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Bavilliers Commune de LA REVUE DE PRESSE Période du 8 au 14 octobre 2018

Commune de Bavilliers€¦ · 2 Lundi 8 octobre 1 Lundi 8 octobre 2018 SPORTS FRANCHE-COMTÉ 9 DOU09 - V1 Groupe D Morbier-Doubs : 1-3 0-1 : Acigkoz (5’), 1-1 : Pie- chocki (55’),

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  • BavilliersCommune de

    LA REVUE DE PRESSE

    Période du8 au 14 octobre 2018

  • 2

    Lundi 8 octobre

    1

    9SPORTS FRANCHE-COMTÉLundi 8 octobre 2018

    DOU09 - V1

    Groupe D

    Morbier-Doubs : 1-30-1 : Acigkoz (5’), 1-1 : Pie-

    chocki (55’), 1-2 : Dissoubray(63’), 1-3 : Barraux (77).

    Ornans (2) - Saint-Jean-de-Losne : 0-0

    Groupe E

    Scey/Saône - Bart : 0-50-1 : Schori (4’), 0-2 : Plan-

    son (8’)0-3 : Schori (23’), 0-4 : Plan-

    son (56’), 0-5 : Cordier (80’).

    Vesoul - Dannemarie : 5-11-0 : Barghouti (9’), 2-0 :

    Cossi (11’), 3-0 : Barghouti(35’), 3-1 : Agro (40’), 4-1 :Alyoui (70’), 5-1 : Badgy (78’).

    Saône Mamirolle - Pouilley Vignes : 1-1

    0-1 : Elhinger (34’), 1-1 :Kesori (76’)

    Bavilliers - Arc Gray : 1-20-1 : Merimeche (4’), 1-1 :

    Langolf (25’), 1-2 : Merime-che (85’).

    Marnay - Valdahon Vercel : 1-3

    0-1 : Mercier (16’), 1-1 :Danjou (35’), 1-2 : CSC (54’),1-3 : Vieille (86’)

    Villars-Sous-Écot Saint Maurice Colombier -

    L’isle-sur-le-Doubs : 1-4NC

    Groupe F

    Valdoie –Morteau-Montlebon (2) :

    1-20-1 : R. Bolle (43’), 1-1 :

    Berfeuil, (51’), 1-2 : Faivre(90’+1).

    Entre-Roches – Bessoncourt : 1-3

    0-1 : Roussez (6’), 0-2 : Mau-vais, (65’), 1-2 : Clerc (74’),1-3 : Chaudat (89’).

    AS FC Belfort – JS Lure : 2-5

    0-1 : Hermann (13’), 0-2 :A. Mourey (20’), 1-2 : (n.cc.s.c, 32’), 2-2 : Atasoy (54’),2-3 : Clémentier (75’), 2-4 :Desgrandchamps (77’), 2-5 :L. Mourey (86’).

    Mélisey – Orchamps-Vennes : 1-0

    1-0 : Geney (89’).

    Sous-Roches – Héricourt : 3-1

    1-0 : Marty (16’), 2-0 : Cal-lanquin (44’), 3-0 : Fieutelot(79’), 3-1 : Lahbib (82’).

    SUR LES AUTRES PELOUSES

    En première mi-temps, l’ASNL subis-sait le jeu sochalien et, des deux côtés, les velléités offensives se faisaient rares. Il fal-lait attendre le quart d’heure de jeu pour voir la première frappe cadrée de la par-tie : elle était nancéienne et signée Fabien(18e). Profitant d’un temps fort, Sochaux ouvrait la marque : une tête piquée de François, renvoyée par le poteau, échouait dans les pieds de Jarmouni qui n’avait plus qu’à pousser le ballon dans lebut nancéien (27e). Enhardis par l’ouver-ture du score, les Sochaliens appuyaient

    sur l’accélérateur et Bariki était à deux doigts de doubler la mise (36e). En fin de première mi-temps, l’exclusion de Nsim-ba compliquait les choses pour l’ASNL désormais à dix (40e).

    À la reprise, Sochaux prenait la direc-tion des opérations et cherchait à faire rapidement la différence à l’image de cet-te reprise de volée de Ndiaye qui termi-nait sa course sur la transversale (51e). Enplein doute, l’ASNL se remettait dans le sens de la marche, sans réussite. Le coa-ching de Patrick Moreau allait porter ses fruits puisque Moustaid, entré depuis peu, obtenait un penalty transformé par Suengchitthawon, synonyme d’égalisa-tion (1-1, 88e).

    FOOTBALL > U19

    Sochaux rejoint sur le fil

    Sochaux pensait avoir match gagné. Mais Nancy a su prendre sa chance pour égaliser à deux minutes de la fin. Photo Pierre ROLIN

    ASNL - FC SOCHAUX : 1-1

    Les buts. ASNL : Suengchitthawon (88’). FC Sochaux : Jarmouni (27’).

    Malheureusement, les mi-temps se sui-vent mais ne se ressemblent pas. Pontar-lier au retour des vestiaires, encaissait trois nouveaux buts. D’abord, Clergeot trompait son propre gardien (49e), puis lefeu-follet Saban aggravait le score (60e).

    Quelques minutes plus tard, Calodatajustait Vauchet sur coup-franc (65e). Pour finir Sidibe et Mukanya, clôturait la nette domination des joueurs du Forez en ajoutant deux autres buts (78e, 83e).

    À noter que les locaux auraient pu ré-duire le score par Fofana suite à un face-à-face (54e). Un nouveau calvaire pour les protégés de Romain Richard qui souf-frent en ce début de saison.

    Pontarlier écrasé par l’ASSEPONTARLIER - AS SAINT-ÉTIENNE : 0-6Les buts. Venus (3’), Clergeot (49’csc),Saban (60’), Calodat (65’), Sidibe (78’), Mukanya (83’).

    Brillantes la semaine dernière face àBrétigny (4-0), les jeunes pousses de Manu Guidicelli ont conservé leur invincibilité en championnat face à laJeunesse d’Aubervilliers : « aujour-d’hui je n’ai pas beaucoup de repro-ches à faire à mes joueurs. Nous avons constamment maîtrisé la partieen nous créant de plus, énormément d’occasions face à un adversaire très bien organisé. On peut seulement re-gretter notre manque de réalisme

    dans la zone de vérité, pour valider complètement le bon travail effectué dans la semaine ».

    Contre des joueurs Franciliens dé-fendant en effet crânement leur chan-ce, les Lionceaux semblaient en effet prendre la partie par le bon bout.

    À partir d’un jeu collectif bien huiléles visiteurs venaient constamment menacer l’arrière-garde locale. Al-vero (10e), Antonio (40e), ou Raffoul (62e), avaient tour à tour l’opportunitéd’ouvrir le score, mais se sont à cha-que fois cassé les dents sur un portier Albertivillarien… en état de grâce !

    FOOTBALL > U17

    Sochaux n’arrive pas à forcer le verrouJEUNESSE AUBERVILLIERS - FC SOCHAUX : 0-0

    P ays Maîchois n’a pasconfirmé son bon débutde saison laissant échap-per trois points face à une équi-pe de Giro Lepuix qui se don-ne un peu d’air au classement.

    Les locaux sont les premiers àse mettre en action mais lafrappe de Loichat passe au-dessus du but (6e). La suite estbeaucoup plus fade, les deuxformations se montrant asseztimorées.

    Néanmoins, les visiteurs parGodfroy débloquent la situa-tion sur corner d’une jolie tête(22e).

    Les hommes de Tirole ne réa-gissent pas vraiment et perdentde nombreux duels. En secon-de période les choses se com-pliquent pour les locaux qui seretrouvent à dix après l’expul-

    sion de Loichat (61e).Giro Lepuix double la mise

    d’une superbe inspiration dePeriat qui lobe des 30 mètres legardien (67e). Six minutes plustard, Krasauskas redonne descouleurs aux Maîchois (73e)qui prennent le match en main.

    Dès lors Giro Lepuix recule,et Romer est tout près du 2-2mais sa tête n’est pas cadrée(90e).

    Ils ont dit :Ronan Loichat (capitaine de

    Pays Maichois) : « On n’a pasété au niveau, on a fait unemauvaise entame de matchpuis on tente de réagir à 0-2lorsqu’on évolue à 10 contre11 mais ça n’a pas suffi ».Ruggeri Patrice (entraîneur

    de Giro Lepuix) : « J’ai sentiune réaction cette semaine àl’entraînement. Avec le staff ona fait des choix forts en neprenant que des gars motivés,ça a payé j’espère que l’on vacontinuer dans cet état d’es-prit ».

    FOOTBALL > Régional 3 (Groupe F)

    Pays Maîchois rate le coche

    Malgré une réaction en fin de match Pays Maîchois doit s’incliner. Photo Laurent MOUGIN

    PAYS MAICHOIS - GIRO LEPUIX : 1-2

    Les buts. Pays-Maichois : Krasauskas (73'). Giro-Lepuix : Godfroy (22'), Pe-riat (67').

    Trois minutes, c’est le temps qu’il aurafallu aux jeunes verts et à Venus l’atta-quant stéphanois pour ouvrir le score et tromper Vauchet (3e). Toutefois, pas de quoi enlever la bonne envie pontissalien-ne, qui prenait au fur et à mesure le fil du match. Fofana puis Chaillet s’essayaient de loin (13e, 15e).

    Cependant la bonne volonté capisten’allait pas être récompensée dans ce premier acte.

    18 BELFORT Lundi 8 octobre 2018

    90A18 - V1

    en famille. A l’issue de la décou-verte les néo-Belfortains ont étéaccueillis en salle d’honneur del’hôtel de ville par Damien Mes-lot, maire de Belfort, et ClaudeKamil, présidente de l’office detourisme du Territoire de Bel-fort ainsi que par une dizained’associations culturelles etsportives.

    Un sac a été remis à chaquefamille, rempli de documentstouristiques, un Pass de bienve-nue, un Ecocup, gobelet recy-clable ainsi qu’un détecteur defumée. Ces personnes arriventd’Ile de France, du Doubs et duMaroc entre autres.

    ont été guidés en ville pour unevisite divisée en quatre groupesd’une quinzaine de personnes

    Nouvellement arrivés à Bel-fort samedi matin une soixan-taine de nouveaux habitants

    En ouverture de cérémonie, le tir à l’arc.

    BELFORT VILLE

    Les nouveaux habitants accueillis

    Eleonore, Philippe, Jonas et Catherine à la découverte de Belfort.

    Le fondateur de Gakkô Dentô, Jean-Pierre Robert.

