et Léna de GeorgBüchner.

Au cinéma, il joue dans La Dame blanche(court-métrage de Samuel Rodriguez-Mallet) et La Calvitude (court-métragede Julien Weill).

Éric Charon

Formation à l’École du Studio d’Asnièresavec Jean-Louis Martin-Barbaz, Hervévan der Meulen et Edmond Tamiz, et àl’École Internationale de ThéâtreJacques Lecoq.

Au théâtre, il joue dans les mises enscène de Sinan Bertrand et Maïa Sandoz(Territoire sans lumière d’Yves Nilly;Chants d’exils de Claude Prin), Hervé Vander Meulen (Le Conte d’hiver de WilliamShakespeare, L’Ingénu de Voltaire), IgorFutterer (La Cigogne n’a qu’une tête),Jean-Marc Hoolbecq (Un ciel de traîne),Jean-Louis Martin-Barbaz (Le Mariageforcé, L’Amour médecin de Molière, Oùest-il l’été d’après Boby Lapointe,Barouf à Chioggia de Carlo Goldoni),Judith Caen et Rachida Brakni (Visagesde Hubert Colas), Victor Costa Andrès(Noces de sang de Frederico GarciaLorca), Luis Jiménez (Dompteur d’ombresd’Itziar Pascual ; Ay Carmela! de JoséSanchis Sinisterra), Lionel Gonzalez (LaMoschetta de Ruzzante; Sganarelle ou lecocu imaginaire de Molière, Escurial deMichel de Ghelderode), SylvainCreuzevault (Visage de feu de Mariusvon Mayenburg, Foetus, création collec-tive d’ores et déjà, Baal de BertBrecht, Le Père Tralalère, création col-lective d’ores et déjà), Patrick Simon(Le Ventre des philosophes de MichelOnfray; Dissipation des brumes matinalesde Karine Serres, Françoise Pillet et

Dominique Paquet), Antoine Cegarra(Wald), Julie Deliquet (Derniers remordsavant l’oubli de Jean-Luc Lagarce)

Il met en scène Plume d’Henri Michauxavec le Théâtre de la Mousson.

Au cinéma, il joue dans Et si je parle(long-métrage de Sébastien Gabriel) etMes copains (court-métrage de LouisGarrel).

Sylvain Creuzevault

Formation au Conservatoire du Xe arron-dissement, à l’École du Studio d’Asnièreset à l’École Internationale de ThéâtreJacques Lecoq.

Il met en scène Les Mains bleues deLarry Tremblay, création d’ores et déjà(Théâtre des 2 Rives de Charenton-Le-Pont), Visage de feu de Marius vonMayenburg, création d’ores et déjà(Théâtre des 2 Rives), Foetus, créationcollective d’ores et déjà (FestivalBerthier 06, Odéon Théâtre de l’Europe),Baal de Bert Brecht (Odéon-Théâtre del’Europe et Wiener Festwochen,Autriche), Le Père Tralalère, créationcollective d’ores et déjà (création auThéâtre-studio d’Alfortville), Productde Mark Ravenhill (La Java), Der Auftrag(La Mission) d’Heiner Müller (DeutschesSchauspielhaus de Hamburg, Allemagne).

Il joue dans les mises en scène deDamien Mongin (La Corde, création d’oreset déjà), Nathalie Fillion (Alex Legrand),Patrick Simon (Au bout de la plage, lebanquet d’après Platon), Yveline Hamon(À la cour du lion d’après La Fontaine etSt Simon, La Cerisaie d’Anton Tchekhov),Lionel Gonzalez (Le Médecin malgré lui deMolière, Escurial de Michel deGhelderode, Sganarelle ou le cocu imagi-naire de Molière), Guillaume Lévêque (LeSoldat Tanaka de Georg Kaiser), Jean-Louis Martin-Barbaz (Le Songe d’une nuitd’été de William Shakespeare, Le Soulier

(création d’ores et déjà).Il a créé le collectif Serres Chaudesavec lequel il met en scène Serreschaudes, d’après des poèmes de MauriceMaeterlinck et prépare pour 2010 lacréation de Léonce et Léna de GeorgBüchner.

Au cinéma, il joue dans La Dame blanche(court-métrage de Samuel Rodriguez-Mallet) et La Calvitude (court-métragede Julien Weill).

Éric Charon

Formation à l’École du Studio d’Asnièresavec Jean-Louis Martin-Barbaz, Hervévan der Meulen et Edmond Tamiz, et àl’École Internationale de ThéâtreJacques Lecoq.

Au théâtre, il joue dans les mises enscène de Sinan Bertrand et Maïa Sandoz(Territoire sans lumière d’Yves Nilly;Chants d’exils de Claude Prin), Hervé Vander Meulen (Le Conte d’hiver de WilliamShakespeare, L’Ingénu de Voltaire), IgorFutterer (La Cigogne n’a qu’une tête),Jean-Marc Hoolbecq (Un ciel de traîne),Jean-Louis Martin-Barbaz (Le Mariageforcé, L’Amour médecin de Molière, Oùest-il l’été d’après Boby Lapointe,Barouf à Chioggia de Carlo Goldoni),Judith Caen et Rachida Brakni (Visagesde Hubert Colas), Victor Costa Andrès(Noces de sang de Frederico GarciaLorca), Luis Jiménez (Dompteur d’ombresd’Itziar Pascual ; Ay Carmela! de JoséSanchis Sinisterra), Lionel Gonzalez (LaMoschetta de Ruzzante; Sganarelle oule cocu imaginaire de Molière, Escurial deMichel de Ghelderode), SylvainCreuzevault (Visage de feu de Mariusvon Mayenburg, Foetus, création collec-tive d’ores et déjà, Baal de BertBrecht, Le Père Tralalère, création col-lective d’ores et déjà), Patrick Simon(Le Ventre des philosophes de MichelOnfray; Dissipation des brumes matinalesde Karine Serres, Françoise Pillet et

Dominique Paquet), Antoine Cegarra(Wald), Julie Deliquet (Derniers remordsavant l’oubli de Jean-Luc Lagarce)

Il met en scène Plume d’Henri Michauxavec le Théâtre de la Mousson.

