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COMMUNIQUéde PReSSe
1, PLACe de LA CONCORde · PARIS 8e · M° CONCORde WWW.JeUdePAUMe.ORG
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Garry WinoGrand14/10/2014 – 08/02/2015
❙ Commissaires
Leo Rubinfien, Erin O’Toole et Sarah Greenough
L’exposition a été conçue et organisée par le commissaire invité Leo Rubinfien, photographe et auteur,
en collaboration avec Erin O’Toole, conservateur associé de la photographie au SFMOMA, et Sarah Greenough,
conservatrice de la photographie à la National Gallery of Art
❙ Partenaires
« Garry Winogrand » est organisée par le San Francisco Museum of Modern Art et la National Gallery of Art
à Washington. La tournée internationale de l’exposition est financée par la Terra Foundation for American Art,
avec le soutien de Randi et Bob Fisher.
La présentation à Paris est organisée en collaboration avec le Jeu de Paume.
Neuflize Vie, mécène principal du Jeu de Paume, et la MaNufacture Jaeger-lecoultre,
partenaire privilégié, ont choisi d’apporter conjointement leur soutien à l’exposition « Garry Winogrand ».
En partenariat avec la ratP.
Le Jeu de Paume est subventionné par le ministère de la culture et de la communication.
Il bénéficie du soutien de Neuflize Vie, mécène principal.
Garry WinoGrand14/10/2014 – 08/02/2015
3
Garry WinograndLos Angeles, 1964Tirage gélatino-argentiqueSan Francisco Museum of Modern Art, gift of Jeffrey Fraenkel© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco Photo: Don Ross
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L’exposition
le Jeu de Paume présente la première rétrospective, depuis vingt-cinq ans, du grand photographe
américain garry Winogrand (1928-1984). chroniqueur de l’amérique de l’après-guerre, Winogrand
est encore mal connu, tant il a laissé de travail à accomplir – au moment de sa mort prématurée
– dans l’archivage, le développement et le tirage de ses photographies. il est cependant sans conteste
l’un des maîtres de la photographie de rue américaine, au même titre que Walker evans, robert frank,
lee friedlander ou William Klein.
Célèbre pour ses photographies de New York et de la vie aux États-Unis depuis les années 1950 jusqu’au
début de la décennie 1980, Winogrand cherche à « découvrir à quoi ressemblent les choses une fois
photographiées ». Organisée conjointement par le SFMOMA et la National Gallery of Art de Washington,
l’exposition « Garry Winogrand (1928-1984) » réunit les images les plus emblématiques de l’artiste et des
tirages inédits puisés dans les archives, en grande partie inexplorées jusqu’ici, de la fin de sa vie afin d’offrir
une vue d’ensemble rigoureuse de son parcours et, pour la première fois, d’embrasser la totalité de sa carrière.
Les photographies de l’exposition et celles du catalogue composent un portrait vivant de l’artiste, chroniqueur
de l’Amérique de l’après-guerre à l’égal d’un Norman Mailer ou d’un Robert Rauschenberg qui, durant les
décennies postérieures à la seconde guerre mondiale, témoignèrent inlassablement d’une Amérique ballottée
entre optimisme et bouleversements.
Winogrand a beau être considéré, par beaucoup, comme l’un des plus grands photographes du XXe siècle,
l’examen de son corpus pictural et de son influence sur la discipline demeurent incomplets. Extrêmement
prolifique, il a pourtant souvent différé la sélection et le tirage de ses images. À sa mort, survenue brutalement
à l’âge de 56 ans, il a ainsi laissé derrière lui environ 6 500 bobines (soit quelque 250 000 images) qu’il n’a
jamais vues ainsi que des planches-contacts des années antérieures, qui avaient été marquées mais jamais
tirées. De sorte que près de la moitié des photographies de cette exposition n’ont jamais été montrées ni
publiées à ce jour et que plus de cent n’avaient encore jamais été tirées.
« Il n’existe en photographie aucun ensemble, de taille ou de qualité comparables, qui soit à ce point resté à
l’état de friche », déclare Rubinfien qui, dans les années 1970, fut l’un des plus jeunes dans le cercle d’amis de
l’artiste. « Cette exposition est un premier pas vers une analyse d’ensemble du travail inachevé de Winogrand.