    Gakkô Dentô a frappé fortpour ses 30 ans. Un tourd’Asie des arts martiaux eténergétiques en 14 tableaux :une performance au Phare grâceaux 150 pratiquants, mais aussi àcinq associations de la ré-gion. Cette mobilisation a per-mis d’enrichir le programme dece dimanche après-midi de dé-monstrations rares. Et l’imageque l’on retient est celle de ladiversité. De la délicatesse dela danse de l’Éventail aux com-bats à main nues des samouraïset guerriers, la précision domine,la maîtrise de soi, le respect del’adversaire. Des valeurs souli-gnées par la présidente, Madelei-ne Mann, en ouverture de céré-monie. Gakkô Dentô a grandià force de volonté et de partage,pour devenir ce club atypique enneuf sections, où les professeursse forment en continu.

    Un soin particulier a été appor-té à l’originalité du program-me. Si le taï-chi-chuan, formechinoise en 24 mouvements etgrand classique, a donné lieu àun tableau de groupe, le specta-cle a débuté dès les premièresminutes. « Nous avons montréde nombreux arts assez rares »explique Jean-Pierre Robert, fon-dateur de Gakkô Dentô, formédans de nombreuses disciplines.

    Le tir à l’arc a lancé les hostili-tés, suivi d’une très belle dé-monstration de kenbu, d’éven-tail chinois et de sabre chinois.L’éventail, destiné à s’éventer, est aussi une arme et l’occasion

    de récits de guerre. « Le kobudoest rare également ».

    Plusieurs fois, le public a rete-nu son souffle devant tant demaîtrise, de rapidité, de force deguerre. Le kendo, qui descendde l’art de l’escrime légué par lesSamouraïs, montré par Yushin-kan, met le Qi (l’énergie) dans lavoix autant que dans le corps.Mention spéciale au jujitsu del’École de combat : il permet à« une frêle femme » d’affronternon pas le dragon mais l’hommecostaud, et de lui mettre un boncoup sur le casque.

    Autre temps fort, parmi denombreux, la démonstration dekung fu façon Bruce Lee grâceaux Wing Chun du club de Sie-rentz. Les techniques de défen-se, d’attaque, de guerre, de con-t r a i n t e , d e p o l i c e o ud’élimination totale de ces sa-mouraïs modernes sont à couperle souffle. Et l’on se réjouit derepartir avec ses clés et ses deuxbras.

    Christine RONDOT

    BELFORT Gala

    Une armée de samouraïs au Phare

    Le kendo : un combat tonique avec sabre (en bois). Photo Xavier GORAU

    Diversité. Précision. Beauté. Gakkô Dentô a montré de nombreuses facettes des arts martiaux et énergétiques, dimanche, au Phare. Les trente ans ont été célébrés avec cinq autres associations

    EN BREF

    Les activités de la Compagnie Belfort LoisirsLa Compagnie Belfort Loisirs (CBL) propose différentes activi-tés au mois d’octobre. En voici un aperçu.Mardi 9 : sortie cyclo ; Mini-randonnée pédestre seniors, partenariat CCAS Belfort.Mercredi 10 : mini-randonnée pédestre, ouvrage de la côte deBavilliers ; iaporama section photo.Jeudi 11 : sortie cyclo ; grande randonnée pédestre, le moulin à huile de Storckensohn.Vendredi 12 : mini-randonnée pédestre, fort de Rupt-sur-Mo-selle ; randonnée roller en ville.Samedi 13 et dimanche 14 : week-end de clôture VTT à Four-net-Blancheroche.Dimanche 14 : randonnée pédestre commune Hohbühl/CBL,Badenweiler (Forêt Noire) ; randonnée pédestre moyenne, les Chaumes du Tanet ; grande randonnée pédestre, le Rossberg.Mardi 16 : sortie cyclo ; grande randonnée pédestre, vignoble de Turckheim.Mercredi 17 : convivialité à Belfahy avec repas paëlla ; mini-randonnée pédestre, Port de Frahier.

    9SPORTS FRANCHE-COMTÉLundi 8 octobre 2018

    DOU09 - V1

    Groupe D

    Morbier-Doubs : 1-30-1 : Acigkoz (5’), 1-1 : Pie-

    chocki (55’), 1-2 : Dissoubray(63’), 1-3 : Barraux (77).

    Ornans (2) - Saint-Jean-de-Losne : 0-0

    Groupe E

    Scey/Saône - Bart : 0-50-1 : Schori (4’), 0-2 : Plan-

    son (8’)0-3 : Schori (23’), 0-4 : Plan-

    son (56’), 0-5 : Cordier (80’).

    Vesoul - Dannemarie : 5-11-0 : Barghouti (9’), 2-0 :

    Cossi (11’), 3-0 : Barghouti(35’), 3-1 : Agro (40’), 4-1 :Alyoui (70’), 5-1 : Badgy (78’).

    Saône Mamirolle - Pouilley Vignes : 1-1

    0-1 : Elhinger (34’), 1-1 :Kesori (76’)

    Bavilliers - Arc Gray : 1-20-1 : Merimeche (4’), 1-1 :

    Langolf (25’), 1-2 : Merime-che (85’).

    Marnay - Valdahon Vercel : 1-3

    0-1 : Mercier (16’), 1-1 :Danjou (35’), 1-2 : CSC (54’),1-3 : Vieille (86’)

    Villars-Sous-Écot Saint Maurice Colombier -

    L’isle-sur-le-Doubs : 1-4NC

    Groupe F

    Valdoie –Morteau-Montlebon (2) :

    1-20-1 : R. Bolle (43’), 1-1 :

    Berfeuil, (51’), 1-2 : Faivre(90’+1).

    Entre-Roches – Bessoncourt : 1-3

    0-1 : Roussez (6’), 0-2 : Mau-vais, (65’), 1-2 : Clerc (74’),1-3 : Chaudat (89’).

    AS FC Belfort – JS Lure : 2-5

    0-1 : Hermann (13’), 0-2 :A. Mourey (20’), 1-2 : (n.cc.s.c, 32’), 2-2 : Atasoy (54’),2-3 : Clémentier (75’), 2-4 :Desgrandchamps (77’), 2-5 :L. Mourey (86’).

    Mélisey – Orchamps-Vennes : 1-0

    1-0 : Geney (89’).

    Sous-Roches – Héricourt : 3-1

    1-0 : Marty (16’), 2-0 : Cal-lanquin (44’), 3-0 : Fieutelot(79’), 3-1 : Lahbib (82’).

    SUR LES AUTRES PELOUSES

    En première mi-temps, l’ASNL subis-sait le jeu sochalien et, des deux côtés, les velléités offensives se faisaient rares. Il fal-lait attendre le quart d’heure de jeu pour voir la première frappe cadrée de la par-tie : elle était nancéienne et signée Fabien(18e). Profitant d’un temps fort, Sochaux ouvrait la marque : une tête piquée de François, renvoyée par le poteau, échouait dans les pieds de Jarmouni qui n’avait plus qu’à pousser le ballon dans lebut nancéien (27e). Enhardis par l’ouver-ture du score, les Sochaliens appuyaient

    sur l’accélérateur et Bariki était à deux doigts de doubler la mise (36e). En fin de première mi-temps, l’exclusion de Nsim-ba compliquait les choses pour l’ASNL désormais à dix (40e).

    À la reprise, Sochaux prenait la direc-tion des opérations et cherchait à faire rapidement la différence à l’image de cet-te reprise de volée de Ndiaye qui termi-nait sa course sur la transversale (51e). Enplein doute, l’ASNL se remettait dans le sens de la marche, sans réussite. Le coa-ching de Patrick Moreau allait porter ses fruits puisque Moustaid, entré depuis peu, obtenait un penalty transformé par Suengchitthawon, synonyme d’égalisa-tion (1-1, 88e).

    FOOTBALL > U19

    Sochaux rejoint sur le fil

    Sochaux pensait avoir match gagné. Mais Nancy a su prendre sa chance pour égaliser à deux minutes de la fin. Photo Pierre ROLIN

    ASNL - FC SOCHAUX : 1-1

    Les buts. ASNL : Suengchitthawon (88’). FC Sochaux : Jarmouni (27’).

    Malheureusement, les mi-temps se sui-vent mais ne se ressemblent pas. Pontar-lier au retour des vestiaires, encaissait trois nouveaux buts. D’abord, Clergeot trompait son propre gardien (49e), puis lefeu-follet Saban aggravait le score (60e).

    Quelques minutes plus tard, Calodatajustait Vauchet sur coup-franc (65e). Pour finir Sidibe et Mukanya, clôturait la nette domination des joueurs du Forez en ajoutant deux autres buts (78e, 83e).

    À noter que les locaux auraient pu ré-duire le score par Fofana suite à un face-à-face (54e). Un nouveau calvaire pour les protégés de Romain Richard qui souf-frent en ce début de saison.

    Pontarlier écrasé par l’ASSEPONTARLIER - AS SAINT-ÉTIENNE : 0-6Les buts. Venus (3’), Clergeot (49’csc),Saban (60’), Calodat (65’), Sidibe (78’), Mukanya (83’).

    Brillantes la semaine dernière face àBrétigny (4-0), les jeunes pousses de Manu Guidicelli ont conservé leur invincibilité en championnat face à laJeunesse d’Aubervilliers : « aujour-d’hui je n’ai pas beaucoup de repro-ches à faire à mes joueurs. Nous avons constamment maîtrisé la partieen nous créant de plus, énormément d’occasions face à un adversaire très bien organisé. On peut seulement re-gretter notre manque de réalisme

    dans la zone de vérité, pour valider complètement le bon travail effectué dans la semaine ».

    Contre des joueurs Franciliens dé-fendant en effet crânement leur chan-ce, les Lionceaux semblaient en effet prendre la partie par le bon bout.

    À partir d’un jeu collectif bien huiléles visiteurs venaient constamment menacer l’arrière-garde locale. Al-vero (10e), Antonio (40e), ou Raffoul (62e), avaient tour à tour l’opportunitéd’ouvrir le score, mais se sont à cha-que fois cassé les dents sur un portier Albertivillarien… en état de grâce !

    FOOTBALL > U17

    Sochaux n’arrive pas à forcer le verrouJEUNESSE AUBERVILLIERS - FC SOCHAUX : 0-0

    P ays Maîchois n’a pasconfirmé son bon débutde saison laissant échap-per trois points face à une équi-pe de Giro Lepuix qui se don-ne un peu d’air au classement.

    Les locaux sont les premiers àse mettre en action mais lafrappe de Loichat passe au-dessus du but (6e). La suite estbeaucoup plus fade, les deuxformations se montrant asseztimorées.

    Néanmoins, les visiteurs parGodfroy débloquent la situa-tion sur corner d’une jolie tête(22e).

    Les hommes de Tirole ne réa-gissent pas vraiment et perdentde nombreux duels. En secon-de période les choses se com-pliquent pour les locaux qui seretrouvent à dix après l’expul-

    sion de Loichat (61e).Giro Lepuix double la mise

    d’une superbe inspiration dePeriat qui lobe des 30 mètres legardien (67e). Six minutes plustard, Krasauskas redonne descouleurs aux Maîchois (73e)qui prennent le match en main.

