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French Touch by Af
allure your style !
“Fashions fade, style is eternal” Yves Saint-Laurent
Allurez votre style grâce à nos ateliers multimédias consacrés aux grandes maisons de la mode et de l’art de vivre à la Française, des logos les plus célèbres aux joailliers de la place Vendôme, des créateurs de sacs iconiques aux designers les plus tendance. Discover the story behind the legend and shift to French luxury culture: Guerlain and the Persian flowers, the first Dior Little Black Dress, Hermès Kelly, Vuitton Monogram for Angelina, Chanel and the 5… Découvrez l’histoire du luxe dans le sillage de l’incomparable tradition : Guerlain et les senteurs persanes, la petite robe noire de Dior, le Kelly d’Hermès, Angelina Jolie et le Monogramme de Vuitton, Chanel et le Cinq… Élégance is a way of life : explore French superbrands heritage and attitude with short in-house films/ads/mobile apps/social web, get the code and the vocabulary survival-kit for the next shopping trip. L’élégance est à vivre au quotidien : explorez les trésors des grandes marques françaises, leur savoir-faire et leurs projets à travers films, clips et photos, sur le Net et les applications mobiles. Des infos et le vocabulaire essentiel pour vivre plus intelligemment votre prochain voyage au royaume des boutiques !
Première session : Vuitton, Dior, Hermès – la trilogie des Hit-BagsDeuxième session : Guerlain, Caron, Patou – osez les parfums légendairesTroisième session : Place Vendôme – Cartier, Chaumet, Boucheron, des diamants éternelsQuatrième session : Macarons & Cie – Ladurée, Lenôtre, Hermé, les rois-pâtissiers de ParisCinquième session : La saga du maquillage – Lancôme, YSL, Clarins, une petite histoire des poudresSixième session : l’héritage Chanel – Mademoiselle et l’invention du pantalonSeptième session : La Parisienne ? – Dior, Rykiel, Gaultier, les codes d’une icône.
2h divisées en cinq séquences : * Logo’s Legend : approche historique en images d’un métier du luxe par la saga des grands noms, contexte social, géographique, culturel - 30 mn * Dress Code : identifier les produits-phares d’une gamme, comprendre leur fonctions, savoir les porter ou les mettre en valeur à bon escient – 25 mn * Pause – 10 mn * Webbing : outils multimédias liés au sujet, applications mobiles, sites de tayloring, presse spécialisée en ligne, site de la marque (films, stories, Fbook) – 25 mn * Name It : les 10, 20, 30 mots français essentiels du thème – 15 mn * Q&R – 15 mn
Legends...
It was in the heart of the capital on Boulevard Poissonnière that one of the most extra ordinary ventures in leathergoods began. In the 1940’s Jean Cassegrain, son of a tobacconist took over his father’s tobacco shop: at the time, "Au Sultan", as it was called, was greatly appreciated by Parisians and the Allied Forces. But when the troops left Paris the shop faced the question of what to do with its stocks of pipes so appreciated by the soldiers? Moving ahead, Jean Cassegrain decided to concentrate on leather coatings for cigarette cases. And, as a talented observer, he came up with a very inspired idea… He sought out the most talented leather craftsmen in Paris and revolutionized the domain of tobacco accessories: he created the famous leather bound pipe clearly establishing its pedigree and gained his entry into the world of luxury goods with this future iconic object. In 1948, he expanded his collection and decided to set up his company specialized in accessories which he named Jean Cassegrain & Compagnie. Business flourished: the Parisian high society raced to get their own high-quality accessory, whether leather bound, lacquered, or even personalized, like the Lady Pipe, created for spirited women with the makings of a George Sand.
http://www.longchamp60.com/
Code...
http://www.youtube.com/user/LongchampParis/feed
Legends...
"Some people think luxury is the opposite of poverty. It is not. It is the opposite of vulgarity.”
http://thelittleblackjacket.chanel.com/
Code...
Le 2.55 est nommé d'après sa date de création par Coco Chanel, en février 1955. Elle prônait déjà une mode pratique et sobre, libératrice pour la femme. Audacieuse, elle emboîta le pas à Paul Poiret dans sa décision de supprimer le corset au profit d'une silhouette plus fluide, fut la première à utiliser le jersey pour les vêtements féminins et osa couper ses cheveux courts avant que la mode garçonne batte son plein. Ces quelques faits d'armes révèlent sa vision avant-gardiste de la féminité.Il n'est donc pas étonnant qu'on lui doive aussi une petite révolution dans le domaine du sac pour dames. À l'époque, la mode est aux pochettes qui se portent à la main, mais pour Coco il est évident que les femmes doivent avoir leur deux mains libres. Elle crée donc ce sac équipé d'une chaîne qu'on peut aisément porter au bras. Le succès est immédiat et, plus rare encore, il est pérenne.
http://opac.lesartsdecoratifs.fr/fiche/sac-3
On herself:“I never wanted to weigh more heavily on a man than a bird.”
On fashion:"Innovation! One cannot be forever innovating. I want to create classics.”"Look for the woman in the dress. If there is no woman, there is no dress.”"Luxury must be comfortable, otherwise it is not luxury.”"Some people think luxury is the opposite of poverty. It is not. It is the opposite of vulgarity.”
