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BORDERIE Louis Jacques
Le Clos-Saint-Louis Le 19 novembre 2013
2123 Route de Super-Garavan
06500 Menton
Recommandée avec A.R. Maître Christine DIOP
Ancien Conseil Juridique
3 Rue Jean BONO
06320 CAP D’AIL
Bonjour très chère Christine,
Je vous reconfirme par la présente R.A.R, avoir bien reçu le 14/11/2013 votre
lettre ordinaire d’une page du 12/11/2013, par laquelle vous m’accusez
réception, une fois de plus, de ma lettre R.A.R du 09/11/2013 !
A ce courrier, selon mes habitudes ancestrales, je vous réponds § par §, avec la
franchise et la rigueur qu’il mérite !
§/1 Pour le moment, sachez que je n’ai pas de confrères à vous indiquer pour
assurer votre succession, car, que je sache, vous n’êtes pas encore morte, et
que si vous savez être, vous et Demba, honnêtes, justes, respectueux et
raisonnables, vous pourriez, peut-être encore me servir en réparant les fautes
(physiques et matérielles) impardonnables que vous m’avez créés ainsi qu’à
mon entourage immédiat, par vos, disons pour le moment étourderies !
Cependant, comme les choses risquent de s’accélérer, voire se compliquer
pour la bande à Bonneau, il est important que vous prépariez, non pas
l’intégralité du dossier, mais l’intégralité des dossiers, dont je n’aurais pas
l’outrecuidance d’en dresser la liste, et ce, dans les meilleurs délais, aux fins
de les tenir tous et à tous moments, à ma seule et entière disposition, et ce,
une fois encore, en ayant eu soin d’avoir établi, pour chacun d’eux, un
bordereau de communication en bonne et due forme !
§/2 Vous devriez savoir que Mesquineries, je n’ai jamais fréquenté, donc
venant de moi, elle n’a jamais pu, vous égratigner! Par contre, elle m’a
égratigné, par l’intermédiaire de certaines de vos très proches relations, dont
Tamisier, nul en procédure plus non-respect de la déontologie (voir Marcel
PROUST).
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§/3 En ce qui concerne les mails, ou encore les mots, que je vous ai
effectivement adressés, et non pas que je vous aurais adressés, comme vous le
dites faussement, sachez que les dispositions que vous me dites avoir prises
pour ne plus en recevoir me sont totalement indifférentes, car, en ce qui vous
concerne, vous n’y répondiez pas toujours, et Demba n’y répondait jamais !
§/4 Enfin du positif ! Comme ma maman, vous me faites savoir que, si il n’y
en avait qu’un, j’étais bien celui-là, sachez que je vous en remercie vivement !
§/5 Le meilleur est ce, après avoir lu et relu plusieurs fois votre cantique
corporatif, je peux vous assurer, que le compte rendu que vous y dressez en
toute bonne foi, dites-vous, ne saurait convaincre le brillant spécialiste
qu’aujourd’hui je suis devenu, grâce aux magouilles en tous genres contre
lesquelles j’ai ferraillé et ferraille encore, et ce, contre vent et marais, mes
avocats étant trop souvent absents*, depuis plusieurs, au moins trois
décennies et non pas TROIES le cheval ou encore le célèbre facteur, que j’ai
rencontré à SISTERONS !
* Si utile, vent = x y z marais= a b c d liste à votre disposition si problèmes
de mémoire, omis soit qui mal y pense, dont certains étaient malgré mes
observations, en ce qui concerne, entre autres, votre bien dévoués, à la
prétendue Maître Carole BORGHINI !
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D’autre part, la décision administrative de renvoi de l’affaire au 17 mars 2014,
ayant été prise, le 28 octobre 2013 par la juridiction collégiale, paraît-il, par
annotation au dossier, devant être explicite et non implicite, je ne saurais
admettre que vous ne puissiez en avoir connaissance, qu’après avoir perdu le
procès en récupérant le dossier, si d’ici là, il n’a pas disparu !
C’est pourquoi partant de cette logique « droitière ou uppercut-ière » je vous
redemande d’insister auprès de Madame Patricia POGGI, notaire de la
juridiction (qui fait je pense de la résistance, abusivement et illégalement) pour
qu’elle nous en fournisse copie. La demande venant d’un Maître du barreau
tel que vous, elle devrait obtempérer !
Par contre me faire parvenir par retour urgent, la copie du RPVA, par lequel,
votre confrère Me. JOURDAN, formule sa demande de renvoi à laquelle vous
avez, m’avez-vous dit et écrit, pleinement adhérer car les Magistrats ne
pouvaient pas la lui refuser, ne devrait pas vous poser de problème !
