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NEIJVIENIE ANNEE. N. 4531 ADmareisTRAM0A satImumez WB, leo ilsegeskiac MARDI 22 MEIER 1916 t'ACE RtoiorIngs *AIS, Iltalallra. laRieta. mentacitemomnerest.e, 08161,110,2,13AUTISerraagia, asesseserietataz. uiameo, rsaleser-es.eget as», mulles. Maa117.-0.1anatara. T191151,aglall imprimerie de la Presse ha Guerre au pariant res du Conseil d'Administra_ Lie pflII5ERIB DE LA PRESSE liond'assister à i-éunion qui ele IP; a dimanche 27 février' à 9 h. 30 eue --.les bureaux du journal. r gaant, dans dispensable. préSolee gCS elle tallait s'attendre qu'à la faveur du" 'ester incident de Snicc. les seer- , d. Par leviteret reviendraient ài la et reprocherai ent aigrement aux egan =dg ne pas être à leur vrai peste fle-a "j«. Publicistes, dont plus d'un per_ faire exempter totalement du .rsticei"esinititaire bempu de paix al se mi,» proclamer Li inalffe ",en de guerre. n'ont pas mamie, e endre l'argument dégnagogiqm des députés sac-au-dos tt comme les gros, qui sontd'ailleurs peu près ons à Verrière. et ree 'portent pas de quand ils se trouvent ès Damant. Il est mémo des députes ou Petit jj y gr, qui Tant Me- m avec les journalistes. Que ne mon- /mit-ils les effets adanirables que lem produirait sur le front, corn- . le protases.: grec dlémOiltoui le flmentent oui 'mare/tant ? Je souviens, d'ailleurs que les me- mn vs de cette 'redoutable campagne ont M entourages indirectement par Plié- ilatim que le Doctement aniinodi Iran- ber résolument la question ; à &Ta- laat, de teflon précise la .place, le pas- le exact du député en temps de guerre. gamone en temps de paix. Evidernment il ne devrait pas sole- ver un doute là-dessus, C'est une ques- ion de sens commun, routant que de patriotique prévoyance. La place des députés est sur leurs bancs, en séance publique eu de commission, à organiser rit epatrôler les moyens de disfense ! On eût bien surpris les hommes de la Révolution, si on leur eût dit que la Muée des représentants n'était pas à la Legislatille on à la 'Convention, mars à la caserne ou dans les régiments. Il y avait, sinon des soldats, tout cm Moins des officiers, sur les bancs de :Une et de l'autre assemblée, à une date où l'émigration avait désorganisé os cadres et où la situation militaire était d'une -extrême gravité. Une sente fais un député de lu légis- lative souleva la question de savoir si in député .pouvait exercer une fonction militaire, et aller au front autrement gess cemmismiremontretleur. Ge fut Dumas lieutenant-colonel d'un régi- Ment d'ancienne fumeron, dont Id eu- innél venait d'émigrer, -en tentant d'en- Irainer les hommes avec lui. Dumas de- monda un congé pour -aller ciao-nia-n- ier progisoireme.n1 son régiment Où effertescence était grandie La L' ' 1 . agis a- Inc' passe à l'ordre du jour, -sur ce que la place des députés était à l'Assam- tfiée. Les deux tiers de le Convention 'cas'- est dû prendre- te chemin da la from tlre si l'exercice de leurs fonctions ci- lms n'eût été considéré infiniment /ro profitable à la tarie u de s,esa, p que calai ofhome. C'est la raison roc laquelle Carnot, Barras, Dubois rent - 99eè, Lageombe SaintiMlethel. restè- à leurs bancs q.Au.,o_ours do la guerre actuelle' on n'a à l'esprit d'égalitarLS- qvreet et stupide une. molvili- le Parlement eût seulement tort de 255 pas, avoir reivisé d'avsnee. 11,e_el. ff0.1 eeténée tri, iprevé la Frau- t do ses ineulleurs agents nale mur, Privé la Défense Nailo- il rilaborateure irremplaçables. 1es le.Uffelits Opiniâtres, inlassés Alpe parle-men taises, polir eller les 'chimistes dons lems et les iilgénieurs d'ans les se.fleuraient jamais dû quit- .bert Thon était mus-officier ou enant d'administration ou de- e. =Mobilisé gomme ses 4 la faveur, par une e à tentes les Mgtes, production des Mu- a hase de e à la tût, de laquelle me,m,s,k,,tilldfiledibui on qualité de 1. d Grog. Croit-on qu'il eu un bureau, so leu o nus-intendant servicers- Puna qu'il peratel au jour! tt.tk qui,. alimentera le guerre igte,e,l1I ordonnera la vie ppe,?_redisetion agritole. rer'uteal- rgjj quopcm, de tout ordre- qui se po- ,t1 fe à sem - _tt,M ment ? J'ai quelqu' e s rulerinitereogations mpérience de six' mois 455 Parlement. suspens ce:finettea un joie les 4é- .1'ell51enee's, Sinon les cati- Rau At Gustave ROIJANET, ITER LIRE LE « &Hum SOCIALISTE » Lo Parlement n'a qu'A se bien tenir I Yeroi M. Pierre (Bk, du « Télégramme a, quis. part en guerre centre toi ! 11 a ache 11. °omble M. DOMra après qui on le croyait três acharné. Mais, n'ayant paierie ti bout d'un seul député, il veut, désormais, avoir raison de la Chambre entière. Même assai- sonné dsa habituels br.ards, dont Ittvi. Abel Ferry, Accambray et nos amis ,Renau-del. Brime et Earthe Marrent pas trilp de mal .à se remettre, il pourrait passer inaperçu. Mais son seul intérêt c'est del. I ticiho local aune campagne dont nous Ofinnaissons l'ori- gine, les tendances et le but, tille émane de certaines Microos réactionnaires q-au n'ont ras perdu- tant espoir de reprendre le pou- voir à la faveur des événements actuels. Dés le début de la guerre, le mot d'ordre On la presae de droite fut l Silence au Par- lernat I Art-on bassin de députés quand on se bat t La parole est au canon ! etc... Sous le couvert de ces facéties, on comp- tait habituer la France au régime persan- liel. C'est alias que nous connûmes le règne de la bureaucratie dans toute sa splendeur etdea abus suas nombre qui se répercutent encore sue la situation actlielle. Peu A peu, nos institutions parlementai- r. ont eejmndant- rade- peperdniMIM45t5e res Ont cependant tendu à. reprendre leur fonctionnement normal. C'est là le serre de la grandeicoffre des jOurnaux de droite. /ls crient au- seandale. -Mais, comme rai déjà ca Pmeasion de l'écire, ils exploitent h plai- sir les menaa incidents parlementaires, les mouvements de nervmitté inévitables dam toute .semblée. Le scandale' ce sont eux seuls qui le veulent et qui le créent par leur publicité tapageuse et intéressée. Certes, nous ee mamies pas, ici, les ad- mirateurs l'écale du réglons parlementaire. Noms avons maintes fois reproche leur iner- tie démocratique à la 'Chambre et au S'IMM. Aux trep.lengues palabres, nom préférera nous aussi, et de beaucoup, l'esprit réali- sateur de la Chambre des communes qui a, per exemple, depuis longtemps voté la taxa- tion des bénéfices de guerre, alors que la Chambre des déifiais l'aborde à pelm et que le Sénat, ensuite, s'appliquers h l'atté- nuee. et h en -retarder l'adoption définitive. Mais les reproches que nous adressons à notre système parlementaire ne sont pas du mémé ordre gus ceux qui lui viennent de droite. Nous voulais un Parlement gut, tienne plus largement compte des aspira- tions populaires, un gouvernement qui ne se moque pas do la repréSentatien natio- nale, un Mormandement aeceptant un indispemable contrôle et la lartidionai- liane° du pouvoir civil. C'.t pourquei-neus nous réjouissais que 169 sec ialistes et fermes républicains n'arent pas :hésité A se séparer de leurs collègues pour signifier ces vérités premières au gm- vernmnent. Ce nMst qu'une minorité t une vietoire .pour M. Briand, ont imprimé per- lai. journaux -de .dmite. Vraiment il s'agit bien de Ce genre de vietoire l'heure eue nous Vivens I Ce vote, rompant pour la -pre- mière fois l'unanimité b.abiteelle, révère, en vérité, un -malaise paifond, un sourd ne- contentement de la démocratie. C'est mt symptôme dont il faut retenir la gravité. Ne parlons donc pas de violon». Appelons-le, plus simplement, un sérieux avertisse.. -pour le gouvernement, et la preuve que le nombre grossit, tous lm jours, de ceux qui ne veulent plus Atm dupes de Punioa .crée et des manuvres envelappantes de la régetion. C. MARCEL-LIEERT. P.-S. -Seul de la -presse socialiste (il est vrai que sa Victoire a' l'est si peu à peu jtrès seul de la presse républicaine, Gustave ;Hervé qualifie d' n étourderie r /c vote du groupe socialiste parlementaire. L'hanifite aux multiples matars, ceint uni, -pendant plus de dix ans, a cornpromis fac- tion et l'influence du Parti socialiste par son antipatriotisme tapageur ; celui qui no compte plus ses e erreurs pédagogiques et qui, selon l'expression de Paul LafarAnic « prime sa vie à allumer des pétards peur faire retourner les spassante s, en vient A traiter les autres d' « étourdis » et û s'ima- giner qu'II y a plus de sagesse sous sa ci- rainette crânienne que dans le cerveau d'un gemme d'hommes ayant denué quelques ga- ges au prolétariat et la preuve d'un peu plus de réflexion et de suite dans IM idées qt notre père la Victoire !... Non, vrai- ment, c'est à pouffer de rire ! Nos Collaborateurs Un de nos collaborateurs et anus ma- nuisis, qui collabore également a l'Hu- manité mue le Dsouréennymo ti Le Soldo /- Citoyen o. nous adresse mus ce titre t « Relire.ua sur la Guerre s, une série d'artmLes où il note los force morale dies idées socialistes et pacifistes au peint de vue de la Défense Nationale. Nos tentent. Lro.erent, d'antre part. Le pre- mier 'article de retro étude remarqua- bles-1mM écrite et fortement pmmée. E C 110 S LINE POETESSE Dggdigment e faut vous parler delta. 1155 ex- hibition toute »Sente dans la « riorenee seau- laine l'exige, ou tout au moins le permet Elle nées Locie Delarue-Mardrus e, mais ce n'est Là man pseudonyme. Son vrai nom, vie- tur Stre61 Pa, un j"or eidcouvert, et 12001 l'a rait connattro Eile n'aboula saisie de /a Mar- molaires. Jarnals c le -cemblle nomme kt mieux port» La justification de ru nom so- nore s'étale en onze quatrains dans les colonnes du Télégramme d On ! le réas, » inédit 1 Quel malheur pour In Poétesse, quel malheur meii ne le soit Voua .7 l'év7. su0e,.peut-être I 11 faut dus» en détacher, pour vous pe offrir, les morceaux on La Mass s'est livrée tout entier° échevelée, ardente passionnée Cela S'appelle Tnvitarion à Jeanne d'Arc Le titre est peut-être vulgaire mata golitez oh I eût.; je vous en prie, la .plendeer lyrique de r Mvitatisn Mademaselle Jeanne d'Are, Beur cheval du beau MM -George, Oie »avec vous pm que nos ferle, Pont mieux que la flache et que l'are ? 0 jeune fele capitaine tel perten le plus beau des mins. Venez voir .mment notre haine Tonne et macho dans me canon. Souffrir pour bouter /ors de Drapée, Vous meg su le faire, vous I Vous veilliez user vos genoux... Venez dune voir notre souffrance I Venez voir dans les eniatre vents D'une inoessante et folle foudre, Gomment ils se laissent 'dromidre, t Nos soldate enterrés vivants ; Gmment, changea en nids de guêpes, Ms meurent parfois e,nfurnes, Tous ms els, tom ces bien aimes, P.a. il-ai Sa 'portent-tant de créa., - Mol, j'ai besoin de respirer. Mon souffle est loin d'être égal au suffie de sa Muse. Je veux respireras et réfléchir. Tant de lyrisme nié pouvante je m'égare parmi de beautés Ar ffimigaik1A-je vans- comprenèr6: Mais qmet. ma solleo est grande I La /10111 même de la Pué fesse n'interdit-il pas la romprobersion 5 Rési- gnons-nous. Et vous, I Jertaaa smur de Saint iiircirges, vous Pucelle et élaripre, vans eei avez tant souffert Jadis peur les Anglais, mime vous avez de souffrir plus encore par cette .furieuese évo ultion I Et vous, nos soldats, vous changes on c nids de .guêpes 0, grands dieux s,. Ah I uuoous au ...Prend ta pruden. de Cane Lu oie « Moue nous gardons. droite, â gauche, Et nous mus gardons au .dessus..» Evidemment évidemment, contre tant de e nids mouvants de guêpe.. Jehanne, si vous m'en croyez voue suivrez le censeil que vous dame, en en de crise cella qat oous évoqua. Retour.. a .puisom ils vous y 'ont mise retourn.-y et dormez-y paisiblement. Et que ;Mme de la Marmeldrus retourne b roffl., 569° jour de la guerre. Corrinau.micriés Officiels ComanutsniciusS F'razlçais Parts, 21 lévrier, 15 heures. Faible action des deux artilleries sur l'ensemble du Iront, sauf au nord de Verdun où elles ont eu une certaine activité. EN ,ô111/1"0-13, au nord-ouest de la ente 140. I ennemi a tenté sans s tores deux attaques locales à la grenade. Une eseadritle de cinq axions frappais a bombardé les dép0ts, do munitions ennemi» du château de Martincourt et diArnudeige, (sud-ouest et sud-est de Dieuze). Des ariens allemands ont lancé, nette nue sur Lunéville, Dombasle et Nein. quelques projectiles qui n'ont causé que, dr, faibles dégâts. Lae Cornrxruniqué La nuit dernière l'ennemi a prononoé Nos scions ont accompli avec succès un rab' contre nes tranch9es, à l'inest un raid de nuit coutre l'aérodrome de de Serre, après un viol,ent bombarde- Cambrai. Les bombes tancées sur le,s ment, Ii a échoué dans sa tentative, hangars les ont traversés et y out fait Au sud-est de Ecesinghe, l'ennemi s'est explosion. egnipare d'un peste scanné sons imper- Les appareils sont revenus artacts. tonca que nous tenions. Les succès russes s'accentuent La débâcle de l'armée turque. - La Bulgarie convoite la possession de Salonique. - Le gouvernement roumain augmente ses crédits de guerre, . Communiqué. russe Au Caucase, dans lu poursuite des Turos, nous avons- encore fait prisonniers 49 offi- ciers et environ 204)0 soldate No. avons .pris six canons et un grand nOmbre War- inou et des caissOns de munitions. Au cours des embats, dam la région d'Er- Herm., un drapeau tus est tnlie entre nes mains. L'avance en Arménie amelres, 21 février, Le corresenda.nt du Daily Telegraph à nome mande u son aurnal que toutes I. communies- lions sont interrompues entre les Tures da Glu- aune et ceux d'Arménie par sufie de l'avanse des cimes. Lamentable situation des Turcs lactrugrad, 21 février. La troisième armee turque, dans la retraite désordonnée °ansée par la rurptere du front d'Erzeroum, recula en troncons séparés et dés- loques. lare est sans vivres, à une distance énorme de toutes les bases d'approvisionnement. elle .t destinée à perdre au -moins la plie .grande par- te de sa artillerie et une grande part de ses effectifs .En un mot, l'armée est, des maintenant, aux mains des Russes. Tout retour offensif des Ottounansjimême sils conee.nbuient in on nous 05000 .plus grandes for- °au, n7rcit tocan. des -plus difficilesu cause du manque complet de moyens de conmunica- lions. 