UNE NOUVELLE CAMPAGNE

À DESTINATION DES ÉTUDIANTS

Association Prévention Routière

Sophy Sainten Bourguignon

Tél. : 01 44 15 27 79 / 06 38 83 11 25

s.sainten@preventionroutiere.asso.fr

Assureurs Prévention

Benoît Danton

Tél. : 01 42 47 93 80 / 06 48 24 77 81

b.danton@ffsa.fr

Contacts presse Wellcom

Aelya Noiret

Tél. : 00 33(0)1 46 34 60 60

an@wellcom.fr; preventionroutiere@wellcom.fr

PAS DESAM,PAS DECAISSE !

DOSSIERDE PRESSE

SOMMAIRE

Communiqué de presse

Lutter contre le risque routier des 18-24 ans, une prioritépour les associations Prévention Routière et Assureurs Prévention

Les résultats de l’enquête en bref

« Pas de Sam, pas de caisse ! », une campagne qui parle aux jeunes sans faux-parler jeune

Un kit de prévention complet et adapté

Un relais essentiel sur Facebook

Fiche technique de la campagne

Fiches d’identité

p 10

p 11-12

p 9

p 8

p 6-7

p 4-5

p 3

p 2

Association Prévention Routière

Sophy Sainten Bourguignon

Tél. : 01 44 15 27 79 / 06 38 83 11 25

s.sainten@preventionroutiere.asso.fr

Assureurs Prévention

Benoît Danton

Tél. : 01 42 47 93 80 / 06 48 24 77 81

b.danton@ffsa.fr

Enquête réalisée par le Crédoc pour les associations Prévention Routière et Assureurs Prévention, auprès de 267 associations étudiantes, en mars 2010.

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Soirées étudiantes souvent trop arrosées, où persistent encore des open bars, organisateurs mal

informés sur la législation encadrant la vente d’alcool, pratiques de prévention du risque routier

encore insuffisantes : tels sont quelques-uns des enseignements de l’étude menée par le Crédoc pour

les associations Prévention Routière et Assureurs Prévention, auprès de jeunes organisateurs de

soirées étudiantes. L’objectif était de mieux connaître leurs comportements et ainsi mieux répondre à

leurs attentes et aux défis posés par l’organisation des soirées étudiantes. Tout l’objet de la nouvelle

campagne de sensibilisation : « Pas de Sam, pas de caisse ! » lancée par les deux associations à leur

intention : nouvelles couleurs, nouveau ton, nouveaux outils de prévention… sans oublier un volet

Facebook, point de départ de la plupart des soirées étudiantes.

Les accidents de la route constituent la première cause de mortalité chez les jeunes. Les 18‐24 ans représen-

tent 21 % des tués sur la route, pour 9 % de la population. Parmi les tués, 40% le sont dans un accident avec

alcool. C’est pourquoi, depuis plus de 10 ans, les associations Prévention Routière et Assureurs Prévention

mènent des actions pour sensibiliser les jeunes au risque “alcool + conduite”, en faisant notamment la

promotion de « Sam le capitaine de soirée ».

Elles ont décidé cette année de cibler plus spécifiquement les étudiants, en s’appuyant sur les associations

étudiantes et les bureaux des élèves (BDE). Afin de mieux cerner leurs pratiques, d’identifier leurs besoins,

de comprendre les freins et les leviers à l’organisation d’actions de prévention, elles ont réalisé une enquête

auprès de 267 associations étudiantes. Il en ressort notamment que l’alcool est omniprésent dans les soirées

(dans plus de 99% d’entre elles) et que les open bars, bien qu’interdits, n’ont pas disparu (24% des organisa-

teurs déclarent que les soirées peuvent en comporter). Malgré une prise de conscience accrue du risque lié

à l’alcool au volant, plus de la moitié (53%) des organisateurs déclarent ne jamais ou rarement mettre en

œuvre d’actions de prévention.

Afin de les inciter à organiser de telles actions, les associations Prévention Routière et Assureurs Prévention

mettent à leur disposition un nouveau kit de prévention. Sept affiches ont été conçues (sur le thème de

l’alcool, mais également du téléphone, de la drogue et de la vitesse) et l’ensemble du matériel (éthylotests,

bracelets, badges…) a été renouvelé et relooké pour mieux correspondre aux attentes des étudiants. Le

réseau Facebook, central dans l’organisation des soirées, n’a pas été oublié : une page fan « Sam le capitaine

de soirée » a été lancée et un onglet « My Sam » à installer directement sur les pages de BDE a été créé. Il

permet aux BDE de commander des kits de prévention, aux étudiants de se désigner comme Sam lors de

leurs soirées, mais aussi de participer à un grand jeu-concours inter-BDE : « Ne laisse pas tomber tes potes ».

