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halle aux grains 05 61 63 13 13 www.onct.toulouse.fr Conception www.vifdesign.fr / photos © Marco Borggreve, Gregory Batardon / licences n°1-1078579, n°2-1078643, n°3-1078644 jeudi - 20H 19 mai DIRECTION Tugan Sokhiev Violoncelle Gautier Capuçon messiaen Les Offrandes oubliées, méditation symphonique / Dutilleux Tout un monde lointain…, concerto pour violoncelle et orchestre / debussy La Mer, trois esquisses symphoniques / stravinski L’Oiseau de feu, Suite pour orchestre n°2 / mEssiaen dutilleux debussy stravinski Saison 2015-2016

DIRECTION Tugan Sokhiev Violoncelle Conception … ONCT 19-05...messiaen Les Offrandes oubliées, ... Dutilleux Tout un monde lointain…, concerto pour violoncelle et orchestre

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jeudi - 20H

19 maiDIRECTIONTugan SokhievVioloncelleGautier Capuçon

messiaen Les Offrandes oubliées, méditation symphonique /Dutilleux Tout un monde lointain…, concerto pour violoncelle et orchestre /debussy La Mer, trois esquisses symphoniques /stravinski L’Oiseau de feu, Suite pour orchestre n°2 /

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Saison 2015-2016

De Claude Debussy à Henri Dutilleux en passant par Olivier Messiaen et par le russe Igor Stravinski qui créa à Paris L’Oiseau de

feu, la musique française se décline sur tous les tons : picturale avec La Mer, virtuose dans Tout un monde lointain…, mystique grâce aux Offrandes oubliées.

OLIVIER MESSIAEN (1908-1992)Les Offrandes oubliées, méditation symphonique pour orchestre

durée de l’œuvre : 12 min

HENRI DUTILLEUX (1916-2013)Tout un monde lointain…, pour violoncelle et orchestre I. ÉnigmeII. RegardIII. HoulesIV. MiroirsV. Hymnedurée de l’œuvre : 30 min

CLAUDE DEBUSSY (1862-1918)La Mer, trois esquisses symphoniquesI. De l’aube à midi sur la merII. Jeux de vaguesIII. Dialogue du vent et de la mer

durée de l’œuvre : 24 min

IGOR STRAVINSKi (1882-1971)L’Oiseau de feu, Suite pour orchestre n° 2I. IntroductionII. L’Oiseau de feu et sa danseIII. Ronde des princesses, KhovorodeIV. Danse infernale du roi KastcheïV. Berceuse. AndanteVI. Finaledurée de l’œuvre : 20 min

Olivier Messiaen (1908-1992)Les Offrandes oubliées, méditation symphonique pour orchestreÉlève comme Henri Dutilleux de Maurice Emmanuel, Olivier Messiaen effectua l’essentiel de sa formation musicale au Conservatoire de Paris où il entre en 1919, tout juste âgé de onze ans. À partir de 1942, devenu professeur d’harmonie au Conservatoire de Paris, il contribua à la formation d’une nouvelle génération de musiciens. Dans l’intervalle, Messiaen s’impose comme l’une des figures majeures du renouveau de la musique française. En 1930, le jeune compositeur de vingt-deux ans auréolé du prestigieux prix de composition du Conservatoire de Paris achève Les Offrandes oubliées.

Encore tonale l’œuvre reflète la veine religieuse – voire mystique – chère au musicien. «  Les bras étendus, triste jusqu’a la mort, /Sur l’arbre de la Croix, vous répandez votre sang. / Vous nous aimez, doux Jésus, nous l’avions oublié.  » À l’évocation de la Crucifixion répond l’angoisse orchestrale  : cordes et vents entonnent une lamentation funèbre dans un « climat douloureux et profondément triste  ». Puis une accélération de plus en plus désespérée renvoie aux pêchés des hommes avant que l’Eucharistie auréolée d’accords majeurs n’achève la pièce dans un climat lumineux.

