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Plus que jamais, l’énergie est au cœur des débats.
Au-delà des enjeux économiques et environnementaux, les politiques énergétiques nationales, autrefois domaine réservé de quelques experts, sont devenues de véritables choix de société.
Nous devons passer d’un monde de profusion à la sobriété énergétique mais, dans ce contexte, le gaz naturel joue un rôle crucial méconnu du grand public.
Gas in Focus a pour ambition de mettre en lumière la place du gaz naturel dans cette période de transition, en donnant à tous l’accès à une information consolidée, pédagogique et fiable.
Fort de l’expertise de ses fondateurs, GRTgaz et Sia Partners, cet observatoire du gaz naturel se positionne comme le guide de référence du secteur. Il s’articule autour de cinq pôles d’information : Infrastructures, Usages, Environnement, Marchés et Approvisionnement.
Retrouvez tout le contenu de ce mémento avec des données mises à jour régulièrement, ainsi que des focus sur chacun des pôles d’information, des notes de conjoncture et des analyses ponctuelles de l’actualité sur www.gasinfocus.com.
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Plus que jamais, l’énergie est au cœur des débats.
Au-delà des enjeux économiques et environnementaux, les politiques énergétiques nationales, autrefois domaine réservé de quelques experts, sont devenues de véritables choix de société.
Nous devons passer d’un monde de profusion à la sobriété énergétique mais, dans ce contexte, le gaz naturel joue un rôle crucial méconnu du grand public.
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Plus que jamais, l’énergie est au cœur des débats.
Au-delà des enjeux économiques et environnementaux, les politiques énergétiques nationales, autrefois domaine réservé de quelques experts, sont devenues de véritables choix de société.
Nous devons passer d’un monde de profusion à la sobriété énergétique mais, dans ce contexte, le gaz naturel joue un rôle crucial méconnu du grand public.
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Les grandes infrastructures gazières en France 6
Les gestionnaires de réseau de distribution de gaz naturel en France 7
Les transporteurs gaziers en Europe 8
Programmes d’investissement des GRT en France 9
Les stockages souterrains de gaz naturel en Europe 10
Les terminaux méthaniers existants et en projet en Europe 11
Evolution de la flotte mondiale des méthaniers 12
Répartition de la consommation d’énergie primaire en France 13
Part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie en Europe 14
Consommation énergétique finale par secteur en France 15
Production centralisée d’électricité à partir du gaz naturel 16
Répartition de la consommation de gaz naturel en France 17
Energies utilisées pour le chauffage par type de logement 18
Saisonnalité de la consommation de gaz naturel en France 19
Prévisions d’évolution de la consommation annuelle de gaz naturel 20
Prévisions d’évolution de la pointe de consommation de gaz naturel 21
Scénarios d’évolution de la consommation annuelle de gaz en France 22
Filières de production de biogaz en Europe 23
Evolution de la production de biogaz en France 24
Contenu carbone des combustibles courants 25
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Sommaire
Véhicules et stations GNV en Europe 26
Evolution des normes anti-pollution applicables aux poids
lourds et positionnement du GNV 27
Composition du gaz naturel consommé en Europe 28
Evolution de la consommation de gaz naturel en fonction du nombre de sites résidentiels en France 29
Marchés Comparaison des prix du gaz pour les consommateurs
européens 30
Evolution des prix domestique du gaz et de l’électricité 31
Evolution des prix du gaz naturel sur les principales zones de marché 32
Corrélation entre les cours du gaz et les cours des produits pétroliers 33
Ouverture des marchés du gaz et de l’électricité en France 34
Taux d’ouverture du marché du gaz en Europe 35
Volumes échangés sur les places de marchés européennes 36
Evolution de l’activité aux Points d’Echange de Gaz sur le réseau de GRTgaz 37
Approvisionnement Importations brutes en gaz naturel en Europe 38
Indépendance énergétique en gaz naturel en Europe 39
Origine du gaz naturel consommé en France 40
Principales importations de gaz naturel de l’UE 41
Evolution de l’origine du gaz fourni à l’UE28 2014 vs. 2013 42
Prévision des capacités d’approvisionnement de l’Europe à horizon 2025 43
Evolution des réserves de gaz naturel conventionnel 44
Réserves mondiales de gaz naturel 45
Historique de la production mondiale de gaz naturel 46
6
Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte localise les principaux Gestionnaires de Réseau de Distribution (GRD) de gaz naturel en France, avec pour chacun la longueur du réseau concédé. Pour des considérations de lisibilité, la taille du disque de GrDF n’est pas proportionnelle à la longueur de son réseau (195 000 km pour environ 9 515 communes desservies).
La loi du 8 avril 1946 qui a organisé la nationalisation du secteur de l'énergie a maintenu les droits des communes en matière de distribution publique de l’électricité et du gaz. Ainsi, si les sociétés privées ont été nationalisées, certaines entreprises publiques locales ont pu poursuivre leur activité.
On compte aujourd’hui environ 600 communes en France qui confient la gestion de leur réseau de distribution de gaz naturel à une entreprise locale, dans le cadre d’une délégation de service public. Les GRD sont des entreprises régulées.
SPEGNN, gtg2007 (2015)
7
Cette carte localise les principaux Gestionnaires de Réseau de Distribution (GRD) de gaz naturel en France, avec pour chacun la longueur du réseau concédé. Pour des considérations de lisibilité, la taille du disque de GrDF n’est pas proportionnelle à la longueur de son réseau (195 000 km pour environ 9 515 communes desservies).
La loi du 8 avril 1946 qui a organisé la nationalisation du secteur de l'énergie a maintenu les droits des communes en matière de distribution publique de l’électricité et du gaz. Ainsi, si les sociétés privées ont été nationalisées, certaines entreprises publiques locales ont pu poursuivre leur activité.
On compte aujourd’hui environ 600 communes en France qui confient la gestion de leur réseau de distribution de gaz naturel à une entreprise locale, dans le cadre d’une délégation de service public. Les GRD sont des entreprises régulées.
SPEGNN, gtg2007 (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte positionne les Gestionnaires de Réseau de Transport (GRT) européens.
L’Europe compte aujourd’hui une quarantaine de GRT, qui gèrent environ 200 000 kilomètres de réseau. Ces entreprises sont essentiellement implantées sur leur périmètre géographique historique. Les tailles des réseaux sont très variables car elles sont directement corrélées à la taille des pays dans lesquels les GRT exercent leur activité.
