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Vendredi, 18 Octobre 1872 B D R R 14 S . 1 RI,uitoo DES DEF,tpTS Ei DES AISIOVERS DL, TRAINS DRS TOULOUSE un sil, 40 f. e mois, Ili f. S mois, 11 1. lia.. on soaau.i. DEPARTEMENTS 50 - s4 - i1 né,.eta An 1 iT11ANOER Les fraie eapplémentnir.a de poste eu sus. %`A eeq.ta '.5 IRRYAEfle5Te se le. al.IVnrlCMu , TOULOUSE l ns Bnrearu de Journ:,I, rue. 44. Chas Ni. Bavas, ro. J. J. Ronae,an, s ; et Matin, m n it m Mata, I 13 Malin, i 6 SO Ya.ln,(Agen)8 48 Mol.,, (Ihpr.l 11 Smr (Dupe) I ta f 31 Soir, 3 35 soir. Issu, 6 10 Soir, IO 40 A r A R l S hea MM. Luffite-Bulbes et ptact de ta ï Bourse, 8; M. Fontaine, ras de Trévise.: Yann Seuls gorreapondanM pour Iw À....oe.. Hutiu, TouLousE, 18 Octobre. BOURSE DE PARIS du 17 octobre. Au Courras. Taleers div. Cours dn jour Cours erse, 36j, 53 05 55 07 1/2 41/2010 76 .. 70 ,. 5 0,0 emp. 1871-' 84 84 .. 50/0 emp. 1872 87 05 86 05 A Tanna. s 010 DAto. 53 15 53 10 S0/02.'Fours 3315 5307 50/0 emp. 71 1., vans 84 35 84 20 s leu emp. 71 l.. cors 84 35 84 27 50/pemp. cours 87 90 87 5 0/0 emp. 72 de, cet es 87 10 87 50 1 2 1, Ital. 00 45 O5 Foncier 880 .. 882 50 Mobilier 447 50 4!i1 25 Mou. lisp. 408 75 4'J:, ,. Cressons na rat. Orléu' ... S1 , Nord 965 .. )1: Lyon v4 Midi 571 Autrichiens 785 .. 770 Lombards Banque 4,340 4,350 BOURSE DI, rOULSUSE du 17 octobre. Au C..en E (pu 53 20 50/0 Emprunt tout payé 84 fr 40 50/0 Emp. uaonron 87 30 Orotcenoes Divensas. Midi 278 Nord Espagne variable 130 Bassesse 202 DI:Pfcills 'r1;LI:GIt tP111QU115. o, llore. New Y "k' le I li Les alaxicuins ont Fondu lot .[,juin volés dans le T'oua,, ils ont aussi s d Ii coc les au trocs des outrPlu- mi ges comme présde la frontière. Les chaloupes du steamer Laolabell,, échoué dans le lac Michigan, out été re trouvées. 1 ` déficit actuel il" budget de Cuba est de 13 millions de dollars. On prupn se de lever an impôt sur les esclaves et les autres bimm culonianx ;mais les droits de douane resteront sans change. ment FEUILLETON do JOURNAL de TOULOUSE du 18 Octobre 1872 MONSIEUR 11,1111E 11. E. TÉLÉGRAPHIE PRIVÉE t tu MBtia,lCseol 8 85 6 00 Matin Rapt t0 ''30 Dopa vos , l Marin, t0 9o,,, (iiaprd x loir, 1 lafr,',,seru 6 aven ' Malin, 6 1 Malin, 10 soir P,',, 7 I soie Yontr.b 6 CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'OIILEANS (Savais# d'BM). Arriver.: hoir, t tg hoir, 1 si hoir, l0 110 soli, il se 00 (0 au I9 as las-là. N'ntej 9 20 in mat. 1R Sou, Pur, 1 Os Ib loir, 7 60 le ut" 9 ta . ai... aa rota, ISIUMMI , S.. n..4 n. avens.., £*W MY Annonces, la ligne, 0 fr. 3O et Eéelame9, 1. ligne, e 50 Faits divers, la ligne, 1 00 Bpary, ArrivMar Matin, 9 08 Matins 9 86 hoir, 3 70 Dois, 6 69 Bois, 9 40 euh, 9 38 usus ondes asana-wt Patin, a 6 10 Mat. ville,. 1 93 6 47 Soie, ,t 42 400'Te fion, (villelsa.) 9 10 Soie mm, 5 si eote. 11 25 lion. 1/2 ; Comptes du trésor, 27 mil- chiffre de la subvention au de la pension lions 3/4. dut ils sont titulaires. Les doloires qui habitent en peovis- ce fouleront tracsmnure ,es relu- Marché de Parés don 87 seig.ements soit au ieésoaierpayenr gêné. Paris, 17 octobre, midi. M. Sueurs est arrivé la nuit dernière à l'aras. M. d'Ilarconrt Rat encore a Paris; il partira i.... al me0t pour Londres, pour la signature de traité de commerce. Madrid, 15 octobre. M. Oscilla a p...uncé un discours dans lequel il a reproché l'intolérance des républicains; il leur a demandé. s'ils veulent réaliser leur idéal par la légalité ne lutte armée. Il a dit que les al- phoneistes n'ont pas la légitimité de l'histoire. M. 7 villa demande aussi a ces der- niers s'ils veulent semer dl os la légalité sortir. Il e.pere qpe Il' libéraux lesteront nais Si la menace des a1phou. listas ao traduit paries faits. Les 0010 vatrors nént pas de principes, mais ,col Le rmtoi des intéréts. u:iu'sl re décluro que le parti radi- eldI d l I t lu lynuotir 0c1 II l _I 1- t g.s cour s p- ueinalns vdontmres a LAI,; 1 dd gcelrs t 'u,ilaires sil général méri- tent la reronnnissancu du pays. I.a questiois tu l'esclavage à Porto-Di- co sera bien SI résolue. ornas evenmia lieras, 17 octobre, 1; h. soir. N. Thiers a reçu, hier, M. de fontaut. Baron, qui partira demain pour Merlin. Le bruit que M. Uufaure présenterait un projet 110 réurganisalion de la mogis- teature est dénué de fondement. M. Thiers retournera à Versailles ea- med. Le T a. 1 t q I g e- nem t 't e à p és l r l'A. bi projet d 'form oos- t lut' muettes. Un groupe de députés du entre gauche, en communauté de sen- timents avec le gouvarnemeut, prendrait l'irritative d'une prupnsition dont l'objet principal serait la création d'une seconde chambre. M. Ouenne a eu aajonrdTmi Inc eu- trevur,avec M. Thiers, et M. de Itémusat, ministre des affaires étrangères. Voici le bilan de la Banque de Frime. Augmenlmiuns: e caisse 314 de no lions; circulation 'o20 rletuilles/2. laiminutions : Portefeuilles 17 mil- lions 1/2 ; n'auras sur Ilng.u, 5 mil- lions 1/2; comptes particuliers 12 mil- Spiritueux, rut dn département soit au receveur î t a0 asti lier des avances, soit au percap- dur de leur résidence. les Abonnés dont J'ahanais- 1137. eneitt expire ou 13 courant, vont Afin d'assurer l'uniformité de l'ensei- priés de la renouveler en temps utfile gnemcnt il, l'escrime dans l'armée, le 1 qilluist ue Io s de la guerre 'lent de décider s'ils n, veulent pus éprouver d'inter- I que tous les mattrea d'armes des régi- s u ' des xa- ruption dans l'envoi du Journal. entsau.,et 0 il mis é l I ol brevets leur PRIME OFFERTE A NOS ABONNES Trois francs an lion de 12. NOUVEAU d'' griciil1lire, parnrasmr m sue Ir "' a en liuraisone de 32 pagesf rt Preneauant an S u an e uu l G,slerle h'stor.yan de tua RevoluOua françnle 1789-17'15 Album de 50 portraits en pied, avec 50 notices historiques et biographiques A. lieu f00 0'., tut pour leu .bon nés 16 fr. ALBUM PHOTOGAAPHIQUE DP R I I DN] PA!US Album de, consulat et de l'6m pire. CHRONIQUE LOCALE Les titulaire. de subventions annuel- les ou de pensions complémentaires sur les fonds de l'ancienne liste civile im- périale sont invités, aile de pouvoir tourbes les arrérages éclos :n 4 a p- lecabre 1870 lie leurs subventions ou pensions, à faire parvenir sans délai a liquidateur de l'anciennr liste ciels et du domaine privé, rue de Rivoli, 192, à paris 1l Leurs nom et prénoms; 2 odica- il.. exacte de leur domicile ; 5- le nu- méro et la date du brevet, ainsi que le Cette fois, il s'agit de célébrer sa ving- tième année de bonheur ovec sa hère Cirants; un . ' s ' a joli bail que la deux 'uuteuclants an demandent qu'à tatou ,elle. Ue plus, c'est un jeudi, et cela cet.- vide aveu le corF s dont la réunion doit ara r le lieu le ao r, cher. l'ancien meuntec G'eat même en raison de cette cirenns- taoer. que, au lieu d'aider comme lent le mmnde aux préparalibi. Mlle Lucie eau eu peau., u' elle fait répéter à a.. fiancé un grand air des Rugurnotr appris pour It'fnt mratpasa:uit les tringles dans les outas.,rs lie ses rjdeàux, 61. !tigaut da. del,or de la fétu et Dut la mesure à faits. Eu ce moment viral n'entra Jaeque lt, rosi fait à son maître un signé mysté- neui. - Cl, bien ! quoi? gn'esl-ee } on t'a donc coupé la tangue? - t aatide -répond Jac- collet r pOosanu, sant m S louis 'est la l'index , .s lèvres; ça, d qu'an . a airs j nain ire e apas dira yue... ales j'a ne i a r e pas parler pour être plus sur de me luire... Il y a, au jardin, quelqû un qui voudrait venu router deux mots... Aristide descendit de son échelle, el, les lu as en l'air pmir ne pas laisser trot. ner le rideau qu'il festil encore, il se di. Figea vers uu massif de lilas derrière le- quel s'agitai[ une ombre. - Que signifie tout cela t demanda M" lligam, intriguée par .erre discré. taon à obier voir. - Rien, madame, répondit le jarda- or, ça vous f¢ra m0meplaisir; ou le aer- vilrs au c.nrbbmiillon. l: ombre qui s'agitait derrière les lilas était colle do voisin llrochard ; il était en tenue du malin, rouge, essoufflé, ma. Nous sommes aa printemps de 1870; La est au renouveau. (.a façade de la urc. n Iligaut osleouvc le dn roses flot éano s. La rill,', qui sépare la p faut(( m de la ulo '--aIl rlti:vre- I ne, ¢ e E le hI Otl. a fa sent le para dis., comme dit eliette, la bonus peur lotit fire, à la Rous>u, qui ce jour là a ta Il de quelles do oolite à tenir qu'alla ne sait ot Aonner de la téta. Ges pigeons sont àttem poste soir le toit; les poules et lus dards orcn vent le leur sous les liuuts, sauf quclgnos victimes parties ptir lu broche. Mite Iligaut' les manches relevéesjns qu'au. coudes, hotte vigoureusement te .per de la salle à manger, dort alto Lift quasi de l'ébène. Aristide Itigunt lent de. remonter (avisons horloge et de la grande table ronde. IL est erbmllemeut gmmpé sur e double écbelle, et n ruelle les valsas:. lac- quelet râlas", les allées du jardin. Miette passe ait blrn. d'Espagne l'antique or- pmttrrie nnassire , ln Blond aide à la itou=:¢ e! plume Ies volailles. L. miaou de en remna-ménage est que 61. Riga ul donne un grand ci.- Cela arrive deux focs par mt delsus anniv r - ' s da n mmlagc su naissanor de u fille.so culé de boue, trempé d'eau de la tête aux ieds. - Regarde un peu, dit-il à Rigaud en loi montrant un osai', couvert de foin sQu'est-ce la t que c -Une truite sanmonénde quinzeli- v,ss au moins. Diable I ça vientede Id bas. Ont. Lu-baa sig Iabsit aile crique le la NI.- Il', ail malgré les édits préfretoranx MM. ]tigaut et Mroehard, grands p0- cheues devant bien et devant tea hem. , tend¢es lent clandestinement d'illicites filets. - L:s heurgeoise va gronder, dit l'av- eu J'eu Si peur... c'est pourquoi je 'osa pas lui surir moi-méme or 'pré. sent do cml... Si je disais que je l'ai acheté ? - Farceur ! avec ça qu'elle le ceci. Bait - Ah ! une idée ! C'est mon fils que j'entends chanter... Appelle le donc. Le jeune avocat fut mis au cmont On convint de ceci , qu'au plaide. u re- ''sant serait censé lui avoir envoyé cemagniti toc échaolillov de la famille des salmonés. Présentée sous celle ru' brique aslucieose, doublemeal sec m- mandable par son origine et par sa va- leur, la truite saumm,ée reçut de 141" Rigaut l'accueil le plus empressé. - Et dire que cela noas vient par l'é- loquence de M. Jules 1 connu BIS. Rasant uiére. u sa 10 La 1louese ne savait pas ce que .'était que l'éloquence. - Tiens I reprit elle, j'avais toujours cru que ça venait far la rivière. Ce jnar là, quines à eo être récam- pensés plus tard, il faut que les sale. in, Pr seront confirmés S'il y lie., Mi. rés. nssomnrmrc ri:.énera Comité de Toulouse. La plus doulonrzuse coséquenco de la gallec d 1870 I t en le cou c,t L. AI 00 Lorrains nt I îles ublgé. 1 quitter t sol at,L or d e perdra le titre de lrrança s. ils n ont pas héalié et se sont résignés à une émigra- t,en e se q.i est aile p testatiou héi nïquecontre le droit aa plus fort. Eu présence d'un fait si douloureux, les aucs établira pour de ir les iéte AI rI.orraios rappellent à tons que ai t ucn la France est colidame de cette noble iofortuue et qa*vIly doit la secourir de tout son pouvoir. 11 faut que les exilée reümivo t parmi nous tee moyens de trama(( qu .voient duos fur bon pays; il fans yue Ies familles qnl ont abandon- né leurs l'uyers, puissent s'en reformer d'autres, il fauteuil. que l'immigration m Algérie et que les autres élablissr,- ants autant entretenus d'une maaiére durable. Tcl français comprendra les n rg. p é . par de ai grands de- etl Asso-'alleu Al.ace-Lorraine de rallie que la s cripliun gn'Ille ouvre eu paveur des v étantes de l'option, et dont le mourant sera ajeure partie, adressé su x comités frontières actuellement eu détresse, sera anulenu par la charité fraternelle et le palrietisme de mus. Les membres du bureau. 141M. Oory, rabbin départeme.lal, bou- levard du 22 Septembre, 27. - Joly, P""""r l la Faculté des sciences, quai de Ilrlenne, 25. - Le général Moremo, LA.,. de B-(turf !i. - Iteydet de Com- bée, rue des P.Lien, 2. - Moll, mallie tailleur au 23e d'artillerie, quartier mo- dèle. mars se liassent complaisants : le diner est pour cinq heures. Ilion avant l'ouverture des hostilités, lent le monde est sous les armes. Mme Iligaut est en robe de soie pensée, sans volants ni passementeries, n i jais d'us. an orle. Un petit bonnet de tulle, orné d'une touffe de violettes, surmonte ses Leur Rat encore plu, simplement u mi : elle porte un robe de caohanche gris mut uni, net ruban cerise tranche su la chevcux noirs. Itiguul et I rird ont exhumé l'ha- bit des grandes des circonstances : ha. bit de bon drap solide et corsé, qui u' se dans ans plis et dans l'armoire, à tau modo dtil y a dix n las fort présentable. Jades, loi, civilisé à Parie, .,admet le supplice de l'habit n ,r que dans les crises otrrcaelles; il s'adjuge lasupério- ité du pantalon gris-perle et du simple frac. Le coucou vient à peine de paraître re stil de la vieille burloge et de pousser quatre fois sus cri monotone, que déjà les s 'a ls t un à en : la plupart pururvus de e Vislrument- violon, clari- r eRe, tromboge, sur lequel ils doiveet se distinguer ou concert do soi Cet homme de cmarti le ans et de borne mine, à l'air marti a al, bronzé, curé, taré, e Llortu tant d'une pièce, ce, et marquant le pas, est t fil Félix llaudry, blessé en Crimée, ,,api e tain eli retraite et célibataire. Sa mêle était tante de Mme Iligaut; aussi l'apelle-t-ne, dans la famille, le cousin tout court. Baudry n'a guère que sa pensir., une petite veule et^.Ies 250 francs de sa crois; mais, ove, cela, en y ajottanl de l'éOOeu. mie, on peut vivre indépendant à Neuey- Teniente.- Typographie Pb. Monrsrsm, Pi nu ,u a l' Les suuscriptisna sent reçues chus les Massis sera ; soae l'espérons, accompli membres du bureau, et spécialement dan m jour prochain ; mais 1,11, si pas- hea M. de Comble, sacrémire trésorier de l'Association. Les soins des souscripteurs seront pu- bilés chaque dimlebe dans les diffè- re ts journaux de Toulouse. Divers demi importants ont déjà été faits au Comité de Toulouse. Voici les principaux MM. e, 000 Or, - Acbuté s, M Bt e- ronge, fr. lueuaé ui député l' al 200 l'Ariège, 10o fr. - irességuier, adj ru- a. maire de'Coulouse, f00 Ir. - Bu n I chef d'escadron d'artillerie, 100 fr e0utre les dons eu argent, le Comité -,ut, les dons eu mature, tels que linge, habillements, chaussure,, etc. (art. 6 des Statuts). M. Cangloff, propriétaire du café de Strasbourg, boulevard du 22 Septr mhre, 28, a mis géeérensemeut à la disposition du Comité un local destiné à serv r de magasin. Les euats nid y ont étb dé- posés jurgri ies ci o t aié puissamment ur- Soi ui r l réfugi es, main à jo pole d'buioilsnsont é puisés. Le Comi e couséfnrrer las personnes qui pus éd rasent des nltemeutx qu'elles n as- nt plus I intention de porter, de vou - loir tien les envoyer à l'adresse sus indiqué«. U. nnmhreuz enetége d'amis n cou' duit hier à sa dernaèrn demeure M. Au- guste Massis, qu'une mort prématurée veut de leur enlever. M. Massis, né à Foin en 1822, était établirTouluuse depuis sou enfance; après de brillantes éutdes musicales il était devenu un des professeurs les plus estimés ; sen leçons d'harmonie étaient sortent eclreruhées. Il matait à rem- plir ses damnas un zèle SOalenu et ces procédés allions., ui sont pour les élèves u. etc ragemem à bien faire. ea Jnsgn'ii la Os de aa trop courts tente, il s'a pas cessé un stout de ils livrer à ce pénible travail du professorat et il a formé des disciples digues de ui. M. Glanais était organiste à la Lasili' oe Si Serai. depuis l'établissement de lor - gue actuel. Il aimait avec passion ce bel instrument dont il avait en quelque salle surveillé l'exécution. Sen jeu était sobre et sévère, profandrment religieux et eu dehors des formes vulgaires et mondaines qui tendent à se substituer Parfois au style grave et sérieux de la nique d'église. BI. Massis 'a ait qu ûne pensée, c'était de vor achever son orgue, encore incomplet par le man- qne d'u cermau .ombre de jeux ; celte pensée le préoccupait et lui causait de ces tristesses que les véritables artistes pourrai seuls éprouver. Le vmu de M. sous-Bois. C'est très-heureux, car le capi. taille est ce qu'au appelle, en argot mi- litaire, nue culotte de peau; il atant usé es vie à être soldat qu'il ne peul plus 81es autre chose. Les Iligaut l'ai- ment beaucoup ; il représente la gloire des armes dans la famille. Son ruban rouge est ove sorte d'oriflamme so.s la. quelle on ne manquejamais de se rallier, lorsqu'il s'agit d'une démarche ou d'une cérémonie de quelque importance. Gé. éralement, leétalcapi,aine se tait; mais sa boutonnière K e et parle pour lui. Mme (tigaut le lourait de chemises et Lucie de monch.ies. qu'elle brode à la. taffre. Oa na met amais en perce une c de Saint-Jujlieu ou de Pomard saas lui en envoyer uu panier de i, ,I; bonteill¢s; méme atleution à la ueallcltr des fruits, à la rentrée du bois de chauffage, à l'époque des coascrves et des onfilures. Le vain laine accepte sans façon rémunère tout cria par quelques bagatelles qu'ut sure à Lucie au nouvel ou et à sa fête, et par le vé- ritableaatlachemeot que, de sen coté, il porte ux Bigaut. Le capitaine ri arrive jamais sans que eu petite cousine lui soute au cou ; elle est quitte p0nr essuyer, en riant, lu ! û e que laissent sur sa noires, Ira' esleu grand mauslavins trées au csmétique. Une trentaine de personnes ne tardent pas à étre rénales, tant dans le ,jardin que dans la en et l'habitation. Oo eu et vient remmanchez soi; off saccage les plates-bandes, on cueille des dents; les jeunes filles ne se génent pas pour cro- yuer dus prunes vertes et des cesses en germe. - Faites, mes enfants , dit l'ancien meunier, la maison est à vous, A cinq heures sonnant, il ne mon- o r l'instrument qui uni p d'une manière parfaite à ses inspirations, ne e. plus Ià, pour voir son désir réalisé. Si l'an estimait le talent sérieux et complet de M. Massis, on n'aimait pas moins son caractère modeste et blenveth tant :sévère tever. lui-mbme, M. hissait jugeait les hommes avec indulgence; .n peu[ affirmer q 'il .,.,ait que des amis. Sa mort a causé nn deuil profond; ou gardera longtemps le a..venir de sa belle rie et de ses excelleales qua- titis. L. Société philharmonique, dont M. M.SiiSêt.it le noue de eairee ou euneni aOur 18 nimbe, M. N. Itouzaud, .....Il président de la Société, a prononcé un adieu que eus eus empressons de reproduire. Voici l'a paroles prononcées par M. Itouzaud Messieurs, Quand la mort vient frapper l'homme au terme de sa carrière, et lui reppuler qu'une longue vie n ést qu 'une double drue de la nature, elle ne parait alors que lu loi eigaureuso de l'hnmamté ; mais lersgdau milan de sa vie, l'hom- me succombe sous des coups inullendrés non coeurs alors se resserrent; p d'une profonde ameetime, nous laissons éclater autre douleur, et, ai nons ra- geellone le vieillard pour Ira joursqu'il a coulés sur la terre nous pleurons les années que la mort a ravies à un homme cliente environné d'espérance et d'avenir. Tel est le sentiment que nous éprou- vous aujourd'hui sur celte tombe encore nuTelle Tell, est la douleur que je veux essa- yer de traduire au nom de l'École-Phi- Ilbaran cool Is nique , n, celte Société que, une 'Li su alfca0on et uneselsqai allèrent jusqu an dévouement. Je voudrais ici parler dee joies qu'il trouva dans notre société , et aussi des succès qu'il 7 obtint : car ce Invente a pour noua, au sein mpme de rire tristesse , nue inexprimable dou- ceur. Lorsque l'on fait une perte cruelle, lorsque la mort vieut disjoindre nos ls eapp n a ubruOn pas, en effet nà il rappeler le bonheur qiI ont P. tir s et et Per dus t Ne on pas à calmer ainsi ses pegod,Iasetces es douleur ne trou- pas l pieux souvenirs une eaahon Y sain recevait as orgueil ; Massi Ies sucrés sa élevé à l'école de Mas, de regeellable mé- i1trouvait àfaire remonter à son vénérà ..lire les éloges qu'on lui décer- que plus à l'appel que M. Robert ]Munis- net. M. Robert Morisset est lie avoué, l'homme duellistes], le boule-entrai., e; mouche du uche de Neuvy_sous-Bois; il n éat pas Normand , mais il Mérite- rait de l'Olre. Bon vivant, spirituel, a' mabre toujours, à toute heure et avec tout le monde, mystificateur par essen ne, hdbleur impertmbxble, menteur tans rime ai raison, pour le seul plaisir de nn pas dire vrai, le tout si bien :unal- gamé avec des faits notoires que la ra son s y perd : un logogriphe perpét.el que 1'00 cherche toujours sons jamais le touvr. Ce travers l'a mis en suspicion dans l'esprit des gens sérieux, qua 7 regar- deraient à deux Lons avant de loi renier de graves intérêts; mais il n'en empaume que mieux les paysans, qui le trouvent beau parleur et pas fier. M. Morisset est, avec cela, un fortjo- li garçon, bien tourné, aux (rails régu- liers, aux grands yeux noirs, expenueils et doua. S. favoris et ses cheveux sont tirés au cordeau; Ies mains sent blan- ches,les ongles soignés, ses costumes de faulaisie achèvent, hors du palais, la [ascination :pantalon coslui' , gilet de I nea,ssaeat cascadés de choanes d'or, breloques tapageuses, cravates fantai.is- tes, un diamant au petit doigt.. En somme Médiocrement distingué, mais l'appareil- ce cossue, le ton et les allures d'un homme charmé de lui-même, la lote de Wai. quarts, le do. rond d'un elml qui se gratte, le sourire stéréotypé d'un danseur qui achève lie pirouette. Il faut que Robert Morisset soit mer veilleusemeut dosé pour mener de trait tant d'occupations et de passe-tempo di- vers. On se demande oh il trouve le loi- sir d'étudier Ses causes. Ce légiste a tont Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Vendredi, 18 Octobre 1872

