Comment amplifier la transformation de nos territoiresapi.ning.com/files/SRZYboUXFlqzn4OV2HhMFN59ZtJLHltQ2sljrxeK3... · Rapport de discussion n°22 : « Le temps des consciences

Comment amplifier la transformation de nos territoires ?

Rapports de discussion

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Sommaire

Rapport de discussion n° 1 : Autonomie énergétique des territoires.................................................................4Rapport de discussion n°2 : Le Printemps de l'Éducation.................................................................................5Rapport de discussion n°3 : Créer une Oasis...................................................................................................9Rapport de discussion n°4 : Reliance sur les territoires..................................................................................11Rapport de discussion n°5 : Une monnaie pour le foncier ? Pourquoi ? Comment ?.....................................14Rapport de discussion n°6 : Partager sa vie intérieure pour transformer à l'extérieur....................................16Rapport de discussion n°7 : Faut-il prendre le risque de l'élection républicaine ?..........................................18Rapport de discussion n°8 : Comment faire venir la campagne et les liens dans la ville ?.............................21Rapport de discussion n°9 : Comment mobiliser les personnes non mobilisées?...de façon humaniste, active, pacifiste et humoristique................................................................................................................................. 23Rapport de discussion n°10 : Les déchets......................................................................................................25Rapport de discussion n°11: Comment transmettre les valeurs colibris par le biais de sa profession?..........28Rapport de discussion n°12 : Le système s'est effondré aujourd'hui. Que fait-on demain?............................30Rapport de discussion n°13 : Vieillir et mourir à la maison. Pourquoi pas ? Quelles alternatives aux maisons de retraite?...................................................................................................................................................... 33Rapport de discussion n°14 : Poétiser nos territoires.....................................................................................36Rapport de discussion n°15 : Comprendre et transmettre les principes bio systémiques pour redonner le goût de la citoyenneté .................................................................................................................................... 40Rapport de discussion n°16 : Comment amplifier la transformation de nos territoires en désamplifiant nos égos ?............................................................................................................................................................. 42Rapport de discussion n°17 : Respecter nos enfants et les préparer au monde de demain...........................45Rapport de discussion n°18 : Créer un café associatif...................................................................................47Rapport de discussion n°19 : Chômage comme outil de transition.................................................................50Rapport de discussion n°20 : Comment valoriser les valeurs féminines aujourd'hui pour progresser vers un équilibre de nos mises en œuvre?.................................................................................................................. 52Rapport de discussion n°21 : Filières alimentaires locales.............................................................................54Rapport de discussion n°22 : « Le temps des consciences éclairées et agissantes est venue. » Pierre Rabhi - Comment entrer dans la conscience?..........................................................................................................56Rapport de discussion n°23 : Tous Banquiers ! Explorons les nouvelles voies que « rendre la création monétaires à la société civile » pourrait ouvrir................................................................................................58Rapport de discussion n°24 : Revenu d'existence .........................................................................................62Rapport de discussion n°25 : Innover pour faire émerger son potentiel de création ......................................64Rapport de discussion n°26 : Pour accélérer la transformation de mon territoire, organiser un forum ouvert dans ma ville................................................................................................................................................... 66Rapport de discussion n°27 : Les innovations sociales dans les maisons des Babayagas............................68Rapport de discussion n°28 : Habitat participatif............................................................................................70Rapport de discussion n°29 : L'après Pétrole.................................................................................................72Rapport de discussion n°30 : Transformer le 11ème arrondissement ............................................................75Rapport de discussion n°31 : Comment sortir de la logique de croissance économique et aller vers une autre croissance ?.................................................................................................................................................... 79Rapport de discussion n°32 : 25 000 candidats !............................................................................................82Rapport de discussion n°34 : Éduquer à la joie!.............................................................................................87Rapport de discussion n°35 : Autonomie alimentaire .....................................................................................91Rapport de discussion n°36 : Comment sortir nos réflexions du cadre francophone sans se soumettre à un système élitiste et culturellement hégémonique ?..........................................................................................93Rapport de discussion n°37 : Rêver et créer un lieu alternatif de vie et d'échange sur un territoire à la croisée des départements 77, 94 et 91....................................................................................................................... 95Rapport de discussion n°38 : Cultiver la ville..................................................................................................97Rapport de discussion n°39 : Société civile et tri-articulation de l’organisme social......................................100

