NO 11 / NOVEMBRE 2019 / GRATUITSaint-Thom

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2 │ Le Journal de Saint-Thomas │ NO 11 - Novembre 2019

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Notre vision diocésaine: Proposer ou renouveler

la rencontre personnelle et communautaire

avec le Christ pour former des communautés

de « disciples-missionnnaires » Bienvenue !

N ous sortons tout juste du mois mis- sionnaire extraordinaire, ce mois que le Pape François a voulu comme

un nouveau printemps missionnaire dans l’Église. Nous avons saisi cette opportunité à la paroisse pour revisiter nos compétences missionnaires, notamment avec une série de prédications intitulée : « l’évangélisation pour les nuls ».

Ce que je retiensPersonnellement j’aurai appris au moins 3 choses durant ce mois : 1. Que tous les ans le mois d’octobre est un

mois missionnaire (or ce n’est pas nouveau, cela date du Pape Pie XI qui instaura en octobre 1926 la première journée mission-naire mondiale) ;

2. Que c’est grâce à la petite Thérèse, sainte Thérèse de Lisieux, patronne des missions fêtée le 1er octobre, que l’on a une grâce spéciale d’évangélisation pendant le mois d’octobre ;

3. Que c’est au Canada, dans les missions du Grand Nord au début du xxe siècle que sainte Thérèse a manifesté la puissance de son intercession pour l’évangélisation.

Et concrètement ?Surtout je sors de ce mois missionnaire avec un outil missionnaire qui ne me quitte plus : les petits pains de Parole. Sur une idée de père Martin, j’ai sélectionné une dizaine de ces petites Paroles de Dieu que je conserve

bien en évidence dans mon porte-feuille. Que j’aille à la boulangerie, à l’épicerie ou chez le médecin, je tombe sur mes petits pains (bleus en l’occurrence) qui tombent de mon porte-feuille au moment de régler ma facture. Et c’est l’occasion d’en offrir un à la personne que j’ai de l’autre côté du comptoir en lui disant : « Tenez, j’ai quelque chose à vous offrir ».

La Parole n’a pas de prix !Dernière expérience en date, lorsque je suis allé renouveler ma carte Soleil. La préposée a essayé de m’aider dans ma démarche, mais n’ayant pas apporté le bon formulaire, elle ne pouvait faire le renouvellement et m’a gentiment donné l’adresse d’un autre bureau. Bref je m’étais déplacé pour rien, ce qui en temps normal m’aurait beaucoup agacé. Mais en ramassant mes documents, je suis tombé sur mes pains de la Parole. Je lui en offert un qu’elle a pigé par hasard. Elle m’a dit : « Oui, je connais, j’ai déjà vu ça quand j’étais chez les religieuses... ». Elle a lu la Parole pour elle-même et son visage s’est rempli d’émotion. Je ne sais pas ce que Dieu lui a dit, mais je sais qu’Il l’a tou-chée et qu’il lui a montré qu’elle a du prix à ses yeux.

Père Brice Petitjean

Comité de rédaction : Brice Petitjean, Sarah-Christine Bourihane, Bénédicte RaimbaultSecrétaire de rédaction: Sarah-Christine BourihaneRelecture des textes: Claude GravelPublicité: Claire MercierGraphiste: Bénédicte Raimbault CommunicationPhoto de couverture: Bénédicte Raimbault avec la complicité des servants de messeSa

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Les capsulesdu père Ma�in

Connaissez-vous Jésus ?« Le message chrétien en 7 min »sur www.saintthomasdaquin.qc.ca