'L'occupation de Mouah Le oorresonmt du noie, seau Frietrogf'vrriaeriad- legmphie c La nouvelle &neve de. Pocoutation par les troupes rases de la ville de moush en Arménie est -dam grande Importance, spécialement si Ton prend en considération nos suce. dans la qu'elle y fass Os crêpes, si elle veut, qu'elle y migrasse sa muse, qu'ale PY bosse, mais, Pm Minerve, gimile n'écrive pl.. UA e FILLE GOIIIER , L'infime Gobie, moralement responsable de P.sassinat de laures; in triste faquin dont 'férie, mutant pas bégueule, a ità se séparer, le sinistre farceur, qui se maintient au /msui par le chantage, déverse dineps .preses dans les feuilles réactionnaires de .provinee. 1,e Télégramme les recueille dévotement I. jugeant, sans nue doute Mues de lui Il fut en temps où cette freine se gardait des écrits de Cahier <Amine de la peste, O'êtait pen- dant l'affaire Dreyfus Cahier qui a mangé tous les râteliers et qui sortait alors du roya- liste 10151, de Paris..., pour revenir si SOleil royaliste, de Marseille écrivait alom l'Année de Con*, l'Armée ronire la Natio, Il tartinait date l'Accore. traitait de c lâches e des faallea-aiaaaS,,, de mise-cliche 0, de « mâ- tinée de belons « Os aristocrates perisilt ga- lons et miette rouve. Auourd'hui, il revient A son vomisement. 11 défend 1. Modaux. Il se falt valet d'aristocrate. Voilà -pourquoi le Télégram171¢ le met an Pa- 1,10 dans sa c Revue de la Prase Autrefois, dans le Eagranime, an des collaborateurs de Pépoque, 10h n. flegont, écrivait en parlant du répugnant panuiblétaire « La Selle Gehier I Mxs eneen-rom &maqua ledit Gaie bave aujourd'hui contre le Parti socialiste et les par- iemenlairca de ne Parti ? l'eft ' r gare& l?om-Pam'eti-; etr''.2 n'a p'ra vaul. lui Cairn une Atuation Iprêponderante, l'entretenir grassement pour qu'ilpfit en toute tranquillité faire son métier d'ira/ré, â sa- les et eum'rtir notre doctrine pacies.te et inter- nationaliste en un antimilitarisme grossier et vulgaires en une démagogie mtinatrietique vi- usaI imbéciles et tifignmeolm héla nettement déversées contre les galonnards, Parce quo nous avions le mieux placé, nous n'avons pas sun& tomber dans cc page, Gobie, quand il s'égara oies nous dut rester dais $on 5010 1 celui de roquet, Haus -avions fiairé que cg moment il voulait safirodeire dans ans-ras-os pour discrédiSr notre idéal et faire une besogne dissolvante agréable h la congréga- tion rra 0 srt et où le voilà retourné eto. .avons écrit qu'il avait suceeisivement mangé à Sue les râteliers. Qui sot ? A ce mo- ment-LA il pe.ui-etre réalise le miracle de mangeria deux râteliers â la fois t région côtière de la mer Noire. Delà nous Pres- SOM Potier° de l'ennemi dans la direction de Trebizoede. Les dem fanes de la position sont hien en .main. Sur l'ensemble u front les Turcs se retirmt en désordre. L'Armdei 'est perdue pom eux. » Le grand-duc Nicolas part pour Erzeroum Petrograd, 21 février. Le généralissime de l'armée du Cama. grand-duo Nicolas, ..est parti pour Er amouni: Les renforts turcs font demi-tour Eretrograi, 21 avriers Le correspondait de la Gazette de la Wnelle de Tias télégraphie cm deux corps turcs. e ,1 marchaient .mme renfort sur Erzeroum a'd rebroussé chemin en apefint .s dom do la fort...Au L'armée de secours d'Enver-Pacha Lande. 2f février. De Petrograd an Morning-Pose Osai» mies .regu d'informations du t d'Emma. 6 » Mais point de nouvelles' en ce moment. oh les Bues. poursaivent ardemment amerri: si- grime bonn. nouvelles. Emprends 'use a-M. de Amours com- mandas par Enver pacha, est partie dé Sivas pour Erzcronm. A SALONIQUE Le raid sur Stroumitza nom 2.1 lévrier. Lu orirresprondant de I. gazetea da Papa° I, Saanleue dit que il chiffre de muets et blessés llgares à la suite .e.lu raid aérien tramais sur Réflexions sur la guerre Les Allemands sont-ils invincibles? Je me propose -par de Ms simpl55 relexions, d'attirer eattendon des lecteurs de ce journal sur quelques-uneu des concéusions qu'il est des O présent .possible de tirer de la conduite et de la réalité même de la -guerre. Je me .propos, Par a, de à la fais â l'éducation politique de notre Parti et à l'organisation de toutes les forces défensives du pays luttant pour son dr; jell et po, Les victoirm des Allemands en Pologne, en R.sie, en Serbie, démontrent la force Metlernent irrésistible de leur offensive sur I, front oriental, alles démontrent aussi que cotte force ir- résistible cet due à trois muses- En premier lieu, elle est due à la puissame du -matériel. Les Allemands ont à profusion, et de qua- lité supérieure, I. engins et les moyens né- cessaires pour reconnaître les positions en- nemies, pour les foncer et /es organiser, mur détruire 1us fortificatieuu et les armées ad- verses, pour ravitailler leurs propres -armées et les porter en avant- Mais cette fsnidable pnissa.nce matérielle -serait inutilisable et vaine, elle serait Mme .pratiquement nulle si elle n'était servie par an» puissanee adéquate d'organisation. Or, l'expérienee Mme, dana les moditims plus .diffloiles, a preuve que J'organisation militaire des Allemands nlétait pas infé- rieure te la constitution de leur matériel de guerre. Les .ravdadlements et les meuve- menés de lemrs Bômées ont manif.té la maîtrise de leur .mithode, de leur adminis- tration savante, .d.sciplinée, audacieuse et ponctuelle. Cette maltrise elle-Mme révèle Min seu- lement une vigeureuae pensée directrice. Strouratza, est de 200. Li plupart des victimes sont des comtalps qui sont concentrés a Shan- mits en grand nombre. Les exigences de la Bulgarie Londres si février. On télégraphie el'Arreanes Le Messager d'Ael,,d,s gai dispice d'interno. fions dignes de foi, palle la dépéehe suivante de Bucarest c L'Allemagne suce» pu 05 multier tous les intérêts opposés dé la lamie et de l'Aariebe, D'ap.s uu renumortnent vraisimblaide. te gouvernement de 9, Radesiaeoff, pas 1105 qu'an cun autre Aouv,liment Mideera les alliés O Salonique, â mins qua la pesession de cette ville ne soit garantie n la Bulgarie. e Tant que l'Allemagne n'obtiendra pas le .nsentement de l'Autriche de cE cession, la Bulgarie ne bougera pas, » Un hommage à l'oeuvre de Sarrail Salonique, 21 février, La Hestia dit que même si l'offensive alle- mande contre Salonique ne . produit pas la Menm malaire, jugeant de façon impartiale, rendra à l'orme sema-m..1)1e du gifee-érill Sar- rail O Satanique l'hommage qui bd revnt et en tirera le três haut enseégneennt qu'elle can- Porte. Incursion bulgare en territoire grec Salonique, 21 taYrIer. Le 17 février, une pa,trouille bulgare a tra- verse la frontiAre .prés de boiras. - Elle a rmicontré une patronille grecque avec laquelle cimes échangé des mou de feu. L. Bulgares se sont retires en -perdant demi tués. la Greo a été blesse Le général Sarrail se rend à Athènes Salaniqm, 21 février. Le général Sarrail a quitté aneurd'hut Salera gie pour Athenes 00 10 rol attend sa Sm, On attaehe une krande importanse â ce voyage qui marquera dausl. rotai...ode la Grâce av. laktento. On rapproche de cette visite celle que les gé- néraau grecs viennent de faire aux lignes al- liées, ainsi que les taenias de ravitaillement qui ont été accordées par le général Sarrail aux troues de Serrés, En Albanie Occupation de Bérat Genéve 21 février, Les Autrichiens annoncent la Prise des posi- Rons avancées et l'oempation de Ben, Vallona bombardée Brindisi, ai février. Des avions autrichiens ont jeté des loh. nue Vallona /I y aurait plusieurs Vidallea, parmi 1.quel- les le consul d'Italie et do membres de au 01- mille. Les 516gats matériels sont asse. importants. En Roumanie Le crédit de guerre porté à 600 millions Geneve, 21 Perier Le gouvernement roumain a soumis b la aambre des drontes m prrot de loi diapres lequel m crédit e guerre de 200 millions est porté A 600 dl sera couvert par des 1315e du Trésr et des cuipeants intérieurs et .terieurs. Take Jonesco chez le roi lan.r.t, 21 février. Le rai de Roumanie a accord» une audience a M. Take Jones°. Le chef du groupe sneerva- ur démocrate dont n musait les Mammies nettement interventionnistes, n'a pcm .dissimule sa eatisfaction Il y a Mie, actuellement, b 13mmest, une impression de rdelle cnte. Tout le moirde se prépare en vus des événemona dont le murs déterminera les résolutions ullerienres, nuis tonte une théorie du gouverseement, toute une -philosophie de l'action. L'offensis e allemande réalise, avee une ampleur dé- monstrative, la doctrine du pangeemanisme agresseur. Si intolérable, si eondammble que sait cette doctrine, c'est elle qui inspire, dans ce qu'elle a de plus formidable, l'an- tira militaire des Allemands. Elle ne t'inspire pas, elle ne la soutient pas parce qu'elle est contraire au droit et à la raison ; mais elle l'inspire et le 'soutient parce qu'elM est une doctrine, une pensée, un système de forces mentales capables de pronmuvoir une mlossa/e machine de guerre et d'oppression Les Allemands .nt-its dom invincibles Leurs chefs peuvent le dire, et fis peuvent enx-mêmes le penser. Quant Maous, la con. ception d'une -puissance qui, -par le maté- riel, .par l'organisation, par la doctrine, se- rait invimible pour la domination et l'hé- gémonie ne nous parait en elle-même com- porter aucune impossibilité La question est de savoir, d'abord, si elle est 'réellement in- vincible, et ensuite, si le inonde .civilisé con- sent à être vaincu. Or, si lm Allemands ont obligé les Russes In retraite, ils n'y ont pas, â l'heure ac- tuelle, oontraint les Français. Ils «n'ont pas abattu' la puissance maritime de l'Angleterre. L'Italie est intacte devant-eux. Peu importe qu'ils occupent presque toute la Belgique et une partie de la Prame u ee résultat, con- sequeme de leur prernia.e offensive, qui ne saurait se reproduire dans dus eonditions identlques, n'a pas été dépassé jusqu'A. pré- sents Pen importe môme que, par une Offen- sive nouvelle et par des .nyens renoutuas il (rallie l'être ; l'essentiel e,.fi que I offen- sive allemande, sur le front oriental, a été mrêtée et, sur certaine points, refoulée. Les Allemands, l'expérience le orouve, peuvent être vaincus. Lb SOLDAT-CITOYEN, Le voyage de M. Filipesco Bâle, 21 février, gilipesco serait parti pour la Russie nier, Pendant son voyage, l'ancien ministre rou- main sera rem en audience par le tsar, et II se propose d'aller emidte sur le Ment ru.o peur se rendre .compte de J'Importance des Dues mi- litaires dont nos alliés aspesent actuellement. Aux Dardanelles Les forts bombardés Amsterdam 21 février. Des teagramm. Oomtantimp déclarent qm quelques-uns dru forts des Darda...11., près des goulets, ont fié bombandes par dcs croiseurs et des ferpilleurs les lb et 16 février. Trois aéros ont survolé les batteries qui ont WU dessus. Côtes de Smyrne bombardées / Londres, 25 février, Vomie et I. batteries timms sin elfe de Smyrne »nt éte de nouveau bombardées à la Lin de la semaine dernier°. En Egypte Londres, 21 tévrier, On mande de Copenhague à la Morning Post c Suivant un télégramme de Berlin, le générai Beess V1a7 Brassent,ie a été nommé commandant en chef des troupes du front égyptien. En Allemagne an aprOUVe tee satisfaction générale car l'en voit dans cette nomination la -réalisa/in du rêve allemand concernant le canal de noua., Sur notre Front Dans le secteur d'Ypres Rotterdam, Si fevrier. Le brait du canon a fié entendu sans ré- pit durant l'après-mie tout entier d'hier. D'après les dernières muvelles reçues de la frontière, le cembat dans les Mandrcs est partirulièrement ardent entre la Mie et mi MA M. Poincaré sur le front de Champagne Paria, 21. février. Le président de la République, aceompagnff du- général de Langle de Cary, s'est indu sur le front de Champagne, où iI a parcouru pendant prosieurs heures nos' premières po- sitions t tramhées de tir, tranchées de sou- _ Fm, abris des -hommes abris des mitrafileu- i P. Il a ensuite visité nase le général Lan- g!e de Cary et le général Gouraud des mon- - armements, des baraquem-ents et des ntio- lames. E a enfin passé en revue les Loop»n qui se sont si vaillamment comporte. da 9 au 12 février, dans /a défense des positions bap- tisées par les poilus u. le Champignon et la Pommé de terre ». Il a. remis d. décorations de la Légion d'Imnnen. des Médailles -militaires et des Croix de guerre aux officiers, soussetfleims et soldats gui avaient été signalés Cornnie s'étant plue particulièrement distingués par /sur bravoure. En Alsace Après la bataille Les derniers détails qui parviennent d'Al- sace donnent à ,penser qm la bataille le Seppois fut ;beaucoup plus importante que ne laissèrent paraître loi bulletins offideis. Lattuque fol Pr'9"êepar une viotente -eu- nonnade allemande, h; laquelle l'artillerie automne no répondit pas avec la vigueur qu'on attendait d'elle. Cependant, m n fiait du- une feinte. Lorsque se déolanCha latta- que de l'infanterie, les canons français sein- barent tout h cenp se .multiplier et crachè- rent alors avec une fureur inoule. hauteur située dana /es envirOns de Grand- Limite, on pouvait remanper ufre .partie ciu front, oh les batteries françaises tiraient regulieremeat dix -pièces a la fois, eotnme si Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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NEIJVIENIE ANNEE. N. 4531