Forum Ouvert « Comment amplifier la transformation de nos territoires ? »5 et 6 novembre 2011 – La Ferme du Buisson

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Rapport de discussion n° 1

Autonomie énergétique des territoires

Les 3 verbes clefs de la discussion :

Sensibiliser / Promouvoir / Mobiliser

Initiateur – Initiatrice du sujet : Jérôme

Participants de la discussion :

- Jérôme (initiateur)

- Florian

- Patrick

Discussions – Éléments importants :

• Sensibiliser les collectivités aux questions énergétiques : Construire un argumentaire en insistant sur les avantages économiques d'une telle démarche : création d'emplois locaux, diminution facture énergétique, moins dépendant des pays pétroliers/gaziers/

• Promouvoir les dispositifs existants : aides financières (nationale et locale) et les acteurs susceptibles d'accompagner et favoriser la mise en œuvre d'actions par les collectivités et les particuliers (ex : les Espaces Info énergie)

• Mobiliser les collectivités locales à développer des Plans Climat Territoriaux

=> Des outils existent (financier, action d'accompagnement), il faut favoriser leur diffusion auprès notamment des petites collectivités

Le réseau social Colibris (colibris.ning.com) est à votre service, il permet de continuer et approfondir vos échanges après le Forum Ouvert. Mais il est nécessaire qu'un animateur s'engage à relancer, à faire vivre vos discussions sur ce réseau pour qu'elles ne s'éteignent pas.

Souhaitez-vous un suivi de votre discussion sur le réseau social Colibris ?

NON

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?

– Site internet ADEME

– Réseau des espaces info énergie

– Réseau négawatt


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Rapport de discussion n°2

Le Printemps de l'Éducation


Relier / Mutualiser / Transformer / Ancrer

Initiateur – Initiatrice du sujet : Antonella Verdiani / Karine Mazevet / Nadine Outin / Bénédicte Fumey / Rosa Piro


– Julia : animatrice. Importance prise en compte des enfants (nature, paix...) Aulnay-sous-Bois

– Antonella : chercheuse, Éducation à la joie, initiatrice Printemps de l'éducation

– Lise : mère de 2 enfants → favoriser épanouissement, active association parents d'élèves

– Sébastien : travaille en entreprise, souhaite changer attitude, changer regard (futur papa)

– Céline : institutrice / regard sur apport des États-Unis (-)

– Jeanne : communication, RP

– Martine : Chemin d'Enfance – livre Jardiniers de l'âme (Lattès)

– Karine : livre L'éducation, une stratégie pour ré-enchanter la vie (Souffle d'Or)

maison d'EduKa-3000

– Caroline : Association Espace Terre. Relier à la nature (sensibilisation, ouverture, écoute)

– Odile : Retraitée, soutien scolaire aux enfants du voyage (rejetés, autre culture). Leur faire prendre conscience de leur potentiel

– Jean-Paul : Association Cultures et Solidarité

– Étienne : Maison d'accueil pour bébés en Équateur ('ré-introduction' en famille)

– Fantine : touchée par le professeur de l'Éducation Nationale qui s'excusait de faire partie de cette institution. Ré-impliquer les familles.

– Sandrine : Grigny travail avec les 6/12 ans. 82 nationalités. Lien avec l'humanitaire (Voix Libres).

– Carole : Intéressée car 2 enfants que le système ne respecte pas.

– Stéphane : père de 3 enfants, 1 scolarisé à la maison. En France, ça ne bouge pas !

Association Les Jardins de Thélème (pour donner accès à la terre, sud 94)

– Song Tan : ingénieure agronome. A enseigné l'horticulture. Intervenant scientifique à Living School (Paris). Comment financer tous ces projets ????


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– Caroline : Ecole de l'adulte. Comment quand les adultes sont préoccupés par l'envie de changer de voie. Et les garçons, ils sont plus en échec que les filles.