LE BEAU VINGTIÈME SIÈCLE FRANÇAIS

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Henri Dutilleux (1916-2013)Tout un monde lointain… pour violoncelle et orchestreNé huit ans après Olivier Messiaen, Henri Dutilleux partage le sort rare des compositeurs «  devenus classiques  » de leur vivant. Pour les interprètes qui l’inspirèrent – Mstislav Rostropovitch pour qui fut écrit Tout un monde lointain… –, pour la beauté de ses inspirations – Charles Baudelaire, à qui fut emprunté le titre du concerto –, et pour le ton immédiatement reconnaissable de son œuvre, Dutilleux apparaît comme l’un des grands du siècle passé. Organisé en cinq parties, Tout un monde lointain… puise son titre dans La Chevelure, poème extrait des Fleurs du mal de Baudelaire : « Tout un monde lointain, absent, presque défunt ». Chacun des mouvements reprend en outre des vers en guise de citation liminaire. Agencé selon la forme d’une arche, Tout un monde lointain… a pour mouvement central « Houles », devenue sous la plume de Dutilleux une puissante référence au voyage : « Tu contiens, mer d’ébène, un éblouissant rêve / De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts. »

Autour de ce point nodal, les quatre autres mouvements s’agencent de manière symétrique : reliés par le motif du reflet, les deuxième et troisième mouvements invoquent l’alliance amoureuse. « Nos deux cœurs seront deux vastes flambeaux / Qui réfléchiront leurs doubles lumières / dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux », annonce ainsi le quatrième mouvement intitulé « Miroirs ». « Énigme » et « Hymne », premier et ultime mouvement de la pièce se font écho par leur célébration du rêve : « Garde tes songes / Les sages n’en ont pas d’aussi beaux que les fous ». À la force des images poétiques, répond la beauté des lignes orchestrales : les percussions utilisées de manière diffuse dans les premières mesures de l’œuvre instillent un mystère opaque ; l’association de la harpe, des tam-tams et des cordes dans le quatrième mouvement produit une couleur singulière, sur laquelle s’inscrit la ligne du violoncelle solo. Les ultimes mesures, enfin, laissent place au soliste dont la voix progressivement éteinte invite à l’intériorité.

Claude Debussy (1862-1918)La Mer, trois esquisses symphoniques«  La mer a été très bien pour moi, elle m’a montré toutes ses robes  ». Composée entre 1903 et 1905 à l’issue de voyages en Normandie o ù , à l ’ i n s t a r d e s p e i n t r e s impressionnistes, Claude Debussy s’était fréquemment rendu, La Mer s’impose aussitôt comme l’une des pièces majeures du musicien français. Structurée en trois pans, la fresque marine de Debussy s’affirme comme une œuvre « étalon » de la modernité du vingtième siècle, commentée par les jeunes générations. « C’est dans La Mer que Debussy porte a son accomplissement cette poétique de l’instant en fuite qui est la marque particulière de sa musique », écrit le compositeur et pédagogue André Boucourechliev. «  La musique y devient un monde mystérieux et secret qui s’invente en lui-même et se détruit a mesure (…) La Mer, nous semble-t-il, propose un exemple d’aventure historique de laquelle ne devrait s’échapper aucune manifestation

d’essoufflement  », prédit dès 1962 Jean Barraqué, l’un des héritiers de Debussy. Visionnaire par son orchestration, par l’évocation prodigieuse de l’éveil de la lumière dans le premier mouvement, La Mer emprunte autant aux peintres français qu’au japonais Hokusaï, dont Debussy fit reproduire une esquisse en guise d’illustration liminaire. La répartition diffuse des motifs dans l’orchestre, le déséquilibre du discours tonal grâce aux échelles modales contribuent à la modernité de l’œuvre. Étranger à toute approche analytique ou descriptive de sa pièce, Debussy se contenta de rappeler l’importance de la contemplation dans le processus créatif : « Je me suis fait une religion de la mystérieuse Nature. Devant un ciel mouvant, en contemplant, de longues heures, ses beautés magnifiques, une incomparable émotion m’étreint. Et insensiblement, les mains prennent des poses d’adoration...»