    Dès lors Giro Lepuix recule,et Romer est tout près du 2-2mais sa tête n’est pas cadrée(90e).

    Ils ont dit :Ronan Loichat (capitaine de

    Pays Maichois) : « On n’a pasété au niveau, on a fait unemauvaise entame de matchpuis on tente de réagir à 0-2lorsqu’on évolue à 10 contre11 mais ça n’a pas suffi ».Ruggeri Patrice (entraîneur

    de Giro Lepuix) : « J’ai sentiune réaction cette semaine àl’entraînement. Avec le staff ona fait des choix forts en neprenant que des gars motivés,ça a payé j’espère que l’on vacontinuer dans cet état d’es-prit ».

    FOOTBALL > Régional 3 (Groupe F)

    Pays Maîchois rate le coche

    Malgré une réaction en fin de match Pays Maîchois doit s’incliner. Photo Laurent MOUGIN

    PAYS MAICHOIS - GIRO LEPUIX : 1-2

    Les buts. Pays-Maichois : Krasauskas (73'). Giro-Lepuix : Godfroy (22'), Pe-riat (67').

    Trois minutes, c’est le temps qu’il aurafallu aux jeunes verts et à Venus l’atta-quant stéphanois pour ouvrir le score et tromper Vauchet (3e). Toutefois, pas de quoi enlever la bonne envie pontissalien-ne, qui prenait au fur et à mesure le fil du match. Fofana puis Chaillet s’essayaient de loin (13e, 15e).

    Cependant la bonne volonté capisten’allait pas être récompensée dans ce premier acte.

    Bavilliers

  • 2

    Mardi 9 octobre

    2

    2 TEMPS FORT

    AIR

    E U

    RB

    AIN

    E

    90A02 - V1

    Vous êtes témoin d’un événement, vous avez une info ?contactez le

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    Belfort 03.84.21.07.32

    18 Faubourg de France, BP 409 90007 BELFORT

    https://www.facebook.com/ lestrepublicainbelfort hericourtmontbeliard/

    https://twitter.com/ estrepublicain

    est la prochaine étape. « Nous avons des conven-tions avec Essert et Bavilliers. Cravanche et Offe-mont sont candidats, Valdoie est intéressée », souligne Gérard Piquepaille, qui verrait bien, à terme, un dispositif police municipale-vidéosur-veillance compétent sur « toutes les communes de la petite couronne ».

    PLus de 400 000 € de budget annuelBudget aujourd’hui consacré par la cité du Lion

    à ses caméras ? « En moyenne annuelle, 150 000 € pour l’investissement et la maintenan-ce, 35 000 € par agent pour les salaires. » L’estima-tion de l’adjoint est donc de l’ordre de 430 000 €.

    P.L.

    94 caméras dont 12 mobilesEn matière de technologie, Belfort est au top.

    Les 94 caméras sont “full HD” (lire ci-contre), unlogiciel les rendra bientôt capables de suivre un véhicule de son entrée à sa sortie de la ville. La reconnaissance faciale ? « On y pense, mais c’est cher », annonce l’adjoint, qui préférerait investir dans une quinzaine de caméras supplémentaires,« pour couvrir notamment toutes les entrées et lessorties de la ville ». Et le futur hôtel de la police municipal bénéficiera d’un CSU doté des derniè-res technologies, et surtout de suffisamment d’écrans pour surveiller en même temps la centai-ne de caméras de Belfort ainsi que les trois d’Es-sert et les 25 de Bavilliers. Car l’intercommunalité

    « Lorsque nous sommes arrivés en 2014, il yavait 39 caméras. Il y en a aujourd’hui 82 fixes et12 mobiles », s’enorgueillit Gérard Piquepaille,adjoint à la sécurité à Belfort. « Il y avait untout petit CSU (centre de surveillance urbain)mais personne n’y était réellement affecté ».Aujourd’hui, huit agents de la police municipa-le se relaient pour observer les six écrans 24heures par jour. « Damien Meslot avait promisd’améliorer la sécurité des Belfortains, Nousavons été élus là-dessus, la promesse est te-nue », poursuit Gérard Piquepaille, qui ne dé-voile toutefois aucun chiffre d’évolution de ladélinquance. « Ce sont des chiffres police na-tionale », dit-il.

    Pour ou contre la vidéosur-veillance ? Le débat revient àopposer liberté et sécurité, ilest sans fin. Question plus pragma-tique : la vidéosurveillance est-elleefficace dans la lutte contre la dé-linquance, sachant que l’investisse-ment est de l’ordre de 8 000 € parcaméra ? « Sans aucun doute », es-time le commissaire Thomas Kief-fer, directeur départemental de lasécurité publique.

    « En une dizaine d’années, c’est de-venu un outil dont nous aurions du mal à nous passer. » En 2017, les hommes de Thomas Kieffer ont eu recours aux images enregistrées pour leurs enquêtes à 218 reprises (pour 6 369 infractions constatées et 3 081 élucidées dans le département). « Dans toutes les enquêtes, nous véri-fions s’il y a des images et s’il y en a, nous lançons une réquisition. En ter-mes d’enquêtes, c’est une révolution, à tel point qu’on se demande com-ment on ferait sans. » Dans ce cadre, les milliers de caméras installées dansdes commerces, des banques ou des entreprises rendent le même service que les caméras mises en œuvre par

    les municipalités.La préfecture cite en exemple une

    affaire d’agression sexuelle récente, dont l’auteur a été confondu grâce à la vidéo. « La vidéo nous a fourni un point de départ », tempère le com-missaire. « On avait un morceau de pantalon sur les images d’un com-merce ; de là, nous sommes remontésà l’auteur. La vidéo nous aide, mais nerésout pas les enquêtes toute seule ».

    Même constat à Delle où huit camé-ras (bientôt douze) sont en place. « La dernière affaire à Delle, ce sont des feux de poubelle », raconte San-drine Larcher, la maire. « Les gendar-mes ont fait un travail d’enquête for-midable. Ils ont déployé des moyenshumains, fait des enquêtes de voisi-nage. Les faits n’apparaissaient passur les images, mais on y voit passerles auteurs en ville à des horairesqui correspondaient. Ça a aidé à lesconfondre ».

    Efficace contre les dégradationsLes maires du Territoire interrogés

    (plusieurs n’ont pas répondu à nos sollicitations) sont d’accord sur un point : la vidéosurveillance est un re-mède aux dégradations diverses.

    À Saint-Germain-le-Châtelet, 638habitants, l’unique caméra est bra-quée sur le Point R, pour éviter les dépôts sauvages. À Essert, dont les trois caméras sont visionnées H24 aucentre de surveillance urbain (CSU) de Belfort, l’objectif est d’éviter les dé-gradations au citystade et sur la ZAC du Port, « et à aider la police à lutter contre certains trafics », précise Gé-rard Paris, l’adjoint au maire en char-ge de la question.

    Éric Koeberlé, qui vient de faire ins-taller 25 caméras dans sa ville de Ba-villiers, compte dessus pour faire baisser les incivilités et la délinquan-ce routière. Idem à Beaucourt où la moitié des 14 caméras dont dispose Jean-Claude Tournier, adjoint à la sé-

    curité, est braquée sur la déchetterie, le cimetière, le tennis et le foyer Bras-sens. « C’est un bon moyen de proté-ger certaines populations vulnéra-bles des incivilités », confirme la maire de Delle. Avec le risque de “l’ef-fet balayette” remarqué par un tech-nicien qui constate que « le problèmes’est déplacé mais n’a pas été résolu ».

    Outil de gestion des interventionsAujourd’hui, seules les 94 caméras

    de Belfort et les trois d’Essert sont vi-sionnées en direct, dans l’espoir du “video-flag”. En attendant d’inter-rompre une infraction en train de se commettre, le commissaire Thomas Kieffer ne boude pas sa satisfaction face aux écrans de la Ville installés aucommissariat (lire ci-dessous). « C’est un outil formidable pour éva-luer une situation de façon à déclen-cher l’intervention appropriée. »

    Enquête Pascal LAINÉ

    TERRITOIRE DE BELFORT Sécurité

    Près de 4 000 caméras veillent sur nousDans le Territoire de Belfort, la préfecture recense 3 853 caméras de vidéosurveillance, dont 888 filment l’extérieur. Quatorze communes surveillent leurs espaces publics, mais la grande majorité est installée par des privés.

    « Aujourd’hui, je ne sais pas comment on ferait sans. »Commissaire KiefferDDSP

    Les 14 communes autorisées à utiliser la vidéosurveillance

    Bavilliers (25 caméras), Beau-court (14), Belfort (94), Besson-court, Châtenois-les-Forges, Chè-vremont, Delle (8, bientôt 12), Essert (3), Fêche-l’Église, Giroma-gny, Montreux-Château, Rouge-mont-Le-Château, Saint-Germain-Le-Châtelet (1), Vézelois.

    REPÈRES

    « Je ne suis pas contre, mais je préfère investir dans des actions qui créent du lien. »Sandrine LarcherMaire de Delle

    « À Belfort, la promesse électorale est respectée »

    « Les statistiques de la délinquance ne sont pas conçues pour mesurer l’impact de la vidéopro-tection. »La préfecture du Territoire

  • 23

    3Mardi 9 octobre 2018

    90A03 - V2

    TERRITOIRE DE BELFORT Sécurité

    La vidéoverbalisation est très peu utilisée à Belfort, où 769 PV ont été dressés depuis le 1er janvier 2018, sur une moyenne annuelle d’une vingtaine de milliers. Archives E.R.

    « Fais voir le parvis de la gare,s’il te plaît. » David Duriaux, chef du centre d’information et de commandement (CIC) du commissariat de Belfort de-mande au policier municipal qui veille au centre de supervi-

    sion urbain (CSU) de lui mon-trer un secteur qui l’intéresse. « Zoome encore un peu… Tiens, c’est le grand [X]. Qu’est-ce qu’il fait là ? » Il est loin le temps des images floues sur les-quelles le braqueur n’avait pas

    besoin d’être masqué pour être méconnaissable. Les images produites par les 94 caméras installées dans les rues de Bel-fort sont d’une définition saisis-sante. La quasi-totalité des ruesde la ville sont ainsi surveillées en permanence par la police municipale. La police nationa-le dispose d’écrans mis à dispo-sition par la Ville, sur lesquels leCSU peut projeter ses images. « Ça fonctionne dans les deux sens », explique le commissaireThomas Kieffer. « Les gens du CSU nous appellent s’ils repè-rent une infraction en train dese commettre, et nous les sol-licitons lorsque nous avonsbesoin d’évaluer une situa-tion ». Un dispositif qui mon-te en puissance : on compte308 sollicitations en 2016,946 en 2017 et déjà 2 064 en2018. Une dizaine par jour enmoyenne.

