Banque africaine de développement
Semaine de l’évaluation 2012
PROGRAMME
3-6 décembre, 2012Amen Bank
ATR BNovotel
15 Avenue du GhanaP.O. Box 323-1002
Tunis-Belvedère, TunisieTel: (+216) 71 10 39 00/(+216) 71 35 19 33
25 années de l’évaluation à la BAD
Semaine de l’évaluation 2012
IntroductionBienvenue à la Semaine de l’évaluation 2012 de la BAD.
La semaine de l’évaluation de la BAD, une Indaba de l’évaluation, est un événement d’apprentissage annuel organisé pour servir de plate-forme devant permettre au personnel de la Banque d’échanger des vues, de débattre et de ré!échir sur les principaux enseignements tirés des évaluations des programmes de la Banque.
Rejoignez-nous pour discuter et partager vos idées avec les praticiens du développement et les spécialistes de l’évaluation de la BAD, Banque mondiale, IFC, BAsD, BID, FIDA, pays membres régionaux de la BAD et autres ; et pour célébrer les 25 ans du travail de l’évaluation à la BAD.
Comme ce programme le montre bien, chaque jour o"re des activités di"érentes et des occasions diverses d’apprendre sur des sujets variés. Nous espérons des discussions intéressantes et enrichissantes et allons consigner le compte-rendu de cet évènement et le distribuer a tous les participants qui souhaitent le recevoir.
Nous souhaitons vous réserver un accueil chaleureux pendant ces quatre prochains jours. Bonne semaine de l’évaluation!
Salutations cordiales!
Rakesh NangiaDirecteur du département de l’évaluation des Operations
Évaluation pour le développementÉvaluation pour le développement
Évaluation et développement : dé!s et opportunités
Accès aux connaissances en matière de l’évaluation :
Le programme de développement s’ampli!e et gagne en complexité. Il est de plus en plus évident que le succès passe par une compréhension élargie et plus profonde des secteurs, des pays et des problèmes qui se posent, ainsi que la reconnaissance que, dans le travail de dévelop-pement comme partout ailleurs, « il vaut mieux avoir un tout que la somme de ses parties ». D’où la nécessité d’une vision plus globale du travail de développement, d’une plus grande coordination des interventions et d’un accent plus marqué sur l’apprentissage à travers un retour d’information continu à chaque phase du cycle de développement.
Quels sont les principaux dé!s auxquels sont confrontées les institutions de développement dans cet environnement complexe caractérisé par l’interdépendance ? Ces institutions sont-elles des organisations su#samment conscientes et outillées pour tirer des enseignements de leurs expériences passées et s’adapter pour une e#cacité accrue ? Si oui, comment ? Comment l’évaluation contribue-t-elle au travail de ces institutions et dans quelle mesure peut-elle les aider à accroître leur e#cacité ? Comment ventile-t-elle les impacts et mesure-t-elle des questions complexes comme la soutenabilité ?
Cette session adoptera un format sur le modèle du Forum économique de Davos, dans lequel les panélistes et les orateurs peuvent interagir entre eux et avec les participants.
Les connaissances et les informations tirées des évaluations ne peuvent servir que si elles sont disponibles aux intervenants. Pour cette raison, la plupart des départements de l’évaluation s’e$orcent d’assurer que l’accès à des telles connaissances soit facile pour les intervenants.
Cette session présente trois outils qui donnent un plus grand accès aux connaissances et informations en matière de l’évaluation :
(Evaluation Results Databaserubriques par thèmes ou par pays, en fonction des besoins des utilisateurs.
Evaluation Information System -
Foire du savoir
publications récentes.
Les participants auront la possibilité d’interagir avec des évaluateurs. Ils recevront des réponses immédiates à leurs questions sur l’évaluation en général ou sur une évaluation en particulier.
