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’ \ r% * <Mj .H» ;jP ljëh R s !p?F - >: ' vf K f _ _ " , - , » r\*»Vfc *i!.ii i-'-FÙte' *1 j ’ 'H • r , " r q faijfy , P0ÜH8H *t4mWirt ài yrMl *r t'*ü{'# M ’Ê T im * • j •"''« V ; i;, <K » y . i » w > . • «irritais. . i.i i . . 7.» “ (L i- fie I :■ 3Î(Vjf.;i|,j J 'V l M-i- • POUR'LE' ’.iK'iH A-i.n ftii : iïïï .ri, v » y-n y .o ki-is KÉl)ACTEUR EN CHEF r Ei COUtttïBÏl. •Sm < ,r; ' ’ AnnoiC crs : La ligrte, 20 c. -+ L’annonce au-dessous de 5 ligne*, i flr. rrr :: ,, , Récl***» : La ligne : 40 c. -f- Bn faits divers, 50 c. i . ■> .~ i . i ■; ,i j .Ni.ni « p i I L’abonnement est payable d’ayanc^. Il r est I renouvelé ai 4 l'expiration en i ' A i rfrtt' ' 'àiui.rtfC. ; ' tW s'w Tss^^j* jRiAia i .Tafifai f ,i 'Trotamefa4'w m n , siHàJé ,<m/on ùM .tà\,nziM --ï. -, •< . r / «a Jlit.v xu«n abi^ W O W ItrM lM UIT R. PAYBK. 7-’ï à ' est jamais interrompu et w^oenstdéré oomma , ne donne pas d’avis contraire. A8ENL18,auB Et chez tous l( Nos ateliers devatit être fermés , s&n^çLi, * premier1 jour de l’an, île Journal de Senlis ne paraîtra pas. llS m m S S S m ^ B Ê Ê B S B B S B B S B Ê '‘nVtHBU- i ' >: 1 . - •> - *■'.?/* * A partir du «"'Janwler, nous tem n ii» 'dos abonnements ' d ’u n m o ts et de deux m o is Jlftipr, la période électorale. IU oonrtltlons anlvutest ; ' Un mois. • • 1 flr. ttO . *«:/»%■• 0 ^ j j x O M IS a 9tt. >5" D A M S L ’è l s i t s e v a l «•> « v u U z \V — .. REUNION 0 : CREIL MàMi, 28 décembre, a eu lieu à Greil une îéunioffpttvéè,;composée de conseillers gé néraux. de conseillers d'arrondissement et de conseillers .municipaux appartenant à toutes les nuances du parti républicain dans l'Oise. Le but do cette réunion était de s'en tendre sur la désignation des candidats au Sénat. Après une discussion approfondie, rassem b lé e a résolu de proposer aux candidats ré publicains. le programme de l’Aisne et de 8eint*lrOise qui, comme l'on sait, se résume «ounéeux peints : D> fendre énergiquement la Constitution du 25 février, dont le maintien •‘fift’u&riumeat nécessaire pour le repos inté rieur et pour la sécurité extérieure du pays, et n'user du droit de révision, si un jour il éétniftdm is. que pour améliorer la Consiitu -«Mëb.ef rion pour la détruire. L'assemblée a pris en outra les deux déci- cetui au* depuis cinq ai «M>é>l#wMdar. Je serais heureux de 1J — Les candidats devront s'engager à ne pas voter.pour la présidence du Sénat ou la fmftodçpce de ta République d’un des mem- .liSea d’une famille qui ail régné sur fa France. '^ /i- L e s candidats républicains ne feront pas d’alliance avec des candidats appartenant à d’autres partis sans le consentement d’une comfplsshju nommée par la réunion, ifcsitfi» ' Avant la désignation des candidats, une «mlÀtiwM été faite pour porter eu première liane la candidature de M. Gérard (de Blain- 'r o i ^ i Wdiiiie iémôigïiage de la reconnais* saaee des républicains de l'Oise pour le seul Réputé du département qui ait soutenu leur Motiôri'a été votée par acclamation et 1 l'unanimité. ..La.réynipp, a décidé ensuite qu’il ne fui enàit pgsjde désigner des candidatures irière.déflnjlive, mita seulement de rqè^ noms, parmi lesquels Jes jlélé Æoisirtdènt lés Candidats, îs, comme devant, être pré* _ à sénatorial,' Quitte M. 62- » conseillers généraux dont les noms Al j»*' — r-.l àtlar lMWpb MM. Boodbvillb; Lbvavassbor; le colonel comte d'Anouo ; Lacachk; Aubiblicqub. L'assemblée a nommé ensuite unq commis sion, composée,de douze personnes, qui- sera chargée de communiquer ces décisions >au collège sénatorial. M. le duc d'Aumale vient d'adresser> là lettre suivante aux membres dü conseil géné ral de l'Oise : Bmnçon, 27 décembre 1875. Mon cher collègue, Vous allez être appelé prochainement à exercer 1m attributions qui vous sont conférées par les lois organiques et î prendre part aux élections sénatoriales. Je sais que plusieurs men bres du conseil gé néral ont l'intention de donner leur* Voix à celui que depuis cinq anrlls ont appelé à l’hoi ~ ‘ -; ! / “*• ... ...... Tr.^ . continuer àreprésert loi le départemeot de l’Oise dans nos Assemblées politiques. ' L’expérience m’a démontré qu’il n’était pas poraiblo de prendre une part utile aux délibé rations d’une Anenibléè tout en continuant dVxeicer un romman têment tel que («lui qui m’a été confié par le maréchal président de la République. !n 187tk en me présentant aux suffrages des éb-cleurs de I Oise, j’exprimais l’e*pi>ir de pou voir contribuer au rétablissement de la monar chie i-ourtjiutionnelle; mais je disais aussi\qte si mon vœu ne pouvait s'accomplir, je continue rais de servir loyalement mon pays. Et je le sers. H bmri d’Orlbans. DEUX MINISTRES H. le vice président du conseil a enfin ex posé à la tribune, à l’occasion du débat préli minaire engagé sur la presse etl élal de siège, ce fameux programme aunoncé, depuis quinze jours, par toutes les plumes officieuses. La pensée do M. le vice-président du con seil est bien simple- Elle est même si simple qü'elle est enfantine. La voici. Nous sommes beaucoup, a dit eu résumé M. fiufict, qui avons servi Louis XVIII, Louis-Philippe et Napoléon III. Unissons-nous pour renverser le gouvernement quë je suis censé àervir. Bo napartistes, votez pour les orléanistes et les légilimistës; légitimistes et orléanistes, volez pour les bonapartistes. Vous composerez ainsi une majorité. A l’aide de celte majorité, vous obtiendrez la révision de la Constitution et vous substituerez un pouvoir monarchique au régime républicain. M. JulesFavrea expliqué d’un imot toute celle politique à programmé négatif. • Union conservatrice <et monarchique! » s’sst-il écrit M. Buifet est convaiqeu lui-méme de son influence à rebours sur les élections. wLa preuve, c'est qüll a jugé nécessaire d’appeler à soh secours le président de la République* Moi seule, et c’est a^sez, dit la Médée dtC ér- ueiHe lt d|L lui : Moi seul, et ce n’est j^as , asfpt. ÉVsftnir»jren|êpt h ce ptjndpe ’fa^eê meotetre qui veul que le chef du gouvetr- * ment soit oeuvert par son ministère,’letbii tère se falt-couèrir patrie chef cfu gouver ment. . . Par une ironie amère, ce n’est pas de; la gauche qu'.est venue la réponse ta plus acca blante au discours de M Buffet; c’rst du banp ministériel lui-mômeque s’est fait en tendre la. parole accusatrice. C'est un col lègue, c'est un membre du cabinet homogène qui a montré, lundi, à M. Buffet la voie cons tilutionnelje.v A H. Buffet, soutenant ouvertement les révisionnistes et lés çspéfariciert de droite, M .'Dufaurë’a répondu : s la révision a été adm|èe',Commé ‘ un moyen de proflfer de l’expérience que procurera la pratique loyale 'do la GdnsUtutlon sur ses mérites et ses dé fauts; mais celui qui, dès à présent,1 avant qu’elle n'ait été essayée, vient me déclarer qu'il la regarde comme détestable, n'en fera jamais une expérience sincère; je ne voterai pas pour lui 1 » Abandonné'par l’Assemblée, <!il ne manr quail plus à M. Buffet que d’étre condamné et désâyoué pafses collègues. lüAde.la'mâuvàWe humeur de M. Bul fet II perd, en vérité, son temps à vouloir persuader au pays que s'il n’est pas avec lui, il sera livré au spectre rouge, ce,fameux fan tôme insaisissable, que M. Buffet ne peut parvenir à prendre et dont il persiste à mon trer l’ombre effarouchée au pays qui n'y prend plus garde. Les électeurs répondront dans quelques semaines aux fantaisies gouvernementales de RI. Buffet ; le pays fera, sur le terraiu des élections, la véritable union conservatrice, c’est à dire l'union de tous ceux qui ont voté franchement la Constitution républicaine du 25 février, et qui en veulent le maintien et le développement progressif et régulier. E. C. «ouverts de son auterité et qui n’auraient pas été accueillis part ies électeurs La presse de toutes nuances « Nous ’tûtiiM alors !• vpectid#, 'peot-êtra «r il est trop &dle AtaW-MfcilitoSLJ.-.,, aiBaBSE unanime à blâmer la façon dont uir le prMMenl débat auquel uniqiie dan* I histoire, non pM'd'od'parti; mais *st presque de t'oi* parti* au |>ouvoir. Ces trma'pafrtfs, qui M. Buffet a n’avsieui pour mot d’ordre que 'des 'Baines fait intervenir le présidênl de la République rommunw et oui.1toujouradWrd1Nurtout •“ a devait rester étnpèt-her, né iétatent jitittai* p o u r ^ r t éTlter* à titre officiaux, dans la 1 pc* flevos éUi.t MU ballon d’essai. dans étranger . ... . La note de VAgence Havas n’a point été insérée au Journal officiel. Sans douta l’in sertion de cette note, à litre Correspondance ....... M. le, vice président du conseil a voulu sa voir Cbmmeùt on IcceplerSlf cétuf tentative d’ime inierveBtidit pentomielle de M. le ma réchal tant sur le terrain parlementiire que sur le terrain électoral. M Buffet sait'main tenant à quoi s’en tenir. Le haro a été uni versel. Le Manifeste dn feutre,gauche. On lira le mani'este qoe le feotre eaiiche a voulu adtessetiu o n s oyaul de lui restituer son mondât Cesl Cbislolre obréide de .ee ;rqupe psrlémenlaire, sou programme - — r cette impuissance mime 4 ni* comme *i ron p L'intervention dn Maréchal. L’agence Havas à communiqué aux jour naux la Note suivante : « Après avoir lu le compte-r«ndu ils la séance de vendredi, M. le maréchal-président de la République a écrit à M. le vire-pré>-ident du conseil pour lui. témoigner sa sali?fanion du discour* qu’il venait de prononcer et h- féliciter d'avoir si neitsment défini les vrais conserva teurs,, auxquels fa gouvernement fait appel; qui, an se préoccupant exdusiven «ni do* intérêts do la France, maintiendront 1 union dans les nouvelles Chambras. ■ M. fa maréchal opprime la confiants qué la majorité des électeurs comprendra ces sonti- ments st s’y asrociora. » La Noté attribue à M. Ic président de; la République des vœux au sujet des prochaines élections, dont l'expression excède li s attri- butiQns dans lesquelle> la .Constitution a Vpulu que le premier magistrat du pays se rénfèfmât M. lé président dé la Réuubjique a,été placé par les lois constitutionnelles en dèho» ét, au' dessus dé la mêlée des partis II est te chéf.de. l'Etal, il veillé à l’exécutipü des lois dont il est le gardien. Mais toute Jngm uèeqé,sa part dans les élections serait epiptèTeménriàcheux : or, la dernière plifase de là Note semble avoir pour objet de pfàcér la politique de résurrection de la can didature officielle, tlont M Buffet est |p véri- Wbtè àiitétfr, Aous le patronagq même du chef Ce serai^léifàlre'deKei^fé'dàOs l’Arène deo,passtOtiSipohtiques, compromettre sa di- gnilèietiPee pouvoirs mêmes, car ce serait "exposer à se taire battre en la persoune de tous les candidats malheureux qui se seraient pb Idsnsn.:* 'iiielboit*» : j nsolider I œuvre consti tutionnelle issue de sa'persévérante initiative. Le manifeste du cénlre gaucbe est l'exposé loyal et sincère d'unà politique honnête, pa triotique et pratique. Les hommes éminents qui composent ce groupe donnent une fois de plus ici la mesure de leurs qualités, de leurs aptitudes gouvernementales Leur programme est très simple ; après avoir fait la République.,il s’agit de la ra;re vivre par j'esprit de conciliation, de tolérance, de liberté, de progrès II s’agit d’unir sur fa terrain constitutionnel tous les éléments di visés d’un pays qui n’a pas fyop de toutes ses forces pour recouvrer sa grandeur passée. La France entendra avec, plaisir Ce langage simple, élevé, exempt de haine, qui ne res pire d’autre passion que celle du patriotisme, et nous ne doutons pas qu’elle ne s’empresse de lui faire écho. • Messieurs. « Au moment de noi.s*séparer pour compa- raltiv devant le pay«, il ne vou* nemble-a pa* iniipportun de jeter un regard en arrière sur la route parrourue, surtout si, comme nous je pen.-ons, cé retour sur notre conduit» pâmés nou- trace clairement no* devoir* pour t’avenir. « Il est, en effet, des aries qui équivalent h de* engagements, parce qu’ils supporenl des dessins suivis, d* longs effort*, des consé quences toujours |euie* à se produire. Les nôir*,s Ont eu émuiemmsnt ce caractère, et il aous Miflirait au besoin da dire ce que nous avons lait pour détermipsr »'p qu’il .nous çesla i Taire. « Là rie-pourabdilé que nous devons a**umer devant fa pays së résuma essentiellement dans l’œuvre que l'A«*emblee nat oialr vieil d|ac- complir, en nous donnant une Constitution. N«u* ifammés heureux d» reconifalire la part considérable qui convfaàt à aos collègues de Ltonte opinion, dan* nne têehé où ils orti' apporté tant d’ahnégalidn W(tasaut»1 «politique; mais il nous est permis da rappel rqup, o est avant tout '4 la' persévérante ini^atiye dn centre , gauche que cette cause a dû son triomphe,' . « Vous vous en souvenez, rneraieurs, Iprtq'u», api'ès une défaite qui a» lut pa* sans glotre, f nous reprîmes ce progVanim*. constitutionnel , comme un drapeau qu’on relève sur fa chanip de t>>tai ta, las cir< éns'ancrs h’éiawnt guère de n-tur'* 4 nous donner confiante. ù. • (Cétau pour avoir éairepris, Veile tâche avant 'Je .ténijé,' di*ait-on, que, H. Tb'iere avait ; où abandonnér ünV pouyotr qu‘îl éVait illnslré .v par. a icfinroneUî reHiàis ^ ’& prwi’dpr effort, .iluerie tègnedi^la ta» 4 uûpàçfaffét étapêcher, ceieni d'ériger fèmé de' gèUVtmixiinu, cuiuun n gouverner avec dre negàtion»; il» Ro TMIaient 'Une sorte de'dogme'qu’ils décoraient du' Rbm 'de politique con^rvafriee. e C’est au mdfau dé ce éhàbs d’fatai^ét' de voldrité» discordanio*, de ‘d ite eqfaéd'd’War- cbie légale qui visait 4 se perpétueé indéfini ment ‘sou- dés livides proVisoiiW;‘’^U*,,Vous lv « enitapns Be rendre a^Ce pèn^ii.qdiet, trouble, sans lendemain, le èalme, la ‘Wcurité, et cette paix (irofohdé que dM instilRtieBs défi- iiilivé* ponvaient’srtrtée lui tfseufar. « Arrêtée |a r dre ohstyrtee1 He ton» genre,’en brille tafitô' aux accusation* d e’tratt3qfci.Was relusauni jioqu'au droit de oinstituer,1 tidilôf aux troniredeceùX jui v.iUBenviaiWitsecrétément vos ««itérantes, v»u* avez Opposé 4 tonte*'les attaqiie' U(,e i enstante modérafon etIIy ëVait de votre |>art quelque mérite 4 être modérés dans la défaite, Ionique vo* adversainrelVAattait •iÉ^nsla victoire.'ISahS Ta1atiHtnel'i>o«r iüciàn» , » fatre riTre. xrtotvimé pardl ' ééfal.rv,iwrce que ce Wgîme v< us *eniblan le 5cu| [KWnbl *. du jaur où vous avez jugé la Hûpubl que néceesaire-, voas l’avre voulue irréprochable, • Vous viiu* êtes attachés 4 la montrer au p:ivs •’lroitem* nt liée aux intérêts conservateurs, ne -éparant jamaW ni fa démocratie de la liberté, ni fa liberté de l’ordre. ,. - * Vous avez lép' dié avec énergie tas traditions trop fameuM-s qui la rendaient un épouvantail pour Ira e*pnt* sages; vou* ava réclamé une Repiililique I bérale. éclairée, tolérante, ouverte 4 tous; vous avez voulu1quitta foridèl désor- « Rats nous I’ayqp»» ü Franco, ta dilfiréta pruG. d» fixer Ire i'>Mituiione ,d pas 4 faire MW œuvre».