Elle est aussi l’occasion de s’éloigner d’une présentation thématique au profit d’une approche plus libre, fidèle
à l’esprit qui était au cœur de sa démarche, ce qui permet de renouveler le regard porté sur son œuvre, même
de la part de ceux qui pensent le connaître. »
5
Garry Winogrand New York World’s Fair, 1964 Tirage gélatino-argentiqueSan Francisco Museum of Modern Art, gift of Dr. L. F. Peede, Jr© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco Photo: Don Ross
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L’exposition est divisée en trois parties, chacune couvrant une grande variété de sujets chers à l’artiste.
❙ « Descendu du Bronx » présente des photographies prises en majorité à New York, depuis ses débuts en 1950
jusqu’en 1971 ;
❙ « C’est l’Amérique que j’étudie » rassemble des travaux réalisés à la même époque mais lors de voyages hors
de New York ;
❙ et « Une fin incertaine » porte sur la période de maturité depuis son départ de New York en 1971 jusqu’à sa
mort en 1984 avec des images du Texas et de Californie du Sud, ainsi que de Chicago, de Washington, de
Miami et d’ailleurs. Cette troisième section comporte également un petit nombre d’images prises lors de ses
retours à Manhattan et dans lesquelles s’exprime une tristesse absente, jusque-là, de son travail.
Winogrand était connu pour être un grand bavard, doté d’une personnalité exubérante et impétueuse, et les
commentaires dont il émaillait ses projections et ses conférences étaient souvent pleins de verve et de drôlerie.
Des extraits d’une vidéo réalisée en 1977 permettront aux visiteurs de se faire une idée du Winogrand vivant.
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Garry Winogrand New York, vers 1962 Tirage numérique posthume d’après un négatif originalThe Garry Winogrand Archive, Center for Creative Photography, The University of Arizona © The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco
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❙ Un ChroniqUeUr exalté de l’amériqUe de l’aPrès-gUerre
Né dans le Bronx, Winogrand a bâti le pan le plus connu de son œuvre dans le Manhattan des années 1960.
Par le contenu de ses photographies comme par son style, il devint l’une des grandes voix de cette décennie
bouillonnante – au point que John Szarkowski, l’influent conservateur du Museum of Modern Art, l’avait
consacré « photographe central de sa génération ».
Connu avant tout comme photographe de rue, Winogrand, que l’on associe souvent à ses illustres
contemporains Diane Arbus et Lee Friedlander, a travaillé avec une énergie stupéfiante et un appétit insatiable
puisque, durant sa courte vie, il aura exposé pas moins de 20 000 bobines. Il a photographié les grands
hommes d’affaires, les femmes anonymes de la rue, les acteurs et sportifs célèbres, les hippies, les rodéos, les
politiciens, les soldats, les animaux des zoos, les amateurs de voitures, les aéroports, les manifestants anti-
guerre et les ouvriers du bâtiment qui leur tapaient dessus devant des policiers impassibles. La vie quotidienne
de l’Amérique d’après-guerre − aussi riche d’horizons nouveaux que percluse d’angoisse, au bord du
dérapage collectif − semblait se déployer pour lui en un flot continu.
Or, si Winogrand fut l’un des plus fins photographes de New York, il était aussi avide de voyages et, de ses
pérégrinations à travers les États-Unis, il a rapporté de remarquables documents sur des lieux comme Los
Angeles, San Francisco, l’Ohio, Dallas, Houston, Chicago, le Colorado et les grands espaces du sud-ouest.
« On pourrait dire que j’étudie la photographie », observait-il, « et c’est vrai ; mais, en réalité, j’étudie
l’Amérique. » Le vaste catalogue visuel que Winogrand a composé de la mouvance sociale de son pays a
suscité des comparaisons avec Walt Whitman, qui répertoriait lui aussi le monde sous forme d’interminables
listes de personnes, d’endroits et d’objets.