Au cinéma, il joue dans Et si je parle(long-métrage de Sébastien Gabriel) etMes copains (court-métrage de LouisGarrel).

Sylvain Creuzevault

Formation au Conservatoire du Xe arron-dissement, à l’École du Studio d’Asnièreset à l’École Internationale de ThéâtreJacques Lecoq.

Il met en scène Les Mains bleues deLarry Tremblay, création d’ores et déjà(Théâtre des 2 Rives de Charenton-Le-Pont), Visage de feu de Marius vonMayenburg, création d’ores et déjà(Théâtre des 2 Rives), Foetus, créationcollective d’ores et déjà (FestivalBerthier 06, Odéon Théâtre de l’Europe),Baal de Bert Brecht (Odéon-Théâtre del’Europe et Wiener Festwochen,Autriche), Le Père Tralalère, créationcollective d’ores et déjà (création auThéâtre-studio d’Alfortville), Productde Mark Ravenhill (La Java), Der Auftrag(La Mission) d’Heiner Müller (DeutschesSchauspielhaus de Hamburg, Allemagne).

Il joue dans les mises en scène deDamien Mongin (La Corde, création d’oreset déjà), Nathalie Fillion (Alex Legrand),Patrick Simon (Au bout de la plage, lebanquet d’après Platon), Yveline Hamon(À la cour du lion d’après La Fontaine etSt Simon, La Cerisaie d’Anton Tchekhov),Lionel Gonzalez (Le Médecin malgré lui deMolière, Escurial de Michel deGhelderode, Sganarelle ou le cocu imagi-naire de Molière), Guillaume Lévêque (LeSoldat Tanaka de Georg Kaiser), Jean-Louis Martin-Barbaz (Le Songe d’une nuitd’été de William Shakespeare, Le Soulier

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de satin de Paul Claudel), Bernard Salva(Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand),Emmanuel Demarcy Mota (Marat-Sade dePeter Weiss).

Au cinéma, il joue dans La robe du soir(long-métrage de Myriam Aziza), L’instantidéal (court-métrage de Brigitte Sy),Mes copains (court-métrage de LouisGarrel), Les Bienheureux (court-métragede Damien Mongin), La Clef (long-métragede Guillaume Nicloux),Les Amants réguliers (long-métrage dePhilippe Garrel), Ligne 6 (court-métragede Grégoire Saint-Jorre), Le Bruit deseaux (court-métrage de Damien Mongin).

Caroline Darchen

Formation à l’École du Studio d’Asnièresavec Jean-Louis Martin-Barbaz et àl’École Internationale de ThéâtreJacques Lecoq.

Au théâtre, elle joue dans les mises enscène de Julie Deliquet (Amorphe),Sylvain Creuzevault (Le Père Tralalère,création collective d’ores et déjà),Karine Tabet (Auschwitz et après... uneconnaissance inutile de Charlotte Delbo,Mort accidentelle d’un anarchiste deDario Fo), Lionel Gonzalez (Le Médecinmalgré lui de Molière, Escurial de Michelde Ghelderode, Sganarelle ou le cocuimaginaire de Molière), Laurent Rogero(Héraklès, 12 travaux et Loki, trompeurdes Dieux, avec le groupe Anamorphose),Jean-Louis Martin-Barbaz (Chansons debêtes, cabaret, La Noce chez les petitsbourgeois et Le Cercle de craiecaucasien de Bertolt Brecht),Patrick Simon (L’Assemblée des femmesd’Aristophane), Hervé Van der Mulen(Les Chemins de fer d’Eugène Labiche,Les Mariés de la tour Eiffel de JeanCocteau), Gilbert Epron (La Nourrice duhibou), Serge Lipszyc (Le Songe d’unenuit d’été de Shakespeare), StéphaneDouret (Les Boulingrin), Edmond Tamiz(Mon fou est un autre, avec Lionel

Gonzalez), Judith Caen et Rachida Brakni(Visages d’Hubert Colas).

Pierre Devérines

Formation à l’École du Studio d’Asnièresavec Jean-Louis Martin-Barbaz, Hervévan der Meulen et Yvelyne Hamon.

Au théâtre, il joue dans les mises enscène de Sylvain Creuzevault (Baal deBert Brecht, Le Père Tralalère, créationcollective d’ores et déjà), Lise Maussion(Jackson Pan), Antoine Cegarra (Wald),Hélène François (Procès ivre deBernard-Marie Koltès), Christian Gonon(Euripide), Caroline Arrouas (Les 4 mortsde Marie de C. Frechette), Jean-LouisMartin-Barbaz (Dom Juan de Molière).

Vladislav Galard

Formation à l’École Supérieure d’ArtDramatique de la Ville de Paris et auConservatoire National Supérieur d’ArtDramatique dans les classes de JoëlJouanneau, Philippe Garrel, PhilippeAdrien, Daniel Mesguich et Éric Ruf.

Violoncelliste, il a obtenu le diplôme defin d’études du Conservatoire du VIe

arrondissement et a créé le Quintet deJazz NAIMA.

Au théâtre, il joue dans les mises enscène de Jean-Baptiste Sastre (Léonceet Léna de Georg Büchner, Le Chapeaude paille d’Italie d’Eugène Labiche),Michel Dydim (Poeub de Serge Valletti),Gilberte Tsaï (Villeggiatura de Jean-Christophe Bailly et Serge Valletti, Sur levif de Jean-Christophe Bailly), QuentinDefalt (Britannicus de Jean Racine).

Au cinéma, il joue dans La Frontière del’aube et Les Amants réguliers dePhilippe Garrel, Les Âmes grises d’YvesAngelo et De battre mon coeur s’estarrêté de Jacques Audiard.

de satin de Paul Claudel), Bernard Salva(Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand),Emmanuel Demarcy Mota (Marat-Sade dePeter Weiss).