* san* défaut, il comiste,® pacte qui procure14 l’accord «t 1 hirmoi . * Ce ne sont; p fopt/ qu’elle cônsai re et 1 Il imuorte as«ez peu que les I mécontents, pourvu hue la oa _____ satisfaite. u ■ - i.î wtsh iiT • Si nous avoM tenu 4 vous i faits, re.nty. pofa>FOpf vamt»jéqiymiofjip annlauHir nous-roêi iraceuL.syjypnMq ,0 pour rayepir, ,pt;.p , pérreleitaclprelfflut , Vou* avez beaucoup, fa é*W» 4 dire que volt- " “•* en spectateur» paiaibl pare? Lofa de vous ç niais *«* enr—*sur les s**rvnes qu'elle peut r dre eu ofTiaul plusdegaranties 4tousiesdro plu* <te prot-ction 4 tous Ire intérêt*. V<»üsavezentnu'édon respect invariable l’ai douté présidentielle du m aréchal'dIbc- M-dion, fa seule qui eù été constituée, as-ures de retrouver toujours intact dan* se* mains le d'-pôt ip'i avait été co fi« 4 -on honneur. « A IVmdntre d’hot mes d’Etit qui n’ont apjKirié au |ioiivoir que des vaes etdes pansions de parti, vous vou» êies efforcés'd’sgir et de parler «lS7>s l’op|>osntion en homrtire-d^g'Aiver- nèmtnt. Vou* avez inieux faitque de vous parer du nom de conservateurs ï-qoaud d autres se montraient surtout soucieux d’en revendiquer 1e litre, vous en avez pratiqué les maxime*. La conservation sociale n a'jamais été 4 vos yeux la doctrine de l’immobilité. • Vous I avez comprise .comrte un 'pnnripe d'action, VHUs-avrZ 'vu en êllr cette forte pro gressive qui est la loi même de la vie. vous sou venant que dans Ire eociétés comme dans la naïu-e tout <e qui ne tend pès 4 se développer est coudamué a dépérir. • Dan* un pay* dont ta gouvernement venait de disparaître ' au itèlfau d’uile épouvantable cetasttoph , ta premier acte de conservation était,selon vous, d’en fonder un nouveau; c’était J’assuier l’avenir, de erter un ordre légal, de pacifier les esprits, de taire, ea noimot, «ne constitution. ■ Voilà, mereieurs, le devoir clair,.pressant, ii exorablé que voüs navre cessé do rapphier 4 ceux i|m conservaient l’e*poir d» dispoeer'de la nation saés «on aveu ou deüa dtnger 4«on insu vers un but occulte Cequ» voys avez veWlOj VOtw’l’èéVt 'fait >hl ■ nmAIV lalu ‘ihrli. 'i'À i M n '« 4 w » 'A i àiM hM i' IHmel». a . ta (»J« c«nnalira ta tius ta ttai.| le* holnnte* doivent ê lr t1 'leurs t^rtlrei triais JW’- 'Wi iiiitaoiWrtJstaM*, 4 encore re^i la ‘t seule décisive. ............................... « Pendant longtemps vous aurez 4 la j>roté- gor contre tas altaquevde odi dRo4«iœ otJpéul- être aussi contre les impaUencea dliidiriirop ardents ou trop aventurtux» Oooé)véiisifaip caché, c’ret 4 cette épreuve qttfaN* ■ Vous avez trouvé, «tfotfoooyi jorité pour la voter, mais on vouà fois m u au défi d’en trouver Usap tepir et la fur» fonctionner. F . sieur», ce défi yous indiqeO-.safflmmaadht co qt/il voüs reste 4 faire. « àtvôi» e Voùspourrirtfyrépondre'èWbfaotldiHlèns la Chambre actuelle tons lre élérareàsrtlolétte majorité qui se' défendrait d'eile-iiiàaoÿva4ton it’avail pris 4 niche de fa lîdispetaariiHf' deq la disHOudre. Mai», aü moment né'VdOOiIpM devant vos-éÜKtaehv, grâce 4 vous plaindre d'une' pi •caé eeeônt'eoxqiti'vroBt'aa pour vous. . '.im iili s • Cette majorité qu’on vous conteste en affi chant l étrange prétention de souleoiroDoCoR»- inulion avec le concours exclusif,,#, #sr(| om- mis, fa pays va vqys;la,d9mtaf»«M9 fPÜroll^ü BC presse a la i^rte desdfpx Chambra^ :, Tendez-lui lé maiu, 'l dinrellt'fcxcilc imlion «|uo~ -n q fiait ee, mais que vous n avedipdà iM friiw k- tee en suspecte! Or vous demande votre p gtamme; je voilà tout.entier en an p—' — J • Votre programme, C’ëAt’la'W cette majorité nouvéllé màdéCilÉrMi la loi, c’ést la cûiikolidâWfa ^de •’M* que vods aiix 'délWtée, t’est T grand pàrti consritdltai’inel et porte eufin toute* nos divisitif un latge coéràtit ( « Ce pregrâmme^uéer‘'“' les homme* qui veuItnL bre, prospère, et la Ff mieux que (e* sayantài érii à déchiffrer. A la stérile c de» rançynre, opposons uqoi corde et d’union. noos avec C’est 4 «C*f ces conditions seulement, que vous ponvao eo- 4 votre œu « C’est; 4 l’esprit-de i avons dû h yicfair^i'ff i , rnandsrons la force et je appris ,par plus,,d,’MO( dais nosadversaires de leademaln; né léur sien trop | difficile, at possibilité de venir 4 i -.F’" -■; I . . I . . - ' —4 , " - - - St> ■ - 11-- iu'il *b I bwv. mm .FKUUXETON (M) eèlsaqi liii ^inÜi.ili fli/im.'.1 -iiT omth’Al eb •lu'ini’t M'' •• '“‘d ■ znsèiuH ' "V niI ' .-v*- U N BEAU-FRÈRE •vilürtti àft' i S^jeivu1'ti« ■ s ^ tfO'Itll ' .‘ ; '>dr H*croR MALOT .eRtfa’h e«d:JBjr> •:Wnj tel- ’ ’ dnio n» : --J._ i» «ïjASbt.ii .<•."• , . , ! -iiT pintit it : . » absolument de mlexpliquer pur les faits con tenus dans cette partie de la requête. Ils se rapportent aux souvenirs les plus charmants iM K v le ; je ne les souilleralVàs Danz tout .6œqW éei affaire, je suis 4 vôtre disposition, •aaomloor ta président, mais ceci ne relève ro * dem a conscience I/ldlèrrogatoire eût été dirigé^ar Friardèl •lubtnéme qu’il n’eût pas mieux réussi 4 pousser 4Naértdatta des réponses malhéurèùses. ; etlae là vous ferai remarquer, dltlebréstdtint, qu’il est peu séant de prottorteer de pareils “lots dans cette enceinte, et que vos expl - MMMPUevànt le tribunal n’auraieût jamais ‘*èt(<e"iine souillure pour vos souvenir». '4 pawions Cependant je dois vous faire jfWfher êrtèore qttê si je suis entré dans l ’ôMre'd’Idées, c’est parce quo vous avez l’avez pas.votilti répondre la loi 1 vous .co devient d A porte: Cénéri; . • Il y a dans cétte requête, dit-il, Une fa- Cette àltégàviph, ’liband je Vôps Tarirai expliquée, Vous iPontrera comment nibm ‘ « LJ* ,k fertl deà choses les plus est un mauvais gredin mdre par mes femme et de •ntqrerteH let arbre, jetüiai Jliièul. i»; r e jM j, adversaire simples. Ce ni sone t eh traiii plis sa faire justice soi thème et ,quë. là loi L leày ^ëp u ffr — ParfaltetnenL Seulement si ravi recôürsà là loi, «Uè eût pis m r- - Varia (trie maison centrale on, heureuses dispositions, il Spriit souvent dariSdeà^cabàrêts avéc des gens de la «(extraction : itivrai, dit il assez gaiement, qu’on a pu,quelquefois me rencontrer avec des mar- chands de chevaux, des marchands1 de bœufs .et de» ipaysans; mais- frauchemeut ce n’est .^pas ma faute, si! les princes et les ducs ne quittent pas Paris exprès pour venir m’acheter eux-mêmes mes bœufs gras et mes poulains. Quant 4 mes provisions d’avoilWéCde foin, je Re demanderais qn’è les faire auprès des jol.es comtesses etedes charmantes marquises qui tiennent'boutique dans les ventes au profit des Polonais ou des petits Chinois; mais cé igenjre dé commerce n’étant pas en usage dans uos’cainpagnes arriérées, il faut bien, quand jîal besoin d acheter rr _____________ un produit de nos ü'ys, que.je m’adresse 4 ceux qui ont besoin de lé vendre.,)*''- - • Le président trouva que cette réponse, dan» sa formé légère, était peu respectueuse pour la dignité du tribunal ; mais les deux juges et I. a.tk.iltl.., Mn mwmhI i .U . i .I (I .IX.K.. . m .'il n’adresserait pas d’autres questions au com parent et qu’il allait clore 1 interrogatoire que «elairci aurait 4 signer - .> Pendant que Généri était au tribunal. Hélouis ne . perdait pas son temps Après’ s’être concerté avec Pioline, il faisait; par le « ministère déM* Doubledént, huissier 4 Gondé, »e il ai quuc pa» vuuiu le punir um uro m iid ju-tice; j’ai voulu simplement l'empêcher de récotriméncer, et je crois que j’ai pris lë bon { ,lLo président regarda M du Campart, puis M. LegrUin, nuis le substitut avec un sourire discret. SI l’homme qui faisait de pareilles réponses n’était pas (oui à /ait fou, c’était assurément l'esprit le ,plua faux, la ralsou la. plus faible de France et de Navarre ; ; Cependant sur la fin. de Tinlerrogatolre II së releva un peu. . ; . Gomme le président lui aVafi demandé _______ poürqüoi, au lieu de ne Dréquenter que des les falu de la requête. Quelque latitude que » persoune» de «on rang, on le vqyait entrer aux questions que je vous posais sur des sujets .que je choisissais précisément parce qu'ils ne lia ie n t • b frw W er'^ donner assignation s H. le. comte d’Etuà- quèrais d’avoir 4 comparaître 4 la prochaine audience i our « voir d'durer nulles etde nul effet en la forme et au fond des 'p uranites et diligences 4 fin d’interdiction commencées, et notamment dè' Ta prétendue délibër.itiou du conseil de famille ; se voir faire défense d’user ni de se.Mrtriû du jugement avant faire droit;en outre, s'entendre condamner aux dépens sous toutes réserves, et notamment preuves, mais encore par Tintéfrôgatoik, et que, d ahs'Ce» COOniiMoz, ify'ÜVéit urgence •4 nommer un -administrateur ,.pr visoire 4 la personne et aux biens de 'Mi Généri d’Elur- querais. Lorsque deux i.'MvAaés veulent dihymitsr, comme ou dit au Pilais, le Cbde de procé dure leur odre des ressources‘inépuisables, e- si l’un des deux onnœuvre poiir retarder l’altaire, tandis que l’autre maikBuvre |>our la presser, ion peut noircir des niasses dq tel trts deiiôM i mÿinil HenMOl <*t taMâde, (oui ta letaps' que K iS decin e*l' (Urtade loi, ia sülé ratoui^; li'îhe «ajuiiu 4u,** - bôuvoir de conjurer la maladie, comme votas il me semble, qûe vous conjurez la loi. Si je vous disais que çe mot seul: • là, 161' 'est aussi effràvafit bottr moi due cét alitrè mot tôéla férthé vous disais que çe mot seur. --- aussi1 effrayant pour moi due cet alitrè mot horrible : . le Croù'p ! • VOüs troüVqz 'éàla puéril, parce que vous savez ce que réaferkhe celte loi. le» moyens qu'élle offre 4 vos ' 'advëbàirés poûr béhs ‘attaquer, les tttoyçhs paptar dont le viîlgaire n’a aucune idée 'Sur i. qu’elle nousdqone pour nous détaud^;ntti, ces.assignations (“yeut.par ù6te du Palau, je ne sais d cllé quuëe e b o ^ . ce»! constitution de M«Pioline,puis ptacéi du pu jusqu 4 présent emptther notre^t^g® ;. r. . et qu’elle a permis que I hommc le meilleur et le plus dr»it fut accusé de folie Vouz dites que tnainfaliahl elle Va nou» protî^er. uieu vous entendu! ' u RasMifez-vous, je 'VOÜs réjtate que tas mauvais jours sont passés, ët je vons àtflrtne «(.. UA..o i.ïnn.MkarnnD de toutes preuves par enquête ou autrement. ■ ,, A cette assignation, M* Filsac, l'avoué de Friardûl, répondit aussitôt aye, sans avoir nen-seolêmiitt par de nombreuses . uè/énA _ ficalions, une véritable averse de pépier 'timbré qui par bonheur, tombant seulement dan* le* éludes de» Avoués, laissait Généri tranquille. , Au milieu fie cette bagarre intervint un jtrgeibent dü tribbtfal Ordonnant qu’il serait procédé 4..une enqnfitë sur les; faits dej ‘démcnce et de ftireur, et en même temps; nommant un adminiftrateur jilovHOirtf, » at tendu, dit l’ün dés considérants, que rinsUAUèe I”.” flilodl». tu u devinttbi plusieurs mois de tranquillité, et je peux retarirtW PàW s.F . . A ce mot, GyprienneetCênénsërécrièrent. • Mèsàirti8,Tè m’étais BOnriè huitjoürade vacantes : voici plus de deuX zertiaim * 'que j'ai qditté môn étude. D’àllfadrs majiré^nCc n'est plus nécessaire Ici, ët je vous.âtflriue'que fa jugement, aüTOnd, hè pourra pas être rendu avant six mois. Jà"rie 'pèiix paS rester six mois loin dè'mes'annires. titastfèe pas? En tout ras, vous uvez dans Pioline un homme plutcapable xque moi de tes' bley diriger. Rassurez-vous donc ; je vous donne ma parole que, judiciairement, vousèteapour le moment 4 l’abri de tout danger. — judiciairement? interrompit Cyprieqne. T. QMe voutaz-vous quei ja ; vous promet* de plust - • i b l ! ‘i ’-t - F il ' i: 1 illd'h'tûoûis «eipère Papillon, att4»ise* milllfwy«fi«iH, i l a v a i » , t o u i o » c É u s a i i t , r e o o ^ a r - i- lAi— château. Dans la saBe<dnb«ata^ Alors, en train de jooqr uni part Tournebu ut.Véttiei\»an an«L Généri, renvoyé pour tarogttvfetA un quart d’*eure lei j)railTder«en| comme unetralnéede pinBre;-*», .— •le village. - i -d^lwiws Du vdlage, le bruit avait saaléjf puis de la ville, après^ue!’!'*'’ leTribuiial, il étaèt revént -------- ineoté et enjolivé. Ûaus"t0iit >le lieues 4 laTonde.oo'Déparia* qi diction dli filsd'Blurinnmiii M iea que nous trio — Vous T 1 était h rirai iéreoup — Le nre • Vous savez q u e l fait interdire son fils? - - Tiens, Jé croyais (que rfél - faisait interdire le père. . i..ibuwuï a jl» - La vérité est qus le Vieil aeRianiA pas velé ' Mbilfivnl — Et le fll»?i» (U suite ’ èa ' *-'.I . L o p im m «lUllo/V >nrifiis t'avenir, eue ne iu jukcwv F- ' Comme le poHrën qui Së trohÿe sdbUeti abandonné en plemri nült. elfe ne vùyàit par- tout que des ImàgM menaçantips TjÜe sfin iiuaginâlioù inquiète exàgëruft. XII En province, qulnd un 4 votre porté, tout'le T.... 'V*4«rèW londe u it blenltl », qu.il venhîi V Une heure m piusr .ÿiitin un , vJi»vflA9Kann- — Je ne u ts pas. dit-elle tristement ; mata » avall TalaSêi Wtt ^aurjeate ^ |'»1 pair, ta |« nxinto tw« wolr «talfa* rt *“ r*1Mri ® P**"**1 *s **"" ***• six pages pour le prix ;d . publie en ftatUMa*1 -1 .. irod>n.bür'on'dèj c..i.fam|.dr«IÜ» et ttaé limcmMit mêlé». Ce roman appeliè wmwwN ntmtiasaal « été écrit spêciafameat pour l'Optutaujpar t khi,' .M u fa brillant écrivain dont fai F& r