ADmareisTRAM0AsatImumez

WB, leo ilsegeskiac

MARDI 22 MEIER 1916

t'ACE RtoiorIngs*AIS, Iltalallra. laRieta.

mentacitemomnerest.e,

08161,110,2,13AUTISerraagia,asesseserietataz.

uiameo, rsaleser-es.egetas», mulles.

Maa117.-0.1anatara.T191151,aglall

imprimerie de la Presse ha Guerre au pariantres du Conseil d'Administra_

Lie pflII5ERIB DE LA PRESSEliond'assister à i-éunion qui

ele IP; a dimanche27 février' à 9 h. 30

eue --.les bureaux du journal.rgaant, dansdispensable.préSolee

gCS elle

tallaits'attendre qu'à la faveur du"

'esterincident de Snicc. les seer-

, d. Parleviteret reviendraient ài la

et reprocherai ent aigrement auxegan =dg ne pas être à leur vrai peste

fle-a

"j«. Publicistes, dont plus d'un per_faire exempter totalement du

.rsticei"esinititairebempu de paix al

se mi,» proclamer Li inalffe ",ende guerre. n'ont pas mamie, e

endre l'argument dégnagogiqm des

députés sac-au-dos tt comme lesgros, qui sontd'ailleurs peu prèsons à Verrière. et ree 'portent pas de

quand ils se trouvent ès Damant.

Il est mémo des députes ou Petitjj y gr, qui Tant Me-

m avec les journalistes. Que ne mon-

/mit-ils les effets adanirables que lemproduirait sur le front, corn-

. le protases.: grec dlémOiltoui le

flmentent oui 'mare/tant ?Je souviens, d'ailleurs que les me-

mn vs de cette 'redoutable campagne ontM entourages indirectement par Plié-

ilatim que le Doctement aniinodi Iran-ber résolument la question ; à &Ta-laat, de teflon précise la .place, le pas-

le exact du député en temps de guerre.gamone en temps de paix.

Evidernment il ne devrait pas sole-ver un doute là-dessus, C'est une ques-ion de sens commun, routant que depatriotique prévoyance. La place desdéputés est sur leurs bancs, en séancepublique eu de commission, à organiserrit epatrôler les moyens de disfense !

On eût bien surpris les hommes dela Révolution, si on leur eût dit que laMuée des représentants n'était pas à laLegislatille on à la 'Convention, marsà la caserne ou dans les régiments. Ily avait, sinon des soldats, tout cmMoins des officiers, sur les bancs de:Une et de l'autre assemblée, à unedate où l'émigration avait désorganiséos cadres et où la situation militaire

était d'une -extrême gravité.Une sente fais un député de lu légis-

lative souleva la question de savoir siin député .pouvait exercer une fonctionmilitaire, et aller au front autrementgess cemmismiremontretleur. Ge futDumas lieutenant-colonel d'un régi-Ment d'ancienne fumeron, dont Id eu-innél venait d'émigrer, -en tentant d'en-Irainer les hommes avec lui. Dumas de-monda un congé pour -aller ciao-nia-n-ier progisoireme.n1 son régiment Oùeffertescence était grandie La L' ' 1. agis a-

Inc' passe à l'ordre du jour, -sur ce quela place des députés était à l'Assam-tfiée.

Les deux tiers de le Convention 'cas'-est dû prendre- te chemin da la from

tlre si l'exercice de leurs fonctions ci-lms n'eût été considéré infiniment

/ro profitable à la tarie u des,esa, p que calaiofhome. C'est la raison

roc laquelle Carnot, Barras, Duboisrent

-99eè, Lageombe SaintiMlethel. restè-à leurs bancs

q.Au.,o_ours do la guerre actuelle' on n'aà l'esprit d'égalitarLS-qvreet et stupide une. molvili-le Parlement eût seulementtort de

255 pas, avoir reivisé d'avsnee.11,e_el. ff0.1 eeténée tri, iprevé la Frau-

t do ses ineulleurs agentsnale mur, Privé la Défense Nailo-il rilaborateure irremplaçables.1es le.Uffelits Opiniâtres, inlassésAlpe parle-men taises, polireller les 'chimistes dons lemset les iilgénieurs d'ans lesse.fleuraient jamais dû quit-

.bert Thon était mus-officier ouenant d'administration ou de-e. =Mobilisé gomme ses

4 la faveur, par unee à tentes les Mgtes,production des Mu-a hase de

e à la tût, de laquelleme,m,s,k,,tilldfiledibui on qualité de

1. d Grog. Croit-on qu'ileu un bureau, so leuonus-intendant servicers-

Puna qu'il peratel au jour!tt.tk qui,. alimentera le guerreigte,e,l1I

ordonnera la vieppe,?_redisetion agritole. rer'uteal-rgjj quopcm, de tout ordre- qui se po-,t1 fe à

sem - _tt,M ment ? J'ai quelqu'esrulerinitereogations

mpérience de six' mois455 Parlement. suspens

ce:finettea un joie les 4é-.1'ell51enee's, Sinon les cati-Rau At

Gustave ROIJANET,

ITER LIRELE « &Hum SOCIALISTE »

Lo Parlement n'a qu'A se bien tenir I YeroiM. Pierre (Bk, du « Télégramme a, quis.part en guerre centre toi ! 11 a ache 11.°omble M. DOMra après qui on le croyaittrês acharné. Mais, n'ayant paierie ti boutd'un seul député, il veut, désormais, avoirraison de la Chambre entière. Même assai-sonné dsa habituels br.ards, dont Ittvi. AbelFerry, Accambray et nos amis ,Renau-del.Brime et Earthe Marrent pas trilp de mal .àse remettre, il pourrait passer inaperçu.Mais son seul intérêt c'est del. I ticiho local

aune campagne dont nous Ofinnaissons l'ori-gine, les tendances et le but, tille émane decertaines Microos réactionnaires q-au n'ontras perdu- tant espoir de reprendre le pou-voir à la faveur des événements actuels.