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Igor Stravinski (1882-1971)L’Oiseau de feu, Suite pour orchestre n° 2Qui évoque Stravinski pense à la Russie, quittée après la Révolution soviétique, mais demeurée chère au cœur du musicien. C’est pourtant à Paris que Stravinski fit ses premières armes au sein des Ballets russes. E n 1 9 0 7 , S e r g e D i a g h i l e v , entrepreneur de génie, avait lancé dans la capitale française les premiers concerts de musique russe avant, deux ans plus tard, de proposer au Théâtre du Châtelet la première saison des Ballets russes. Chorégraphes – Michel Fokine –, danseurs – Vaslav Nijinski –, compositeurs – Borodine… tous témoignaient de l’intense vivacité de la création russe devant un public parisien subjugué. Un an plus tard à l’occasion d’un retard pris par Maurice Ravel qui tardait à achever Daphnis et Chloé, Diaghilev s’adressa à Stravinski, ancien élève de Nikolaï Rimski-Korsakov. « A l’époque ou je reçus la commande de Diaghilev, le ballet venait de subir une grande transformation grâce a l’apparition d’un jeune maitre de ballet, Fokine, et a l’éclosion de tout un bouquet d’artistes pleins de talent et de fraicheur. Tout cela me tentait énormément, me poussait a sortir du cercle dans lequel je me trouvais confiné et a saisir l’occasion qui s’offrait de m’associer a ce groupe d’artistes avancés et actifs dont Diaghilev était l’âme et par lequel je me sentais

attiré depuis longtemps. Pendant tout l’hiver je travaillais avec ardeur a mon œuvre et ce travail me mettait en contact continuel avec Diaghilev et ses collaborateurs. La chorégraphie de L’Oiseau de Feu était réglée par Fokine au fur et a mesure que je livrais les divers fragments de ma musique. », raconte Stravinski dans ses Chroniques de ma vie. La création de L’Oiseau de feu, qui eut lieu en juin 1910 à Paris, fait immédiatement du musicien l’une des étoiles de la musique russe. Conte de fées, L’Oiseau de feu oppose le monde maléfique de Kastcheï le magicien, symbolisé par le chromatisme, à celui lumineux du Prince Ivan et des princesses : thèmes populaires, mélodies diatoniques. Tout en puisant dans la musique populaire pour le Finale qui cite des chansons folkloriques recueillies par Nikolaï Rimski-Korsakov, Stravinski développe les éléments fondamentaux de son esthétique : l’énergie rythmique. La célèbre danse infernale du Roi Kastcheï oppose deux éléments : une mélodie énergique à des accords brutaux qui interrompent le discours par d’imprévisibles et puissantes décharges rythmiques. Réalisée en 1919 en Suisse, la deuxième suite réunit six pièces tirées du ballet d’origine.

Charlotte Ginot-Slacik

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TUGAN SOKHIEV DIRECTION

Tugan Sokhiev est directeur musical de l’Orchestre national du Capitole de Toulouse (ONCT) depuis 2008, après avoir été pendant trois ans premier chef invité et conseiller musical. En 2015, la Ville de Toulouse renouvelle son contrat pour 3 années supplémentaires, jusqu’en août 2019. Il est directeur musical du Deutsches Symphonie-Orchester de Berlin depuis septembre 2012  ; son contrat s’achèvera en 2016. Il est également directeur musical et chef principal du Théâtre Bolchoï à Moscou depuis janvier 2014. Chef invité, il débute en 2014/2015 à la tête du London Symphony Orchestra et dirige l’Orchestre philharmonique de Berlin et le Philharmonia Orchestra (qu’il dirige chaque saison). Il fait ses débuts à la tête de l’Orchestre symphonique de Chicago et du Gewandhaus de Leipzig en 2012/2013, puis de l’Orchestre de Philadelphie en 2013/2014.

Au cours des dernières saisons, il fait des débuts remarqués à la tête des orchestres philharmoniques de Vienne et de Berlin (2009/2010). Il est invité par les orchestres philharmoniques de Rotterdam, O s l o , M u n i c h , d e R a d i o France, l ’Orchestre national p h i l h a r m o n i q u e d e R u s s i e , l’Orchestre de l’Académie Sainte-Cécile de Rome, l’Orchestre de la RAI de Turin, l’Orchestre du Staatsoper de Munich, les orchestres symphoniques de la radio suédoise, de Vienne, de Francfort, l’Orchestre royal du Concertgebouw d’Amsterdam, l’Orchestre national de France… Il réalise une tournée en Europe avec le Philharmonia Orchestra, le Mahler Chamber Orchestra et le DSO, et effectue également de nombreuses tournées à la tête de l’ONCT  : Europe, Royaume-Uni, Chine, Amérique du Sud, Japon, Russie.