Évaluation pour le développementÉvaluation pour le développement
Évaluation et développement : dé!s et opportunités
Accès aux connaissances en matière de l’évaluation :
Le programme de développement s’ampli!e et gagne en complexité. Il est de plus en plus évident que le succès passe par une compréhension élargie et plus profonde des secteurs, des pays et des problèmes qui se posent, ainsi que la reconnaissance que, dans le travail de dévelop-pement comme partout ailleurs, « il vaut mieux avoir un tout que la somme de ses parties ». D’où la nécessité d’une vision plus globale du travail de développement, d’une plus grande coordination des interventions et d’un accent plus marqué sur l’apprentissage à travers un retour d’information continu à chaque phase du cycle de développement.
Quels sont les principaux dé!s auxquels sont confrontées les institutions de développement dans cet environnement complexe caractérisé par l’interdépendance ? Ces institutions sont-elles des organisations su#samment conscientes et outillées pour tirer des enseignements de leurs expériences passées et s’adapter pour une e#cacité accrue ? Si oui, comment ? Comment l’évaluation contribue-t-elle au travail de ces institutions et dans quelle mesure peut-elle les aider à accroître leur e#cacité ? Comment ventile-t-elle les impacts et mesure-t-elle des questions complexes comme la soutenabilité ?
Cette session adoptera un format sur le modèle du Forum économique de Davos, dans lequel les panélistes et les orateurs peuvent interagir entre eux et avec les participants.
Les connaissances et les informations tirées des évaluations ne peuvent servir que si elles sont disponibles aux intervenants. Pour cette raison, la plupart des départements de l’évaluation s’e$orcent d’assurer que l’accès à des telles connaissances soit facile pour les intervenants.
Cette session présente trois outils qui donnent un plus grand accès aux connaissances et informations en matière de l’évaluation :
(Evaluation Results Databaserubriques par thèmes ou par pays, en fonction des besoins des utilisateurs.
Evaluation Information System -
Foire du savoir
publications récentes.
Les participants auront la possibilité d’interagir avec des évaluateurs. Ils recevront des réponses immédiates à leurs questions sur l’évaluation en général ou sur une évaluation en particulier.
Semaine de l’évaluation 2012
Lundi 3 décembre, 20128h00
AMEN Bank
Café
9h00 Accueil : Rakesh Nangia, Directeur, Département de l’évaluation des opérations (OPEV)9h15 Lancement o!ciel : Samy Zaghloul, Administrateur à la BAD, Président de CODE9h30 Orateur principal : M. Tertius Zongo, ancien Premier ministre du Burkina Faso : Dé!s du développe-ment en Afrique9h50 Discussion du style de DAVOS entre experts : Évaluation et développement : dé!s et opportunités
Modérateur : Jim Adams, Ancien Vice-président, Banque mondialeCaroline Heider, Directrice générale et première Vice-présidente, Groupe indépendant de l’évaluation, Groupe de la Banque mondialeEmmanuel Mbi, premier Vice-président/COO, BADEmmanuel Tumusiime Mutebile (Gouverneur de la Banque centrale d’Ouganda) (à con!rmer)Mustapha Nabli, Ancien gouverneur, Banque centrale de TunisieRajat Nag, Directeur général, Banque asiatique de développementShehu Yahaya, Administrateur à la BAD
Coordinateur :D. Puetz
Rapporteurs :P. JacksonE. Kouadio
8h00 – 12h00 (midi)
Stand d’exposition d’OPEV sur les connaissances Coordinateur : H. Ayari
12h30 – 14h00
Déjeuner Novotel
RSVP
Lancement de l’ouvrage intitulé : Multilateral Banks and the Development Process : Vital Links in the Results Chain (Les Banques multilatéraux et le processus de développement : liens vitaux dans la chaîne des résultats)
Présentateur : Vinod Thomas (auteur)Directeur général de l’Evaluation indépendante à la Banque asiatique de développement
Président : Moegamat Khan, Administrateur de la BAD