Les GRT sont des entreprises régulées qui construisent et exploitent les gazoducs, et commercialisent les capacités de transport sur leur réseau.
ENTSOG (2015)
FGSZ
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
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GRTgaz, TIGF (2015)
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CRE (2015)
Ce graphique présente l’évolution des investissements réalisés et à venir des deux transporteurs de gaz naturel en France.
A partir de 2006, les investissements sur les réseaux de transport de gaz ont augmenté pour permettre l’émergence d’une place de marché liquide interconnecté avec le marché européen et pour mettre en conformité les ouvrages avec la réglementation, notamment en matière de sécurité.
En 2015, les montants investis sont principalement alloués au développement du réseau principal, au renforcement de la sécurité physique des installations et au renouvellement des actifs obsolescents.
Tous ces investissements sont soumis à validation de la Commission de Régulation de l’Energie. Les GRT publient annuellement leur plan d’investissement décennal.
52 154 176
77 91 84 121 129,5 103 132 82
245
372
600
658 554 524
666
818
663 671
582
M€
100 M€
200 M€
300 M€
400 M€
500 M€
600 M€
700 M€
800 M€
900 M€
1000 M€
2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016*
GRTgaz TIGF *Trajectoire budgetaire
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
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GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte présente les volumes utiles des stockages souterrains en million de m3 par type de stockage et le nombre de stockages dans chaque pays d’Europe.
Le volume utile total en Europe est aujourd’hui de l’ordre de 146 milliards de m3, dont 108 milliards de m3 dans l’UE28. Les capacités mondiales de stockage sont actuellement estimées à un peu plus de 360 milliards de m3.
La France, l’Allemagne et l’Italie détiennent environ 1/3 de leur demande annuelle sous forme de stocks. Ces pays font du stockage du gaz naturel un maillon logistique incontournable pour assurer l’équilibre offre/demande.
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GSE (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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GIIGNL,GLE (2015)
Cette carte situe les installations de regazéification de gaz naturel en fonctionnement et en projet en Europe. Les terminaux méthaniers indiqués ici en projet sont ceux pour lesquels la décision d’investissement a été réalisée.
Les capacités de regazéification de GNL en Europe représentent environ 20% des capacités mondiales, proche des Etats-Unis (18%) mais derrière le Japon (28%). La mise en service de 25 milliards de m3 de capacité annuelle d’émission supplémentaire d’ici 2016, portera la capacité totale de l’Europe à 221 milliards de m3. Ceci permettra de compenser la baisse de la production domestique et de diversifier les sources d’approvisionnement.
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La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
6
Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
12
Ces graphiques illustrent la flotte mondiale des méthaniers : les mises en services annuelles, le total de la flotte mondiale et la capacité moyenne.
Les mises en services de nouveaux méthaniers repartent nettement à la hausse avec 47 nouveaux navires ces 2 dernières années. En parallèle, la capacité moyenne des méthaniers ne cesse d’augmenter pour atteindre 161 000 m3 en 2014. L’engouement pour les gros navires se confirme si on en juge par les commandes enregistrées en 2014 : 80% des méthaniers commandés auront une capacité supérieure à 170 000 m3.
IGU - WORLD LNG REPORT (2015)
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Capacité moyenne des méthaniers
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
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Cette carte situe les grandes infrastructures gazières en France (transport, stockages et terminaux méthaniers), ainsi que les principaux points d’interconnexion avec les pays frontaliers.
La France ne dispose plus de ressource significative en gaz naturel sur son territoire. Le gaz naturel consommé est importé par gazoducs (84%) via les points d’interconnexion (Norvège, Russie, Pays-Bas…) et par bateau (16%) via les terminaux méthaniers (Algérie, Qatar…).
Une quinzaine de sites de stockage souterrain permettent d’assurer l’équilibre entre les approvisionnements, relativement constants sur toute l’année, et les niveaux de consommation qui varient suivant les saisons.
GRTgaz, TIGF (2015)
13
SOeS - Bilan énergétique de la France pour 2014 (2015)
Ce graphique représente l’évolution des consommations d’énergie primaire en France par type d’énergie. L’énergie primaire exprime le contenu énergétique de la ressource prélevée dans la nature (le minerai fissile pour l’électricité nucléaire, le gaz naturel, le charbon, etc.).
Le mix des sources d’énergies primaires a relativement peu évolué lors des 20 dernières années, si ce n’est une diminution notable de la contribution du charbon. Depuis quelques année, on peut également noter le renforcement des énergies renouvelables qui vient compléter la ressource hydraulique traditionnellement utilisée.
* Hydraulique hors pompage
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3,8% Bois-énergie
Hydrauliquerenouvelable
Biocarburants
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Charbon Pétrole Gaz Renouvelable Electricité*
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* Production nucléaire et hydraulique par pompage
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Ce graphique représente la répartition en 2014 des différentes sources d’énergie dans la consommation d’énergie finale en France, globalement et pour chacun des secteurs des Transports, de l’Industrie et du Résidentiel-Tertiaire.
L’usage du gaz naturel est prépondérant devant l’électricité dans l’industrie et le résidentiel, à l’exception du secteur tertiaire où il figure en seconde position après l’électricité (en raison des usages spécifiques dont la climatisation). Dans l’industrie, le gaz est principalement utilisé pour produire de la chaleur de process. Il est également utilisé en matière première pour l’industrie chimique (engrais, raffinage).
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SOeS - Bilan énergétique de la France pour 2014 (2015)
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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GRTgaz (2015)
Cette carte localise les sites de production d’électricité centralisée à partir de gaz naturel en fonctionnement et en projet, en France au 1er juillet 2015. Les centrales indiquées en projet sont celles pour lesquelles un contrat de raccordement a été signé avec un GRT.
En 2015, la puissance électrique du parc français de centrales fonctionnant au gaz naturel est de 6,1 GW. En 2012-2013, en France comme dans le reste de l’Europe, des centrales ont été mises sous cocon sous l’effet combiné de plusieurs facteurs (prix du charbon, du CO2, du gaz naturel, de l’électricité et demande d’électricité atone). Depuis fin 2014, une grande partie des centrales mises à l’arrêt ont repris la production.
