MON STAGE À BRAND UNION

Rapport de stage

T.B.UMay to July

2012

MON STAGE À BRAND UNION

Rapport de stage

TS2 CVa

Samantha Alexandre

Sommaire

ICIP 1 - 2

Sommaire

P 3 - 4

Remerciements

P 5 - 14

Entreprise

P 15 - 22

La pige d’images

P 45 - 46

Mon expériencepersonnelle

P 23 - 44

Espace Créa

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À Stéphane Ricou et Céline Derosier pour m’avoir autorisé à fureter dans leur entreprise, merci à Vincent et à Raphaël d’avoir été gentils à mon entretien et de m’avoir dit oui  ! Merci à Céline pour ses bons conseils et ses réponses à mes questions incessantes, à Rebecca pour ses astuces de retouches Photoshop et pour son grand rire, à Nicolas pour ses blagues vaseuses bien drôles et pour s’être coupé les cheveux, à David pour

m’avoir fait rougir tout le long du stage, à Sophie pour m’avoir repris sur la rigueur du découpage, j’en avais besoin, pour ses lol-cats et pour ses chaussures Chanel.

Enfin merci à tous de m’avoir tout de suite mise à l’aise par votre spontanéité, de m’avoir donné du travail à faire et des trucs cool par dessus le marché ; j’ai pas-sé un super stage et j’ai appris plein de choses, merci beaucoup pour tout.

Un grand MERCI

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PRÉSENTATIONDE L’ENTREPRISE

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The Brand Union

Ex-Enterprise IG, The Brand Union a officiellement vu le jour en novembre 2007. Ce réseau compte plus de 500 salariés répartis dans 21 bureaux (Chine, Usa, Europe, Égypte, Australie, Inde, etc) et se spécialise dans le conseil en créa-tion ou repositionnement de marques, en corporate et grande consommation.

Ce qui distingue The Brand Union:  • Définition des critères de succès en début de projet • Réflexion étendue au-delà de la catégorie  • Contribution d’experts pour développer des insights pertinents  • La marque et ses clients au cœur du processus  • Attitude « challengeante » vis-à-vis des clients  • Visualisation en temps réel  • Contrôle de faisabilité intégré au processus  • Rapidité entre la génération d’insights et le lancement

SpécificitésLe global branding agency.Ses travaux s’étendent du corporate branding au packaging.

26 rue Notre Damedes Victoires75002 Paris

Équipe multidisciplinaire de plus de 30 personnes, composée de consultants, designers, strategic planner, et dirigée par Stéphane Ricou et Céline Dérosier. SARL filiale du groupe (WWP) qui contient 21 agences en tout.

C’est le 3e groupe mondial de design.

Produits

Valeurs L’expérience enrichit le contenu de la marque. Leur crédo

« Unified not uniform »s’applique à leur vision des marques mais aussi à leur réseau. Le recrutement interne s’applique à trouver des gens différents les uns des autres pour enrichir le travail en équipe. Mme Derosier me dit qu’elle a Londres au téléphone tous les jours. Les agences elles-même se dif-férencient, où Londres travaille plus sur le corporate, Paris se situe dans le sta-tut de laboratoire créatif, et New York est clairement plus une agence de pub.

La SARL est la forme de société la plus répandue en France, elle a pour principale caractéristique de limiter la responsabilité des associés.Le montant du capital social est libre-ment fixé par les associés en fonction de la taille, de l’activité, et des besoins en capitaux de la société. La SARL doit être constituée de 2 associés au minimum et de 100 au maximum.

Alcool, cigarettes, cosmétiques, nourriture et boissons, industries et services, etc.

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Métiers de l’entreprise

Stéphane, dirige et gère la société en tant que Président. Il privilégie l’expres-sion des talents et le croisement des expériences au sein de l’équipe afin de favoriser des groupes de travail experts.La création est au coeur du process en lien direct avec le planning stratégique et le client service.  Stéphane participe à la Stratégie Design des marques et les accompagne dans leur développement. 

C.E.O

Au delà de ses fonctions managériales, Céline dirige l’équipe Project Manage-ment, renforce les recommandations stratégiques, suit l’ensemble des clients et développe l’approche Innovation de l’agence. Céline est diplômée du CELSA.