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KÉl)ACTEUR EN CHEF r

Ei COUtttïBÏl.

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< ,r; ' ’ AnnoiCcrs : La ligrte, 20 c. -+ L’annonce au-dessous de 5 ligne*, i flr.rrr :: ,, , Récl***» : La ligne : 40 c . -f- Bn faits divers, 50 c.

i . ■ >.~i . i ■ ■; , i j .N i.ni « p i

I L’abonnement est payable d’ayanc^. Il r est I renouvelé ai 4 l'expiration en i

' A i r f r t t ' ' 'à iu i .r t fC .; ' tW s'w T ss^^ j* jRiAia i .Tafifai f,i

'T ro ta m e fa 4 'w m■ n , siHàJé ,<m/on ù M .tà \ ,n z iM --ï . -,

•< . r / «a Jlit.v xu«n a b i ^W O W I t r M l M U I T ■

R . P A Y B K .

■ 7 - ’ï à '

est jam ais interrompu e t w^oenstdéré oomma , ne donne pas d ’avis contraire.

A 8E N L 18,auBE t chez tous l(

Nos ateliers devatit être fermés , s&n^çLi, * premier1 jour de l’an, île

Journal de Senlis ne paraîtra pas.

l lS m m S S S m ^ B Ê Ê B S B B S B B S B Ê

'‘nVtHBU- i ' > : 1. - •> - *■'.?/* *A p a r t i r d u « " ' J a n w l e r , n o u s

t e m n i i » ' d o s a b o n n e m e n t s

' d ’u n m o t s e t d e d e u x m o i s

J l f t i p r , l a p é r i o d e é l e c t o r a l e .

„ I U o o n r t l t l o n s a n l v u t e s t

; ' U n m o i s . • • 1 f l r . t tO. *«:/»%■• 0 ^ j j x O M IS a 9 t t .

> 5" D A M S L ’è l s it s e v a l «•> « v u U z \ V — ..

REUNION 0 : CREILM àM i, 28 décem bre, a eu lieu à Greil une

îéun io ffp ttvéè,; composée de conseillers gé­néraux . de conseillers d 'a rrondissem ent e t de conseillers .municipaux appartenant à tou tes les nuances du parti républicain dans l'Oise. Le bu t do cette réunion é ta it de s 'en ­tendre su r la désignation des candidats au Sénat.

A près une discussion approfondie, rassem ­b l é e a résolu de proposer aux candidats ré­

publicains. le program m e de l’Aisne e t de 8ein t* lrO ise qui, comme l'on sa it, se résume

«ounéeux pein ts : D> fendre énergiquem ent laConstitution du 25 février, dont le maintien

•‘fift’u& riu m ea t nécessaire pour le repos inté­r ie u r e t pour la sécurité extérieure du pays, e t n 'user du droit de révision, si un jo u r il

é é tn if td m is . que pour am éliorer la Consiitu -«Mëb.ef rion pour la détruire.

L 'assemblée a pris en ou tra les deux déci-

cetui au* depuis cinq ai « M > é > l# w M d a r .

Je serais heureux de

1J — Les candidats devront s 'engager à ne pas voter.pour la présidence du Sénat ou la fm ftodçpce de ta République d ’un des m em -

.liSea d ’une famille qui ail régné su r fa France.

'^ / i - L e s candidats républicains ne feront pas d ’alliance avec des candidats appartenant à d’au tres partis sans le consentem ent d’une comfplsshju nommée par la réunion,

ifcsitfi» 'A vant la désignation des candidats, une

«mlÀtiwM été faite pour po rter eu prem ière lian e la candidature de M. Gérard (de Blain-

' r o i ^ i Wdiiiie iém ôigïiage de la reconnais* saaee des républicains de l'Oise pour le seul Réputé du départem ent qui a it soutenu leur

Motiôri'a été votée p a r acclamation et 1 l'unanim ité.

..La.réynipp, a décidé ensuite qu’i l ne fui en à it pgsjde désigner des candidatures

irière.déflnjlive, m ita seulem ent de rqè^ noms, parmi lesquels Jes jlélé

Æ oisirtdènt lés Candidats, îs, comme devant, ê tre pré*

_ à sénatorial,' Quitte M. 6 2 -» conseillers généraux don t les noms

Al j»*' —r-.là tla r lMWpb

MM. Boodbvillb;Lbvavassbor;le colonel comte d 'A n o u o ;Lacachk;Aubiblicqub.

L 'assemblée a nommé ensuite unq commis­sion, composée,de douze personnes, qui- sera chargée de communiquer ces décisions >au collège sénatorial.

M. le duc d'Aumale vient d'adresser> là lettre suivante aux m em bres dü conseil géné­ra l de l'Oise :

B m nçon, 27 décembre 1875.Mon cher collègue,

Vous allez être appelé prochainement à exercer 1m attributions qui vous sont conférées par les lois organiques et î prendre part aux élections sénatoriales.

Je sais que plusieurs men bres du conseil gé­néral ont l'intention de donner leur* Voix àcelui que depuis cinq a n r lls ont appelé à l’hoi

~ ‘ - ; ! /“*•... . .. . . .Tr. ^ . continuer àreprésert loile départemeot de l’Oise dans nos Assemblées politiques. '

L’expérience m ’a démontré qu’il n’était pas poraiblo de prendre une part utile aux délibé­rations d ’une Anenibléè tout en continuant dVxeicer un romman têment tel que («lui qui m’a été confié par le maréchal président de la République.

!n 187tk en me présentant aux suffrages des éb-cleurs de I Oise, j ’exprimais l’e*pi>ir de pou­voir contribuer au rétablissement de la m onar­chie i-ourtjiutionnelle; mais je disais a u ss i\q te si mon vœu ne pouvait s'accomplir, je continue­rais de servir loyalement mon pays.

E t je le sers.H bmri d’Orlbans.

DEUX MINISTRESH. le vice président du conseil a enfin ex­

posé à la tribune, à l ’occasion du débat préli­m inaire engagé su r la presse e t l éla l de siège, ce fameux programme aunoncé, depuis quinze jou rs, par toutes les plumes officieuses.

