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Action universitaire - février 2007

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AU 267

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Page 1: Action universitaire - février 2007

universitaireuniversitairel’Action

❚ LE JOURNAL DE L’UNION NATIONALE INTER-UNIVERSITAIRE ❚ N°267 ❚ février 2007 ❚ 2 Euros ❚

l’Action

L’action universitaire - page 1

UNI - UNION NATIONALE INTER-UNIVERSITAIRE - 34 rue Emile Landrin - 92100 Boulogne - ✆ 01.78.16.40.30 - fax. : 01.78.16.40.31Directeur de la publication : J. Rougeot - CPPAP 0507 G 79428 - dépôt légal premier trimestre 2007 - Mensuel

Elections au CNESER des représentants enseignantsLe 20 mars, tournons la page de Mai 68

Pour re lever les déf i s du XXI ° s ièc le

vant toute chose, rappelez-vous que, le 20 mars pro-chain, vous devrez voterdans votre université.

Pour résister à la tentation troprépandue de l’abstention, il estnécessaire de savoir ce qu’est réel-lement le CNESER.

Ce qu'est réellement le CNESER

Ce conseil n’est pas un organismepurement professionnel et corpora-tiste. Il comprend aussi des étu-diants, des délégués des personnelsadministratifs et techniques, ainsique des personnalités extérieures àl’université. Il est consulté sur tousles textes gouvernementaux quiconcernent, au sens large, la poli-tique générale de l’enseignementsupérieur et de la recherche. Ausens strict, il est purement consul-tatif. En réalité, son avis infléchittrès souvent les textes initiaux sor-tis des bureaux du ministère.D’autre part, et peut-être surtout, leCNESER est une sorte de caisse derésonance et aussi d’indicateur quiest censé refléter ce que pense lacommunauté universitaire. C’estparticulièrement vrai en 2007,année électoralement décisive. Tousles indices se rapportant à un sec-teur sensible (c’est le cas de l’en-

seignement supérieur) seront ana-lysés et auront des répercussionssur la situation dans son ensemble.

L’UNI : le passé garant de l’avenir

Dans ces circonstances, l’UNI estplus que jamais nécessaire. Notremouvement, qui n’est pas corpora-tiste au sens étroit puisqu’il regrou-pe aussi bien des étudiants que desenseignants, est par nature adapté àla fonction propre du CNESER.Maintenant, tout le monde, oupresque, reconnaît la dégradationde l’enseignement supérieur.Depuis le début, contre les illu-sions et les lâchetés régnantes,nous avons posé le diagnostic justeen incriminant l’esprit soixante-huitard, astre mort aujourd’huimais dont les séquelles n’ont pasété complètement éradiquées. A l’inverse de cette idéologie délé-tère, nous entendons prendre encompte les réalités contrastées dela nature humaine, développer laresponsabilité personnelle et viserl’excellence, fût-ce par des cheminsardus. Nous prenons volontiers ànotre compte le terme d’élitismerépublicain, étant entendu que l’é-lite nécéssaire au progrès de toutesociété, est celle de la capacité, dumérite et de l’ardeur. La vieille gau-

che, au contraire, s’englue dansune utopie desséchante, dans l’ir-responsabilité collective et dans l’é-galitarisme niveleur et démago-gique.

2007, année cruciale

Il reste, on le voit, bien des effortsà fournir. Si la gauche l’emporte en2007, les conséquences serontravageuses et nous entrerons sansfaiblesse en résistance. Si la droiteest victorieuse, le chemin sera plusdégagé, mais les obstacles resterontnombreux. On peut espérer qu’elleest en train de se distinguer du ter-rorisme intellectuel de la gauchequi ont si souvent inhibé sa poli-tique vis-à-vis de l’université, maisl’évolution est loin d’être achevée.Dans une telle situation, une forcedéterminée comme celle que nousreprésentons est irremplaçablepour exercer une action décisivesur l’évolution du système.

Vous pouvez compter surnotre détermination. Ellesera d’autant plus efficaceque vous nous aurezapporté un soutien pluspuissant.

A

Page 2: Action universitaire - février 2007

page 2 - L’action universitaire

❚ Pour un renouveau de l’Université française

Où en est l’Université française ?