Montoir (435 MWe)
Genevilliers (210 MWe)
DK6 - Dunkerque (790 MWe)
Pont sur Sambre (412 MWe)
Bouchain (510MWe)
Montereau (370 MWe)
Saint -Avold (860 MWe)
Blénod (430 MWe)
Toul (413 MWe)
Bayet (410 MWe)
Cycofos – Fos sur Mer (480 MWe)
Combigolfe – Fos sur Mer (425 MWe)
Landivisiau (422 MWe)
Martigues (2x465 MWe)
Centrales en service ou mises sous cocon
Centrales en construction ou en essai
Centrales en projet
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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GRTgaz (2015)
Ce graphique représente la répartition de la consommation de gaz naturel par typologie de clients sur la zone GRTgaz.
Pour l’année 2014, la consommation des clients industriels est répartie suivant leur secteur d’activité économique.
Les distributions publiques, qui alimentent les particuliers, des PME et des industriels de taille moyenne, représentent environ 2/3 de la consommation de gaz naturel.
Certains industriels, gros consommateurs de gaz naturel, sont raccordés directement aux réseau de transport. Il existe en France plus de 1 000 sites de ce type, qui représentent 1/3 de la consommation totale.
NB : Le transport du gaz naturel en France est opéré par deux transporteurs distincts ayant chacun leurs zones : GRTgaz et TIGF. En 2014, 93 % des consommations se sont situées sur le réseau GRTgaz, 7% sur celui de TIGF.
3,1
56,3
24,3
19,4
12,6
7,1
14,9 Verre - Matériaux non métalliques Papier
Métallurgie
Industries Agro-Alimentaires
Electricité - Chauffage urbain
Chimie - Pétrole
Autres
Automobile - Pneumatique
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450
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2 005 2 006 2 007 2 008 2 009 2 010 2 011 2 012 2 013 2014
Production d'électricité centralisée
Clients industriels transport
Distribution publique
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Pays-Bas
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Finlande
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Pays-Bas
Hongrie
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18
INSEE, SOeS (2014)
Ces graphiques présentent la répartition des énergies de chauffage par type de logement en France.
Les parts du gaz et de l’électricité sont progressivement de plus en plus importantes, alors que l’usage du fuel et du charbon-bois est en repli régulier. Le gaz naturel est prépondérant pour le chauffage des logements collectifs. Dans la plupart des logements, le gaz naturel est également utilisé pour la production d’eau chaude sanitaire et pour la cuisson.
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Electricité
GPL
Gaz
Fuel
Charbon-bois
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34%
3%
36%
0
2 000
4 000
6 000
8 000
10 000
12 000
Autres
Electricité
GPL
Gaz
Fuel
Charbon-bois
Urbain
9%
56%
33%
14
Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Pays-Bas
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Pays-Bas
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GRTgaz (2015)
Ces graphiques représentent d’une part l’évolution de la température moyenne pondérée par les consommations (observées sur la zone GRTgaz), et d’autre part l’évolution de la consommation des distributions publiques et des clients industriels directement raccordés au réseau de transport de GRTgaz.
La confrontation des graphiques de températures et de ceux des consommations indique un effet climatique direct et prépondérant dans les fluctuations saisonnières des consommations de gaz naturel. Il faut également noter les effets du ralentissement de l’activité industrielle pendant la période estivale.
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50
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Clients industriels transport (TWh)
Température moyenne observée (°C)
Distributions Publiques (TWh)
Température moyenne de référence (°C)
14
Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Plan décennal de développement du réseau de GRTgaz 2015 – 2024 (2015)
Ce graphique présente les prévisions de la consommation annuelle de gaz naturel établies par GRTgaz par secteur d’activité.
Avec le renforcement des politiques environnementales concernant les bâtiments, la consommation du résidentiel-tertiaire et du secteur industriel devrait baisser d’ici à 2022. Cependant, la sortie progressive du chauffage électrique direct (par convecteur) pourrait atténuer cette baisse de la demande de gaz naturel. Les centrales à cycles combinés, dont la consommation gaz est en nette baisse depuis 2011 au profit des centrales charbon, pourraient retrouver des niveaux de sollicitation significatifs à partir de 2017 suite aux limitations des durées de fonctionnement des centrales fioul et charbon d’une part, et à l’augmentation de l’intermittence des moyens de production d’électricité à partir d’énergies renouvelables d’autre part.
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Secteur résidentiel et tertiaire (hors cogé.)
Secteur industrie (hors PEC, hors cogé.)
Production d'électricité centralisée et cogénération
Total (hors pertes et autoconso)
14
Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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21
Ce graphique représente les prévisions de la demande de gaz naturel à la pointe établies par GRTgaz, réparties entre distributions publiques et clients industriels directement raccordés au réseau de transport.
La consommation à la pointe est un critère de dimensionnement des réseaux de transport d’énergie. La pointe permet d’évaluer la capacité maximale à laquelle un réseau doit faire face dans des conditions d’usage d’extrême intensité. Dans le cas des consommations climatiquement sensibles (distributions publiques et résidentiel-tertiaire), les conditions les plus rigoureuses sont établies lorsque la température est celle la plus froide qui puisse être observée tous les 50 ans (risque 2%, d’où le nom de pointe P2). Pour les consommations industrielles, sauf cas particulier, on se base sur la puissance nominale maximale appelée par le site industriel. Par hypothèse, la prévision de la pointe de consommation évolue comme celle des volumes consommés.
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Distributions publiques
Clients transport
Plan décennal de développement du réseau de GRTgaz 2015 – 2024 (2015)
26
Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Eurostat (2015)
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie correspond au rapport entre la consommation totale de gaz naturel (industrielle, résidentiel-tertiaire, production d’électricité) et la consommation finale totale d’énergie sur l’année 2013.
La part du gaz naturel dans la consommation finale d’énergie pour l’UE28 est de 22,9% en 2013. La France, avec une part du gaz à 21.2%, se situe légèrement en dessous de la moyenne européenne, en raison d’un usage important de l’électricité pour le chauffage des logements. Cette situation est particulière à la France qui est dotée d’un important parc de production nucléaire.
Les pays producteurs ou proches de pays producteurs ont logiquement une part de gaz dans la consommation finale d’énergie plus élevée.
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Plan décennal de développement du réseau de GRTgaz 2015 – 2024 (2015)
Ce graphique présente l’évolution de la consommation annuelle selon le scénario de référence, le scénario de référence avec développement soutenu du gaz comme carburant, les scénarios alternatifs Mix Vert (scénario bas) et Usages Diversifiés (scénario haut).