Paris, le 13 octobre 2011

CONTACTS PRESSE :

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COMMUNIQUÉ DE PRESSE

PAS DE SAM, PAS DE CAISSE !

Une nouvelle campagne à destination des étudiants

LES RÉSULTATS DE L’ENQUÊTE EN BREF

L’enquête révèle une prise de conscience accrue du risque d’accident en sortie de soirée, en particulier dû à l’alcool. Toutefois, il reste encore d’importants progrès à faire pour généraliser les pratiques de préven-tion en milieu étudiant.

Des soirées souvent trop arrosées

9 par an en moyenne : c’est le nombre de soirées organisées par les associations étudiantes. Il n’y a pas de période privilégiée pour l’organisation de ces soirées qui ont lieu toute l’année. La plupart se déroulent en discothèque (36%) ou dans un bar (25%) et l’immense majorité (+ de 99%) proposent des boissons alcooli-sées. 30% des organisateurs gérant directement leur commande d’alcool prévoient au moins 8 consom-mations alcool par personne. L’alcool est toujours considéré comme l’ingrédient indispensable à toute fête réussie. Vendues à prix réduits ou même offertes, les boissons alcoolisées sont la garantie d’une fréquen-tation importante, paramètre essentiel pour atteindre l’équilibre budgétaire et financer d’autres activités.

Une prévention et une formation insuffisantes

La moitié (53 %) des organisateurs déclarent ne jamais ou rarement mettre en œuvre des actions de prévention qu’ils jugent « contraignantes » pour 56% d’entre eux ou « inutiles » pour 54%. Les actions jugées les plus utiles sont plutôt celles limitant l’accès à la conduite (offre de transports en commun à prix réduit, promotion du capitaine de soirée, mise à disposition d’éthylotests) que celles limitant la consommation d’alcool. Par ailleurs, pour la moitié des soirées, ce sont les étudiants eux-mêmes qui servent l’alcool. Dans ce cas, le tiers seulement des associations déclarent mettre en place des formations à la vente d’alcool.

Une connaissance approximative du cadre légal

Parmi les organisateurs qui déclarent connaître au moins partiellement les lois qui encadrent la vente d’alcool, un tiers ne sont pas certains de les respecter totalement. L’étude révèle notamment qu’un quart des associations ne respectent pas l’interdiction des open bars. Quant à la notion de responsabilité en cas d’accident, elle est assez ambiguë : si 76% des organisateurs reconnaissent la responsabilité morale de l’association (soit pour son seul président, soit pour l’ensemble des membres de l’association), 42% estiment que les responsables sont avant tout le conducteur lui-même, les personnes qui l’accompagnent, les participants à la soirée. La question de la responsabilité pénale fait quant à elle débat, révélant une certaine méconnais-sance du cadre réglementaire.

• 81% des associations étudiantes communiquent sur leur soirée via les réseaux sociaux.

• Fort turn over : tous les ans, 3 BDE sur 4 sont renouvelés.

• Dans la moitié des soirées, le prix de l'entrée donne droit à une boisson alcoolisée gratuite.

ET ENCORE...

Enquête réalisée par le Crédoc pour les associations Prévention Routière et Assureurs Prévention, auprès de 267 associations étudiantes, en mars 2010.2

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• 81% des associations étudiantes communiquent sur leur soirée via les réseaux sociaux.

• Fort turn over : tous les ans, 3 BDE sur 4 sont renouvelés.

• Lorsque les étudiants servent eux-mêmes l’alcool pendant la soirée, le tiers seulement des associations déclarent mettre en place des formations pour leur staff.

Quels leviers pour faire

progresser la mise en place

d’actions de prévention ?

On constate que le manque de connaissance des actions et des outils disponibles est un des freins principaux à la mise en œuvre d’actions de prévention. Les organisateurs sont en effet très partagés sur la difficulté de mise en place des actions de prévention. La moitié estime que c’est plutôt facile, l’autre moitié plutôt difficile. Cependant, plus les BDE ont l’habitude de mettre en œuvre des actions de préven-tion, plus ils trouvent cela facile : selon les résultats de l’étude, les organisateurs mettant systématiquement en œuvre des actions de prévention sont 76% (+26 points) à juger cette mise en œuvre facile.

Par ailleurs, même si l’on constate un fort turn-over des BDE, 60% des organisateurs déclarent reprendre des choix proches de ceux réalisés les années précédentes.

Il faut donc aider les associations à mettre en œuvre une première fois une action de prévention, en

intensifiant la diffusion d’outils de prévention adaptés, et ancrer ainsi ces pratiques de prévention

dans la durée.