Souvent encombrées de vingt ou trente individus, les images de Winogrand fascinent aussi par leurs premiers
plans spectaculaires et par les événements secondaires qui se déroulent à leurs marges. Même débordantes
de personnages, même empreintes de franche gaieté − il raffolait des calembours visuels et était enclin à
l’absurde −, ses images peuvent exprimer un sentiment de solitude et renvoyer à un registre plus sombre tapi
sous le vernis du rêve américain. À ses débuts, certains détracteurs ont qualifié ses clichés d’« informes » et
d’« aléatoires », mais, par la suite, ses admirateurs et la critique ont trouvé une poésie unique dans ses
horizons penchés et son goût pour le hasard.
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« Artistiquement, Winogrand était un descendant de Walker Evans et de Robert Frank, mais avec des
différences marquées par rapport à eux », explique Rubinfien. « Il admirait Les Américains de Frank tout
en estimant que ce livre passait à côté de la grande affaire de son époque, c’est-à-dire, dans son esprit,
l’émergence d’une prospérité et d’un isolement des banlieues. L’espoir et l’entrain de la classe moyenne
américaine d’après-guerre occupent pour moitié le cœur sensible de l’œuvre de Winogrand. L’autre moitié,
c’est le sentiment de déliquescence. C’est la tension entre ces deux pôles qui donne à son travail son
originalité. »
Après un séjour dans l’armée comme prévisionniste météo, Winogrand travaille d’emblée comme photographe
tout en étudiant la peinture à Columbia University grâce à une aide, la G.I. Bill, accordée aux militaires
démobilisés (1948-1951). À cette époque, il étudie brièvement auprès d’Alexey Brodovitch à la New School
for Social Research. Tout en poursuivant un travail personnel, il se met à fournir des images commerciales à
plusieurs magazines tout public comme Life, Look, Sports Illustrated, Collier ’s et Pageant, alors à l’apogée de
leur puissance et de leur influence. Par la suite, sa carrière sera infléchie par le déclin de ces titres et par
l’avènement d’une nouvelle culture photographique axée sur le monde de l’art.
« Winogrand arrive à un moment où la frontière entre photographie journalistique et artistique n’a jamais
été aussi floue, mais c’est aussi une période où les photographes les plus en pointe abandonnent sciemment
les valeurs journalistiques », souligne Sarah Greenough. « Le paysage social qu’il photographie − le
bouleversement de la vie urbaine, le développement de la banlieue avec son repli croissant sur elle-même, le
scepticisme de la jeunesse et la collusion entre la presse et les puissants − inquiètent nombre d’Américains.
Cela dit, l’artiste a rarement avancé des arguments clairs pour expliquer ces évolutions, préférant l’évocation
poétique au journalisme intelligible. »
Winogrand, qui multiplie alors les expositions dans des musées de renom, connaît la célébrité de son vivant.
Pourtant, malgré cette reconnaissance, il est peut-être le plus mal compris de tous les photographes de son
temps.
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❙ le volet Ultime et « inaChevé » de son œUvre enfin disséqUé
Winogrand se plaisait infiniment plus à capturer les images qu’à les tirer ou les sélectionner pour des livres et
des expositions − tâches qu’il laissait souvent à d’autres. Vers la fin de sa vie, il disait vouloir reprendre toutes
ses photographies et opérer un nouveau tri, mais l’occasion ne lui sera pas donnée de superviser la mise en
forme de son fonds ni même d’examiner correctement la production de ses dernières années. À cause de sa
méthode de travail et, au fil du temps, de son désintérêt pour le développement des pellicules, il en a laissé
plus de 2 500 exposées mais pas développées et 4 100 qu’il avait traitées mais sans les regarder, soit un total
estimé à 250 000 images que personne n’a pour ainsi dire jamais vues.
En outre, de son vivant, Winogrand n’a publié que cinq modestes ouvrages − The Animals (1969), Women Are
Beautiful (1975), Garry Winogrand (1976), Public Relations (1977) et Stock Photographs (1980) − qui ne représentent
qu’une parcelle de son travail et se cantonnent à des cadres thématiques qui ne révèlent rien de son immense
stature.