Sa discographie avec l’ONCT compte cinq enregistrements chez Naïve  : Tableaux d’une Exposition de Moussorgski / Symphonie n°4 de Tchaïkovski  ; Pierre et le Loup de Prokofiev ; Concerto pour violon n° 2 de Prokofiev / Danses symphoniques de Rachmaninov / Symphonie n° 5 de Tchaïkovski / Ouverture festive de Chostakovitch  ; et un disque Stravinski avec L’Oiseau de feu (1919) / Le Sacre du Printemps. Son premier disque à la tête du Deutsches Symphonie-Orchester de Berlin, Ivan le Terrible de Prokofiev, avec Olga Borodina, est paru en 2014 (Sony Classical). Dans le domaine lyrique, Tugan Sokhiev débute en 2002 au Welsh national Opera avec La Bohème. L’année suivante, il dirige Eugène Onéguine au Metropolitan Opera Company à New York, dans la production du Théâtre Mariinsky. En 2004, il débute en France au Festival d’Aix-en-Provence avec L’Amour des trois oranges, ouvrage

qu’il dirige ensuite au Luxembourg et au Teatro Real de Madrid. En 2006, il est invité au Houston Grand Opera pour Boris Godounov. Il dirige La Dame de pique (2010) et Boris Godounov (2012) au Staatsoper de Vienne, La Dame de pique, Iolanta, Les Fiançailles au couvent, Tosca, et Cavalleria Rusticana / Paillasse au Théâtre du Capitole de Toulouse. En 2014/2015, il dirige La Pucelle d’Orléans, La Traviata, La Bohème et Carmen au Théâtre Bolshoï et reprend Les Fiançailles au couvent à Toulouse. En 2005, sa prestation au Théâtre des Champs-Élysées avec l’ONCT lui vaut d’être nommé « Révélation musicale de l’année » par le Syndicat de la critique Théâtre, Musique et Danse. En 2014, le Syndicat de la critique le nomme «  Personnalité musicale  » dans la catégorie instrumentale. En 2013, Tugan Sokhiev reçoit les insignes de Chevalier dans l’Ordre National du Mérite.

© Marc Brenner

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Gautier Capuçon, né en 1981 à Chambéry, commence le violoncelle à 4 ans et demi et étudie avec Annie Cochet-Zakine, Philippe Muller, puis à Vienne avec Heinrich Schiff. Il reçoit des premiers prix dans plusieurs concours internationaux, y compris le Premier Grand Prix du Concours International André Navarra à Toulouse. En 2001 il est « Nouveau Talent  de l’année » aux Victoires de la musique. Il reçoit le «  Borletti-Buitoni Trust Award » et plusieurs fois le « Echo Preis  », récemment pour son enregistrement avec Gergiev et pour le Coffret de la musique de chambre de Fauré (en octobre 2012). Parallèlement, il parfait son expérience au sein de l’Orchestre des Jeunes de la Communauté E u r o p é e n n e a v e c B e r n a r d Haitink, puis du Gustav Mahler Jugendorchester avec Kent Nagano, Daniele Gatti, Pierre Boulez, Seiji Ozawa et Claudio Abbado.

Il se produit avec les plus grands orchestres dans le monde et collabore régulièrement avec Lionel Bringuier, Semyon Bychkov, Myung-Whun Chung, Gustavo Dudamel, Charles Dutoit, Christoph Eschenbach, Valery Gergiev, Bernard Haitink, Paavo Järvi, Andris Nelsons, Yannick Nézet-Séguin, Leonard Slatkin, Tugan Sokhiev…En 2011/2012 grand succès pour ses débuts avec le Philharmonique de Berlin sous la direction de Gustavo Dudamel pour l’Europa Konzert, Chicago, Philadelphia et Boston Symphony/Dutoit, London Symphony/Gergiev au Konzerthaus à Vienne. En 2012/2013 : il est réinvité par le Los Angeles Philharmonic, Seattle et Chicago Symphony, Chamber Orchestra of Europe, Vienna Symphony, Deutsche Symphony Orchestra et joue en récital et musique de chambre à Paris, Londres, Amsterdam, Moscou, Madrid, Vienne, New York, Washington, Tokyo…