La pensée do M. le vice-président du con­seil est bien simple- E lle es t même si simple qü 'elle est enfantine. La voici. Nous sommes beaucoup, a d it eu résumé M. fiufict, qui avons servi Louis X V III, Louis-Philippe et Napoléon III. U nissons-nous pour renverser le gouvernement quë je suis censé àervir. Bo­napartistes, votez pour les orléanistes e t les légilim istës; légitim istes e t orléanistes, volez pour les bonapartistes. Vous composerez ainsi une m ajorité. A l’aide de celte m ajorité, vous obtiendrez la révision de la Constitution e t vous substituerez un pouvoir m onarchique au régim e républicain.

M. Ju le s F a v re a expliqué d’un imot toute celle politique à program m é négatif. • Union conservatrice <et m onarchique! » s’ss t-il é c r i t

M. Buifet est convaiqeu lui-m ém e de son influence à rebours su r les élections. wLa preuve, c 'e st q ü l l a jugé nécessaire d’appeler à soh secours le président de la République* Moi seule, e t c’es t a^sez, d it la Médée d tC é r - ueiHe l t d |L lui : Moi seu l, e t ce n’est j^as

, a s f p t . ÉVsftnir»jren|êpt h ce p tjn d p e ’f a ^ e ê m eotetre qui veul que le c h e f du g o u v e tr- * m ent so it oeuvert p a r son m inistère,’ letbii tè re se falt-couèrir patrie chef cfu gouver m ent. . . ■

P a r une ironie am ère, ce n’est pas de; la gauche qu'.est venue la réponse ta plus acca­blante au d iscours de M Buffet; c’r s t du banp m inistériel lu i-m ôm eque s’est fait en­tendre la. parole accusatrice. C'est un col­lègue, c 'est un m embre d u cabinet homogène qui a m ontré, lundi, à M. Buffet la voie cons tilutionnelje.v

A H . Buffet, soutenant ouvertem ent les révisionnistes e t lés çspéfariciert de droite, M .'D u fau rë’a répondu : s la révision a été adm |èe ',Commé ‘ un moyen de proflfer de l’expérience que procurera la pratique loyale

'd o la GdnsUtutlon su r ses m érites e t ses dé­fau ts; m ais celui qui, dès à p ré sen t,1 avant qu’elle n 'a it été essayée, vient m e déclarer qu 'il la regarde comme détestable, n 'en fera jam ais une expérience sincère; je ne voterai pas pour lui 1 »

A bandonné'par l’Assemblée, <!il ne manr quail plus à M. Buffet que d’étre condamné e t désâyoué p a f s e s collègues.

lüAde.la'mâuvàWe hum eur de M. Bul fet II perd, en vérité , son temps à vouloir persuader au pays que s'il n’est pas avec lui, il sera livré au spectre rouge, ce,fameux fan­tôm e insaisissable, que M. Buffet ne peut parvenir à prendre e t dont il persiste à mon­tre r l ’om bre effarouchée au pays qui n'y prend plus garde.

Les électeurs répondront dans quelques semaines aux fantaisies gouvernementales de RI. Buffet ; le pays fera, sur le terraiu des élections, la véritable union conservatrice, c’es t à dire l'union de tous ceux qui ont voté franchem ent la Constitution républicaine du 25 février, e t qui en veulent le maintien e t le développement progressif e t régulier.

E . C.

«ouverts de son auterité e t qu i n’auraient pas été accueillis part ies électeurs

La presse de toutes nuances

« Nous ’tûtiiM alors !• vpectid#, 'peot-êtra « r i l est trop &dle A t a W - M f c i l i t o S L J . - . , , aiBaBSE

unanime à blâmer la façon dont uir le prMMenl débat auquel

uniqiie dan* I histoire, non pM 'd'od'parti; mais *st presque de t'oi* parti* au |>ouvoir. Ces trma'pafrtfs, qui M. Buffet a n’avsieui pour mot d’ordre que 'des 'Baines

fait intervenir le présidênl de la République rommunw et oui.1 to u jo u ra d W rd 1 N u r to u t •“ • a devait r e s te r étnpèt-her, né iétatent jitittai* p o u r ^ r t éTlter*

à titre officiaux, dans la1pc* flevos éUi.t MU ballon d’essai.

dansétranger. ... .

La note de VAgence Havas n’a point été insérée au Journal officiel. Sans douta l’in­sertion de cette note, à litreCorrespondance .......M. le, vice président du conseil a voulu sa­voir Cbmmeùt on IcceplerS lf cé tuf tentative d’ime inierveBtidit pentomielle d e M. le m a­réchal ta n t su r le terrain parlem entiire que sur le te rra in électoral. M Buffet sa it 'm a in ­tenant à quoi s’en tenir. Le haro a été uni­versel.

Le Manifeste dn feutre,gauche.On lira le mani'este qoe le fe o tre eaiiche a

voulu a d te s s e t iu o n s oyaul de lui restituer son mondât C es l Cbislolre obré ide de .ee ;rqupe psrlém enlaire, sou programme - —

r cette impuissance m im e 4 ni* comme *i ro n p

L'intervention dn Maréchal.L’agence Havas à communiqué aux jour­

naux la Note suivante :

« Après avoir lu le compte-r«ndu ils la séance de vendredi, M. le maréchal-président de la République a écrit à M. le vire-pré>-ident du conseil pour lui. témoigner sa sali?fanion du discour* qu ’il venait de prononcer et h- féliciter d'avoir si neitsment défini les vrais conserva­teurs,, auxquels fa gouvernement fait appel; qui, an se préoccupant exdusiven «ni do* intérêts do la France, maintiendront 1 union dans les nouvelles Chambras.

■ M. fa maréchal opprime la confiants qué la majorité des électeurs comprendra ces sonti- ments s t s’y asrociora. »

La N oté attribue à M. Ic président de; la République des vœux au sujet des prochaines élections, dont l'expression excède li s a ttri- butiQns dans lesquelle> la .Constitution a Vpulu que le prem ier m agistrat du pays se rénfèfm ât M. lé président dé la Réuubjique a,été placé par les lois constitutionnelles en d è h o » ét, au ' dessus dé la mêlée des partis II est te chéf.de. l 'E tal, il veillé à l’exécutipü des lo is dont il est le gardien. Mais toute

J n g m u è e q é ,s a pa rt dans les élections serait ep ip tèT em énriàcheux : o r , la dernière

plifase de là Note semble avoir pour objet de pfàcér la politique de résurrection de la can­d idature officielle, tlont M Buffet est |p véri- W btè àiitétfr, Aous le patronagq m ême du chef

Ce s e ra i^ lé ifà lre 'd e K e i^ fé 'd à O s l’Arène deo,passtOtiSipohtiques, com prom ettre sa di- gn ilèietiPee pouvoirs mêmes, ca r ce serait "exposer à se taire b a ttre en la persoune de tous les candidats m alheureux qui se seraient

p b Id s n s n .:* 'iiielboit*» : j

nsolider I œuvre consti­tutionnelle issue de sa'persévérante initiative.

L e manifeste du cénlre gaucbe est l'exposé loyal e t sincère d 'unà politique honnête, pa­triotique et pratique. Les hommes éminents qui composent ce groupe donnent une fois de plus ici la mesure d e leurs qualités, de leurs aptitudes gouvernementales

L eur programme est très simple ; après avoir fait la R épub lique.,il s’ag it de la ra;re vivre par j'esprit de conciliation, de tolérance, de liberté, de progrès II s’ag it d’unir su r fa terrain constitutionnel tous les éléments d i­visés d ’un pays qui n’a pas fyop de toutes ses forces pour recouvrer sa grandeur passée.

La France entendra avec, p laisir Ce langage simple, élevé, exempt de haine, qui ne res­pire d’autre passion que celle du patriotism e, e t nous ne doutons pas qu’elle ne s’empresse de lui faire écho.

• Messieurs.« Au moment de noi.s*séparer pour compa-

raltiv devant le pay«, il ne vou* nemble-a pa* iniipportun de jeter un regard en arrière sur la route parrourue, surtout si, comme nous je pen.-ons, cé retour sur notre conduit» pâmés nou- trace clairement no* devoir* pour t’avenir.

« Il est, en effet, des aries qui équivalent h de* engagements, parce qu’ils supporenl des dessins suivis, d* longs effort*, des consé­quences toujours |euie* à se produire. Les nôir*,s Ont eu émuiemmsnt ce caractère, et il aous Miflirait au besoin da dire ce que nous avons lait pour détermipsr »'p qu’il .nous çesla i Taire.

« Là rie-pourabdilé que nous devons a**umer devant fa pays së résuma essentiellement dans l’œuvre que l'A«*emblee nat o ia lr vieil d|ac- complir, en nous donnant une Constitution. N«u* ifammés heureux d» reconifalire la part considérable qui convfaàt à aos collègues de

L tonte opinion, dan* nne têehé où ils orti' apporté tant d ’ahnégalidn W(tasaut»1 «politique; mais il nous est permis da rappel rqup , o est avant tout '4 la' persévérante ini^atiye dn centre

, gauche que cette cause a dû son triomphe,' .« Vous vous en souvenez, rneraieurs, Iprtq'u»,

api'ès une défaite qui a» lut pa* sans glotre, f nous reprîmes ce progVanim*. constitutionnel , comme un drapeau qu’on relève sur fa chanip

de t>>tai ta, las cir< éns'ancrs h’éiawnt guère de n-tur'* 4 nous donner confiante. ù.

• (Cétau pour avoir éairepris, Veile tâche avant 'Je .ténijé,' di*ait-on, q u e , H. Tb'iere avait

; où abandonnér ünV pouyotr qu‘îl éVait illnslré .v par. a icfinroneUî reH iàis ’& prwi’dpr effort,

.iluerie tègnedi^la ta» 4 uûpàçfaffét

étapêcher, ceieni d'érigerfèmé de' gèUVtmixiinu, cuiuun ngouverner avec d re negàtion»; il» Ro TMIaient 'Une sorte de'dogm e'qu’ils décoraient du ' Rbm 'de politique con^rvafriee.

e C’est au mdfau dé ce éhàbs d’fa ta i^é t' de voldrité» discordanio*, de ‘d i t e eqfaéd'd’War- cbie légale qui visait 4 se perpétueé indéfini­ment ‘sou- dés livides proVisoiiW;‘’^U*,,Vous l v « enitapns Be rendre a^Ce pèn^ii.qdiet, trouble, sans lendemain, le èalme, la ‘Wcurité, et cette paix (irofohdé que dM instilRtieBs défi- iiilivé* ponvaient’srtrtée lui tfseufar.

« Arrêtée |a r dre ohstyrtee1 He ton» genre,’en brille tafitô' aux accusation* d e ’tratt3qfci.W as relusauni jioqu'au droit de o in stitu er ,1 tidilôf aux troniredeceùX ju i v.iUBenviaiWitsecrétément vos ««itérantes, v»u* avez Opposé 4 tonte*'les attaqiie' U(,e i enstante m odérafon e t I I y ëVait de votre |>art quelque mérite 4 être modérés dans la défaite, Ionique vo* adversainrelVAattait

•iÉ^nsla victoire.'ISahS Ta1atiHtnel'i>o«r iüciàn» ,» fatre riTre.

xrtotvimé pardl ' ééfal.rv,iw rce que ce Wgîme v< us *eniblan le 5cu| [KWnbl *. du jau r où vous avez jugé la Hûpubl que néceesaire-, voas l’avre voulue irréprochable,

• Vous viiu* êtes attachés 4 la montrer au p:ivs •’lroitem* nt liée aux intérêts conservateurs, ne -éparant jamaW ni fa démocratie de la liberté, ni fa liberté de l’ordre.

, . - * Vous avez lép' dié avec énergie tas traditions trop fameuM-s qui la rendaient un épouvantail pour Ira e*pnt* sages; vou* a v a réclamé une Repiililique I bérale. éclairée, tolérante, ouverte 4 tous; vous avez voulu1 q u itta foridèl désor-

« Rats nous I’ayqp»» ü Franco, ta dilfiréta pruG. d» fixer Ire i'>Mituiione ,d pas 4 faire MW œuvre».* san* défaut, il comiste,® pacte qui procure14 l ’accord «t 1 hirmoi . * Ce ne sont; p

f o p t /qu’elle cônsai re et 1 Il imuorte as«ez peu que les Imécontents, pourvu hue la oa_____satisfaite. u ■ - i.î wtsh iiT

• Si nous avoM tenu 4 vous i faits, re .n ty . pofa>FOpf l àvamt»jéqiymiofjipannlauHir nous-roêi iraceuL.syjypnM q ,0 pour rayepir, ,p t;.p

, pérreleitaclprelfflut ,• Vou* avez beaucoup, fa

é*W» 4 dire que volt- " “•* en spectateur» paiaibl pare? Lofa de vous ç

niais *«* enr—* sur les s**rvnes qu'elle peut r dre eu ofTiaul plusdegaranties 4 tousiesdro plu* <te prot-ction 4 tous Ire intérêt*.

V<»üsavezentnu'édon respect invariable l’ai douté présidentielle du m a ré c h a l 'd I b c - M-dion, fa seule qui eù été constituée, as-ures de retrouver toujours intact dan* se* mains le d'-pôt ip'i avait été co fi« 4 -on honneur.

