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29 Le Soir Mardi 14 mars 2017 NAMUR LUXEMBOURG 29 GRANDE Tombola Photos non contractuelles. Les prix ne seront ni cessibles ni échangeables ni transformés en espèces. Arrêté royal n° 2977537. Prix du billet 3 Tirage le 25 avril 2017 et parution des résultats dans Le Soir du 26 avril 2017. 1.000 lots à gagner! 1/4 kg d’or (*), 1 séjour au soleil, 2 vélos électriques, 2 minitrips, des livres, des BD, des places de cinéma... Comment acheter vos billets ? > Dans le hall d’accueil de Rossel dès le jeudi 25 février 2016, rue Royale 100 à 1000 Bruxelles [du lundi au vendredi de 8 h 30 à 17 heures] > Par virement au compte BE36 3101 2770 0081 du journal Le Soir [prix du billet : 3€ + 0,79€ de frais quel que soit le nombre de billets commandés]. Dernier jour de vente : le jeudi 20 avril 2017. > Cette année, nous offrons en plus : un billet de couverture gratuit par carnet de 10 billets. Tirage spécial pour les lots de couverture : 1 chaîne hi-fi et 49 appareils photo [prix du carnet : 30 € + 0,79€ de frais, quel que soit le nombre de carnets commandés]. 2017 du journal Le Soir au bénéfice des personnes handicapées 2 minitrips pour 2 personnes 1 séjour au soleil pour 2 personnes (*) 1/4 kg d’or (valeur au 14.02.2017 : 9.428,00€) D errière un nom de code peu élo- quent, Diadem, se cache une opération jusqu’ici inédite pour évaluer l’état de santé des eaux du fleuve. Présentée ce lundi à l’UNamur, elle démarre maintenant, et va durer un an. Un consortium de 8 partenaires opérateurs et 7 partenaires associés est à la manœuvre, disposant d’un budget de 2,33 millions d’euros dont la moitié provient des fonds européens Feder. Si le pilotage général est assuré par l’uni- versité de Reims, on retrouve également dans le consortium l’UNamur, l’ULg, la Société wallonne des eaux (SWDE, sec- teur de la distribution), la Société pu- blique de gestion de l’eau (SPGE, do- maine de l’assainissement des eaux usées et de la protection des captages), etc. « Ce projet vise à identifier et à mesu- rer les perturbations dues aux rejets des stations d’épuration, notamment des ré- sidus médicamenteux, sur les orga- nismes aquatiques du milieu récep- teur », selon le professeur Patrick Kes- temont (UNamur). « L’utilisation com- mune de la ressource en eau du bassin-versant de la Meuse, de part et d’autre de la frontière, implique une ges- tion cohérente et concertée. Ainsi, la par- tie frontalière de la Meuse apparaît idéale pour le développement de nou- velles stratégies d’évaluation et de suivi de la qualité des masses d’eau. Sur base d’une approche pluridisciplinaire asso- ciant chimie, biologie, écologie et modé- lisation, le projet veut améliorer la pré- diction des conséquences de certaines ac- tions de gestion sur les écosystèmes ». En particulier, le milieu aquatique est l’exutoire de plusieurs contaminants. Il s’agira donc, notamment, de surveiller le lien entre l’exposition de résidus pharmaceutiques cinq molécules pharmaceutiques seront étudiées, dont le diclofénac et le paracétamol – et les réactions de certaines espèces aqua- tiques afin de développer un indicateur de toxicité. Cinq espèces seront étu- diées : une mousse, un mollusque, un crustacé et deux espèces de poissons. Les prélèvements auront lieu dans la Meuse et dans deux affluents, la Semois et la Sambre. LUC SCHARÈS Le grand diagnostic de la Meuse débute NAMUR Un projet transfrontalier pour évaluer l’état de santé des eaux du fleuve Un projet à 2,33 millions pour mesurer les perturbations liées aux rejets des stations d’épuration. Des prélèvements sur la Meuse, la Sambre et la Semois. La station d’ épuration de Lives-sur-Meuse est la plus grande de la province de Namur. © VINCENT LORENT. Sensibiliser le grand public Le savoir-faire est une chose, le faire savoir en est une autre. Au-delà d’une cartographie de la contamination des masses d’eau, ainsi que de la recherche de réponses via des modélisations pour préserver la faune et flore du fleuve, les initiateurs veulent aussi mener des cam- pagnes de sensibilisation auprès de plu- sieurs publics. Les acteurs de l’eau évi- demment, tels que les gestionnaires insti- tutionnels. Mais aussi des étudiants à des fins de formation en biosurveillance dans ce domaine spécifique. Enfin, Diadem veut aussi toucher le grand public, par exemple via l’organisation de confé- rences, de cafés des sciences ou autres canaux de communication. L. SC. LE FAIRE SAVOIR D imanche, le salon Horeca- tel, le salon des