– Mélanie : (là pour filmer) Documentaire sur école, enfants. S'interroge sur la considération portée ds notre société aux métiers de la petite enfance (il suffit d'un pièce d'identité pour s'occuper d'enfants, salaires très bas...)

– Pierre : Quel financement pour tout ça ??? Ancien professeur. Thérapeute enfants/ados très névrosés. => Grenelle de l'éducation

– Anne-Sophie : Service Civique chez Colibris. Le Développement Durable passe d'abord par l'éducation. Comment devenir professeur des écoles dans l'esprit Colibris ?


Éduquer à la joie, pédagogie de l'écoute, accueillir la différence, éducation populaire, réinsertion familiale, implication des familles, …

LE PRINTEMPS DE L'ÉDUCATION(www.printempsdeleducation.com)

Qui ?Collectif informel

Plateforme d'associations et de projets individuels

NOUS TOUS

Vocation : Sortir de l'isolement

Se relier dans le respect de nos projects particuliers

Proposer un souffle nouveau

Partager, échanger

Présenter pratiques éducatives innovantes (écoles, humanitaire...) qui visent à l'épanouissement des enfants, des enseignants, des parents... de la société de demain.

Stratégie : => CREATION DES RENCONTRES PRINTEMPS DE L'EDUCATION2012 / 2013

2 journées

Ateliers concrets (mutualisation des pratiques pédagogiques)

Apports d'expériences étrangères

→ recueil de signatures d'un Pacte Éducatif


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Objectif :Faire converger les RichessesAmplifier nos initiatives personnelles

Agir ensemble

Avoir un impact sur l'Éducation Nationale et autres institutions gouvernementales

=> Reconnaissance / Pression citoyenne / Transformation du monde de l'éducation

= ACTIONS LOCALES

PRINTEMPS DE L'EDUCATIONpour l'épanouissement des enfants,

des enseignants, des parents... de la société de demain

= ACTION GLOBALE

→ RECONNAISSANCE→ PRESSION CITOYENNE

→ AMPLIFIER LA TRANSFORMATION DE NOS TERRITOIRES


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Besoins- aide pratique – ressources vives (webmaster, communication et marketing, vidéaste, relations publiques, recherche de sponsoring ou mécénat...)

- s'appuyer sur les actions locales (forums ouverts, associations, conférences, syndicats, associations parents d'élèves, cafés pédagogiques, blogs des enseignants, réseaux existants, EDUCANET, …)

- partenariat actif

- financement et échange en services



OUI

Qui animera cette thématique sur le réseau social Colibris ? - Antonella Verdiani

- Karine Mazevet

- et et et...

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?- www.printempsdeleducation.com (voir les liens sur le site)

- L'éducation... une stratégie pour ré-enchanter la vie (Karine Mazevet - Editions le Souffle d'Or)

- Les jardiniers de l'âme (Martine Roussel-Adam - Lattès)


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Créer une Oasis


S'engager (également financièrement) / Coopérer / Transmettre

Initiateur – Initiatrice du sujet : Éric BOYER


- Brigitte Gardet : [email protected]

- Sophie Schrobiltgen : sophie.schrobiltgen @orange.fr

- Clara Breteau : [email protected]

- Caroline Harris : [email protected]

- Muriel Herbin : [email protected]

- Éric Boyer : [email protected]

- Catherine Lefebvre : [email protected]


1/ RELIERSe relier au monde

Se relier à soi-même (Concept de Bernard Alonso – Loi de Pareto sur l'autonomie : 80% d'autonomie personnelle, 20% collectif)

2/ INCARNER : en soi les valeurs et les principes communs, un socle.

Formaliser :

une intention et une charte du vivre-différemment et du vivre-ensemble

avec l'aide d'outils relationnels (Communication Non-Violente, gestion des conflits, ...)

et de techniques/méthodes de « production » écologique et saine (Agroécologie, Permaculture, biodynamie, ...)

un mode de gouvernance : Sociocratie, Holacratie

des principes clés, e.g. La coopération au lieu du « tout-collectif »


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3/ SEMER : Rendre réel

Transmission de savoirs et de savoir-faire, également par l'oralité.