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Un temps de prière pour Ahcène dans l’église de Saint-Thomas-d’Aquin, avec ses amis, sa famille et les amis de la famille.J e n’oublierai jamais la messe des

jeunes du 7 avril 2019. Ce jour-là, je n’avais pas le cœur à la louange ;

j’étais surtout dans un état d’angoisse. Depuis 5 jours, mon père était hospitalisé. Je le voyais s’éteindre, à doses de 5-FU, une chimiothérapie censée combattre un can-cer du côlon. C’était un traitement préventif contre les risques de récidive, nous disait-on. Or mon père n’avait pas l’enzyme pour éliminer cette substance. L’élixir promis s’avérait plutôt être un poison pour son corps, car son état se dégradait de jour en jour.Il avait perdu la voix. Son taux de globules blancs et de plaquettes sanguines avait chuté au plus bas. Il devait être nourri par un tube à la gorge. Son visage était rempli de taches brunes. Les yeux boursoufflés, les joues creuses, la mine défaite, la posture affaissée, le moral abattu, il était méconnaissable. Les oncologues entretenaient tout de même un espoir ; il en avait pour 10 jours à endurer cette souffrance innommable. Âgé de seulement 65 ans, joueur de soccer invétéré surpassant les plus jeunes, on le pensait infaillible, même si je pressentais tout de même la fin approcher.

Une autre résurrectionÀ la messe, on lisait ce dimanche-là l’évan-gile de la résurrection de Lazare. Durant toute la célébration, le mot résurrection habitait mon cœur. J’espérais une guérison. D’ailleurs, à la fin de la messe, je disais à tous ceux qui me demandaient des nouvelles que mon père ressusciterait comme Lazare. Un regain de foi avait envahi mon cœur.Aussitôt sortie de l’église, mon téléphone sonne. Ma mère est au bout du fil. Je suis conviée à l’hôpital dès que possible. « -Papa est aux soins intensifs? -Oui, c’est ça. » Dans

l’urgence, je lance un appel général à la prière sur le groupe Facebook des jeunes de Saint-Thomas. Toute la communauté se mobilise généreusement. Avec le recul, je pense que ça m’aura permis de tenir face à

ce qui m’attendait.Arrivée sur place, je constate que mon père n’est pas aux soins inten-sifs. On ne voulait pas m’annoncer le décès au téléphone. Papa est décédé pendant que j’étais à la messe, probablement au moment où je communiais en pensant très fort à lui. Ce fut le choc.Pourtant, contrairement à ce que

j’aurais pu imaginer, ma vie, par la suite, ne s’est pas effondrée.

Grâces pascalesOriginaire de l’Algérie, Ahcène n’était pas baptisé. Mais, je dirais qu’il avait un appel certain à la vie chrétienne. Il avait assisté joyeusement à mon baptême en 2010. Il fréquentait régulièrement le monastère avec moi. Il avait même participé au par-cours Alpha à l’hiver 2018.À sa mort, je ne peux compter le nombre de prières et de messes offertes pour lui. Ce soutien fraternel était à l’image d’un Dieu ouvrant largement son cœur aux hommes de bonne volonté.Pâques arrivait à grands pas, mais je ne m’imaginais pas le moins du monde assis-ter à la vigile pascale. M’exclamer « Le Christ est ressuscité ! » pendant qu’on m’exprime des vœux de sympathie ? J’y suis allée quand même, comme par grâce. À ce moment, j’ai saisi combien, sans

Pâques, mon épreuve perdait son sens. Cette fête était une consolation ultime dans mon drame. Y a-t-il une autre religion dont le Dieu a fait de la mort le salut du genre humain en ressuscitant ? J’étais au bon endroit. Et quand j’ai entendu à ma surprise que la messe était offerte pour mon père, j’ai fondu de reconnaissance. Le soutien de toute une communauté a ren-forcé mon espérance.