Au cinéma, il joue dans La robe du soir(long-métrage de Myriam Aziza), L’instantidéal (court-métrage de Brigitte Sy),Mes copains (court-métrage de LouisGarrel), Les Bienheureux (court-métrage de Damien Mongin), La Clef(long-métrage de Guillaume Nicloux),Les Amants réguliers (long-métrage dePhilippe Garrel), Ligne 6 (court-métragede Grégoire Saint-Jorre), Le Bruit deseaux (court-métrage de Damien Mongin).

Caroline Darchen

Formation à l’École du Studio d’Asnièresavec Jean-Louis Martin-Barbaz et àl’École Internationale de ThéâtreJacques Lecoq.

Au théâtre, elle joue dans les mises enscène de Julie Deliquet (Amorphe),Sylvain Creuzevault (Le Père Tralalère,création collective d’ores et déjà),Karine Tabet (Auschwitz et après... uneconnaissance inutile de Charlotte Delbo,Mort accidentelle d’un anarchiste deDario Fo), Lionel Gonzalez (Le Médecinmalgré lui de Molière, Escurial de Michelde Ghelderode, Sganarelle ou le cocuimaginaire de Molière), Laurent Rogero(Héraklès, 12 travaux et Loki, trompeurdes Dieux, avec le groupe Anamorphose),Jean-Louis Martin-Barbaz (Chansons debêtes, cabaret, La Noce chez les petitsbourgeois et Le Cercle de craiecaucasien de Bertolt Brecht),Patrick Simon (L’Assemblée des femmesd’Aristophane), Hervé Van der Mulen(Les Chemins de fer d’Eugène Labiche,Les Mariés de la tour Eiffel de JeanCocteau), Gilbert Epron (La Nourrice duhibou), Serge Lipszyc (Le Songe d’unenuit d’été de Shakespeare), StéphaneDouret (Les Boulingrin), Edmond Tamiz(Mon fou est un autre, avec Lionel

Gonzalez), Judith Caen et Rachida Brakni(Visages d’Hubert Colas).

Pierre Devérines

Formation à l’École du Studio d’Asnièresavec Jean-Louis Martin-Barbaz, Hervévan der Meulen et Yvelyne Hamon.

Au théâtre, il joue dans les mises enscène de Sylvain Creuzevault (Baal deBert Brecht, Le Père Tralalère, créationcollective d’ores et déjà), Lise Maussion(Jackson Pan), Antoine Cegarra (Wald),Hélène François (Procès ivre deBernard-Marie Koltès), Christian Gonon(Euripide), Caroline Arrouas (Les 4 mortsde Marie de C. Frechette), Jean-LouisMartin-Barbaz (Dom Juan de Molière).

Vladislav Galard

Formation à l’École Supérieure d’ArtDramatique de la Ville de Paris et auConservatoire National Supérieur d’ArtDramatique dans les classes de JoëlJouanneau, Philippe Garrel, PhilippeAdrien, Daniel Mesguich et Éric Ruf.

Violoncelliste, il a obtenu le diplôme defin d’études du Conservatoire du VIe

arrondissement et a créé le Quintet deJazz NAIMA.

Au théâtre, il joue dans les mises enscène de Jean-Baptiste Sastre (Léonceet Léna de Georg Büchner, Le Chapeaude paille d’Italie d’Eugène Labiche),Michel Dydim (Poeub de Serge Valletti),Gilberte Tsaï (Villeggiatura de Jean-Christophe Bailly et Serge Valletti, Sur levif de Jean-Christophe Bailly), QuentinDefalt (Britannicus de Jean Racine).

Au cinéma, il joue dans La Frontière del’aube et Les Amants réguliers dePhilippe Garrel, Les Âmes grises d’YvesAngelo et De battre mon coeur s’estarrêté de Jacques Audiard.

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15 15

Il travaille pour la télévision (Sur le filde Frédéric Berthe et Bruno Garcia, LesAmants du Flore d’Ilan Duran Cohen, LeGrand Charles de Bernard Stora) et pourla radio (Cet enfant et Mon ami de JoëlPommerat et Les milles et une nuits deClaude Guerre).

David Georgelin

Formation à l’École Nationale SupérieureLouis Lumière, section son. Il réaliseplusieurs fictions sonores et devientingénieur du son dans un studio musiqueauprès du contrebassiste RenaudGarcia-Fons et du pianiste GiovanniMirabassi.

Depuis 2002, il a composé des musiqueset des bandes sonores pour des spec-tacles de théâtre:Der Auftrag (La Mission) d’Heiner Müller,mise en scène Sylvain CreuzevaultJackson Pan, écrit et mis en scène parLise MaussionLe Père Tralalère, création collectived’ores et déjà, mise en scène SylvainCreuzevaultBrocéliande mise en scène Yveline HamonBaal de Bert Brecht, mise en scèneSylvain CreuzevaultLe Rire du Roi, d’Achille GrimaudSainte Jeanne des Abattoirs de BertoltBrecht, mise en scène Nathalie GuillemarFoetus, création collective d’ores etdéjà, mise en scène Sylvain CreuzevaultPling, spectacle jeune public de NathalieFillion, mise en scène Valérie Castel-JordyOleanna de David Mamet, mise en scènePatrick RoldezLe Médecin malgré lui de Molière, mise enscène Lionel GonzalezVisage de Feu de Marius von Mayenburg,mise en scène Sylvain CreuzevaultTransatlantic Affair lecture par Marie-France Pisier, mise en scène SandrineDumasEscurial de Michel de Ghelderode, mise enscène Lionel GonzalezExit, spectacle de conte d’Achille Grimaud