Le scénario de référence est conforme à l’évolution probable du contexte structurel, économique et réglementaire. Il prend en compte des efforts d’efficacité énergétique soutenables par les ménages et l’industrie.
Le scénario Mix Vert intègre un objectif de réduction de 30% des consommations d’énergie fossile, le développement du gaz-carburant dans les transports et la limitation à 50% de la production électrique à partir du nucléaire en 2025. Les efforts d’efficacité énergétique sont au maximum.
Dans le scénario Usages Diversifiés le gaz est utilisé largement dans tous les secteurs, pour la production d’électricité et comme carburant.
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2010 2015 2020 2025 2030 2035 2040
Scénario GRTgaz-2015 (référence)
Scénario GRTgaz-2015 (avec développement de la Mobilité-gaz)
Scénario Mix Vert (Loi sur la Transition Energetique, LTE)
Scénario Usages Diversifiés
TWh
26
Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Eurobserv’ER, (2013)
Le biogaz est produit par les matières organiques en l'absence d'oxygène. Il peut être produit dans les installations de stockage des déchets, dans les stations d’épuration, ou à partir des résidus organique de l’agriculture et de l’industrie agro-alimentaire (ici : « Autres »).
Grâce à une politique volontariste, l'Allemagne est le principal producteur de biogaz en Europe avec 6900 ktep produit en 2013 (près de la moitié de la production européenne). Cette production est essentiellement réalisée à partir des résidus d’agriculture et de l’industrie agro-alimentaire. Le Royaume-Uni, quant à lui, produit une proportion importante de biogaz à partir des installations de stockage des déchets. La France est le 5ème pays européen avec 0,5 Mtep de biogaz produit et 458 unités de production en 2014 (contre 383 en 2013). Ces deux exemples montrent qu’il existe un potentiel important de production de biogaz en Europe, encore inexploité. Le principal mode de valorisation du biogaz est l’électricité : 53 TWh produits en 2013.
0 1 2 3 4 5 6 7
Allemagne
Royaume-Uni
Italie
France
Pays-Bas
Espagne
Rep. Tchèque
Installation de stockagedes déchets
Stations d'épuration
Autres biogaz
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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SOES, Bilan de l’énergie 2014 et PNA 2020
Cet indicateur montre la progression de la production de biogaz en France depuis 2006 et la trajectoire à suivre pour atteindre les objectifs fixés par le Plan d’Action National en faveur des énergies renouvelables.
La production d’électricité à partir de biogaz suit la trajectoire cible pour atteindre les objectifs de 625 MWe installés et 3700 GWhe produits. En revanche, la production de chaleur est en deçà de la trajectoire cible, rendant difficile l’atteinte des objectifs 2020, à moins d’une accélération forte de l’installation de nouvelles capacités de production. Le plan Énergie Méthanisation Autonomie Azote, annoncé par le gouvernement en avril 2013 envisage la construction de 130 nouveaux projets de méthanisation agricole par an entre 2013 et 2020.
A terme, le biogaz permettra d’alimenter l’équivalent de 800 000 foyers en électricité renouvelable (hors chauffage) et de produire l’équivalent de 555 000 tonnes de pétrole en chaleur renouvelable.
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Production de chaleur Série2
Production d'éléctricité Série4
Ktep (Chaleur) GWh (Electricité)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Charbon Fioul lourd Fiouldomestique
Gazole Essence GPL Gaz naturel Bois énergie
Emissions directes
Emissions ACV
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ADEME (2015)
Ce graphique montre les émissions de CO2 des différents combustibles couramment utilisés. Le contenu hors Analyse du Cycle de Vie (ACV) ne prend en compte que les émissions directes de CO2 générées lors de la réaction de combustion. Le contenu avec ACV valorise les émissions de CO2 générées tout au long de la chaîne d’approvisionnement (extraction, transport, distribution).
Le gaz naturel est le combustible fossile courant qui a la plus faible émission de carbone et rejette 40% de CO2 en moins que le charbon.
De plus, la chaîne d’approvisionnement du gaz naturel est l’une des moins émettrices de CO2 parmi celles des combustibles courants. Cela permet au gaz naturel de présenter un des meilleurs taux d’émission ACV parmi l’ensemble des énergies fossiles.
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
0
0,05
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Euro III(2001)
Euro IV(2006)
Euro V(2009)
Euro VI(2014)
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Euro III(2001)
Euro IV(2006)
Euro V(2009)
Euro VI(2014)
2
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IVECO-AFGNV (2015)
Ce graphique présente les normes d’émission Euro des oxydes d’azote (NOx) et des particules (PM) pour les Poids Lourds ainsi que les émissions mesurées pour les véhicules au GNV (cycle WHTC).
Les normes d’émission Euro fixent les limites maximales de rejets de polluants (oxydes d’azote, monoxyde de carbone, hydrocarbures et particules) pour les véhicules roulants. Ces normes de plus en plus strictes visent à limiter la pollution atmosphérique due au transport routier. On constate que le GNV dispose d’une bien meilleure performance environnementale notamment en matière d’émission de particules (-84% par rapport au seuil Euro VI) et de NOx (-70%), éléments particulièrement sensibles dans les zones urbaines denses.
5 3,5
0,46
0,18
0,03 0,03 0,01
0,46
0,14
Euro VI
GNV
-70%
Euro VI
GNV
-84% 0,01
0,0016
36
Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
28
Société Chimique de France
Ce graphique présente la composition du gaz naturel à l’extraction issu des principaux gisements alimentant le marché européen. La qualité du gaz est en effet différente en fonction de son origine.
La composition du gaz naturel est soumise à des variations en fonction de son origine géographique. Il est composé essentiellement d’un mélange d’alcanes (méthane, éthane, propane), et de gaz inertes (dioxyde de carbone, azote), avec une teneur en méthane d’au moins 80% quelle que soit la provenance du gaz.
La composition du gaz détermine son pouvoir calorifique : plus la proportion d’alcanes est élevée, et plus le pouvoir calorifique du gaz est haut. Ainsi, le gaz néerlandais est de moins bonne qualité que le gaz russe. Le cas du gaz algérien est particulier, car la partie « Autres » est composée de beaucoup d’alcanes, ce qui explique son pouvoir calorifique relativement élevé.
kWh/m3
10,8
11,6
11,3
9,2
0% 20% 40% 60% 80% 100%
Méthane Autres
Mer du Nord
Algérie
Russie
Pays Bas
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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Cette carte représente le nombre de véhicules et de stations GNV dans chaque pays de l’U.E 28.