« A IVmdntre d’hot mes d’E tit qui n’ont apjKirié au |ioiivoir que des vaes etdes pansions de parti, vous vou» êies efforcés'd’sgir et de parler «lS7>s l’op|>osntion en homrtire-d^g'Aiver- nèmtnt. Vou* avez inieux faitque de vous parer du nom de conservateurs ï-qoaud d autres se montraient surtout soucieux d ’en revendiquer 1e litre, vous en avez pratiqué les maxime*. La conservation sociale n a'jamais été 4 vos yeux la doctrine de l’immobilité. ■

• Vous I avez comprise .comrte un 'pnnripe d'action, VHUs-avrZ 'vu en ê llr cette forte pro­gressive qui est la loi même de la vie. vous sou­venant que dans Ire eociétés comme dans la naïu-e tout < e qui ne tend pès 4 se développer est coudamué a dépérir.

• Dan* un pay* dont ta gouvernement venait de disparaître ' au itèlfau d ’uile épouvantable cetasttoph , ta premier acte de conservation était,selon vous, d ’en fonder un nouveau; c’était J ’assuier l’avenir, de erter un ordre légal, de pacifier les esprits, de taire, ea noimot, «ne constitution.

■ Voilà, mereieurs, le devoir clair,.pressant, ii exorablé que voüs navre cessé do rapphier 4 ceux i|m conservaient l’e*poir d» dispoeer'de la nation saés «on aveu ou deüa dtnger 4«on insu vers un but occulte

Cequ» voys avez veWlOj VOtw’l’èéVt 'fait

>hl ■ nmAIV lalu‘ ihrli. ' i ' À i M n ' « 4 w » ' A i à iM h M i' IHmel». a . ta (»J«c«nnalira t a t i u s ta tta i . | le* holnnte* doivent ê l r t 1

'leurs t^ rtlre i triais JW’-

'WiiiiitaoiWrtJstaM*, 4

encore re^i la ‘tseule décisive. ...............................

« Pendant longtemps vous aurez 4 la j>roté- gor contre tas altaquevde odi dRo4«iœ otJpéul- être aussi contre les impaUencea d liid iriiro p ardents ou tro p aventurtux» O ooé)véiisifaip caché, c’ret 4 cette épreuve qttfaN*

■ Vous avez trouvé, «tfotfoooyi jorité pour la voter, mais on vouà fois m u au défi d’en trouver Usap tepir et la fur» fonctionner. F . sieur», ce défi yous indiqeO-.safflmmaadht co q t/il voüs reste 4 faire. « àtvôi»

e Voùspourrirtfyrépondre'èWbfaotldiHlèns la Chambre actuelle tons lre élérareàsrtlolétte majorité qui se' défendrait d'eile-iiiàaoÿva4ton it’avail pris 4 niche de fa lîdispetaariiHf' deq la disHOudre. Mai», aü moment né'VdOOiIpM devant vos-éÜKtaehv,grâce 4 vous plaindre d 'une' pi •caé eeeônt'eoxqiti'vroBt'aa pour vous. . '.im iili s

• Cette majorité qu’on vous conteste en affi­chant l étrange prétention de souleoiroDoCoR»-inulion avec le concours exclusif,,#, #sr( |o m - m is, fa pays va vqys;la,d9mtaf»«M9 fPÜroll^ü BC presse a la i^ rte desdfpx Chambra^ :,

Tendez-lui lé m aiu , ' l dinrellt'fcxcilc iml ion «|uo~ -n qfiait ee, mais que vous n avedipdà i M f r i i w k - tee en suspecte! Or vous demande votre p gtam m e; je voilà tout.entier en an p—' — J

• Votre programme, C’ëAt’la'W cette majorité nouvéllé màdéCilÉrMi la loi, c’ést la cûiikolidâWfa de •’M* que vods a iix 'délWtée, t ’est T grand pàrti consritdltai’inel et porte eufin toute* nos divisitif un latge coéràtit (

« Ce pregrâmme^uéer‘ ' “ ' les homme* qui veuItnL bre, prospère, et la F f mieux que (e* sayantài érii à déchiffrer. A la stérile c de» rançynre, opposons uqoi corde et d’union.

noos avecC’est 4 «C*f

ces conditions seulement, que vous ponvao eo-4 votre œu

« C’est; 4 l’esprit-de i avons dû h yicfair^i'ff i , rnandsrons la force e t je appris ,par plus,,d,’MO( dais nosadversaires de leademaln; né léursien trop | difficile, atpossibilité de venir 4 i

- .F ’" - ■ ; I . . I . . - ' —4 , " • - - - St> ■ - 11- -iu'il *b Ibwv.

m m.FKUUXETON (M)

eèlsaq i liii ^ i nÜ i.ili fli/im.'.1 - i i T o m th ’ Al e b• lu 'in i ’t M'' •• ' “‘d ■znsèiuH ' "Vn i I ' .- v * -

U N BEAU-FRÈRE•vilürtti àft' i S^jeivu1'ti« ■ s tfO'Itll ' .‘ ;

'> d r H * c ro R M A L O T.eRtfa’h e«d:JBjr>

•:Wnj tel- ’ ’dnio n» : - - J ._

i» «ïjASbt.ii .<•."• , . , !- i i T p in tit it : . »

absolum ent de mlexpliquer pur les faits con­tenus dans cette partie de la requête. Ils se rapporten t aux souvenirs les plus charm ants

i M K v l e ; je ne les souilleralV às Danz tout .6œqW éei affaire, je suis 4 vôtre disposition, •aaomloor ta président, m ais ceci ne relève r o * d e m a conscience •

I/ld lèrrogato ire eût été d ir ig é ^ a r Friardèl •lubtném e qu’il n’eût pas mieux réussi 4 pousser 4 N aértd atta des réponses malhéurèùses. ; etlae l à vous ferai rem arquer, d ltleb réstd tin t, qu’il est peu séant de prottorteer de pareils “lo ts dans cette enceinte, et que vos expl -

MMMPUevànt le tribunal n’auraieût jam ais ‘*èt(<e"iine souillure pour vos souvenir».

'4 pawions Cependant je dois vous faire jfW fher êrtèore qttê si j e suis entré dans

l ’ôM re 'd’Idées, c’est parce quo vous avez l’avez pas.votilti répondre

la loi 1vous .co devient d

A porte:

C énéri; .• I l y a dans cé tte requête, d it-il, Une

fa- C ette àltégàviph, ’liband je Vôps Tarirai expliquée, Vous iPontrera com m ent nibm

‘ « L J * ,k fertl deà choses les plus est un mauvais gredin

m dre p ar m es femme e t de

•ntqrerteH le t arb re , j e t ü i a i

J l i i è u l . i»; r e j M j ,

adversairesimples. Ce

ni so n e

t eh traiii

plis sa faire justice soi thème et , quë. là loiL l e à y ^ ë p u f f r

— ParfaltetnenL Seulement si ravi re c ô ü rsà là loi, «Uè eû t p i s m r - - Varia (trie maison centrale on, heureuses dispositions, il Spriit

souvent dariSdeà^cabàrêts avéc des gens de la «(extraction :itivrai, d i t il assez gaiement, qu’on a

pu,quelquefois me rencontrer avec d es mar- chands de chevaux, des m archands1 d e bœufs

.et de» i paysans; mais- frauchemeut ce n’est .^pas m a faute, si! les princes e t les ducs ne qu itten t pas Paris exprès pour venir m’acheter eux-mêm es mes bœufs gras e t m es poulains. Quant 4 m es provisions d ’avoilWéCde foin, je Re dem anderais qn’è les faire auprès des jol.es comtesses etedes charm antes marquises qui tiennent'boutique dans les ventes au profit des Polonais ou des petits Chinois; m ais cé igenjre d é commerce n ’étant pas en usage dans uos’cainpagnes arriérées, il faut bien, quand jîal besoin d acheterr r _____________ un produit de nos ü 'y s ,que.je m’adresse 4 ceux qui on t besoin de lé vendre.,)*''- - •

L e président trouva que cette réponse, dan» sa form é légère, é ta it peu respectueuse pour la d ignité du tribunal ; m ais les deux juges etI . a . t k . i l t l . . , Mn mwmhI i . U . i . I (I .IX .K .. . m . 'i l

n ’adresserait pas d’autres questions au com­parent e t qu’il a llait clore 1 in terrogatoire que «elairci au ra it 4 signer - . >

Pendant que Généri é ta it au tribunal.Hélouis ne . perdait pas son tem ps A près’ s’ê tre concerté avec P ioline, il faisait; par le

« m inistère déM* Doubledént, huissier 4 Gondé,

» e il a i q u u c p a » v u u iu le p u n i r um u ro m ii d ju -tice ; j ’ai voulu simplement l'em pêcher de récotriméncer, e t je crois que j ’ai pris lë bon {

,lLo président regarda M du Campart, puis M. LegrUin, nuis le substitu t avec un sourire discret. SI l’homme qui faisait de pareilles réponses n’était pas (oui à / a i t fou, c’était assurém ent l'esprit le ,plua faux, la ralsou l a . plus faible de France e t de Navarre ; ;

Cependant su r la fin. d e Tinlerrogatolre II s ë releva un peu. . ; .

Gomme le président lui aVafi demandé _______ poürqüoi, au lieu de ne Dréquenter que des

les fa lu de la requête. Q uelque latitude que » persoune» de «on rang , on le vqyait en tre r

aux questions que je vous posais sur des sujets .que j e choisissais précisément parce qu'ils nel i a i e n t • b f r w W e r ' ^

donner assignation s H. le. com te d ’Etuà- quèrais d ’avoir 4 com paraître 4 la prochaine audience i our « voir d 'd u re r nulles e td e nul effet en la form e e t au fond des 'p uranites et diligences 4 fin d’interdiction commencées, et notam m ent dè' Ta prétendue délibër.itiou du conseil de famille ; se voir faire défense d’user ni de se.Mrtriû du jugem ent avant faire d ro i t ;e n outre, s 'entendre condam ner aux dépens sous toutes réserves, et notamment

preuves, mais encore p a r T in téfrôgato ik , et que, d ah s'Ce» COOniiMoz, ify'ÜVéit urgence •4 nom m er un - adm inistrateur ,.pr visoire 4 la personne e t aux biens de 'M i Généri d ’Elur- querais.

Lorsque deux i.'MvAaés veulent dihym itsr, comme ou d it au P ila is , le Cbde de p rocé­dure leur odre d es ressources‘inépuisables, e- si l’un des deux onnœ uvre poiir re tarder l’altaire, tandis que l’au tre maikBuvre |>our la presser, ion peut noircir des niasses dq

tel t r t s deiiôM i mÿinil HenMOl <*t taMâde, (oui ta letaps' que K iS d e c in e*l' (Urtade loi,ia sülé r a to u i^ ; l i ' îh e «ajuiiu 4 u ,** - bôuvoir de conjurer la maladie, comme votas i l me semble, qûe vous conjurez la loi. Si j e vous disais que çe mot seu l: • là, 161' 'e s t aussi effràvafit bottr moi due cé t alitrè m ot

tô é l a férthé

vous disais que çe mot seur. --- —aussi1 effrayant pour moi due ce t alitrè m ot horrible : . le Croù'p ! • VOüs tro üVqz 'éàla puéril, parce que vous savez ce que réaferkhe celte loi. le» moyens qu 'élle offre 4 vos

' 'advëbàirés poûr béhs ‘attaquer, les tttoyçhs paptar dont le viîlgaire n’a aucune idée 'S u r i . q u ’elle nousdqone pour nous d é ta u d ^ ;n t t i ,ces.assignations (“ y eu t. par ù6te du P alau , je ne sais d cllé q u u ë e e b o ^ . ce»! •constitution de M« Pioline, puis ptacéi du pu jusqu 4 présent em p tth e r n o t r e ^ t ^ g ® ; .

r. — . e t qu’elle a perm is que I hommc le m eilleuret le plus dr» it fut accusé de folie Vouz d ites que tnainfaliahl elle Va nou» p ro tî^ e r. u ieu vous entendu! '

u RasMifez-vous, j e 'VOÜs réjtate que tas mauvais jours sont passés, ë t je vons àtflrtne« ( . . UA..o i.ïn n .M k arn n D

de toutes preuves p a r enquête ou autrem ent. ■,, A ce tte assignation, M* Filsac, l'avoué de F riardûl, répondit aussitô t ay e , sans avoir

nen-seolêm iitt p a r d e nombreuses

.uè/énA _

ficalions, une véritable averse de pépier 'tim bré qui p ar bonheur, tom bant seulement dan* le* éludes de» Avoués, laissait Généri tranquille. • ,

Au milieu fie ce tte bagarre intervint un jtrgeibent dü tribbtfal Ordonnant qu’il serait procédé 4 . .une enqnfitë su r les; faits dej

‘démcnce e t de ftireur, e t en même temps; nommant un adm iniftrateur jilovHOirtf, » at­tendu, dit l’ün dés considérants, que rinsUAUèe

I” .” flilodl». tu u d ev in ttb iplusieurs mois de tranquillité , e t je peux re ta r i r tW P à W s .F .

. A ce m ot, GyprienneetC ênénsërécrièrent.• Mèsàirti8,Tè m’étais BOnriè h u itjo ü ra d e

vacantes : voici plus de deuX zertiaim * 'que j'ai qditté môn étude. D’àllfadrs m ajiré^nC c n'est plus nécessaire Ici, ët je vous.âtflriue'que fa jugem ent, aüTOnd, hè pourra pas être rendu avant six mois. Jà"rie 'pèiix paS reste r six mois loin d è 'm es'ann ires. titastfèe pas? En tout ra s , vous uvez dans Pioline un homme p lu tcap a b le xq u e moi de te s ' bley diriger. Rassurez-vous donc ; je vous donne ma parole que, judiciairem ent, vousèteapour le moment 4 l’ab ri de tou t danger.