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« PAS DE SAM, PAS DE CAISSE ! »

UNE CAMPAGNE QUI PARLE AUX JEUNES SANS FAUX-PARLER JEUNE

L’étude menée par le Crédoc le prouve : l’ennemi à combattre n’est plus l’ignorance des risques, mais leur évitement.

Forts de ces enseignements, les associations Prévention Routière et Assureurs Prévention, conseillées par l’agence leg., ont cherché à adopter un discours recevable par les jeunes, qui soit plus fort que le sentiment d’invulnérabilité et que les idées reçues sur les risques routiers liés à l’alcool. Un discours centré sur les soirées et les comportements extrêmes des étudiants, pour une campagne qui n’hésite pas à montrer la réalité de ces soirées (certaines affiches montrent sans détours le visage défait de l’alcoolisation à outrance).

La campagne met en scène Sam, le capitaine de soirée, conducteur sobre et prudent. Il y est présenté comme seule solution pragmatique au problème des retours de soirées.

Le ton est direct. Les codes graphiques (couleurs marquées, jeux de typographies et photographies crues…) sont actuels et doivent permettre aux messages d’émerger dans un environnement où les étudiants sont souvent très sollicités (affiches de concerts, affiches de prévention…).

QUATRES AFFICHES

SONT PROPOSÉES SUR

LE THÈME ALCOOL

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Suivant les mêmes principes, et parce que la consommation d’alcool n’est pas le seul comportement à risque des jeunes au volant, les thèmes de la vitesse, de l’utilisation du téléphone et de la drogue ont été déclinés.

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UN KIT DE PRÉVENTION COMPLET ET ADAPTÉ

Un kit complet est mis gratuitement à disposition des BDE pour les aider à mettre en place une action de sensibilisation auprès des étudiants. Ils auront ainsi à disposition des affiches et goodies inédits pour faire passer un message simple : avant chaque soirée, il faut désigner un capitaine de soirée.

Les BDE peuvent se procurer ce kit en le commandant en ligne via l’onglet Facebook ou directement auprès des comités départementaux de l’association Prévention Routière.

LES OUTILS DE PRÉVENTION

(OUTRE LES AFFICHES)

DES BADGES

DES BRACELETS

DES ÉTHYLOTESTS

DES CARTCOM

DES SICK BAGS

pour pouvoir tester les conducteurs avant qu’ils ne reprennent le volant

pour identifier les capitaines de soirée

pour identifier les membres du staff et pour offrir aux capi-taines de soirée

aux couleurs de la campagne pour diffuser le message « Pas de Sam, pas de caisse ! »

« ce doggy bag est pour les potes de Sam » que les organisateurs pourront glisser sous les essuie-glaces des voitures pour rappeler avec humour, que celui qui conduit, c’est « celui qui ne boit pas »

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UN RELAIS ESSENTIEL SUR FACEBOOK

Les associations Prévention Routière et Assureurs Prévention portent Sam, le capitaine de soirée sur Facebook et inaugurent une nouvelle page fan aux couleurs de la campagne : http://www.facebook.com/Samlecapitainedesoiree.

Parce que Facebook est désormais au cœur de l’organisation de toute soirée étudiante, les associations Prévention Routière et Assureurs Prévention ont développé un outil de prévention innovant à destination des BDE : l’onglet My Sam. Installé directement sur les pages fan des BDE, il a pour objectif de faciliter les retours de soirée.

Ces deux espaces interactifs (page fan et onglet) présentent différentes informations et mesures de prévention mais donnent aussi les moyens aux étudiants de se désigner comme Sam lors de leurs soirées ou aux BDE de commander des kits de prévention.

Egalement à disposition des BDE et accessible depuis l’onglet My Sam, le jeu concours « Ne laisse pas tomber tes potes » propose aux étudiants d’endosser le rôle, pas toujours facile à tenir, de Sam, le capi-taine de soirée. Le principe est simple : parvenir, à l’aide de sa souris, à contrôler l’équilibre de quatre de ses amis afin de les faire monter dans sa voiture sans les laisser tomber… au sens propre, comme au figuré. Plus on parvient à prendre d’amis et plus on fait de distance, plus on marque de points.

Lancé entre les BDE qui ont installé My Sam, ce jeu concours* permettra au BDE qui aura cumulé le plus de point de gagner le cadeau idéal : celui qu’il aura choisi ! (pour un montant de 5000 ˆ ).