Stratégie des « petits pas » : poser les actes, avec un « aller vers plutôt que d'arriver à » Brigitte Gardet

Recréer un village de compétences et relocaliser les activités (maraîcher, paysan boulanger, instituteur, ...)

Étape clé 1 : le financement – qui constitue le premier jalon d'engagement effectif

Projet de « société de portage » pour financer des projets d'éco-hameau/village, de lieux de vie

Étape clé 2 : l'accès à la Terre, trouver un lieu

La Terre n'est pas rare; elle est rendue rare par une marchandisation excessive (Spéculation, processus de location captif pour les agriculteurs)

Se relier avec ceux qui possèdent : prêt de terrains



NON

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?Sources d'inspiration :

• Tubingen (éco-hameau allemand)

• Bernard Alonso : Permaculture humaine et les PermaCoop

• Oasis en Tous Lieux

• Tremargate (Bretagne)

• Le réseau Longo Maï

• Oasis du PEN AN HOAT : www.agroecologie-bretagne.com

• Terres de lien


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Reliance sur les territoires


Construire la confiance / Etre ensemble avant de faire ensemble /

Inventer / Créer / Apprendre ensemble

Initiateur – Initiatrice du sujet : Ivan Maltcheff et Claude Henry

Participants de la discussion : groupe de 30 personnes environ

Flore CERCELLIER, [email protected]

Éric FAVRE, [email protected]

Annick HUGUET, [email protected]

Éric PINTHON, [email protected]

Clément LECHARTIER, [email protected]

Titaua IZERN, [email protected]

Colette PROUTEAU, [email protected]

Cécile, [email protected]

Françoise MANIER, [email protected]

Jean Paul GRANGE, [email protected]

Maria LEROUX, [email protected]

Claude HENRY, [email protected]

Marion GRALL, [email protected]

Nathalie GERVAISE, [email protected]

Ségolène, [email protected]

Alain AUBRY, [email protected]

Jacqueline FLETCHER, [email protected]

Clara CANIS, [email protected]

Marcel LOAREC, [email protected]

, [email protected]

, [email protected]

, [email protected]


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Olivier MASSICOT, [email protected]

Ivan MALTCHEFF, [email protected]

Florence, [email protected]

Discussions – Éléments importants : 4 Questions

Q 1 – Échelle et articulation d'échelle, instances, lieux, méthodes. Doit-on payer les actions des citoyens.

Q 2 – Se relier pour quoi faire? Concrètement, efficacité, objectifs, projets, sur quoi?

Q 3 – Dans ma démarche personnelle, multi-engagée, problèmes de reflexion, action, expérience

Q 4 – EGO (S) Empreinte egologique

Pour répondre à ces questions, quelques témoignages, exemples :

- Claude Henry a témoigné d'une expérience démarrée en 2009. Plusieurs associations se sont regroupées en imaginant créer un réseau des réseaux et, en cheminant, est apparue la nécessité de créer plutôt un inter-réseaux; de se retrouver autour de valeurs et non d'actions communes. Ce qui relie c'est, au centre, l'idée d'un bol vide où sont déposées les valeurs et les grandes idées et où personne ne prend le pouvoir. Alors l'espace devient vivant, sans captation de sens ou de pouvoir par les associations.

Vers quoi voulons-nous aller en terme de valeurs, d'objectifs généraux? C'est le grand principe de subsidiarité (Rien n'est fait au centre si c'est fait dans les organisations-membres). L'idée de fédération n'est pas opérationnelle, chacun doit garder la liberté de s'organiser et seul un système léger d'organisation d'ensemble est créé, par exemple un calendrier commun, un site de circulation d'infos communes. L'énergie mise en commun vient de chacune des forces.

- Comment reconnaître les spécificités des structures, les talents des individus? C'est une construction à partir des différences.