Panel de revue de l’ouvrageAnnette Brown, Directrice adjointe, Services de l’évaluation de l’état d’avancement et d’impact, et Chef du bureau de 3ie à Washington, DC Mthuli Ncube, Economiste en chef et Vice-président, BAD Alejandro Soriano, Evaluateur principal, Bureau de l’évaluation et du contrôle, Banque interaméricaine de développement
Coordinateur : P-J. Kingbo
14h30 – 16h30
ATR-B
Accès aux connaissances en matière de l’évaluation
Souleymane Dieye Q&R : Foday Turay
(enseignements tirés des rapports de l’évaluation) et Système d’archivage de mesures de gestion : Jocelyn G. Tubadeza (Banque asiatique de développement) ; Q&R
Session parallèle Foire du savoir
Session parallèle Comité informel sur l’intégration régionale : enseignements tirés de la perspective asiatiqueRajat Nag, Directeur général de la Banque asiatique de développement
Rapporteur :S. Houetohossou
19h30 PM
NOVOTEL
Dîner o"ert aux invités de marque par le Président de CODE Coordinateurs : J. Kitakule/
H. Ayari
Évaluation pour le développementÉvaluation pour le développement
Un secteur !nancier inclusif pour une croissance équitableDans cette session, le débat sera axé sur la question d’un secteur !nancier inclusif, et s’appuiera sur l’expérience des panélistes. La session mettra en évidence des expériences di"érentes portant sur la micro!nance et le microcrédit en tant que des instruments e#caces suscep-tibles de favoriser l’atteinte de la croissance économique et la réduction de la pauvreté. Les échanges tenteront de démontrer comment la micro!nance peut jouer un rôle crucial dans l’atteinte des objectifs de réduction de la pauvreté en fournissant aux entrepreneurs l’accès à des services !nanciers de base qui leur permettront de faire des a"aires, de générer des actifs, de consommer et de gérer le risque.
Des experts du secteur !nancier de la Banque et leurs homologues d’autres banques multilatérales, vont répondre à des questions clés sur les enjeux du secteur !nancier inclusif et les contraintes à l’accès au !nancement en Afrique. Les échanges viseront également à trouver des réponses aux problèmes du micro!nancement en Afrique.
Le rôle du secteur privé en Afrique : enseignements tirés des évaluations
Cette session se fonde sur une évaluation du portefeuille des opérations non souveraines de la Banque. La croissance accélérée des opérations non souveraines, les dé!s liés au climat des a"aires en Afrique, la crise !nancière ou de l’eurozone et le rôle du portefeuille non souverain consistant à aider la Banque à atteindre ses objectifs et la croissance économique, tout comme l’allègement de la pauvreté en Afrique, sont autant d’éléments catalyseurs devant permettre à la Banque de réaliser un examen critique de son portefeuille non souverain. L’objet prin-cipal de l’évaluation était de réaliser une revue indépendante de la stratégie actuelle des opérations non souveraines et de la performance du portefeuille des projets d’opérations non souveraines approuvés, a!n de véri!er l’alignement sur les objectifs et priorités stratégiques de développement du secteur privé.
L’objectif de la session est par conséquent : a) de fournir une plateforme aux banques multilatérales de développement et aux parties pre-nantes de la Banque – celles qui sont impliquées dans des opérations du secteur privé – pour discuter des conclusions et des leçons tirées de l’évaluation des opérations non souveraines ; b) de faciliter un échange entre les évaluateurs et les praticiens des opérations du secteur privé d’autres banques multilatérales de développement ayant des modèles opérationnels similaires ; c) d’examiner et d’analyser les recom-mandations de l’évaluation et les modalités d’application.
Enseignements tirés des évaluations du secteur de l’eauLes ressources en eau et les services de l’eau en Afrique sont sous développés. Moins de cinq pourcent des eaux de surface et souterraines de l’Afrique sont exploitées. L’exploitation de l’eau à des !ns de production agriculturale et énergétique est bas, contraignant la croissance économique, la réduction de la pauvreté et la réalisation des OMD.