Les pays les mieux équipés sont l’Italie (990 stations) et l’Allemagne (840 stations). En France, on comptait seulement 40 stations en 2014.
La filière est aujourd’hui soutenue par l’Union Européenne qui a adopté, en septembre 2014, une nouvelle règlementation, la directive AFI, visant à garantir une couverture suffisante en points de ravitaillement GNV en Europe.
La mise en place d’un réseau de distribution publique est le préalable indispensable au développement du parc des véhicules roulant au GNV. En France le parc compte 13000 véhicules limité aujourd’hui aux segments des bus, des bennes à ordures et des flottes d’entreprise.
NGVA Europe (2015)
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CRE
Ce graphique présente l’évolution de la consommation de gaz naturel en France dans le secteur résidentiel, ainsi que l’évolution du nombre de sites résidentiels.
Ce graphique démontre une utilisation plus efficiente du gaz au sein des habitations. En effet, la consommation par foyer est passée de 13,5 MWh en 2007 à 11,7 MWh en 2014.
Poussée par les réglementations thermiques 2007 et 2012, l’efficacité énergétique des bâtiments s’est améliorée et les installations gaz dans les bâtiments ont su prendre ce virage, étant pleinement en phase avec les exigences requises pour la construction de bâtiments basse consommation où à énergie positive si elles sont couplées à d’autres technologies.
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11
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80
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140
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2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
Consommation annualisée de gaz des sites résidentiels
Nombre de sites résidentiels consommant du gaz
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Eurostat (2015)
Ce benchmark compare les prix sur les segments domestiques et industriels pour les différents pays de l’Union Européenne. Il s’agit des moyennes de prix facturés à fin 2014, en distinguant les taxes pour chaque pays. La moyenne européenne est pondérée par les volumes consommés par chaque pays.
En moyenne, le prix du gaz en Union Européenne s’est établi à 44,5 €/MWh pour les industriels et 71,9 €/MWh pour le domestique au terme de l’année 2014. Le prix du gaz pour les industriels a donc baissé de 8% en un an (fin 2013, il était à 48,1€/MWh TTC) Il est désormais au même niveau que 2012. Pour les particuliers, le prix du gaz ne cesse de croître : depuis 2008, il a augmenté de 35%.
Principalement pour des raisons de fiscalité et de distance aux pays producteurs, les prix peuvent varier du simple au double selon les pays, taxes comprises pour les industriels comme pour les particuliers.
020406080
DanemarkSuèdeBosnie-Herz.HongrieFinlandeSlovénieAllemagneGrèceCroatieIrlandePortugalAutricheLituanieLuxembourgSlovaquieFranceEspagneLettoniePolognePays-BasRoyaume-UniEstonieBulgarieItalieBelgiqueSerbieRép. TchèqueRoumanieTurquie
Moyenne UE : €/MWh TTC
0 20 40 60 80 100
SuèdeDanemark
ItaliePortugalEspagne
GrècePays-BasAutriche
FranceIrlande
AllemagneBelgiqueSlovénieLituanie
Royaume-UniRép. TchèqueLuxembourg
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Bosnie-Herz.PologneLettonieEstonieCroatieSerbie
HongrieTurquie
Roumanie
Prix HT
Taxes
Moyenne UE : €/MWh TTC
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Eurostat (2015)
Ces courbes représentent l’évolution des prix sur le segment domestique pour la France et la moyenne de l’UE28 en offrant un comparatif entre l’électricité et le gaz.
Contrairement à l’électricité, le prix du gaz naturel pour le consommateur final particulier en France suit la tendance européenne. Le prix domestique de l’électricité en France est un des plus faibles constaté en Europe, du fait de sa stratégie historique en matière de nucléaire. Le prix domestique du MWh gaz est plus faible que celui du MWh électrique, l’écart s’expliquant principalement par la différence des rendements des chaînes de valeur.
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France – Gaz Naturel
U.E. – Electricité
France – Electricité
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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SOeS, World Data Bank, Energy Information Administration (2015)
Ce graphe représente l’évolution des prix de gros sur les trois zones de marché principales : l’Europe occidentale, l’Amérique du nord et l’Asie du sud-est (assimilée au Japon).
Jusqu’en 2009, les tendances globales sur les 3 zones étaient plutôt en phase. Puis, une réelle divergence est apparue : d’une part le prix du gaz en Asie s’est envolé principalement suite aux conséquences de la catastrophe de Fukushima, d’autre part l’essor du gaz naturel non conventionnel aux Etats-Unis explique la baisse durable des prix sur le continent américain. Dans ces circonstances, le spread entre ces deux marchés a atteint un niveau record de 39,05€/Mwh en 2012. Cependant, depuis 2015, les prix du GNL en Asie ont pratiquement été divisés par deux. Ceci est principalement dû à l’indexation de nombreux contrats à long terme sur les prix du pétrole qui ont perdu 50% de leur valeur en 6 mois, et la chute de la demande due à un hiver très doux.
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Europe (NBP)Japon (GNL)Etats-Unis (Henry Hub)
Pic HenryHub : Pénurie d’électricité
en Californie
Ouragan dans le golfe du Mexique, extraction de pétrole touchée
Retombée de Fukushima sur les prix asiatiques
Chute des prix due à l’abondance du GNC
Retombée de la chute du Brent et fléchissement de la demande
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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SOeS, World Data Bank (2015)
Ce graphique trace l’évolution du cours représentatif des contrats long terme d’approvisionnement en gaz naturel en Europe (BAFA : prix à l’importation en Allemagne), du prix de marché du gaz naturel à la bourse de Londres (Spot NBP) et du cours des produits pétroliers représenté par l’indice du Brent.
Cet indicateur met en évidence une forte corrélation entre les cours du gaz et des produits pétroliers. Les prix des contrats long terme d’approvisionnement en gaz naturel sont en effet indexés sur le cours du Brent. Un décalage de 3 à 6 mois des prix de contrat long terme sur celui du Brent est dû à un lissage des formules d’indexation.