B D R R 14 S . 1 RI,uitoo DES DEF,tpTS Ei DES AISIOVERS DL, TRAINS DRS

TOULOUSE un sil, 40 f. e mois, Ili f. S mois, 11 1. lia.. on soaau.i.DEPARTEMENTS 50 - s4 - i1 né,.eta An 1

iT11ANOER Les fraie eapplémentnir.a de poste eu sus.

%`A eeq.ta '.5 IRRYAEfle5Te se le. al.IVnrlCMu ,TOULOUSE l ns Bnrearu de Journ:,I, rue. 44.

Chas Ni. Bavas, ro. J. J. Ronae,an, s ; et

Matin, m n it m Mata, I 13Malin, i 6 SO Ya.ln,(Agen)8 48Mol.,, (Ihpr.l 11 Smr (Dupe) I ta

f 31 Soir, 3 35soir. Issu, 6 10 Soir, IO 40

A r A R l S hea MM. Luffite-Bulbes et ptact de taï Bourse, 8; M. Fontaine, ras de Trévise.: Yann

Seuls gorreapondanM pour Iw À....oe.. Hutiu,

TouLousE, 18 Octobre.

BOURSE DE PARIS

du 17 octobre.Au Courras.

Taleers div. Cours dn jour Cours erse,36j, 53 05 55 07 1/241/2010 76 .. 70 ,.5 0,0 emp. 1871-' 84 84 ..50/0 emp. 1872 87 05 86 05

A Tanna.

s 010 DAto. 53 15 53 10S0/02.'Fours 3315 530750/0 emp. 71 1., vans 84 35 84 20s leu emp. 71 l.. cors 84 35 84 2750/pemp. cours 87 90 875 0/0 emp. 72 de, cet es 87 10 8750 1 2

1,Ital. 00 45 O5

Foncier 880 ..882

50Mobilier 447 50 4!i1 25Mou. lisp. 408 75 4'J:, ,.

Cressons na rat.

Orléu' ... S1 ,Nord 965 .. )1:Lyon v4Midi 571Autrichiens 785 .. 770LombardsBanque

4,340 4,350

BOURSE DI, rOULSUSE

du 17 octobre.

Au C..enE (pu 53 2050/0 Emprunt tout payé 84 fr 4050/0 Emp. uaonron 87 30

Orotcenoes Divensas.Midi 278Nord Espagne variable 130Bassesse 202

DI:Pfcills 'r1;LI:GIt tP111QU115.

o, llore.NewY "k'

le IliLes alaxicuins ont Fondu lot .[,juin

volés dans le T'oua,, ils ont aussis d Ii coc les au trocs des

outrPlu-

mi gescomme présde la frontière.

Les chaloupes du steamer Laolabell,,échoué dans le lac Michigan, out été retrouvées.1

` déficit actuelil" budget

de Cubaest de 13 millions de dollars. On prupnse de lever an impôt sur les esclaves etles autres bimm culonianx ;mais

lesdroits de douane resteront sans change.ment

FEUILLETON do JOURNAL de TOULOUSE

du 18 Octobre 1872

MONSIEUR11,1111E

11. E.

TÉLÉGRAPHIE PRIVÉE

t tu MBtia,lCseol 8 85

6 00 Matin Rapt t0 ''30

Dopa vos ,l

Marin, t09o,,, (iiaprd xloir, 1lafr,',,seru 6

aven

' Malin, 6

1 Malin, 10

soir P,',, 7

I soie Yontr.b 6

CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'OIILEANS (Savais# d'BM).

Arriver.:

hoir, t tghoir, 1 sihoir, l0 110

soli, il se

00

(0au

I9

as las-là.N'ntej 9 20in mat.

1R Sou, Pur, 1 Os

Ib loir, 7 60le

ut"9 ta .

ai... aa rota,

ISIUMMI , S.. n..4 n. avens..,

£*W MY

Annonces, la ligne, 0 fr. 3O et

Eéelame9, 1. ligne, e 50

Faits divers, la ligne, 1 00

Bpary, ArrivMar

Matin, 9 08 Matins 9 86

hoir, 3 70 Dois, 6 69Bois, 9 40 euh, 9 38

usus ondes asana-wt

Patin, a 6 10 Mat. ville,. 1 936 47Soie, ,t 42 400'Te

fion, (villelsa.) 9 10 Soie mm, 5 sieote. 11 25

lion. 1/2 ; Comptes du trésor, 27 mil- chiffre de la subvention au de la pensionlions 3/4. dut ils sont titulaires.

Les doloires qui habitent en peovis-ce fouleront tracsmnure

,esrelu-

Marché de Parés don 87 seig.ements soit au ieésoaierpayenr gêné.Paris, 17 octobre, midi.

M. Sueurs est arrivé la nuit dernière

à l'aras.

M. d'Ilarconrt Rat encore a Paris; ilpartira i.... al me0t pour Londres, pourla signature de traité de commerce.

Madrid, 15 octobre.M. Oscilla a p...uncé un discours

dans lequel il a reproché l'intolérancedes républicains; il leur a demandé. s'ilsveulent réaliser leur idéal par la légalité

ne lutte armée. Il a dit que les al-phoneistes n'ont pas la légitimité del'histoire.

M. 7 villa demande aussia

ces der-niers s'ils veulent semer dl os la légalité

sortir. Il e.pere qpe Il' libérauxlesteront nais Si la menace des a1phou.listas ao traduit paries faits. Les 0010

vatrors nént pas de principes, mais,col

Lermtoi des intéréts.

u:iu'sl re décluro que le parti radi-eldI d l I t lu lynuotir

0c1 II l _I 1- t g.s cours p- ueinalns vdontmres a LAI,; 1

dd gcelrs t 'u,ilaires sil général méri-tent la reronnnissancu du pays.

I.a questiois tu l'esclavage à Porto-Di-co sera bien SI résolue.

ornas evenmia

lieras, 17 octobre, 1; h. soir.N. Thiers a reçu, hier, M. de fontaut.

Baron, qui partira demain pour Merlin.

Le bruit que M. Uufaure présenteraitun projet 110 réurganisalion de la mogis-

teature est dénué de fondement.

M. Thiers retournera à Versailles ea-med.

LeT a. 1 t q I g e-

nem t 't e à p és l rl'A. bi projet d 'form oos-t lut' muettes. Un groupe de députés duentre gauche, en communauté de sen-

timents avec le gouvarnemeut, prendraitl'irritative d'une prupnsition dont l'objetprincipal serait la création d'une secondechambre.