Cela étant, reste à traiter sommairement pour le moment, le cas suivant :
Vous avez pris unilatéralement la décision de ne plus me
défendre, je sais que vous en avez parfaitement le droit ! (art. 13 du décret n° 2005-790 du 12.7.05)
La seule contrainte, qui s’imposait à vous, été de ne pas le faire à un moment
crucial, et ce hélas, c’est exactement ce que vous avez fait, et cela m’a été
préjudiciable. Par mail du 25/10/13 09:41, reproduit ci-après, vous m’invitez
pour raison économique, à vous convoyer à AIX pour stopper les manœuvres
dilatoires des marchands de tapis (BIJEAN) !
"Christine DIOP" <[email protected]>
à
"Louis BORDERIE" <[email protected]>
date 25/10/13 09:41
objet RE : où en sommes-nous avec votre RPVA et...?
Bonjour M. Borderie,
Votre Avocat s'occupe de tout au mieux de vos intérêts.
On se voit lundi pour aller à Aix. A quelle heure ? 10 H 30 / 11 H ?
Bien à vous Christine
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Pour ce faire, je bouleverse mon calendrier en rentrant
précipitamment au bercail, et le lendemain 26/10/2013 à 14:23,
vous me faite savoir, sans me fournir copie du RPVA d’information
de ce menteur de JOURDAN, << je ne me déplacerai donc pas à
l'audience d'Aix-en-Provence de ce lundi 28 octobre 2013, Me
Jourdan assurant le renvoi. >>
Puis dans la foulée VOTRE MAIL SUIVANT EN NOIR ET MOI MES
REMARQUES EN ROUGE
"Christine DIOP" <[email protected]>
à
"Louis BORDERIE" <[email protected]>
date 26/10/13 14:23
objet
RE :re: RE :re: RE :re: RE :ou en sommes nous avec votre RPVA et...?
pièce(s) jointe(s)
1 fichier(s)
20131026133...pdf(142.41 ko)télécharger
Bonjour M. Borderie, Je viens de récupérer le jugement de tutelle dont copie ci-jointe (elle n'est pas très bien lisible). En effet comme vous dites, elle n’est pas très bien lisible, seulement, et pour l’essentiel, on peut s’apercevoir, sauf à être totalement absent ou encore…. A/ Que le jugement en question date du 24 juillet 2013, qu’il a été transmis par fax à La BORGHINI (pas la voiture) mais la combinarde (à qui vous déclarez, êtes bien dévoué, voir supra page 2) B/Que ce jugement lui a été, transmis ou retransmis par fax le vendredi 25 octobre 2013 à 14h17 par le T.I. de MENTON, qu’il a été pris par Léa PARIENTI assisté par une faisant fonction de greffier, en l’absence du Procureur de la République de Nice, dont on verra plus loin, qu’il était particulièrement bien informé de l’affaire, par le greffier en
chef du T.I. de Menton, et que ce jugement a été pris à la requête du fils de Mme Antoinette MARTINA, alors que chacun, notamment, LA- BORGHINI- JOURDAN,
Mme A. MARTINA, la Juge, le Procureur et VOUS-MÊME, saviez qu’il n’était pas le fils, mais le frère ! Partant de cet état de fait incroyable, je porte à votre connaissance que je me suis autorisé, a saisir le Saint-Esprit, de cette incroyable affaire. Me Jourdan, postulant, a demandé officiellement au Président, (Avec à l’évidence, votre accord, c’est pourquoi ce jour je vous renouvelle ma demande de communication) par RPVA, le renvoi de cette affaire compte tenu du jugement intervenu et dans la mesure où Mme Martina est représentée par M. Jean-François Martina,
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son,tuteur.de,fils,qui en fait était,son,frère ou encore mon ex beau-frère ! Mieux encore il est prié de faire dresser inventaire du Moulin des oliviers dans les trois mois du jugement alors que Mme le juge Parienti, le Procureur Bedos et le Procureur Général Hué ont assisté pratiquement en direct et ce depuis des mois aux multiples déménagements du moulin des oliviers Il n'y a aucune autre solution pour la Cour ??????!!!!!!!: renvoi ou radiation du rôle de cette affaire, car la procédure doit être