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mandarine47
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Notre voyage a été bien préparé.Tous les hôtels ont été réservés àla Dominique. On est passé parl’agence Barefoot car c’étaitcompliqué de réserver, letourisme n’est pas encore trèsdéveloppé, ils se lancent dans letourisme vert mais ça resteencore aléatoire.
Le drapeau de la Dominique
La Dominique est une île du groupe des Petites Antilles, indépendantedepuis 1978. D'une superficie d'environ 754 km², elle a 48 km de longueursur 25 de large. Elle forme un unique massif montagneux dont les pointsculminants, le Morne Diablotin et le Morne des Trois Pitons, ont 1447 et1425 m. Sur le pourtour, de nombreux cours d'eau descendent à la mer. Lemeilleur port de la Dominique est la capitale, Le Roseau qui compte près de15 000 habitants. La Dominique, renferme au total 69 000 habitants. 3000Indiens caraïbes y vivent encore. C'est la dernière des îles des PetitesAntilles à abriter une population d'origine précolombienne.
On atterrit à Fort de France le dimanche 27 février 2011,on loge à l’hôtel Carib. C’est petit mais près del’embarcadère où on prendra l’Express des îles, uncatamaran très rapide qui rejoindra la Dominique.
Le soir, on fait un tour dans la ville où tout est fermémais on commence à sentir l’ambiance de Carnavalen bord de mer.On a mangé des ribs au camion enfumé avec unegrosse musique.
Le lundi 28 février, on visite Fort de France en attendant le bateau.On fait quelques achats: des chaussures pour Richard, des épices,du rhum coco menthe chez la Doudou et un habit en madras pourmon déguisement de Carnaval à l’école.
On y arrive enfin. C’est notre premier contact avec les eaux soufrées. C’est petit! Mais ça sent le soufre!
Le long des routes, on rencontre régulièrement des carcasses de voiture…
mais la végétation reprend vite le dessus…
On visite ensuite VieilleCase. Peu de touristes,les gens sont contents deparler avec nous.
Ils s’essaient même au français.
On s’arrête le long de la route et on descend jusqu’à la mer par un étroit chemin bétonné et glissant! Ce n’est plus la mer des Caraïbes mais l’Océan Atlantique.
On passe par Marigot puis on visite le territoire Caraïbe des indiens. Je visite même une école.
Ici, c’est un village reconstitué.
En Dominique, on croise beaucoup de chiens, ils sont tous du même style. Quelquefois, il faut même s’arrêter pour ne pas les écraser.
On voulait voir les chutes Sari-Sari mais on n’a pas pu car il y avait trop d’eau pour traverser la rivière et on avait refusé un guide alors quand on est arrivé aux Victoria Falls, on a pris un guide!
On a marché dans la rivière avec parfois de l’eau jusqu’à la taille.
Richard continue son ascension sur les rochers glissants. Moi, je m’arrête car je n’en peux plus! Finalement au retour, il glisse et se retourne un doigt. Aïe, aïe, aïe!!
A l’hôtel Jungle Bay, leschambres sont chacuneperchées dans les arbres.Elles ont toutes unhamac d’où on peutadmirer la canopée.
L’hôtel est magnifique:très nature et trèsclasse!Ils ont aussi tout cequ’il faut pour soignerle doigt de Richard.
Fatigués par notre ascension, nous regardons avec envie l’eau sulfurée qui descend jusqu’aux baignoires chaudes…
Ensuite c’est Titou Gorge où l’eau est très fraîche, il faut nager entre deux hautes parois rocheuses pour découvrir une cascade. L’endroit est désert, ça fait un peu peur mais c’est sympa.
Le voyage en Dominique se termine. Nous reprenons le bateau à Roseau. Par contre beaucoup de monde arrive pour fêter le Carnaval. Nous le verrons en Martinique.
Voici le gros bateau qui débarque les
touristes américains à la journée.
Mais le Carnaval, c’est aussi du bariolé à n’en plus finir, du rouge le jour de Mardi Gras et du noir et blanc pour l’enterrement de Vavalle mercredi des Cendres.