Managing Director

Raphaël, en qualité de Directeur de Créa-tion, intervient en stratégie et territoires de marques sur des problématiques corporate et packaging. Il est également le spécialiste de l’innovation packaging, en charge des créations lors des Optilabs de l’agence à travers le monde. Diplômé de l’école European Graphic Design à Paris, Raphael Riffé possède quinze années d’expérience dans le domaine de la création.

Vincent est responsable de la direction artistique de projets de consumer bran-ding (alcool, food, santé, cigarettes).  Il gère également des problématiques plus globales d’identité visuelle, de brand territory et de packaging. Vincent collabore de diverses façons avec The Brand Union depuis plus d’une douzaine d’années.

Vanessa est titulaire d’une Maîtrise d’Économie & Gestion, Diplôme d’Études Secondaires Comptable et Financière (DESCF). Elle travaille depuis plus de 10 ans dans le groupe WPP.

C.F.O

CreativeDirector

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Métiers de l’entreprise

En tant que Creative Director, Pierre estresponsable du portefeuille de marques luxe et cosmétique de l’agence. Il intervient également sur les compéti-tions et sur les problématiques liées au marché du tabac. Pierre est diplômé de l’École de Communication Visuelle d’Aix-en-Provence.

Véronique dirige le Département Production composé de plu-sieurs spécialistes techniques. Elle met en place les méthodo-logies et procédures du dépar-tement et est responsable de la coordination externe avec les prestataires. Elle est également en charge de la veille technolo-gique des nouveaux matériaux et techniques de production.

Production Director

Freelance

Graphiste

Nicolas travaille à son compte, il est déclaré à la Maison des Artistes et fait ses factures. Il est là quand on l’appelle si on a besoin de lui et est engagé pour une semaine, un mois, voire un été.

Céline travaille à The Brand Union en tant que créa salariée, à mi-temps parce qu’elle a un bébé. C’est elle qui crée et qui réalise les projets.

ConsultanteHélène est le relais entre le client et le créa, elle se charge de négocier les contrats, de faire parvenir les exigences du clients au graphiste et a une responsabilité opéra-tionnelle et commerciale des missions.

Autres services : Production, Compta, Standard

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People ♥

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LA PIGE16

Ce sont les premiers jours je travaille sur la marque Desperados, une bière que j’appré-cie. Je suis enthousiasmée. Entre autres, TBU doit réaliser un nouveau brand book pour la marque que celle-ci va ensuite utiliser pour orienter les agences de publi-cité dans son univers. Je suis chargée de remplacer les visuels cibles et symboles du brand book de l’an dernier, qui ne sont plus d’actualité.Je dois me mettre à la place de la cible qui pourrait boire cette bière (pas trop dif-ficile), mais aussi imaginer quels visuels les DA de Despé veulent pour symboliser des mots tels que « Liberty », « Daring » ou « Experiment ». Moins évident  ! J’ai une quinzaine de thèmes comme ceux-là à représenter, en anglais bien sûr parce qu’on est trop hypes pour lire les consignes en français. So international, merci maman bilingue. Et quand je pense avoir saisi ce qu’ils veulent, il s’agit de trouver THE bon visuel sur le net.C’est drôle à faire mais ça devient vite fastidieux parce que ces fichus DA ne sont jamais contents, et font des commentaires comme « très beau vi-suel, mais trop mainstream ». D’ac-cord.

Ça m’a quand même beaucoup aidé à développer mon œil et my mind au niveau des images, un seul détail peut tout faire ou éliminer le visuel. J’ai dû m’identifier au client, à la cible, aux DA, et cet affect n’est pas si simple à déployer au début. Je suis contente de mes progrès !

Et maintenant, j’ai un max de sources pour des visuels de gens lookés et cool :

facebook.comthecobrasnake.comstreet-tease.comdesingiskinky.netbassedef.com/blogFubiz.comhohohaha.fr/blogfashionserved.comdeviantart.comhrstudioplus.comweheartit.comcorbis.com

Renouveler les visuels-clé

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Désigner la femme Yves RocherJe dois trouver des photos de femmes actives, dans leur vie quotidienne :en jogging en train de courir, devant un ordinateur, courant après le bus, assise à un café, etc. Ces femmes doivent présen-ter un métissage culturel et des âges : de la jeune femme à la dame d’un certain âge.