régularisée, en effet, et ce en envoyant tout cette équipe en correctionnelle et non pour permettre à Mme Martina d'être valablement représentée (question de procédure). C'est déjà ce que je vous indiquais avant même l'audience du 17 juin dernier (vous retrouverez certainement mes mails en ce sens). Je ne me déplacerai donc pas à l'audience d'Aix-en-Provence de ce lundi 28 octobre 2013, Me Jourdan assurant le renvoi. Par ailleurs, vous noterez que dans le jugement de tutelle, Monsieur Jean-François MARTINA est mentionné comme étant le fils de Mme Martina !!!!!Alors qu’il est le frère ! Normalement un jugement de tutelle ou de curatelle doit être notifié aux descendants, ascendants... Je ne comprends pas que le juge ait ignoré les descendants... n'aviez-vous pas indiqué au Juge
que Mme Martina avait une fille et des petites-filles ? Exact et alors que vous m’avez dit que je ne pouvais rien faire, comme vous le saviez, j’ai adressé au juge Madame Léa PARIENTI, l’entier dossier de l’affaire en Appel de A à Z, y compris conclusions, constats d’Huissiers, fiche familiale etc En tout état de cause, votre fille ou même vos petites-filles peuvent faire opposition à ce jugement qui ne leur a pas été signifié... Bien à vous, Christine DIOP
Alors que vous avez dans le texte même de votre envoi reproduit ci-dessus à l’identique, tous, absolument tous, les éléments pour obliger la Cour, à mettre fin à la comédie tragique de MOLIERE, et ce, notamment, les mails antécédents qui ne manquaient pas de piquants :
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"TI-MENTON" <[email protected]>
à "'Louis BORDERIE'" <[email protected]>
date 28/06/13 14:53
objet RE: Ma vie à LAPOSTE
Monsieur,
Tous les documents remis ou adressés au Tribunal d'Instance sont automatiquement joints aux
dossiers correspondants.
Avec mes salutations distinguées.
France PETIT Greffier en Chef Directrice de Greffe Tribunal d'Instance de Menton
Tél. 04.93.35.74.92. Fax 04.93.28.52.91.
De : Louis BORDERIE [mailto:[email protected]] Envoyé : vendredi 28 juin 2013 05:56 À : TI-MENTON Objet : RE: Ma vie à LAPOSTE
A l'attention de France PETIT Greffier en Chef Directrice de Greffe Tribunal d'Instance de Menton
Bonjour FRANCE,
En préliminaire, sachez que pour moi, aux vues de vos préoccupations en cette période dites de crise, vous êtes à la HAUTEUR, de la situation!
Cependant et aux fins d'être votre allié dans la démarche qu'avec tact, courtoisie et élégance vous m'adresser, il me serait utile et agréable d'avoir confirmation de votre part, que les 2 courriers avec pièces jointes que j'ai déposées à votre accueil (ou j'ai été agréablement reçu) les 14 et 24 juin dernier, ont été également joints au dossier ''dit'' de protection, de Madame A. MARTINA.
Dans cette légitime attente et avec mes remerciements anticipés, je vous prie d'agréer, Madame la Directrice, l'expression de ma parfaite considération! BORDERIE Louis Jacques
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Message du 27/06/13 11:12
De : "TI-MENTON" A : "'Louis BORDERIE'" Copie à : "PARIENTI Léa" , "Fabienne MEDIC" Objet : RE: Ma vie à LAPOSTE
Monsieur,
J'accuse réception de tous vos mails qui ont bien évidemment été joints au dossier de mesure de
protection de Mme MARTINA.
Mais je vous remercie de bien vouloir transmettre toutes correspondances éventuelles par voie
postale dans la mesure où les crédits papier et toner d'encre du Ministère de la Justice sont sujets à
restriction budgétaire sérieuse.
En vous remerciant de votre compréhension, je vous prie d'agréer, Monsieur, l'assurance de mes
salutations distinguées.
France PETIT Greffier en Chef Directrice de Greffe Tribunal d'Instance de Menton
Tél. 04.93.35.74.92. Fax 04.93.28.52.91.