— judiciairem ent? interrom pit Cyprieqne. T . QMe voutaz-vous quei ja ; vous prom et*

de p lu s t

- • i b l ! ‘i ’-t - F i l ' i: 1 i lld 'h 'tû o û is«eipère Papillon, a tt4 » ise* m il llfw y«fi« iH , i l a v a i» , to u io » c É u s a i i t , r e o o ^ a r - i- lAi— château. Dans la saB e< dnb«ata^Alors, en train d e jooqr u n i part Tournebu u t.V éttie i\» an a n « L Généri, renvoyé pour tarogttvfe tA un quart d’* eu re lei j)ra ilT der«en | comme un etra ln éed e p in B re ;-* » , .—•le village. ■ - i -d^lw iw s

Du vdlage, le bru it avait saa lé jf puis de la ville, après^ue!’! '* '’leTribuiial, il étaèt re v é n t--------ineoté et enjolivé. Û aus"t0iit >le lieues 4 laT onde.oo 'D éparia* qi diction dli filsd 'B lurinnm iii

M ie a

que nous trio— Vous T

1 é ta it h riraiiéreoup— Le nre

• Vous savez q u e l fait in terd ire son fils?

- - Tiens, Jé croyais (que rfél -faisait in terdire le père. . • i..ibuwuï a j l »

- La vérité est q u s le V ie il ae R ia n iA pas velé ' Mbilfivnl

— E t le fll»?i» •

( U suite ’èa ' *-'.I .

L o p i m m

«lUllo/V>nrifiis

t'avenir, eue ne iu jukcwv F- 'Comme le poHrën qui Së trohÿe sdbUeti abandonné en plemri nü lt. elfe ne vùyàit par- tou t que des ImàgM menaçantips TjÜe sfin iiuaginâlioù inquiète exàgëruft.

XII

En province, q u lnd un 4 votre porté, to u t 'le

T.. . . 'V * 4 « r è Wlonde u i t b le n ltl » ,

qu.il venhîi V Une heure

m p iusr .ÿiitin un , vJi»vflA9Kann-— Je ne u t s pas. dit-elle tristem ent ; mata » avall TalaSêi Wtt ^aurjeate ^

|'»1 p a i r , t a |« n x i n t o t w « w o lr « ta l f a * r t *“ r*1Mri ® P**"**1 *s * * "" ***•

s i x p a g e s p o u r l e p r i x ;d . publie en ftatUMa*1 - 1

.. i ro d > n .b ü r 'o n 'd è j c..i.fam|.dr«IÜ» et t ta é limcmMit mêlé».

Ce roman ap p e liè w m w w N ntm tiasaal « été écrit spêciafameat pour l'Optutaujpar t

k h i , ' . M u ‘fa brillant écrivain dont fai

F & r

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g M g g ? ; « v " “ »«. ™ • *»-U but M e v & it lagauche. lo h jm ir que m

propo? ,V Ï* ^SS*1 W ^y* «• pw jrb ta -inent la déferas du projet de U commission, h levee de I il*» d i m m , Sa nu doi'te, il imp*»rtail au parti r é ^ b li ia io f U, importait au pays que les élftliofta fiiMeiit laite» m plnne liberté, que la |MtadÇjH«£tifaleite fût peint, dan» Ire gran­des villea deF rance, placée roue la plu» irres­ponsable et la plu* rude dea dictatures, liais il reliait surtout que la politique du gouvernement fût mine eu demeure de se produire, de s’af­firmer.

M. Buffet a'ret bien gardé de.répondre à l’ar­gumentation de M. Grévy. C’est à peine si, foref de reconnaître que le « péril social • n’eiistait pas, il a daigné donner quelques rai- soria banales pour justifier le maintien de l étal de Még* Noue svous entendu de nouveau 11 fa- meuse théorie de la « sérénité électorale. • Puis .un appql à fanion conservâtrieç. ouverte à tous, saufàux républicains; enfin, — nous nou* y attendions, — une retraite prompte derrière la peraonne du maiéchal. Le maréclul. voilà le seul argument de M. Buffet; le maiéchal. ■ qui ne se pièi. ra jama'a aux opinions radicales. »

'• M. Buffet »l»0 niait la tribune, encore tout moulu du scrutin .sénatorial, candidat repoussé et mioislre battu.

Sop programme sort de sa co’ère : c V t seu­lement un programme de haineronlie là Répu­blique, dont les eqnemis, qualiüésd’ • honnêtes

C, • sent conviés à s’unir contra te péril. M jHles conduira à l’attaque. Il Ira invite à partager sa défaite. Mais la Constitution? C'est

I* que lea paroi» du ministre méritent d’être retenues par le pays. Il ne demande pas à ses alliés de ne point avoir de regrets ni de souve­n ir. Du moins leur demande-t-il de r<e pas es- savre de renverser la Constitution ? Non, pas même celai « L’expérience seule apprendra si Mis doit être maintenue. • Avis aux électeurs : les amis de M. Buffet sont ceux qui ne s ’enga • ffent pas à conserver l'état do cnoero actuel; c i et | tour .cela qu’ils s’intitulent corn* valeur». C’est un ministre qui a dévetopf-é à la tribune ce programme de renvrreemvat dm institutions existante»!

La riposte ne e’ost pas (ait attendre. M La- houlaye a comtale que M. le mi'.istre de l’in­térieur. ri prompt à demander aux autres leur programme, si amer contra la majorité qui a fait l- s élections séoatonales, se gardait bien de formuler un programme, llm tvbien- possible que la gauche n 'ait pas une majorité, mais M. Buffet n’en c pas non p u». E l quand à formuler un programme, la gauche n’en est point aussi embarrassée que M. Buffet. • Au 19 novembre, vous neu* offriez le maréchal sans la répu­blique, et nous, alors comme aujourd’hui, nous voulions la république e t le maréi hal. • El, caractérisant la politique de M Buffet. H La- boulaye ajoutait : • Je n’ai pas encore pu sa­voir ri M. le ministre de l’intérieur «al répu­blicain eu non. ■

Une majorité de 43 voix a décidé que lea deux queutons ne seraient pis disjoint». 333 députés pensaient que I état de siège devait être levé sans « compensa lion > I! sen trou­vera bien, nous l’espérons, un rertain nombre dan< le- 376 antres, qui ne voudront pas. après le vote d ’une loi sur la presse, laisser Paris et Marseille tous lé ta l de siège.

B a tM U m a tr i ., du matin.

Peut-S unie-M ali 9 févriar, à 9 |

Crépy, à U maify heures du mati f f . B . - MM

trouver frét e«m canton à l’heuréi avertir les jeunes très exacts à se I ouverture de c •ouffrir aucun ra

, U jeudi 10 février, 10

lea M ain t sont priée i a 'W 1 Ornent au cheT-liru d e , leur « In d iq u é s e id e vouloir bien gens de leur commune d'être iréaénter, l’heure fixée pour tanne opération ne devant

dont U avait penennrilement ëouffert. Mis en fiWt pef.ee sp in tuN et modeste préambule, le miblic n e pas Urdé à se trtuver intéressé par lea détails de l’établiaremant d’un retranche­ment figuré au profil par te conférencier sur un tableau noir, et s'eet tout doucement familiarisé

les mot» jusqu’alors inconnus de g/ects, d escarpe, contrescarpe, etc., etc., ce qui en définitive était le but d» M. de Maricourl

M. Patin a pris alors la parole. Comme il I avait annoncé, sa conférence n’a été qu’une longue causerie, pas assrs lo iju e peut-être au gré de ceux qui Pécbutairnl. En effet, tout en conservant ce style simple, familier et facile qui est le propre de la causerie, il a su en peu de mata noua faire un tableau coloré et attachant de cette balle civilisation grecque où l'a ir pur, le doux climat, la vie facile avaient porté les hommes au culte de la ; forme et b l’étude des arts plastiques plutôt qu’à 1a rechercha des se­crets de la nature. Il nous a (bit comprendre comment l’ahtiquité avait pu produire en pein­ture, en sculpture, et même en géométrie, dea m odilesque lea hommes d’aujourd’hui suivent encore, tout en restant en histoire naturelle, en phytique et aurtcut en chimie, dans une igno­ra uce d6nt rougiraient nos plus ordinaires écoliers. Alors, après avoir dépeint rapidement la période obscure du moyen-àge, il a à grands traits esquissé le mouvement prodigieux de la renaissance, et montré la science, sans o-sse en progrès, depuis Bacon, avec Galilée, Rvpler, Coi ernîc. Descaries; Buffoa, Laveisier, et arri­vant enfin, au XIX* siècle, à fournir A l’indus­trie les merveilleuses découvertes dues à I étude des forces naturelles, et auxquelles en doit les chemins de fer; Isa bateaux à vapeur et la télé­graphe électrique.

Ce sont là de bonnes journée*, et nous devons de bien vifs remerclraents aux pvnsonnes dé­vouées qui nous las procurent.

Séance du mardi 38 décembre.U séance a commencé par un échec du m i-

r a ti r » . Maigri l « . ITorl. i . H. D w j.r iin ., b r a droil d , H. BulM. q u . I l B..IIM ,u ,l - quefois quand il ne CTO'l pa* devoir s’exposer tout en tier, l’amendement de M. de Janxé, qui enlèvr à l'administration le droit d interdire aux journaux,|a voie publique, a été addûté par 337 viiix < outre 333 •

L'article 4 , qui attribue à la juridiction cor­rectionnelle Ire délits d injure ou diffamation contre les corps constitues el I » fonctionnaires, a donne lieu à mi vir débat où M. le garde des sceaux a cru devoir intervenir à deux reprises' Un scrutin a eu lieu où 450 voix contre348 ont donné raison à M. le garde des sceaux.

IL le carde des sroaux a n les assises du premier trirai département de l'Oise, M. la Cour d’appel d ’Amieas.

pies touchants unanimité el le plus pramsment, las patriote» de Belfort se «cordés à offrir à M. Thiera la cen­trer le Séoat. M. Kœclilm-Schwanz ç u c è a de V. Thiers pour lui Irans- déwr de la population de Belfort. réûdeol de U République, irès-vi- tèbé de cette manifestation, à décWré itait cette candidature, et qu’il était à n’en accepter aucune au tre .. ra a répopdu aux électeurs de Saône- [Ui lu i .avaient offert la candidature' mur décliner cette c ln d dature. On k ke-U rm es dans lesquels ce rares M. Thiera déclare qu’il ne peut ao-

■ désir dea électeurs de Saône-et- it donné qu’il refuse « en ce mo­t t e . candidature autre que celle de

la s t r a e l le n psaMIqeae. - A vin.Aux termes du décret du 14 juillet 1875, les

élèves en pharmacie qui se trouvaient e > mesure d «iptrr pour l’ancien régime d’études déterminé par le règlement du 33 août 1854 ne seront tenus, comme par le passé, de produire le cer­tificat de grammaire qu'en prenant leur pre­mière inscription.

Quant à ceux qui auront ,-otntnencé leur rtage avant le !•* j-nvier 1875, en étant pourvu d u u certificat de grammaire délivré dans un lycée, ils ne seront pas tenus de aubtr de nou- vrairl examen prévu par l’art; 3 du décret du 14 juillet dernier.NOUVELLES DEPARTEMENTALES

enévECTTRa DR l ’o isk

C L A b S E D E I M f f t R e e e a v e m r a t «a T i r a g e «m s e r t .

Nous, i réfet du département de l’Oi-ê,Tu la loi du 37 juillet 1873 sur le recrute­

ment de l'armée;Vu le décret du 7 décembre 1875. qui déter­

mine les époques auxquelles s’t ff«* tueront les opéraiioi s piéliminaires rela ires à l’appel de la clasre 1875;

A aaftro 's :A rt. «•*. — Les jeunes g»n* nés en |8 5 5 , qui

ne seraient pas encore inscrits, eont tenu* de.se présenter ou de se faire repré-enier immédiate- m eut par leur* parents ou tuteurs, à ,la mairie de leur domicile légal, pour provoquer Jeur ins­cription sur Ira tableaux de recensement 'éuverta dans « haqiie commune, à compter (lu I** jan­vier 1876, en exérution de notre circulaire du 17 novembre dernier; ceux qui négligeraient de ae conformer à cette presrri|>tion s'exireeeraient à encourir, (omme omis volontaires, la pénalité dra art 14 ei 60 de la loi du 37 j-illet 1873 (Emprisonnement d’un mOi-à un an ; privation, dans certains ras, des dro.ts à l’exemption, et inscription en èlede la liste du tirage.)

Ait 3 . — L’rxaiiu'n de* tableaux et la tirage au sort se feront, pour chaque canton, aux lieu, jour et heure indiques dans l’état ci-dessous an­nexé.. A n. 3. — Les maires assisteront aux opéra­

tions mentionnées an l’ar icle procèdent, et rn cas d'empêchement, >e feront représenter par leur* adjoints.

Les uns et les autres seronts ceints de leur écharpe.

Art. 4. — Les maires publieront, indépen­damment du présent arrêiê, un avis indiquant les jou r, lieu et heure du tirage au sert pour leur canton respectif, avec lecoramandalion aux jeunes gens de la classe, leur* parents ou lu- t ' Urs, de se p r renier à cette opération.

Art. 5. — Les jeunes gens absents pourront être représenté* par leur» («renia eu tuteur*; à défaut de ceux-ci, les m air s tireront au sort à leur pla>-e.