Le Songe d’une nuit d’été deShakespeare, mise en scène SophieLorotteL’Histoire vraie de Balthazar Brémont,spectacle de Vincent PensuetL’Augmentation de Georges Perrec, miseen scène Julien FederChacun son dû (Jedem das seine) écritet mis en scène par Catherine VerlaguetAndoni Celaya écrit et mis en scène parPatrick RoldezFaut pas payer de Dario Fo, mise enscène Patrick RoldezLes Mains bleues de Larry Tremblay, miseen scène Sylvain CreuzevaultDerrière le préau, spectacle de conted’Achille GrimaudDom Juan de Molière, mise en scènePatrick Roldez

et pour des courts-métrages:La Combinaison, réalisation Serge AdamLa Chute, réalisation Olivier DoriganLe Secret, réalisation Sébastien FabiouxFigure-toi…, réalisation Juliette CoulonLiquide, réalisation Pierre Van MælMonsieur et Madame, film d’animation deUyen Le Minh

Lionel Gonzalez

Formation à l’École du Studio d’Asnièresavec Edmond Tamiz et Jean-Louis Martin-Barbaz et à l’École Internationale deThéâtre Jacques Lecoq.Il a reçu une formation de marionnet-tiste au Théâtre aux Mains nues avecAlain Recoing.Il joue dans les mises en scène de RobinRenucci (L’École des femmes de Molière),Pierre Vial (Le campielo de CarloGoldoni), Hervé Van der Meulen (LesChemins de fer de Labiche), Jean-LouisMartin-Barbaz (Le Cercle de craie cau-casien et La Noce chez les petits bour-geois de Bertolt Brecht), Patrick Simon(L’Assemblée des femmes d’Aristophane),Serge Lipsczyc (Macbeth deShakespeare), Sylvain Creuzevault(Visage de feu de Marius von Mayenburg,

Il travaille pour la télévision (Sur le filde Frédéric Berthe et Bruno Garcia, LesAmants du Flore d’Ilan Duran Cohen, LeGrand Charles de Bernard Stora) etpour la radio (Cet enfant et Mon ami deJoël Pommerat et Les milles et une nuitsde Claude Guerre).

David Georgelin

Formation à l’École Nationale SupérieureLouis Lumière, section son. Il réaliseplusieurs fictions sonores et devientingénieur du son dans un studio musiqueauprès du contrebassiste RenaudGarcia-Fons et du pianiste GiovanniMirabassi.

Depuis 2002, il a composé des musiqueset des bandes sonores pour des spec-tacles de théâtre:Der Auftrag (La Mission) d’Heiner Müller,mise en scène Sylvain CreuzevaultJackson Pan, écrit et mis en scène parLise MaussionLe Père Tralalère, création collectived’ores et déjà, mise en scène SylvainCreuzevaultBrocéliande mise en scène Yveline HamonBaal de Bert Brecht, mise en scèneSylvain CreuzevaultLe Rire du Roi, d’Achille GrimaudSainte Jeanne des Abattoirs de BertoltBrecht, mise en scène Nathalie GuillemarFoetus, création collective d’ores etdéjà, mise en scène Sylvain CreuzevaultPling, spectacle jeune public de NathalieFillion, mise en scène Valérie Castel-JordyOleanna de David Mamet, mise en scènePatrick RoldezLe Médecin malgré lui de Molière, mise enscène Lionel GonzalezVisage de Feu de Marius von Mayenburg,mise en scène Sylvain CreuzevaultTransatlantic Affair lecture par Marie-France Pisier, mise en scène SandrineDumasEscurial de Michel de Ghelderode, miseen scène Lionel GonzalezExit, spectacle de conte d’Achille Grimaud

Le Songe d’une nuit d’été deShakespeare, mise en scène SophieLorotteL’Histoire vraie de Balthazar Brémont,spectacle de Vincent PensuetL’Augmentation de Georges Perrec, miseen scène Julien FederChacun son dû (Jedem das seine) écritet mis en scène par Catherine VerlaguetAndoni Celaya écrit et mis en scène parPatrick RoldezFaut pas payer de Dario Fo, mise enscène Patrick RoldezLes Mains bleues de Larry Tremblay, miseen scène Sylvain CreuzevaultDerrière le préau, spectacle de conted’Achille GrimaudDom Juan de Molière, mise en scènePatrick Roldez

et pour des courts-métrages:La Combinaison, réalisation Serge AdamLa Chute, réalisation Olivier DoriganLe Secret, réalisation Sébastien FabiouxFigure-toi…, réalisation Juliette CoulonLiquide, réalisation Pierre Van MælMonsieur et Madame, film d’animation deUyen Le Minh

Lionel Gonzalez

Formation à l’École du Studio d’Asnièresavec Edmond Tamiz et Jean-Louis Martin-Barbaz et à l’École Internationale deThéâtre Jacques Lecoq.Il a reçu une formation de marionnet-tiste au Théâtre aux Mains nues avecAlain Recoing.Il joue dans les mises en scène de RobinRenucci (L’École des femmes de Molière),Pierre Vial (Le campielo de CarloGoldoni), Hervé Van der Meulen (LesChemins de fer de Labiche), Jean-LouisMartin-Barbaz (Le Cercle de craie cau-casien et La Noce chez les petits bour-geois de Bertolt Brecht), Patrick Simon(L’Assemblée des femmes d’Aristophane),Serge Lipsczyc (Macbeth deShakespeare), Sylvain Creuzevault(Visage de feu de Marius von Mayenburg,

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16 16

Foetus, création collective d’ores etdéjà, Baal de Bert Brecht et Le PèreTralalère, création collective d’ores etdéjà), Antoine Cegarra (Wald).

Après avoir été l’assistant de Jean-LouisMartin-Barbaz, il collabore avec lui à lamise en scène de La Cuisine d’ArnoldWesker et Le Songe d’une nuit d’été deWilliam Shakespeare. Il met en scèneProduct de Mark Ravenhill avec SylvainCreuzevault.

En 2002, il crée la compagnie du Balagan’avec laquelle il entreprend une longuerecherche sur le jeu masqué à traversLa Moscheta de Ruzzante (2002),Sganarelle ou le Cocu imaginaire deMolière (2003), Escurial de Michel deGhelderode et Le Médecin malgré lui deMolière (2005).

Il enseigne à L’École du Studio d’Asnièresdepuis 2002.

