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Camp ATTILA

Patrimoine

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Dans ce numéro :

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R E N A U V I D E O R E P O R T A G E S

Septembre 2016

Dépôt Légal

Oct. 2003

ISSN: 1763-8224 Imprimé par: RENAU à SUIPPES

Pol LORIN (un adieu ou un au revoir ?)

* Pol, que te dire, que je ne t’ai pas déjà dit lors de ta maladie. Que j’ai appré-cié nos conversations et nos SMS, car tu a su me remonter le moral quand j’en avais besoin, j’espère que j’ai pu faire de même pour toi. * Là ou tu es maintenant, réserve moi une place auprès de toi car j’appré-cierais d’être à tes cotés pour l’éternité. * Mon amitié pour toi a été sans borne. Jean Philippe

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Journées du Patrimoine « Camp d’ATTILA »

Présentation par Sylvain DUTHOIT (président de l’A.C.A.)

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POKER (Nouvelle Association)

Président : SIMON Franck Trésorière : SIMON Véronique

Secrétaire : COSTES Christophe

Pendant ces parties

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Aidons . . . .

* Nous nous demandons, comment aider les personnes accro à l’alcool, aux mé-docs, aux drogues etc. et le gouvernement investit dans de nombreux projets dont le dernier en date et de créer un lieu de « shoot ». * L’on s’aperçoit que chaque projet n’ai pas mis en œuvre pour arrêter la drogue, mais de subvenir aux besoins des drogués, en cela, c’est un plus, car s’ils ont à dis-position le produit, ils ne devraient plus ce procurer l’argent pour l’acheter, donc plus de vol et plus de traumatisme pour ceux qui ont subit ces vols. * Ce qui m’étonne c’est que l’on ne nous ai jamais parlé d’autres méthodes qui apparemment fonctionnent de puis des années. * Je vais vous éclairer sur cette association :

* Vous connaissez les ravages de la drogue: les trafics, la délinquance et toutes les violences qui en découlent. Il existe une méthode radicale pour traiter les toxico-manes et empêcher la rechute dans deux cas sur trois. * C’est la méthode utilisée en France par l’association EDVO, fondée par un an-cien policier chargé des affaires de stupéfiants qui a constaté l’inefficacité des mé-thodes employées par la justice pour lutter contre la drogue. * Vous savez, c’est toute la difficulté avec une addiction. Que ce soit la drogue, la cigarette ou les mauvaises habitudes, ce n’est pas arrêter une fois qui est difficile, mais c’est arrêter définitivement.

Il existe donc une méthode qui fonctionne pour de bon dans deux cas sur trois.

* Cela peut vous paraître peu, mais ce chiffre est tout bonnement ahurissant. Au-cune autre méthode ne peut se targuer d’avoir d’aussi bons résultats et notamment les salles de shoot, qui ne lui arrivent pas à la cheville.

Comment font-ils ?

* Ils utilisent le modèle Minnesota. C’est un modèle thérapeutique. Les toxico-manes sont considérés comme des malades et comme des malades, ils doivent être soignés. * Cette méthode encadre vraiment le malade. La prise en charge est globale. Elle comprend le thérapeutique, le social, la gestion des émotions, la réinsertion so-ciale et professionnelle. * Surtout, tout se fonde sur un mot aujourd’hui tabou en France : l’abstinence. Mais au diable le tabou ! La méthode marche, et c’est ce qui compte.

Hélas, vous n’en avez probablement jamais entendu parler.

* Les spécialistes connaissent pourtant bien le modèle Minnesota : c’est la mé-thode la plus employée en Amérique du Nord. * De plus, l’association EDVO n’en est pas à son premier coup d’essai. * En effet, depuis 1987, ils soignent les toxicomanes avec succès… et avec un budget dérisoire.

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. . . . E . D . V . O . !

* C’est bien simple : l’association ne dépense que 28 euros par jour par patient … dont les deux tiers sont autofinancés par les activités du centre. * En France, on lui préfère des méthodes plus « douces », comme les médica-ments de substitution ou les salles de shoot. * C’est une hypocrisie, car ces pseudo-solutions ne font que déplacer le pro-blème: les toxicomanes continuent à se droguer dans « de meilleures conditions ». * Ils sont au chaud, encadrés par des équipes médicales s’ils font une overdose (!) et auront même peut-être le droit à une petite collation.

Les anciens drogués vous le diront : c’est vicieux…

* Car les salles de shoot ne remettent jamais en question la consommation de drogue: ils l’encouragent ! * Au contraire, le modèle Minnesota se consacre à sortir les toxicomanes de leur dépendance et à le sevrer une fois pour toutes.

Les succès sont là. Sauf qu’il y a un gros problème.

* Le 28 août 2016, le principal centre d’EDVO a été incendié.

* Le journal Le Parisien raconte : « Il ne reste plus rien des quinze chambres de la partie ancienne du foyer de réinsertion (EDVO) de toxicomanes et alcooliques à Montmagny », dans le Val d’Oise. « Le début d’incendie a été maîtrisé. Mais une heure plus tard, le feu qui avait continué de couver a repris de plus belle à l’étage sous le toit au niveau des chambres. » Les assurances rembourseront probablement les dégâts… dans 6 mois, lorsque les travaux de remise en état seront terminés. Mais vous le comprenez : les pensionnaires ne peuvent pas attendre 6 mois en suspension. Plus que des mois d’efforts de thérapie, ce sont des vies humaines qui risquent de partir en fumée.