M. Ouenne a eu aajonrdTmi Inc eu-trevur,avec M. Thiers, et M. de Itémusat,ministre des affaires étrangères.

Voici le bilan de la Banque deFrime.

Augmenlmiuns: e caisse 314 de nolions; circulation 'o20 rletuilles/2.

laiminutions : Portefeuilles 17 mil-lions 1/2 ; n'auras sur Ilng.u, 5 mil-lions 1/2; comptes particuliers 12 mil-

Spiritueux,rut dn département soit au receveur

î t a0 asti lier des avances, soit au percap-dur de leur résidence.

les Abonnés dont J'ahanais-1137.

eneitt expire ou 13 courant, vont Afin d'assurer l'uniformité de l'ensei-priés de la renouveler en temps utfile gnemcnt il, l'escrime dans l'armée, le

1 qilluistue Io s de la guerre 'lent de déciders'ils n, veulent pus éprouver d'inter- I que tous les mattrea d'armes des régi-

s u ' des xa-ruption dans l'envoi du Journal. entsau.,et 0 il misé l I

ol

brevets leur

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Album de, consulat et del'6m pire.

CHRONIQUE LOCALE

Les titulaire. de subventions annuel-les ou de pensions complémentaires surles fonds de l'ancienne liste civile im-périale sont invités, aile de pouvoirtourbes les arrérages éclos :n 4 a p-lecabre 1870 lie leurs subventions oupensions, à faire parvenir sans délai aliquidateur de l'anciennr liste ciels etdu domaine privé, rue de Rivoli, 192, àparis

1l Leurs nom et prénoms; 2 odica-il.. exacte de leur domicile ; 5- le nu-méro et la date du brevet, ainsi que le

Cette fois, il s'agit de célébrer sa ving-tième année de bonheur ovec sa hèreCirants; un . ' s ' a joli bail que la deux'uuteuclants an demandent qu'à tatou,elle.

Ue plus, c'est un jeudi, et cela cet.-vide aveu le corF s dont la réuniondoit ara r

lelieu le ao r, cher. l'ancien

meuntecG'eat même en raison de cette cirenns-

taoer. que, au lieu d'aider comme lent lemmnde aux

préparalibi.

Mlle Lucie eau eupeau., u' elle fait répéter à a.. fiancéun grand air des Rugurnotr appris pour

It'fntmratpasa:uit

les tringles dans lesoutas.,rs lie ses rjdeàux, 61. !tigaut da.

del,or de la fétu et Dut la mesure à faits.Eu ce moment viral n'entra Jaeque

lt, rosi fait à son maître un signé mysté-neui.

- Cl, bien ! quoi? gn'esl-ee } on t'adonc coupé la tangue?- t aatide -répond Jac-collet

r pOosanu,sant m Slouis

'estla l'index , .s lèvres;

ça,d

qu'an . a airs j nain iree apas dira yue... ales j'ane i a

r e pas parler pour être plus sur de meluire... Il y a, au jardin, quelqû un quivoudrait venu router deux mots...

Aristide descendit de son échelle, el,les lu as en l'air pmir ne pas laisser trot.ner le rideau qu'il festil encore, il se di.Figea vers uu massif de lilas derrière le-quel s'agitai[ une ombre.

- Que signifie tout cela t demandaM" lligam, intriguée par .erre discré.taon à obier voir.

- Rien, madame, répondit le jarda-or, ça vous f¢ra m0meplaisir; ou le aer-vilrs au c.nrbbmiillon.l: ombre qui s'agitait derrière les lilas

était colle do voisin llrochard ; il étaiten tenue du malin, rouge, essoufflé, ma.

Nous sommes aa printemps de 1870;Laest au renouveau. (.a façade de la

urc. n Iligaut osleouvc le dn roses flotéano s. La rill,', qui séparela p

faut((m de la ulo '--aIl rlti:vre-I ne,

¢ e E le hI Otl. a fa sent le paradis., comme dit eliette, la bonus peurlotit fire, à la Rous>u, qui ce jour là ata Il de quelles do oolite à tenir qu'alla nesait ot Aonner de la téta. Ges pigeonssont àttem poste soir le toit; les pouleset lus dards orcn vent le leur sous les

liuuts, sauf quclgnos victimes partiesptir lu broche.

Mite Iligaut' les manches relevéesjnsqu'au. coudes, hotte vigoureusement te

.per de la salle à manger, dort altoLift quasi de l'ébène. Aristide Itiguntlent de. remonter (avisons horloge et de

la grande table ronde. IL esterbmllemeut gmmpé sur e doubleécbelle, et n ruelle les valsas:. lac-quelet râlas", les allées du jardin. Miettepasse ait blrn. d'Espagne l'antique or-pmttrrie nnassire , ln Blond aide à laitou=:¢ e! plume Ies volailles.

L. miaou de en remna-ménage est que61. Riga ul donne un grand ci.- Celaarrive deux focs par mt delsus anniv r -

' s da n mmlagcsu

naissanorde u fille.so

culé de boue, trempé d'eau de la têteaux ieds.

- Regarde un peu, dit-il à Rigaud enloi montrant un osai', couvert de foinEé

sQu'est-ce la tque c-Une truite sanmonénde quinzeli-

v,ss au moins.Diable I ça

vientede

Id bas.Ont.

Lu-baa sig Iabsit aile crique le la NI.-Il',

ailmalgré les édits préfretoranx

MM. ]tigaut et Mroehard, grands p0-cheues devant bien et devant tea hem.

, tend¢es lent clandestinement d'illicitesfilets.

- L:s heurgeoise va gronder, dit l'av-eu

J'eu Si peur... c'est pourquoi je'osa pas lui surir moi-méme or 'pré.

sent do cml... Si je disais que je l'aiacheté ?

- Farceur ! avec ça qu'elle le ceci.Bait

- Ah ! une idée ! C'est mon fils quej'entends chanter... Appelle le donc.

Le jeune avocat fut mis au cmontOn convint de ceci , qu'au plaide.

u

re-''sant serait censé lui avoir envoyé

cemagniti toc échaolillov de la familledes salmonés. Présentée sous celle ru'brique aslucieose, doublemeal sec m-mandable par son origine et par sa va-leur, la truite saumm,ée reçut de 141"Rigaut l'accueil le plus empressé.

- Et dire que cela noas vient par l'é-loquence de M. Jules 1 connu BIS. Rasant

uiére.u sa 10La

1louese

ne savait pas ce que .'était

que l'éloquence.- Tiens I reprit elle, j'avais toujours

cru que ça venait far la rivière.Ce jnar là, quines à eo être récam-

pensés plus tard, il faut que les sale.

in, Prseront confirmésS'il y lie.,

Mi.

rés.

nssomnrmrc ri:.énera

Comité de Toulouse.

La plus doulonrzuse coséquenco dela gallec d 1870 I t en le cou

c,t L. AI 00 Lorrains ntIîles

ublgé. 1 quitter t sol at,L or deperdra le titre de lrrança s. ils n ont pashéalié et se sont résignés à une émigra-t,en e se q.i est aile p testatiouhéi nïquecontre le droit aa plus fort.

Eu présence d'un fait si douloureux,les aucs établira pour deir lesiéte AI

rI.orraios rappellent à tons queait ucnla France est colidame de cette nobleiofortuue et qa*vIly doit la secourir detout son pouvoir. 11 faut que les exiléereümivo t parmi nous tee moyens detrama(( qu .voient duos fur bon pays;il fans yue Ies familles qnl ont abandon-né leurs l'uyers, puissent s'en reformerd'autres, il fauteuil. que l'immigrationm Algérie et que les autres élablissr,-ants autant entretenus d'une maaiére

durable.Tcl français comprendra les

nrg. p é . par de ai grands de-

etl Asso-'alleu Al.ace-Lorraine derallie que la s cripliun

gn'Ille ouvre eu paveur des v étantes del'option, et dont le mourant seraajeure partie, adressé

su

x comitésfrontières actuellement eu détresse, seraanulenu par la charité fraternelle et le

palrietisme de mus.

Les membres du bureau.

141M. Oory, rabbin départeme.lal, bou-levard du 22 Septembre, 27. - Joly,

P""""r lla Faculté des sciences, quai

de Ilrlenne, 25. - Le général Moremo,LA.,. de B-(turf !i. - Iteydet de Com-bée, rue des P.Lien, 2. - Moll, mallietailleur au 23e d'artillerie, quartier mo-dèle.

mars se liassent complaisants : le dinerest pour cinq heures.

Ilion avant l'ouverture des hostilités,lent le monde est sous les armes. MmeIligaut est en robe de soie pensée, sansvolants ni passementeries, n i jais d'us.

an orle. Un petit bonnet de tulle,orné d'une touffe de violettes, surmonteses

Leur Rat encore plu, simplement umi: elle porte un robe de caohanche

gris mut uni, net ruban cerise tranchesu la chevcux noirs.

Itiguul et I rird ont exhumé l'ha-bit des

grandes

des circonstances : ha.

bit de bon drap solide et corsé, quiu' se dans ans plis et dans l'armoire, àtau modo dtil y a dix n las fortprésentable.

Jades, loi, civilisé à Parie, .,admet lesupplice de l'habit n ,r que dans lescrises otrrcaelles; il s'adjuge lasupério-ité du pantalon gris-perle et du simple

frac.Le coucou vient à peine de paraître re

stil de la vieille burloge et de pousserquatre fois sus cri monotone, que déjà les

s 'a ls t un à en : la plupartpururvus

de

e Vislrument- violon, clari-r eRe, tromboge, sur lequelils doiveet se distinguer ou concert dosoi

Cet homme de cmarti le ans et deborne mine, à l'air marti

a

al, bronzé,curé, taré, e Llortu tant d'une

pièce,

ce,et marquant le pas,

est

t fil Félix llaudry,blessé en Crimée, ,,api etain eli retraiteet célibataire. Sa mêle était tante deMme Iligaut; aussi l'apelle-t-ne, dans lafamille, le cousin tout court.

Baudry n'a guère que sa pensir., unepetite veule et^.Ies 250 francs de sa crois;mais, ove, cela, en y ajottanl de l'éOOeu.mie, on peut vivre indépendant à Neuey-

Teniente.- Typographie Pb. Monrsrsm, Pi nu ,u a l'

Les suuscriptisna sent reçues chus les Massis sera ; soae l'espérons, accomplimembres du bureau, et spécialement dan m jour prochain ; mais 1,11, si pas-hea M. de Comble, sacrémire trésorierde l'Association.

Les soins des souscripteurs seront pu-bilés chaque dimlebe dans les diffè-re ts journaux de Toulouse.

Divers demi importants ont déjà étéfaits au Comité de Toulouse. Voici lesprincipaux

MM. e, 000 Or, - Acbuté s, M Bt e-

ronge, fr. lueuaé ui députél' al200l'Ariège, 10o fr. - irességuier, adj ru-a. maire de'Coulouse, f00 Ir. - Bun I chef d'escadron d'artillerie, 100 fre0utre les dons eu argent, le Comité

-,ut, les dons eu mature, tels que

linge, habillements, chaussure,, etc.

(art. 6 des Statuts).M. Cangloff, propriétaire du café de

Strasbourg, boulevard du 22 Septr mhre,28, a mis géeérensemeut à la dispositiondu Comité un local destiné à serv r demagasin. Les euats

nid

y ont étb dé-posés jurgri ies ci o t aié puissamment

ur-Soi ui r l réfugi es, mainàté

jopoled'buioilsnsont é puisés. Le Comi

e couséfnrrer las personnes qui pus

éd rasent des nltemeutx qu'elles n as-nt plus I intention de porter, de vou

-loir tien les envoyer à l'adressectdes.

sus indiqué«.

U. nnmhreuz enetége d'amis n cou'duit hier à sa dernaèrn demeure M. Au-guste Massis, qu'une mort prématuréeveut de leur enlever.

M. Massis, né à Foin en 1822, étaitétablirTouluuse depuis sou enfance;après de brillantes éutdes musicales ilétait devenu un des professeurs les plusestimés ; sen leçons d'harmonie étaientsortent eclreruhées. Il matait à rem-plir ses damnas un zèle SOalenu et cesprocédés

allions.,ui sont pour les

élèves u. etc ragemem à bien faire.eaJnsgn'ii la Os de aa trop

courtstente, il s'a pas cessé un stout de ils

livrer à ce pénible travail du professoratet il a formé des disciples digues deui.

M. Glanais était organiste à la Lasili' oeSi Serai. depuis l'établissement de lor -gue actuel. Il aimait avec passion ce belinstrument dont il avait en quelquesalle surveillé l'exécution. Sen jeu étaitsobre et sévère, profandrment religieuxet eu dehors des formes vulgaires etmondaines qui tendent à se substituerParfois au style grave et sérieux de lanique d'église. BI. Massis

'aait

qu ûne pensée, c'était de vor acheverson orgue, encore incomplet par le man-qne d'u cermau .ombre de jeux ; celtepensée le préoccupait et lui causait de

ces tristesses que les véritables artistes

pourrai seuls éprouver. Le vmu de M.

sous-Bois. C'est très-heureux, car le capi.taille est ce qu'au appelle, en argot mi-litaire, nue culotte de peau; il atantusé es vie à être soldat qu'il ne peulplus 81es autre chose. Les Iligaut l'ai-ment beaucoup ; il représente la gloiredes armes dans la famille. Son rubanrouge est ove sorte d'oriflamme so.s la.quelle on ne manquejamais de se rallier,lorsqu'il s'agit d'une démarche ou d'unecérémonie de quelque importance. Gé.

éralement, leétalcapi,aine se tait; mais saboutonnière K e et parle pour lui.

Mme (tigaut le lourait de chemises etLucie de monch.ies. qu'elle brode à la.taffre. Oa na met amais en perce unec

de Saint-Jujlieu ou de Pomardsaas lui en envoyer uu panier de i, ,I;

bonteill¢s; méme atleution à laueallcltr des fruits, à la rentrée du bois

de chauffage, à l'époque des coascrves etdes onfilures. Le vain laine acceptesans façon rémunère tout cria parquelques bagatelles qu'ut sure à Lucieau nouvel ou et à sa fête, et par le vé-ritableaatlachemeot que, de sen coté, ilporte ux Bigaut.

Le capitaine ri arrive jamais sans queeu petite cousine lui soute au cou ; elle

est quitte p0nr essuyer, en riant, lu

! û eque laissent sur sa

noires, Ira'esleu grand mauslavinstrées au csmétique.

Une trentaine de personnes ne tardentpas à étre rénales, tant dans le ,jardinque dans la en et l'habitation. Oo euet vient remmanchez soi; off saccage lesplates-bandes, on cueille des dents; lesjeunes filles ne se génent pas pour cro-yuer dus prunes vertes et des cesses engerme.

- Faites, mes enfants , dit l'ancienmeunier, la maison est à vous,

A cinq heures sonnant, il ne mon-

o r l'instrument quiuni pd'une manière parfaite à ses inspirations,ne e. plus Ià, pour voir son désirréalisé.

Si l'an estimait le talent sérieux etcomplet de M. Massis, on n'aimait pasmoins son caractère modeste et blenvethtant :sévère tever. lui-mbme, M. hissaitjugeait les hommes avec indulgence; .npeu[ affirmer q 'il .,.,ait que des amis.Sa mort a causé nn deuil profond; ougardera longtemps le a..venir de sabelle rie et de ses excelleales qua-titis.