Art. 6 . — Le commandant ds la gendarmeriedonnera des ordre* pour qu’un officier assiste à chaque réunion avec une brigade.

An. 7. — Le présent arrêté «era inséré au Hecueil des Actes adminûtrat-fs < l réimprimé eu pl.uMMs |*oiir êire publie et affi. he dans louies le* r.-mmune* du <té|»àrtemenl.

Frfit a Beuuvais, le 13 iléceu bre 1875.P. T x i p i u .

O è lit dans la France noueelle, fouilla légi-

o.j ■' ü LssdédaratioDS faites au gouvernement par• 1 * prift t i venus ces jours-ci à Tenaillas ont •f v ifrtnaatimpressionne les sphères ministériellas. f Lim quatre cinquièmes décès fonctionnaires au- - vaiSM franchement avoué qu 'il ue fallait pas• ' (Mtgat 'à frire dé la candidature officirila, ni

itÊÊtà»b frire recommander des cand idat par7 fM nrinistreÜ on, attendu que se serait le meil-• lédr moyen d’assurer leur échec. Aucun d’eux

s’eet reconnu de force à intervenir dans la ’’ llU e , d’abord ra res qu’ils sont depuis trop peu

we.teUmè dans leurs départements, ensuite parce ^ g a W le n r a fait changer trop souvent de direo-

On mande de Londres qu ’un violent incendie a réduit *o cendres le Goliath, v^imeau-école aaeré à Grava, en face de Gravreend. sur la Thaaise. Malgré la promptitud» e t l’énergie des aeconrs, malgré le dévouement des officiers s t de.réquipage. las fiammra ae sont propagé s avac « M intensité telle qu'il a été impossible de

Lisom barcatioos n ’ont pu rerevoir tons les élèves mousses qui se trouvaient à bord, au nombre d e 500 environ. Plusieurs d ’entre eux. affolés d e terreur, se eont précipités dans le flsnve, «A ils se sont noyé*. Une chaloupe char- fé e de monde a chaviré Les appels e t contre- appels portent à vingt le chiffre des victimes de cotlo effroyable catastrophe, dont la cause est attribuée a une lampe qui aurait été renversée dans la lampisterie et aurait communiqué le feu à des matières inflammables.

O n annonce la m ort de M de Saint-Georges, le doyen des librettistes français. C’est à la suite d 'an s pleurésie compliquée d’une affection dia­bétique que s'est éteint, à l'âge de soixante-seize a n , le - eollaboratcui J ’h -ü y j, d 'X a W , a*

. - É . A rthpr de la Guéronnière est m ort jeudi M r . à cinquante-neuf ans.. D avpit débuté dans le journalisme parisien

en 18S9. U rendait alors compte des séances de ^T i jd emMée dans la Presse, rédigée en chef par . |L jSm »ledeC irardin.41 V ira , il fonda la France, dont le même M. de

G in id ia est aujourd’hui rédacteur en • hef.! ■; jg.èUUp d’E tat ayant réussi, il s’y rallia im- ~ nriCètem edt. I l fut député, puis conseiller

d x n L p ris directeur du eervico de la presse et * d é l> bb rtiriè , puis ambassadeur à Bruxallw,

'• v0l d iQêiiét s f f spt ambre le fit rentrer dans la vie

lé. de la Guéronnièra ' ' yWfifMh M w lita le n t abondant et fleuri. Comme *1 M É p r ti t th l ià e , ' bn doit reconnaître qu’il 'raMNNUB M ativem ent libéral et conciliant. 8e 'J. D J j W ‘«b«jpette éérieuse peur le parti bona-

P . - ï . D c u » .• i 111

s xlxm ,x n u " :" .é p S p p S P Ü P m S ;- m xt'vttoq ivifiv «ii-p ..

’ laf^^ljlfrfiinitlt i ries' ffd o ëra n x Lecomtni « * r a e p * .S P i m %

r-|!t 'LnM ii à su lieu, avec une grande pompe, la u - M M f t j d m restes des généraux Lecomte et -O lkrili'.T beSB as, ' au Père-Lac ha ise, dans le M b p f i l r a ï qMLeu vertu du vop-de l’Aséemfalée, ..frisisl d e leu r être élevé aux frais de l’Etat.

i .ra ra râ i’hm cette triste cérémonie et profitent «tilAvâW gqpU de la fonêbre circonstance pour

à la veille des élections,

, -»nUg jouroaox bonapartistes surtout .se dis- s.tiufiwgg dans ce concret; ils ont remis à m ur, udprâ ifSèdre i s RéfHlbhqoe solidaire des excès , d s l a C sa m u a e , leurs phrases les plus sonore* i‘ Dirais plus j-onflanles déclamations su r le péril

j ra d ll, lss passions subversives e t les fureurs

à m ffra tfs b m perdue; Tous ces clichés démodés --p ra vraM ncOrs produire quelque effet à Ver- ^dsüfita; faaas ils France ne s’en émeut plus. La -M M tflfratt p q t t t i ’d’c a teo ir sur i ’insurrection

communale e t la tuurbe cosmopolite qui l ’a ^ D a s s u a i i ; ' SMi hou sens ne confond pas le - " é p tm q u e avec la Commune, les républicains

T h é â t r e 4 e S é n i l e .

Bimond. t i r e e h r t s das g è r edrame en trois acte*, mêlé dec h an t ;

Nous extrayons d ’une circulaire émanant de la Utreclion général» des Postes las instructions suivantes concernant Ire

CARTES DE VISITE i , , : 8ous envelopi»» ouvertes; les cartes de visite

sont paft.ihlrs, ju-qu’au poids de 10 gramme*, d» la taxe de 5 m il i mro dans la rirrOn*cripti(iti portai» du bureau d’ongine, H de 10 cenlinkes en dehors de celte circonscription. Ainsi, une carte u# visite de Pari* pour I intérieur dos for­tifications doit 5 centimes; la même carie doit 10 centimes (>our Versailles. (Art. 7 de la loi du 35juin 1856.) iy

Il peut être mi* dans la même eoveloppe deux rertro portant un même nom ou des noms différents, sans augmentation de port.

Sous bandes le* cartes de visite sont assujet­ties à un port de 3 centimes, jusqu'au poids de 5 grammes (Art. 7 de la loi du 8 août 187fi.)

Le» bandas doivent être mobiles e t ne pas dé- pataer, en largeur, le tires de la surfree de la carte; autrem ent celle-ci est considérés comme expédié sous enveloppe ouverte u t taxée au tri­ple de l'insuffisance de son affriini hiasetùent. (A rt; 6 e t 8 de la loi du 3B juin 1856).: Ladresw du destinataire doit toujours êtreécrite s u r la bande,.............- Lm cartes de visites peuvent être écrites à la main, mais elles ne doivent contenir que' les1 nom*, qualité et adrwse.ds l'expéditeur. Toute autre m« tion, manuscrite ou imprimée, re a i- btue une contravention qui rend *eo auteur passible d ’une amande de 150 à 800 fr. (Art. 9 de là loi du 3 5 Juin 1850.)

Les> photographies cartes de visite peuvent être expédiées aux mêmes conditions que les carte* de visite ordinaires.

E u c i é i é r i 'I r e a é ra ra ç U m g é n é r a l e .U réunion du Dimanche 3fi D * * n b re • été

fies plus intéressâmes de là nombreues asete- taras, pour laquelle U salle des airirass « frttU

d w U r ï l m v u i , k

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r i 'Ik B e a u l i ta à été iMMéllé* par M. le doejd’Abadie, commandant l’arrondisae- »{ Le* éutoritéa da la commune, le maire, « M M municipaux e t plusieurs \rto- i hatytaiib- assistaient k cette installation. MêbrijadH est commandée par M. Pialix. sons ses ordres quatre geodarmte MM.

vm M i.G loifi, Arilghi.

M m v a l» . — Le* courses de Brauvais Ixées eu dimanche 2 et lundi 8 juillet.

P ar décret de M. le Président de ja Répu- s, en date du 7 décembre 1875. M Jean. atfrRomain Leuglet a ét<‘ nommé huis- irai le tribunal civil de Beauvais, h la kme, dudit Brauvais, en remplaccmfnl de beori* démissionnaire en sa laveur, et il a serment en celte qualité à l'audience du

Cure n* 80,416. ,M. je d a te u r F.-W, Beorke. professeur de

médecin* * I Université de Maibouig, d it :• Je n oublierai jamais que je dois la préser­

vation de la vie d ’un de mes enfants à ta Rêva* Irscière Du Üarry.

« L’entant, dans son quatrième mois, senf- f r a i t . s a a s cause apparente, d 'une atrophie • omplète. avec vomiovments continuels qui résistaient à ta diète ta plus soignée, * deux nourrices e t à tons les traitemrol* de l’art mé- dirai* La Revalesdèra a com plètement'rétabli sa santé en six semaines de tempe. »

Plus Mûrissante que h viande, elle écono- mise encan; M fois son prix en luédrdoe*. En bottes : 1/4 k it.. 2 ta. * S ; 4 /* k it.. 4 le.; I kit., 7 ta.; H M ., 6 0 ta. - Les BiteuiU 4e R e n te * a ire , eu boites d * 4 , 7 et 6 6 ta. — Li R en ies- a ire chocolatée, en boites de 2 ta. 25 ; de 576 tasses, 60 ta. — Do B au x et C% 20 , place Ven­dôme. Paris - Dépôts à Senti*, ches MM. Du- rotm iuM m et D e la ro e lle , épiciers.

I arrivés du to srr.e r, il vit, en effet, hndividu stinalé descendra de la voiture. Ge personnage,

Îui avait tait une consommation de i l . ta. 55, ont une parfje en vin de champagne, était parti sana payer. Il a été arrêté et conduit de­

vant M. le Procureur de la République qui a ordonné son dépôt h la maison d'arrêt.

Ce même individu, dont le fignalèmenl avait été donné h la gendarmerie, avril également commis des escroqueries de c*.genre k ComT piègne.au préjudice de MM. B ax in ,* J ’bôtel des Fleur», Corbrau, resiauntéiir, placé aux Herbes, Pelletier, hôtel de France, Magnies, restaurateùr, rue d’Àrdoise, et Rempenault, rue Kugène-Floqust. ... V * -n-: ■

Celescioe, qui n’a Wème pu payer le prix de sa placé k ta voiture, est,un nommé Cas- lièw (Céur-Léopold), né h Salpertvhk (Pas-de- Calais); il a déclaré être marié k Compiègne rt ne plus vivra avec sa .femme.

L’importance des dépenses faites ,chex les maîtres d’hôtel et restaurateurs de Compiègne atteint le chiffre de 88 ta. 75.

,,,IW ta n M .it» !

iw i s

m i., — Neus avons le regret d’annoncer la mort de " M. LoUik-Hippolyte Devimrax, ancien notaire,

■ . décédé à BeJuVais, dans sa 62* année.- Les Obsèques de M. D-vitneux ont eu lieu

- aujourd'hui mercredi, à dix heures et demie, en w l’église Saint-Etienne.

p . t a i e n v I H e . — Un m archandée balais de la commune de Bienville vient de se rendre coupable de divers vols d'ôsier au préjudice de plusieurs propriétaires. Les victimes de ces

IV Vols sôot MM. Baugrand, Joly, Bmin, Lèèlérc, de Bienville, et Leraei, faïencier à Compiègne. Procès-verbal a été dressé contre ce marchand peu scrupuleux.

.. .C — B s r a y c . — Le nommé Paul Thié- baul, réserviste de la clause de 1867, dénoncé oomme insoumis et signalé comme résidant è Campagne Vient d’être arrêté par ta gsndar- merie et écroué dans l > prison1 da Compiègne,

Ce jeune homme prétend qu'il ne s’est pa? rendu è l’appel de ta da-ée au mois de no- v it tb tâ dernier parce qu’il n’a pas reçu d’ordre d ’appel. La justice militaire statuera à son

Seigle............................................ 1 7 .» *17 25O rg e ,........................................... 18 50 * 80 -Escourgeon................................... 19 ». à 19 50Avoine........................................... 80 »• à *3 50Sarrasin .......................... 16 50* 17 50Mais indigène.............................. 19 »» * 80 »»M illetblanc................................. 4 0 > » k 4 1 »

roux................................... 27 » » * i t t »•Sons........................................ 14 -» â 16 50Kecoupettei................................. 13 50 *1 4 •»Kenenlages (suivant couleur).. 15 * 41 9 •»

*•' l a r i e p e u t —• Le îw ae ce mois, ib sieur Petit, diarretier, avait rangé 7 hectolitres de

^TtheM vta.qu’il avait mis en tas dans un champ derrière son habitation : le lendemain, quand

O iM lr iu lu jl continuer son travail il s'aperçut qu ’un hectolitre et demi environ de chenevis avait dispérp. l l n’a remarqué aucune trace d>'

n t taira découvrir le voleur. La perte"

■V. au. iw ui.Marque Darblay. 58 ■ à » 36 98 * »• ■»Autres de choix. 58 • * »» 36 78 a • . •»Bonnes marques 55 s à 17 33 «5 à 36 30Ordinaires 53 > 5 5 4 33 75 * 34 40

*8 décembre 18751 à w : t*a.! > wlifla')

4 C f c a m tl l ly . — Le clapier de la nommée Hayet, ménagère, est as» x éloigné de son habi- talion ; grâce à cet état d ’isolement, il a été facile d ’en lever les lapins qui s’y trouvent. C’est ce qu’a fait un malfaiteur qu'on n’a pas décou­vert. La perte subio par la femme Mavet est de 20 ta.