Le fond ne doit pas être trop présent et il faut garder le côté «nature» qui montre qu’elles sont susceptibles d’aller acheter à Yves Rocher, contrairement à Sephora ou Yves Saint Laurent plus bling et fashion.

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Éléments iconiques de 3 marques de luxeRebecca dans le cadre du projet Gla-mour a besoin de fiches univers pour les marques Gucci, Chanel et Louis Vuitton. Je trouve des tonnes et des tonnes de visuels pour finalement sélectionner les éléments ci-dessous.

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C’est ici que je passe le plus clair de mon temps. Chacun a son bureau, je migre selon les gens présents et je me suis finalement trouvé un ordi un peu moins grand que les autres, que personne ne

prend et qui est devenu Mon Précieux.

Il contient tous mes fichiers, tous mes trésors, et voici un aperçu des différents projets que j’ai abordé.

ESPACE CRÉA24

Break the rules

Un sujet « trop cool » : créer pour Despé des objets en volume décalés par rapport à leur utilité première, en se ba-sant sur l’idée « Break the rules ». J’aime trop ! J’aime tellement qu’on me recadre en me disant que je fais trop d’innova-tion, et qu’ils veulent aussi des idées de base. En fait c’est pas évident parce que Despé c’est une consommation à la bou-teille, et les rituels de service et de conso ne doivent pas être trop extravagants ou cher pour pouvoir être adaptés à tous les bars partenaires. Je dois réfléchir !Ca commence encore et toujours par une pige STREET, trouver des objets du quotidien, de la rue assez « rough ».

Design d’objet ~ recherche d’éléments de la rue correspondant à l’esprit « Desperados »

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Break the rulesDesign d’objet ~ recherche de détournement de ces objets pour alimenter un univers visuelmail box, cartons, abris-bus, grilles d’aération, métal, brique, seau à pein-ture, gouttières, tags, affiches déchirées, distributeurs de journaux, bricolage, marteaux d’urgence, pavés, bouches d’égoût, d’incendie, bancs publics, panneaux de signalisation, poubelles, feux tricolores, feux pour piétons, jerricans, plots danger, extincteurs... Tous ces éléments à détourner pour créer de nouveaux objets, meubles, décorations amusantes et appartenant à l’univers Street de Desperados.

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O-HO-HO !Voici du Photoshop les amis !J’ai été chargée de faire les surfaces (murs, sols, plafonds) et les téléviseurs. Je ne suis pas peu fière. C’est une maquette d’un stand à venir.

Stand DesperadosLogiciels ~ Aide à la conception graphique d’une hypothèse de stand, thème Break the Rules

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Les rituels de service m’intriguent, je demande et en fait c’est comment on te l’apporte à table dans les établissements et surtout comment ça donne envie aux autres clients, comment ça sert à la visi-bilité du produit.

C’était trop bien ! Très motivant, et le fait de se creuser la tête tous ensemble est grisant, émulateur.

Hiiiiiiii mercredi j’ai un Workshop sur Malibu  ! Bon en fait c’est jeudi. Bon FINALEMENT c’est lundi. Mais c’est super chouette, en plus on me paie le jap’.À l’étranger la pub pour Malibu Red (avec de la tequila) est un clip avec NE-YO, le chanteur de RnB qui, attention, chante une chanson spécialement éditée pour la marque. Le clip, la chanson plus un concours pour gagner une soirée VIP avec le chanteur. La tune qu’il a dû se faire.On m’explique qu’en France, la loi Evain interdit de faire de la pub pour de l’alcool avec une personnalité. L’agence décide donc de s’orienter sur l’univers de la nuit avec du light-painting. Par contre va fal-loir faire gaffe parce que Desperados Red (aussi brandé par TBU) a déjà acheté ce thème, ha ha ! C’est délicat.