De : Louis BORDERIE [mailto:[email protected]] > Envoyé : jeudi 27 juin 2013 09:35 > À : Général PARQUET > Cc : Monique HERRMANN; Menton TRIBUNAL INSTANCE > Objet : Ma vie à LAPOSTE
Pour information:
Ce PV, dont personne ne trouve trace, a été produit dans la procédure en divorce par le Grand-Maître de la loge, pousse-toi de là que je m'y mette, omise au barreau de NICE pour sans aucun doute possible trafic d'influence ou autres choses pas très claires, l'ex adjointe au Maire de NICE, LA DIVINE CHICHMANIAN DELPY, recruteuse de voyous notoires, flics, huissiers, détective privé, avoués, et les autres, dont vous avez les noms dans mes réclamations et plaintes auprès de votre Cour, toutes autorités confondues ! BORDERIE Louis
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Prochain épisode 20 ans de galère ! "Louis BORDERIE" <[email protected]>
à "Menton TRIBUNALINSTANCE" <[email protected]>
cc "Général PARQUET" <[email protected]> ; "Monique HERRMANN" <[email protected]>
date 27/06/13 05:38
objet Demande de tutelle par Jean-François MARTINA
pièce(s) jointe(s)
3 fichier(s)
jugement Co...jpg(142.69 ko)téléchargervoir
jugement Co...jpg(137.82 ko)téléchargervoir
jugement Co...jpg(84.25 ko)téléchargervoir
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A l'attention de Madame Léa PARIENTI Juge des tutelles dossier N°R.G:13/A/00052 Antoinette MARTINA
Madame la Présidente,
Vous avez dans les pièces jointes ci-dessus, l'explication du pourquoi, LA POSTE, me voue une haine tenace, en effet, sachez que j'ai fait mettre 3 facteurs à la porte, un muté ainsi que deux receveurs, la suite ne manque pas d'intérêt puisque mon prof de droit s'est incliné en Conseil d'état dans une affaire où il était en combine avec une huile du, je pense, LIONS CLUB et chef à la DDE! Liste non exhaustive!! Car dans une autre affaire au TDAM de NICE, j'ai eu affaire avec un magistrat Dame qui tenait les trois rôles, juge délégué, juge rapporteur, juge conseillé, Nota, le rapport a disparu, ET OUI, à NICE j'ai perdu l'affaire mais en APPEL à MARSEILLE, je lui ai fait botter les fesses!!!!!! A elle, au Maire de GORBIO ET plus encore à son avocat, qui était, à l’époque, membre du barreau de NICE et en même temps, public relation entre les Magistrats du TDAM et les Avocats du DIT Barreau, il y a eu également une affaire ou a été exercée contre le Magistrat le récursoire bien évidemment tous ces dossiers sont à votre disposition sur simple lever de votre petit doigt!
Je reste dans l'attente de vous voir botter les fesses des MARTINAs, d’autant plus que dans cette affaire, qui est en souffrance devant la Magistrature de la 1ère Chambre A de la Cour d’Appel d’Aix en Provence, car la Cour, à la demande d'un de ses conseillers, entendait soulevait d'office l'irrecevabilité, alors que rien à ma connaissance, absolument rien, ne s'y prête (info que m’a rapportée mon Conseil après l’audience, car, alors que j’ai fait 600 kilomètres pour y assister, je n’ai pu voir ou entendre, malgré toute ma bonne volonté, quoi que ce soit de ce qui se passer en catimini sur l’estrade ) et encore, qu' il y a DANGER POUR LES BIENS ET LES PERSONNES, faits reconnus et prouvés par expert et constats d’huissier, et ce dans l’indifférence totale
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des MARTINA-S, du Conseil de Madame A. MARTINA, Me. Carole DUNAC-BORGHINI-JOURDAN, qui semble, comme son Pénaliste de mari, ignoré tout de l'ART 40 du code pénal!
Vous voilà au mieux informer et moi soulager !
Bien respectueusement votre. BORDERIE Louis Jacques
PS Voir de plus prêt mes mails, mots et maux des 25/06/13 à 03h21, 25/06/13 à 03h24, 25/06/13 à 09:07 et 26/06/13 à 16h42!
Madame A. MARTINA à transférer notre compte joint en l’en vident de son contenu, en partie à Monaco et le reste, c.a.d la monnaie, à la banque postale de Menton et elle habite à VILLEFRANCHE/SUR/MER !
Nota, dernière minute j’apprends par Google que : Le Niçois Eric Borghini élu parmi les dix dirigeants du ... - Var-Matin
www.varmatin.com › Sports › Football 15 déc. 2012 - Pas de surprise ce samedi matin au siège de la Fédération Française de football, où Noël Le Graët a été réélu au premier tour à la présidence ... (Sans aucun doute Maître Eric BORGHINI, pénaliste connu et bien aimé de la prénommée Carole DUNAC BORGHINI, a été chargé de la surveillance de l’arbitrage.
Amen !
Vous me proposez de transmettre mon dossier à un confrère, que vous me demandez de désigner.
Sachez que je ne puis satisfaire à votre désir, en effet, aujourd’hui et suite aux magouilles (qui se chiffre par plusieurs centaines de milliers d’€uros) engendrées par un aréopage de véritables voyous ou encore incompétents en la matière.