La communionDepuis la mort de papa, je me suis rappro-chée du Ciel. La communion des vivants et des morts, que nous soulignons d’une manière particulière à la messe, m’est beaucoup plus tangible. J’ai aujourd’hui la conviction que papa est même peut-être plus proche de moi, en Dieu. Mon père n’est pas mort, mais vivant et heureux. Je ne mesure pas le temps qu’il y a entre le ciel et la terre. Mais je sais que je le reverrai un jour dans un bonheur éternel. D’ici là, ce qui m’unit à lui est la prière, forme d’éternité partagée.Je remercie de tout cœur la paroisse Saint-Thomas pour son soutien dans l’épreuve, tous les paroissiens qui ont prié ainsi que pour l’office célébré en sa mémoire qui fut pour moi une étape importante dans le deuil. C’est dans les moments douloureux qu’on reconnaît davantage l’importance d’appartenir à une communauté. Grâce à vous, mon père montera l’échelle vers le Ciel, c’est ce que je ressens avec foi. n

De la terre au CielTémoignage de Sarah-Christine Bourihane

J’ai saisi combien,

sans Pâques, mon épreuve

perdait son sens. »

4 │ Le Journal de Saint-Thomas │ NO 11 - Novembre 2019

D epuis que j’habite au Québec, j’ai perdu mes trois grands-parents sans pouvoir aller à leur sépulture.

Je n’ai jamais connu mon grand-père maternel décédé à 45 ans d’une leucémie alors qu’il avait 9 enfants en bas âge, mais chaque année ma grand-mère faisait dire une messe pour lui, et ce, pen-dant 56 ans !Ma dernière grand-mère est décé-dée il y a 2 ans après une rupture d’anévrisme. Elle a été enterrée une semaine avant mon retour en France pour des vacances dans ma famille. Je ne sais pourquoi j’ai tant tardé à faire célébrer une messe pour eux, mais c’est au mois d’avril dernier que j’ai fait dire deux messes : l’une pour mes grands- parents paternels et l’autre pour mes grands- parents maternels.

Les grâces inattendues de ces messes offertesDepuis de très longues années j’ai une habi-tude que je n’aime pas, une mauvaise habi-tude. Je pensais que j’en avais hérité de mes ancêtres par mimétisme. C’est pourquoi j’ai toujours cru que je n’y pouvais rien. Je voyais cela un peu comme une fatalité.Le lendemain d’une des messes célébrées pour mes grands-parents, je retourne à la messe. Et là, pour la première fois, je comprends tout à coup la racine de cette mauvaise habitude. Le Seigneur me donne « enfin » une grâce de clairvoyance !Ça a été incroyable pour moi de découvrir cela, surtout le lendemain de la messe pour mes grands-parents. J’étais émue. Je voyais le Ciel communier avec la Terre. Était-ce le signe qu’ils étaient près du Seigneur… ? Peut-être. En tout cas Jésus avait travaillé très fort en moi !

Mais ce n’est pas la seule chose qu’il a faite pour moi ce jour-là. Il semble que quand le Seigneur se manifeste, il vient les bras chargés de cadeaux. Depuis cette messe, Dieu m’a fait la grâce de sentir davantage sa présence, il a fait grandir mon amour pour Lui ou en tout cas, je suis certaine aujourd’hui de l’aimer, parce que je sens en moi cet amour pour

Lui. Cela dure depuis 6 mois maintenant, et très souvent je dis au Seigneur : « C’est incroyable, tu es vraiment vivant ! » mais je me reprends aussitôt, parce que ce n’est pas «incroyable » mais EXTRAORDINAIRE, Jésus est vraiment vivant ! n

Une messe pour mes grands-parentsTémoignage de Bénédicte

Il semble que quand le Seigneur

se manifeste, il vient les bras

chargés de cadeaux. »

Tous

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Comment offrir une messeDeux types de messe au choixMesse à intention particulière : messe annoncée. Elle est uniquement dite à l’inten-tion de la personne pour laquelle la messe est offerte (suivant l’agenda des messes de la paroisse). Offrande) : 15$.Messe à intention commune : la messe est célébrée pour plusieurs intentions (le détail n’est pas noté dans le feuillet). Offrande : La personne donne ce qu’elle veut.

Pour qui peut-on faire dire une messe ?Pour un défunt ou un vivant (pour demander une guérison, pour un malade, un anni-versaire de naissance, de mariage, etc.), mais aussi pour une situation (par ex. la paix dans le monde, pour les vocations, en action de grâce, etc.)