- Olivier Massicot (les Amanins dans la Drôme) témoigne de l'importance du plaisir de faire ensemble, en ayant des valeurs différentes; a accentué sur la notion de persévérance, d'oser entrer dans des nouvelles phases; axer les réunions sur le plaisir de faire ensemble, plutôt que sur les objectifs ou sur l'urgence. Et cette façon de faire basée sur le plaisir génère la confiance.

- Sucy en Brie en transition : la reliance s'est faite autour du projet créé par le besoin de s'adresser à différents acteurs pour mener le objectif à bien.

- Claire (Avignon) : Projet de développement durable de la ville de Montréal, Québec (voir leur site web); est-il nécessaire de créer des instances et des lieux dans lesquels les personnes ont envie de venir. Un « vivre ensemble » économique et humain.

Se relier est un objectif en tant que tel. Aux acteurs de se sentir légitimes.

- Kathy (mise en place d'une coopérative nationale) : a ressenti le besoin de s'autoproclamer modératrice et cela a entrainé la confiance (passage obligé); un grand soin apporté au vocabulaire, surtout par mail (par exemple noter ses humeurs).


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- Claire (Brin de Paille) : formation de 3 jours au consensus, mise en application plutôt longue au début, difficile de changer les habitudes, mais cela entraîne un sentiment de sécurité, de la joie et finalement beaucoup d'efficacité. Abandonner l'idée que « j'ai raison » au profit de choisir la meilleure idée (celle que le groupe considère comme meilleure).

- Florence (Terre et Humanisme) : au sein de la famille des structures Pierre Rabhi, s'est posée la question de qui fait le lien entre les différentes structures. Le manque d'outils et de formation, et notamment sur le rôle d'animateur/coordinateur réseau a été cerné.

- Alain Aubry (animateur réseau Colibris) présente des méthodes et outils expérimentés sur le terrain. Par exemple la sociocratie (http://sociocratie.unblog.fr), avec notamment la définition d'une « charte relationnelle » qui répondrait à la question « quels sont mes besoins pour que je me sente en sécurité? »; autre outil de gouvernance, l'holacratie (www.holacracy.org). La notion de base est l'holoptisme, capacité donnée à chacun de voir ce que l'ensemble est en train de produire.

Sur la notion d'échelle, l'exemple de Katao (coopérative d'achat Montauban) qui tel l'essaim d'abeilles se dédouble à partir d'un certain nombre de membres.

De l'importance de donner soin à l'organisation au départ, de prendre le temps de choisir le mode de fonctionnement, ce qui crée de la confiance et garantit l'humain. Exemple : le Pacte Civique

Le défi c'est le PFH (Précieux-Putain Facteur Humain)

Que suis-je prêt à lâcher pour que nous réussissions ensemble?



OUI

Qui animera cette thématique sur le réseau social Colibris ?

-

-

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?- Pacte civique : http://pactecivique.org

- Brin de paille http://asso.permaculture.fr

- Le livre d'Ivan Maltcheff Les nouveaux collectifs citoyens Eds Yves Michel


http://www.holacracy.org/

http://pactecivique.org/

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Une monnaie pour le foncier ? Pourquoi ? Comment ?


Dé-spéculer / Intermédier / Co-financer

Initiateur – Initiatrice du sujet : Hugues


- Corinne

- Marine

- Brigitte

- François

- Arnaud

- Claire


Base

L'augmentation du coût du foncier et ses conséquences sur le prix devenu exorbitant de l'habitat appelle cette réaction : ce n'est pas possible que l'habitat soit hors de prix. L'idée était de déconnecter le foncier des mécanismes de spéculation ou simplement de marché qui conduisent un renchérissement suicidaire de son coût.

Poste « Habitation » = 50% du budget des ménages les plus pauvres, 40 % de celui de plus riches. Ce n'est pas soutenable.

François a introduit l'idée d'un être collectif qui jouerait le rôle de l'association Terres de Lien, c'est à dire un propriétaire foncier séparé des usagers et dégagé du jeu spéculatif.

Les usagers pourraient se grouper en coopératives d'habitants.

Le deuxième point soulevé a porté sur l'incapacité de valoriser des terres agricoles à proximité de tissus urbains, les agriculteurs vieillissants et les jeunes se trouvant dans l'incapacité de se loger.