En Afrique subsaharienne, 40 pourcent de la population n’a pas accès à l’eau potable, 69 pourcent n’a pas accès à des installations sanitaires modernisées et les situations sont pires en milieu rural. Les conséquences de ces statistiques pour la sante sont énormes. Plus de 1 million d’enfants africains meurent de maladies liées à l’eau chaque année, beaucoup avant l’âge de 5 ans. L’intensi!cation du changement climatique, de la croissance démographique, de l’urbanisation et des évènements extrêmes (tels que les sècheresses et les inondations) pose de nouveaux dé!s à la gestion de l’eau dans la région. Pour ces raisons, la gestion des ressources en eau est un investissement clé pour la Banque africaine de développement et d’autres institutions. Obtenir des résultats dans le domaine de l’eau est donc au cœur de la performance de l’institution. (extrait d’une évaluation OPEV : Integrated Water Resources Management)
Quels sont les enseignements à tirer qui permettront de réaliser nos objectifs ?Cette session portera sur les enseignements tirés des évaluations du secteur de l’eau, avec la participation de la BAD, IFAD et du Maroc.
Semaine de l’évaluation 2012
Mardi, décembre 4 20128.00
8h30 – 10h00
ATR-B
Café
8h30 - 10h00 : Secteur !nancier inclusif pour une croissance équitable
Président : Mohit Dhooorundhur, Administrateur à la BAD
BADJean-Luc Bernasconi, Chef de division, OSGE, BAD Mohamed Kalif, Chef de division, Secteur privé, BADMohamed Manai, Chef de division, OPEV, BAD"ouraya Triki, Economiste principal, EDRE, BAD
SFI: Marvin Taylor, Directeur IEG/SFI, Banque mondiale
Nicholas Burke, Spécialiste de l’évaluation, ancien Responsable de la micro-évaluation à la SFI
RapporteursJ. MouandaC. Banse
Café
10h30 – 12 h00
ATR-B
10h30 -12h00 : Rôle du secteur privé en Afrique : enseignements tirés des évaluations
Président : Hau Sing TSE , Administrateur à la BAD (à con!rmer)Présentation : Mohamed Manai, Chef de division à OPEV
Perspectives:Nicholas Burke, Spécialiste de l’évaluation, ancien Responsable de la micro-évaluation à la SFI Alejandro Soriano, Spécialiste principal de l’évaluation à la BIDNathan Subramaniam, Spécialiste supérieur de l’évaluation (Secteur privé) de la BAsDMarvin Taylor, Directeur IEG/SFI, Banque mondiale Tim Turner, Directeur, secteur privé, BAD
RapporteursM. DiomandéM. Cunha
12h30 – 14h00Déjeuner Novotel
Utilisation des évaluations, Ian Hopwood, ancien responsable principal à l’UNICEFRapporteur : J. Kitakule
14h30 – 17h00
ATR-B
14h30 – 16h30 Enseignements tirés des évaluations du secteur de l’eau
Président : Francois Kruger, Administrateur à la BAD, Président de CODE (à con!rmer)
Présentateurs : Anasse Aissami, Chef de division, BIsDRamesh Adikari, Ancien directeur du Département de l’Evaluation indépendante à la Banque asiatique de développementFoday Turay, Evaluateur en chef, BAD
Participants à la discussion :Abdirahman Beileh, Directeur par intérim, Agriculture et agro-industrie, BADOsward Chanda, Chef de division, OWAS, BADN. Elmounzil, O"ce National de l’Eau Potable, Maroc
RapporteursH.Onishi J. Mouanda
Évaluation pour le développementÉvaluation pour le développement
Retards dans le décaissement en faveur de projets à la Banque : que savons-nous et que pouvons-nous faire ?De longs retards dans le premier décaissement et le lancement du projet semblent constituer une entrave à long terme à la performance des opérations de la Banque, selon les évaluations du département OPEV. L’impact des retards sur la performance des projets exige qu’un e"ort systématique soit entrepris pour comprendre pourquoi certains projets prennent un retard considérable, alors que d’autres ne le font pas. Les réponses à cette question sont d’une importance capitale pour la formulation de stratégies e#caces d’atténuation de l’e"et des retards prolongés sur la gestation des projets.Cette session fournira un cadre d’échange sur le lien entre les retards dans la gestation de projets et la performance dans les opérations de la Banque. La session explorera les caractéristiques des retards dans le premier décaissement à la Banque africaine de développement et analysera certains des facteurs essentiels qui in$uent sur le lancement des projets.Les exposés et les échanges devraient favoriser une compréhension partagée de l’étendue du problème et proposer des solutions possibles.