L. Société philharmonique, dont M.M.SiiSêt.it lenoue de eairee ou euneni aOur 18 nimbe,

M. N. Itouzaud, .....Il président de laSociété, a prononcé un adieu que eus

eus empressons de reproduire. Voicil'a paroles prononcées par M. Itouzaud

Messieurs,

Quand la mort vient frapper l'hommeau terme de sa carrière, et lui reppulerqu'une longue vie n ést qu 'une doubledrue de la nature, elle ne parait alorsque lu loi eigaureuso de l'hnmamté ;mais lersgdau milan de sa vie, l'hom-me succombe sous des coups inullendrésnon coeurs alors se resserrent; pd'une profonde ameetime, nous laissons

éclater autre douleur, et, ai nons ra-geellone le vieillard pour Ira joursqu'ila coulés sur la terre nous pleuronsles années que la mort a ravies à unhomme cliente environné d'espérance et

d'avenir.Tel est le sentiment que nous éprou-

vous aujourd'hui sur celte tombe encorenuTelle

Tell, est la douleur que je veux essa-

yer de traduire au nom de l'École-Phi-

Ilbarancool Is nique , n, celte Société que, une

'Li

su

alfca0on etuneselsqai allèrent jusqu andévouement.

Je voudrais ici parler dee joies qu'iltrouva dans notre société , et aussi dessuccès qu'il 7 obtint : car ce Invente apour noua, au sein mpme de rire

tristesse , nue inexprimable dou-ceur.

Lorsque l'on fait une perte cruelle,lorsque la mort vieut disjoindre nos

lseapp n a ubruOn pas, en effet nà il

rappeler le bonheur qiI ont P. tirs

etet Per

dus t Ne on pas à calmerainsi ses pegod,Iasetceses douleur ne trou-

pas l pieux souvenirsune eaahon Ysain

recevait as orgueil ;Massi Ies sucrés saélevé à l'école de Mas, de regeellable mé-

i1trouvait àfaire remonter à sonvénérà ..lire les éloges qu'on lui décer-

que plus à l'appel que M. Robert ]Munis-net.

M. Robert Morisset est lie avoué,l'homme duellistes], le boule-entrai., e;

mouche du uche de Neuvy_sous-Bois;il n éat pas Normand , mais il Mérite-rait de l'Olre. Bon vivant, spirituel, a'mabre toujours, à toute heure et avectout le monde, mystificateur par essenne, hdbleur impertmbxble, menteurtans rime ai raison, pour le seul plaisirde nn pas dire vrai, le tout si bien :unal-gamé avec des faits notoires que la rason s y perd : un logogriphe perpét.elque 1'00 cherche toujours sons jamais letouvr.

Ce travers l'a mis en suspicion dansl'esprit des gens sérieux, qua 7 regar-deraient à deux Lons avant de loi renierde graves intérêts; mais il n'en empaumeque mieux les paysans, qui le trouventbeau parleur et pas fier.

M. Morisset est, avec cela, un fortjo-li garçon, bien tourné, aux (rails régu-liers, aux grands yeux noirs, expenueilset doua. S. favoris et ses cheveux sonttirés au cordeau; Ies mains sent blan-ches,les ongles soignés, ses costumesde faulaisie achèvent, hors du palais, la[ascination :pantalon coslui' , gilet de

I nea,ssaeatcascadés

de choanes d'or,breloques tapageuses, cravates fantai.is-tes, un diamant au petit doigt.. En sommeMédiocrement distingué, mais l'appareil-ce cossue, le ton et les allures d'unhomme charmé de lui-même, la lote deWai. quarts, le do. rond d'un elml quise gratte, le sourire stéréotypé d'undanseur qui achève lie pirouette.

Il faut que Robert Morisset soit merveilleusemeut dosé pour mener de traittant d'occupations et de passe-tempo di-vers. On se demande oh il trouve le loi-sir d'étudier Ses causes. Ce légiste a tont

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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(2t.1 , v r atJ i I .ct i I l ; . p l t le dl, m t ;. il d, 0.

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e Vol le te .I,t hrl y lev jxe ne peur'

etsui t t é t 1 or, ris é t litée i d t liil I t

i- p1 t

d i mc.fit s,têtet: t'ois

cb J da ce plu il,du 2 b h

Camp rieur, il appr t i t à vol--leur es pou 1 nr s e P - r Pot L ,, ro den ne var été, coonon Jouc. -np I s. QI J t s il IL 1

té et 00 charme qui apt,ament Vaud N s p q , q '1 . 1 1L o",rem après I erdir ,(,doit g fera t o v les yeux aux ga, Jie

1) se t r g t. e q t I rChef d'oesheshe, elle an cure d'osé. des roter ts de I n cité.qn le l'armai., ' t u n ] p t dt

cation t quall, dopré hâte, dans Moi ilue 1 - - -- être en élut d s"quelle m e J dsti ! let d fut A M n rue le Bdactenebien 1 et

L

Je o esumable maître, Le même pmr, dites signe si.s g n - c lemoi- do Journal dl' Toufouet. tuée à rovuren 00 l Il.et sus d

disgsaü de la geuérosité Je 5e, s,,uu Monsieur le Brdeclear, L t S t é

meaes. i ho-lots d t l do' 1, .. C

Organiste, il savait qu'à la majesté le viens de lire ce ..fin la boire d, b ll t t té-'l' 1

`

al

du lomple catholique ne convenaient que M. Alphonse Langlade,e irl Lieur de Sy n ça do P. Lmnpagme des chemms de farse mystérieux accents; te nous, qui les durai de la rrv die de Lhers. du uteuavons bien des foin entendus sous les

estlicous m a rassuré; il parait que Auteurs menant,

ies vuùtes de autre basilis

mes entelieessée etgel, M! te ecte Ln v 1u éq t i til -grau

"avoir"étionalarmés k toit. Direonses et célestes accords,n is dit, en effet, u ï6 net nr t d'e p I:.t i d t ll Q t ns

les, 0001m ré sono noueire d nous u teueoil dut 1 1 d n, est um ae d I

amevsélever comme malgré eue, A de pieu re aus'est lia nspm. a

saintes pensées, à de par rêves, à de tas rrv s tirnt d f loirs tbeau. ! ors Iuaq t, lit de Q ilie,e: 8

is ri désira, et

monter

er tir degrés iresenant s j

u n

t ax bor d ,1 louve

p par 8r t dans Il réed f lb usales rieur r déjà lotionnés,

l de ? F,t r à I r f t durC'est ue Massts n'a ,tir an, a de Ma let d 12 t Mo I f

q p rédactei 't elle u d r é Ués ? ex-câpilsime de f dF é.prèsni e loin, a ce.ile pré d d routes de I. sur d r Ds tsall,lis.

t)Oe traavaillent

p,nr , g( et P t lui vg ttbnt l

ilad ,t t été p e ris e

l argent triste rnél m d ' ' I :j e j e e

t

t 1 4 1 d i p lit, . Ils1 é s et effets d II,h.l

cet art mercenaire,,ait

It

utressée. Mais alors uuriaoi lanetp

retende, qui éteint t'nap,il sous lo chah,la vie sons la furmq qui pervertit lesnitelliguces et malérial!se las cours;

tait de ceux qui, se sentantmais il,

ces, plat a,,ibÎCS quecette célébeilé iaom-prenneut que pour s'élever sua snhlimexhauteurs do butin et du vrai, ils ,loivonlrompre avec les pratiques malsaines d'unarc corrupteur et faire reposer leur sa-tout sur le principe de la foi.

Mais é rl bal artiste cluétien,ffet'est,Jouit fut homme de loi. Mass,,, en e, utoujours pansé, et a raison, qua lestecpi nr pas religieux sont 1 nniquu base detout ord 1 t

choir

i ilc - iii j d I f0q u pt I - il I i,aitospose le éd d s f tl L lue

Arme de or croya Japurvmit pana a dca à élever

asn.

dessus des peines da la vie, il, 11000e'

nous pus vu u,', opter avais un calma ré-l^ . il ticgné 1 ffi tt - qut le

torturaient sans j. .i" lui laisser ouinstant de repos tNa 1 v s pasvu, fa son ft de doulm tai iuappetrrle prétre, voulant purifier ton etse peép: ireb ews;vmr celui quyaffor -

,it l 'espéruaee au seuil même du tom-beur ?

Aussi Massts cal l la m t pp cheravec t t l I d cnce.anal ea 1 e à la te l'1 u-metl de d .f ill il e dut à Dieu

boo

arme,i,ement500 .sprn dans la moquante etus,ème année de son lige

Ne mdrite t-il pas des regrets et despleurs, celui dont le cemioeese fat siBaux, les rapports si agréables que pourlinier il suffisait de e.... ître ? An !donnons un libre cu rs à nua larmes IPleurons avec vent qu'il a devancésdans la tombe, et pour qui, désormais,il n'est pins 'dis bon Leur ni depleurons avec 00e épouse et des ..Lotsdésolés qui perdent ri an jour eursoutien, plnnr,na t Mois,i O foi eonsota-1.ico! ta viens tarir ses larmes, en trousdisant d'espérer nous revoir au scia del'éueruelle b:'tourde.

(Je ftneuedore, de la composition deM. Massts, a été chanté par M'I. Balle,Vincent Gnq er. Buyee. F,elte halle pagemusicale, parfaitement exécutes, a pro-duit une profonde émotion parmi touses assistants.

écrémé, il s'est irrité à tous les arts, atoutes les sciences. Quart de poète, de-nimnsilieit, taugmei

at de peimre, lron-

héolo me ir une teintuçnn l 1' re deart, g ,

ceci, quelques idées de cela, une coanais-Ilors e.t.nn vielle de tonte chose.l'orle-t-on d'au livre ancien out cou le-

su dont il ne connaissait pas mdmetitre, en semant chez vous 7 il islt lejoins, l'soalyee par intuition, divaguejuste o, à ,Olé, cite quelques auteurs -qu'il n'a pas Iras darantage- ayant écritur lo même sujet, et finit par prouvera

qu'il sait le humeur, par ,mur,,. Est-d'un lableau qu ïl ,agit t il vient d'expé-dier une toile à l'exposition de l'aria...D'uun pièce nouvelle? pnuh ! il en a enla prcmiére idée, fauteur lui eu doit lecanevcsSans soi: couleurs, M. le',le, .unit certainement chèmé de la-êdpiltoitee... Va-1-él ., paris, il mn expà

times des rF its variés : il sort del'Opéra ou de la Morgue, d'une séancede l'Apadémie ou d'une première duGye,nme, de la cour d'assises ou de Ma-

' il a été, admis à vair le 'l'rop-pmann du jour. Ceci est la romance enrobe

deI-Y-- la de ce la il.

e, h ..,an lenlarsemaise ,a-

>

A. retour, c'est bien pis ! Air !mes bans amis, je anus conseille de leplaindre, il s era peut plus, il est. sur lesdents; mense quelques jotars de cetteexistence fiéviceose, et c'e.n était fait deMorisset t Los avoués de la capitale luinl oRert n banquet u Grand-lièlel,

Capoul n rhauté pour lui sent dans uncabinet d, Ilrébaat ; ce révolter que

voilà, il 1'a ramassé en pleine barri-

cade, à Bellevilla , au milieu des bal.Iea.

L, garde des sceaux l'a pressenti surla fanon dont il accueillerait les avancesdu omivernement, roue le ras où en le

Monsieur le Directeur dis syndicat dit

encore que tes bnunux déjà axé niésr la rimées du Lhers nous ont pc,r,e.

dix houe années préaerorre d'itnduuoneal soMes souvenirs me s raoutns

ua cerapport at poer un

silois espars de

temps;mais ce que je sais bien, c'est

queJ.

années de sécher±ssm, r iincusrsplue nos produira agricoles, que nous

ntlerementie cet ringaidé le Syndicat à ebmnir ce résnltat,Ievou ee Al s.

le sr, pur e votre obitgea ce à laquelle jelais un nouvel appel, IL ce erre le de.r-

r p or en qui eone=rne le Syudi^01 dei

n de ma considération teestiignée,

G.

Belberaud, le 15 octobre 1872,

Un décret nom. officier la Islég,un d'honneur M.s de Sainll, ou de

ris n .cu-ité, uheve im dis sJ l rbre 181,5;

31 ans de services, 3 0ampagvcs.

I.a nommé 1 âgé, de 3d ans, journal .

dmuenra l à L Daurade, a été an tépour vol de récolte.

azlrali H,, b. : . i É 4 r".. s

dllie 111 Vase, 110,

xlrùtle 6ud d n

Du 17 octobre,

Thersn. cent. mazim. 'hier :+

15ILid. min, de

lda

nuit : + 4.9t L. .fort.."a s. IAson. lits, en ea

9 h. IL. 00,7368 -cour.- 0 a-fort.Midi. 00,7366 -onnv. -NO a.fort,Le berométre met à Grande.Pluie etmonte légèr,menl; le temps i som-

bre, l'air trisdmmide. Brouillard épaisdans la matinée. lait r, vers trois heures,forte pluie d'orage de courte dorée.

L'in nique candidat de l'Ecoia de Soréze

a l'école Polytechnique, le jeune Verge,

a été admis avec le numéro 25 aprèsune seule allée de préparation.

feraitl'objet d'une candidature officiel-le ; mail il a ps bravement la fait. enarborait son indépendance , il .,estmême pas retourné au ministère, oie onl'attendait à déjeuner le lendemain an-tic.,, Le plus curieux , c'est go'il finita nt par le orotue lai.même. Bref,niait, pénétrant, alerte d'imagination et

il s'assimile les choses ilgrène vgrène a,ec les nes, il pompe fous

lors, il arine teutleles s es,eilil

il.de la farinerarine de tons les sacs, il

prendte

le r

efegain

de antes les récol-

tes.

M= Mensuel set célibataire; il a trmde-hutit ans.,, Comment il se fait que, àtel âge, il n'ait pas encore gratiné deen précieuse persooae eue jeune fillequelconque, cela tient à une attitude de

ur qu'il a contractée depuis sept à huitans, et dont, soit par enlélemeut, soitparce qu'il espère en e, il n'a pasdéu

-tordu depuis. tirL'objet de cette passion, combiné, à

froid, mais romanesque et bruyante dansla mise en scène, IL lrène de Beau-champs, une noble demoiselle, douée doquelques millions, triste comme si elleirait avec un sonvetir ou avec un e

chdtourdedegrec, n, qui mégis en son

deNe

us.BoisliVns est non loin de Nà laqueer.sal sersmoudrais à laquelle e ta

r élutae

serait nullement éloigné dedesBeasoustraire en enlo

togege le blason des

Beauct,amps de sa d'avoué.Celle passion n'est u e tlnbee pour

tige sonal; chacun sait que Bobert a unelessure dans le clnm ; on sait meureb

de quels beaux yeux sont partis le traitFatal ; mais à quai bou soulever benlu-lement nn voile qu'il se complatt luf-méma à laisser diaphane ! 11 est doncentendu que MIIa Irène de Besnchampss'appelle futurs comme l'objet secret des

nt t : t s v ce pls lot ne lu fards eatinenl,. n L

m suisin rh. s lu(Courrier de l'Aude.)

Alontauban, 16 octobre.Non, sommes eo mesure urtjnnnPnni

de donner quelques reneelgneaiesla corles affaires qui se

a".t Grises samedi à In

aireSur Ir, divers marchés, on complut;1l0 gras, dont jo ont élèves fils

à ra son it a 80 fr. les 70 tl.loti

bmnlv

de travail, de9000

à 1,1!10fi la pat

16. ta- g d 67 fr. 5071, G ! - 0 1 I

71,0v t r,ul d t 0oeunes de 000 10) fi. 1 il600 m L dira, -ffl Pli, été

1 7 110f I 01-l.,toi migre+, dont ne tin

d011 brel 1 1 à 22 fr.

7f'1 rh l 1211 i lé Ir,1 00 a n Il

ri211 I tx vend

de 9,200 à 1,01111 fr la p1l0 m..I t dent 40 vendus h 41,0

lieur,,,140 nn. dont ira -dos do 20

80 f,.173 ins ma e dent 320 vendue

d 70 v tint,1 010 :g p q tels lvsà

5 f le 0 k il(O4 r, chou, de lait, dont 210 vent s

de 30u 1,0 te.9,191 d tir moitié vendue deciel,

11 à I i In. I pire30'i poulets vend"' en mnpenne, 2 fr.