Les classements internationaux en ren-voient une image médiocre sinon déplo-rable. Ils sont bien sûr très contestables,mais le bât blesse quand l’on voit quenombre de nos collègues partagent cesentiment non plus seulement de déclinmais de franche déliquescence : locauxsouvent décrépits, traitements pitoyablesau regard de la compétence exigée et –généralement – acquise, administrationpauvre de tout sauf de paperasses, méri-te découragé, étudiants peu motivés etsyndicats majoritaires démagogues jus-qu’à l’écoeurement… Surtout, cette image misérable est large-ment partagée par les élites écono-miques, politiques, voire intellectuelles.A quelques brillantes exceptions près,celles-ci ont tôt déserté les bancs desamphithéâtres pour s’instruire dans lesfameuses Grandes Ecoles et y placer leurprogéniture : tout sauf la Fac, entend-onparfois... L’Enarchie, surtout, ne connaîtrien de l’Université alors qu’elle enrégente les destinées à la manière dontun parent condescendant s’inquiètevaguement du sort d’un cousin pauvre,turbulent et un peu retardé…

Et pourtant, comme dans toute entrepri-se humaine, la lumière d’espoir demeu-re, car s’il y a hélas une grande part devrai dans ce constat désastreux, il fait fides talents qui s’épanouissent encoredans l’Université française, des énergiespositives de nombre de ses acteurs, desqualités humaines et intellectuelles desenseignants et personnels administratifsqui ne se résignent pas à voir l’AlmaMater sombrer, et de l’excellence queconservent certaines filières, notammentdans les plus anciennes disciplines tellesque la Médecine ou le Droit. Mais com-ment en est-on arrivé là?

C’est l’histoire d’un rêve commencé avecles meilleures intentions et devenu cau-chemar. Comment s’en sortir par lehaut? Quelques voies peuvent êtreesquissées pour cela.

Le rêve devenu cauchemar

Mai 68. La date est lointaine et nombred’entre nous n’étaient pas entrés àl’Université, ou n’étaient même, pas nésen ce temps symbolique et ô combiendécisif. Si l’on comprend bien, Mai 68fut le début du triomphe d’une idéologievoulant démocratiser l’Université. Pourabolir les abus, réels ou supposés, decertains « mandarins », on voulut met-tre à bas les structures anciennes et lestraditions. Pour ouvrir l’Université auplus grand nombre, diversifier les for-mations et augmenter ainsi le niveaugénéral, on s’engagea dans une politiquede massification de l’enseignement supé-rieur. Le point d’orgue de cette évolutionfut-il la démagogique loi Savary ? Le faitest que l’on bascula tout au long de ceprocessus d’un univers à l’autre. En che-minant sur ce pavement de bonnes (oude moins bonnes d’ailleurs) intentions,l’on en est arrivé à la situation actuelle.

La massification n’a pas produit uneélévation du niveau général mais unnivellement par le bas. Le refus idéo-logique de la sélection à l’entrée accom-pagné d’une baisse réelle de la maîtrisemoyenne de la langue française chez lesimpétrants, sans parler de leur simpleconnaissance d’une culture classique oude leur aptitude au raisonnementabstrait, ont ancré le phénomène. Lasecondarisation du supérieur était enmarche d’autant que, piquant paradoxe,les formations professionnelles courtesétaient, tout à l’inverse, sélectives.Spécialement, la funeste normeSanremo, proportionnant aveuglé-ment le montant des maigres dota-tions budgétaires au nombre d’étu-diants, a encouragé certaines filiè-res à se transformer en parkings àchômeurs.

Le sens du service public s’est effrité àmesure que les moyens ont manqué etque les valeurs animant la communautéuniversitaire ont été sapées. Le sens del’excellence a, notamment, été sacri-fié. Non pas seulement chez les étu-diants… mais aussi chez les person-

nels, car les carrières y avancentessentiellement à l’ancienneté aumépris des talents et des efforts dechacun. Enfin, la puissance nouvelledes syndicats a profondément politisécertaines disciplines où le copinageidéologique est devenu la principale voiede salut. L’extrême gauche n’a-t-elle pas,tristement, ses derniers viviers dans lesdisciplines des sciences humaines ? Aubout de ses pulsions ou de sa « culture», on trouve l’occupation sauvage desamphithéâtres, les AG de pacotille, voirele saccage des instruments du savoircomme l’épisode des dégradations sub-ies par la Sorbonne lors des mouve-ments anti-CPE de 2006 en porte témoi-gnage.