Après 3 ans d’une relative stabilité (entre 80 et 90€/baril), le prix du Brent à drastiquement chuté : il a été divisé par 2 entre juin 2014 et janvier 2015. Les prix à l’importation et le cours moyen spot du gaz commencent à diminuer et devraient suivre la même tendance au cours du 2ème semestre 2015.
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Cours moyen spot du gaz NBP ( en €/MWh)
Cours du brent (en €/bl)
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
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Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Marchés Ouverture des marchés du gaz et de l’électricité en France
Source : CRE (2015)
Description : Les tailles et parts de marchés figurées ici illustrent les taux d’ouverture des marchés du gaz et de l’électricité à la fin du 1er semestre 2015, en termes de nombre de sites livrés.
Analyse : Les marchés de l’électricité et du gaz ont été libéralisés en 2004 pour les professionnels et en 2007 pour les particuliers. Le taux d’ouverture est bien plus élevé sur le marché du gaz que sur le marché de l’électricité. Pour la première fois, la part de sites non résidentiels au prix de marché auprès du fournisseur historique de gaz dépasse celle des sites au tarifs règlementés. La tendance devrait s’accélérer avec la fin progressive des tarifs réglementés sur le haut de portefeuille.
65% 17%
18%
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Gaz Naturel Electricité
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Gaz Elec
Tarif réglementé Prix marché – fournisseur historique Prix marché – fournisseur alternatif
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Taille de marché (millions de sites)
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Gaz Elec
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Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Eurostat (2014)
Ce graphique présente les parts de marché des fournisseurs historiques et alternatifs, pour différents pays de l’UE28, en volume de gaz naturel consommé.
On constate une forte disparité de l’ouverture du marché du gaz suivant les pays européens. Certains pays comme l’Allemagne voient les parts de marché du fournisseur historique diminuer au profit des fournisseurs alternatifs de plus en plus nombreux (plus de 850 en Allemagne).
En France, la part de marché du fournisseur historique ne cesse de baisser au fil des ans (60% en 2012 contre 51% en 2013) si bien que l’on pourrait assister, en 2015, au passage sous la barre symbolique des 50% de sa part de marché.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Marchés Volumes échangés sur les places de marchés européennes
Source : Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Description : Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Analyse : Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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Données consolidées Gas In Focus *: Pas de données consolidées pour NBP avant 2011, qui était déjà la principale place de marché européenne
**: Plus de données consolidées pour PSV à compter de 2010
Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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Ce graphe représente les volumes de gaz échangés sur les principales places de marché en Europe. Ces places de marché permettent la construction de bourses de l’énergie, à partir desquelles émergent des prix.
Les marchés organisés du gaz naturel (bourses du gaz) correspondent à un faible pourcentage des volumes de gaz échangés sur le marché de gros en Europe : le marché de gré à gré, ou Over The Counter (OTC), regroupe encore la majorité des échanges européens.
En France, la place de marché est organisée autour des Points d’Echange de Gaz (PEG) et la bourse de l’énergie est opérée par Powernext. Si la place anglaise NBP demeurent la référence en Europe, TTF rattrape son retard à grande vitesse et devient la place de référence en Europe continentale
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GRTgaz (2015)
Cet indicateur restitue l’évolution sur les 10 dernières années des volumes de gaz naturel échangés sur les Points d’Echange de Gaz de GRTgaz (PEG Nord et PEG Sud/TRS) et du nombre d’acteurs ayant accès à ces places de marché.
En France, les acteurs du marché peuvent s’appuyer sur deux points virtuels d’échange de gaz: les PEG Nord et TRS (fusion des PEG Sud et TIGF en avril 2015) qui enregistrent les échanges entre acteurs du marché gazier (consommateurs, fournisseurs, producteurs, traders…).
Le PEG Nord concentre la majorité des échanges gaziers en France. Depuis la mise à disposition de ces points virtuels d’échange de gaz, les PEG enregistrent une progression constante des échanges, tandis que le nombre d’acteurs semble avoir atteint une certaine maturité depuis 2014.
Nombre d'acteurs aux PEG
Volumes échangés (TWh)
aux PEG en juillet 2015
Echangés sur les 2 PEG en juillet 2015
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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BP Statistical Review 2015, Eurostat (Données 2014)
Ce graphique présente les importations brutes de gaz naturel dans les différents pays de l’Union Européenne, en fonction de leur mode d’approvisionnement.
Les pays européens ont importé 6620 TWh en 2014, le GNL compte pour 6,5% seulement de ces importations, une chute importante depuis 2011 en raison de la redirection des flux de GNL vers l’Asie, cependant l’AIE prévoit l’augmentation de cette proportion à 35% d’ici 2030.
L’Allemagne est un des plus gros importateurs de gaz naturel au monde, important plus de 88% de sa consommation de gaz.
L’Espagne est le pays européen qui a le plus développé sa filière GNL avec d’importantes capacités de regazéification, notamment en raison de sa situation géographique. La France également très impliquée dans le développement du GNL a connu une chute de ses importations de GNL (28% en 2011 contre 13 % en 2014) en raison de la forte demande asiatique et une chute de la consommation.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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Eurostat (2014)
L’indépendance énergétique est définie comme le ratio entre la production primaire de gaz naturel et la consommation intérieure brute d’un pays. Elle exprime la capacité d’un pays à subvenir à ses propres besoins en gaz naturel. Un pays dont le ratio est supérieur à 100% est un pays exportateur, comme le Danemark et les Pays-Bas dont la production nationale excède les besoins bruts des consommateurs.
L’UE dont le taux de d’indépendance énergétique pourrait passer de 34% en 2014 à moins de 30% en 2030, place sa stratégie d’approvisionnement au cœur de sa politique énergétique. Seuls 2 pays sur 28 sont indépendants et peuvent exporter du gaz naturel vers d’autres pays européens. Cet indicateur montre l’importance d’une stratégie d’approvisionnement diversifiée en Europe afin de minimiser les risques liés à des situations telles que la crise Russo-Ukrainienne de janvier 2009, et celle plus récente de 2014. En France particulièrement, où la production de gaz à usage commercial est nulle depuis la fermeture du gisement de Lacq 2013, une stratégie de diversification des approvisionnements est clé pour réduire les risques.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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BP Statistical Review 2015
Cette carte représente les principales importations de gaz naturel de l’UE28, en fonction des pays d’origine. Les flèches bleues représentent les importations qui sont réalisées sous forme de GNL (pour l’Algérie, majoritairement réalisées sous forme de GNL).