Other quotes:"He who does not enjoy his own company is usually right.”"The most courageous act is still to think for yourself. Aloud.”"A fashion that does not reach the streets is not a fashion.""Fashion is architecture: it is a matter of proportions.""Fashion has become a joke. The designers have forgotten that there are women inside the dresses. Most women dress for men and want to be admired. But they must also be able to move, to get into a car without bursting their seams! Clothes must have a natural shape.""'Where should one use perfume?' a young woman asked. 'Wherever one wants to be kissed,' I said."
Webbing...
Louis Vuitton (1821-1892)
Louis Vuitton apprend les rouages
du métier de « layetier-emballeur
» chez « Maréchal » rue
Saint Honoré à Paris. Durant dix-sept
ans, il peaufine le savoir-faire complexe
inhérent à cette profession et en maîtrise
tous les aspects : de la fabrication à
l’emballage jusqu’à la logistique de
la charge. En 1854, il ouvre sa propre
enseigne, à quelques centaines de
mètres de là, au 4, rue Neuve-des-
Capucines, près de la rue de la Paix.
D’emblée, Louis Vuitton se positionne
différemment de ses confrères très
nombreux à l’époque. Il simplifie l’intitulé
de son métier et se redéfinit en tant
qu’« Emballeur ». Ses en-têtes apportent
une précision décisive : « Spécialité
pour l’Emballage des Modes ». Ce choix
s’avère à la fois original par rapport
à ses pairs et astucieux pour l’avenir.
En effet, la Haute Couture parisienne
connaîtra bientôt un succès fulgurant
grâce à son fondateur Charles-Fréderick
Worth, lui-même installé rue de la Paix.
Les premières malles recèlent toutes
les techniques d’alors. Elles sont
recouvertes d’une grosse toile cirée
permettant de les imperméabiliser.
Cette toile, dite Trianon, est peinte en
gris. Les armoiries et les monogrammes
des propriétaires sont ensuite apposés
sur cette couche de couleur. Avec les
années, Louis Vuitton attache un intérêt
toujours plus grand à ces revêtements
et brevète des toiles tissées à motifs,
lesquelles permettent de le différencier
des autres enseignes, et le protègent
de la contrefaçon grandissante.
En 1877, il dépose une toile rayéedisponible en plusieurs coloris. Onzeans plus tard, il fait un nouveau dépôtde brevet, cette fois-ci pour la « toileDamier » qui, plus sophistiquée, intègreson nom dans le motif décoratif. C’estainsi que, pour la première fois, sonnom apparaît comme une signature surl’extérieur de ses malles. Poursuivantla logique de son père et quatreans après sa mort en 1892, son filsGeorges Vuitton créera en 1896 ledésormais fameux Monogram « LV ».L’histoire industrielle de la deuxièmemoitié du XIXe siècle, est jalonnée parles grandes Expositions Universelles.Ces nouveaux temples de la cultureinternationale où s’illustrent toutes lesgrandes inventions attirent un publicconsidérable. Saisissant l’opportunitéque peut offrir une telle vitrine, LouisVuitton y présente ses modèles dès 1867dans une toute nouvelle section « Articlede voyage et de campement » et remportesa première médaille. Ses participationsaux expositions de 1867, 1868, 1887et 1889, structurent le rythme de sesinnovations techniques, établissant ainsisa signature personnelle. En effet, pourchaque événement, il met au point uneinvention qu’il fait déposer.
http://www.lesartsdecoratifs.fr/francais/accueil-292/bandeau-487/francais/mode-et-textile/expositions-70/actuellement-447/louis-vuitton-marc-jacobs/
http://www.louisvuittonamble.com/cityguides/cgd002
https://twitter.com/#!/FrenchTouchbyAF
http://www.tumblr.com/blog/frenchtouchbyaf
http://www.facebook.com/frenchtouchbyaf
Name IT !
ANSE / BAG HANDLESPartie d’un article de maroquinerie qui permet de le porter. En fonction de sa longueur, l’anse offre la possibilité de porter le sac ou le bagage à la main ou à l’épaule, mais elle n’est jamais assez longue pour un port en écharpe (dans ce cas seule unebandoulière le permet). Une anse peut revêtir deux formes L’anse peut être simple ou double.
GIBECIERE / GAME BAGde l’ancien français « gibiez » qui signifiait « gibier ».Sac souple de grande taille pourvu d’un rabat, d’un nombre variable de poches intérieures et extérieures et d’une bandoulière. La gibecière peut être de toutes sortes de matières souples (cuir, toile, PVC…). Sur certains modèles réservés à la chasse, la façade est dotée d’une ou de deux poche(s) en filet, des-tinée(s) au transport du petit gibier.A l’instar de tous les sacs apparus au Moyen Age, la gibecière s’est tout d’abord portée à la ceinture. Par la suite, les chasseurs et les pêcheurs puis les écoliers et les soldats se la sont appropriée. Puis, dans les années 1940, elle est enfin devenue un accessoire de mode à part entière.