Arthur Igual

Formation au Conservatoire NationalSupérieur d’Art Dramatique dans lesclasses d’Andrzej Seweryn, DominiqueValadié, Daniel Mesguich, Michel Fau,Muriel Mayette, Philippe Adrien et ÁrpádSchilling, et dans les ateliers cinéma dePhilippe Garrel et Cédric Klapisch.

Au théâtre, il joue dans les mises enscène de Muriel Mayette, (Les Cancansde Goldoni), Philippe Adrien (Jeu de mas-sacre d’Eugène Ionesco), Arpád Schilling(Mission impossible, atelier Hamlet),Sylvain Creuzevault (Baal de BertBrecht), Denis Podalydès et FrédéricBélier-Garcia, (Le Mental de l’équiped’Emmanuel Bourdieu et Frédéric Bélier-Garcia), David Gery (L’Orestie d’Eschyle),Jean-Paul Scarpitta (La Flûte enchantéede Mozart), Olivier Py (stage autour deL’Orestie d’Eschyle), Jean-Paul Wenzel(Portées d’Arlette Namiand), FrédéricBélier-Garcia (Le Garçon girafe de

Christophe Pellet), Jean-Paul Scarpitta(Les Cahiers de Vaslaw Ninjinsky),Laurent Laffargue (La Grande Magied’Eduardo de Filippo).

Au cinéma, il joue dans Mes copains(court-métrage de Louis Garrel),Actrices de Valeria Bruni Tedeschi etL’Étoile de mer de Caroline DeruasGarrel.

Pauline Kieffer

Formation à École Supérieure des ArtsDécoratifs de Strasbourg, optionsObjet et Scénographie. Titulaire d’undiplôme des Métiers d’Art “Costumier-réalisateur” et d’un brevet de techni-cien “Vêtement Création Mesure”.

Pour le théâtre, elle créé les costumesdes spectacles:Les deux nobles cousins de WilliamShakespeare, mise en scène Sara LlorcaPetites pauses poétiques de SylvainLevey, mise en scène CatherineJovaloyèsDer Auftrag (La Mission) de Heiner Müller,mise en scène Sylvain CreuzevaultJackson Pan, mise en scène Lise MaussionRéception de Serge Valetti, mise enscène Samuel VittozLe Père Tralalère, création collectived’ores et déjà, mise en scène SylvainCreuzevaultIntendance de Rémi de Vos, mise enscène Christophe RauckCendrillon de Robert Walser, mise enscène Béatrice HouplinLes Choréphores de Sophocle, mise enscène Andrzej SewerinJeux de massacres d’Eugène Ionesco,mise en scène Philippe AdrienL’Éveil du Printemps de Frank Wedekind,mise en scène Max PacaudHamlet de William Shakespeare, mise enscène Árpád SchillingCar ceci est mon vin, mise en scèneJulien GuyomardBaal de Bert Brecht, mise en scène

Foetus, création collective d’ores etdéjà, Baal de Bert Brecht et Le PèreTralalère, création collective d’ores etdéjà), Antoine Cegarra (Wald).

Après avoir été l’assistant de Jean-LouisMartin-Barbaz, il collabore avec lui à lamise en scène de La Cuisine d’ArnoldWesker et Le Songe d’une nuit d’été deWilliam Shakespeare. Il met en scèneProduct de Mark Ravenhill avec SylvainCreuzevault.

En 2002, il crée la compagnie du Balagan’avec laquelle il entreprend une longuerecherche sur le jeu masqué à traversLa Moscheta de Ruzzante (2002),Sganarelle ou le Cocu imaginaire deMolière (2003), Escurial de Michel deGhelderode et Le Médecin malgré lui deMolière (2005).

Il enseigne à L’École du Studio d’Asnièresdepuis 2002.

Arthur Igual

Formation au Conservatoire NationalSupérieur d’Art Dramatique dans lesclasses d’Andrzej Seweryn, DominiqueValadié, Daniel Mesguich, Michel Fau,Muriel Mayette, Philippe Adrien et ÁrpádSchilling, et dans les ateliers cinéma dePhilippe Garrel et Cédric Klapisch.

Au théâtre, il joue dans les mises enscène de Muriel Mayette, (Les Cancansde Goldoni), Philippe Adrien (Jeu de mas-sacre d’Eugène Ionesco), Arpád Schilling(Mission impossible, atelier Hamlet),Sylvain Creuzevault (Baal de BertBrecht), Denis Podalydès et FrédéricBélier-Garcia, (Le Mental de l’équiped’Emmanuel Bourdieu et Frédéric Bélier-Garcia), David Gery (L’Orestie d’Eschyle),Jean-Paul Scarpitta (La Flûte enchantéede Mozart), Olivier Py (stage autour deL’Orestie d’Eschyle), Jean-Paul Wenzel(Portées d’Arlette Namiand), FrédéricBélier-Garcia (Le Garçon girafe de

Christophe Pellet), Jean-Paul Scarpitta(Les Cahiers de Vaslaw Ninjinsky),Laurent Laffargue (La Grande Magied’Eduardo de Filippo).

Au cinéma, il joue dans Mes copains(court-métrage de Louis Garrel),Actrices de Valeria Bruni Tedeschi etL’Étoile de mer de Caroline DeruasGarrel.

Pauline Kieffer

Formation à École Supérieure des ArtsDécoratifs de Strasbourg, optionsObjet et Scénographie. Titulaire d’undiplôme des Métiers d’Art “Costumier-réalisateur” et d’un brevet de techni-cien “Vêtement Création Mesure”.