    P.L.

    Temps réel et full HD

    Au commissariat de Belfort, le brigadier-chef David Duriaux observe les écrans de vidéo surveillance fournis par la Ville. Photo Pascal LAINÉ

    Laurent Mucchielli, vous êtes l’undes meilleurs spécialistes des ques-tions de sécurité et de prévention enFrance. Dans votre livre « Vous êtesfilmés ! » (paru en mars 2018 aux éditions Armand Colin), sans con-damner la vidéosurveillance, vous dénoncez l’absence d’évaluation. On ignorerait (volontairement ou pas) son effet sur la délinquance ?

    « C’est un fait, critiqué par la Courdes Comptes à plusieurs reprises, queni l’État ni les communes concernéesn’ont jamais procédé à de véritables évaluations des impacts de la vidéo-surveillance. Pour ma part, au cours de six dernières années, j’ai été ame-né à réaliser des diagnostics de sécu-rité dans une demi-douzaine de vil-les, et j’ai eu accès à cette occasion à des données inédites et au fonction-nement du système. J’ai donc voulu tester cette promesse de sécurité et montrer ce que peut être une vérita-ble évaluation scientifique, indépen-dante et impartiale. »

    En ce qui concerne les CSU, votreétude les décrit sans efficacité, et d’un ennui considérable pour ceux qui y travaillent. N’est-ce pas un constat sévère ?

    « Je rends simplement compte dece que j’ai vu et des calculs que j’ai faits. J’ai constaté que le fait d’enregis-trer des images pouvait effectivementêtre utile aux policiers ou aux gendar-mes à l’occasion. Mais au final, sur l’ensemble d’une commune et sur l’ensemble d’une année, ça ne pèse pas lourd dans le total de leurs enquê-tes (de 1 à 3 % selon les communes). Quant au fait d’employer des agents pour regarder en direct les écrans,

    c’est globalement inutile du point de vue de la lutte contre la délinquance. Les agents ne voient pas grand-choseet les systèmes sont en réalité détour-nés de leur but initial. Le principal détournement consiste à faire de la vidéoverbalisation des petites infrac-tions routières du quotidien. Cela rentabilise le système. » [NDLR : ce n’est pas le cas à Belfort où en 2018, du 1er janvier au 27 septembre, les caméras ont permis de dresser 769 PV, sur une vingtaine de milliers].

    La plupart des élus interrogésvoient un effet contre les dégrada-tions de biens publics et dépôts sau-vages d’ordures. La vidéosurveillan-ce trouve-elle là une raison d’être ?

    « C’est un autre genre de détourne-ment. Mais la question qui se pose estcelle de l’emploi des deniers publics, c’est-à-dire de nos impôts. S’il est avé-ré que nous ne sommes pas fonda-mentalement mieux protégés ni du terrorisme ni de la criminalité avec lavidéosurveillance, alors ne devrait-on pas réfléchir à une autre façon d’investir l’argent ? Par exemple, ne serait-il pas urgent de développer unevéritable police municipale de proxi-mité allant en permanence au con-tact de la population ? Ne serait-il pas urgent de construire une vérita-ble politique de prévention auprès des jeunes ? »

    Recueilli par Pascal LAINÉ

    > « Vous êtes filmés ! » Enquête sur le bluff de la vidéosurveillance - Laurent Mucchielli. Éditions Armand Colin, 17,90 € en édition papier, 12,99 € en édition numérique.

    « Ni les communes ni l’État n’ont d’évaluation »

    Laurent MucchielliDirecteur de recherche au CNRS, sociologue à l’université d’Aix-Marseille.

    Questions à

    Photo DR

    2017 : délinquance en baisseEn 2017, toutes catégories et tous ser-

    vices confondus, 6 369 infractions ont été constatées dans le Territoire, soit 4,41 % de moins qu’en 2016 selon le rapport d’activité des services de l’État. Le nombre de faits élucidés s’élève à 3 081 dossiers. Dans la zone de compé-tence de la police nationale (Belfort, Andelnans, Bavilliers, Cravanche, Danjoutin, Essert, Offemont, Perouse et Valdoie, soit 51,82 % des habitants), on observe une baisse de la délinquan-ce de 5,32 %. Baisse également, de 2,48 % dans la zone gendarmerie, qui couvre le reste du département.

    Que dit la loi ?L’installation de caméras dans un es-

    pace recevant du public est soumise à autorisation. Une commission se réu-

    nit tous les deux mois en préfecture à cette fin. Les images sont conservées 30jours au maximum, sauf procédure ju-diciaire. Toute personne peut accéder aux enregistrements la concernant et en vérifier la destruction.

    La police municipale à BelfortJusqu’en 2014, les policiers munici-

    paux étaient 11 agents avec deux voitu-res et quatre VTT. Elle compte aujour-d’hui 28 agents équipés de cinq voitures, trois motos, treize VTT, trois radars, trois éthylomètres, onze camé-ras piéton et six détecteurs de métaux. Ils sont désormais armés. Gérard Pi-quepaille souhaite augmenter leur ef-fectif de trois équipes à quatre pour allonger leur présence nocturne, de 20 h aujourd’hui à 22 h en semaine et 1 h les vendredi et samedi.

    TROIS CHOSES À SAVOIR…

  • 2

    Mercredi 10 octobre

    4

    8 GRAND BELFORT Mercredi 10 octobre 2018

    90A08 - V1

    CRAVANCHEAssemblée générale du club des aînés> Mercredi 10 octobre. À 11 h.Salle communale La Cravan-choise.Toutes les personnes intéres-sées sont invitées à participerà cette assemblée. Le club ac-cueille des Cravanchois et desextérieurs qui se réunissent lemercredi autour de jeux desociété.

    MEROUXMesse pour la paroisse Saint-Antoine-le-Grand> Samedi 13 octobre. À18 h 30. Église.Tél. 03 84 22 86 48.MÉZIRÉInscriptions à l’affouage en forêt intercommunale Morvillars-MéziréPour valider l’inscription, dé-poser en mairie, l’attestationd’assurance en responsabilitécivile, en cours de validité, lecertificat de ramonage de vo-tre habitation, en date de2017 ou 2018.> Les lundis, mercredis et jeu-dis de 14 h à 18 h et les mardiset vendredis de 8 h à 12 h etde 14 h à 18 h. Jusqu’au ven-dredi 2 novembre.Tél. 03 84 27 80 75.

    PHAFFANSMesse> Dimanche 14 octobre. À 10 h.Église Notre-Dame de l’As-somption.Messe des familles.Tél. 03 84 29 86 32.

    VAUTHIERMONTMesse> Samedi 13 octobre. À18 h 30. Église.

    bloc-notes

    L’ AAPPMA Belfort-Bavilliers a initiécette année un ate-lier pêche nature à l’instiga-tion de Nicolas Jardot, tré-sor ier de l ’associat ion.Depuis mai, à raison dedeux week-ends par mois,une centaine de jeunes ontainsi été accueillis dans lecadre idyllique du domainedes Ayeux à Lachapelle-sous-Chaux.

    Les jeunes pêcheurs, pro-venant aussi d’Alsace et deHaute-Saône, ont pu décou-vrir différents types de pê-che : de la carpière réservéeaux enfants jusqu’à la pêcheaux carnassiers (brochets,sandres, perches) en pas-sant par le carpodrome avecde longues cannes.

    Démarche pédagogiqueLa pêche pratiquée assis

    sur un flotte-tube, palmesaux pieds, a été particulière-ment appréciée. Malgré leseaux en baisse en raison dela sécheresse, les carpes ontbien mordu pour le plusgrand plaisir des enfants.

    « Le développement de la

    pêche loisir passe forcé-ment par la jeunesse. Ons’efforce d’enseigner dansune démarche pédagogiqueles différentes techniquesjusqu’au niveau de la com-pétition » explique PatrickCar l i ne t , p r é s i den t del’AAPPMA.

    Samedi, à l’occasion de ladernière journée, avec remi-se des récompenses, le pré-

    sident a remercié l’équipedes bénévoles, les parentsactifs et les garde-pêche, enpart icul ier Mart ia l Ro-bianno et Pascal Klopfens-tein. « Cette action deman-de un fort investissement »a-t-il précisé. Vu la réussitede l’opération, l’atelier pê-che, qui a reçu l’agrémentde la fédération, sera recon-duit l’an prochain.

    BAVILLIERS

    L’atelier pêche fait des heureux

    Dans le cadre idyllique du domaine des Ayeux.

    Une centaine de jeunes ont participé à l’atelier pêche nature, initiée par L’AAPPMA Douce-Savoureuse, qui a son siège à Bavilliers.

    « L’AAPPMA enseigne tousles types de pêche jusqu’au niveau compétition. »Patrick CarlinetPrésident de la Douce-Savoureuse

    ÉTAT CIVIL

    TRÉVENANS➤ NaissancesCi-dessous, la liste des actes d’état-civil enregistrés à la mairie de Trévenans pour l’Hôpital Nord Franche-Comté.27.09 : Bryann de Jessica Monnin et de Johann Godefroy, Longevel-le-sur-Doubs.28.09 : Kurt de Cindy Laurent et d’Alexandre Delage, Ronchamp ; Eryn de Marine Bourceronde et d’Anthony Longeron, Trémoins.29.09 : Havin de Sumeyya Tasci et de Turgut Aksoy, Bethoncourt ; Georges de Houria Muller et de Laurent Balducelli, Bart ; Victor de Céline Hosatte et de Vincent Collilieux, Sainte-Marie ; Alexis de Julie Plantin et de Damien Cordonnier, Belfort ; Arthur d’Alexia Mathie et d’Alexandre Dijoux, Offemont ; Isaac de Sté-phanie Evrard et de Romain Cha-pusot, Danjoutin ; Irfan de Faïda Zahara et d’Ulrich Pelcerf, Montbéliard ; Giovanni de Gwen-doline Saglibene et de Damien Torchio, Présentevillers ; Marin d’Aurélie Grenet et de Vincent Trussardi, Vieux-Charmont.