Me voilà au Workshop. Dans la salle n°1, celle où on peut manger parce qu’elle est grande, et où ou reçoit les invités impor-tants. Assise, post-it et marqueur à portée de main, j’écoute le brief et la demande pendant que tout le monde mange et fait semblant d’être attentif. On va faire un espèce de brainstorming collectif sur les activations de Malibu en boîte de nuit. Je dois trouver des idées de rituels de consommation et de service en me bat-tant avec mes sushis. Exciting !

Workshop à midiBrainstorming ~ Recherche d’activations en boîte de nuit pour le lancement de Malibu RED

Ca, c’est des photos du Workshop sur des nouveaux concepts de cocktails pour Ricard un peu plus tard, ça m’a bien inspiré! Je me révèle forte pour trou-

ver des bons mots un peu débiles mais qui sonnent bien, genre « Coq-tail  » ou « Ricardise », pour une cible féminine et française, de 20 à 30 ans.

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Ce projet m’a permis de me réconci-lier avec Illustrator, parce que j’ai pris la mauvaise habitude de tout faire sur InDesign, qui n’est pas le plus adapté à la base. Mais bon on m’a forcé, et ça m’a aidé. Je suis assez fière de ma tête d’Hello Kitty et de ses petits accessoires. On n’a gardé que le crayon, la colle et le livre finalement (et la fraiiiise).

J’ai l’impression de ne rien connaître avec ces graphistes. LePage est une marque de colle canadienne presque aussi connue que la marque Patex, mais pas très légitime sur la papeterie. On est chargé de créer les concepts de colle suivants  : glupperboy, gluppergirl (deux petits super héros), et Hello Kitty. Trop cool comme sujet  ! La gamme est à re-faire  : colle en bâton, glue, et gomme fixe. Pour les filles, le stick de colle est rose à paillettes et sent bon  ; pour les garçons bleu à paillettes avec un code secret dans le bouchon pour aller jouer sur internet. Qu’est-ce qu’il faut pas inventer ! Le logo est aussi à créer pour pouvoir aller sur un tee-shirt.

Les super nanas et les mascottes ça va deux minutes, j’attaque le Hello Kitty  ! Trop cute, je sens la partie girly de my mind prendre le dessus.

Rajeunir LePagePackaging ~ Recherche graphique d’adaptation du motif Hello Kitty sur les différents produits

Des trames pique-nique, des pois, des rayures, des étoiles, du rose plus ou moins orangé, du rouge, du vert pour l’objet dans les mains de Kitty, différent pour chaque colle.

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Aujourd’hui je travaille sur une marque de cigarettes russes apparemment très connue sauf en France  : Glamour. C’est une marque pour les filles de 18-25ans, qui fait pas mal d’éditions limitées. Ils ont retenu dans la liste des thèmes proposés par Rebecca ceux-ci  : Animal, Baroque, GraphChic, Jewel, et Mix&Match. Rebec’ me fait faire des modifications Photoshop de couleurs et de textures, je lutte un peu, mais j’apprends pleins de trucs. Bon c’est trop moche ce que je fais mais Nico rajoute sa touche de coolitude dessus donc ça passe.

Premiers essais : Baroque et Mix&Match

Aujourd’hui je dois réaliser un wall pour l’arrière plan d’une interview dans l’agence, parce que Pierre va parler de leur projet sur Glamour qui a été sélec-tionné. En gros j’imprime pleins d’images de mode, je les déchire et je les fixe au mur derrière le canap’ avec des bouts de tissus et des faux croquis. Il faut faire ça vite et bien, le caméraman arrive.

En fait j’ai dû le refaire aujourd’hui pour refaire la vidéo avec Camille à la place, elle-i-plu-joulie hihi.

Édition limitée pour la marque Glamour

Graphique Chic

Make Up_JewelCuir G_Luxe

Fourrure / Cuir_Animal

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SAMANTHAM O I

LE DÉFIJE RELÈVE

Signalétique interneCommunication ~ Utilisation des codes graphiques de l’agence pour rénover sa com interne

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Signalétique interne

On est mercredi, et tout le monde est occupé. Personne n’a besoin d’aide, je suis frustrée. Le directeur vient me voir et gentil comme il est, me donne un os à ronger  : refaire la signalétique interne de TBU.Qu’à cela ne tienne ! Ma com sera top !