70 la paire.174 canards, vendes ;i 3 fr. la paire,

11, diud, a, à 9 te. la paire.60 lapins, à1 fr. 40.La halle était bien sppeovisioeré',

les prix étaient les màmes que 'a-mr.dt.

Prix moyen, 10 fr. 53.Ire qualité, 21 fr.2e et il qualité, 30

te,

fr.On évalno à 880 à peu près, les ilrao-

gers qui sont v us à Monlauban, e.jour-9, par loidivers traîna du che-min do fer.

(Bapubkcofn.)

Les Cei,neils mnnieipnnx des ummn-ea dis département de Tara et Garom,e

se eénnirout le dimanche 3 nprochain, pote leur quatrième. session

amours de Lamaetioe s'appelait Civile.L'avoué modale ses tourments avec tousles bémols possibles à la ,:Ici; il lesjolie sur les hautbois avec va iations ;il leur érige, en guise de mausolé=s, desnocturnes plaishfa, des strophes lar-moyantes. Si ce ne connaissait pas t'a-pOIrn,ceserait à fendre le crcnr. Dureste, il a, Pour con.sfauire les vers, tinprocédé qui n vssste à triturer des hé-mistiches de Musant, de L+moeline, deMillevoye, dis Victor Bngo, et à esl.ralrs

macédoinesde ce mélange de petitesassez réu.s.ies.

IL a irhnue, dans sou cabinet de cousullation, un port'oit r v 1 d'une

double singe, l'ait de mémoire h ce qu'ilpeétevd, et quo tort le mouds a lo droitde supposer être, ce,] ni d'Lsoirs.

Le Pétille a sous doute bieo écorné unpeu ses aspirations m s il y t'nt

ne tabil de tir Coue n sacesontnmisle tranche bien .star le fond,

dgéti(e lcment cri',rd, e son eametére,IL y a de brave. d.aines de Nouvy none-Bois qui s:i passion an 5011,55,qui le plaignent IL C.I,idéreni si gaieté

f dire, n affichée àconel'emés pour mieux crocher ses douleursse Ces u

C,. soues toits et tendres font le bon-heur de Robert; quelynefoie, pour lesconfirmer dans leur urreo r, après unelirude grotesque ma une chanson de N.-dard, il quitte soudain le salon etompuanant les yeux d'un mouchoir,lequel pourrait, du même coup, absor-ber des larmes ballantes.

- Est-il amusanll étorrdissanli ruis's.lent d'inouïsme ! s 'émis alors l'audi-toire,

-Panure dure ulcérée) pensant lesélégiaquesntet les vaporenws

Bon,

viva, gobelet d'élite, illustre

tIl tt té,' Ili t

i.i q lit l p01 t1 t L Ij1J tl I 6ocs

p'e f Il Ili"I' ce lieo l' : I t

!o ccloL I .p tl a

p q (1 dl ëhsé-

t I é l bl l ¢ t I

Ilmo

rond a ci 1 ée

desd .l .g é

ov Imbus. L 1 1d. IL loi t t ices, nIt loi. 1télmlao b t I r d il

m'st t l A él t de 1 q tai do chiffre 1. t , épublicains e

levés il... chaque canton aux elecdoosgénérales à l'Assemblée Nationale, à rai-

égué pur ti00 votes de cetteon d'un &Inaltire. Les journaux eé1Iublieuias pu-Lhéa dans I IFl t p t

tonvoLressai5e ou lé le. nern nt lé s

Quatre candulats éta est en présenceM. D poav ép bll -n modéré, reps é

p rt I eemenl I. boucset t pinsg s luté le Ni M1I avocatdePéri-Pl us, u- d'd t de 1 1 use ouvrière et

d1

Isf

c Steeg, trèsI 1 ap tlau. rtra les et qu an

p A -col a mis en évide. en fiaM. ad, e, répnbliuatn de oreille date,

elles vwlimee des pe scriphons dedécembre.

A la Première séance du nng,é,, M.11h' a a ohlenu 76 co , et II. Du puuy,74; Ils droit autres, chorus une senleient. La division tees voix cotre les deux

principaux eandidste muait pu avoiru

pour ffel d'amener ai. échec peur leparti ré t'ira aie et d'assurer la vmtoirde - cade La coquette, soutenuparMIvsde e Fou

boit iltisms et même parce miged. 1 g Ines-00. ides

covjnrer

ers ous lI coog des memhresJlsel, qI pue ion do ongeés dot proposé

d d_ il à &ie1 rt ED p c l lud

q .nt m tl 1 Ifili 'sp riM S g ayant p t . tlé. ih d 1 1 rPI

y I t soie P"", 'Lfé I ru rl q t pt. L Lipprs t.an ers engagèrent à fuir, situerleur neceplatiois par le ecnJidat de benetels.

t t f i b d et o 61il qu'àaiair , -mot1 i

, illes delryn s

A, rend _lée.s. ru ut gtileotl,00r¢t p t 1 x I

I d I t L.Il l p11110, M dt g1 o t de t I, M

D p y La I I 11 1 [il , Il ri I ilI c ci ho de M- Caa uequi dunes i q candidat des de-

icinfle,n- n s8 d L:s frais dsoni é. 20000 il., errent

pl t, p hors Ici emhres de laL I,a des pie i erli ns variables, selo r l,s les ourles de chacun d'eux, etrég er, par Ir congrès.

Les républicains de la Gironde etcompris que la discipline est partout né-

elle l'est dans toutes les lattesessorede Iv vie, ane mus les champs de r,taille. Aux anus rvateurs de les

limiteer.

lainai conduites,tles élealioas ne peii-leut que prendre nan sigilifir. plisprécise, plus déterminée. par la prati-'tue de ces ligues élecmralee, les gosselions de pee'ones disparaissent, tout sefait en vendu triomphe de l'idée et duflirt., t'eut Puer y sursit-il là 0e moyeudo crer es qui gons manque le purspour notre malheur: des mceurs politi-qUel.

(Jacumnst des Débats.)

Ponecbstle.l'infatigable avoué cas cou.v pas mouds une santé de fer, un teint

derchanoine et dca poumons de stemor-Telétait leconvive en retard, lors-

que le Blond vint lotit uniment ann.n-er à hune Biffant, sou pas qu'elle était

servie, mais que la soupe émit eue latable.

- Dix minutes de grâce pour Moris-art, réclama l'amphitryon.

- Tout sera ballé, PI observer Ur-sate.

- Tant pis pour Iii, dit le père Bro-chard; pour, ma moine absent, l'abbayene chéme

P"- Qu'en pause le e.pitai.I? demai,daBiglai.

-Le capitaine est pour l'heoeemi-Iitaire, oelu va sans dire, riposta Luuie.

- Metioosaima toujours à table, çale fora venir, conclut 1'avoest.

le fit(,a

tnitcroit eu eliet,rs

senlemeetle

ie longue planchelohabilm'e

lhes tevin sur urlinge blanc, la truite, non moins queetioble seigles; faisait l'objet de tontes

lescovvarsaii leRobert

émit

t ému, haletant, s'cesnyntle front. Evidemmeut, il avait préparéson entrée, rumine font ers coquettesqui pour mien, attirer l'sitentien etfaire pins de fracas, n'arciv t jamaisdans leur loge gra'an milieu d'un acte,

-Enfin, la velte?- D'où, disblct prou-il venir?

- Ah! mes ..le, commença l'avoué.tout .il épliant sa serviette et en semettant en mesure de rattraper lescou-vivee, ces choses-la ne sont failes quepmrr moi! figurez.roue que je revenais dafaire une visite à mon ami Paul... vous

vrh le. jeuao comte de Baauchamps,da château de eillie.s

- Le frère de son lance, glissa en

d Nl no, si h ,sur er taxé n' t tl t q t I v oIIem+ndsen ,Gon il,, prés: nt scrute. et lu e, o t Lre cl, o en s dépit qud+

I I ,t t sentir

Lyo 16 octobreDiots 'o 1 11 le t'1 1a .'o

de p l:, t It. b 15I Ït rI.1 1 i d 1 1 I o,or, slors

nd on jugo I t 1 ff r deI Alt ce R F bt

l e liibun I s i 1, é ml. .ulp... les prs d, lt n e q tl 6 ,s to Sain, LI t t t Il sété vteol f d il [Ili.

111.

Le tribu, I l it 9 i le té,nllvdpas des delats que 1 Alieuse Lit Il, use

muté secrèm que la présence du pré-fet de la

Loi^e,

, M. Derlholon, et celle duo le S l Phénol, aonatit Iair ci

bl t.D : de vive la Bep II rte eIo,

sont f t entendre dans la 1 p 1ës

p o é R u Jugement.Le LII rte Lyon a déc i t 1

à AI. le Lre,ident de le Bel 1 I q r

invim"wn a i.iterl L-p t. Iltop, 1 hespitmitilui off,, ru r e e te

deus l'klOIel 1 vile.lie paragraphe qui tum no celte let.

Ire est u,osiesrçu :

. Les hanuences diverses qui ae sontfart sentir ,jusque dans vo re ntour,gedisparslnont assurémrnl quand vous an

Il dm pubs la silnalien de net,.vit.-

IeL.la dislributieu des récompenses 0, 55

lieu le 27 octobre.

Une pétition à M. Thiers se signo m,ce moment à Rouen, peur lu prierils

Il Snspe d t mporair-n t 1 sirtaxe, dl p+ ' I I r tous I s

av + t d p y L p utét,angerrPlu b.d ils de la hf,.d't-rr.n ée,c w l'rx

t ts I i d I', I t d l61 I â' r t ic 1,'t Ir ocu .i, àl t 1 .I I t-

d m is , aIl 1il 1d l' p 1

qte 1

1chu:;,', a l jeDIIIpo. .,s de t

dans ce cas la quantité'il

lmorticdu u oran, ge rffe, let In i:

empter de toue les dru, t l x d'al.t8che , do port et te ba:;uts, tuasb,, ,soties , à la - t lenth g d d l

g I't' t. I1 -lit, lie 'tt f ill1b

tendre les communes peur les md aer.

Lt petit o i. ,u ir.r'e

uv's<Nous n p , r lePrésident q a si nbes pou.raient être upliruéel, o n toutes autres

Is u-,q t

lle gg L 1 1 i.-. t e

des soties etnv ssm L_nt t coule sertd e marchandises si malheureusameacdétenues dans ces ports,

VERSAILLES PARIS

(Coerespondanea particulière.)

Versailles, 16 octobre.L'évecualinn des troupes prnsaiennes

chas haute Marne commencée turc secontinue aoj...d'hni. l;lle tic contin ocra

intorruplias jusqu'à ce que les denxdépartements de la Marne et de la Baut--Marne salent aussi rendus à leur liberté,

riant le clarinette à l'oreille de son rai.

sis le trombone.- Tout à coup continua Aforissey à

kilomètres de fi ulliers à

Ianglend

d'unanchemin creux, je me trou-

ve en face,..D. de,, quarterons de brigands

q' L vous demandent la bourse ou la

-'Nais pas, père Drochard, poursuivitl'avoué; cette fois, vairs sagacité cet cdéfaut; il ne .vagissait que d'us pauçnvrediable de canlonmee qa en p ns guériteavait glissé dessous

etégisait

à+terre ni l'ractusee.,,- ILfaudra lai envoyer des secours,

dicent simultanément Loeie et sa mère.- C'est fait, reprit Moriseet; hcureu-

ent que, je sais un peu de chirurgieet de ni dcine...

- Cet animallà sait tout, dit le saxo-phone ae toraet à piclen,

- Ah! bien, oui, si cous avaler toutesses unnleuvres! Je gage qu'il ne distin-gue pas une entorse d'un rhuma de cer-veau,

- Vite,otitill

ait detachée je Leursle petit. ion d'un coup canif... 11 est

toujours bon d'avoir des machinessel sui.-. Je rais do tibia au péroné,je palpe la fesenore que je hmtde solide-ment après avoir déchiré mchoir... LU, ma foi, à l'exemple da bonpaatanr, j'allais emporter sur mea épau-les celle brebis malade, lorsque je devi-ne, au min, une voiture dans un nde poussière; elle venait rapide.ee[uv ossons.,, le cours, j'appelle, je m'égo-sille, je fais des signaux de détreesa,..

- Puisqu'elle venait vers .ans, in-terrompit Beochard, autant valait l'at-tendre.

Elle pouvail charger de direction,reprit Morisset avec son aplomb tub)'

P p t . d d p anis vmsrvst l 1 v toeh 1

é ' i o d lé. i me ta ,-Lr ait l o ,rl22 du d

"lito u 1

sa aa0millions t t p I O-

tt p y at t l m n d peut

vitioll'i I f ,te h n m ,t.41 'l À,., t txt i'jn lots de sonrayage au Ilf ,

La"' d b q a0 0051e avaûété cm,fiée, I l t i du géde, üos s

e n, epri 1 q t,ilfaut leecannailre, r la se., leutcurs à ebccu-

pnrde sa idche. Mais, foi, p.lu, grave et,sials:ovdamnabin quo p

geéres se décterérevL parmi les ouvrie

des

rs

eharpeutiers q t II t b

m rs, I t filtré.m, oulcrofins.d Le re ep er de d ffi t a, I dt defaire partir d p'.la p descharpentiers d I m Iw se milletàeuvrn air efaire dgar.dél C.si à eux quIl t'ondoit l'achérement de cette .."a du l'rbushido.

L'antoeité ail' d. air nt d'y faire-,[aller sus! oI, as, afat Iimrles,baraque ente c,le en s Jouévla bonnedisposition. Si acluellemcnt ils nchi sontpas evtidrament terminés dons utesles vlll 's ru, doivent em','ooir un sur-

de ils le 5e-ruit de garnisons, ceFont incessamment, an ,orle qu'ils r

seront pas un obstacle à l'évacuation, quise canonnerachaquejeuesanainterrup-tion,

al. Ernest Mentit est tri : on n'a pastncore trouvé l'aile de la mystifie.'lion coup, blé dont

ilil a été I t jet.

Lr bruit coait que l0j......

or pré- enrt I ait ,, .r dca g

u -:loi i l'et

ol 1 Csa -i

I i AI q o 1 1 à IreI j I n a F

sen.él J 4 d l s sphères goun'Il

I lr, e ait donnéIl, renW15n ammcr r_m, nt d exécution à e

pal eitdercinrs .t is du Fe,r,,l n outrentuxp 1 v,-u 000tion qui avaiti= té dpno cette s ille.

P r 1 lb 18 2j 14 - te lie IsOn

t ers t t to.j et C' i

ce,. q tilt t l g

t ds 'o il 1 µ l f iée

q jmérite lsj

6

t,r - t é liement c redusp-ele[euilo-Les lotit. t d'un

t 1 mais j tsra to qu'à laI, ire de tirer eues,

,Il

béa coup d ans s do il [ cévitmnce âtendent pour dire que Is gouvernementdoit se renforcer, et se présenter devantla ebrambre avec une surface plusorge.

roat ntla est bai et lion :mais cesidées n'ont point du tout accès aspresde Ol. Thiers, quia le sentiment qu'ilsolder tant et pourquoi Ils changementsminiso 1,0 n'ont la plupart du tempsqui mportanco se enduire. l'inclinedura

àe

croire au aralu q,ao, à s'erre queDort 'fesserenc deBorte allrime à M.

tdede

sese retirer

nesoit ddf ndir

La physionomie des Métrions do 20.,fable est jugée u r

""par

les c ..Oars

caée riseffet duos ladre-, t Loirrgui' Iracandi,latradical avait re ru l'appui de la députa-li.n de ce département qui sd dit rcpcn-

tuer.. Enfin, l'équipage .'arrêt,, et qoiest ce qui en descend t

- La providence, dit madame Iii.gaul

Justement, Madame, la providenceen persoa ne, cous Il. traita dom.a jeu-

n le comm l'ail, lequel n'avaitsnagé à a garder à dlncr, et cP, s

rait eprés n ti pour réparer cri oubliqu il

unLum,tul.c pardommr... L'invita'

Iion vro.it trop tard, mais 1. voilitrerait à peint.,. Cnatie, dis-je à

ii, je s s attendu clin M. ILi-gant, tn des notables de Neovy enus-Dois.