Où s’adresser ?Vous pouvez vous adresser à Rose après les messes du dimanche au kiosque d’accueil (sauf exception) ou à Lise au secrétariat le matin en semaine. Paiement argent ou chèque (à l’ordre de curé de Saint-Thomas en fiducie).

« Offrez à Dieu ce que vous avez de meilleur, le meilleur de votre âme, le meilleur de votre cœur, le meilleur de votre vie, et votre vie toute entière. » (Marthe Robin)

Pourquoi offrir une messe à une intention ?

Demander une messe c’est remettre entre les mains de Jésus les personnes vivantes et défuntes que nous aimons, ainsi que toutes nos intentions. C’est aussi dire à Dieu notre reconnaissance à l’occasion d’un événement, d’une prière exaucée ou d’une grâce obtenue (anniversaire, guérison, conversion…).Chaque messe offerte est une manière d’appliquer la rédemption du Christ à notre situation particulière. Offrir une messe c’est demander au prêtre, et à travers lui, à l’Église tout entière, de prier pour une intention au moment où il célèbre l’eucharistie.

saintthomasdaquin.qc.ca │ 5

Comment était ta vie avant de faire Alpha ?Je venais d’arriver à Québec pour étudier. Côté spirituel, j’étais un peu perdu. Je savais que j’étais catho-lique, car c’était la religion de mon enfance. Mais ma foi était superficielle. Je pratiquais parce que mes parents voulaient que je le fasse. En arrivant ici, j’ai continué à aller à l’église, car j’en ressentais bizar-rement le besoin. Sauf que je ne ressentais rien et je ne compre-nais pas le fond de ce qu’on vivait. Éloigné de ma famille, je vivais une période de questionnements existentiels.

Comment as-tu connu le parcours Alpha ?C’était un dimanche matin du mois de décembre. J’étais en retard à la messe. J’ai donc cherché un autre lieu de célébration pour arriver à l’heure.

J’ai trouvé une messe à l’église Saint-Thomas-d’Aquin. Là, j’ai entendu parler

de la messe des jeunes. Ça m’a interpelé. J’y suis allé le dimanche suivant et là, j’ai entendu parler du parcours Alpha. Les mots « Explorer le sens de la vie » projetés en grand sur l’écran ont attiré mon attention. Je me suis dit que Alpha était fait pour moi vu la période que je traversais.

Qu’est-ce que tu as aimé le plus du parcours ?

Je suis arrivé à Alpha avec beaucoup de questionnements. Lors des premières séances, je remettais en question ma foi et celle des autres. Nos premières discussions m’ont quand même touché énormément. On disait ce qu’on avait sur le cœur. Mine de rien, quand on a ce genre de discussion, ça pousse à créer des liens forts. Au début, je ne connaissais pas les gens, mais rapidement, je suis devenu ami avec ces personnes.

Y a-t-il eu un moment plus significatif ?Pendant la fin de semaine Alpha, une fille de mon groupe a raconté son témoignage et à un moment, elle a dit : « Seigneur, fais ce que tu veux faire de moi.». Quand j’ai entendu ça, ça m’a surpris.Je me suis demandé si j’étais prêt à le dire moi aussi. Je n’ai pas eu la réponse ce soir-là, mais j’ai continué à méditer ces paroles pendant les semaines qui ont suivi. Au fil des rencontres, les personnes de ma table ont remarqué que j’arrêtais de faire mon sceptique. J’avais pris conscience que l’important était de lâcher prise et de

laisser Dieu faire son œuvre, malgré nos questionnements.

Qu’est-ce que Alpha a changé pour toi ?Depuis le parcours Alpha, j’exprime ma foi de moi-même, sans que personne me demande quoi que ce soit. Ça m’a poussé à une recherche d’une plus grande de vérité. Je me suis également impliqué dans l’ani-mation de soirées de prière de Taizé. Et évidemment, je voulais absolument être bénévole pour Alpha avant mon départ de Québec, car Alpha a renouvelé ma foi. n

Une foi superficielle et pourtant...Entrevue avec Jérémie

Infos/contactwww.saintthomasdaquin.qc.caalpha@ saintthomasdaquin.qc.ca

Les personnes de ma table ont remarqué que

j’arrêtais de faire mon sceptique.