Dé%s en matière d’intégration (genre, environnement, secteur privé) dans les programmes de développement
Le principal dé% en matière d’intégration des questions de genre dans les programmes s’est avéré être l’incapacité de la haute direction à aller au-delà des politiques et du discours pour s’engager pleinement dans la mise en œuvre de changements organisationnels, la dotation en personnel et en ressources, toutes choses nécessaires à l’intégration de ces questions dans les programmes (Rapport sur le genre du département OPEV 2012). Cette session fournit un cadre pour un échange de vues et une ré$exion sur les enjeux de l’intégration (genre, développement du secteur privé et environnement) dans les programmes de développement. Etant donné que la liste des programmes d’intégration s’allonge, les pays et agences de développement parviennent-ils à tirer des enseignements de leurs expériences passées ? Le débat essayera d’identi%er les di"érentes options qui s’o"rent à la BAD, aux gouvernements nationaux et aux autres organisations de développement pour gérer comme il se doit la prise en compte de ces questions.
États fragiles : comment sortir des sentiers battus – dé%s et opportunités
En sa qualité de banque de développement multilatérale au service de toute l’Afrique, la BAD a la responsabilité particulière de prévoir une programmation sensible à la fragilité qui peut a"ecter ses pays membres régionaux en situation de fragilité ou en voie de stabilisation (Rapport de l’évaluation OPEV 2012). Les États fragiles représentent près du tiers des pays africains, et, en dépit de leur diversité, font face aux mêmes dé%s en matière de développement.La plupart des États fragile ont des besoins tellement importants et profonds que l’on ne tente pas souvent de chi"rer la totalité des besoins d’aide au-delà des cas d’urgence. Au cours de la décennie passée, des e"orts ont néanmoins été faits par la BAD pour élaborer une approche plus explicite et systématique d’appui aux pays membres régionaux « fragiles ». La Banque a suscité une prise de conscience générale des besoins spéciaux des États fragiles dans ses activités et a alloué des ressources %nancières additionnelles importantes pour répondre à ces besoins.Une récente évaluation du programme États fragiles de la Banque a salué les progrès réalisés au cours des dix dernières années. Mais cette évaluation a aussi recommandé un certain nombre de transformations essentielles qui doivent permettre à la BAD de tenir les engagements pris en 2008 dans le cadre de sa stratégie pour les États fragiles. Cette session o"re à la BAD une plateforme pour poursuivre le dialogue engagé sur l’appui aux États fragiles. La session est une opportunité i) de partager des expériences et d’apprendre des autres acteurs travaillant dans les pays sortants d’un con$it; ii) et de comparer les conclu-sions de l’évaluation et de veiller à l’ampli%cation de la dynamique du changement recommandée par l’évaluation de la BAD. La discussion s’enrichira des éléments de preuve fournis par les évaluations réalisées par la Banque africaine de développement, la Banque asiatique de développement et NORAD.
Semaine de l’évaluation 2012
Mercredi 5 décembre, 20128h00
8h30 – 10h00
ATR-B
Café
Retards de décaissements dans les projets à la Banque : Que savons-nous et que pouvons-nous faire ?