Pour le théâtre, elle créé les costumesdes spectacles:Les deux nobles cousins de WilliamShakespeare, mise en scène Sara LlorcaPetites pauses poétiques de SylvainLevey, mise en scène CatherineJovaloyèsDer Auftrag (La Mission) de Heiner Müller,mise en scène Sylvain CreuzevaultJackson Pan, mise en scène Lise MaussionRéception de Serge Valetti, mise enscène Samuel VittozLe Père Tralalère, création collectived’ores et déjà, mise en scène SylvainCreuzevaultIntendance de Rémi de Vos, mise enscène Christophe RauckCendrillon de Robert Walser, mise enscène Béatrice HouplinLes Choréphores de Sophocle, mise enscène Andrzej SewerinJeux de massacres d’Eugène Ionesco,mise en scène Philippe AdrienL’Éveil du Printemps de Frank Wedekind,mise en scène Max PacaudHamlet de William Shakespeare, mise enscène Árpád SchillingCar ceci est mon vin, mise en scèneJulien GuyomardBaal de Bert Brecht, mise en scène

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17 17

Sylvain CreuzevaultLa Mouette d’Anton Tchekhov, mise enscène Philippe AdrienBeckett, création masquée, mise enscène Mario GonzalèsL’Orestie d’Eschyle, mise en scèneAnne-Lise HeimburgerDes couteaux dans les poules de DavidHarrower, mise en scène Samuel VittozSed Lex, mise en scène Pierre-EtienneVilbertLa Vie de Galilée de Bertolt Brecht, miseen scène Christophe RauckLe Dernier Caravansérail, mise en scèneAriane MnouchkineLa Main dans la culotte, créationcollective / cabaret

Elle travaille également pour l’opéra(Benvenuto Cellini de Berlioz, mise enscène Renaud Doucet, Opéra du Rhin), aucinéma (Cendres de Paul Costes) et à latélévision (Pas de secret entre nous,série M6).

Julia Kravtsova

Formation en architecture intérieure àl’École Boulle et en scénographie àl’École Nationale Supérieure des ArtDécoratifs de Paris (ENSAD).

Au théâtre, elle est scénographe desspectacles:Der Auftrag (La Mission), Heiner Müller,mise en scène Sylvain Creuzevault,Deutsches Schauspielhaus (Hamburg,Allemagne)Selfservice, écrit et mis en scène parAnne-Cécile Vandalem, création DasFraulein, Théâtre Vidy-LausanneLe Père Tralalère, mise en scène SylvainCreuzevault, création collective d’oreset déjàBaal, Bert Brecht, mise en scène SylvainCreuzevaultLe dit de l’impétrance, Enzo Cormann,mise en scène Compagnie De(s)amorce(s)La Corde, écrit et mis en scène parDamien Mongin, création d’ores et déjà

Elle est scénographe des expositions:“Paris, Berlin Hollywood - Photographede Plateau - 1910 à 1939” à laCinémathèque Française“Santé, quelle espérance de vie?” à laCité des Sciences de Moscou“Julio Gonzalez” au Centre GeorgesPompidou à Paris

Elle crée également la lumière desexpositions:“Gustave Eiffel, le magicien du fer”à l’Hôtel de Ville de Paris“Jacques Prévert, Paris la Belle”à l’Hôtel de Ville de Paris“Paris en Couleurs” à l’Hôtel de Ville deParis“Serge Gainsbourg 2008” à la Cité de laMusique“Richard Wagner, visions d’artistes”à la Cité de la Musique

Elle est chef déco du film Jérôme(court-métrage de Philippe Deschamps)et assistante déco pour le clipd’Arianne Moffat Je veux tout (réalisa-tion Alexandre Saltiel).

Léo-Antonin Lutinier

Formation au Conservatoire du Ve arron-dissement avec Bruno Wacrenier etSolène Fiumani, et à l’École du ThéâtreNational de Strasbourg avec AlainFrançon (Les Enfants du soleil de MaximeGorki), Yann-Joël Collin et Éric Louis(TDM3 Théâtre du mépris 3 de Didier-Georges Gabily), Christophe Rauck(Innocence de Dea Loher), Jean-Christophe Saïs (Roberto Zucco deBernard-Marie Koltès).

Il s’initie au chant lyrique auConservatoire d’Aubervilliers, pratiquele piano et le saxophone ténor. Il seforme également à l’acrobatie à l’occa-sion de plusieurs stages.

Au théâtre, il joue dans les mises en

Sylvain CreuzevaultLa Mouette d’Anton Tchekhov, mise enscène Philippe AdrienBeckett, création masquée, mise enscène Mario GonzalèsL’Orestie d’Eschyle, mise en scèneAnne-Lise HeimburgerDes couteaux dans les poules de DavidHarrower, mise en scène Samuel VittozSed Lex, mise en scène Pierre-EtienneVilbertLa Vie de Galilée de Bertolt Brecht,mise en scène Christophe RauckLe Dernier Caravansérail, mise en scèneAriane MnouchkineLa Main dans la culotte, créationcollective / cabaret

Elle travaille également pour l’opéra(Benvenuto Cellini de Berlioz, mise enscène Renaud Doucet, Opéra du Rhin), aucinéma (Cendres de Paul Costes) et à latélévision (Pas de secret entre nous,série M6).

Julia Kravtsova

Formation en architecture intérieure àl’École Boulle et en scénographie àl’École Nationale Supérieure des ArtDécoratifs de Paris (ENSAD).

Au théâtre, elle est scénographe desspectacles:Der Auftrag (La Mission), Heiner Müller,mise en scène Sylvain Creuzevault,Deutsches Schauspielhaus (Hamburg,Allemagne)Selfservice, écrit et mis en scène parAnne-Cécile Vandalem, création DasFraulein, Théâtre Vidy-LausanneLe Père Tralalère, mise en scène SylvainCreuzevault, création collective d’oreset déjàBaal, Bert Brecht, mise en scène SylvainCreuzevaultLe dit de l’impétrance, Enzo Cormann,mise en scène Compagnie De(s)amorce(s)La Corde, écrit et mis en scène parDamien Mongin, création d’ores et déjà

Elle est scénographe des expositions:“Paris, Berlin Hollywood - Photographede Plateau - 1910 à 1939” à laCinémathèque Française“Santé, quelle espérance de vie?” à laCité des Sciences de Moscou“Julio Gonzalez” au Centre GeorgesPompidou à Paris

Elle crée également la lumière desexpositions:“Gustave Eiffel, le magicien du fer”à l’Hôtel de Ville de Paris“Jacques Prévert, Paris la Belle”à l’Hôtel de Ville de Paris“Paris en Couleurs” à l’Hôtel de Ville deParis“Serge Gainsbourg 2008” à la Cité de laMusique“Richard Wagner, visions d’artistes”à la Cité de la Musique

Elle est chef déco du film Jérôme(court-métrage de Philippe Deschamps)et assistante déco pour le clipd’Arianne Moffat Je veux tout (réalisa-tion Alexandre Saltiel).