C h o l s y - a u - B a e . — P ar décret est nommé, dans le corps des sapeurs-pompiers : sous-lieu tenant, M. Lacoche (E douard-R a­phaël), en remplacement de M. Ifrjot, nommé

Huit-Marques. .................58 »» à • »Supérieures................................. 56 »» à > ■

■ALU tE PARIV I I 18 OiCMBII 1878 MOUVEMENT SES TARIMES

Restant de la veille...................... 3.985 98Arrivage officiel du jour.............. 361 10Ventes officielles du jour 436 75

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g 5

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I T A IIQ rendue sans méde- » l U i O cj„e> Mps purges et ir la délicieuse farine de Sauté d* Londres, dite :

R E V A L E S C 1È R EC lc rm a o m t. — La Société chorale de Cler- monl et son lionorable chef ont formé, il y a qkélques mois, le projet d’organiser, pour l'été prochain, à l’époque de la fêle patronale, un immrasu concours international de musique.

Aujourd'hui ce concours est décide. Il ad­m ettra les sociétés orphêoniques, les musiques d ’harmonie et fanlares.

Des invitations seront prochainement adres­sées aux sociétés étrangères, et notamment en Belgique, en Hollande, en Suisse, en Italie, ainsi qu’aux princi|>ale8 musiques et sociétés choisies françaises.

Nul doute que, établi» sur cette base, la lutte ne soit rude et les prix vigoureusement 'disputés.: On parle de trois-couronnes d’or destinées atix trou* divisions supérieures; le nombre des ‘médailles sera considérable.

C'est M. Dsmouy qui présidera à cette im­parfa ite organisation.

C A a s l i iè ÿ B * . — Le 21 de ce mois, è neuf heures, dix minutes du soir, le tnaréchal-des- logis de gendarmerie de Compiègne recevait u n télégramme de ta brigade d’Atlichy lui tai- saat iconhaltre qu’un individu inculpé d'es- eroqdrfiê au préjudice de M. Laude, maître

Vingt-huit ans d ’un invariable succès en rom- battant les dyspepsies, mauvaises digestions, g-islralgies, glaires, vents, aigreurs, acidités, pi­tuites, nausées, renvois,-vomissemMits, consti­pation, diarrhée, dys-enterie, coliques, plilhisie, oux, aslhme, étouffements, étourdissements, oppression, congesti n. névnwe, insomnies, m-a lancolie, diabète, faiblesse, épuisement, anémie, cliloros<‘, tous-désordres de la poilrine, gorge, haleine, voix, des bronches, v«s*ie, foie, reins, intestins, muqueuse, cerveau et sang. — 80,000 cures annuelles, y compris celles de Madame la Duchesse de Castlestuari, 1» duc de Plmkow, Madame la marquise de Bréhan, lord Stuarl de Decies, pair d’Angleterre, etc., etc.

m i i i m i i i m n i i 1 1 g

S'adresser peur les renseignements :I* À V» PLARD. avdué poursuivant

ta vente, demeurant k : Senlis, place La* varande, num éro4 ; >' r > > •- 2*. A’M* JOBEV, notaire k Crépy, dé* positiite du cahier d«j ckaigré; ' |1 S ' A M* DENNEL, huiKÛer k Crépy- eo-Valoié. / : ^ .» i

Pour insdrtipB i'\'J ,

fofm’ant limite du côté de ta forêt; l’en* semble contenant environ irenU-sepl ares soixante-dix centiares, tenant d’un côté occident k Ferdinand Bataille, avec lequel le m ur de séparation est mitoyen, d ’autre côté k la Société Cottray. d ’sn bout au r û , moitié-compris, e t k la place, e t d'autae bout k ladite Société G ottny et k la torêt de BelX (Section A, numéros 1562,1563 st. 1564. et partie dse numéros 1565, 1566 et 1567 qq ci*j

" lrM isekPfix . . *. 1,600 ta, Deuxième Lot.

• r. Deux ares soixante-traite centiares de bois, au terroir de Bonaeuil, lisu d it la Mende, tenant d’un côté ■« Jeaa-Baplwle Duhreuil, d 'alitre côté k Jean*François Billy, d ’un bout, aux héritière Pierre Bertrand,.du Ber val. (Section D , nu­m éro 343.)

Mise k prix . . . 5 ta.Troisième Lot.

Sept ares soixante-quatre centiares.de terre, même terroir, lieu d it le Tranloy, près la Croix Rouge, 'enant d ’un côté orient k M. Touchait s t au fossé dé la foiét, d’un bout.nord k ce même fossé, d ’autre côté aux héritiers Léguillon, et d 'autre bout au chemin de Compiègne k Villers-Cottsvéts.

Mise k prix . . . 40 ta. 1Quatrième Lot.

Deuxe ares trente-huit centiares de . terre, au même te rn ir , lieu d it ta Mande, tenant d 'un côté du levant k MM. Damé et Délai 1rs, d ’autre k Cailleux, d'un bout aux taries de ta Plaine, e t d ’autra b ou t* plusièurei

Mise k pr(x . * . 80 ta.Cinquième Lot.

Deux ares trente-neuf centiares de bosquet, même terroir, k l ’ancien che­min du Trenloy ou ta Fentinetts, tenant d ’un côté orient au représentant de Bonnsuil, d’occident k Jsan-Haptiste Brilard, du nord k Pierre' l/gu illen , et du midi k M. Pisrrs Don val.

Mise k prix . . . O ta .Sixième Lot.

Onxe ares trentfreix centiares de terre, même terroir, lien d it Rôme, tenant d ’un côté est a François H*vouart, d ’au­tre rô 'é k Lasalle, d un bout k plusieurs, et d ’autre bout au chemiu de la Ruelle, en face Racine.

Mise k prix . . t 8 0 ta.

Fait et rédigé par l’aveué poursuivant soussigné.

Senlis, le vingt-trois décembre 1875.S igné : PLARD.

^ i a n o n ê é é J l d d i c t a i i ' e é . nom et comme tutrice dative de Lnuise- Victorine Denisot, mineure issue du ma­riage du sieur Joach>m Dsnisot avec Julie Vignsron, tous deux décédés;

Co-licitonts;Ayant M* Ernest Chalmin pour avoué

constitué;

S encore en présence ou eux dûment és, de :

Le sieur Laurem Vigneron, i*ur- M lier, demeurent k Silly-le-Long, au noiq tel com m e subrogé4uteur de la mi- oeure DenkMt ras-nom niée;. 2* Et- le sieur Jesn-Henri Lefèvre, marchand tailleur, deoMuranl k Nan- t*sû(4»Baudouin, au r nom et comme subrogé-tuteur' d« m inéor Jean-André Drageon sus-nommé;

Il Mira, la Dimanche vingt-troii Jeu vier 1876 d une heur* de relevée, par le ministère de M* Bigot, notaire au Pfrssis-Bèlleville. et en s'.n élude sire audit lieu» procédé h la v-nte i-ar adju­dication publique, au plus offrant et dernier enchérisseur e t k IVxtinction des faux, de ta Maison ci-après dé-ignée.

n i s l f l N S T i o xC tasm asausie Me S l l l y l r - L e a g .

Une maison, située en la rue de la Rocballe, consislant eu1 trois pièces p»r bas, deux chambres lamhristées au premier étage, granivr* côté couvert en (ttilra et chaume, grange de deux travées rouverte en chaume, toit k porcs «•! poulailler; cour et jardin|rontsnant huit ares cinq centiares, le tout tanauld'uu bout k la rue, d’autre bout k Isidore Prieux, d ’un côté k Pasquier Cartier, et d 'autre côté k madame MoUy.

M I S E A P R I XIndépendamment des charges, c'ausee

et conditions insérées au cahier d*< charges. Iss enchères seront ouvertes stly. la mise k prix fixée par le tribunal k lis

i l

A r t . 1 .de M* P U r d , licencié en droit, f k Senlis, place Lavarande, n* 4, w m y m i r d , M* A o .s .t ,

d . Verbcria, cb iu b u b t m : ÏÂ ii im lÊ d-h.bii.lw n «pqU |rr. « p i l in t , p t i l H a M u m â h -bnurabU. : *.tooi V n if W u n a t , d«l.coDtnaiKed,d,nbKUra,Uaitu>.i«m» d h ™, m u n i , c w lia n a iM « .

Laquellea-ljud ica tion a eu' üèta'idbjfeo- nant treize taille cent fron ts deV rix princi|ial, outre Iqvchaifes.'.^vinM

Avec déclaration : i o •M i.1* Que ladite notification ftaH 'M b

conformément k l’article B lftiM u éede o in l . pour qu’il w | i p iM d n u l t . inscription d hypothèque lémd»- M>il aviserait dans le délai de deux ■mtat - t que faute par ldi de cé faire dausle-

libérée entre le H S iin sa ii requérant de toutes hypothèques de cette nateAd.

2* Que les anciens proprilftttae da- dit immeuble étaient» UMMppÉdammml de la venderease: Pierre-FleuéM lM NIa et dame Aurore Caste! de C ourrai, a t femme; madame LeuiseCtaire Baveu. veuve de M. Jsan-LopU T illT O T n rja ' du sieur V illeoeuv^M rta^L M areM e-

A rt. 4 .

Etude de M* B r a e s t C h a l m i navodék Senlis (Oise;,

Rue Sainl-Hilaire, n* 10, Successeur de M* Henri DUFAY.

Bourgeois et da Boyer, « feram- dam» Marie-Man me; Achille-Aügi ras; dame Marie-, lamar, veuve de Pierre

3» E t qW tout il poum itM repf

vingt-quatre août suivant,'

Page 4: UN BEAU-FRÈREbmsenlis.com/data/pdf/js/1875-1878/bms_js_1875_12_30_MRC.pdf · ’ \ r% * < M j.H»;jP ljëhRs!p?F - >: ' vf K f _ _ ", - , » r\*»Vfc *i!.ii i-'-FÙte' *1 j

m m tb n lW n , partant M tu mention : Büivgiairé * flMfckj » vingt-aapt dé-

gffiiï JILf - , JB> 8: nçu

r . SsChnHen-Philippe J olt, imprimeur d iiw u ra n l A Gouvietix (Oise);

£ ‘ ®PfW diuand J olV, im primeur sn r éU flss, demeurant à Gouvieax tüiaa);

lhappart, < i ->> ror»• « 8ocièt> en nom collectif, ayantUfe* « M * Gouvieux (Oise), a été formée

« î L f a sI m m dénommé*, prn , tu l r r H . Benja­m in M j ; en iH ralér « tin t déc&tt, la S o tM M i« W llin « eU n H H . Jn lj frtres,

* . T é rn n tu d Jtly , et dne période nsu- *eue de sept annéee et quatre mois, de

fou^M te««ra uae

Elude d a M v i i o o t i ^ l e t , n o lise L ' m , ( , , d u X „ r d

"■""" '■ Rùe d u Chôtel, n* 4, à Beuuyais,Veillé» Nttbîli^re ^ V e n d r e o u « L o u e r

A M o r o u K le a , P our en tre r en jouissance aitlie pimauclif 9 Japv'ér 1876, à onie o.0flM l ” f a n W 187».

heures du malin. u V ilw iT « P ^ , r H ? ' 8 " rmen'?’ *. Par lé ministère de M* IIamklkt ■ • • Ul ILLE, rus Sainl-Mwrtin, n* 28,

notaire à Chamblu ' ou c ' * M0R1N, tmiuire h Savi- An domil iti- du M. B a ih g j t . «I par f,""** r t '''C* PILr.K. Ilû .-1 du

auile du décia d t-1. dernier, niiraerco à Creil.S'adresser puMr tuu» reiueiynemeab, ,, ,Audit M* UadElET. A L o u e r aie a u ile

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c r ia i dÙ M M u//satser 1876. o a u heu ee Ûk m a tin , en la chambre du con eil du t f M U de Senlis, a l sera continuée ■ans interruption.^ U j f f l j r a u u o m seront raques immé-

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W p k ,iK H lM d , I

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lla n 'b é «le Terre8itué terroir de Baron

Ix tu é h S D f r . , n e t d 'im p ô ts . 8 ’adrener pour traiter, k M* F ktixon.

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«t du Lys (l.amoiidy.).4 L o u e r p o u r 1 9 a n s

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Compi'jgne. è Senli»;Ou A M* FETlZQN, notaire A Senlis.

< i l * * * (€ B A U flN , avoué I 1 Senlis, peursuivaaH a vséts; ■ ’■» rt

P A U ’ COLLAS^NfiBY, huissier k

«I^JBLJrihCrsffede Tribunal de Senlis, éA isaabaerqle" charges est déposé.

W m ^ i H m ^ à t \r o u i k Sedlia, Lsvarande . n* 4,

“ U c l w t o -- ü!i J W w n w w -

3 i« 1 ^ ç e s^ e T erreÉ M t i ' i e r r w * : BU1NCOUBT - M

. I« P F tS P R -C U S E , canton de Greil, ;; ^ f ^ f > f i« td e |B e n l i s ( O i s a ) , r i b sjS '7-1 * * * ' ( • • ^LéêkÀ i : **]n n f l r t g r t t r i n f * f tn rlfiirMi partielle- le M : ~n «M fl oiiisii to têU tl

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e t G la ig ü e si cuntGn d e C rèpy- è n - V û'ioib lO idé),

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