    30.09 : Valentine de Caroline Forjan et de Julien Andre, Allon-dans ;Lina de Wafa Sioud et de Henri Hadj Messaoud, Audincourt ; Jeanne de Noémie Curie et de Baptiste Imbert, Lougres ; Besma de Noura Jabbar et d’Abdelaziz Jabbar, Audincourt ; Nahil de Mélissa Charriau et de Nasser Lamchi, Sochaux ; Léopold de Marie-Sophie Maillot et de Gilles Rigault, Belfort ; Omer de Sidika Sener et de Mesut Sahan, Montbéliard.01.10 : Lily-Aude de Léonie Tiaket et de Denis Beurier, Plancher-Bas ; Emilio de Mélanie Boucher et de Claude Braga, Héricourt ; Mahaut d’Agnès Chevrant-Breton et d’Olivier Chapuis, Bavilliers ; Enes de Derya Yadigar et de Erdal Karasin, Belfort ; Alicia d’Audrey Choffel et d’Anis Zaoui, Mor-villars.02.10 : Alia de Nastasia Saglibene et de Mustapha Amghar, Belfort ;Ïssa de Lahema Sahli et d’Ayouba Bachiri, Grand-Charmont ; Ayse-gul de Hilal Tutumlu et de Müslim Bakis, Belfort ; Max de Sophie

    Chassard et de Michaël Burkhal-ter, Blamont ; Eslem de Kismet Atmaz et d’Erkan Kum, Bethon-court ; Malo d’Anne Chauchot et de Laurent Wenzel, Dung ; Aymen de Maeva Lazzaris et de Nabil Yahyaoui, Belfort.03.10 : Léo de Laurine Gamma et de Damien Meyer, Châlonvillars ; Dejan de Carole Masson et de Nikola Zeljkovic, Grandvillars.04.10 : Lila de Mélanie Clemente, Belfort.05.10 : Zoé d’Aurélie Carrara et d’Adrien Rousseau, Méziré ; Simon de Cindy Hacquemand et de Vincent Royer, Lachapelle-sous-Chaux.➤ Décès01.10 : Nicole Bodecot, 79 ans, Belfort ; Roger Froidevaux, 86ans, Exincourt ; Roger Grisey, 92 ans, Belfort.02.10 : Danièle Rivot, 79 ans, Villars-sous-Dampjoux ;Jean Barthez, 85 ans, Phaffans.03.10 : Abel Perrey, 84 ans, Vernois-lès-Belvoir.04.10 : Cécile Mougin, 81 ans, Grand-Charmont ; Pascale Ruffier,56 ans, Audincourt.

    Le premier concert de jazz organi-sé par le foyer culturel et social a fait salle pleine. « Ce n’était pas gagné audépart puisque nous avons mis près d’un an pour trouver une date qui convienne » raconte Daniel Gse-gner, le président. « Nous avions vu la formation Tentativ’jazz issu du conservatoire Henri-Dutilleux à

    Clairegoutte, en Haute-Saône, après il a fallu régler les problèmes prati-ques. » Comme le fait de ne pas dis-poser d’autorisation de buvette ou determiner le concert avant 22 h souli-gne de son côté Murielle Grus, secré-taire.

    Parmi les dix-huit musiciens deTentativ’jazz qui ont ravi les specta-teurs, Laurent Tonelli est le seul à jouer du saxophone baryton. « C’est un instrument difficile à jouer car le tube est très long, il faut du souffle, et sur l’ensemble de la formation c’est une voix à part » précisait le musi-cien à l’entracte. « J’alterne en effet avec les saxos altos et les ténors dans les basses » dit celui qui joue de cet instrument depuis cinq ans, plusieursfois par semaine en répétition et mê-me à la maison. Un bel instrument qui coûte la bagatelle de 9 000 € !

    Le prochain rendez-vous du foyer,aura lieu dimanche 14 octobre à midiavec le repas dansant animé par Di-dier Girod.

    > Réservation au 03 84 21 41 19.

    ESSERT

    Le souffle du jazz au foyer

    « Je suis un fan de jazz, et quand on joue c’est encore mieux… » dit Laurent Tonelli.

    4 BELFORT Mercredi 10 octobre 2018

    90A04 - V2

    BELFORTOffices religieux> Mercredi 10 octobre.14 h : Armand Weyh, 80 ans,salle omniculte Hartmann, 50boulevard Kennedy, à Belfort.

    bloc-notes

    « Traverse la rue quej’te trouve un em-ploi, le passage pié-ton, c’est un peu Pôle emploi. Y’aune place libre, c’est celle deBenalla… ».

    Inspirées par l’actualité et un fortsentiment anti Macron, les organi-sations syndicales ont renouvelé leur répertoire, pour la journée d’ac-tion organisée mardi à l’échelon na-tional. Hier matin, il y avait même au premier rang de la manif belfor-

    taine ces fameux « Gaulois réfrac-taires au changement » moqués par le président de la République.

    Difficile de reconnaître les deuxcégétistes Bruno Lemière (hôpi-tal) sous le casque et les mousta-ches d’Astérix, ou Sylvain Gigante(Ehpad du Chênois), grimé endruide Panoramix !

    Démonstration de forceOutre la CGT, FO, la FSU, Soli-

    daires, LO, le PCF et EELV ontcontribué à constituer un longcortège qui a suivi l’itinéraire ha-bituel, de la Maison du peuple à lapréfecture.

    En tête marchaient les salariésde Von Roll Isola Delle, dont 35risquent de perdre leur emploi endécembre, les cheminots et les

    hospitaliers, toujours très mobili-sés, et quelques salariées du res-taurant Flunch qui faisaient signerune pétition contre la fermeturede leur établissement prévue à lafin de l’année.

    Les organisateurs ont estimé lafoule à 7 à 800 personnes et lespoliciers des renseignements terri-toriaux à 670.

    Au-delà des chiffres, la démons-tration de force est donc bien réel-le, pour la plus grande satisfaction

    de Damien Pagnoncelli, secrétai-re général de l’UD CGT. « Rien àvoir avec la manif du 28 juin, lors-que nous étions 180 devant la pré-fecture. On constate qu’il y a unedynamique, avec une multiplicitédes luttes dans les entreprisespour faire converger les revendi-cations. La politique menée ac-tuellement par le gouvernementest injuste et anti-sociale. La luttecrédibilise nos propositions. »

    Didier PLANADEVALL

    BELFORT Manif

    Des « Gaulois réfractaires » dans la rue

    Un impressionnant cortège. Photos Christine DUMAS

    Avec environ 700 participants à Belfort, la manif interprofessionnelle à laquelle appelaient plusieurs organisations syndicales à l’échelon national a constitué une réelle démonstrationde force mardi matin.

    Astérix (alias Bruno Lemière) et sa bande étaient en première ligne.

    700 personnes environ ont défilé dans les rues. Les organisateurs ont annoncé 700 à 800 personnes, la police 670.

    ASSOCIATION

    BELFORTMalakoff Médéric veut s’implanter dans la Cité du LionDéjà présente à Montbéliard et Vesoul et dans 39 autres villes, l’association loi 1901 Malakoff Médéric, qui perçoit une subven-tion de la Mutuelle du même nom, projette d’ouvrir une antenne à Belfort.Dans ce but, elle organise une journée portes ouvertes jeudi 11 octobre de 10 h à 16 h à la Mai-son du peuple, afin de faire décou-vrir ses activités et de recruter des bénévoles disposant d’un peu de temps (des retraités par exemple).Outre des activités culturelles et de loisirs (visites de musées, d’entreprises, de sites remarqua-bles, randonnées pédestres), l’association se consacre aussi à l’accompagnement des personnes âgées et handicapées, à l’aide individuelle aux demandeurs d’emploi (rédaction de CV et de lettres de motivation etc.), à l’aide à la création d’entreprise, à la lutte contre l’illettrisme et à l’assistance informatique.

    Les Rencontres de la sécuritéintérieure, dans le Territoire deBelfort, ont lieu du 10 au 13 oc-tobre. Plusieurs manifesta-tions sont au programme.

    ➤ Mercredi 10 octobre : de13 h à 17 h, place Corbis à Bel-fort, présentation des métiers dela police nationale et desmétiersde la Défense par le centre derayonnement du 35e RI ; ren-contre avec le délégué à la cohé-sion police-population, les mo-tards de la police nationale, lestechniciens de la police techni-que et scientifique, les policiersmunicipaux ; de 8 h 30 à 17 h, àl’IUT de Belfort, rencontre avecles animateurs de la préventionroutière.

    ➤ Jeudi 11 octobre de 14 h à16 h, au foyer Georges-Brassensà Beaucourt, rencontre avec lesanimateurs de la préventionroutière.

    ➤ Vendredi 12 octobre, aucollège Vauban à Belfort, pré-

    sentation aux collégiens descomportements et des gestes quisauvent par les sapeurs-pom-piers.

    ➤ Samedi 13 octobre de 14 hà 18 h, place François-Mit-terrand, à Delle, rencontre avecles gendarmes du peloton moto-risé, les gendarmes mobiles ;

    présentation des métiers de lagendarmerie nationale, des mé-tiers de la Défense par le centrede recrutement de l’armée(CRA) ; session d’informationaux gestes qui sauvent avec lessapeurs-pompiers ; stand d’in-formation sur le volontariat desapeurs-pompiers.

    BELFORT Rencontres

    Tout savoir sur les métiers de la sécurité

    L’an passé, les policiers ont simulé une interpellation à l’occasion des Rencontres de la sécurité intérieure. Photo d’archives ER/P.Ch.

    EN BREF

    BelfortLes sorties de la CompagnieLa Compagnie Belfort Loisirs (CBL) propose différentes activités au mois d’octobre. En voici un aperçu. Mercre-di 10 : mini-randonnée pédestre, ouvrage de la Côte de Bavilliers ; diaporama section photo. Jeudi 11 : sortie cyclo ; grande randonnée pé-destre, le moulin à huile de Storcken-sohn. Vendredi 12 : mini-randonnée pédestre, fort de Rupt-sur-Moselle ; randonnée roller en ville. Samedi 13 et dimanche 14 : week-end de clôture VTT à Fournet-Blancheroche.

    > www.cbl-belfort.com

  • 2

    Jeudi 11 octobre

    5

    11GRAND BELFORT Jeudi 11 octobre 2018

    90A11 - V2

    Lors du dernier conseil munici-pal, le maire a rappelé les don-nées suivantes : la forêt cou-vre 44 % du département soit 26 615 hectares, les communes en possèdent 47 %. La forêt remplit plusieurs fonctions : économique, environnementale, sociale et de

    protection. La forêt publique est reconnue pour sa capacité à pro-duire du bois d’œuvre de qualité, dubois d’industrie et du bois énergie ; pour de nombreux transforma-teurs, la forêt publique représente la principale ressource d’approvi-sionnement. La recette issue des ventes de bois permet aux commu-nes de financer des travaux en forêt,dans le cadre d’une gestion durableet multifonctionnelle et permet de dégager de l’épargne dans les tra-vaux hors forêt.

    Face à ses données, il est doncimportant de se poser la questionde l’avenir de nos forêts face auxconséquences du réchauffementclimatique.