Par delà ces mauvais symptômes, l’étatd’esprit des étudiants a bien souventchangé. La quasi gratuité des études etleur image dégradée n’en font plus lesheureux récipiendaires d’un bienfait queleur offrirait l’effort de la Nation. Bienplus souvent, ils adoptent une culturerevendicative de consommateurs d’unservice public du diplôme, encouragéepar la démagogie syndicale. Les ensei-gnants doivent-ils se résoudre à devenirles caissières d’un supermarché dusavoir ? Pour beaucoup, cela ne peutplus durer. Mais deux issues sont possi-bles. La première est celle d’un enfonce-ment dans la crise, qui encourageranombre d’enseignants chercheurs à ren-dre à l’Etat l’exacte considération qu’illeur prête, et à tenir leurs fonctions pourune activité subalterne dans leur vie per-sonnelle, et même professionnelle,quand ils ne quitteront pas franchementles lieux. Ce scénario « à la soviétique »est précisément celui auquel conduiral’emprise pérenne des syndicats empê-trés dans l’esprit soixante-huitard.

L’autre voie est celle d’une rénova-tion, non pas pour ressusciter unpassé révolu, mais pour adapterl’Université aux exigences de lasociété contemporaine et libérer sesénergies.

Page 3: Action universitaire - février 2007

page 3 - L’action universitaire

Les chemins du renouveau

Plaider pour une augmentation de l’ef-fort budgétaire de la Nation, si ce n’estdes familles lorsqu’elles en ont lesmoyens, ne sert à rien si l’Enseignementsupérieur fait figure de tonneau desDanaïdes. C’est pourquoi, en tant quepréalable nécessaire au remodelage desfinancements, l’effort dont nous nousproposons d’être les promoteurs neporte pas que sur les questions financiè-res. Plusieurs axes doivent, de notrepoint de vue, porter l’espoir de réforme.

Les structures et les missions

Parce que l’attachement à l’Université età la recherche est aussi, du point de vuedes étudiants comme des enseignants,un attachement à une communautéprofessionnelle, il importe de restaurerla cohérence des universités autour desgrands champs disciplinaires. La pluri-disciplinarité a, de ce point de vue, seslimites. Les problématiques des sciencesdures n’ayant que peu de rapport aveccelles des sciences humaines, les univer-sités doivent mieux respecter les identi-tés disciplinaires et, autant que possible,les incarner. Les grandes métropoles, enparticulier, peuvent et doivent avoir desuniversités relativement monodiscipli-naires. La mission des plus reconnuesd’entre elles doit être tournée de maniè-re privilégiée vers la recherche de hautniveau. C’est ainsi que la lisibilité de lacarte universitaire et la qualité de larecherche française pourront mutuelle-ment se nourrir, au profit conjoint de lacommunauté scientifique comme de laqualité des diplômes. En revanche, saufà demeurer dans le flou et le saupou-drage égalitariste actuel, toutes les uni-versités n’ont pas à viser cet objectif. Lespetites et moyennes unités ont aussileur carte à jouer. Elles ont, peut-oncroire, une vocation privilégiée à assurerle surcroît de formation qui participepleinement de la mission de servicepublic. Que la recherche se nourrissede l’enseignement et vice-versa est uneévidence ; toutes les universités peuventla pratiquer mais sans doute pas selonle même dosage ni au même niveau.