profession- nels du secteur horeca, a choisi de mettre l’accent sur le métier de boucher. Tant mis à mal, « 40 jours sans » oblige. La Fédéra- tion nationale des bouchers, charcutiers et traiteurs assurait une démonstration culinaire avec les élèves de l’ITCA de Suar- lée, à Namur. Plus d’une centaine de jeunes âgés de 15 à 20 ans sont formés au travail de la viande chaque an- née à l’ITCA. Ils étaient quelques-uns à mettre leur ap- prentissage en pratique sous le feu des projecteurs du « Palais Gastronomie ». Au menu : sa- moussa de queue de bœuf aux pruneaux, brochettes de magret de canard avec abricots lardés, mousse de jambon d’Ardenne, carpaccio Bleu-Blanc Belge et hamburger. Une opération séduction desti- née à promouvoir un métier sou- vent victime d’une image ar- chaïque, très éloignée des réalités du terrain. « Le boucher est deve- nu un préparateur de viande, il doit avoir plusieurs cordes à son arc, explique Éric Monseu, chef d’atelier à l’ITCA. Les comptoirs ne proposent plus seulement des grosses pièces de viande fraîche comme par le passé. Aujourd’hui, il faut pouvoir proposer toutes sortes de préparations. On vend aussi de plus en plus de salaisons et de charcuterie. » L’ITCA forment les apprentis bouchers dès la 3 e secondaire. Au terme de leur 6 e année, les élèves ont le choix entre repartir avec leur qualification de boucher- charcutier sous le bras ou suivre une 7 e année traiteur-organisa- teur de banquet avec la déli- vrance d’un CESS à la clé. « On propose aussi de l’alternance, avec deux jours de cours et le reste de la semaine en entreprise. C’est une belle alternative pour les jeunes qui veulent apprendre le métier. » En l’espace de quelques décen- nies, le nombre de boucheries s’est littéralement effondré. « On compte 4.000 petites boucheries en Belgique, contre environ 20.000 il y a encore une tren- taine d’années », poursuit Eric Monseu. Les raisons sont mul- tiples : concurrence de l’indus- trie, consommation de viande en baisse, pénibilité et horaires de travail… « Boucher reste un métier diffi- cile, qui exige une bonne santé physique et implique des ho- raires pas toujours évidents. Mais les entreprises l’ont bien compris et commencent à s’orga- niser. Les salaires ont été revus à la hausse et l’automatisation de certaines opérations allège la charge de travail. Le combat n’est pas encore gagné, mais on constate que l’artisanat reprend du poil de la bête. Les gens n’ont plus confiance dans la grande in- dustrie et reviennent vers les structures plus petites et les pro- duits sains. » N.P. Quel avenir pour le métier de boucher ? MARCHE-EN-FAMENNE Redorer le blason d’une profession pourtant si nécessaire Le Salon Horecatel offre toujours des opportunités de suivre des démonstrations culinaires de haut vol. © D.R. L e mois de mars sera placé sous le signe du court-mé- trage. Ce lundi démarrait la Ca- ravane du court, un festival iti- nérant qui va se tenir toute cette semaine. Du moins en province de Namur car ensuite, l’aventure se poursuivra dans celles de Luxembourg (Habay- la-Vieille, Marche, Bouillon, Virton), puis de Liège (quatre étapes également). Le menu na- murois est un plus étoffé, pour des raisons historiques. Cette caravane est en partie née sur les cendres du festival Media 10/10, et le principal organisa- teur aux côtés de l’ASBL Clap n’est autre que le Fiff (Festival international du film franco- phone de Namur). « A l’affiche en 2017, il y a la projection de 5 courts-métrages belges ayant marqué l’année suivie d’un échange avec les réalisateurs des films visionnés sur des considérations tech- niques, artistiques, logistiques ou financières, et ce dans 5 salles du territoire, numérisées grâce au soutien de la Province de Namur, commente Gene- viève Lazaron, députée provin- ciale en charge de la culture. Cette initiative correspond à une priorité qui me tient à cœur et qui est que si le citoyen ne vient pas à la culture, la culture doit venir à lui. Concrè- tement, il s’agit pour les services provinciaux de veiller à mettre en œuvre des activités acces- sibles aux moins initiés ainsi qu’aux plus éloignés de notre territoire ». Il est à noter que l’éducation par l’image est un autre enjeu que vise la Caravane du court, notamment en proposant en journée des séances scolaires dans chacune des villes partici- pantes. Après Namur ce lundi, les futures haltes sont à Gem- bloux, Nismes, Rochefort et Ta- mines. L. Sc. www.lacaravaneducourt.be La Caravane du court fait son cinéma NAMUR-LUXEMBOURG