Dés le début de la guerre, le mot d'ordreOn la presae de droite fut l Silence au Par-lernat I Art-on bassin de députés quandon se bat t La parole est au canon ! etc...

Sous le couvert de ces facéties, on comp-tait habituer la France au régime persan-liel. C'est alias que nous connûmes le règnede la bureaucratie dans toute sa splendeuretdea abus suas nombre qui se répercutentencore sue la situation actlielle.

Peu A peu, nos institutions parlementai-r. ont eejmndant- rade- peperdniMIM45t5eres Ont cependant tendu à. reprendre leurfonctionnement normal. C'est là le serre dela grandeicoffre des jOurnaux de droite. /lscrient au- seandale. -Mais, comme rai déjàca Pmeasion de l'écire, ils exploitent h plai-sir les menaa incidents parlementaires, lesmouvements de nervmitté inévitables damtoute .semblée. Le

scandale'ce sont eux

seuls qui le veulent et qui le créent parleur publicité tapageuse et intéressée.

Certes, nous ee mamies pas, ici, les ad-mirateurs l'écale du réglons parlementaire.Noms avons maintes fois reproche leur iner-tie démocratique à la 'Chambre et au S'IMM.Aux trep.lengues palabres, nom préféreranous aussi, et de beaucoup, l'esprit réali-sateur de la Chambre des communes qui a,per exemple, depuis longtemps voté la taxa-tion des bénéfices de guerre, alors que laChambre des déifiais l'aborde à pelm etque le Sénat, ensuite, s'appliquers h l'atté-nuee. et h en -retarder l'adoption définitive.Mais les reproches que nous adressons à

notre système parlementaire ne sont pas dumémé ordre gus ceux qui lui viennent dedroite. Nous voulais un Parlement gut,tienne plus largement compte des aspira-tions populaires, un gouvernement qui nese moque pas do la repréSentatien natio-nale, un Mormandement aeceptantun indispemable contrôle et la lartidionai-liane° du pouvoir civil.

C'.t pourquei-neus nous réjouissais que169 sec ialistes et fermes républicains n'arentpas :hésité A se séparer de leurs collèguespour signifier ces vérités premières au gm-vernmnent. Ce nMst qu'une minorité t unevietoire .pour M. Briand, ont imprimé per-lai. journaux -de .dmite. Vraiment il s'agitbien de Ce genre de vietoire l'heure euenous Vivens I Ce vote, rompant pour la -pre-mière fois l'unanimité b.abiteelle, révère, envérité, un -malaise paifond, un sourd ne-contentement de la démocratie. C'est mtsymptôme dont il faut retenir la gravité. Neparlons donc pas de violon». Appelons-le,plus simplement, un sérieux avertisse..-pour le gouvernement, et la preuve que lenombre grossit, tous lm jours, de ceux quine veulent plus Atm dupes de Punioa.crée et des manuvres envelappantes de larégetion.

C. MARCEL-LIEERT.

P.-S. -Seul de la -presse socialiste (il estvrai que sa Victoire a' l'est si peu àpeu jtrès seul de la presse républicaine,Gustave ;Hervé qualifie d' n étourderie r /cvote du groupe socialiste parlementaire.L'hanifite aux multiples matars, ceint uni,-pendant plus de dix ans, a cornpromis fac-tion et l'influence du Parti socialiste parson antipatriotisme tapageur ; celui qui nocompte plus ses e erreurs pédagogiqueset qui, selon l'expression de Paul LafarAnic« prime sa vie à allumer des pétards peurfaire retourner les spassante s, en vient Atraiter les autres d' « étourdis » et û s'ima-giner qu'II y a plus de sagesse sous sa ci-rainette crânienne que dans le cerveau d'ungemme d'hommes ayant denué quelques ga-ges au prolétariat et la preuve d'un peuplus de réflexion et de suite dans IM idéesqt notre père la Victoire !... Non, vrai-ment, c'est à pouffer de rire !

Nos CollaborateursUn de nos collaborateurs et anus ma-

nuisis, qui collabore également a l'Hu-manité mue le Dsouréennymo ti Le Soldo /-Citoyen o. nous adresse mus ce titre t« Relire.ua sur la Guerre s, une séried'artmLes où il note los force morale diesidées socialistes et pacifistes au peintde vue de la Défense Nationale. Nostentent. Lro.erent, d'antre part. Le pre-mier 'article de retro étude remarqua-bles-1mM écrite et fortement pmmée.

E C 110 SLINE POETESSE

Dggdigment e faut vous parler delta. 1155 ex-hibition toute »Sente dans la « riorenee seau-laine l'exige, ou tout au moins le permet Ellenées Locie Delarue-Mardrus e, mais cen'est Là man pseudonyme. Son vrai nom, vie-tur Stre61 Pa, un j"or eidcouvert, et 12001 l'arait connattro Eile n'aboula saisie de /a Mar-molaires. Jarnals c le -cemblle nommekt mieux port» La justification de ru nom so-nore s'étale en onze quatrains dans les colonnesdu Télégramme d

On ! le réas, » inédit 1 Quel malheurpour In Poétesse, quel malheur meii ne le soit

Voua .7 l'év7. su0e,.peut-être I 11 faut dus»en détacher, pour vous pe offrir, les morceauxon La Mass s'est livrée tout entier° échevelée,ardente passionnée

Cela S'appelle Tnvitarion à Jeanne d'Arc Letitre est peut-être vulgaire mata golitez oh I

eût.; je vous en prie, la .plendeer lyrique der Mvitatisn

Mademaselle Jeanne d'Are,Beur cheval du beau MM -George,Oie »avec vous pm que nos ferle,Pont mieux que la flache et que l'are ?

0 jeune fele capitainetel perten le plus beau des mins.Venez voir .mment notre haineTonne et macho dans me canon.Souffrir pour bouter /ors de Drapée,Vous meg su le faire, vous IVous veilliez user vos genoux...Venez dune voir notre souffrance I

Venez voir dans les eniatre ventsD'une inoessante et folle foudre,Gomment ils se laissent 'dromidre,

t Nos soldate enterrés vivants ;

Gmment, changea en nids de guêpes,Ms meurent parfois e,nfurnes,Tous ms els, tom ces bien aimes,P.a. il-ai Sa 'portent-tant de créa., -

Mol, j'ai besoin de respirer. Mon souffle estloin d'être égal au suffie de sa Muse. Je veuxrespireras et réfléchir. Tant de lyrisme niépouvante je m'égare parmi de beautés Arffimigaik1A-je vans- comprenèr6: Mais qmet. masolleo est grande I La /10111 même de la Puéfesse n'interdit-il pas la romprobersion 5 Rési-gnons-nous.

Et vous, I Jertaaa smur de Saint iiircirges,vous Pucelle et élaripre, vans eei avez tantsouffert Jadis peur les Anglais, mime vous avezde souffrir plus encore par cette .furieuese évoultion I Et vous, nos soldats, vous changes onc nids de .guêpes 0, grands dieux s,. Ah I

uuoous au ...Prend ta pruden. de Cane Luoie

« Moue nous gardons. droite, â gauche,Et nous mus gardons au .dessus..»

Evidemment évidemment, contre tant dee nids mouvants de guêpe..

Jehanne, si vous m'en croyez voue suivrez lecenseil que vous dame, en en de crise cellaqat oous évoqua.

Retour.. a .puisom ils vous y 'ontmise retourn.-y et dormez-y paisiblement. Etque ;Mme de la Marmeldrus retourne b roffl.,

569° jour de la guerre.

Corrinau.micriés OfficielsComanutsniciusS F'razlçais

Parts, 21 lévrier, 15 heures.Faible action des deux artilleries sur l'ensemble du Iront, sauf au nord de

Verdun où elles ont eu une certaine activité.EN ,ô111/1"0-13, au nord-ouest de la ente 140. I ennemi a tenté sans s tores

deux attaques locales à la grenade.Une eseadritle de cinq axions frappais a bombardé les dép0ts, do munitions

ennemi» du château de Martincourt et diArnudeige, (sud-ouest et sud-est deDieuze).

Des ariens allemands ont lancé, nette nue sur Lunéville, Dombasle et

Nein. quelques projectiles qui n'ont causé que, dr, faibles dégâts.

Lae CornrxruniquéLa nuit dernière l'ennemi a prononoé Nos scions ont accompli avec succès

un rab' contre nes tranch9es, à l'inest un raid de nuit coutre l'aérodrome dede Serre, après un viol,ent bombarde- Cambrai. Les bombes tancées sur le,s

ment, Ii a échoué dans sa tentative, hangars les ont traversés et y out faitAu sud-est de Ecesinghe, l'ennemi s'est explosion.

egnipare d'un peste scanné sons imper- Les appareils sont revenus artacts.tonca que nous tenions.

Les succès russes s'accentuentLa débâcle de l'armée turque. - La Bulgarie convoite

la possession de Salonique. - Le gouvernementroumain augmente ses crédits de guerre,

. Communiqué. russeAu Caucase, dans lu poursuite des Turos,

nous avons- encore fait prisonniers 49 offi-ciers et environ 204)0 soldate No. avons.pris six canons et un grand nOmbre War-inou et des caissOns de munitions.

Au cours des embats, dam la région d'Er-Herm., un drapeau tus est tnlie entrenes mains.

L'avance en Arménieamelres, 21 février,

Le corresenda.nt du Daily Telegraph à nomemande u son aurnal que toutes I. communies-lions sont interrompues entre les Tures da Glu-aune et ceux d'Arménie par sufie de l'avansedes cimes.

Lamentable situation des Turcslactrugrad, 21 février.

La troisième armee turque, dans la retraitedésordonnée °ansée par la rurptere du frontd'Erzeroum, recula en troncons séparés et dés-loques.

lare est sans vivres, à une distance énorme detoutes les bases d'approvisionnement. elle .tdestinée à perdre au -moins la plie .grande par-te de sa artillerie et une grande part de seseffectifs

.En un mot, l'armée est, des maintenant, auxmains des Russes.

Tout retour offensif des Ottounansjimême silsconee.nbuient in on nous 05000 .plus grandes for-°au, n7rcit tocan. des -plus difficilesu causedu manque complet de moyens de conmunica-lions.

'L'occupation de MouahLe oorresonmt du noie, seau Frietrogf'vrriaeriad-

legmphiec La nouvelle &neve de. Pocoutation par les

troupes rases de la ville de moush en Arménieest -dam grande Importance, spécialement siTon prend en considération nos suce. dans la

qu'elle y fass Os crêpes, si elle veut, qu'elle ymigrasse sa muse, qu'ale PY bosse, mais, PmMinerve, gimile n'écrive pl..

UA e FILLE GOIIIER ,L'infime Gobie, moralement responsable de

P.sassinat de laures; in triste faquin dont'férie, mutant pas bégueule, a ità se séparer,le sinistre farceur, qui se maintient au /msuipar le chantage, déverse dineps .preses dansles feuilles réactionnaires de .provinee.