La gouvernance et les carrières

Si l’on est d’accord pour dire que lacommunauté universitaire doit êtretournée d’abord vers la formation et larecherche, il est logique de restaurer laprééminence des universitaires au seindes organes décisionnaires. Au-delà, l’i-dée de proportionner le nombre de siè-ges réservés aux élus étudiants à la par-ticipation de ces derniers à l’électionaux conseils centraux est non seulementjuste mais opportune. Si seuls 5 % desétudiants votent à une élection, il n’estni logique ni sain que leurs élus occu-pent la moitié des sièges d’un Conseildont dépendent les choix de l’universi-té. Cela donne un poids disproportion-né à des groupes ultra minoritaires etflatte la démagogie à leur égard, voire lescombinaisons les plus indignes.

La gouvernance doit ainsi être réforméepour mieux refléter l’engagement desdifférents acteurs dans l’accomplisse-ment de la mission de l’Université. Toutautant, l’autonomie des structures doitêtre renforcée pour leur donner lesmoyens, jusque dans la gestion de leurpersonnels administratifs, d’appliquerune politique qui leur soit propre, quimarque leur identité et sanctionne, enbien ou en mal, leur stratégie.

Le même principe de liberté et deresponsabilité doit régir les carrières desenseignants-chercheurs. Que l’ancienne-té demeure un moteur commun auxavancements est une garantie minimale,mais il doit être possible d’y adjoindreun deuxième moteur, qu’une meilleurepratique de l’évaluation et une plusgrande diversité des profils de carrièrepeut permettre : que ceux qui veulentprivilégier la recherche, la pédagogie oul’administration en aient la liberté et larécompense. C’est alors qu’un effortbudgétaire massif prendra son sens, afinde rendre véritablement attractifs lesinvestissements individuels. Sur ce der-nier plan, en plus de l’effort de l’Etat, ilfaut aussi savoir expliquer que deman-der une contribution financière signifi-cative aux étudiants des familles qui lepeuvent permettra à la fois de respon-sabiliser davantage ceux-ci et d’amélio-rer réellement le niveau des bourses.

L’élitisme républicain doit retrouverson sens, car l’excellence est l’énergiemotrice de l’ascenseur social.

L’ouverture au monde

Pour que l’Université soit comprisecomme un pôle d’excellence et dedébouchés, elle doit s’ouvrir encoredavantage au monde.

Elle doit savoir exporter ses compéten-ces au-delà des frontières hexagonales.Par une meilleure allocation de ses res-sources humaines, intellectuelles etfinancières, l’Université française peutredonner de la voix au plan internatio-nal. Mais dans l’économie de rationne-ment qui est l’héritage des rêves égalita-ristes où elle se meurt, cela est difficile-ment possible.

Elle doit nouer toujours plus de liens,sur le plan interne, avec d’autres institu-tions et les milieux professionnels.L’ouverture au monde s’entend doncaussi d’une ouverture vers la réalité et lapratique du savoir. Que certaines disci-plines ne soient pas « professionnalisan-tes» parce que dénuées de débouchésimportants ne signifie, pour autant, cer-tainement pas qu’elles doivent se déna-turer. Il est, en revanche, anormal queles plus grandes masses d’étudiants sedirigent vers elles. L’Université est dansle monde ; il est autant dans son intérêtque dans celui de ses étudiants de nepas s’en couper, tant au plan de l’ensei-gnement que, d’une manière plus diver-sifiée, de la recherche.

Le renouveau de l’Université que noussouhaitons passe ainsi par quelquesvaleurs simples :

✔ sens de l’excellence dans la diver-sité des vocations,✔ pratique de la liberté par une plusgrande responsabilité, ✔ restauration de l’identité des dis-ciplines et de l’autorité des universi-taires,✔ décloisonnement de l’Université.

Dans un monde qui change, il fauttourner la page de Mai 68.

Page 4: Action universitaire - février 2007

page 4 - L’action universitaire

Nom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Prénom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Adresse : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Code Postal : . . . . . . . . . . Ville : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Tél. : . . . . . . . . . .

Profession : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Etablissement : . . . . . . . . . . . . . . . . . .

❏ désire s’abonner à l’Action universitaire 38 euros (un an)❏ désire souscrire un abonnement de soutien à partir de 230 euros : . . . .