L’Union Européenne place au cœur de ses priorités une stratégie d’approvisionnement diversifiée afin de réduire sa dépendance aux pays exportateurs. Cependant, la Russie et la Norvège restent les deux principaux fournisseurs du gaz naturel importé par l’Europe, représentant respectivement 40% et 35% des importations.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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Approvisionnement Evolution de l’origine du gaz fourni à l’UE28 2014 vs. 2013
Source : BP Statistical Review 2015 et 2014
Description : Ce graphique présente l’évolution de l’origine du gaz naturel fourni à l’UE28 entre 2014 et 2013, pour les principaux pays producteurs.
Analyse :
La politique européenne de diversification des approvisionnements a mené l’UE28 à chercher de nouvelles sources de gaz naturel. Les importations ont légèrement baissé en 2014 (-5%) pour une deuxième année consécutive. De plus, la redirection des flux GNL vers l’Asie continue de faire chuter la part des exportateurs de GNL. La Russie, suite à la crise Russo-Ukrainienne voit ses importations chuter de 11%. Les importations depuis la Libye ont repris tandis que l’Egypte disparait complètement des exportateurs vers l’Europe.
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-2 TWh - 47 TWh -161 TWh
- 5 TWh - 11,5 TWh
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No
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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ENTSOG (2015)
Ce graphe présente les prévisions de l’ENTSOG relativement aux capacités d’approvisionnement européen de gaz naturel, à horizon 2025. Les approvisionnements sous forme de GNL ne tiennent pas compte des pays d’origine. Le gaz provenant d’Algérie est mixte (GNL et gazoduc).
La baisse de la production européenne (baisse d’environ 25% entre 2015 et 2025) et l’augmentation prévue de consommation devraient être compensées par la hausse des capacités à l’importation. Le GNL devrait avoir une part de plus en plus importante dans la stratégie d’approvisionnement européenne ; l’Europe s’appuie pour cela sur de nouveaux projets de terminaux méthaniers. De même, des investissements dans les infrastructures de transport permettraient de traiter avec de nouveaux pays fournisseurs comme l’Azerbaïdjan.
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Productioneuropéenne
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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Les réserves prouvées sont les quantités de gaz naturel conventionnel (voir Glossaire) de gisements connus qui, selon les informations géologiques et les avancées technologiques actuelles, ont une forte probabilité d'être exploitables dans le futur, dans les conditions technico-économiques existantes.
Les réserves en gaz naturel conventionnel sont importantes et les estimations concernant leur taille continuent d’évoluer à mesure que de nouvelles techniques d'exploration ou d'extraction sont découvertes. Les ressources sont relativement bien réparties à travers le monde. A l’heure actuelle, la Russie, le Qatar et l’Iran se partagent près de 48% des réserves prouvées ; le Moyen Orient ayant connu la progression la plus nette ces dernières années. Plusieurs analystes estiment qu'une majeure partie du gaz naturel conventionnel reste encore à découvrir. Les réserves mondiales prouvées ont doublé en 20 ans pour atteindre 187 000 milliards de mètres cube.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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En France, l’approvisionnement en gaz naturel est diversifié. La Norvège est le plus gros fournisseur avec 43% des importations brutes.
NB : La catégorie « Autres » inclut notamment le Qatar, Trinité & Tobago, du gaz naturel provenant de la Mer du Nord.
La France a un des portefeuilles les plus diversifiés, ce qui lui permet de minimiser les risques et notamment les risques géopolitiques. La diversification des approvisionnements s’est faite au profit du GNL, les terminaux méthaniers ayant permis l’augmentation des quantités importées et l’intégration de nouveaux importateurs dans le portefeuille d’approvisionnement français, malgré un net recul des importations de GNL depuis 2012. La part du gaz norvégien a augmenté significativement, pour compenser la baisse des importations en provenance de Russie, d’Algérie et du Pays-Bas.
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BP Statistical Review 2015, AIE 2014
Le ratio Réserves sur Production (R/P) représente, en années, la disponibilité d’une ressource non renouvelable dans les conditions technico-économiques actuelles. Les réserves estimées englobent les gisements de gaz naturel non conventionnel (voir Glossaire), mais également des gisements de gaz naturel conventionnel inexploitables aujourd’hui avec les technologies existantes.
Le gaz non conventionnel représente plus de la moitié des ressources estimées, notamment aux Etats-Unis, où la filière a permis au pays de réduire son taux de dépendance énergétique. On peut également noter l’importance des réserves estimées en Asie Pacifique, incluant la Chine et l’Australie, plus importantes qu’en Amérique du Nord. Le ratio R/P est d’environ 55 ans en ne prenant en compte que les ressources prouvées, il s’élève à 238 ans en incluant les ressources estimées.
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BP Statistical Review (2015)
Cette courbe présente la production de gaz naturel, exprimée en milliers de milliards de mètres cubes, qui comprend le gaz naturel conventionnel et non conventionnel.
La production mondiale de gaz naturel augmente de manière constante depuis 40 ans. Elle a triplé entre 1970 et 2010. En 2014 les plus gros producteurs mondiaux sont les Etats Unis avec 21,5% de la production mondiale (incluant le gaz naturel non conventionnel), la Russie (17%), le Qatar (5%), l’Iran (5%) et le Canada (4%). Tandis que les Etats Unis, l’Iran et le Qatar sont en croissance, la Russie et les Pays-Bas sont en déclin (-4% et – 18% respectivement). La Chine connait également une forte croissance (+8%) pour atteindre 3,9% de la production mondiale. Les 2/3 de la production mondiale sont assurés par 10 pays.
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Asie PacifiqueAfriqueMoyen OrientEurope - EurasieAmérique du Sud et Amérique CentraleAmérique du Nord
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Consommation annuelle de référence communiquée par le Gestionnaire de Réseau de Transport ou le Gestionnaire de Réseau de Distribution.
La quantité d'énergie, exprimée en MWh, contenue dans une quantité de Gaz donnée, et déterminée sur la base du Pouvoir Calorifique Supérieur du Gaz.
Gaz dont le Pouvoir Calorifique Supérieur est compris entre 9,5 et 10,5 kWh PCS/m3 (n) et l'indice de Wobbe entre 11,8 et 13,0 kWh PCS/m3 (n) soit 42,5 et 46,8 MJ/m3 (n).