    Le groupe d’experts intergouver-nemental sur l’évolution du climat(GIEC) et Météo-France sont una-nimes pour dénoncer les signes etles conséquences du changementclimatique. Météo-France a réali-sé des simulations en Franche-Comté et les résultats montrent unréchauffement climatique pour lesdécennies à venir, les périodes desécheresse estivale (deux semai-

    nes sans aucune pluie) seront plusfréquentes. Ces changementsauront des conséquences sur lefonctionnement de l’écosystèmeforestier (stress hydrique, dévelop-pement de parasites, modifica-tions des aires de répartitions desessences forestières…).

    Le Département du Territoire deBelfort, avec l’association descommunes forestières du Territoi-re et de l’ONF Franche-Comté,lance donc une expérimentationsous la forme d’un appel à mani-festation d’intérêt.

    Il est proposé aux communes

    voulant y participer un soutien fi-nancier du Département et un ac-compagnement de l’association etde l’ONF permettant d’installer etde suivre un réseau départementalde parcelles d’avenir pour testerde nouvelles essences ou des pro-venances plus méridionales adap-tées au changement climatique.

    Le conseil municipal de Bouro-gne a montré son intérêt pour cet-te expérimentation et envisagedonc l’installation d’un réseau deparcelles d’avenir en forêt commu-nale au lieu-dit « le bois carré »pour tester de nouvelles essences.

    BOUROGNE

    De nouvelles essences en forêt communale

    Le conseil municipal a montré son intérêt pour cette expérimentation et envisage donc l’installation d’un réseau de parcelles d’avenir en forêt communale au lieu-dit « le Bois carré » pour tester de nouvelles essences.

    Face aux changements climatiques en cours, le Département, en partenariat avec l’association des communes forestières et l’ONF, propose aux communes intéressées une expérimentation à base d’essences méridionales.

    L’association les Vitrines deBavilliers participe samedi13 octobre à la journée natio-nale du commerce de proximi-té et de l’artisanat. MireilleReiners, la présidente, fait lepoint sur l’action de l’associa-tion.Quel bilan tirez-vous des

    Vitrines de Bavilliers, qui en-tament leur troisième an-née ?

    « Au tout début, nous avonscommencé avec un petit grou-pe de sept et maintenant noussommes une vingtaine d’adhé-

    rents. Notre objectif est d’at-teindre le cap de trente. Nosactions pluriannuelles ont per-mis aux Bavilliérois de mieuxnous connaître. Tout le mondene sait pas forcément qu’onpeut trouver sur place des ser-vices comme les loisirs créa-tifs, le spa détente, des voituresd’occasion etc. Parallèlement,nous-mêmes commerçants,avons appris à nous connaîtreet à nous soutenir. Jean Mar-met, conseiller délégué aucommerce, est d’une grandeaide et la municipalité vient de

    nous accorder une subventionextraordinaire de 500 € pourpréparer cette journée du com-merce de proximité. »Comment se déroulera la

    journée samedi 13 octobre ?« Les commerçants qui parti-

    cipent à l’opération offriront lecafé-croissant en matinée. Parailleurs nous remercierons no-tre clientèle sous la forme d’uncadeau surprise. Celui-ci seradistribué durant la journée àcertaines heures sur deux em-placements, devant le tabacpresse et au Super U. »

    « Un accueil privilégié samedi 13 octobre »

    Mireille Reiners, présidente des Vitrines de Bavilliers

    BAVILLIERS Questions à

    Derrière les arbres, une maisonAu coin de la rue des Taillis, les Evalbertois connaissaient bien le petit bosquet d’arbres de différentes essences et de tailles diverses. Depuis quelques jours, ils ont été abattus et ont fait apparaitre une maison comtoise, vieille de plusieurs dizaines d’années, en mauvais état. Le bâtiment est appelé à disparaitre et sept parcelles de terrainà construire seront proposées. Un changement de paysage notoire.

    EVETTE-SALBERT

    EN IMAGE

    Après la médiathèque en septembre 2018, c’est à un autre projet de tailleque l’équipe municipale va s’attaquer en 2019. Pour répondre à la demandedes administrés, les élus souhaitent pérenniser l’offre de commerces dans levillage et pour ce faire prévoient donc de créer un pôle de commerces et de services rue de Delle, en face de la pharmacie. Ce pôle permettrait d’ac-cueillir de manière prioritaire l’actuel commerce Vival dans un local de 200 m² adapté à ses besoins. Une ou deux cellules complémentaires, pour une surface maximum de 100 m², seraient proposées à la vente sous condition de réservation par des entreprises. Des aménagement extérieurs répondant à des besoins touristiques et de plein air sont également prévus : aire de jeux, terrain de pétanque, halte cyclable équipée avec abri, sanitaireset autres. Un phasage des travaux sera nécessaire, comportant, pour la phase1, la cellule Vival et les infrastructures nécessaires au déploiement futur d’autres activités (dimensionnement des réseaux en conséquence).

    Un projet de pôle de commerces et services pour 2019

    C’est à cet endroit que devrait être construit le pôle de commerces et de services.

    26615 C’est le nombre d’hecta-res de forêts recencés dans le département.

  • 6

    Vendredi 12 octobre 9BELFORT Vendredi 12 octobre 2018

    90A09 - V1

    BELFORTOffices religieux> Vendredi 12 octobre.10 h 15 : Cécile Laurent néeCoutenet, 91 ans, église deChâtenois-les-Forges.14 h : Catherine Thurnherrnée Barbotti, 95 ans, chapelledu foyer Braun à Bavilliers.14 h : Fernand Marchand, 89ans, église de Froidefontaine.16 h 30 : Ginette Bir née Ta-verne, 92 ans, église de Dan-joutin.

    Percée du vin jaune : on s’inscrit> Vendredi 26 octobre : c’est ladate limite d’inscription pourparticiper à la percée du vinjaune à Poligny, le 3 février,avec les campeurs caravanierscamping-caristes belfortains.Mail : [email protected] Tél. 07 76 11 03 38.

    bloc-notes

    Depuis plus d’une dizained’années, la chambre decommerce et d’industriedu Territoire de Belfort (CCI90)décline à l’échelle du départe-ment l’opération nationale de lajournée du commerce de proxi-mité, de l’artisanat et du centre-ville. « Cela doit être une journéede découverte pour les clients,de découverte d’un savoir-faire,de découverte des ateliers. C’estune journée où les commerçantsprennent aussi le temps de ré-pondre à toutes les questions desclients », résume Jean-Louis Sa-lort, président de l’associationTerritoire de Commerce.

    Cette année, les commerçantsde neuf communes y partici-pent : Bavilliers, Beaucourt, Del-le, Essert, Giromagny, Grand-villars, Joncherey et, pour la

    première fois à l’initiative de l’as-sociation de commerçants Belle-rive, Andelnans. Cela représenteau final une centaine de com-merces.

    Label pour les communesPour les communes, la journée

    permet aussi de valider le label« Commerces de proximité dansla ville ». « La labellisation estrevue chaque année », rappelleJean-Louis Salort. Parmi les cri-tères figurent notamment les ani-mations mises en place durant lajournée. Ainsi à Montreux-Châ-teau, les clients pourront pren-

    dre part à un Cluedo des com-merces ou gagner un baptême del’air à montgolfière alors qu’àBavilliers un cadeau surprise at-tend chaque client. « Il s’agit aus-si d’animer les communes », in-siste le président.

    Au final, les communes rete-nues peuvent afficher à leurs en-trées le panneau du label. Etd’après Jean-Louis Salort, Andel-nans sera la prochaine.

    Laurent ARNOLD

    > Infos sur www.facebook.com/jncp.territoiredebelfort/

    TERRITOIRE DE BELFORT Commerce

    Une journée pour se rapprocherencore plus des clients

    Jean-Louis Salort, président de Territoire de Commerce, Liliane Alves, assistante, et Christine Jund, coprésidente, ont préparé cette journée. Photo L.A.

    Samedi se déroulera une nouvelle édition de la journée nationale du commerce de proximité, de l’artisanat et du centre-ville. Une centaine de commerces dans le Territoire de Belfort y prennent part.

    9 communes dans le département participent à cette journée.

    Les travaux de renouvelle-ment des conduites d’eau pota-ble dans la rue Scheurer-Kes-tner, à Belfort, se terminent.

    Une dernière opération estprogrammée sur deux journées,au cours de la semaine du 15 au18 octobre. Le raccordement dedeux conduites sous chausséeva nécessiter la fermeture à lacirculation du quai Keller. Undispositif de déviation sera misen place par la rue de Turennedont le sens de circulation serainversé à titre exceptionnel.

    À l’issue des travaux sur lesréseaux, la Ville de Belfort réali-sera la réfection définitive de lachaussée de la rue Scheurer-Kestner. L’intervention devraitdurer trois jours environ.

    BELFORT Travaux

    La circulation sera coupée quai Keller

    La rue Scheurer-Kestner est en travaux depuis plusieurs semaines.

  • 11GRAND BELFORT Vendredi 12 octobre 2018

    90A11 - V1

    DANJOUTIN

    Mutuelle santé : se regrou-per pour payer moins cher> Jeudi 18 octobre. À 18 h.Mairie.L’ASAPA (association de sou-tien à l’amélioration du pou-voir d’achat) propose aux ci-toyens de se regrouper pournégocier des tarifications surles mutuelles santé. La réu-nion d’information portera surles tarifs privilégiés négociésavec la mutuelle santé Amel-lis.

    MEROUX

    Messe pour la paroisse Saint-Antoine-le-Grand> Samedi 13 octobre. À18 h 30. Église.Tél. 03 84 22 86 48.

    PHAFFANS

    Messe> Dimanche 14 octobre. À 10 h.Église Notre-Dame de l’As-somption. Messe des familles.Tél. 03 84 29 86 32.

    VAUTHIERMONT

    Messe> Samedi 13 octobre. À 18h30.Église.

    bloc-notes

    La rentrée des paroisses Fran-çois-d’Assise et Marie-d’Espé-rance a été marquée par l’ins-tallation d’un nouveau prêtre :Thomas YangUp Song est dé-sormais curé des deux ensem-bles qui totalisent dix-sept vil-lages, autour de Fontaine etMontreux-Château où il rési-de ; il remplace le père Dona-tien Kaloba parti à Delle.

    Le père Thomas est né en1984 à Daegu, en Corée duSud, au sein d’une famille ca-tholique depuis trois généra-tions. « C’est ma grand-mèrequi a reçu la foi chrétienne »explique-t-il, rappelant que10 % de la population coréen-ne est aujourd’hui catholique.Après ses années de lycée, ilentre au séminaire et est or-donné prêtre en 2012. Il arriveen France en 2017 ; il séjourneà Angers pour apprendre la

    langue française et rejoint, il y aquelques mois, le diocèse deBelfort-Montbéliard.

    Les relations que ce dernierentretient avec l’archidiocèsede Daegu sont liées au souve-

    nir du père Achille Robert, ori-ginaire de Villers-sur-Saulnot,en Haute-Saône.