❏ désire soutenir financièrement l’UNI et verse : ❏ 300 euros ❏ 500 euros ❏ 1.000 euros ❏ . . . . . . . euros❏ déclare adhérer à l’UNI 35 euros (lycéens 5 euros, étudiants 10 euros, membre bienfaiteur 100 euros, cotisation de soutien à partir de 200 euros)

Date et signature :

34 rue Emile Landrin 92100 Boulogne

✆ 01.78.16.40.30 fax. : 01.78.16.40.31

Imprimé par nos soinsCCP 30 075 33 Y Orléans La Source

universitaireLE JOURNAL DE L’UNION NATIONALE INTER-UNIVERSITAIRE

l’Action

1 HARLE Jean-Robert Aix-Marseille 2 - Médecine interne 1 bis LE POURHIET Anne-Marie Rennes 1 - Droit public

2 SCHMIDT Joanna Strasbourg 3 - Droit privé 2 bis STOFFEL-MUNCK Philippe Paris 1 - Droit privé

3 BRAMOULLÉ Gérard Aix-Marseille 3 - Sciences économiques3 bis LAZORTHES Yves Toulouse 3 - Neurochirurgie

4 DUCASSOU Dominique Bordeaux 2 - Biophysique et Médecine nucléaire

4 bis GOUET Michel Paris 12 - Energétique, génie des Procédés

5 DESCOTTES Bernard Limoges - Chirurgie digestive5 bis DEHEUVELS Paul Paris 6 - Statistiques

6 PHILIP Christian Lyon 3 - Droit public6 bis FASQUELLE Daniel Littoral - Droit privé

7 METZGER Jean-Philippe Paris 6 - Cardiologie 7 bis COIFFARD Laurence Nantes - Pharmacie galénique

8 BÉRARD Philippe Lyon 1 - Chirurgie générale8 bis GOHIN Olivier Paris 2 - Droit public

9 CROUZATIER Jean Toulouse 1- Droit public9 bis JEANDOT Jacques Bordeaux 2 - Chirurgie buccale

10 CARON – ROUSSET Monique-Marie Lille 2 - Pédodontie 10 bis PINI Joseph Aix-Marseille 3 - Droit public

11 TOBELEM Gérard Paris 7 - Hématologie11 bis HAMY Antoine Angers - Chirurgie générale

Collège A - Professeurs et assimilés

Collège B - Maîtres de conférences et assimilés1 ZATTARA-GROS Anne-Françoise La Réunion - Droit privé1 bis DAURY-FAUVEAU Morgane Amiens - Droit privé

2 SANTONI Pierre Aix-Marseille 2 - Odontologie2 bis BRUNET Sylvie Bordeaux 2 - Chirurgie buccale

3 MARGUERITTE Karin Caen - Langue3 bis BOMPAIR- EVESQUE Paris 4 - LangueClaire-Françoise

4 BOUGI Gilbert Aix-Marseille 3 - Economie4 bis CACCOMO Jean-Louis Perpignan - Economie

5 VERDIER Marie-France Bordeaux 4 - Droit public5 bis DIETSCH François Metz - Droit public

6 TICHE-ILLES Suzanne Montpellier 1 - Pharmacie6 bis TERESTRI Pierre Nice - Chirurgie buccale

7 RIBAUX Christian Lyon 1 - Sciences biologiques7 bis GRIMOUD Anne-Marie Toulouse 3 - Bologie

8 RETTERER Stéphane Toulon - Droit privé8 bis de LACHEISSERIE Antoine Grenoble 2 - Droit privé

9 COMBY Francis Limoges - Biologie9 bis CARBONNE Bertrand Bordeaux 1 - Electronique

10 JUGE Marcel Nantes - Sciences du médicament

10 bis SERVIERE-CHOURAQUI Paris 2 - Sciences Ghislaine économiques

11 SOBRAQUES-DOUNOT Chantal Toulouse 1 - Droit public11 bis CHASSAING Jean-François Paris 10 - Histoire du droit

Le 20 mars, pour tourner la page de Mai 68, Votez et faites voter pour les listes de l’UNI

Comment voter ? Dans chaque université ou grand établissement un bureau de vote sera ouvert de 8 heures à 18heures, le 20 mars 2007. Pour tout renseignement, n’hésitez à nous contacter au 01.78.16.40.30