Il est aussi apparu qu'aucun moyen terme n'existe vraiment entre la production de logement social et la promotion privée. Moyen terme absolument nécessaire puisque en deçà de 2600 euros de revenu mensuel par ménage, on ne peut emprunter aux banques, situation encore aggravée par la crise actuelle.


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La grille du code de l'urbanisme (Plans Locaux d'Urbanisme des communes, SCOT pour les départements...) sépare trop abruptement le terrain agricole du terrain à bâtir alors que l'agriculture réclame des habitants agriculteurs et que les terrains agricoles proches des villes peuvent accueillir des habitants dans le cadre d' « éco-hameaux », intégrant des agriculteurs et d'autres actifs... ou inactifs, jeunes et vieux.

L'habitat participatif ou coopératif apparaît comme une solution à la spéculation foncière et immobilière sur tout le territoire, en ville comme à la campagne, tout en soutenant la cohésion sociale.

L'idée finalement n'a pas été d'une monnaie spécifique dédiée pour le foncier et l'immobilier, mais de flux d'argent maîtrisés grâce à la constitution d'un être collectif (type Terres de Lien dans le champ de l'agriculture).

Le recours à une structure d'être collectif apparaît nécessaire pour mettre dans le circuit des gens ayant trop de ressources pour accéder à un logement, là l'habitat coopératif apporte déjà des réponses, mais d'une manière différente.



OUI


– Hugues

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?- Terres de Liens

- Relier.info

- Toutes ressources sur l'habitat coopératif...


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Partager sa vie intérieure pour transformer à l'extérieur


Être / Oser / Transformer / Poser-Pauser

Initiateur – Initiatrice du sujet : Éric Parent


Murielle Moreau

Franck Genissel

Brigitte

Sylvie de Miramon

Marianne Grange

Camille Hoornaert

Françoise

Carole

Gaëlle Brière

Anne Marie Kocher

Arthur

Michel Staloff

Héloïse Liagre

Marie Lucas

Élodie Lussirc


1-Renforcer «être soi-même» est premier : développer la conscience de qui on est (travailler sur soi, se poser pour se mettre en état de pleine conscience, se familiariser à percevoir ses propres émotions et réflexes pour décider de les suivre ou d'aller au delà, avoir de l'attention et percevoir son état intérieur (« dans le mental », « dans le ressenti », « dans l'émotionnel ...), s'accepter soi même, permet d'atteindre une plus grande transparence d'égo, et de se sentir plus libre du regard extérieur, clé du reste (voir points suivants). En tous cas, être au clair « à l'intérieur » est la seule condition pour agir avec justesse à l'extérieur.


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2-Prendre le risque d'être soi vient ensuite : avoir le courage d'abimer l'image que l'on pense que les autres veulent de soi (« outing ») est un risque (on peut ne pas être reconnu et subir un éloignement de certains) mais permet en retour d'être apprécié pour ce qu'on est et permet de mettre en cohérence ses valeurs et ses actes.

3-Vivre la cohérence entre ses valeurs/idées et ses actes, être « un témoignage vivant », le tout en pleine conscience, dégage un rayonnement positif a) visible de l'extérieur et b) attirant, qui donne envie aux autres de « venir voir ».

4-Mais rayonner ou démontrer par l'exemple n'est pas suffisant (même si cela constitue un bon point de départ !) : poser des paroles, « dire », proclamer que l'intérieur est important, que les valeurs intérieures sont la source d'une transformation juste est indispensable pour faciliter la diffusion, la prise de conscience, libérer les autres, ouvrir la porte aux autres pour qu'ils le montrent aussi, rendre ce message naturel,...