1,e Télégramme les recueille dévotement I.jugeant, sans nue doute Mues de lui

Il fut en temps où cette freine se gardait desécrits de Cahier <Amine de la peste, O'êtait pen-dant l'affaire Dreyfus Cahier qui a mangétous les râteliers et quisortait alors du roya-liste 10151, de Paris..., pour revenir si SOleilroyaliste, de Marseille écrivait alom l'Annéede Con*, l'Armée ronire la Natio, Il tartinaitdate l'Accore. traitait de c lâches e des

faallea-aiaaaS,,, de mise-cliche 0, de « mâ-tinée de belons « Os aristocrates perisilt ga-lons et miette rouve. Auourd'hui, il revient Ason vomisement. 11 défend 1. Modaux. Il sefalt valet d'aristocrate.

Voilà -pourquoi le Télégram171¢ le met an Pa-1,10 dans sa c Revue de la Prase Autrefois,dans le Eagranime, an des collaborateurs dePépoque, 10h n. flegont, écrivait en parlant durépugnant panuiblétaire « La Selle Gehier I

Mxs eneen-rom &maqua ledit Gaie baveaujourd'hui contre le Parti socialiste et les par-iemenlairca de ne Parti ?

l'eft 'r gare& l?om-Pam'eti-; etr''.2 n'a p'ravaul. lui Cairn une Atuation Iprêponderante,l'entretenir grassement pour qu'ilpfit en toutetranquillité faire son métier d'ira/ré, â sa-les et eum'rtir notre doctrine pacies.te et inter-nationaliste en un antimilitarisme grossier etvulgaires en une démagogie mtinatrietique vi-usaI imbéciles et tifignmeolm hélanettement déversées contre les galonnards,

Parce quo nous avions le mieux placé,nous n'avons pas sun& tomber dans cc page,Gobie, quand il s'égara oies nous dut resterdais $on 5010 1 celui de roquet, Haus -avionsfiairé que cg moment il voulait safirodeire dansans-ras-os pour discrédiSr notre idéal et faireune besogne dissolvante agréable h la congréga-tion rra 0 srt et où le voilà retourné

eto. .avons écrit qu'il avait suceeisivementmangé à Sue les râteliers. Qui sot ? A ce mo-ment-LA il pe.ui-etre réalise le miracle demangeria deux râteliers â la fois t

région côtière de la mer Noire. Delà nous Pres-SOM Potier° de l'ennemi dans la direction deTrebizoede. Les dem fanes de la position sonthien en .main. Sur l'ensemble u front les Turcsse retirmt en désordre. L'Armdei 'est perduepom eux. »

Le grand-duc Nicolas partpour Erzeroum

Petrograd, 21 février.Le généralissime de l'armée du Cama.

grand-duo Nicolas, ..est parti pour Er amouni:

Les renforts turcsfont demi-tourEretrograi, 21 avriers

Le correspondait de la Gazette de la Wnellede Tias télégraphie cm deux corps turcs. e ,1marchaient .mme renfort sur Erzeroum a'drebroussé chemin en apefint .s dom do lafort...Au

L'armée de secoursd'Enver-PachaLande. 2f février.

De Petrograd an Morning-PoseOsai» mies .regu d'informations dut d'Emma. 6

» Mais point de nouvelles' en ce moment. ohles Bues. poursaivent ardemment amerri: si-grime bonn. nouvelles.

Emprends 'use a-M. de Amours com-mandas par Enver pacha, est partie dé Sivaspour Erzcronm.

A SALONIQUE

Le raid sur Stroumitzanom 2.1 lévrier.

Lu orirresprondant de I. gazetea da Papa° I,Saanleue dit que il chiffre de muets et blessésllgares à la suite .e.lu raid aérien tramais sur

Réflexions sur la guerre

Les Allemands

sont-ils invincibles?Je me propose -par de Ms simpl55 relexions,

d'attirer eattendon des lecteurs de ce journalsur quelques-uneu des concéusions qu'il est desO présent .possible de tirer de la conduite et dela réalité même de la -guerre. Je me .propos,Par a, de à la fais â l'éducation politiquede notre Parti et à l'organisation de toutes lesforces défensives du pays luttant pour son dr; jellet po,

Les victoirm des Allemands en Pologne,en R.sie, en Serbie, démontrent la forceMetlernent irrésistible de leur offensive surI, front oriental,

alles démontrent aussi que cotte force ir-résistible cet due à trois muses- En premierlieu, elle est due à la puissame du -matériel.Les Allemands ont à profusion, et de qua-lité supérieure, I. engins et les moyens né-cessaires pour reconnaître les positions en-nemies, pour les foncer et /es organiser, murdétruire 1us fortificatieuu et les armées ad-verses, pour ravitailler leurs propres -arméeset les porter en avant-

Mais cette fsnidable pnissa.nce matérielle-serait inutilisable et vaine, elle serait Mme.pratiquement nulle si elle n'était servie paran» puissanee adéquate d'organisation. Or,l'expérienee Mme, dana les moditimsplus .diffloiles, a preuve que J'organisationmilitaire des Allemands nlétait pas infé-rieure te la constitution de leur matériel deguerre. Les .ravdadlements et les meuve-menés de lemrs Bômées ont manif.té lamaîtrise de leur .mithode, de leur adminis-tration savante, .d.sciplinée, audacieuse etponctuelle.

Cette maltrise elle-Mme révèle Min seu-lement une vigeureuae pensée directrice.

Strouratza, est de 200. Li plupart des victimessont des comtalps qui sont concentrés a Shan-mits en grand nombre.

Les exigences de la BulgarieLondres si février.

On télégraphie el'ArreanesLe Messager d'Ael,,d,s gai dispice d'interno.

fions dignes de foi, palle la dépéehe suivantede Bucarest

c L'Allemagne suce» pu 05 multier tous lesintérêts opposés dé la lamie et de l'Aariebe,

D'ap.s uu renumortnent vraisimblaide. tegouvernement de 9, Radesiaeoff, pas 1105 qu'ancun autre Aouv,liment Mideera lesalliés O Salonique, â mins qua la pesession decette ville ne soit garantie n la Bulgarie.

e Tant que l'Allemagne n'obtiendra pas le.nsentement de l'Autriche de cE cession, laBulgarie ne bougera pas, »

Un hommage à l'oeuvrede Sarrail

Salonique, 21 février,La Hestia dit que même si l'offensive alle-

mande contre Salonique ne . produit pas laMenm malaire, jugeant de façon impartiale,rendra à l'orme sema-m..1)1e du gifee-érill Sar-rail O Satanique l'hommage qui bd revnt et entirera le três haut enseégneennt qu'elle can-Porte.

Incursion bulgare en territoiregrec

Salonique, 21 taYrIer.Le 17 février, une pa,trouille bulgare a tra-

verse la frontiAre .prés de boiras. -Elle a rmicontré une patronille grecque avec

laquelle cimes échangé des mou de feu.L. Bulgares se sont retires en -perdant demi

tués. la Greo a été blesse

Le général Sarrail se rendà Athènes

Salaniqm, 21 février.Le général Sarrail a quitté aneurd'hut Salera

gie pour Athenes 00 10 rol attend sa Sm,On attaehe une krande importanse â ce voyage

qui marquera dausl. rotai...ode la Grâce av.laktento.

On rapproche de cette visite celle que les gé-néraau grecs viennent de faire aux lignes al-liées, ainsi que les taenias de ravitaillement quiont été accordées par le général Sarrail auxtroues de Serrés,

En AlbanieOccupation de Bérat

Genéve 21 février,Les Autrichiens annoncent la Prise des posi-

Rons avancées et l'oempation de Ben,

Vallona bombardéeBrindisi, ai février.

Des avions autrichiens ont jeté des loh.nue Vallona

/I y aurait plusieurs Vidallea, parmi 1.quel-les le consul d'Italie et do membres de au 01-mille.

Les 516gats matériels sont asse. importants.

En RoumanieLe crédit de guerre porté

à 600 millionsGeneve, 21 Perier

Le gouvernement roumain a soumis b laaambre des drontes m prrot de loi diapreslequel m crédit e guerre de 200 millions estporté A 600

dl sera couvert par des 1315e du Trésr et descuipeants intérieurs et .terieurs.

Take Jonesco chez le roilan.r.t, 21 février.

Le rai de Roumanie a accord» une audience aM. Take Jones°. Le chef du groupe sneerva-ur démocrate dont n musait les Mammiesnettement interventionnistes, n'a pcm .dissimulesa eatisfaction

Il y a Mie, actuellement, b 13mmest, uneimpression de rdelle cnte. Tout le moirde seprépare en vus des événemona dont le mursdéterminera les résolutions ullerienres,

nuis tonte une théorie du gouverseement,toute une -philosophie de l'action. L'offensis eallemande réalise, avee une ampleur dé-monstrative, la doctrine du pangeemanismeagresseur. Si intolérable, si eondammble quesait cette doctrine, c'est elle qui inspire,dans ce qu'elle a de plus formidable, l'an-tira militaire des Allemands.

Elle ne t'inspire pas, elle ne la soutientpas parce qu'elle est contraire au droit et àla raison ; mais elle l'inspire et le 'soutientparce qu'elM est une doctrine, une pensée,un système de forces mentales capables depronmuvoir une mlossa/e machine de guerreet d'oppression

Les Allemands .nt-its dom invinciblesLeurs chefs peuvent le dire, et fis peuventenx-mêmes le penser. Quant Maous, la con.ception d'une -puissance qui, -par le maté-riel, .par l'organisation, par la doctrine, se-rait invimible pour la domination et l'hé-gémonie ne nous parait en elle-même com-porter aucune impossibilité La question estde savoir, d'abord, si elle est 'réellement in-vincible, et ensuite, si le inonde .civilisé con-sent à être vaincu.

Or, si lm Allemands ont obligé les RussesIn retraite, ils n'y ont pas, â l'heure ac-

tuelle, oontraint les Français. Ils «n'ont pasabattu' la puissance maritime de l'Angleterre.L'Italie est intacte devant-eux. Peu importequ'ils occupent presque toute la Belgique etune partie de la Prame u ee résultat, con-sequeme de leur prernia.e offensive, qui nesaurait se reproduire dans dus eonditionsidentlques, n'a pas été dépassé jusqu'A. pré-sents Pen importe môme que, par une Offen-sive nouvelle et par des .nyens renoutuasil (rallie l'être ; l'essentiel e,.fi que I offen-sive allemande, sur le front oriental, a étémrêtée et, sur certaine points, refoulée.

Les Allemands, l'expérience le orouve,peuvent être vaincus.

Lb SOLDAT-CITOYEN,

Le voyage de M. FilipescoBâle, 21 février,

gilipesco serait parti pour la Russie nier,Pendant son voyage, l'ancien ministre rou-

main sera rem en audience par le tsar, et II sepropose d'aller emidte sur le Ment ru.o peurse rendre .compte de J'Importance des Dues mi-litaires dont nos alliés aspesent actuellement.

Aux DardanellesLes forts bombardés

Amsterdam 21 février.Des teagramm. Oomtantimp déclarent

qm quelques-uns dru forts des Darda...11.,près des goulets, ont fié bombandes par dcscroiseurs et des ferpilleurs les lb et 16 février.

Trois aéros ont survolé les batteries qui ontWU dessus.

Côtes de Smyrne bombardées/ Londres, 25 février,

Vomie et I. batteries timms sin elfe deSmyrne »nt éte de nouveau bombardées à la Linde la semaine dernier°.

En EgypteLondres, 21 tévrier,

On mande de Copenhague à la Morning Postc Suivant un télégramme de Berlin, le générai

Beess V1a7 Brassent,ie a été nommé commandanten chef des troupes du front égyptien.