    Missionnaire en Corée de1877 à sa mort en 1923, il estconsidéré comme le père fon-dateur de l’église de Daegu. MgrDominique Blanchet, évêquedu diocèse Belfort-Montbé-liard, y est d’ailleurs actuelle-ment pour le centenaire dusanctuaire Notre-Dame deLourdes, construit sur le modè-le de la grotte originelle. Il estnotamment accompagné par lepère Thomas Song.

    Avec le père JunYong JustinPark, de la paroisse Saint-JeanXXIII d’Exincourt, celui-ci estle second prêtre coréen offi-ciant dans le diocèse. « Nousrenforçons ainsi les liens exis-tants, nous sommes venuspour remercier » soulignent-ils.

    MONTREUX-CHÂTEAU

    Un nouveau prêtre pour les deux paroisses

    Le père Thomas Song (à droite) aux côtés de Mgr Blanchet et du père Kaloba, son prédécesseur, à Fontaine, lors de la messe de confirmation des doyennés de Chèvremont et Beaucourt-Delle.

    Le rêve de l’Odyssée ducirque de s’installer défi-nitivement sur un siteprivilégié au sein d’une com-mune est sur le point de seréaliser. Le 26 novembre, lecirque ouvrira officiellementses portes sur la ZA des Guin-nottes à Héricourt. « Nous nequittons pas le territoireauquel nous restons très atta-chés. Notre ancrage devientAire urbaine, voire pôle mé-tropolitain » explique Chris-tiane Gibert, la présidente etfemme orchestre de l’Odysséedepuis trente ans.

    Après une vingtaine d' an-nées passées à Bavilliers dans

    le cadre du Chênois, l’Odys-sée fait donc ses bagages. Ellepeut d’ores et déjà comptersur ses nombreux amis pouraider à cette tâche. Par exem-ple, la compagnie Pagnozoo,qui a fourni le chapiteau, secharge de le démonter et leremonter. D’autres prêtentmain-forte pour le transportdes roulottes et des bunga-lows. « Nous cherchons desbénévoles pour nous aiderpendant les trois semaines detransition » poursuit Christia-ne Gibert.

    Avec l’orchestre de rock symphonique Best’off

    Ce samedi 13 octobre octo-bre à 20 h, l’Odyssée donnerason dernier spectacle à Ba-villiers. L’orchestre de rocksymphonique Best’off d’Offe-mont et ses vingt-cinq musi-ciens se sont proposés gra-cieusement pour cette soiréede soutien. Au programme,dix numéros de cirque, ac-compagnés par l’orchestre, re-traceront l’histoire de l’Odys-sée depuis ses origines. Unmoment unique pour un tarifunique à 10 €.

    L’Odyssée assurera ses acti-vités à Bavilliers jusqu’au di-manche 5 novembre avant desuspendre ses ateliers souschapiteau pendant trois se-maines. Les prestations exté-rieures sont maintenues nor-malement ainsi qu’un accueiladministratif.

    BAVILLIERS

    Clap de fin local pour l’Odyssée du cirque

    Christiane Gibert aux commandes de l’Odyssée du cirque depuis trente ans.

    Avant son embarquement à Héricourt, l’Odyssée du cirque présente son dernier spectacle à Bavilliers, samedi 13 octobre à 20 h. Une soirée de soutien et un au revoir.

    Les collectes de sang reprennentMardi, l’amicale des donneurs de sang organisait la première collecte de l’année. En effet, des séances avaient été annulées, à cause des travaux de la salle, puis par l’EFS, par manque de personnel disponible. La présidente de l’amicale, Martine Lorenne, est satisfaite de cette reprise : « Nous avons eu vingt-huit donneurs dont un nouveau, c’est bien. » Prochaines collectes : 11 décembre ; 14 mai ; 10 septembre ; 10 décembre 2019.

    EVETTE-SALBERT

    EN IMAGE

    « Nous ne quittons pas le territoire. Notre ancrage devient Aire urbaine, voire pôle mé-tropolitain. »Christiane Gibert Présidente de l’Odyssée du cirque

    4 BESANÇON Vendredi 12 octobre 2018

    25A04 - V2

    Un classique du mois d’oc-tobre. Un temps de ren-contre important entreles élus locaux et les entreprises.Le carrefour des maires qui s’estdéroulé hier à Micropolis s’estbien confirmé en rendez-vousincontournable pour les maîtresd’ouvrage, les financeurs et lesentreprises de travaux publics.

    « Ce rendez-vous est de plus enplus intéressant », appréciaithier soir Arnaud Marthey, lemaire de Baume-les-Dames.« Le salon prend de l’envergure.C’est idéal pour échanger avecdes prestataires. Par exemple, àBaume-les-Dames, nous avonsle projet de monter une sociétéd’économie mixte et j’ai pu profi-ter de l’occasion pour consulterdes organismes bancaires. J’aiaussi pu échanger avec Climent

    TP sur notre projet d’apporterde l’eau au hameau de l’Aigle.J’ai échangé avec les responsa-bles de la société. Les travauxdevraient commencer en toutefin d’année ou en début d’annéeprochaine. »

    La qualité de l’eau priméeDans ce cadre du carrefour des

    collectivités locales, les trophéesTravaux publics de l’investisse-ment ont récompensé la com-mune de Bavilliers pour la réali-sation d’un parc urbain sur unespace vert en friche qui favorise

    les mobilités douces. Une zoneaccessible aux personnes à mo-bilité réduite. Un lieu d’échangeet de proximité, durable et fonc-tionnel réalisé pour améliorer laqualité de vie des habitants.

    Dans la catégorie » cycle del’eau », la communauté de com-munes du pays de Maîche a étérécompensée pour avoir sécuri-sé l’alimentation en eau potabledes 20 000 habitants du plateaumaîchois. Pas moins de 4 800mètres de conduites ont été dé-ployés dans des conditions d’ac-cès parfois délicates.

    Enfin en Haute-Saône, la com-mune de Gy a remporté le prixcycle de l’eau dans la catégoriemoins de 5 000 habitants. Dansdes conditions techniques parti-culières, la commune de 1 100habitants a entrepris d’impor-tants travaux, pour un montantde 3,2 millions d’euros, de miseen conformité de son réseaud’assainissement.

    Pour optimiser les coûts etl’impact environnemental, c’està la carrière de Gy que se sontapprovisionnées les entreprises.

    Alexandre ARBEY

    BESANÇON Carrefour des collectivités locales

    Ruraux et urbains main dans la main

    Professionnels du bâtiment et élus locaux ont pu échanger sur les problématiques rencontrées par les communes. Et participer à des animations comme celle-ci autour du problème des canalisations. Photo L.LAUDE

    La 7e édition du carrefour des collectivités locales a eu lieu hier à Micropolis. Acteurs du bâtiment et des services publics ont échangé pour réfléchir sur l’avenir des territoires. L’événement se poursuit aujourd’hui.

    C’est au Carrefour des mairesque le palmarès des villes et vil-lages fleuris a été dévoilé, cejeudi. 73 communes s’étaientinscrites au concours en 2018,et 86 structures - collectivités,écoles, fermes et fruitières - ontété récompensées.

    Cinq communes ont obtenuleur première fleur : Hérimon-court, Placey, Pouilley-les-Vi-gnes, Villars-lès-Blamont et Vyt-lès-Belvoir. Deux ont décrochéleur deuxième fleur : Pouilley-Français et Villers-le-Lac. La lis-te des titulaires des 3 et 4 fleursne change pas, avec des commu-nes situées surtout dans le paysde Montbéliard (à l’exceptionde Saint-Vit, 3 fleurs). Ferrières-le-Lac et Touillon-et-Louteletont obtenu le prix de la premiè-re participation, et Vernierfon-taine le coup de cœur du jury.

    Les fermes du Tartot à Four-nets-Luisans et Morel à Chaux-lès-Clerval ont glané les premiè-res places de leur catégorie, demême que la fromagerie de Gel-lin de Mauricette Cessin pour

    l e s f r u i t i è r e s . L’ é c o l ed’Autechaux, Condorcet à Be-sançon, du Breuil à Baume, leRPI de Tournans et la maternel-le de Cuse-et-Adrisans ont aussiconvaincu le jury.

    BESANÇON Concours

    Ils le disent avec des fleurs

    Le palmarès a été dévoilé ce jeudi soir dans le cadre du Carrefour des maires. Photo Samuel COULONLa CAGB primée pour la qualité de sa mobilité

    Dans le cadre des Trophées Travaux publics de l’investissement local, le prix Mobilité a été remis à la communauté d’agglomération du Grand Besançon. La CAGB a été récompensée pour avoir développé l’offre de transport en commun et les mobilités douces en réaménageant plus de 100 000 m² d’espace public./Photo Ludovic LAUDE

    BESANÇON

    EN IMAGE

    Il sera soumis ce vendredi12 octobre au vote des élus ré-gionaux et du Grand Besançon.Ce jeudi, dans le cadre du Carre-four des maires, le contrat de développement métropolitain passé entre la Région Bourgo-gne Franche-Comté et le GrandBesançon a été présenté par Marie-Guite Dufay, la présiden-te de Région et Jean-Louis Fous-seret, le président de la CAGB. Dans ce cadre, entre 2018 et 2020, la Région accompagne-ra 29 projets du Grand Besan-çon pour un montant de 40,2 millions d’euros. Cette somme donne lieu en parallèle à un engagement de 80M€ des différents acteurs du territoire Grand Bisontin (CAGB, com-munes…) ce qui porte la dépen-se globale à 156M€ après prise en compte des participations del’État et de l’Université. Sur les 40,2 millions, plus de 30 mil-lions seront destinés à l’ensei-gnement supérieur, à la recher-che et au réaménagement du site Saint-Jacques à Besançon. Pour la Région, l’ambition est de voir l’agglomération renfor-cer son attractivité et son rayon-nement. Ce contrat fixe trois priorités principales pour elle : renforcer l’économie, accélérer la transition écologique et éner-gétique et lutter contre le chan-gement climatique. D’une ma-nière plus générale, il a pour ambition de construire une so-ciété plus solidaire.

    A.A

    Un contrat Région-CAGB

    4 800 mètres de conduites ont été déployés dans le plateau de Maîche pour sécuriser l’alimentation en eau potable.

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    Samedi 13 octobre10 GRAND BELFORT Samedi 13 octobre 2018

    90A10 - V1

    La colère des usagers gron-de face à la rue du Bos-mont fermée depuis l’ef-f o n d r e m e n t d u m u r d esoutènement sous le poids d’uncamion, au niveau du carrefour

    avec la rue Jacquot. Le véhiculelivrait son chargement pour laréfection des trottoirs entrepri-se par la commune en fin d’an-née dernière, dans le cadre dela sécurisation du secteur quiaccueille désormais une halteferroviaire (réouverture de laligne Belfort-Delle).