Gaz dont le Pouvoir Calorifique Supérieur est compris entre 10,7 et 12,8 kWh PCS/m3 (n) et l'indice de Wobbe entre 13,4 et 15,7 kWh PCS/m3 (n) soit 48,25 et 56,5 MJ/m3 (n).
Le gaz dit « conventionnel » a migré à partir de la roche-mère pour aller s’accumuler dans une zone où la roche est assez poreuse et perméable, et recouverte par une couche de roche étanche empêchant le gaz de continuer sa migration vers la surface.
Le gaz non conventionnel est un gaz naturel piégé dans des roches de faible perméabilité et difficiles d'accès. Il nécessite pour son extraction des méthodes spécifiques.
L'unité dans laquelle sont exprimées les quantités d'énergie, définie dans la norme ISO 6976.
Le tarif d’acheminement sur Réseau de Distribution tel qu’il est fixé par voie réglementaire. Pour information, il comprend trois options sans souscription (T1, T2 et T3) et deux options à souscription (T4 et TP dit ‘tarif de proximité’).
Point d’un Réseau de Transport ou Distribution où le Gestionnaire du Réseau de Transport ou Distribution livre au Client le Gaz. Il porte un numéro attribué par le Gestionnaire du réseau de Transport ou Distribution.
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Point virtuel, rattaché à une Zone d’Equilibrage d’un Réseau de Transport, où des quantités de Gaz peuvent être échangées entre fournisseurs ayant conclu un Contrat d'Acheminement avec le Gestionnaire de Réseau de Transport.
Point depuis lequel un Gestionnaire de Réseau de Distribution achemine le gaz en exécution du Contrat d’Acheminement Distribution. Il s’agit, sauf mention expresse contraire, de la bride aval du Poste de Livraison entre le Réseau de Transport et le Réseau de Distribution.
La quantité de chaleur en kWh produite par la combustion complète d’un (1) Nm3 de Gaz à 0 degré Celsius et à une pression absolue de 1,01325 bar, avec un excès d’air à la même température et même pression que le Gaz, après que les produits de la combustion ont été refroidis à 0 degré Celsius et que l’eau fournie par la combustion a été condensée à l’état liquide, les produits de la combustion contenant la même masse totale de vapeur d’eau que le Gaz et l’air avant combustion.
Ensemble d’ouvrages, d’installations et de systèmes exploités par ou sous la responsabilité d’un Gestionnaire de Réseau de Distribution à l’aide duquel ledit Gestionnaire de Réseau de Distribution réalise la prestation, objet du Contrat d’Acheminement Distribution.
Ensemble d’ouvrages, d’installations et de systèmes exploités par ou sous la responsabilité d’un Gestionnaire de Réseau de Transport à l’aide duquel ledit Gestionnaire de Réseau de Transport réalise la prestation, objet du Contrat d’Acheminement Transport.
Période d’Eté correspondant aux Mois suivants : avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre ; Période d’Hiver correspondant aux Mois suivants : novembre, décembre, janvier, février, mars.
Ensemble de points d’entrée et de points de sortie d’un Réseau de Transport au sein duquel un fournisseur, ayant conclu un Contrat d'Acheminement avec le Gestionnaire de Réseau de Transport, doit assurer un équilibrage tel que défini par les règles du Gestionnaire de Réseau concerné.
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Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie
Agence Internationale de l'Energie
Institut de Sondage du Bâtiment
British Petroleum
Commission de Régulation de l'Energie
Association des transporteurs de gaz européens
Observatoire des Energies Renouvelables
Service de statistiques de la Commission Européenne
Groupe énergétique français à dimension internationale
Gestionnaire du réseau de transport de gaz naturel en France
Groupement du Stockage Européen
Groupe de Travail Gaz 2007
Syndicat International du Gaz
Institut National de le Statistique et de Etudes Economiques
Ministère du Développement Durable
Société Chimique de France
Service de l'Observation et des Statistiques
Syndicat Professionnel des Entreprises Gazières Non Nationalisées
TOTAL Infrastructures Gaz France
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1 Kwh 1 0,0036 0,0341 0,0034 0,0949 0,00059 0,000086
1 GJ 277,8 1 9,48 0,948 26,35 0,1634 0,0239
1 Therm 29,3 0,10551 1 0,1 2,78 0,0172 0,0025
1 Million de BTU (MBTU)
293,1 1,06 10 1 27,81 0,1724 0,0252
1 m3 de gaz naturel 10,54 0,038 0,36 0,036 1 0,0062 0,0009
1 baril équivalent pétrole (bep)
1700,0 6,12 58,01 5,80 161,29 1 0,15
1 tonne équivalent pétrole (tep)
11630 41,87 397 39,7 1103 6,8 1
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GRTgaz construit, exploite et développe le réseau de transport de gaz naturel en France à haute pression sur la majeure partie du territoire national. GRTgaz livre le gaz naturel que lui confient ses clients, à destination des points de consommation directement raccordés au réseau de transport : les réseaux de distribution publique pour l’alimentation des ménages, des collectivités et des entreprises, les grands consommateurs industriels et les centrales qui utilisent le gaz naturel pour la production d’électricité. Avec plus de 32 000 km de gazoducs et 25 stations de compression, GRTgaz investit chaque jour pour transporter le gaz naturel dans les meilleures conditions de sécurité et de fluidité, et renforcer la sécurité d’approvisionnement en donnant accès à des sources toujours plus diversifiées.
Pour en savoir plus : www.grtgaz.com
Sia Partners est un cabinet indépendant de conseil en Management et en Stratégie Opérationnelle. Présent dans douze pays en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient, Sia Partners dispose de 600 consultants pour un chiffre d’affaires de 88 M€ en 2014.
En France, son portefeuille de clients est composé de 40% du CAC40 et de grandes entreprises publiques non cotées de premier plan.
Ses missions consistent à accompagner la transformation des entreprises dans tous ses volets : stratégie, marketing, ressources humaines, gouvernance des systèmes d’information. Ses services sont déclinés dans cinq secteurs privilégiés : Banques & Assurance, Energie & Environnement, Télécoms & Medias, Transport & Logistique, Fonction Publique.
Pour en savoir plus : www.sia-partners.com
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Groupe énergétique français à dimension internationale
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Groupement du Stockage Européen
Groupe de Travail Gaz 2007
Syndicat International du Gaz
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