« Si Winogrand ne fait l’objet que maintenant d’une vraie rétrospective comme celles déjà consacrées à des
condisciples de sa génération dont Diane Arbus, Lee Friedlander et Robert Frank, c’est que, pour se faire une
idée juste de l’ensemble de sa carrière, il faut d’abord régler les problèmes pratiques et éthiques posés par
les abondantes archives laissées à sa mort », explique Erin O’Toole. « En l’absence d’instructions claires sur le
sort à réserver à son œuvre après son départ, le traitement posthume de celle-ci fait en permanence débat et
soulève des questions brûlantes sur le processus créatif et son rapport avec les spécificités du médium. »
« Certains considèrent qu’il ne faut pas toucher à ce que Winogrand a laissé derrière lui et que nul ne peut
préjuger des intentions d’un artiste », ajoute Rubinfien. « Mais le volume de sa production, le fait qu’il ne l’ait
pas entièrement examinée et la soudaineté de son décès créent une exception qui fait que, sans l’intervention
d’une tierce personne, on ne pourra pas prendre la pleine mesure de l’œuvre de cet éminent photographe. »
Désormais hébergé par le Center for Creative Photography de l’université d’Arizona à Tucson, l’œuvre
« inachevé » de Winogrand avait été organisé, durant les années qui suivirent sa mort, par plusieurs confrères
et amis en vue de sa première grande rétrospective muséale tenue en 1988 au Museum of Modern Art de New
York (MoMA). Estimant que la qualité du travail de Winogrand s’était nettement dégradée au cours de ses
quinze dernières années, le commissaire de l’exposition, John Szarkowski, n’y avait présenté qu’un petit groupe
d’images de la fin de sa vie.
Près de trente ans se sont écoulés depuis la dernière tentative d’appréhender la carrière de Winogrand dans
sa globalité. Bénéficiant de nouvelles recherches menées par les conservateurs pour ce projet, l’exposition
actuelle propose un réexamen très attendu de l’œuvre du photographe.
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Garry WinograndCentral Park Zoo, New York, 1967Tirage gélatino-argentique ; Collection of Randi and Bob Fisher© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San FranciscoPhoto: Don Ross
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aUtoUr de L'exposition
❙ CatalogUe
Une monographie est publiée pour accompagner l’exposition.
Garry Winogrand
Edité par Leo Rubinfien, avec les textes de Sarah Greenough, Susan Kismaric, Erin O’Toole, Tod Papageorge
et Sandra S. Phillips
464 pages
Version française publiée par : Flammarion / Jeu de Paume – €45
Version anglaise publiée par : San Francisco Museum of Modern Art en association avec Yale Universtiy Press,
New Haven et Londres – €60
❙ visites et aCtivités CUltUrelles
leS reNdez-VouS du Jeu de PauMe
le mercredi et le samedi à 12 h 30
Visite commentée des expositions par un conférencier du Jeu de Paume.
❙ gratuit sur présentation du billet d’entrée.
leS reNdez-VouS deS MardiS JeuNeS
le dernier mardi du mois de 11 h à 21 h
À l’occasion des « mardis jeunes » du Jeu de Paume, qui offrent l’accès libre aux expositions pour les étudiants et les
moins de 26 ans, sont organisées des rencontres avec les artistes ou les commissaires invités, ainsi que des visites
des expositions avec les conférenciers du Jeu de Paume.
❙ programme disponible sur www.jeudepaume.org, rubrique « mardis jeunes »
❙ gratuit pour les étudiants et les moins de 26 ans
13
❙ aCtivités jeUne PUbliC leS reNdez-VouS eN faMille
le samedi à 15 h 30 (sauf dernier du mois) / durée : 1 h
Chaque samedi – à l’exception du dernier du mois –, les conférenciers du Jeu de Paume accueillent les enfants
(de 7 à 11 ans) et leurs parents, ou les adultes qui les accompagnent, au cours d’un rendez-vous avec les images.
Plusieurs parcours sont proposés, dans les expositions en cours et dans l’espace éducatif, entre les images exposées
et les images projetées. Les participants sont invités à découvrir les démarches et les pratiques de chacun des
artistes présentés.
❙ inscription : 01 47 03 12 41 ou [email protected]
❙ gratuit pour les enfants et pour les abonnés
leS eNfaNtS d’aBord !