"'If. acheva Bnbery nous avons hisse,asi déllertement que r', l' ,an-

tennicr dama lus i; no me;Pant leul a pris

Tdare'à côté deluta..

ncas muresla unsil, et l'unnlb;cncherl...

Cotte, xplieatmn tourne, vous muPar-,asdente de.,. de me pas vous

voir fait attendre, cep it l'avoué eu

nno gouda en était au deuxième cor.c'est ce qoe j'apnelle une journée

3 1é.,' Titns.-.

-,Je croyais que Tutus était le nomd'nuo coiffure, dit l'enu;en meunier,

- C'est aussi I, nom d'en empereurn qui m, os conch nailjamais sans

anlnnier goclcon-rIi --sie, répondit plaisamment M, Morisset,quLa t'und de l'aventure était vrai, cast-

à.dire que le jeune comte la lai avaitraconté,, comme eu ayant été le héros.filais cela était birrs égal à Robert qui,

si Junoie nus l'as ans dit, entrait aubesoin dstoutes les peaux et bénéd-liait de toutes les actions d'éclat.

Vmros PEBCEVAL.

(La suite à demain).

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: TouLousE, 18 Octobre. ,esimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1872/B315556101_JOUTOU_1872_10_18.pdf · eldI du:iu'sl re décluro que le parti radi-l I t lu lynuotir 0c1 II l _I 1-t

al.wu.e.le; .,...- hrée -.. -.,-ur

dans mode ée. D'après i , j'en, ends

ii,P'Icr, cet par d lRl oqu'au f 1 ,lettre à

'

-Ci -IL'dJ P fdueilar i ma n j ,rou ,Ni. Ph casa P

d Fl méq I o m ll tt ilrance et P ta 1 .11

il ait t es g li

re la i couiné eu, au crédit noua T 8aloi, s part. dl 1

Ce sire, grain,] durer a 'Elysée Il. le,wl'holin,or des rnnsé ilers d L'lar eu sir bila bila il o d i k rvice orJmaire Ions nul répondu par née u pl d e s , de les lépa-

accepl,rtlon a l ail vrtat.oia do M. I I r a s lu p t t dq .stil nt de la Réanbhgae et liai ne trot, le, ra g d t t. I ddoute pi, qu'a I t d t,, t d t" 1 , c 1 n o ilscor,8anae J 's ,gis qui t' l lev i- l 1Il s t

111, -Il il,amicts' il a p I e il P i t a i 1 1 I naiampeut. M. ['bines .le 1 ,le hrauraup - tell d t II ,a ,leda l'esprit d 'cabre et de t l l y d _ té d

[p it I 1ai a

,IL

me astre assniob 6e, et d ro u t r a, Li. l 'y 11,0 1. o rqu'elle est composée de meilleurs dlé tl t d', j ,,hé ou erILLI ail

t 10t dire LU s l , ' m à ii 1 1 u I I roc Il It e 0 fi,ar l

dire qua 1 r scouts pour 1 auditorat d LI I L lu d 1. La tes 'per ne qn ils sontIre classa cet lermmé. Les dix candi ' des n'rpliq .., girls manquent dedais h,.1aus eppart:aouest à'l'anmen ton P Pea. N II- nt, ils c oirnl auails tons les nouveau: oui été éuarten i v p t I n',+ntrdeacepti-

Masa je me hâte gn itue quo le son : cisg

,"."1'.';. i 'e forfanteries desaura a clé d'une

dforceex epCounelie, (part, uiesnmpu osants que brnyams. De'

en

point que six des refuses 'euesront p dam' I -, ils out assistéà

tant1 liedo m. Ancra s nsanbon Batteuse, iii defaibill de ers prétendue peinei-

mention dans laquelle il lira crustacé pus par losgnels os prétend nous suu-que ces jaunes gens t énnisaeut toutes luscapacités et toutes les connu ias ,Le a né.cessaires pour prendra place, dans l'au-ditoral, mais qai ils ont encore été dis-tancés par les dix premiers classés avanteux, Au nombre des refusés de celte eu'tégorie Décocha bis du duc de Bruglie..

Le bruit me revient qu en présentadu déborden'entlles mauvaises brochn-es, le mini léer de l'intérieur songe à

reconstituer la commission du colporta.ge abolie par en décret du geuverne-car eut du b septembre. On tient à metaire remarque que celte instilntiosn'est pas un pendait de l'empire, mje la république cun uresuieice 'e 1 I,',Elle fut due eux eliarls du célèbre ,.mi-té de la rue de Poitiers. Soirs ['empire'tl e m

s

.l tesnosq.1-11 jouai et statuai[ 1. Iso,

pour lesquels L'estampille était ,é'10é I nd t I gl p II 'tété

Il.l''.1 d dé p Itl! q I laentplus ét t I t I t I

,r- c ."IIL ailla lo'r

ils net via tant de régirai e pissercc,mn dea ombres, qu'ils sont assez

parrdonnableo, nn en c rudra, de nel'as

enrobe absolument à Inaffieacilé trinm-

pLte de ses régimes qui n'ont pasmême su vivre duos des ir n tancesh troll Irnr était facile. Quand la mo-aechin leur promet la stabilité, ils ont

li e t le droit d, demander quoi ont leb"nre de stabilité qu'on Il flatte d'assu-

r, et ne que durera celte stabilité ;quand en vent 1'. ".traîner pli le seulmot de ei'pnblique, ils ont bien le dreiidé sireoie avant tout si ce qu'un [eur nf-Ire est cette eépuhligne qui enfante pé-d les dtrtatores nésarimnes.

Oui, ils ont Il droit, Jnetement parcequ'ils mettent dessus de tant laFrance et la liberté, et, s'ils s'attachent., la "fi atois actuelle, ..a grever c-ent qua dirige depuis nn Rn' les alfai-

e, da pays, c'est qu'il est pins facile ded p . Il it celle railtien q

tt

p ss5 p t l botteLa

t :éa-ans clnm d I.1 Je U., 1 s les p 7alis Ri

.t 1 11 d. p. 1

co_bl I 1 il i E

faon t ml = L r p dIal I ple. gences ] 1 p I I l t t . l le r a i l l l i t.Ils p , a l . i I doser, . I I x l i s 1,,e, qnr l t.

, Ilter 1'. prnp a c, l n aapvr le et 'e,m ( I d: orn,os d' I r I.Lle. I t " cr 1 il I i l

rre21,Lalm i:,'rr d E t a 1 do I . 1 L q f tI .,air,

l'udérnre, t prler p'reins

où L l,loillail I iIlii l reslor.a, dit-on, j . q a 1 1 .d J I Lui l

i "ILt f

g si le y 1 t ci n erre a d g. I r I II I.Adt. AI I 11 1 20 ; l tt 4Loi.iobr, ou « pl I motif i,e l:1, qui t t apiVdlégmtuo L L iii,u repio i t flot 1 q iCh, au gons,d sen.. tt de n e par, I ,s isbl le, Ph'rri duo' nna-cette lois, ganté la raRUS sasse asr- Li i oral hier r tons s ms à dét l l snlnque Plut, les L s

Q

a p é e moinepcèd le O t 1 1 tl u flat ft 4u]',.,]a,:, à l pp d telle a L L i a l ,

Los telle. le B lie , ma dur ait hs fête" a lui e i r fi aielin nstateol que dans luvgi, du Lance 110, tant d:4nnecy ra pi 0,111 aSleswig, lai alleu ends ont s n à Propos Lu , gnlir a 1f. C,,nbeIla lus

S ' ip u d.r à . u te t 1 glu res 1' 'acta!,, e, iv i Imais qu'ils c Ilroi,t de régler [ ' , , , f i c r i par tee de ces l,r ores de dea l où U Ldonnant D J ne irdrmntri devrait t 1air

p d q u e Il ' p l, IL.11 ! L 1 I1 t g I b a l[ 7 u (q et L .1 tép ihagoe c l .11 b nalolord ,il

i sleg nv nrlançais napusb nierc rdm slu r' le t cela a de moo,

mais i l ni plut 1 êtreqnr l'Allemagne peostslt a affirmer de euculé la théune à outrance do droit duplate Port,

lin me sigmde que dans un banqueti 155. é t ea sas bon.

s à l ip I M.t a sot es lainas

de la eépnbl que modcrée,

CHRONIQUE DE LA QUINZAINE

os iraREVUE DES DEUX MONDES,

I6 L ras 1872.Fautil qi e e g, . u luloi Inné

l lys de Fr, rodivilale l n I

leisnmen( 1 Ils I i1a wssé part p

1p

e I pays d'F r p p net I , rpportées. 11 o él levavlé ont la, dé-membré parla goe-,11re, iltr lét td ILIi.. ,aller,

t pi .celais II la q C t aerali ilaère mense

ltod d- I lion tr ariei-

é,çtila,é réaflot, i t tsim une sort d I

ahté inep hl ( t . l y- .Il t 1

chose évide t t1

d IIc ! tlq. t 1 jl fl q I lie u d

robe ttl il y q1 lit P

posé roc I,. . ta i-ls de 1 ur io

desi té , de la

trêveles paris d t, ment desbinons. Nul L tr ap demanrlee, à ceSls'i1 pueafl, p t, p t p

élaguer" D t h .W.gruefois de m d le f,iiII

1

I

poidsle ftol'té. qui lis dorai

r cuti de la f p d tqu'ils en sariraitrit p faire P

Ils se dociltort t dur isont des muni I d g,: 1 1 ten LI

t inntaire d 1 s " ,pra5,enoe de d I'nulles t p 6 t IL.Qubn leu

r.sde une rerla,ue paixr

qu'ils r nient vo e déja flic i .,élirai,-1 ssittrt i n .LI

[ I: r d r r., uni l utrrs,ils relavent lei,i. drapes ix barelrs.C'est l'ébe,aellc histoire des banquets,des manifenlsl nus, d,, processions qui

e. la légitimité ladroits,nle oradoudiama se

déuhtaname set

et'exalte comme s'Il croyait ail heuredéjà venue, ta bonapartisme tait des

III lt t cl I e I

pli,; I ur+lt x. Ai fond, ils ni-ut ds1 foirer 1, ea.i ledit feu pas

lIIIIIIIIIl "Il ,IL -ilor il,, 1 a(- IIIIIIII, ,'r'.Il ed:nl par ire. leli I le m,, 'e

Oui, RI'R que t ü. ,rit Lti i Il ,Il II. 1411 on l lbcan,srIo

bi u ll I rua, d delà i. i,4 d

g t i 3 P d l f l Ig t a l d, ,.sials yu I p - dehauaclil éest réservée sur les pro- v,.il,acnu eh

,' eril.

b rufai P de,air no,-d 'I

C ,r d pt fat p, ba ct p ; .. à 1 I C d sied,

III t t. 1 tt I ,l n tp d.: P 'ainçai qai

i.'. Il Il p à l' [ Il youtd 'll. I l Faille, i t

Im la, n.-n,n

rs is,aieal' d ! a

I l ic faeuiosl qu aggiono 1 a 1 ltsnbit les fstahtéo de la g.,,,,,,

abai il, noge Pua les rignenr et i deP t tés mimes il'es ilte une aitna-e's

E né alamont toojeursdangerouse,est Pu- elle tu n s qu'an peul

celle t iis a r d 'lire la pertua-triec de la pais, du r universel-Qu'on élouite tons les eenlüe durmnr, qu'on se borne

slrieie

rmnnf à lapolitique, à

I.froide et sénèee politique

pour ou homme à si ,R,,,a,t .à il longsdesoei

III,qui a la prétention diète pra-

tique, Ni. de Ris'narck n'a Peisl-éire pasélu aussi aah+I1, qu'il l'a cri, il s'est ris'gué plus qu d ne l'a sues doute pon-cé.

A voir les résistances qu'il rencontreet l'impression profonde que les réreeles j

'désolations de l .Uaace Lneraine ont ,,ra-sée partout , en Angleterre, <n An-IL

eutlriche, ea Itali, en Suisse, pcommencer à sunspçonner quo tout .ese foit pas impusém,et, qti il y a

,les

zcés de peépotenee qui eéeeilleut une

sorte de conscience universelle dont les

protestations finiesent par litre un eau.barras pour les ,Anisez. M. de Bis

areh a vanln refaire eue Allemagnepuissante per l'uoté, soit ; oins il 'pas vu qu'en faisant de la congollel'instremsnt I tri, !il, g.r-

I

en léû . t le 1 tul : de cet , ee pie elle é le allez

11 Il rer I, t

d,1R i Il Iltn a xtr tt i f I

L

ILR

P t. 111ie

1. p(.

i, .lu

110 ét I 1 I l L tRv.Irb.. 111161, j n l hé, il lI l

g -o ai

il il LII . 1 7'

le LI

1 -11111t, t i é I t à 1 t r 1L a-

nt I t l g s troublent le

r a t t p 1 1 q pl 11 t mnR d

m 1enlant a i d'r or, a1t t . d d I sort et d hume

l., d, uobe ""P'.T'anchorsle k .t nmme mol

ues-rrloot, ,.'est dans 11,10001Âe la sauelé, de la durée de ,un mq M. Iiism a imam f l.Il t tombé duos le piège dont les om

ont s vent tant ieP"i"'

à sdéfendez ; l n a fils su a :elfe halleIeté suo'1m-de la modér fion dans 1.

a. Oa o ditt' .id Poil,la

`IIposai nue l0 j 7att hat -Vire.

B 1 IAI gn. llIt' t pl., vrai ; 1 V'nal est .,a.J i h AI a q" l'Autric 1 a

L , r le I n di Rnt ces I Ilé 1 pl Bleuetla,ti L l - tut t I Î ,bot s If ,lot !tallé unét

I él it I j 1 dé 1 n t e u elle rr t ils ne sePe

fid p l'o d 1 r,u"r 1 i guai , qn e pesans

111 r., d n I p,. ,tin d 1 i P I p L b l 1 t ment raidit aba-

qui.nous 000.1 I. la l i a al- d I . I b b l de la ului

lemande n'apas

I pa I s AI st 1 I I I d L[ sse veut a 11

I q les

t l I I I t t f Alsace, elleet In,

§ 1. lÿ, p t1 t I rot r

a, de 1 d p. t tort cc quida c s pays qua neaulesl l nç, p I t 1: I

ppelle la Fi

b a Loobo bue la nabi, : : " i

edeat pas Litre II :al Ete seevsampo taie le at angem. t i I.

II, é .p oa qurill0 e'I .I 1 p l i I bandon d i, fo

11 à l I. t le d Il t .. t

i estiq I erdice dis habite diantre Garant1 1 f PII

dis Ins plue thé ,[ des iaté-Pts las il,,par un ein d.uuoien en impré

plus sérieux.,'o te nn par imefurx Point d'honneur,

Un cru ;i t-,eut litre avoir affaira àdan cette situation oie elle cxt les récite

Y r 1 d'avoir I d t à l f r lesn,, ,,oracle d I esirioe , moments, 10,1 , qu'elle le ne fera qu ir dea eu Cher.

et décourager par les ebalaeles, par r, c01hant

à fils dompter, et sir la France,tricks, qli on imposait, 1u tald chement qu'oie croira nu ra r ceséc à saisir

clu coi math et Porte, popniz Il, 0nsdu

e,rendere

ses p°ovmcestiens peur I, 1,Rnee. On r a

"""ià i

st ar aisé qaà B nr Rrsp

L Allemsgise cet puisante et farte ,ai 'nondeou dis spctacl les pl1us 1 II ..t eu mesure de se défendre, c'estai I

émen,los, ,IlAI IL A ;

IL_ 1 , I

de..i

I

persI I .

els n a par m ne créé ira f^-ible,I Y d deree.le inexli Ig'np p art t p l L. - 1 ar nt I p es ae duquel udle , obl h à ester

p s attmi in le d or robre; p d t b: .ramée, ,tel recloué .IIf 1.