PAGE FAN « SAM, LE CAPITAINE

DE SOIRÉE » ONGLET « MY SAM » JEU CONCOURS

« NE LAISSE PAS

TOMBER TES POTES »

Règlement accessible depuis l’onglet « My Sam »*

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FICHE TECHNIQUE DE LA CAMPAGNE

NOM DE LA CAMPAGNEPas de Sam, pas de caisse !

ANNONCEURSAssociation Prévention Routière / Assureurs Prévention

RESPONSABLES ANNONCEURSJohanne Mathat pour l’association Prévention Routière ; Benoît Danton et Ludivine Daniel pour Assureurs Prévention

AGENCEleg.

RESPONSABLE AGENCEGabriel Gaultier

DISPOSITIF DE LA CAMPAGNE

7 affiches :- Pas de Sam, pas de caisse !- Mieux vaux Sam que le SAMU.- Ce soir, les potes de Sam ne vont rien se taper. Pas même un platane. - Ils s’endorment au bar et se réveillent dans leur lit. Encore un exploit de Sam.- Votre forfait vie, lui, ne se renouvelle pas.- Pas de joint sans carton.- Un pied sur le frein, c’est mieux qu’un pied dans la tombe.

Un kit de prévention :- des bracelets - des éthylotests- des badges - des sick bags- des cartcom

Un volet Facebook :- une page Fan « Sam, le capitaine de soirée »- un onglet « My Sam »- un jeu concours « Ne laisse pas tomber tes potes »

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FICHE D’IDENTITÉ

Association loi 1901, reconnue d’utilité publique depuis 1955, l’association Prévention Routière s’estdonné pour mission de réduire le nombre et la gravité des accidents de la circulation routière. Pour cela, elle étudie, met en oeuvre tous les moyens et encourage toutes les initiatives propres à améliorer la sécurité sur la route et à faire évoluer les comportements des usagers de la route. Ainsi, 1 300 000 enfants ou adolescents bénéficient chaque année de séances d’éducation routière. Pour mener à bien ses actions en milieu scolaire, l’association Prévention Routière bénéficie du concours de nombreux moniteurs d’éducation routière et organise des stages pour les former (plus de plus de 300 moniteurs d’éducation routière formés en 2010).

35 000 conducteurs participent chaque année à des stages de sensibilisation organisés dans le cadre du permis à points, en alternative aux poursuites ou dans le cadre de la procédure pénale.

L’association Prévention Routière organise également des stages de réactualisation des connaissances pour les conducteurs seniors volontaires. Elle propose aux entreprises des solutions concrètes pour réduire leur risque circulation (analyse et gestion du risque routier, sensibilisation du personnel, formation des conducteurs).

Enfin, plusieurs millions de Français sont touchés chaque année par les campagnes de communication, les dépliants et les brochures de l’association Prévention Routière. 100 000 adhérents et donateurs, dont 10 000 entreprises, soutiennent aujourd’hui l’action de l’association Prévention Routière.101 comités départementaux relaient sur le terrain les campagnes nationales et initient leurs propres actions de prévention. Chaque comité anime un réseau de bénévoles.

Pour en savoir plus : www.preventionroutiere.asso.fr

ASSOCIATION

PRÉVENTION

ROUTIÈRE

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FICHE D’IDENTITÉ

L’assurance et la prévention sont étroitement liées. Depuis des décennies, les assureurs ont à coeur de mener à bien leur mission de prévention, qu’ils considèrent comme leur ‘second métier’. C’est ainsi qu’en 1949 ils en sont venus à créer l’association Prévention Routière par exemple, dontils sont aujourd’hui le principal partenaire. Mais la prévention et l’assurance, c’est aussi la santé, l’habitation, les accidents de la vie quotidienne, les catastrophes naturelles, etc…

Pour chaque Français, les risques sont nombreux et concernent chaque pan de leur activité quotidienne. L’approche proposée par les assureurs devait refléter cette dimension globale : Assureurs Prévention initie donc des actions « transversales ». L’association a pour vocation d’alerter l’ensemble des Français sur les dangers qui les guettent et de leur délivrer des messages et des informations pratiques simples.

L’association, présidée par Bernard Spitz, s’appuie sur un Comité d’Orientation Scientifique (COSAP), lieu d’échange et de dialogue avec la société civile, composé d’une dizaine de membres éminents, à la tête duquel se trouve Philippe-Gabriel Steg. Deux commissions viennent enrichir les prises de paroles d’Assureurs Prévention.

Ses actions s’articulent toutes autour de son site www.assureurs-prevention.fr. Vidéos, quiz, témoignages, dossiers sont disponibles pour s’informer, se former, ou combattre les idées reçues.

Pour en savoir plus : www.assureurs-prevention.fr

ASSUREURS

PRÉVENTION

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