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En fait, mes affaires ont plutôt été mal traitées et se trouvent bloquées en l’état, par le manque de prise de conscience de la magistrature debout (absente à l’audience malgré mes multiples alertes) et encore et surtout par le manque d’impartialité et d’honnêteté de l’assise, pourtant bien informée, pour preuve, elle délibérait en catimini (voir jugement ADD), et a le 20 octobre 2013, à la demande de Me. Jourdan mais avec votre accord, différé son jugement jusqu’au 17 mars 2014 !
Vous conviendrez, je pense, que dans cette situation dont je ne suis nullement responsable, il ne me faille pas précipiter les choses si ce n’est d’effectuer les travaux d’urgence qui s’imposent aux bâtiments sinistrés !
D’autres part comme vous le savez pertinemment sauf à ce que…. Vous n’avez aucune raison valable, bien au contraire, pour vous opposer à mes demandes, car je ne vous doit pas un seul centime, sachant que si, par le plus grand des hasards, vous refuseriez de me restituer l’intégralité non pas de mon dossier mais de mes dossier, je pourrais saisir vôtre bâtonnier ou encore (cass. civ. 2e, du 9.10.08, n° 07-12174).
Sachant que vous avez commis, non pas une faute professionnelle, mais plusieurs, toutes me causant un préjudice certain, derniers exemples parmi tant d’autres :
Le 13/05/12 à 01H24, heure inhabituelle de vos communications, à l’évidence, vous êtes quelque part dans le monde, ce qui est parfaitement votre droit, vous m’écrivez ce qui suit car vous venez de prendre connaissance par mon mail précédent du 12/05/12 à 10H01 des conclusions adverses « pour le cas où vous ne les auriez pas reçues ». Par ce mail, je vous fais part de mes inquiétudes. Il est à noter que j’ai reçu cette information par mail du 11/05/12 à 20H18 en provenance de votre secrétariat, géré en votre absence par votre stagiaire, basé à Cap d’Ail ou encore semble-t-il ailleurs.
Voir Pièces ci-après :
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Bien plus tard, alors que la partie adverse n’avait produit aucune pièce à ses conclusions, pour preuve extraits ci-dessous reproduits :
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j’apprenais que votre consœur vous avait faxé le 14/05/2012 à 16H35 à 16H57,
veille de l’Audience de mise en état, prévue le 15/05/2012 à 11H00, 87 pages de pièces à porter au dossier, qu’il est évident que vous ne pouviez pas matériellement en avoir pris connaissance encore et surtout des pièges qu’elles contenaient !. Dans ces conditions inacceptables, vu les fatigues physiques accumulées… lors de votre périple, il ne fallait pas se battre pour plaider l’affaire mais simplement en demander le renvoi, ce qui m’aurait évité une condamnation de 3.000 € et une procédure d’APPEL qui s’éternise !
C’est exactement l’inverse que vous avez fait dans l’Appel du Jugement ce 28/10/2013 dernier. En effet, vous acceptez le renvoi, alors que vous aviez en main, et la cour aussi, tous les éléments pour éviter que la comédie continue.
Par ailleurs, vous avez ignoré à plusieurs reprises une règle de droit connue, formuler des demandes irrecevables et encore vous avez céder à plusieurs reprise aux demandes mensongères de vos confrères adverses, (que vous gratifier de vos sentiments dévoués) et encore, vous ne vous êtes pas rendu au délibéré public du jugement du 17 juillet 2012, vous l’aviez noté m’avez-vous dit sur vos chemises pour le 29 du même mois, et encore à un délibéré mis à disposition aux greffes de la chambre etc. (liste non exhaustive)
Partant de ces regrettables constatations, je pourrais écrire au bâtonnier, qui saisira, s’il y a lieu, le conseil de discipline de l’ordre, afin qu’il prenne des sanctions à votre encontre. Je peux également agir en responsabilité devant les tribunaux pour obtenir réparation de mes préjudices, d’autant plus que vous êtes couverts par une assurance, qui dans les cas présents constituent des fautes graves et évidentes, ont les plus grandes chances d’être retenue.
D’autant plus encore que alors que nous sommes en Appel par vos fautes impardonnables et inexcusables en première instance, vous osez continuer, disons, vos étourderies en rendant votre robe obtenue sans l’avoir mouillée, mais par la loi no 90-1259 du 31 déc 1990 !
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Pour aujourd’hui nous en resterons là, car je suis totalement lassé d’avoir été obligé d’en arriver là !
Compte-tenu de vos comportements ci-dessus développés de manière non exhaustive, je remets à plus tard ma formule de politesse, car pour le moment je ne saurais en pondre une ! BORDERIE Louis Jacques