En Allemagne an aprOUVe tee satisfactiongénérale car l'en voit dans cette nomination la-réalisa/in du rêve allemand concernant le canalde noua.,

Sur notre FrontDans le secteur d'Ypres

Rotterdam, Si fevrier.Le brait du canon a fié entendu sans ré-

pit durant l'après-mie tout entier d'hier.D'après les dernières muvelles reçues de

la frontière, le cembat dans les Mandrcs estpartirulièrement ardent entre la Mie et

mi MA

M. Poincaré sur le frontde Champagne

Paria, 21. février.Le président de la République, aceompagnff

du- général de Langle de Cary, s'est indusur le front de Champagne, où iI a parcourupendant prosieurs heures nos' premières po-sitions t tramhées de tir, tranchées de sou- _

Fm, abris des -hommes abris des mitrafileu-i P. Il a ensuite visité nase le général Lan-g!e de Cary et le général Gouraud des mon- -armements, des baraquem-ents et des ntio-lames.

E a enfin passé en revue les Loop»n quise sont si vaillamment comporte. da 9 au12 février, dans /a défense des positions bap-tisées par les poilus u. le Champignon et laPommé de terre ».

Il a. remis d. décorations de la Légiond'Imnnen. des Médailles -militaires et desCroix de guerre aux officiers, soussetfleimset soldats gui avaient été signalés Cornnies'étant plue particulièrement distingués par/sur bravoure.

En AlsaceAprès la bataille

Les derniers détails qui parviennent d'Al-sace donnent à ,penser qm la bataille leSeppois fut ;beaucoup plus importante quene laissèrent paraître loi bulletins offideis.Lattuque fol Pr'9"êepar une viotente -eu-nonnade allemande, h; laquelle l'artillerie

automne no répondit pas avec la vigueurqu'on attendait d'elle. Cependant, m n fiaitdu- une feinte. Lorsque se déolanCha latta-que de l'infanterie, les canons français sein-barent tout h cenp se .multiplier et crachè-rent alors avec une fureur inoule.hauteur située dana /es envirOns de Grand-Limite, on pouvait remanper ufre .partieciu front, oh les batteries françaises tiraientregulieremeat dix -pièces a la fois, eotnme si

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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elles eussent dl e allumées toutes encemble cent rapidement et, à l'Ileum actuelle, des.Par le même artilleur. innindationa eduo rent la Mai. en ,plusieursAu cours de la bataille. lai!ana., bain- endroit«. L'arrivée du mauvais temps mitet a .fait preuve de beaueoup de eouragg et peur résultat heureux de mettre fin au tor-de ténacité. /I faut due qu'elle n'avait plu, rible carnage et COntribua b éteindre encoreété au feu depuis quinze mois bien comptés, plusieurs Villages ailins dans lacune d, lino-soit depuis les drain,i affaires a de Mulhouse, tien.en automne 101,1. Les Fronçais avaient do. ,devant eux des troupes absolument fralehes hangar de zeppelins e ruaet décidées.

Roinanshors, 21 février.Ainsi que nous l'avons relaté antérieure-/sent, le lendemain de ta bataille fut calme.Mais le unam

Cli faction reco

ortuilmmença avec »

keloPelins à Friedrichshafen, ..truit il y aacharnement. Il ont es es cnater uaap.y, grena, gr, six 44medabitur dequa eirrsommp4selins,toute une partie de nuit. Certaines tran- nP.. années pambrent de ;sans en mains plusieursfois. Finalem.ent, I,s Français rdlOnqUireirt Le-raid sur l'Angleterreune partie de leurs pomiti.s perdues, 'nais Lovestoft, .51 finmer.une autre Port., rus'.au'Puiruddr Ui"" Le raid fat minute en pleine lumière duadversaires. Les Frarais ou, rirent alors un au inulpupedbou Lunu %sable d'artillerie sur res basent:es et, ndalt h l'église. Ce fut un raid rapide, tresen meme temps canmerent l'arrière des do, de dis minuiiligi's ,lied!er ''ardUivne et pendant lequel un d. aérapignes totmoyaden noM Bnrts e N.alésà :k.aus Par nit avec soin tout autour e la vil/e. On jeta en:avion-éclaireur.

sinon dix-sept bonnes petites, amis tregMereredi, nie calme relatif est revenu. Un puissantes. Trois tombé..at sur des.unigonsvent violent soufflant en Tafel° enflât...hait la d'habitation, nue Me le rivage, une dans laiontinuation des h.tilites. La grosse artille- inor et le reste sue des pièces de terre etrie seule lit entendre sa vola par instant, des espaces e agilea. D sil, eut Pas de démifitglia pluie se mit ensile de la partir, puis la vrahnent itoportant et ne fut d iripneige fit son apparition. Les rivières enfle- portance militaire.

CHRONIQUE LOCALELes renseignements seront libéralefinntLes Pochesde r_inté à tins, soit de vive vOlar, sOit parrie_ur

correspondance à titre-absolument graCi

Après la taxe de la viande, après la taxe Conférence de M. Léon Poilerdu pain, vous veila arrivé, monsieur le L'Égypte, depuis /e début de la guerre, n'aMaire, à la taxe des .peclim de l'intérieur. pas cessé thattirer hillemagne. C'est laVans avec écume., les petits PotS dans dielmtion Ibrée par le rapace. Depuis Michecles grands pots les ,petiLs pots de lait qui fiant dune première tentative trop hâtive, et quide grosses assiettm de beurre à MM. les end- cependant faillit presque réussir_ l'Aller/si-mien et des petites assialeS creuses dal les gr% s'est um, d. ,ieddi,s.iluejoum de enfanta. - cette empéditiOn. Le kaiser grandilOquent aVotre tâche est grande et la °Mme va tire hâte Semble-t-il d'aller interpeller les Pyr.bonne. Oyez et jugey

C'était en 1900 et quelque, la l'époque do Odeat dose ce pays tentateur f GuettesNoêl, Les garçons épiciere ne Sent mis en Sont les raisons de cette espèce de fascina-grave à Paris pour obtenir le repos hebdo- tien qu'Il exerce sur nos ennemis ? Ceci cesnadaires ce n'était que tout naturel et si due Bous dira, jeudi ,prochain, reg,I. envru n'existaient pa.s il Ntrail fallu les dans l'Egypte et le mirage égyptien.lavera.. Male eu qui est le plus estoma- Nul ni st mieux qualifié .pour cette étudequant et un fait .presque unique dans son que le- seyant el distingué .ProfesSin Fen-genre, t'est que, aussitôt la la ,prerniere réu- d'and °cuire almées, il a Séjourné en Égypterion des grevistca in laquelle dus déléguas où l'avait appelé aine mission du. gouvecne-patrunmx assistaient, quelques nts a Pm Ment français et c'est avec ne guide vrai-Teille de ces derniers suffirent Pour qua les ment ,autorisé que nous allons pouvoir tra-ouvriers obtinssent entière satisfactions Te verser et pénétrer le ,pays des Rbaraons enne suis ni syndiqué ni membre d'aucun parti des }intaille.au monde et seul le hmard,m'a mis au

tel mnu-hou- Pour les Rémois et Marnaisrant de ce qui s'est pasSés Dans l'hô

blé de la rue 'des Cod., tout h côte da ma Memsredi tee mars, h 8 heures et demie duchambre d'étudiant, vivait un jeune 'homme soir, salle du Sénéchal, 17, rue de ,Itémugat,.paisible et sympathique qui sortait le matin conférence de M. Marcel déconne n, L'In, a-avant six heures et ne rentrait que pour se Mon et la Victoire de la Marne Poèmes decoucher. Nous avonS lié cannaise.. nasale guerre et d'avant-guerre, par Aime .Sezanne

g la Chope e et j'appris qu'il était gascon et l'auteur.épicier. C Mail un bon garçOn et ,pas épicier Quête au prelit des réfu.giés rémois etdu tout. Il me plut, je lui plus et bientôt marnais.nous devînmes bons capais,

« Quand Mémosoir, après la réunion des grévistes, itvint me retrouver a la Chope. Il était tout uvre Philanthropique aux Blessésrayonnant de joie et inc imconte siummenI Le Comité d'organisation a l'honneur dia-un e réussit à convaincre les patrons et à lev laobtenir te qu'on demandait. nion .hebdomadaire aura lieu mercredi 23- Crut très sisople, ire dit-il. Nous leur murant, au siège de la 5.iêté, 29, rue do laavons dit à Pareille qu'il nous faut ce 0u .ilfaut, sinon nous dirions bot haut cc gut se L. ,personnes désireuses de se faire ive-passe dans les noulisses de l'éPicerits mire sont également invitées.Ils ont campes. Moi aussi, car gm e -

pain, le garçOn épicier, me lia "dit.Je ne vous le redirai ,pas, suais je vous

.prierai d'approuver M. le Maire quand il Pellet Folioprendra des menaces au sujet des petites aie- LA VIL A BON MARCHEsures

M.aintnaa, Moutm coci : Le 2e arrondissement a mis à la d.isposi-, tion de Si. le 'Procureur de la'RepubliqueQuand nus irez 'ilit. Pélidrier Pau, anttn» nommée Marinier Anna, âgée de 38 uns, corn-ier du raie b 75 centimes le quart, rteSt-a- mioujennuire, demeurant ne du Fétr. cor_

dire a O francs le kilo, dem.a.neley-lui poli-ment d'éviter la .Poche Pintnrinun » .penrisfleagcrcarttarlitrd'er vloel 'frunieeeedretatianeaû-ein.conleaun dans le double sac car du café: lité. de eraiaae au6 francs le kilo, passe ; mais do .Peier dire de Mme Caecal, charcutière au marched'emballage g ne prix, -c'est trop cher. Et dos Carmes, dnciliée rue Fontaine-Les-voyez AL le M'aire. tang.

Et puis, croyey-moi si l'on voua offre LE POIDS DU PAINdu café à 15 sous, à 16 sous et à 17 anus, panaleu ri,grenes " ee.e. n'eet rang desiirocès-verbaux est ôta

tésil'

riremais c'est kif-kif, comme .0n dit. dans .

Ire 11 boulangers pour défaut' de poids etgrand Mende, infraction à l'arrêté municipal du 5 fil-en. le boucher, dnandez une balance crier puia,bien propre et exigez qu'on vous pe,se,comme en Beigique, votre .filet ,mcme leplateau., sans le Mn gros journal

lourd pe Ç

ourrier Tbéâtralle gros ,papier jaune et , l. lourdserment que votre filet si mince, si mime,Cf si eher. C'est einem de papier à. 7 francsle kilo. Théâtre du Capitule

Faites de Même cher le ehareutier et gp.. Manouport. au ,besain un papier bien propre.t pie si le boucher, te oharcutier, l'épi- La Société des Artistes du. Capitole nous

el. ne sont pas entamas, pourvu que-vous .prodigue les vedettes et, pour ma part, jeR soyez, vous qui. q êtes le

ezion. Entre eus et ne m'en fâcherai pas, ear je trouve int4res-

sala pOuvOir apprécier le méritde 'art.-vous, c'est voui aur saison. , tes divers,IeaaBAVE. M. Jolbert, qui »riait Des Grimm, est usténor léger sinon brillant, du moins trèscorrect. Ses succès d'antan avaient attiré

!.

AVIS AUX MILITANTS un PARTI' La Commission Administrative ay.t décide,dans sa. séance du 2.5 murant de faire renvoia Mai Socialiste aux eamarLes qui sent au

front, prie les membres du Parti de donner l'a-dresse exacte el le secteur de cesa des cama.ries qu'ils connaissent et aux.era ils dmireraient

ue soit fait ie service du JouniehLe camarade .Desflans centralimra toutes tee

demandes ah nursePrière de donner los adresse, ires exactes et

les mins ma camarades suivants iGontialina, eue Aragon 36.Durru, rue Sainte_Calerine Croix-de-Pierre,Labonami, rue Sébastopol d.Lsoien Marty, rue Saint-dichel, 73.aryenne. place Bayard.