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Le Soir Mardi 14 mars 2017

NAMUR LUXEMBOURG 29

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Prix du billet 3 €Tirage le 25 avril 2017

et parution des résultats dans Le Soir du 26 avril 2017.

1.000 lotsà gagner !

1/4 kg d’or (*),1 séjour au soleil,

2 vélos électriques,2 minitrips,

des livres, des BD, des places de cinéma...

Comment achetervos billets ?

> Dans le hall d’accueil de Rosseldès le jeudi 25 février 2016, rue Royale 100 à

1000 Bruxelles [du lundi au vendredi de 8 h 30 à 17 heures]

> Par virement au compteBE36 3101 2770 0081

du journal Le Soir [prix du billet : 3€ + 0,79€de frais quel que soit le nombre de billets commandés].

Dernier jour de vente : le jeudi 20 avril 2017.

> Cette année, nous offrons en plus : un billet de couverture gratuit

par carnet de 10 billets. Tirage spécial pour les lotsde couverture : 1 chaîne hi-fi et 49 appareils photo[prix du carnet : 30 € + 0,79€ de frais, quel que soit

le nombre de carnets commandés].

2017 du journal Le Soir au bénéfi ce des personnes handicapées

2 minitrips pour 2 personnes

1 séjour au soleil pour 2 personnes

(*) 1/4 kg d’or(valeur au 14.02.2017 : 9.428,00€)

D errière un nom de code peu élo-quent, Diadem, se cache uneopération jusqu’ici inédite pour

évaluer l’état de santé des eaux dufleuve. Présentée ce lundi à l’UNamur,elle démarre maintenant, et va durer unan. Un consortium de 8 partenairesopérateurs et 7 partenaires associés està la manœuvre, disposant d’un budgetde 2,33 millions d’euros dont la moitiéprovient des fonds européens Feder. Sile pilotage général est assuré par l’uni-versité de Reims, on retrouve égalementdans le consortium l’UNamur, l’ULg, laSociété wallonne des eaux (SWDE, sec-teur de la distribution), la Société pu-blique de gestion de l’eau (SPGE, do-maine de l’assainissement des eauxusées et de la protection des captages),etc.

« Ce projet vise à identifier et à mesu-rer les perturbations dues aux rejets desstations d’épuration, notamment des ré-sidus médicamenteux, sur les orga-nismes aquatiques du milieu récep-teur », selon le professeur Patrick Kes-

temont (UNamur). « L’utilisation com-mune de la ressource en eau dubassin-versant de la Meuse, de part etd’autre de la frontière, implique une ges-tion cohérente et concertée. Ainsi, la par-tie frontalière de la Meuse apparaîtidéale pour le développement de nou-

velles stratégies d’évaluation et de suivide la qualité des masses d’eau. Sur based’une approche pluridisciplinaire asso-ciant chimie, biologie, écologie et modé-lisation, le projet veut améliorer la pré-diction des conséquences de certaines ac-tions de gestion sur les écosystèmes ».

En particulier, le milieu aquatique estl’exutoire de plusieurs contaminants. Ils’agira donc, notamment, de surveillerle lien entre l’exposition de résiduspharmaceutiques – cinq moléculespharmaceutiques seront étudiées, dontle diclofénac et le paracétamol – et les

réactions de certaines espèces aqua-tiques afin de développer un indicateurde toxicité. Cinq espèces seront étu-diées : une mousse, un mollusque, uncrustacé et deux espèces de poissons.Les prélèvements auront lieu dans laMeuse et dans deux affluents, la Semoiset la Sambre. ■

LUC SCHARÈS

Le grand diagnostic de la Meuse débute NAMUR Un projet transfrontalier pour évaluer l’état de santé des eaux du fleuve

Un projet à 2,33 millionspour mesurerles perturbations liées auxrejets des stations d’épuration.

Des prélèvementssur la Meuse, la Sambre et la Semois.

La station d’épurationde Lives-sur-Meuse est la plus grandede la province de Namur. © VINCENT LORENT.

Sensibiliser le grand publicLe savoir-faire est une chose, le fairesavoir en est une autre. Au-delà d’unecartographie de la contamination desmasses d’eau, ainsi que de la recherchede réponses via des modélisations pourpréserver la faune et flore du fleuve, lesinitiateurs veulent aussi mener des cam-pagnes de sensibilisation auprès de plu-sieurs publics. Les acteurs de l’eau évi-demment, tels que les gestionnaires insti-tutionnels. Mais aussi des étudiants à desfins de formation en biosurveillance dansce domaine spécifique. Enfin, Diademveut aussi toucher le grand public, parexemple via l’organisation de confé-rences, de cafés des sciences ou autrescanaux de communication.