    « Il est prévu que l’entreprise Colas intervienne à partir du 22 octobre »

    « Le problème réside dans lacomplexité de la situation oùquatre parties sont engagées :le Département propriétaire dela voirie et du mur, la communepropriétaire du trottoir, l’entre-prise qui réalisait les travaux etl’entreprise qui assurait letransport. Les responsabilitésrestent à déterminer par les as-surances qui ont tenu une réu-nion d’experts en juillet et dontles rapports ne nous sont pasencore parvenus. Nous som-mes dans une situation d’atten-te, on ne fait pas ce qu’on veut »s’exaspère l’adjoint, ChristianLazare.

    Les travaux de réfection dumur de soutènement apparte-nant au département sontachevés du car la collectivités’est engagée sans attendre lesrapports d’expertise. Tout com-

    me la mairie l’a fait pour lafinition du tronçon qui lui ap-partient.

    « Il est prévu que l’entrepriseColas intervienne à partir du22 octobre pour finir les tra-vaux, en réalisant les enrobéssur le trottoir et le bout de routele long des bordures. Excepté sil’expert de la commune s’y op-pose. Nous en sommes là, dansl’expectative » ajoute l’élu.

    Concernant les doléancesliées au réaménagement du car-refour il précise : « Cet aména-gement à base de quilles estprovisoire. Il a été pensé pourêtre le plus contraignant possi-ble dans le but d’optimiser lasécurité. Mais il reste suscepti-ble d’être modifié selon les ob-servations des usagers et desriverains. Cependant, tant quela rue du Bosmont est ferméenous n’avons pas une visionjuste de son efficacité, l’expéri-mentation n’est pas réaliste. Nous devons donc attendrepour cela aussi ».

    Si l’espoir d’un heureux dé-nouement se concrétise, la ruedu Bosmont rouvrira fin octo-bre et le comité d’urbanismepourra enfin se réunir pour fai-re avancer les choses. Il con-vient de préciser que la cons-truction en dur du carrefourpar le département n’est pasprévue avant l’an prochain.

    DANJOUTIN

    Carrefour du Bosmont : le serpent se mord la queue

    L’aménagement provisoire, susceptible d’être modifié selon les observations des usagers, sera construit en dur l’an prochain.

    Si l’espoir d’un heureux dénouement se concrétise, la rue du Bosmont rouvrira fin octobre. Quoi qu’il en soit, la construction en dur du carrefour par le Département n’est pas prévue avant l’an prochain.

    « Le problème réside dans la complexité de la situation où quatre parties sont engagées : le Département propriétaire de la voie et du mur, la commune propriétaire du trottoir, l’entreprise qui réalise les travaux et l’entreprise de transport. Les responsabilités restent encore à déterminer par les ex-perts. »Christian LazareAdjoint à l’urbanisme

    Quel bilan peut-on tirer de larentrée scolaire et du retour à la semaine de quatre jours ?

    « Une cinquième classe a étéouverte à l’école maternelle, qui ac-cueille 125 élèves dont sept enfantsen situation de handicap. 196 élè-ves sont inscrits à l’école élémentai-re dont 12 en unités d’inclusion. Lescentres de loisirs du mercredi visentun label qualité. Une quinzaine d’élèves bénéficient gratuitement des études surveillées assurées par deux agents qualifiés. Les ateliers après l’école dans le cadre du con-trat enfance jeunesse sont bien fournis avec des activités comme le ping-pong, la cuisine, l’escalade. »

    Quelles mesures ont été prisesquant au parking de l’école Mauri-ce-Henry, suite aux problèmes de sécurité récurrents ?

    « Cette situation existait déjà àl’époque où j’étais parent élu et mal-gré toutes les mesures mises en pla-ce comme la signalétique Arthur et Zoé, l’insécurité persiste. Nous avons fait le choix d’affecter l’agent ASVP à la maternelle car cette éco-le donne directement sur une routedépartementale fréquentée. L’an dernier, on avait noté plusieurs inci-dents et incivilités. Tout est réglé depuis. Le parking de l’école élé-mentaire est lui protégé mais ses utilisateurs ne sont pas respec-tueux. La municipalité réfléchit avec les parents à des actions pour appeler au civisme de tous. L’ad-joint chargé de la sécurité demanderégulièrement le passage des gar-des-nature et de la police nationale visant à verbaliser les récalci-trants. »

    « Les parents d’élèves rappelés au civisme »

    Josiane Haasz-Juillard, adjointe aumaire chargée de l’éducation

    BAVILLIERS Questions à

    Les bénévoles du fleurissement se retrouvent autour de la tableLes bénévoles du comité de fleurissement se sont retrouvés autour d’un couscous pour un moment festif mais aussi pour préparer la future saison. Martine Cattin, présidente, explique : « Cette année, nous allons développer la plantation de vivaces, plus économes en eau. Je tiens à souligner l’engagement de chacun pour embellir notre village. Les Evalbertois apprécient, c’est notre plus belle récompense. »

    EVETTE-SALBERT

    EN IMAGES

    Gym et zumba en rose pour MoniqueAlors que leur camarade Monique lutte toujours contre la maladie, les sportivesde l’AGVB - renforcement musculaire et zumba - et le président du Volley club, Nicolas Roche, ont arboré du rose mardi soir en signe de soutien, dans le cadre d’Octobre rose. Leur instructrice, Sarah Philippe, réitère cette initiative pour rappeler que « ça n’arrive pas qu’aux autres, faites-vous dépister les filles ! ».

    OFFEMONT

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    Dimanche 14 octobre10 GRAND BELFORT Dimanche 14 octobre 2018

    90A10 - V1

    D e par l’originalité, ledynamisme et la cons-tance des actions édu-catives menées durant la sai-son 2017-2018, l’ASB a étéprimée dans le cadre del’opération « club PEF del’année ».

    La cérémonie, animée parde nombreuses personnali-tés du football régional, s’estdéroulée vendredi 5 octobreà Besançon.

    Le club a reçu en récom-pense une dotation en maté-riel sportif. Au cours de cettesoirée exceptionnelle, le pré-sident Jean Busser a pu expo-ser les nombreuses actionsdéclinées par l’ASB selon lesthématiques de la santé, del’environnement, du fair-play, de l’arbitrage, de la san-té et de la culture foot.

    « Depuis toujours, je suisconvaincu que le club defoot est une école de la vie »,a souligné Jean Busser.

    Depuis le début de la nou-velle saison, tous les diri-geants de l’ASB se sont denouveau mobilisés pour fai-

    re de leurs jeunes licenciésde futurs citoyens, sensiblesaux valeurs du sport. Plaisir,respect, engagement, tolé-rance, solidarité sont lesmaîtres-mots. Parmi lesnombreuses initiatives, leclub mettra en place dès no-vembre un accompagne-ment scolaire au sein duclub-house avant les entraî-nements.

    L’ASB fait ainsi partie desclubs pilotes en France àproposer ce genre de disposi-tif, encadré par des diri-geants ou parents ensei-gnants . Jean Busser e tD a m i e n E n r i e t t o o n t

    d’ailleurs été reçus dernière-ment au siège de la fédéra-tion à Paris pour le lance-ment de cette opérationnovatrice baptisée « Puis-sancefoot ».

    BAVILLIERS

    L’association sportive élue « club Pef de l’année »

    L’AS Bavilliers a été récompensée par les instances sportives de la ligue.

    L’AS Bavilliers fait partie des dix clubs récompensés par la ligue Bourgogne-Franche-Comté en raison de son engagement dans le programme éducatif fédéral (Pef).

    Les élèves de l’école Anne-Frank deDanjoutin ont accueilli jeudi matin une délégation du club Soroptimist venue leur offrir quatre pieds de chas-selas et autant de muscat noir, afin qu’ils soient plantés dans l’établisse-ment.

    Sensible aux questions environne-mentales le club est partenaire du mouvement vers la transition entre-prise par la municipalité. Celui-ci est porté par le slogan « Danjoutin pré-pare demain » devenu emblémati-que de son engagement.

    À ce titre aussi, les Soroptimist ontapporté des ouvrages sur le sujet afin qu’ils enrichissent la bibliothèque de

    l’école, réitérant un geste précédem-ment accompli lors de la semaine du développement durable à laquelle el-les s’étaient également associées. « Vous avez beaucoup de chance d’être initiés aux mystères de la natu-re. Dans la vie plus on sait de choses mieux on comprend les autres, mêmes’ils sont différents. Vous êtes les fu-turs messagers de la paix dans le mon-de » a souligné la Soroptimist Renée Vetter.

    Sur le thème de la vigne et du raisin,la cérémonie s’est ouverte par un chant des enfants. Puis, à l’issue des plantations, les élèves ont interprété un poème et des lectures.

    DANJOUTIN

    Des vignes à l’école Anne-Frank

    Le club Soroptimist a offert huit pieds de vignes et des livres aux élèves de l’établissement.

    « Depuis toujours, je suis convaincu que le club de foot est une école de vie. »Jean Busser président de l’ASB

    Au menu : éducation des papilles gustativesVelouté de potimarron aux châtaignes, beignets, mousse au chocolat etc. Ce petit-déjeuner aux multiples saveurs, dégusté dans la convivialité, a été préparé par les assistantes maternelles mardi dernier à la Courte échelle. Les enfants devaient goûter à tout mais il y a eu des récalcitrants qui préféraient la mousse. « Une bonne éducation aux papilles gustatives » précise Laïla Aarab, la directrice.

    BAVILLIERS

    EN IMAGE

    Les cuisiniers du collègeMozart qui affectionnent lesrepas à thème pour faire plai-sir aux enfants, ont apportéun soin particulier à la prépa-ration de la Semaine du goût.Celle-ci a démarré avec unrepas végétarien composéd’un sauté végétal à base defarine de maïs et de pois-chi-ches. « C’est inhabituel, maisle produit cuisiné peut secomparer à des quenelles.Son goût neutre absorbe ce-lui de la sauce, marengo dansnotre recette. Nous étions unpeu inquiets de la réactiondes élèves face cette sugges-tion inédite, mais ils ont ma-nifesté de l’intérêt pour lanouveauté du goût et pour leprincipe d’un repas sansviande », remarquent Chris-tophe Manguin et Lionel La-chaize.

    Au menu chinois de mardi,une salade de choux et desoja en entrée était suivie denems et de riz cantonnais.Jeudi, l’Alsace était à l’hon-neur avec une choucroute et

    du munster. Enfin, la semai-ne s’est achevée sur un menugourmand proposant unmousson de canard et un pa-vé de saumon à l’oseille.« Tous les repas sont consti-tués de produits frais et pré-parés sur place » soulignentles cuisiniers.

    Le bon goût de la restauration scolaire

    Coups de feu en cuisine pour la semaine du goût au collège Mozart.

    DANJOUTIN