R

é nt eourert boules !i

P qJ Wnles Iea ont Plaisante. I

t p t avec eux1.111",

t , q ' sur re perpét 1 I d aurait pl uspull ..d 11.1 emmes, enfae gIlir l, en ce pie p. d. le dont elleI / ., se mélalent aa ts e tl rand- e Lait le pari, d pnin , chat elle.t d e é.asion do p y. a ,t-i eut dhorman B t - tmr virl, i as e,d,l d f ill. 1 q flot, t !I i

1 q devait [b I [a plus, n v Iu oi 1 p tut

1 j P P é 1 e z 1 o L I 1 t n bilsuuavlf I Lrmgratann a 1 ae allie 1, ire ,it.,m rode tille stilt t rn ch ITre le Près de 101) à l t malaise gai'elleelle

a,, i Il L p p I L d tilt t P.Ilst [

p1 ., 21011(1 l1 le Il p. tell ce ,on

il1 me ;

IpRins q

er ,aq1, Il i

7 1 t e. est I dal lés p, x t de nouvellesesrv 1111,. ire. A (ibis i AI gal1 11 I t este a 'Na" ts; à P 1

I tes cool mouf, bisa à on j rc don.1, , aloi, des ville, les pin fini rstrrvn

,

nOn nr s'y trompe pas es Europe , e

11, es P Pud'Prts, h u i t 91 -d e , f i _t ét 2 p -

2101 rou-" o n n e s

t o r v r t P t .

,

lillitté 1 ville. Sur 200g taus fiscs,., qai r a rat eu Lmment,il 1

rie'esté it

A I t A r .1 foie en Unsp I . l'Allemagne aroem-

-pl' jusqu'au bout se a oins de cil n.canif,

C se d.mande ce quisoi bis d une l t Livrée a tans de

, P e qma lesC b v I s l vonhi don l est t enae I p 1 ils au gpraloele

cette ,I,t. i l tI t 1 1 1

Je B 11 F t I dos f esimers n é de l Alsace Lorr o-II,

de re vo r e aile le doitI e

aestque le dég nt d'une pré

q vorer cs pl ,s P 1 tq Qu on s'éverluoo t t In pur ro on da tours e,lim

elle. Ira fooctinnuairCPont

p muni parlait1'autaR jans d ans u ne cérémonie, à Standbourg, dan service que l'Aile r agne avaitrendu à l'Alsace la . déLvrsat esPu, dis

W.Iches I

, Le . joug desci dur s, , à ce qu'il semble, n'était passi dur pour ces pauvres , sil l qui,In ieeemt, vepouirc

venirs'arrachent à

la tararenatalle

pane vernir le retrouver,et ceux qui restent, ceux qu'on dit s dé-livrés, e ne se pas peul.PIre

h,sands set cet!

il , i, Il

encore a IIerIl, et da ,s les j,,,,,,,,d'Allemagne à crier sans cessa que c'estla

"a""qui est le gruel trouble fille

par ses projets de revanche , par sesarmements, ce n'est plus qai an thèmebanal, l'éternelle obj negmion dn cnuyuémont à l'égard de celm,yli il a dépouillé.,'oI:h 1 non, ce ,ti est pas le

Ilqui

peut,u des

e potin Ire momentdece

s revan-geerres nonvclles, même Iors-

grfelle remplit le devoir le plus simple,en s épierrant de relever sa puissance

I .Il .u- p i a i d: I':eiq,.. d 1 : 1 l I,liL, ,il;

1 l I ét y t 'core,I. . , t I 1, t p

I e, ,es 1, na..ss oi o,,cor1

'a- dnJlinta,nbi-

L-il - a tir rI fonce, irn,é e 'stil erre

dos t( I eu ,-il.11 pu , b . d d laLa ,

p II, d. I 11 1 aC t at lip . , , 'Emn' I a m a l q i111, n ,r ,

1I le lé ,. t11 t l'aietq , 1 1à tu i,an bit

l ' I f t '1 r none1 1 ,,1,1 l ale la

11,

p l la il d t 1 1

P, v' permnimrL , r idéfiiie, rvomnlaire,éde font. les1 s r. et de toutes le I I .

FI b- lori u'il en est ainsi, 1 ;q1 x lés do nos pro aesd I r es a r

il s sua II P"", parler doa Iii té drl Alsar: rt de la Luira nn,l'If Ild deto utes la eta en P.nrnpe oieut L'a à peu à s'inquiéter des in

hf encra de Dette simadnn générale os ,à tiaeeeamnoir dn vide

taiailéapar L FrIsa,, col-ce le rn e.Ld'offrir de nutrecdté le speclarle10 silotlivisioas et de ails pasuise, insole que[quefols de sas puérilités I

Bien de mieux à coup siir ,aie d'alle.reo pèlerinage àlace lab ile on à LLI ardes,

o le veut, et ux luifont ra voya-ge de piété ont cortes le drvil de nairaspoint exposée aux intolPI unies révulu-tionnaiers qui les ont assaillie à frenobleet à Nantes, Ici re n'ont pus mème uquestion d'ordre public, ,'rot une guelte"lien de liberté de conscience srsr, la-quelle il n'y a point à hésiter. Il redo-rait toujours à savoir si la dévotion quiferait peu mu.ns de bruit n seraitp' i t a rsai mertoier, et si mon,el,( t t 'Idgloses, qui tI as

J Pt d -tL t I polrbqua n, l- I

q Il f 1d f ai ,m lfille Iu

les r rpn blico is

c.IL L ilf ç

f

1111,

d: h , C,rLaIL Ilfr, p l f

Il ,1 ;hl d l l - I II

I, 2 d I

f-IL Inr h I

I l t il 1 and a Dé.. i

l", l o ,s tels foie f t s, a` l,.nos t0_,, et de nos porte.

L 4 è es réuniuus on étéée' t ee aslibnion d i 1

a I é,,ülissement do programme les trl-

I I ,res gnest une I

fera, da-orta,

pe'emnel, le 1ssi, riel, et les tersrém a

t Sur chaque sujet, le m -p ,ne vres d g 1,-s

1 1 lit l 1 1 -.

p l 1se t l iIIIIs ri L. Par' Ré erlanx des

séancesn

seront eommnniqués pinslard à la commission de l'a,,,,,.idée.

- Non, trouvons dan, In Alit Le-.il,,., l'extrmt limier de la d.niéeséance do conseil municipal de Relia :

M. le naira expose au conseil que, inomoment approchant oh u e ,L tri`

française viendra prendre, à Rei.u:+,place des lion peu êtrengéees, il y a liende ee prévccnpar des esayens à pren-dre pour faire à nos compatriotes uneréception dieu. de la ville et qai témo:-gnn des sentiments patriotiques dent elleest aniée

En cm,ség once, M. le maire prnpnsaau conseil

lles dispositionssuivantes,

fracle jour de l'entrée des troupes

Lâdm nislratiov o icipale, avec fi-sous-préfet, le c ..il municipal boitentier, les différerais corps constitué.,àila les représentants, MM. les conseil-I gé é I Il es d'arron-Il

nourd t l léû d ly é l ,lel 11 1 I. trulli.,flots d t sde secs.,,, rot Ilts a

clé réunis à l'hôtel d 11.,Li'eigtrc, 1 ÿ t 1 t I mpig il s

rie,-ir-ne d 'IR, du r.tneot galdn t etenir gar-

nCu ,r vent à I'bb'e1 1: ,die, le v i

11 ,tu IIII. a ff L à 1111 I s effrciers',' I à 1n I I nqu leseu i,

nnnti,i rit.esdi ,, cal n oru

ai, p s g. I pareil, ht I lues fi .

y h' , t l y t j -j't II

8 t it f sl (rP

b..ta, et 1 es aélé e p relui Pari parlas mécomptes q 1 f t

(Aar:as dea

(Gn /in u demain)

Q lq j- ro à nais sépa-t d Is date du 20 octobu 11 ,polarles ,,

I ;t es, I L d. golf, p ol,abfil I I t, d 1 't

rru;.r

es voief.1: I p.l u-;qlt l tIl.pl LuLI

o faire Ire x f ét s,

dsg u sent, Si le rer aillas, agjt-s é é ut a li il

ly rongl sil Ilion 'a j arlG ,

cils .'il ri i -ait p d 11 ours

uutamps., ai

"'il'lY j ge . .s avr. t0

1

1 La --I d,_ .t t t f, tub : parM. 11 d t l'

om.55 1

1 à 1 ul IIp l L. p iJ i ub.vt ale laIip bb, t d et-

n cuit. sII t t ep

gdI. -..t

Il ,a

mlin

seulement enatoute

From:e, ail B l'étran-g ! pays tout eaber les r, et il

P"" lai y av' atcuo d. t sur lapensée dis gouvernement.

M Ch t li nt prononcé

en ,ait d q.III r l

nl . iuebliqlb a ,vm lis

p u j'y i ll i gui-, nel' f ' bic rnté

t - t il 11 ,.",il,[, I I:I .p bl j 'le 11. I l le

J A.. 1111 1 hl['nL I I n .t iclles en

d 1 t le I c-1 p, t I fi

.. 1.I h

n parla d Ilst l ,,,,>,, L I- m RI, les

bl ,, c 1, r , ilront leur appui go r t, ,L que

tf tp l 1 t I i j' b1111.1. 'le f h

nd, I s

sls par sil, IAssCm-blée

(J r t ! D h¢.)

1 '.t t.ij fte air ed1 f nt f 1l 1 I t ,.t

p l - ils gél,

usujet 1 f i , i t t 1 al

tt 1 'j "Il d,Ilt .11 t. d

Il ot t Voir I t rt bi ga.i e cru a. t .mn

.n lev 1 I bl'y t le14 . olé lai 'lie e 1 g uemdny17 19 .. t bsolament I'ios-b ad ine obligatoire.

- Le ginéral Serre de Riv!ére pour,s,,fil tonj...R l'iosbruetion de l'effraieBassine, et I t - t des témoinsest su, le point d éb e teminé,

A moins de retardsimrprévus,

Ieu dé-bats s'ouvriront probablement dans laseconde quinzaine de décembre,

- Le ohhteau de Millemont, ou leprince Napoléon était desecadls, est arumrésidence historique qui a déjà son lis-toile et ses sm,'enirs. Miteraient a

epl t l (,Un.L f et osldals recevront

fe [Pue,,aille aIL h l il iris l té à pavoiser

L i tI tin tri d ire de nec fi y..t

-IL., -la ie auxLu pensée, qe autre délivrance pro-

el Id r ag8 'td chi gra pin qo,u s départem -uts

'a pus permis à l'adni nstr.-Gtinsde domrm à la réceptiou de la gar-

P ç l 'tPu'm t ,IatloIla L,c publ I et d'unsd n j ro

P Lrunale. Il faut ateudre -r'IIl. la libération do terril<me. I'ar eae.

O, qucut, il n'y aura ni danses ni illu-minatiors.

Aio srrn de net exposé et d'une dis,n à laya 11 I nt part MM,

oDle nx,de,,

Ro B f t, Doyen, Mim

,e - t L gl f le conseil,l. m. d tir p -Dans a NI.

m à npr éeode M.f Guam roux, Manu , D.1 croix,Devédrix, Dje.court, C.,,et et Doyen,

Pn journal indien, dit le Slo u

dard, raconte ramone il sait la chasse

d'ana panthère dans les mstrepools d'rrnnavme :

Bolton,Le sou bd0lncej, eapdainealonita,pendant son oeut voyage ] f

- t à . d d.en

très belle pantiré" .s jongles. L'animal étaitr

C né d u'I' age ea r que l'oncroyait assez lotte pour

fernos transport à

Calcul tua.

, Vices minuit du jarre suivant, quandle navire se troavmt dans le dértt deMalacca, des crie de [cireur se' tirent

ondainemenL entendre dans las .elle-p t luis t thés trois mente1 .. g Ion f rotors t enfants,qui sc précipité t pèle n lie star leplant per toute I q ils paranttrouver, se rua t l Ire les airL

en pour s'ouvra des pass,ges, les pliaf,rts b,usculaat les plus fmbles pétliftrede peur

. Le rapilaine Bolton et a,., officierste allaif t les l a P à dmpreodre

l 1 et 0 - t 'm snrbrd n ge t t dans l',.ntoclouthall tnmblar dans leur s trilla,,.as p ag set Ire

Pairee f fuaIe

n, sur lep l po i é 1 brillent sl

t1L I ro t 1 d oI'I' or ci' ; itt t'1. parue', l h c i tLa c

t]

pIL

,minas [ u set

P 1 t l f11 à1 pl d In seul homme qui s'ait

Il

,

de choir r ilesé deeu .Las I g 1

l gnfte de l'animal. Lest p g. Ls uefeoru que

If

b es l lleae

b,your - Le ntoi

1 les s,bo:lurt fmmes eI u- Ia

sa la pnvLhère seule dans loi mtra-pnnls.

Après 055m r ad, dt quelque, heu-un brait e f ss t roseode

d- I. t d du anr rrut qai-lao' Lecapatai-

Bdt ec une nngtame d'ham-d l p e et les oflmers, les pee-

d. b'mbuns et de barres,le rot es entrepnnls, et, après avoir

Maillé partout pendant une heure, ils esIr...ëf,nt aucune trace du terrible nabi.tant des lnngte.r

Arrvr la Irnr anisant à Penang, lesteamer délit arglu use partie de sa car-galson destinée à ce port ; Iea passagersreprirent feu' place, et le même agir, le

ce partit pou, Calcutta.e rendant la .Rit, le contre-mettre,

ayant eu besoin de quelques objets qui

se trossaieet dans la cale, sur l'avant,

le chercher, Ce Chien!, ,reliait presqueimmédiatement tout tremblant de p rK ,,!out : a La panthère est I. 1 t rfusant d'y conduire le eaptlatne B.1-te..

N'ajoutant pas une foi entière à ceque lai avait ait cet homme et ne vanfaut p a r silo passagers une secon-d aboulé, fin capitaine nr ys chercher

fusil et des carlnorhes, Ires lui mé-mo Iéeoublie, ordonnant de la fermeraprès qu'il serait entré, dans la crainteque, si la bête y était, elle ne s'énhappitar 10 pont et

enrenouvelit les émMinns

des nuits réeéaemea.Arrivé ' la soute aux prLIof ,,s, le

Capitaine Bolton vit les gasoils yeux jus-nes de la paelhèrc brillant au-dessus d un .

tas de provisions placées le long d'a na-vire, ser ma culé. &l-air,, par Inc faiblelumière qui venail de 1. pirate, le capi-taine eut rer nitre le confossr ducorps do l'animal Il Gt tau .. Tout restaimmobile, aucun bruit ne se fit entendre,et le capitaine trayait que son coup defusil avait produit on bon effet.

e Mais quand la fumée de la déchargesa fut dissipée les deus yeux jaunes apparurent encore au même endroit. U eneeonde carlourhe fut introduite dans lefenil et au second coup le eapitaineBoltonut la satisfaction d'entendre le corps de

l'animal tomber sur le Pont et roulerlourdement à ses pieds. Deux balles l'a-vaient frappé an râlé, nue seule osaittouché le criai. La panthère mesurait7 pieds 8 pouces de longueur, .

.,,L,,,.,.,,,,,,,,,."...prouvnt l'un pou-l'aaffection, vivaient heur

roux ,autant qu'on peut l'être ici-b.,quand. il y a denz jours, le sieur ii..,en traversant la rue de liboli, fut cerf.

versé par faire voiture, dont lime dess lui fractura la colonne verlé.

brute.

La mort fut isalonlanée.Nier, à dix heures trois gaarle d ma.

lie, la dume Virginie R...accompagnaiu

tau Cimetière de Iflet le corps de son

sri. Elle donamt des marques d'urnedouleur d'autant plus effrayante qu'elleétait concentrée.