Président : Amadou Koné, Administrateur à la BAD Modérateur : Jim Adams, Ancien vice-président, Banque mondialePrésentation : Guy Blaise Nkamleu, Evaluateur principal, OPEV, BAD
Perspectives:Gilbert Mbesherubusha, Vice-président par intérim Infrastructure, secteur privé et intégration régionale Mohamed H’midouche, Directeur, PECOD, BADVinay Sharma, Directeur, ORPF, BADMarc Cohen, Chef de division, ORQR, BADChi Tawah, Assistant du Vice-président, Programmes régionaux, BAD
Coordinateur :G-B. Nkamleu
Rapporteurs :A. Arthur-KissiMafalda Cunha
Pause-café
10h30 – 12 h00
ATR-B
10h30 – 12h00 Etats fragiles : Comment faisons-nous la di"érence – Dé#s et opportunités
Président : Christoph Kohlmeyer, Administrateur à la BAD
Présentation:Sarah Cli"e, Conseiller spécial et Secrétaire général adjoint, Équipe des Nations Unies chargée des capaci-tés civiles
Perspectives du terrainMargaret Kilo, Représentante résidente de la BAD au Liberia
Perspectives résultant des évaluationsBeate Bull, Conseiller supérieur, Département de l’évaluation, NORADJessica Kitakule, Expert en chef de l’évaluation, OPEV, BADValerie Reppelin-Hill, Conseillère, Évaluation indépendante, Banque asiatique de développement
Rapporteurs :A. Arthur-Kissi
12h30 – 14h00
Déjeuner Novotel
Évaluation d’impact : enseignements tirés des évaluations clés en Afrique
Annette Brown : Directrice adjointe, Services de l’évaluation de l’état d’avancement et de l’impact, et Chef du bureau de 3ie à Washington, DC
Coordinator: F. Avwontom
Rapporteurs:
14h30 – 17h00 Dé# de l’intégration (genre, environnement, secteur privé) dans les programmes de développement
Président : Margit $omsen, Administrateur à la BAD Modérateur : Jim Adams, ancien vice-président, Banque mondiale
Participants à la discussion ;Hela Cheickrouhou, Directrice, ONEC, BADAgnès Soucat, Directrice, OHSD, BADMiguel Torralba, Evaluateur, Fonds international de développement agricole (FIDA)Dotse Tsikata, Chef de division, GECL, BADTim Turner, Directeur, Secteur privé, BADGinette Yoman, Manager, ORQR, AfDB
Coordinateur :P. Jackson
Rapporteur : P-J Kingbo
Évaluation pour le développementÉvaluation pour le développement
Gestion du savoir pour l’e!cacité du développementLa gestion du savoir dans une organisation fait face à plusieurs di!cultés, notamment un manque de compréhension commune de ce que l’on entend par gestion du savoir et de la manière dont elle pourrait être mise en œuvre, des di!cultés pour obtenir l’adhésion de la direction et du personnel, et, très souvent, des contraintes budgétaires.
Dans les pays en développement, ces dé"s sont accentués par certaines des caractéristiques du contexte du développement : les interventions concernant le développement impliquent en général plusieurs partenaires, qui doivent travailler en synergie et partager des connaissances dans des contextes et des réalités di#érents ; l’environnement du développement est complexe et change constamment sur les plans social, économique et politique.
Cette session permettra de discuter de la manière dont les institutions de développement devraient exploiter le vivier de connaissances au sein de la communauté pour soutenir leur travail. Les panélistes s’inspireront de leurs expériences pour discuter des caractéristiques d’une bonne stratégie de gestion du savoir dans les pays en développement.
Renforcement de la capacité de l’évaluation en Afrique : stratégies et dé"s
Les systèmes nationaux de l’évaluation constituent une part importante de l’e#ort global visant à atteindre les objectifs de développement. Ils o#rent une base systématique pour la fourniture d’informations à travers des évaluations rigoureuses susceptibles de guider la politique et l’investissement publics.
Les citoyens et les parties prenantes sont de plus en plus intéressés par la nécessité d’une plus grande responsabilisation au niveau du gou-vernement central et des collectivités locales pour rendre des réussites en matière de politique, ainsi que des programmes et des dépenses de ressources. Les gouvernements nationaux reconnaissent de plus en plus le rôle central que les systèmes nationaux de l’évaluation jouent dans le processus de responsabilisation et de prise de décision. Ce sont ces pressions et ces objectifs qui ont amené plusieurs pays de l’OCDE à intensi"er les e#orts visant à soutenir le renforcement des capacités nationales de l’évaluation en Afrique.
Cette session fournira une plateforme pour explorer les di#érentes stratégies qui devraient être utilisées pour renforcer la capacité de l’éva-luation en Afrique.
Lancement de l’ouvrage : Histoire de l’évaluation à la BADL’histoire de l’évaluation indépendante à la BAD s’écrit depuis plus de 25 ans. Cependant, c’est une histoire qui n’a jamais été entièrement racontée. Pour marquer les 25 ans de l’évaluations, l’OPEV a voulu rassembler les morceaux de son histoire. Le département a choisi de le faire à travers les yeux de ses anciens directeurs, sans qui cette histoire n’aurait pu être possible.