»

Alpha

Grâce à Alpha, Jérémie a été renouvelé. Arrivé à Québec avec une foi tiède, il est reparti dans sa région avec une foi vivante.

Vivez l’expérience Alpha !

Le prochain parcours Alpha commence

en janvier

Informationswwwsaintthomasdaquin.qc.ca

(participer aux deux premières soirées ne vous engage pas pour la suite)

C’est quoi Alpha ?Alpha, c’est une série de séances interac-tives où l’on explore les bases de la foi chrétienne. Lors de chaque rencontre, on examine une question différente et on échange sur celle-ci. Il n’y a pas de pres-sion, c’est sans engagement et c’est gra-tuit. C’est simplement un espace ouvert, informel, honnête, où on peut explorer les grandes questions de la vie, ensemble.

En écrivant ce témoignage, il me vient à l’esprit ce verset de la bible : « Dieu aime qui donne avec joie. » Croyez-

moi, c’est vrai ! Je n’ai pas toujours été une femme prompte à donner. J’aimais mieux recevoir que donner en retour. Lorsque j’étais encore aux études au Sénégal, une amie évangéliste m’a demandé si je soutenais financièrement l’œuvre de Dieu. Évidemment, comme étudiante, pour moi, cela allait de soi que non ! Alors, elle m’a dit : « Nul n’est trop pauvre pour ne rien donner. Ne t’attends pas à récolter si tu ne sèmes rien. » J’ai alors décidé de poser un acte de foi. J’ai commencé à partager ma maigre bourse mensuelle ̶ l’équivalent de 72 $ CA ̶pour soutenir les œuvres de ma paroisse au Sénégal. Deux ans après, j’ai

reçu une bourse de 75 000 $ pour venir étudier à l’Université Laval.Quand je suis devenue enceinte de mon fils Gabriel, la Providence du Seigneur ne nous a jamais lâchés. Le Seigneur a mis sur notre route des anges gardiens qui ont veillé sur nous comme ce monsieur François que nous avons connu dans un parc et qui pen-dant 3 ans a été comme un grand-papa pour le petit. Il lui a payé la garderie le temps que je finisse mon examen de doc-torat à raison de 40 $ par jour pendant 3 mois. Une fois l’examen terminé, il nous a même offert des vacances en France pour que nous allions nous reposer !Je me souviens de la fois où le père Alexandre avait sollicité les paroissiens pour financer la location du site du Lac-Bouchette pour une fin de semaine jeune.

Je me suis sentie inspirée de faire un chèque de 100 $. Le père Alexandre m’a dit qu’il ne voulait pas priver « la veuve et l’orphelin ». Mais j’ai insisté, je sentais qu’il était de mon devoir de le faire. Quelques semaines après, je devenais résidente per-manente du Canada. Il me fallait changer mon statut au niveau des institutions. À la Régie des rentes, l’employé a réalisé que cela faisait au moins 16 mois que je ne rece-vais plus de prestation pour mon enfant. Croyez-le ou non, deux semaines plus tard, je recevais 4100 $ dans mon compte. Je ne pus m’empêcher de penser que les 100 $ investis pour les jeunes m’étaient revenus 41 fois ! Merci Seigneur ! Comme le dit ce proverbe africain : « Quand on donne au pauvre, on prête à Dieu. ».

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Chers amis,

Nous sommes heureux

de vous annoncer la naissance

de notre petite Clara!

Nous n’oublions pas que c’est

à Saint-Thomas que nous nous

sommes rencontrés et mariés

Joël et moi.

Merci pour tout ce que la paroisse

nous a apporté. À notre tour, nous

essayons de redonner da

ns notre

nouvelle paroisse de Baie-Comeau

ce que nous avons reçu à Saint-

Thomas.

Nous vous embrassons !