A force de retenir ses sanglots, elleélue ibi t Comme nn :iraivait à la hr-leur de la pr sil

def ,os de IR If..

quelle elle fit b A be 'arrêter etspresque aussitôt ll h

On O'000nul1 d r-r las ,nro .;lis ver -11o-out quelle avaitc d e

0 I at. ls ap ? Dan aoperlaitle corps de lad lb,,, lb Tellefiled'oie l'on a ait I té e heure angravant celui de sen mati

Il y n les gens qui 'ombent d'une n l et qui se tuent l'a vorer on quiI.onbe dou ,,nf, !qnr no se

qu'fait p dese

c l ton jeune homme Je vingt'ees,-é I .1 T-7 couine plulu.

d. aor, -Oa, houlrvm I de (;,,Relie,11 travaillait sor ou fuir, 91, avenue desCI p d y été,,Iqua.nd

ils glissé et a

él pu p té bine

On le croyait tué; il était seulementonlus ooné. Il es vrm qu'il avmt passé

à travers nvgrillatge

en lier re,:ooeeaetla cour, de q i avait amorti la chute.

Il P16 maomorns, dans l'appeéhnn-ori de quelque désordre interne, 0055-

d t à l bupital B ujon.

PUBLICATION DE MARIAGESDos 15 octobre 1872.

Bernard Flourens, mdtivateur à La.lande ; et Marie Martinet, même quar-tier,

Jean Baaé, jardinier, à l.elande ; etFrançoise Boulines, à Gfisolles.

Ocellée Itaymand Mau, rue duhaut du Merle ; et

JeannegartFrançoise

Terré, rue étage,Avn Marie L..!, Denis Amigues,

complable' rue Puymaurinu 8; etGabrielle Marie Jeanne Royer, à Gabrise.

Marie Jean Sempé, l'abritant de pa-piers, à Tout' é; et Gabrielle, LouiseSaint-PourLml rue Valide, 43.

L'Hesse fleuri Bonnet, sellier, à Teo-louse; et Dos, Dose, couturière, rire dea5 Pdrera, 5.

Joseph ',,,p,, Gary, libraire rue duPeyrou, 28 ; et PeIrnnille Catherine

Pose, rue Mo'engo, 25,fleuri Franç. J ph Roumeguèrr,

refilent, rue Sa t Jér me, 25 ; et An-nelle Marie Sou e c mémo rue, 27.

Étienne Sabla, olls, relieur, rue dutaubourg Matab.an, 41 ; et Engénie Eu-Ialie D .and, mème quartier, 47.

I,nmhert Conrtaillac, garous d'hôtel,

ire du faubourg Sainl-Etienne; et Fran-çoise Ilroensr, ..'ciére aux tabacs, rue

dea Récollets.

Baplr.,te Jean Castels, roulier, à 1.Croix de-Pierre ; et Catherine Guiraed,

mère aux tabacs, mème quar-tier.

Adrien Abri Attend Canais, architecte,,air des Salengplac 14; et Maria José-phine Bogues, place du PRYIRLI 2.

Anlsine eiJeo, tailleur,de

e

pipierre, au.

5 Cocus; et JeamneRelix, mémo quar-tier.

Jean uniront, cullivaleuç àLardenne;et N Cé ale Espitalié, domestique, ruade la Innitf, 21.

Angusto Neutre Pongy, égociant, àDélit.; et Alexandrine IeséphmeFras-çoise, roc des lllatie s, 62,

Pie ee Levmarre, 1=r canonnier as 18d'artillerie; et Joséphine Crattard, blan-chisseuse, rue do l'Ilirondelle, 3,

Gnsllanme Atriol, serrurier, quartierBonhonre; et Stéphanie Françoise Ray-monde Lagèer, rue Vulenclenne, 12.

P (,colin, valet de chambre, Lu-Oct d la I réfecture ; ea barils Claire La-douss, rue Tenponnioee, 7.

Pierre Besslères, chapelier, rue desFontaines, 9 ; et Jeanne 'tarie Lofont,nvrière aux tabacs, rue Croix-

Bar.-go' n.

Jean Glace ou, soldat an 62e de Li-gon; et Marguerite Rollot, à Sainte-Foi,

commanda à un Matelot chinois d'alleri

Joseph Brune, agent de police, rire

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: TouLousE, 18 Octobre. ,esimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1872/B315556101_JOUTOU_1872_10_18.pdf · eldI du:iu'sl re décluro que le parti radi-l I t lu lynuotir 0c1 II l _I 1-t

.VIII enouvelle, 13; ut Marie Durrieu, fui' i - IL mimaitn ère, em e I.X. Chronique de la Quinizaino, bis

Jusrph la, rial, r e I, it II et lo re polit qau et Lttéru rlisse Il lum, Journal és ,e la la I i u levas musicale. La reprise du Proridenoe. p7 riss, las U, 15cs lyriques.

Erras et Notices.

lusa DL 1'a or'ouv

Heheli (Narie.Anne), iii aux, épouseAcealit, faubourg Rosh,

1

rsrBA er (t sle

50,1 pdytr)

3 bDat

(l'r ço:.) ,1 0 i l S:1nlElienue, 7

Mastic (A g .I I'ranç ) p f uhU rnx, ru

. A l y ée 17.de vans 1111,Pompaimo (Adnem), 14 mou, oumL

de Ilrienne, 51.

REVUE DES

Lrernèson du 17 vitales 1872.

I.a guet le F,- en 1870 1371l1. I,a A é l I I_ , .1ele général CIanzy, las 11. Lhni,s.Mueude.

Les ,\liéné, à Paris, L - l'a p..s-rssion aulrcruil, L F,.Ie

par M. Maxime il,, Camp,Itabelais, s I,Is , et

idées sur l'educaleuu, d';9Ivt n aller.maris' de 1872, par M .Albe, t liérdle.

Sixte-Quin1, non iullueucu nui Ils al'-fairen le Fronce au XX roièelà. - III.-L'église et la llie e de 1580 à 159ï.Le nitre de lcuri de V:doi p,, a{.Char), s Giruud, le l'Instil al.

l.e Cholé,a iudirn lu point de rue deta géographie médiuxlo ee de linter Iatje,al', par M. FeI,,ilpillon.

Jean deu Bannies, rIcil du enw ay cilsM. henry de la Made lie.

Le Royaume de 4Vratphalie et JérômeBarrapartn d'nprr-s les I.

7,

ts alle-mande et Irta cour. - III. Le gouen ment et la cour du roi

JéémeLà

Cas-tel, dernière partie, par hi. Alfred

On s'abonne à Paris, au bureau do laRenne nt. fil Il...

p,,,

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Le Slrauss fianças, Jules Aletn,anteurdes valses : Praires .c buampa(nou-velle édifier, pour ohLmt et Car, d.Russie, vient de publier eus nouvelles

es qui suai I éeéoemenl du jourPaaxra d'Aurore, vitae (édifies originaleet édition simplifiée) qui, par lo charmede ses mélodies, surpasse tout ce quia aété fait dan. ce genre, et sI e rav s-sante po1Aa portant le titre excentriquede : Ceur d'A,tilha.i! Ces .. liensfoot fureur 4 Paria et en Iml,e. On lesreçoit unmcdmtement fraura, eu ru-voyant pour chacune d'elles 2 fr. 50 entimbres-poste, à Colombier, éditeur, 6,rue Vivierme, à Paris.

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DEffiTZSEll14, BUE SAIN'T'-ANTOINE-DU-T, lh

c0ré ou réfin. xe.

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L q . - 1 à la Lib crieCeulialt, rue St Rome, 44,

Consultatiadsonts les jour, par le docteur C.asréns,ta de R I, 1 ,e { r

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il"" les c.snmoues de Tonrnefnuilie.Plaisance, Fonsurbes, Puni, 1,110, Saiot-Lys (Ilaule-Caronnr), il y a plut de deuxCet', cas de g é utates

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danges, ont du maniais temps depuisFrrmelé 1.1

Sana va 1 30I quelques Jours I la plus grande partie de

eu

pi,itte était faite.

Baisse,

r. la r u

A la semaine a été calme ;srit sont entrés, d'puis brin,ueux

ine ils hausse blé.ris ,I'olfces et plus de réserses chez

Jours, dano crie v alositI Voici la t d'hier lundi comparée à

11 Irai arhrleors. Par suite nos priz 'eut ceux du lundi précédentpat varie e le. cours des plus belles Iias-Armagnac, 70 69urina dr- froment se raisonnent de 22 Tanora 66 4`15

l23fr, 50.I , I t5 mars valent 15 fi. et Ira

ll 13 5U L née se roterontsuint t17 f 2 4 J f L ,0

"1(>'*'provenance et lualité.

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Anlnonces, Publications Légales et Avis Divers.Étude de M. SAINT-PL, avoué, ensemble audit 'ruulnuse, ont Toulouse; du conohant, ù pro- Aune Lamarque, négociant,

snceesseur de M. Eycheuue, fart s'gnillm : t' A dame Phi. paillé do N 1 fud il t I t Lrue du Vieux Raisin, 28, I Iomèr r. Solh r: Augnsune Et,- à la 7 F, b t t 9 dentu outilhl r A é. C ;ton

A VENDREPnr bulaaon, i suit, de eu.

enahére, le Jrli 7 novem-btn 1872, midi précis, auTribunal civil de l'oulouse,

lire MAISONSise à Tmdonse, grande rue

NaxareRy 31.Mise à pris : 7,100 fr.

Cet immeuhl. dépend de laencensaion

duMarie de Me.,-

cadre.S'adresses, pour les rensel.

gnements, à M. Saint-Pé,avoué peurs 1 vans, et à MM"Albert, Vigu,aux, Sloiroad etDassim, asmiés ta-te.

(4t 6)

Elu le de M- SAINT PF ,roué,ce seur de M- L;Idvsm e,

rue ilu Vieux-Raisin, 28.

PURGED'HYPOTHÈQUES LÉGALES.

Suivant deux ,spl.ils, enre-

trés, l'un du n mislére dedeumerr, huissier à Toulouse,

en date du quinze octobrecourant, et l'autre de Bangmi,baissier i Lambez, en date dumise du mémo mois, le .sieur

Auguste Tieollise, restaurateur-glacimy domicilié à Toulouse,et la dame Amélie Ilupup,sans profession, épouse assistéedu sil, r L ni' Y I dleur

saifveu ep d A ddiété d 1 ]i M,mnacu sieuru-u nor, pro, r i e i - par osi Igu,t,.AI. d 0 d l'oursin', l r v o l ' ; ac e ,e y rit 0,lric, d ,lé I I nsr

oeal,juge

pp t au Tri lu somme de quatre vingt qua pour extrait conforme,banalde

liomir ra Instaser ire mille Cruels. (417) A. SAIN'1 -PL.de Lombes (fiers), y demen- 1 Sommation est faite en mémérani; 2 à hl. le Procureur temps ana su -nommés, d'u- --- ------de la République prés le 'Cri- voir à prendre, su, l'immeuble m.sims .1, ronones.Naval nie,l de Plumier, I- vendu, telles inscriptions d'fiy-tuner de 'Cou lousq y demea- polhèques légales quo do d,nit, Le Maire de 'l'uulonse Pré.an', lo proeês-verbal dressé savoir la dame Bossaiguet, vient le public quil erra plu

pur le greffier dudit Tribunal, épouse lrourniè, pour la comer- 098e, le undi Il rmvuubrele seize seplernbre dernier, raison de sa dot et de ses ce- Veoohain, à 2 heures du soir

n Val: it le dépè4 l'ait à son prises matrimoniales, et 5l leldnu uni dru .a0es üu Capi solo,g ffe, dirige collatiorn- pivevaeur de In Itépnblig au à Iodjud,eatio Ion Iravaux ànée, en,egia[Iée, d'in acte dans liotérPt de tout I. l'r p I 'h dpublie de reine, au rapport de marées, mineurs an us tel dits, tés rvuird era ér b i sur le coM' Lansuc, notaire à'l'onlo ire, leur dénlar.utt que, Pinots par Iran drGuillnn r:ry

s la date du drus sept, bro eux de ce luire, et le déLi dol Cette uti éprise, pouvantil o'm é

88errr cla somme de 6,,4Gihuit cent soixante d '.e, d,ux mois, à paille de ce jmu , 1s,

lie dI éxfille que le sq I Pire sieur expiré, l'immeuble senil pas r., n'il compris II,dnde 1,531 I Il ,diur petitAugr,te

AlreaundreOvidé Fonr ers sur I:i tète dea agnéretss

,vocal, juge suppléant au franc et libre de toutes hypoTribunal de l'reu,.ere lnatame Ilnegnea légales gnelcongnes;de Lombes (Cela), y droit- t romm toue ceux du ohefédit, et l' de Pluilornètue- d q els fil pourrait éha u

son épouse, demeura L avec ddifs

ts ii tué-ri;maledit terni F é et é que celte notificanon

agissantq

, tant plue l'anlorua- sera rendue publique, confur-lian de son épouse que comme mémeot à la loi, avec dérla-matlre des cas dotaux de suri cation que les précédents pro-époase lesquels , agissant pridtaires de 1'immeuble venduconjoinlementetsolidafrement, égaient : Jet.Pbilippe bnl'oner,

rit consenti veule, en faveur p,epriémire, demeurant dansdudit si r Tivollier et de la la e oe de Leopinasse;dame Non, acquéreurs pur huillaluneDufovea pare,

11,moitié

et uéaomoins solidaires, leur en n,édarioe, demunrantd'une Maison avec cour et à Toulouse ; Jeau-Gervais-Anté-jardiu, à Liais nages porte-l dite Ortric, propriétaire; Cet.u :hère, avec tare, magasin, is-Joseph Ma ie-Aleaandre

galetas, situéeà To rue Oaulouse fim élève de, , comemédecineen bill, m.4orut'aoebastard, numro ozame Marie-l'rançoiseerJoscé-

en retrmle' I. I de la coofronw6tr dulevéant,'nîe e,

r-pdhrne-Adeline

Orlsso, épouselégion d'ho ne , dmnrmlris I rats appartenant à la plie de du sieur Jean Jaleo-Flonoré-

Il a été trouvé dus la journée dem d' 16 en ( CRIES de eh ,Il.prit font. Le é.lum liez M.tlenaès, rue Si Ruine, 51. (3059)

A VENDREVeehines de

huilenu ul.elu marb'e.

pr

S d à M ECI'1GItlt14 voué àa

Bag rem. (30b4)

Mord aux, 15 octobre 1872.

Correspondance particulière du Journalde 7'aulouse.

La a m e sést tu Élu aveu de,t d la baise sut b nt L Ilde fiia ch:i elle était assez a e à

l'uns ci mite du r vile lademande pour l'Angl,.terre. Il use fau-drait pourtant pus v'ezagérer l'impor-lancé de ce mouvement L'Angleterre,

Ig .les yuan triés eaorm d gai risIl de f s 9 d"I p' té,a. hir leu dl t dort1, 1 10 é d nous l

y elques , ma u Cr n'est pan I in.u lafiun de n de buis raillions

d'hue,ut.l,e, qui gai ialisora le ii,, korilin Uun le6 a ruées nnl'étra uger doit }fournir morio. q.inznmillimis d'baclulilres. En 18721873,il fu rdrs envuym un suppléunent dedouce à lmnze milDnus. (I û il y aitainsi do onlme ac,idr»tel donslcauri-55e, test pas,ible: 'car, onstance

iaut des u cillation s, a.st Inroiltcataible, de là a u e baisse illimitée, ily a loin, et le moment In, n semble paston. li'aiileure, les blés u

anglais seoi, lmbilucllameni, n,rup, nyeut jelea dans culaii, n, dé, lui,

les brut lot In is prexasuls.Ainsi, lia lélég amures de Lwidres,

dhtr lundi, u se leout l'os fia n d mtrclié, m

a bondauce réelle de ...I s u.nixe. Las prix dea belles qualités de

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