Les souvenirs de ces anciens directeurs ont été rassemblés dans un ouvrage qui sera partagé avec les participants. Certains des anciens directeurs viendront à Tunis partager leurs souvenirs en matière de l’évaluation à la BAD.
Semaine de l’évaluation 2012
Jeudi 6 décembre, 20128h00
8h30 – 10h00
ATR-B
Café
Gestion des connaissances pour un développement e!cace
Président : Vincenzo Zezza, Vice-président, CODEIntervenant : Frannie Léautier, Secrétaire exécutive, Fondation africaine pour le renforcement des capacités
Panélistes :Cecilia Akintomide, Vice-Président et Secrétaire Générale, BADTemi Abimbola, Chef de division à EADI, BADMukesh Chawla, Responsable de la gestion des connaissances, Réseau du développement humain, Banque mondiale Ebrima Faal, Directeur, SARC, AfDB Magatte Wade, Chef de l’unité, ERCU, AfDB (A con!rmer)
Rapporteur : P-J. Kingbo
Pause-café
10h30 – 12h00 Renforcement des capacités de l’évaluation en Afrique : Stratégies et dé"s
Président : Mary Muduuli, Administrateur à la BADIntervenant : Ian Hopwood, ancien responsable principal à l’UNICEF
Intervenants :Frannie Léautier, Secrétaire exécutive, Fondation africaine pour le renforcement des capacitésMichele Tarsilla, Spécialiste du développement des capacités de l’évaluation
Perspectives :Abdul Muwanika, Cabinet du Premier ministre, Ouganda Salim Latib – CLEAR Afrique du SudAdama SENE, CLEAR CESAGJessica Kitakule, Expert en chef de l’évaluation, OPEV, BAD
RapporteursG. Kumbi.M. Diomandé
12h30 – 14h00
Déjeuner Novotel
Lancement de l’ouvrage: Histoire de l’évaluation à la BADPrésident : Mohamed Manai, Chef de division, Département de l’évaluation des opérations, BAD
Remarques : Perrault Franck ; Doug Barnet ; autres anciens directeurs
Coordinateur : P-J. Kingbo
14h30 – 17h00
ATR-B
Panel : Foday Turay, Eneas Gakusi, Detlev Puetz (évaluateurs en chef, BAD)
Invité principal : Mohamed Mahroug : Doyen du Conseil (à con!rmer)Présentateur des prix : Susan Wardell, Vice-présidente, Services institutionnels, BAD
Mot de Clôture : Rakesh Nangia
RapporteursC. Banse
Rafraichissements – Célébration du 25e anniversaire et souvenirs
Évaluation pour le développementÉvaluation pour le développement
Cérémonie de remise de distinctions 2012 du département OPEVOPEV présente plusieurs distinctions au cours de la Semaine de l’évaluation.
1. A!n d’encourager une autoévaluation de haute qualité au sein des départements opérationnels, OPEV honore les membres du personnel qui se sont distingues en produisant le meilleur rapport d’achèvement de projet.
2. Des évaluations de projets identi!ent régulièrement les systèmes de suivi et de l’évaluation mal conçus comme le maillon faible du processus de mise en œuvre des projets de la Banque. En 2012, OPEV récompensera les membres du personnel qui se sont distingués en mettant au point des systèmes performants de suivi et de l’évaluation.
3. A!n de marquer les 25 ans de l’évaluation à la BAD, le département OPEV a invité de jeunes évaluateurs de pays membres régionaux rédigent des essais sur le rôle de l’évaluation dans le développement. Le gagnant participera à la Semaine de l’évaluation et recevra un prix. Des prix seront aussi donnés aux deuxième et troisièmes meilleurs essais.
4. Prix de reconnaissance. Pour célébrer les 25 ans du département OPEV, les anciens directeurs de ce département seront récompensés au cours de cette cérémonie de remise de distinctions.
Rafraichissements—pour célébrer l’OPEV : 25 ans plus tard !