Mouvements dans la ville
le dernier samedi du mois à 15 h 30 / durée : 2 h
Samedis 25 octobre, 29 novembre, 27 décembre 2014 et 31 janvier 2015 à 15 h 30
Réservées aux enfants de 7 à 11 ans, ces visites-ateliers sont proposées par le Jeu de Paume le dernier samedi
du mois. En lien avec les expositions en cours et avec le matériel en place dans l’espace éducatif, les participants
sont invités à composer et à éditer leurs propres images photographiques. Ouvertes à douze enfants, ces séances
permettent à chacun de mettre en page et d’imprimer un portfolio personnel.
❙ inscription obligatoire : 01 47 03 04 95 ou [email protected]
❙ gratuit pour les enfants
NouVeau !
12-15aNS.jdp
du mouvement dans les images aux images en mouvement
Mardi 21 et mercredi 22 octobre 2014, 14 h 30-17 h 30
deux demi-journées / durée : 3 h
Pendant les vacances scolaires, au cours de deux après-midis consécutifs, les stages de pratique des images
12-15ans.jdp proposent des allers-retours entre les démarches artistiques explorées dans les expositions
et des espaces d’expérimentation pratique. Des postes informatiques et des outils numériques sont à disposition
pour produire, transformer, monter, échanger, partager et éditer des images. Les thèmes, renouvelés à chaque stage,
impliquent les images fixes, les images et mouvement ou les images en réseau.
❙ inscription obligatoire : 01 47 03 04 95 ou [email protected]
❙ gratuit sur présentation du billet d’entrée aux expositions, tarif réduit (voir tarifs sur le site du Jeu de Paume)
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imaGes presse❙ Conditions d’Utilisation
La reproduction et la représentation des images de la sélection ci-dessous est autorisée et exonérée de droits
dans le cadre de la seule promotion du projet au Jeu de Paume et pendant la durée de celle-ci.
GW 01Garry WinograndLos Angeles, 1980–83Tirage gélatino-argentiqueThe Garry Winogrand Archive, Center for Creative Photography, The University of Arizona© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco
GW 02Garry WinograndNew York, vers 1962Tirage gélatino-argentiqueThe Garry Winogrand Archive, Center for Creative Photography, The University of Arizona© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco
GW 03Garry WinograndNew York, vers 1960Tirage gélatino-argentiqueThe Garry Winogrand Archive, Center for Creative Photography, The University of Arizona© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco
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GW 04Garry WinograndNew York, vers 1955Tirage gélatino-argentiqueThe Garry Winogrand Archive, Center for Creative Photography, The University of Arizona© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco
GW 06Garry WinograndNew York, 1969Tirage gélatino-argentiqueCollection of Jeffrey Fraenkel and Alan Mark© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San FranciscoPhoto: Don Ross
GW 05Garry WinograndAlbuquerque, 1957Tirage gélatino-argentiqueThe Museum of Modern Art, New York, purchase© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco Digital image © The Museum of Modern Art/Licensed by SCALA/Art Resource, New York
GW 07Garry WinograndNew Haven, Connecticut, 1970Tirage numérique posthume d’après un négatif originalThe Garry Winogrand Archive, Center for Creative Photography, The University of Arizona© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco
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GW 08Garry WinograndHouston, 1964Tirage gélatino-argentiqueThe Garry Winogrand Archive, Center for Creative Photography, The University of Arizona© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco
GW 10Garry WinograndChicago, vers 1971Tirage numérique posthume d’après un négatif originalThe Garry Winogrand Archive, Center for Creative Photography, The University of Arizona© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco
GW 11Garry WinograndNew York, vers 1962Tirage numérique posthume d’après un négatif originalThe Garry Winogrand Archive, Center for Creative Photography, The University of Arizona© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco
GW 09Garry WinograndLos Angeles, 1964Tirage gélatino-argentiqueSan Francisco Museum of Modern Art, gift ofJeffrey Fraenkel© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San FranciscoPhoto: Don Ross
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GW 12Garry WinograndDallas, 1964Tirage gélatino-argentiqueThe Garry Winogrand Archive, Center for Creative Photography, The University of Arizona© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco
GW 14Garry WinograndLos Angeles International Airport, 1964Tirage gélatino-argentiqueThe Garry Winogrand Archive, Center for Creative Photography, The University of Arizona© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco
GW 13Garry WinograndCentral Park Zoo, New York, 1967Tirage gélatino-argentiqueCollection of Randi and Bob Fisher© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San FranciscoPhoto: Don Ross
GW 15Garry WinograndNew York World’s Fair, 1964Tirage gélatino-argentiqueSan Francisco Museum of Modern Art, gift of Dr. L. F. Peede, Jr.© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San FranciscoPhoto: Don Ross
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GW 16Garry WinograndPark Avenue, New York, 1959Tirage gélatino-argentiqueCollection National Gallery of Art, Washington, DC, Patrons’ Permanent Fund; image courtesy National Gallery of Art, Washington, DC© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco
GW 18Garry WinograndMetropolitan Opera, New York, vers 1951Tirage numérique posthume d’après un négatif originalGarry Winogrand Archive, Center for Creative Photography, University of Arizona© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco
GW 19Garry WinograndDemocratic National Convention, Los Angeles, 1960Tirage numérique posthume d’après un négatif originalGarry Winogrand Archive, Center for Creative Photography, University of Arizona© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco
GW 17Garry WinograndFort Worth, Texas, 1974–77Tirage gélatino-argentiqueGarry Winogrand Archive, Center for Creative Photography, University of Arizona© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco
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GW 20Garry WinograndRichard Nixon Campaign Rally, New York, 1960Tirage numérique posthume d’après un négatif originalGarry Winogrand Archive, Center for Creative Photography, University of Arizona© The Estate of Garry Winogrand, courtesy Fraenkel Gallery, San Francisco
Limitation de responsabilité sur les images
Le SFMOMA (San Francisco Museum of Modern Art) est très attaché à la protection des droits d’auteur et autres droits de propriété intellectuelle des artistes créateurs et autres titulaires de droits de propriété intellectuelle. Le SFMOMA accorde l’autorisation d’utiliser une image uniquement s’il est propriétaire des droits sur l’image en question. Certaines œuvres d’art et photographies d’œuvres d’art peuvent être protégées par des droits d’auteur, marques de fabrique et intérêts voisins dont le SFMOMA n’est pas propriétaire. La responsabilité de déterminer l’existence de tels droits et d’obtenir toute autorisation nécessaire incombe uniquement à la partie qui reproduit l’image. Le SFMOMA se réserve le droit de demander copie de telles autorisations. En outre, l’image doit être reproduite avec mention de la source, et elle ne peut être rognée, déformée, mutilée ou modifiée de toute autre manière qui puisse nuire à l’œuvre d’art ou à l’honneur et à la réputation de l’artiste.
20
partenaires principaUxde L’exposition
❙ neUflize vie
Mécène principal du Jeu de Paume depuis sa création en 2004 en étant associée à l’ensemble de ses activités,
Neuflize Vie a choisi pour le dixième anniversaire de l’institution nationale de s’adosser plus spécifiquement au
temps fort de sa programmation 2014 : la rétrospective consacrée à Garry Winogrand.
En apportant sa contribution à la présentation en France de cet événement qui a déjà fait l’unanimité à San
Francisco et Washington, la Compagnie souhaite favoriser la découverte par le public parisien d’une figure
canonique de la photographie américaine du XXe siècle trop tôt disparue, encore mal connue et résolument
intemporelle.
Au travers de ce partenariat, Neuflize Vie - qui s’est engagée depuis sa création en 1990 dans une politique active
de mécénat pour le rayonnement de la photographie contemporaine - souhaite que le plus grand nombre puisse,
comme elle, mesurer la force d’impact et la troublante construction, d’une grande contemporanéité, des images de
ce grand maître de la street photography américaine de l’après-guerre. Convaincue que la photographie nous aide
à garder les yeux sur le monde, la Compagnie d’assurance vie et de capitalisation invite le public à trouver dans les
images de Garry Winogrand « qui nous sommes et ce que nous ressentons en voyant à quoi nous ressemblons »
comme dit lui-même l’artiste américain, qui utilise la photographie comme un instrument d’investigation.