'

Binières'place Olivier 20

Froment grande rue àaini-Michei, 127,Montan à Croix-Daurade.Buudemds, am me des Minimes, US.Vêtirac, rue d, la Conmrde, 47.'Au sge du Parti, boulevard de Strasbourg,

café Morin.Le Seerêtaire de la Cocues : Ft. Vêtiras.

Les trésoriers cantonaux seront â la dis-position des camarades qui désirent se met-tre à jour de leurs cotisations :

Pour les cantOns sud et ouest, rue SaintsMiami, 73. tuas leS Prs, de 7 heures dumatin à 13 heures.

-Pour le entes nord, de il à 13 h., toanles jours, rue Sébastopol. 4.

Pour lé canton centre, 'de 11 à 13 h., tBe/es jours, rue Aragon, :Maison Gondalma.

Et tous les mardis, café 'Morin, de fi à11 beur..

4.- nsQuota ,tee-

pe FiTI SOCIALISTE -COMMISSION .1DMIAMISTFLATIVE

Co mir ramai 22 courant, la Commission admi-nistrative se réunira 4, 9 heures, au siège han-ta.

Ordro du jour :

Compte rendu assemblée générale: Pim' °B-linis à étudier par la Commissiou

Question de gn.3, Situation financière; cotimtions 19n. '»4. Élude d'une question de secours à des ca-

marnes éprouves..

5. Questions diverms.Tous les camarades sont priés d'être pré-

sents..

i.e Secrétaire i it. Vêtisse.

AMICALESLoge In Parfaite-Harmonie. - Les membrcs

de la Loge la Parfaite_liarmosie mnt priés d'as-sister h la réunion gui .aura nt' anurdndmn à DO h, DA,

AVIS 1111E »EUESMadame do.ph GALINIEM ne LAMASSON;

Mesdemoiselles Marna-Jes.n. et MM .PUGET ;Monsieur J.eph PUGET, adjudant au 57e d'as-amena, su front; Madame Jules HEERLEN, oseLAN/AS-60Ni Monsieur Jules HENRIDT, nenprésident de la Chambre des Ans. de Paris,chevalier de la Leeion d'honneur; Madame Mar_guerite_Joseph TIICNIAS Monsieur Josoph THO-MAS, docteur és-mienced rira médmine; mads-moiselle Juliette et Moneur Georges HENRIEB:imademoimlle Lily et Mossieur Jean THOMAS;les .Familles GALINIER CORTADM/AS, TRID-OUE et leurs enfants; Madame et MademoiselleCADE,S le Directeur et le Personn enseignntde l'Edole de Baux-Arts ont la douleur de fainepart h leurs arnis et connaissancrs de fa pertecruellv qu'ils viennen, d'romes en la per-sonne de

Monsieur Joseph GAMMESSous-Dinecteur honoraire de l'anale des Berne.

Arts; Architecte en chef honoraire de la vineOr Toulouse, chevalier de la Légion d'honneur;ancien vice-président de la Société Centrale desArchilectes français; ancien président de laSatiété des Architectes du Midi,

leur époux, oncle, besfrne cousin et ami de-rodé à Toulmoe le 2f févriir 1916, à l'aie de48 ans muni des sacrements de Ilfiglise, et lesprient 'de bien vouloir assister à ses obsins,qui auront lieu le mercredi 23 février à 10 heu-rus da matin, sur la pareisse Saint-Jérôme.

On se réunira à /a mson mortuaire, 5, placeLafayette,

Il ne sera pm envoyé dé lettre de fame-part,le présent avis en tenant Mu.

Pompes F anarc ummodes,S, rue Lafayette.

- EUT En 12 TOULOUSE

Publications de MariagesDu 19 février 1916

Louis Duffau, soldat mobiliia au fie de ligne,d some car. case brammn rite gia Aan,

beaucoup de sande. La recette a été, mrtai-

Atravers Toulouse isi,oelilue relb Iluuretersopyde?rloaaes

verte par PercheStre qui ne Se PréocutPé --------pas suffisamment de manager les nuances et Part-2Bill-riumile, 29.

Nécrologie les chanteurs, Il faudrait. avoir une yoixque tonitruante pour d,ominer son « funis-

No. apprenons le nie. de Si. Joseph Ga- ehreo e trop fréquent. Je suie sûr que M. Tm-linier, sous-direeteur de l'Ecole des Beaux- lame .manque pas de distribuer des se-Arme et ambiteete retraité, de la Ville de moncm r elles ne doivent pas être écoutées.Toulouse. J'entends bien que certains éléments font

Duos ces deux ipostes impOrtants il sut fiefunt, mais je men que si tout le mondeaceonagplir une longue carrière faite de nifé voulait mettre un peu de Monne volonté, laspanne unannooMent renomme, avec un yèle représentations n'en seraient que mei:Mu-et un dévouement dignes de Mus éloges. ses.

'Nous adressons lu sa famille l'expression de Mme dilleilsOnn, en dépit d'une fatigue es-nos Sincères condoléances. sez apparente, sut obtenir dm le rôle de

Mes tout le suceès dont elle est voulu-Office de renseignements économi ques mirer.La Municipalité de Toulme achève en ce E. B.

moment l'organisation d'un service de ren- A l'H abltud-Ci nénnaseignements d ordre agri.le, industriel ouconamereial. qui fonctionnera incemamment p, ans l'il,

B,ardte,4,da,u,in_u_,Un'ndneilldutê2,. anrfnivll,

â /a Bibliothèque lie la Ville, rue Lakanal , 1. qinu,"rtlau'a muil ar iia nig gr.a it

Des documents nonomiqu.es de toute nro_ in .Programme do ce Cliquet état:Ils-' serina. Celui de eetto mimante était aussivenelle,: y sont recueillis et seront colletai, men, aussi attrayant et la partiement mis à jour, De permettront de rem.- Celant

Sociétés, toujours aussi intereseante avec les excel-gner M. rapidement toua les particuliers e, lents artistes de l' Etoile Artistique »toutes les qui s'adresseraient à la

Bibliottnique de la Ville. L'Habitude-Cinéma va de succés eh Me-; et nus ne pouvons que ...limante,

L'agriculteur, Pinaluatria, cominer.nt Direction pour M belle composition deainsi être .orientés vers de nouveaux pro- ses prograrnmes et l'attrait des intermed.cédés d'exploitation, de nouveaux delion artistiques qu.11e offre 'à. ses flrill. Ich., etc. tués.

Constata. Ast soldat mobilisé a la Ise sec-tion, et Otarie Albert, sans .profession, rue de laconmbelte, 52.

't'ut Abadie, Pr0Prtaire à canne, et JeanneCloison, sans prolmsion rue Saint-Sylve, il.

Jean Msonnat, leeinliétaire à Lal.de, etMathilde Salat, sans pronssion à Lalosite.

Laluble, tAl t,MAlliAll,11

inécèsD. 20 et 21 février 1914

Suzanne Marty, 8 mois, rue Traversière-Saint-Joseph, in

.Rigul, veuve Lafront, 59 ans, .rue Compatie, 19.Philippe Lafargue, 87 ans, petite rue do la Co-lun.. IL

rard, efid-use Latran, 84 ans rue Notre-Deme.Fi, Franmu 82 .s, Côte Dech-David.Marcelin L'Dspe, 79 ans rue ,IM-néeollets,Marthe Poisson 32 ans, nu', Vidal° 2.Marie de Diandnières, 64 ans, rue Bisas,dari, Petit, 73 ms, th'ne-Paahe.Robert Rousse I mais, à Laeourguette..;iont, Mouse l'ont, 60 a., p me des CarmesJoséphine Peytoo, .85 ans, rue de l'Enfle, 2d.Pauline Vina, épouse Causse, os ans, place

OushuaIttrUaiX 2,

lîaffosi 16 mois, rue du Canal, 22.

Villa, épo.o Vié, 60 ans, rue Perclpin., 9,Jomph caissier, 67 a. plase Lafayette, 5,amomirgh, neuve 'Vandervoide, 49 ans, rue Ba-

chelier 30Enjalberi, énuse Durrieu 81 ans, rue Chaussas.Jean Franeasal 73 ans, place Saint-Pierre 13,Laval, épi,. houssières 42 .ans, rue Leyde, O.,AuffininArms, 60 ans, 'rue ...ses, 6.,Doomengue, veuve Laurent 40 a., rueGres, 1,Andrée Watekiers, 26 airà, rue du Bflarnn

Prolongée, 21,Bressan, veuve Lautier, ne ans, rue aenforr-

.1imbermu, 16.Moere. vils, 2,

rdid@nlifigl i Floaf et. Lekluble, fil la RARISM, Ai

Théâtres et CinerhasAnj eurdhutCINEMA PITRE. - A 8 tn. MD.i.e Rubis du Rajah, grand drame en quatre

Freinas ; Lucien est si mable, comédie- Pathé-Journal; Actualités; Rigadin aime la Musique.par Prin..

La Ville Chinoise lime épisode) des Mysteresde New_York.

GLNEMA TIEFATHE.IFIVETTa. majtiscepermanente de 2 h, 30 à 6 heures, 5.

prix; mirée à 8 h, 05, demidariPs valables.Col Dieu .pièce dramatique en 3 actes;Made-

inoiselle dia.-au-Corps, comédie comique endeux .parties. Reconnaissonc, de Bandit, drame.

Fclair-Journal numéro 8 et eut...s.Location sans frais..AMERICAN-COSMOGRAPH.- Sosie e 8 h. 45.LX Noir, grand drame policier; les Millions

du Cantonnier, légende; Tante Aurore, comédieActualités. in Artois ria vie de traiesse

pendant l'hiver; une revue en Arts; un géné-ral qui remit la croix de gaerre; le défile, etc.

Bernais :fitriccfili NOUVEACTES. - Mercredi,

premère représentation de ertayol, le grandchnteur national, dans ms dernières enatior,accompagné par le compositeur A/et Au Pro-gramme Mary, dans la danse de la &fourbe etdu Go., des liriplebert, des Marbras, des Ré-gents de Miette 'ide tonte is troupe.

Loc.. ouverte aux Nouveautés.

Jeudi :THEATRE bieF CAPITOLE. - Jeudi prochain

10. février, reps.° db TrouvEre, du maitre O.Verdi. M, Taraud fera sa rentrée dans 15 ralede Massique,

THFATFill DES VARIETES. - Jeudi 24 fé-vrier à. 8 h15, création du graBi B.A. dothéane de la vensbasanmo le ilfgelérMarpièce en 3 actes et 4 tableaux de MM, Yves Mi-raude et Henri Crouie dapiation francs,. deM. Paul Armstrourg, Ces principaux et/es sontméfiés à MM. Saint-Léon au Marcel, Bardot:,ofmes Alice Dirbec, Bemfort

En matinée à h, 30, cenférence orgniséepar le Conté' central des isityr..de guerre.

Location ouverte ,pour ces représentations,

Prix du gres et de deteil des Lesumesarrêtés par M COMMiSSiOE extra-municipale

roue la période du 22 au 29 février 1016

GROS

Betteraves, la corbeille .de 32, 2 25; carottes,le paquet, 0 45; ccri, les 32 .piede a 50; cê-leri rave les 8 pieds, fr.; choux 'la corlmillede 15, 2, 25. Ohm, la accueille de SI, 1 00;seaux de haihselles, Le panier de 5 bilai, 3 50;épinards, le .parder de 2 kil, 506 0 65; navets,le paquet, 0 20; oignons, belles têtes le .paonet,1 fr.; .poireaux le paquet, 1 20; .j.mmes doterre blanches 'les 60 Mins, 9 fr.; pommes deterre James les 60 kilos 10 fr.; pomm. deterre roses 'les 00 kilon il fr.; mare, tes 32pieds lue saistfis, la, botte, o60. scorsonère,la boite, 0 50.