Léo-Antonin Lutinier

Formation au Conservatoire du Ve arron-dissement avec Bruno Wacrenier etSolène Fiumani, et à l’École du ThéâtreNational de Strasbourg avec AlainFrançon (Les Enfants du soleil de MaximeGorki), Yann-Joël Collin et Éric Louis(TDM3 Théâtre du mépris 3 de Didier-Georges Gabily), Christophe Rauck(Innocence de Dea Loher), Jean-Christophe Saïs (Roberto Zucco deBernard-Marie Koltès).

Il s’initie au chant lyrique auConservatoire d’Aubervilliers, pratiquele piano et le saxophone ténor. Il seforme également à l’acrobatie à l’occa-sion de plusieurs stages.

Au théâtre, il joue dans les mises en

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scène d’Alain Germain (Le Maladeimaginaire de Molière), Emmanuel DemarcyMota (Marat Sade de Peter Weiss),Sylvain Creuzevault (Le Père Tralalère,création collective d’ores et déjà),Karelle Prugnaud (La Nuit des feuxd’Eugène Durif).

Il joue dans le choeur de l’opéra DonGiovanni de Mozart sous la direction deDavid Stern, dans la mise en scène deYochi Oïda.

Il joue dans le court-métrage L’oeil deSimon de Jérémie Pouilloux.

Lise Maussion

Formation au Conservatoire National deRégion de Montpellier et au ConservatoireNational Supérieur d’Art Dramatiquedans les classes de Dominique Valadié,Andrzej Seweryn, Muriel Mayette,Grégoire Oestermann.

Au cours de sa formation, elle joue dansles mises en scène de Mathias Langhoff(The Silver Tassie de Sean O’Casey),Caroline Marcadé (Un bal blanc nacré),Lukas Hemleb (Le Songe d’AugustStrindberg et Après la répétitiond’Ingmar Bergman), Alain Françon (Tailleurpour dame de Georges Feydeau), Anne-Lise Heimburger (L’Orestie d’Eschyle),Jonathan Cohen (La Collection de HaroldPinter), Juliette Navis-Bardin (Marchezsur mes rêves), Marion Lécrivain (Parolesmortes de Daniel Lemahieu), Yves Ferry(Roberto Zucco de Bernard-MarieKoltès), Cécile Garcia-Fogel (Des couteauxdans les poules de David Harrower),Marcial di Fonzo Bo (Prométhée deRodrigo Garcia), Dag Janneret (Liliom deFerenc Molnar), Christophe Rauck (Peinesd’amour perdues de William Shakespeare),Laurence Roy (Les Troyennes deSénèque).

Au théâtre, elle joue dans les mises enscène de Sylvain Creuzevault (Le Père

Tralalère, création collective d’ores etdéjà, Baal de Bert Brecht), AntoineCegarra (Wald), Urszula Mikos (Antigone àNew-York de Janusz Glowacki), VéroniqueWidock (Barbe Bleue, espoir des femmesde Dea Loher)Elle écrit et met en scène Jackson Pan(création d’ores et déjà).En 2009, elle créé Saga Sandrine avecDamien Mongin (Pôle Nord).

Loïc Nébréda

Formation à l’École Internationale deThéâtre Jacques Lecoq.

Il crée les masques pour:la Compagnie Balagan’ : La Moschetta,Sganarelle ou le cocu imaginaire,Escurial,Le Médecin malgré luile Nan Co Théâtre: La Mort marraine,L’Entonnoirle Collectif des Mondes Contraires -Genève: Roméo et Juliette au Village, LeCercle de craie caucasienle Groupe Anamorphose: Dom Juan,L’Enfant sur la montagnela Fabrique des Arts d’à Côté: Le Baldes rosesla compagnie d’ores et déjà: Baal deBert Brecht (mise en scène SylvainCreuzevault)Der Auftrag (La Mission) d’Heiner Müller(mise en scène Sylvain Creuzevault)

Vyara Stefanova

Formation à l’École Nationale de Cinémaet Théâtre NATFA, option Image à Sofia(Bulgarie) et à l’Université Paris ISorbonne Nouvelle, en Arts du Spectacle.

Elle crée les lumières pour des exposi-tions: “L’eau - une responsabilitépartagée?”, une exposition scientifique,poétique et spectaculaire du VVC àMoscou, “La Folie Information” Parc de laVillette, “TARA au coeur de Paris”, Quai

scène d’Alain Germain (Le Maladeimaginaire de Molière), Emmanuel DemarcyMota (Marat Sade de Peter Weiss),Sylvain Creuzevault (Le Père Tralalère,création collective d’ores et déjà),Karelle Prugnaud (La Nuit des feuxd’Eugène Durif).

Il joue dans le choeur de l’opéra DonGiovanni de Mozart sous la direction deDavid Stern, dans la mise en scène deYochi Oïda.

Il joue dans le court-métrage L’oeil deSimon de Jérémie Pouilloux.

Lise Maussion

Formation au Conservatoire National deRégion de Montpellier et au ConservatoireNational Supérieur d’Art Dramatiquedans les classes de Dominique Valadié,Andrzej Seweryn, Muriel Mayette,Grégoire Oestermann.