Marie-Chantal et Joël

Paroisse Saint-Thomas-d’Aquin

2125 Rue Louis-Jolliet

Québec (Québec) G1V 2B7

Soutenez la mission au Québec...Faites un don à la paroisse Saint-Thomas-d’Aquin !

Donner... et le Seigneur pourvoit toujoursTémoignage de Marie-Louise

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ça va

plus vite!

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PAROISSE SAINT-THOMAS-D

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CONFESSIONS Dimanche 10 h et 18 h / Mardi et jeudi 17h45«Laissez-vous réconcilier avec Dieu» (2 Co, 5, 20)

Messe des jeunesAnimée par les jeunes de la paroisse et la communauté de l’Emmanuel

19 hchaque dimanche

Une ambiance

dynamique,joyeuseet priante!

17-35ans

Messe de l’auroreLes jeudis de l’Avent à 6 h 30

Suivie d’un déjeuner

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Messe des familles

10 h 30chaque dimanche

Garderie pour les 0-3 ans

Liturgie adaptée

pour les 3-5 ans

et les 6-8 ans

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Ne manquez aucune information importante...

Lundi et vendredi : 9hHORAIRE DES MESSES D’ÉTÉ EN SEMAINE

PAS D’EXPOSITION DU SAINT-SACREMENT DANS L’ÉGLISE EN SEMAINEADORATION POSSIBLE À LA CHAPELLE

Mardi et jeudi : 17h15

Messe en l’honneur de MarieTous les premiers samedis du mois

Église Saint-Thomas-d’Aquin8h30 Chapelet / 9h Messe

Adoration

Information : pierrette.blais@saintthomasdaquin.qc.ca

Tous les jourschapelle accessible de 7 h à 19 h«Les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et vérité :

tels sont les adorateurs que recherche le Père.» (Jn 4, 22)

À l’ag

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Stéphane Thomassin

815, ave.Myrand, Ste-Foy (QC)

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LA GIGNOLÉE Nous recrutons des bénévoles pour passer la Gignolée (de 11 h 30 à 16 h). Contact : 418 688-6503 ou par courriel à svp.scg@gmail.com»

1erdécembre

Les prêtresP. Brice Petitjean, curé cure@saintthomasdaquin.qc.ca

P. Alexandre Julien, vicaire ajulien777@hotmail.com

Autres contactsEddy Alain, Directeur administratif, eddy.alain@saintthomasdaquin.qc.ca

Lise Allaire, Soutien administratif/Accueil paroisse@saintthomasdaquin.qc.ca

Rose Barrett, Coordonnatrice de l’expérience dominicale rose.barrett@saintthomasdaquin.qc.ca

Manon Lirette, Technicienne comptable comptabilite@saintthomasdaquin.qc.ca

Roland Lemire, Président de l’assemblée de Fabrique rlemire46@yahoo.ca

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emmanuelquebec@ saintthomasdaquin.qc.ca

Une paroisse animée par la

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Secrétariat Le matin du lundi au vendredi de 9 h 30 à 12 h 30 Fermé l’après-midi2125, rue Louis-Jolliet, Québec, QC G1V 2B7

418 681-0655 paroisse@saintthomasdaquin.qc.ca

Paroisse Saint-Thomas-d’Aquin

Parcours Alpha alpha@saintthomasdaquin.qc.ca

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Messes du dimancheSamedi 16 h 30Dimanche 10 h 30 et 19 h

Messes de semaineLundi, mercredi, jeudi et vendredi : 9 hMardi et jeudi : 17 h 15Chaque 1er samedi du mois : 9 h

ConfessionsMardi et jeudi : 17 h 45 Dimanche : 10 h et 18 h

AdorationDimanche : 18 h à 19 hMercredi, jeudi et vendredi : 8 h à 9 h Mardi et jeudi : 18 h à 19 hEn tout temps à la chapelle Notre-Dame de Guadalupe (sauf pendant les messes)

LouangeMercredi, jeudi et vendredi : 7 h 30 à 8 h