La situation est simple : * 26 personnes risquent de se retrouver à la rue. * Des gens qui étaient sur le point de sortir de la drogue vont retrouver l’enfer de la rue. Qui ont fait l’effort de vouloir sortir de la dépendance. Qui ont tout donné pour rompre les ponts avec le passé.

Ils risquent de se retrouver seuls.

* Je n’ose pas imaginer les conséquences. Ce n’est pas juste. * Il n’y a plus qu’un seul espoir : vous et moi. * Dans nos bureaux, j’ai proposé à chacun de faire un don selon ses moyens.

Qu’en est-il de vous ?

* Acceptez-vous de vous joindre à moi et d’aider EDVO ? * Il vous suffit de faire un don à la hauteur de vos moyens.

Par avance, je vous remercie de tout mon cœur pour votre action.

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Le droit à l’information a été respecté !

* Au démarrage de ce conseil municipal de septembre 2016, monsieur le maire suggère pour un des sujets à traité de mettre un huis clos, en précisant que cela relève de la sécurité, puis il lance les autres sujets. * Monsieur le maire re-suggère le huis clos sur le sujet sensible dit il « (je le cite mot pour mot) : Je précise que Suippes, vous avez dans le conseil municipal, vous avez une délibération qui concerne l’avis sur le plan de prévention des risques de la commune de Suippes, concernant le dépôt chimique, on l’avais mis en consultation à la mairie. S’il y en a qui veulent des questions, il faudra me le dire, pour des ques-tions plus précises, des questions pour vous répondre « puisqu’on a une caméra, parce qu’on a la presse » je dirais qu’on le passera en huis clos pour répondre à des questions plus précises. Il faut savoir qu’en même que l’on ai en période Vigipi-rate, plan machin ou il y a des renseignements qui ne doivent pas circuler plus que certains endroits …trop long….. Si vous voulez que l’on fasse un huis clos et bien vous me le direz et on fera un huis clos, mais bon s’il y en a qui veulent en attendant le lire (il montre un dossier) il y a quatre copies, je peux vous le faire lire. * Ces obus seront après avoir été vidé, transporté de Suippes à Mailly le Camp ou une usine « SECOIA » finira la destruction des obus. * Monsieur le maire précise, (je le cite mot pour mot) : un petit village qui a flairé le coup, ils ont construit là-bas (monsieur Collart (conseiller) le reprends sur « a flai-ré le coup »), il reprécise (je le cite mot pour mot) : flairé le coup financièrement par ce que la commune s’en ai sortie, moi je l’ai visité la commune, avec uns salle des fêtes neuve, une école neuve, y a pas d’élèves dedans ...trop long… (je vais m’ar-rêter là, vous pourrez voir le conseil dans son intégralité sur le site « www.tv-suippes.fr »). Mon analyse : La démocratie a été préservée, car aucun des élus présent n’a suivit monsieur le maire sur la mise en place d’un huis clos. * « Je les en remercie au nom de la Démocratie, mais pour preuve que le Huis Clos n’avait pas lieu d’être mis en place : les élus ont traité ce dossier en ne divulguant aucun éléments susceptibles d’aider les terroristes ». * Monsieur le maire a-t-il le droit de vouloir mettre un huis clos, empêchant ainsi la population de connaitre la réalité du sujet traité « et qui plus est sur notre sécuri-té », car même si le compte rendu doit être le plus près de la réalité de ce qui a été évoqué en conseil municipal, rappelons que je film les conseils et que seul les images et le son enregistré seront toujours plus crédible que le résumé qu’il en au-rait été fait par les élus..

Je rappel que j’avais traité le sujet sur ce « C4 » avec un spécial OBUS CHIMIQUES

dans le journal spécial N°01 du 15 juillet 2012 (encore visible sur www.tv-suippes.fr)

et repris un article de l’Union dans le journal N°34 de juillet 2016.

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Courses du 11 Novembre 2016 !

R E N A U V I D E O

REPORTAGES

N°9 rue V. Hugo 51600 SUIPPES

Téléphone : 09 71 26 05 82 Portable : 06 73 24 00 48

Courriel : tv_suippase@orange.fr

Correctrice : Laury

Directeur : Jean Philippe

Ce journal peut être commandé au 06.73.24.00.48. au prix de 1 euro.

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En application de la loi du 11 mars 1957 (art. 41) et du code de la propriété intellectuelle du 1er juillet 1992, toute reproduction partielle ou totale est strictement interdite sans autorisation du propriétaire du journal

©copyright

Reporter : …………..

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mettre de visiter un site intéressant, avec lors d’événements importants (fêtes des moissons) la mise en scène en costume et accessoires sur le site de la vie des gens de cette époque.

* Les bénévoles de cette association passent du temps tout au long de l’année (nettoyage, désherbage, éla-gage, etc. ) pour vous per-