L. SC.

LE FAIRE SAVOIR

D imanche, le salon Horeca-tel, le salon des profession-

nels du secteur horeca, a choiside mettre l’accent sur le métier deboucher. Tant mis à mal, « 40jours sans » oblige. La Fédéra-tion nationale des bouchers,charcutiers et traiteurs assuraitune démonstration culinaireavec les élèves de l’ITCA de Suar-lée, à Namur.

Plus d’une centaine de jeunesâgés de 15 à 20 ans sont formésau travail de la viande chaque an-née à l’ITCA. Ils étaientquelques-uns à mettre leur ap-prentissage en pratique sous lefeu des projecteurs du « PalaisGastronomie ». Au menu : sa-moussa de queue de bœuf auxpruneaux, brochettes de magretde canard avec abricots lardés,mousse de jambon d’Ardenne,carpaccio Bleu-Blanc Belge ethamburger.

Une opération séduction desti-née à promouvoir un métier sou-vent victime d’une image ar-chaïque, très éloignée des réalitésdu terrain. « Le boucher est deve-nu un préparateur de viande, ildoit avoir plusieurs cordes à sonarc, explique Éric Monseu, chefd’atelier à l’ITCA. Les comptoirsne proposent plus seulement desgrosses pièces de viande fraîchecomme par le passé. Aujourd’hui,il faut pouvoir proposer toutessortes de préparations. On vendaussi de plus en plus de salaisonset de charcuterie. »

L’ITCA forment les apprentisbouchers dès la 3e secondaire. Auterme de leur 6e année, les élèvesont le choix entre repartir avecleur qualification de boucher-

charcutier sous le bras ou suivreune 7e année traiteur-organisa-teur de banquet avec la déli-vrance d’un CESS à la clé. « Onpropose aussi de l’alternance,avec deux jours de cours et le restede la semaine en entreprise. C’estune belle alternative pour lesjeunes qui veulent apprendre lemétier. »

En l’espace de quelques décen-nies, le nombre de boucheriess’est littéralement effondré. « Oncompte 4.000 petites boucheriesen Belgique, contre environ20.000 il y a encore une tren-taine d’années », poursuit EricMonseu. Les raisons sont mul-tiples : concurrence de l’indus-trie, consommation de viande en

baisse, pénibilité et horaires detravail…

« Boucher reste un métier diffi-cile, qui exige une bonne santéphysique et implique des ho-raires pas toujours évidents.Mais les entreprises l’ont biencompris et commencent à s’orga-niser. Les salaires ont été revus àla hausse et l’automatisation decertaines opérations allège lacharge de travail. Le combat n’estpas encore gagné, mais onconstate que l’artisanat reprenddu poil de la bête. Les gens n’ontplus confiance dans la grande in-dustrie et reviennent vers lesstructures plus petites et les pro-duits sains. » ■

N.P.

Quel avenir pour le métier de boucher ?MARCHE-EN-FAMENNE Redorer le blason d’une profession pourtant si nécessaire

Le Salon Horecatel offre toujours des opportunités de suivre des démonstrations culinaires de haut vol. © D.R.

L e mois de mars sera placésous le signe du court-mé-

trage. Ce lundi démarrait la Ca-ravane du court, un festival iti-nérant qui va se tenir toutecette semaine. Du moins enprovince de Namur car ensuite,l’aventure se poursuivra danscelles de Luxembourg (Habay-la-Vieille, Marche, Bouillon,Virton), puis de Liège (quatreétapes également). Le menu na-murois est un plus étoffé, pourdes raisons historiques. Cettecaravane est en partie née surles cendres du festival Media10/10, et le principal organisa-teur aux côtés de l’ASBL Clapn’est autre que le Fiff (Festivalinternational du film franco-phone de Namur).

« A l’affiche en 2017, il y a laprojection de 5 courts-métragesbelges ayant marqué l’annéesuivie d’un échange avec lesréalisateurs des films visionnéssur des considérations tech-niques, artistiques, logistiquesou financières, et ce dans 5salles du territoire, numériséesgrâce au soutien de la Provincede Namur, commente Gene-viève Lazaron, députée provin-ciale en charge de la culture.Cette initiative correspond àune priorité qui me tient àcœur et qui est que si le citoyenne vient pas à la culture, laculture doit venir à lui. Concrè-tement, il s’agit pour les servicesprovinciaux de veiller à mettreen œuvre des activités acces-sibles aux moins initiés ainsiqu’aux plus éloignés de notreterritoire ».

Il est à noter que l’éducationpar l’image est un autre enjeuque vise la Caravane du court,notamment en proposant enjournée des séances scolairesdans chacune des villes partici-pantes. Après Namur ce lundi,les futures haltes sont à Gem-bloux, Nismes, Rochefort et Ta-mines. ■

L. Sc.

www.lacaravaneducourt.be

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