Garry Winogrand est indéniablement un « explorateur », exemple par excellence de ce que peut être un regard
expérimental, toujours à la limite du champ, prenant tous les risques, scrutant toutes les solutions, allant avec
courage jusqu’à l’impasse, et posant ainsi la question de la valeur en photographie.
21
❙ la manUfaCtUre jaeger-leCoUltre
Depuis 7 ans, Jaeger-LeCoultre est fier de s’associer à la démarche du Jeu de Paume et sera à nouveau
présent en tant que partenaire de l’exposition « Garry Winogrand » présentée à Paris à l’automne 2014,
du 14 octobre 2014 au 8 février 2015.
Dotée d’un esprit visionnaire depuis plus de 180 ans, Jaeger-LeCoultre soutient le monde de l’Image et
confirme son attachement à la création artistique dans l’univers de la photo et du cinéma.
Pour Jaeger-LeCoultre, l’art du temps se traduit par la volonté, chaque jour, de se perfectionner pour
atteindre la virtuosité technique et l’excellence. L’univers de la haute horlogerie et l’art de l’image requièrent
certainement les mêmes facultés : le regard, le souci du détail, le perfectionnement de savoir-faire
ancestraux associé à une créativité incessante et la passion... tous deux visent le même objectif : l’émotion.
22
❙ ratP
La RATP s’associe au Jeu de Paume et à l’exposition « Garry Winogrand » dans le cadre de la 4e édition de
« La RATP invite... » : d’octobre 2014 à février 2015, elle exposera des photographies de Garry Winogrand
dans une quinzaine de stations et de gares de son réseau proposant une visibilité unique à l’œuvre de cet
artiste américain auprès du grand public. Certaines images seront exclusives au réseau RATP, offrant ainsi aux
voyageurs un parcours complémentaire à une visite au Jeu de Paume. Dans les stations et les gares,
la présentation des photographies se fera selon plusieurs dispositifs : formats 4x3 mètres sur les quais,
et 2x1.50 mètres dans les couloirs ; scénographie spécifique et de grande envergure dans certains espaces
(par exemple : sur des grandes bâches accrochées sous les viaducs de métro). Les images étant reproduites
plusieurs fois, environ 250 seront ainsi réparties sur le réseau.
« La RATP invite ... », initiative lancée en octobre 2013, est devenue un rendez-vous régulier illustrant le nouveau
souffle que l’entreprise a donné à sa politique culturelle à travers la photographie. L’entreprise s’est engagée
à inviter régulièrement des photographes - des jeunes talents ou des artistes de renom - et mettre ainsi à
l’honneur leur travail en investissant massivement les espaces de transport. Grâce à la photographie, art
de proximité et forme d’expression artistique accessible au plus grand nombre, la RATP souhaite renforcer
ses échanges avec ses publics, en donnant une plus grande envergure à la politique d’animation et
d’aménagement de ses espaces.
www.ratp.fr
23
informations pratiqUes
❙ jeU de PaUme
adresse
1, place de la Concorde – 75008 Paris
01 47 03 12 50 – www.jeudepaume.org
Horaires d’ouverture
Mardi (nocturne) : 11 h-21 h
Mercredi à dimanche : 11 h-19 h. Fermeture le lundi
tarifs
Plein tarif 10 € / Tarif réduit 7,5 €
Entrée gratuite : une vidéothèque éphémère, programmation Satellite ; mardis jeunes (le dernier mardi du mois
de 11 h à 21 h pour les étudiants et les moins de 26 ans) ; les moins de 12 ans
Billetterie en ligne sur le site Internet du Jeu de Paume, avec la Fnac, Digitick et Ticketnet
abonnement annuel et partenaires culturels
Accès gratuit et illimité aux expositions et à toutes les activités culturelles du Jeu de Paume
Abonnement annuel : plein tarif 30 € / tarif réduit 25 € / tarif jeune 20 €
❙ visUels Presse Visuels libres de droit téléchargeables sur le site www.jeudepaume.org
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