En 2013/2014 il fait ses débuts avec l’Orchestre de Concertgebouw/Bychkov, le New York Philharmonic/B o r e y k o e t l ’ O r c h e s t r e d e la Staatskapelle de Dresde/Eschenbach à Dresde et en tant que soliste invité au Festival de Pâques de Salzburg. Il est avec le Chamber Orchestra of Europe/Haitink à Paris, Amsterdam et au Festival de Lucerne, Munich Philharmonique/Bychkov, Sidney Symphony/Bringuier (tournée Australie), Boston Symphony/Dutoit, Orchestre Philharmonique de Radio France/Bringuier, Orchestre Mariinsky St Petersburg/Gergiev à Paris (Pleyel) et en récital avec Yuja Wang (tournée Japon) et Frank Braley (Paris Pleyel, Bordeaux, Chambéry, Lyon, Amsterdam, Bruxelles, La Chaux de Fonds, Vienne, Séoul…). Les points forts de la saison 2014/2015 : tournée européenne avec le London Symphony Orchestra/Sir John Eliot Gardiner et avec le Oslo Philharmonic/Petrenko, ainsi que l’Orchestre de Paris/Zinman, Leipzig Gewandhaus/Krivine, le Philharmonique de Vienne/Orozco-Esdrada, Los Angeles Philharmonic/

GAUTIER CAPUÇONvioloncelle

Dudamel, Cleveland Orchestra/Bringuier, San Francisco Symphony/Dutoit, Boston Symphony/Nelsons.Gautier Capuçon se produit également en récital et musique de chambre dans les festivals majeurs en Europe, comme chaque année au festival de Verbier et au Progetto Martha Argerich a Lugano. Il a pour partenaires Nicholas Angelich, Martha Argerich, Daniel Barenboïm, Yuri Bashmet, Frank Braley, Gérard Caussé, Sarah Chang, Myung Whun Chung, Michel Dalberto, Jérôme Ducros, Hélène Grimaud, Katia et Marielle Labèque, Angelika Kirchschlager, Gabriela Montero, Viktoria Mullova, Mikhail Pletnev, Leonidas Kavakos, Stephen Kovacevitch, Menahem Pressler, Vadim Repin, Antoine Tamestit, Jean-Yves Thibaudet, Maxim Vengerov, Yuja Wang, Nikolaj Znaider, les quatuors Artemis et Ebène, ainsi que son frère Renaud.Discographie  : Chez Warner, les Trios de Haydn et Mendelssohn avec Martha Argerich et Renaud Capuçon, le Trio n°2 de Chostakovitch avec Martha Argerich et Maxim Vengerov. Chez Erato, dont il est artiste

© GregoryBatardon

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exclusif  : la musique de chambre de Ravel avec Renaud Capuçon et Frank Braley, des duos avec son frère, les concertos de Haydn avec le Mahler Chamber Orchestra et Daniel Harding (« Diapason d’Or » et « Choc » du Monde de la musique), la musique de chambre de Saint-Saëns, de Schubert, les trios de Brahms avec Renaud Capuçon et Nicholas Angelich (Preis der Deutschen Schallplattenkritik – Diapason d’Or – Choc/Monde de la Musique), un récital avec la pianiste Gabriela Montero (Mendelssohn/Prokofiev/Rachmaninov), le concerto de Dvořák avec l’Orchestre de la Radio de Francfort et Paavo Järvi, le Double de Brahms avec GMJO et Myung-Whun Chung. Après un DVD live Festival de Salzbourg Triple de Beethoven (Martha Argerich, Renaud Capuçon, l’Orchestre Simon Bolivar et Gustavo Dudamel) et un DVD – Concert live avec le Berliner Philharmoniker (Haydn Concerto N°1) sous la direction de Gustavo Dudamel (Deutsche Gramophone),