Je redessine (sur Illustrator attention) le 1 de la salle n°1, le 2 de la 2e, le « WC » pour les gens qui cherchent les toilettes, et les sigles homme/femme pour ne pas se tromper de porte.

Po-po-poo.

Je commence à faire un truc assez sympa sur des visages de profil stylisés mais on me reprend en me demandant d’utiliser seulement les formes géométriques qui font partie de la com de TBU.

Bon d’accord, c’est pas mes toilettes après tout.

Ci-contre, les numéros des salles de réu-nion et la porte des Prod.

Communication ~ Utilisation des codes graphiques de l’agence pour rénover sa com interne

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Kellogg’s ! Ça je connais. Je dois redessi-ner du riz, de l’orge et du blé pour la pe-tite illu à côté du logo (en haut à droite). Le riz pour Coco Pops, riz+orge+blé pour les céréales K et du maïs pour les corn flakes. Mes céréales Spécial K ont plu, je suis contente  ! Maintenant on doit faire un mixte entre celles de Céline et les miennes. D’ailleurs tant que j’y pense le projet Kellogg’s a été gagné par TBU Paris pour la forme rappelant une bulle de dialogue, donc TBU Londres est rémunéré par Paris pour produire des pistes avec le point de vue anglais, même s’il est plus grand que le parisien. C’est marrant. On s’arrête finalement sur trois pistes : les images photos, les céréales graphiques et la piste solaire.

Illustrer les boîtesde Kellogg’s

Bon après, voilà le travail de maquette que j’ai du faire... ça m’a pris deux jours entier pour tout découper et assembler, pour une bonne cinquantaine de ma-quettes de boîtes Kellogg’s : youpi ! C’est ça aussi d’être stagiaire.

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Le projet des stagiaires !La marque Davidoff sort environ un produit par an, et son prochain parfum se positionne autour du monde du poker : «  Player  » ou «  The Game  ». L’homme Davidoff est sûr de lui, séducteur.Je travaille avec une stagiaire en consul-tance et une autre stagiaire en graphisme. On attend de nous de créer trois extensions pour un concours : « Fresh » (édition limitée Summer, Spring 2014),

BASE

Compétition DavidoffPackaging / Branding ~ Décliner le nouveau parfum « Player » et créer un univers de marque

ICE PLAYER

CHAUD / FROIDDÉGRADÉ

CHAUD / FROIDBLEUTÉ

CHROMÉ

« Summer » (les concepts proposés sont : Rules of seduction, et partenariat gra-phique ou avec une star), et « Intense »

(plus sexuel). On réalise trois boards d’univers de marque et j’attaque finale-ment le packaging.

BLANC

JET SET

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MON EXPÉRIENCE PERSONNELLE

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Ce stage m’a ouvert les yeux sur la rigueur qu’il y a dans la créa tant au niveau des finitions graphiques que des titres de fichiers et rangement de dossier. Dans une entreprise, on ne travaille jamais seul et chacun doit être en mesure de pouvoir retrouver un fichier dans le système sans trop de difficultés. Le graphiste doit s’adapter au système de la boîte, c’est d’ailleurs la première chose qu’on m’a montré quand je suis arrivée sur un ordinateur, comment ranger les fichiers que j’ai modifié.

Le travail en agence est conséquent, les clients sont souvent exigeants et il faut savoir négocier, s’adapter et comprendre le point de vue de la personne en face, ce qui n’est pas forcément évident. Et puis, ce n’est pas comme en cours où l’on

travaille pour soi, pour ses notes. Là, il y a une motivation économique beaucoup plus contraignante (et motivante), qui engendre une fatigue plus importante à mon avis. Je travaillais moins qu’à l’école mais le soir j’étais vidée, après toutes les idées créatives que j’avais du dégager dans la journée. On s’y habitue sûrement.

Je n’aurai rien contre travailler dans une agence, d’autant que mon stage me laisse un très bon souvenir de convivialité, de rires et de travail efficace. J’ai passé deux mois dans une chouette équipe, avec des gens qui tournaient un peu ce qui m’a permis de rencontrer plein de nouvelles personnes intéressantes et intéressées.

Voici mon magnifique Tag qui a inauguré mon talent dans la pièce « Boîte à colle ».

ET VOILÀ