5-Prendre garde au fait que le passage entre « vivre » (ou « être un exemple ») et « dire » est un passage très délicat :

• pour celui/celle qui dit : (voir point 2)

• pour les destinataires du message : partager l'intérieur est encore un tabou. Selon le cas, dire peut entrainer l'adhésion ou l'envie ou libérer la parole ou les actes des autres mais également générer des peurs (remise en cause du modèle, changer de vie) et donc engendrer une fermeture

6-On peut faciliter l'acceptation du « dire » en créant un cadre adéquat :

– que les personnes destinataires soient à minima informées (du sujet ou de l'esprit), au mieux en demande (laisser la liberté de ne pas venir), mais dans tous les cas prêts

– ne pas être en demande de résultats, ne pas forcer, se mettre dans l'unique posture de « semer des graines » est un moyen d'éviter la fermeture ou la crispation de l'autre (et aussi la frustration de l'émetteur !)

– parler de personne à personne et non nécessairement à un collectif (mais dans d'autres cas parler à un collectif peut aussi mieux fonctionner : il n'y a pas de règles absolues)

– poser des actes qui font résonner l'intérieur et vivre intérieurement sans nécessairement poser de paroles. Ex : proposer/expérimenter un temps de silence au début ou en fin de réunion dans le monde professionnel

– il est parfois difficile de le faire dans des grandes structures. Les petites peuvent être plus propices à un accueil d'une parole intérieure et à une transformation

– l'état de conscience peut être très différent selon les générations. Dans certains cas les retraités semblent plus accessibles. Dans d'autres les « jeunes » générations ont un niveau de conscience bien plus élevé que ce que les 40tenaires avaient au même âge. Le chemin est différent entre les générations, avec des énergies différentes.


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7-Un espace entre l'intérieur et l'extérieur peut consister, non pas à « dire l'intérieur » mais à travailler sur des démarches extérieures nécessairement liées à l'intérieur : travailler sur la coopération, vivre/expérimenter/poser la bienveillance,...C'est aussi une façon de se sentir « aller plus loin » que « juste » travailler techniquement sur des sujets « développement durable ».


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Faut-il prendre le risque de l'élection républicaine ?


Se présenter / Risquer / Gouverner

Initiateur – Initiatrice du sujet : Frédéric Roux


- Marie

- Guillaume

- Jean-Pierre

- Frédéric


Les institutions républicaines pourraient apparaître comme un obstacle à la progression d'un nouveau paradigme; la « prise de pouvoir » dans une institution politique constitue-t-elle un risque et une opportunité ? Faut-il prendre ce risque ?

LA PARTICIPATION À UNE ELECTION REPUBLICAINE EST-ELLE SOUHAITABLE ?Les institutions sont ce qu'elles sont. Elles existent. C'est une réalité de notre vie politique. Dans un premier temps, nous sentons que nous devons faire avec. Nous accédons à un certain pouvoir par le biais de l'élection au niveau local (municipal, départemental, régional) ou national (parlement, président). Ces institutions semblent très largement bloquées par leur mode de gouvernance, par le jeu mortifère des partis, par une certaine complexité du monde que les équipes gouvernantes ne savent plus gérer, appréhender. La conscience de leurs membres est étouffée par la complexité des dossiers et des préoccupations parfois plus personnelles que collectives.

La société civile peut prendre sa part dans l'élection et pénétrer le politique.

Être candidat permet d'agir en utilisant l'institution dans la légalité tout en sortant du jeu des partis. De même que l'on souhaitait jadis « instiller de la proportionnelle dans les scrutins majoritaires », nous pouvons alors, au niveau politique « instiller de la vie dans un système mortifère ». Cela vaut le coup de tenter l'élection républicaine.


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Une Ville, une municipalité, bien gouvernées, pas trop grande sont des outils du bien « vivre ensemble ».

Le risque proviendrait d'une perte de conscience de la nécessité de se prémunir contre les jeux d'alliances et de partis. Le risque consiste aussi à tomber insidieusement dans le jeu du système politique traditionnel. Pour nous en prémunir : Ne parler qu'en conscience à des consciences (et jamais à des appartenances). Les alliances ne doivent se faire qu'entre individus, entre consciences reliées.

L'ELECTION REPUBLICAINE EST-ELLE POSSIBLE ?« L'universel, c'est le local moins les murs » (Manuel Torga).

Constitutionnellement, rien ne s'oppose à ce que des consciences individuelles puis rassemblées, non représentantes de partis politiques se présentent aux élections de notre pays. C'est donc possible juridiquement.