les Variations Rococo de Tchaikovski avec le Mariinsky Theatre Orchestra et Valery Gergiev, l’intégrale Fauré avec N. Angelich, G. Capuçon, M. Dalberto, G. Caussé et le Quatuor Ebène. Dernières parutions un récital Schubert/Debussy/Britten/Schumann avec Frank Braley et Saint-Saëns (Concerto N°1 et Muse et le Poète) avec l’Orchestre Philharmonique de Radio France et Lionel Bringuier.Depuis 2007 Gautier Capuçon est l’ambassadeur de «  Zegna & Music Project  », fondé en 1997 comme activité philanthropique pour promouvoir la musique et ses valeurs. En octobre 2014 il crée la « Classe d’excellence de violoncelle » à la Fondation Louis Vuitton à Paris, dans le nouvel Auditorium conçu par Frank Gehry. Colas a coproduit avec Virgin Classics son dernier album enregistré avec Valery Gergiev et a contribué à l’acquisition d’un archet de Dominique Peccatte.Il joue un Matteo Goffriler de 1701.

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PROCHAIN CONCERTvendredi 17 juin

20H - HALLE AUX GRAINS

DIRECTIONBruno Mantovani

violonRenaud Capuçon

HautboisOlivier Stankiewicz

schöenbergmantovani

berioschubert

RENAUD CAPUÇON ENCHANTE LE XXe SIÈCLE

schöenberg Cinq pièces pour orchestre /

mantovani Jeux d’eau pour violon et orchestre /

berio Chemin IV pour hautbois et cordes /

schubert Symphonie n° 5 en si bémol majeur /

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Halle aux Grains - 05 61 63 13 13 - www.onct.toulouse.fr

FORMATION ORCHESTRALEViolon super soloGeneviève Laurenceau

Premiers violonsSharon RoffmanSylvie ViviesAlexandre KapchievVitaly RasskazovNicole BoussinotHenri SalvatSylvie MougeatSébastien PlancadeOlivier AmielAude PuccettiStéphane GuiocheauJulia RaillardJean-Baptiste JourdinGuillaume DevinIsolde Ferenbach

Seconds violonsFabien MastrantonioAudrey LoupyMohamed MakniFrancois DrouhinYves SapirMarie Jose FougerouxVirginie AllemandEdwige FarencAlexandre DalbigotDavid BenetahGuilhem BoudrantEstelle BartolucciQuentin DebroeyerMarie Cauchefer

AltosDomingo MujicaBruno DubarryLambert ChenLaura EnsmingerTymoteusz SypniewskiGilles ApparaillyVincent Cazanave-PinMailyss Cain

Samuel JolyAudrey LeclercqAnne-Sandrine DuchêneJoyce Blanco Lewis

VioloncellesPierre GilSarah IancuVincent PouchetElise RobineauChristopher WalthamBenoît ChapeauxThomas DazanSébastien LaurensMarie GirbalLéa Birnbaum

ContrebassesDamien-Loup VergneFlorent BarnaudPierre HequetDaniel Ben SoussanVictor Garcia GonzalezConor Mc CarthyTarik BahousGuillaume Girma

FlûtesSandrine TillyBoris GrelierClaude RoubichouAdeline Salles

HautboisLouis SeguinGuillaume DeshayesGabrielle ZaneboniSerge Krichewsky

ClarinettesDavid MinettiFloriane TardyEmilie PinelJean-Paul Decamps

BassonsLionel Belhacene

Marion DeleplancqueVictor DutotMylène Poulard

CorsJacques DeleplancqueThibault HocquetJean-Pierre BouchardArnaud BonnetotFrançois LugueBenoit Hui

TrompettesHugo BlacherAurore PrieurThomas PesquetNicolas PardoMaxime Faix

TrombonesDominique DehuDavid LocqueneuxFabien DornicPatrick DubarryAymeric Fournes

TubasSylvain PicardPierrick Fournes

TimbalesJean-Sébastien Borsarello

PercussionsThibault BuchailletChristophe DewarumezMatthieu ChardonDavid DuboisLuc Bagur

HarpeGaëlle ThouveninCécile Barutaut

CélestaInessa Lecourt