.DETAILBeheravea la pblm, o 10; carottes, le paquet,

4 60; céleri, les 3 .pieds, 0 55; inlesi rave, leni. 0 15; chicorée frisée (exportation), le pied,0 11h rhums, la conlle de 15, le pied, 0 20;

ceibefile de 21 le pied, 0 10; chouxale BIlumiles, le kilo d 90; choux_ileurs te-metation), le pied, t 05; épanar.ds le bila, 0 35;

(exportation.), le .pied, 0 :05; navets, ne.paquet. 0 25; oignons, ben.le paquet,

25; poireaux, II paquet 55; ..poinmes deterre blanches les 2 silos' 0 20; nOMM. determ aunes lés 2 kine, 0 i5..pffmmes de terreros. le kilo 0 25; scarole, je pied 0 10; soa-roie e.portabon), te pied 0 10; saints, la botte,.0 75; scorsonère, la botte, 0 05.

Nota. - Ces prix s'appliquent aux marinas-dise, de premier choix; its ne peuvent Sire ma-jorés, mais par contre toute marchandise demoindre muffin pourra eenm l'Oblat d'une réduc-tion débattue entre .factieteur elle Vendeur.

011RONIQUE REGIOIIALB

NAkbONAZCONSEIL MuNICIPAL. - Séance d. vendredi

16 février 1916. - .Présidence de 51, le aleigultFerros:h

14 conseillers sorst présentSalubrité. - La Société concemiossaire do ma-

lubstn demande la Ms:linos de mn entreprise.Le consein, cenformémem aux dispositinseah.r des charges, exige la oontinuatiau desservices de salubrité pendant une période d,trois Mals après la ale de l'expiration du traité

Voir urbaine - L'assemblée acoorde uniauenestation dei]. fra00 par mètre cube à Pad-judicataire des fournitures de gravier 'envier.rement des voies urbaines.

Contentieux. - Affaire Cilergue. Le conseil au.torise le maire à défendre dans l'instance eng,es devant le conseil de préfecture.

Rieos communaux de embout.. - Eut rein.tée une demande d'amodiation et l'assemblé,décide que lm lots qui devaient être amodié,seront à nuveau divisés en gitane parcelle,pour être cédées à des cultivateurs Indigents,

Voirie. - Alignement. Le conseil accepte d,.lner en faveur de m Tournier boulevand Vol.taire -un terrain d'aile superdele de I. manucarrd 59.

Finances. - Une mmme de 100 frau. est vo.tee à chacune des uvres mivantes r Couvend, la France u ses marim; Protection des Fa-milles des Morts po la France; Comité dépar-temental d'entretien des tombes militaires; As-sociation pour l'Assistance des Mstalês pauvres.

.1lospico. - Le mnmil maintient sa premier,décision en ce oui concerne l'échange de temrais ayant pour effet d'isoler le nouveau pan-mn et de /e mettre à s'alignement sur le boule.vord Hôtel-Dieu

Comité d'action agricole. - M. le maire corn- ".préfet .de l'Am ayant trait à 'organisation dumanique h Passe.ndsMo me reculai. ae Ms Ir communique te 23 I,gravait daes les propriétés .ites mobilisés Oies-suie p &signer trois membres prie parmi les us-sooiations agricoles, pour .procéder à l'élection natté, ,...Pive du Comité d'action. Sn Ome. En 21rtois, au nord de ls '6VlOurand président de la Caisse du Crédit ;du, fa.,

m saurin,

radsents. la salle, qui vont se oindre immédi noir ; nims tenons un des côtés 1; -

sitôt l'élection du Conté, qui est ainsi cons- leutaum leu violent b1aburda01 'n

mrsbyrilf t ciCr N'âerlingnrOnr;ré-

temnt au conseil, !Nt le mu. fait procéder aus-

fituéNombre de votante, 17; mdrilé, 9, tranchées au nord-ouest deMM, lionhard 17; Durand 16; Panser, 16; .que ml nos batteri ont ,répendo

en; Arnold 15; Depech fg; Bousset, ment.17; Bel., conseiller .naUsiebà, 16; "Sn., Au und do la Somme, da

Lihons après avoir dirigé soli'samici.1, in.

Vu, - Sig la .proposition du citoyen Gest.,le conseil municipal .adopte mn vu tendast â tu intense ,bombardement et flogdenten., an flouverneme. de Drim ps-stiolP,2 suecessives de gaz auffecaMs sur -l'élément ouvrier à toutes 1m organisations, de sept kilomètres, l'ennemi a tenté-d.

CARCASSONNE. tir de sen Dra...es en divers poluti.;IVES AUX SERBES ET A 11101. LOIS MAI- été Pfillout 6176.69é lm, nes tirs osv

IlLS DOPARTENNT DE L'AUDE, -- A et nos feux d'infanterie,partir du lundi Di février cl Pendant suit Co Champagne, nous av..

4.'d' de 58 à, Li. effnaces sur les orgmisati.5.5 ans, résidant dms le département de a

l'Aude, devront se pérsenter à la mairie de .8 n PnUne ide la 'd'Us da Sainisilileur résidence actuelle même measionnelle. Saint-Soup/a.

Les maires procéderont à leur inscription Ln Argonne, tirs de destructiossur un état dremé h cet net. Il sera primé'té ouvrages ennemis voisi. de M mu,à en recenserrnt soit des déclara-Lions dm intéressés, soit sur le vu du red,is- rl«-S ptee dimmatriculation des étrangers, soit on- ebseryatoires aux abords du bois decore au moyen des -renseignements qui pcur- Dans toute la région de Verdun,sont être recueillis. -artilleries ont continue à se ment%

Le huitième jour, au soir, soit le 58 fé- ,..vrier courant, les états arrêtes et signés parles maires seront. adressés immédiatement Ave sud de Saint-,Mitiel, nous Avon,B préfecture (Boresomilitoicel, bardé les positions allemandes du

Les Allemands ont lancé un certa'HERAULT bre sur Saint,Di4; un habig,e,

BEZ/ERIL lié ; sept ont été blessés.La journée a été .1:narguée par de

DIVAGATION DEE OWENS. - Nous te-none à donner satisfaction à la réclamation 'Une.. combatssuivanne qui nous .parvient au sujet de la Au-dessus de Tagesdorff, est d'AItIti%divagation miss chie.- sur la voie .publique. de nos avions, attaquant de très da%

'Notre romeaP.ndânt sm010,Onnel lunin fokker, a ouvert sur lail un feu de 15gnale que c'est de notoriété que depuis quel- fauau..., 11,p a r a glas sur/que temps les rabots .peuven nimuler à

Cs ,peuvent s'aneremoir les bons toutous et drD'ianteS 1PaOr'égdioont dt'tEmpbin0.al, A/batrMin dans les différentes artères de la elle,

dogues. Qu'ils mnt heureux Ira chiens », abattu par le tir de notre artillerie.

il existecomme dit la chmson. Dans la région de Bures, nord de la IM.ais un danger, car nous allons ,enI rer dans la période.où les cas rage Pnrrdy, 'M'are "niunand:sont fréquents. par deux des nôtres, s'est abattu. dana

Est. trop demander à ceux qui sont lignes ; le pilote elle ,passager ont êtécharges de cette police, de veiller à une.n eilleure exécution des arrétéa municipaux»

Une escadrille de ,sept appareils -

h livré .combat b quatre avions ennemis

Notre Servicedeux de cesdeuxderniers ont

été-ont

contrainteterris ; les autres ,pris la fuit.

de Deg avions ennemis ont bombardé FiBar-le-Due et Revin..

Renseignements Aux,. de ee dernier p.Oint, I'. ,ennemie, composée de quinze appareils.assaillie par Garde nos eeeadrilles de

Allocations - Moratorium - Deman- et a dû livrer un combat, su coursdes de pension°, secours, etc. - Lois un avion allemand a été abattu prés deet jurisiotudence militaires - Lois vry, en Argonne; les deux aviateurs 21d'assistance saulaie - Réfugiés, Sou- faits ,prisonniers,

ses, orphelins de la guerre. Un second avion ennemi poursuivi abrusquement dans ses lignes.-

Adresser les lettres au s Directeur du Un de nos groupes de bombarclemeniService des RenseignemenLS du Midi Sonia- .posé .de 17 appareils, a lance 64 obus deliste », bureaux du journal, en ayant soin ealibr. Sur le .champ d'aviation dede numéroter les questions et d'indiquer ini- tins et sur la gare de marchandises ettiates et résidence pour la repense. goy-sur-Moselle et de Ithillecuse.

Inutile d'ajouter un timbre, les rensei Un autre groupe de 28 appareils a ili%moments n'étant donnés que par la voie do nombreux .projectiles sur les fabriquajournal. munitions ennemies de Pa.gnyur-2261

Notre service est absolument gratuit. A la mite de ees différentes opéra'tous nos avions sont rentres a leurs ter

rtÉr>oNsmsP. A. H. Decazeville - Si les homm. dont

il s'agit mot, mobilisés bols de la residesm ha-bituelle, l'allocation e.t duo,

M. P., O Canetons (Aude).-s et 2.11 nous estdidfleile, sans avoir pris emnai.aime du dos-sier de vous donner un rame, msis la .procé-duré suivie par voou jusq.u'ini nom parait êtrela vraie; 3 Si 5000 015 touches p. fle gratifica-tion vous "devez exposes votre cas et solliciterl'an..no en attendmt nue vus ayez repris vasmoupatio. habituelles; 4. Nen. 6, ses emploissont réservés de préférence à ceux qui mnt dansselleras, mais ce n'est pas sel droit strict. Pourle mtard de voile allocation si c'est la Comnals-Mon supérieure <mi a tranctn, 11 n'y a nias rienà faire. clans le cos ...aire, vous pouvez ton,jours tenter un appel devant cette vssmission.kei:1,i,eDLTroé,dd«oouts,:,,,.,.- Nous transmetto. votre

C., à Graulhet (Tarn). - Vous avez droit àEcrivez as sousprefet pour expeser

mile 'ms et faire aPPO, ,B la décision qui vo.TBBB.

Une Lectrice paSidue, numéro - Bernezdirectement an commaildmt Os dépet ta votremari,

P., à - Porte, la qu.tion d'urgence d,vant le uge de paix.

11, L. Narbonne. - Vous aveg det au se-cours immédiat de 150. Faire la demmde aummmndnt la subdivision avec avis de dispari-tion acte do mariage et demn.de légalisée parle maire.

M, el Grenade. - Le motif invoqsê parmaire est .filegal. 01 1, personne dont il s'agit

n'est pas Indigente, qmique recevant l'allocation,elle peut héberger son ne. Protester auprès dupréfet et, au boson auprès du ministre,

G. d Vriledobose - Votre Ba étant de rae-lise 11 n'y a rien faire. Toutefois 11 po. parla dote hiérarchie/se, faire une dem.ande tentant

être affecté clans un autre service. Il n'en materien d'essayer.C. G., Lézignan ,(Autio). - Si on le réformasans pensiOn il peut en appeler au ministre dela Eu., et' ensuite au Conseil spotat, en faL

sant vidoir ses titree.

eiatterrissage.lin zeppelin, en marche do Sainte-8

hould vers le sud, a été abattu par htien d'autos-Canens de Rivignypar un Obus in.eendiaire, il est 10054flammes aux environs de Brabant-le-Ani

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1 Pourstesrenseignements coran'mande, s'adresser âM. le Diree-teur der ImprimeriedelaPresse

34.30, rue Roquelaine

rond ouvrir.

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