Au cours de sa formation, elle joue dansles mises en scène de Mathias Langhoff(The Silver Tassie de Sean O’Casey),Caroline Marcadé (Un bal blanc nacré),Lukas Hemleb (Le Songe d’AugustStrindberg et Après la répétitiond’Ingmar Bergman), Alain Françon (Tailleurpour dame de Georges Feydeau), Anne-Lise Heimburger (L’Orestie d’Eschyle),Jonathan Cohen (La Collection de HaroldPinter), Juliette Navis-Bardin (Marchezsur mes rêves), Marion Lécrivain (Parolesmortes de Daniel Lemahieu), Yves Ferry(Roberto Zucco de Bernard-MarieKoltès), Cécile Garcia-Fogel (Des couteauxdans les poules de David Harrower),Marcial di Fonzo Bo (Prométhée deRodrigo Garcia), Dag Janneret (Liliom deFerenc Molnar), Christophe Rauck (Peinesd’amour perdues de William Shakespeare),Laurence Roy (Les Troyennes deSénèque).

Au théâtre, elle joue dans les mises enscène de Sylvain Creuzevault (Le Père

Tralalère, création collective d’ores etdéjà, Baal de Bert Brecht), AntoineCegarra (Wald), Urszula Mikos (Antigone àNew-York de Janusz Glowacki), VéroniqueWidock (Barbe Bleue, espoir des femmesde Dea Loher)Elle écrit et met en scène Jackson Pan(création d’ores et déjà).En 2009, elle créé Saga Sandrine avecDamien Mongin (Pôle Nord).

Loïc Nébréda

Formation à l’École Internationale deThéâtre Jacques Lecoq.

Il crée les masques pour:la Compagnie Balagan’ : La Moschetta,Sganarelle ou le cocu imaginaire,Escurial,Le Médecin malgré luile Nan Co Théâtre: La Mort marraine,L’Entonnoirle Collectif des Mondes Contraires -Genève: Roméo et Juliette au Village, LeCercle de craie caucasienle Groupe Anamorphose: Dom Juan,L’Enfant sur la montagnela Fabrique des Arts d’à Côté: Le Baldes rosesla compagnie d’ores et déjà: Baal deBert Brecht (mise en scène SylvainCreuzevault)Der Auftrag (La Mission) d’Heiner Müller(mise en scène Sylvain Creuzevault)

Vyara Stefanova

Formation à l’École Nationale de Cinémaet Théâtre NATFA, option Image à Sofia(Bulgarie) et à l’Université Paris ISorbonne Nouvelle, en Arts du Spectacle.

Elle crée les lumières pour des exposi-tions: “L’eau - une responsabilitépartagée?”, une exposition scientifique,poétique et spectaculaire du VVC àMoscou, “La Folie Information” Parc de laVillette, “TARA au coeur de Paris”, Quai

Page 21: création collective d’oresetdéjà création collective d ... · moinsde30ansetdemandeursd'emploi1 3€ lemardi1 9€ LaColline-théâtrenational 15rueMalte-BrunParis20 e presse

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Alexandre III, “Les Années Grace Kelly,princesse de Monaco”, Hôtel de Ville deParis; pour des spectacles: Boriana deYordan Yovkov, mise en scène DesislavaBoeva (Théâtre National, Varna,Bulgarie), L’appartement de Zoika deMikhaïl Boulgakov, mise en scène DesislavaBoeva (Théâtre National, Varna,Bulgarie), Le Père Tralalère, créationcollective d’ores et déjà, mise en scèneSylvain Creuzevault, La Brasserie del’univers de Jean-Michel Ribes et RollandDubillard, mise en scène Gilles Guillot,Wald mise en scène Antoine Cegarra.

Elle est l’assistante de Roberto Venturipour la création lumière de nombreuxspectacles, parmi lesquels Les pasperdus de Denise Bonal, mise en scèneGilles Guillot, En allant à Saint Ives deLee Blessing, mise en scène BéatriceAgenin, Le Jardin de Brigitte Buc, miseen scène Jean Bouchaud, Un Monde Foude Becky Mode, mise en scène StephanMeldegg.Elle est chef opérateur pour:The wind that blows, clip musical, PiersFacciniMusic Hole, Camille, Zénith de ParisLenny Kravitz chante pour Peace one dayParis de loin et Les petits matins, clipsmusicaux, Poney ExpressÂme Armée, Ina-Ich, clip musicalEndlich Nichtschwimmer, DendemannHable con Cuba, documentaire de DianaIvanovaAttention contrôle, documentaire deViktoria Marinov

Elle est également caméraman pour lasession acoustique de Lenny Kravitz,Paris 2008 et pour le DVD de la tournée2008 de MIKA.

Alexandre III, “Les Années Grace Kelly,princesse de Monaco”, Hôtel de Ville deParis; pour des spectacles: Boriana deYordan Yovkov, mise en scène DesislavaBoeva (Théâtre National, Varna,Bulgarie), L’appartement de Zoika deMikhaïl Boulgakov, mise en scène DesislavaBoeva (Théâtre National, Varna,Bulgarie), Le Père Tralalère, créationcollective d’ores et déjà, mise en scèneSylvain Creuzevault, La Brasserie del’univers de Jean-Michel Ribes et RollandDubillard, mise en scène Gilles Guillot,Wald mise en scène Antoine Cegarra.

Elle est l’assistante de Roberto Venturipour la création lumière de nombreuxspectacles, parmi lesquels Les pasperdus de Denise Bonal, mise en scèneGilles Guillot, En allant à Saint Ives deLee Blessing, mise en scène BéatriceAgenin, Le Jardin de Brigitte Buc, miseen scène Jean Bouchaud, Un Monde Foude Becky Mode, mise en scène StephanMeldegg.Elle est chef opérateur pour:The wind that blows, clip musical, PiersFacciniMusic Hole, Camille, Zénith de ParisLenny Kravitz chante pour Peace one dayParis de loin et Les petits matins, clipsmusicaux, Poney ExpressÂme Armée, Ina-Ich, clip musicalEndlich Nichtschwimmer, DendemannHable con Cuba, documentaire de DianaIvanovaAttention contrôle, documentaire deViktoria Marinov

Elle est également caméraman pour lasession acoustique de Lenny Kravitz,Paris 2008 et pour le DVD de la tournée2008 de MIKA.