Un certain réalisme et pragmatisme suggère une action politique locale, accessible. La commune (ou la communauté de communes) est une unité cohérente, relativement maîtrisable. Il y a plus de 36 000 communes en France et des milliers de petites.

La commune est un lieu d'expérimentation réel et réaliste.

L'exemple vient d'en bas. « Bottom-Up »

Hormis une campagne de type « Nous sommes tous Candidats », nous n'imaginons pas d'autre présence électorale au niveau Présidentiel sans grandes compromissions. Comme disait Coluche « Compromis, chose due »...

COMMENT ETRE CANDIDAT A UNE ELECTION REPUBLICAINE ?

– Pas d'étendard, pas de drapeau, pas de parti mais des consciences reliées

– Projet strictement local élaboré par un ou des Forums Ouverts (participatipion et visibilité) autour de réalisations existantes et à promouvoir.

– Le Forum Ouvert (ou autre moyen participatif), instrument privilégié de la campagne électorale.

– Le ton des candidats n'est jamais anti (anti l'autre, anti le système, anti les autres solutions).

– Il n'y a pas d'ennemis, il n'y a que des consciences à toucher.


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COMMENT GOUVERNER ? (Déborde un peu du sujet. A développer)

– D'abord le vouloir. Le vouloir avec joie.

– Vouloir le pouvoir de changer en favorisant et valorisant les intitiatives locales.

– Gouvernance de type Forum Ouvert. Bottom Up. Contrôle.


Souhaitez-vous un suivi de votre discussion sur le réseau social Colibris ?OUI


- Frédéric ROUX

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?-


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Comment faire venir la campagne et les liens dans la ville ?


Réenchanter / Ensemencer / Reconnecter à la source et apaiser

Initiatrice du sujet : Lise Gallois


- Isa

- Catherine

- Odile


Constat :

– centre-ville vidés, de vie, de sens et de lien

– villes dortoirs, ou colonisées par le système consumériste (boutiques franchisées, supermarchés), déconnexion de la source de vie (production agricole vivrière)

– sentiment de dénuement, de saturation, manque de contact avec la terre, manque de paix

Comment vivre autrement dans la ville, redonner de la vie?

– Multiplier les initiatives individuelles, collectives, aussi petites soient-elles :

– jardins familiaux, carrés verts écoles, plantations de rue, sur les toits... (> redonner de la vie et de la paix)

– guerilla gardening, bomb gardening (distribution de graines, biodiversité), microfleurissement (www.semilla-france.org)

– jardins arts et soins (> vertus thérapeutiques du jardinage 4è âge, malades personnes en difficulté, isolées...)

– assurer la sécurité alimentaire d'une famille, puis plusieurs

– favoriser le contact entre les personnes et la merveille de la vie à travers la plantation (> redonner confiance, favoriser le respect de la vie à travers le respect des plantations, > retrouver ses racines)

– favoriser le contact entre générations, entre voisins : entraide, bouche à oreille autour de projets jardins ou plantations de rue


22/103

– impliquer les enfants

– repenser la construction de son logement (toilettes sèches, collecte des containers par un agriculteur)

– racheter des terrains seul ou à plusieurs (Terre de Liens, NEF, collectivités, Offices HLM...)

– favoriser la réinsertion de la biodiversité en ville : installer une ruche, une treille à vigne, un nichoir à chauve-souris, un abri de hérisson...

– montrer par l'exemple les vertus (antibruit, antipollution, régulation thermique) de la végétation

– Relier les initiatives

(Fondamental pour maintenir, attiser l'énergie, communiquer et développer, favoriser l'effet boule de neige / amplifier)

– Se faire connaître via les réseaux (Colibris, Villes en Transition...)

– Échanger, actualiser entre voisins

– Communiquer auprès de la presse locale, nationale...



X OUI


- Lise Gallois


– www.semilla-france.org

– Revue Le Jardin bio des 4 saisons (ED. Terre Vivante) / Eric Pradine


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Comment mobiliser les personnes non mobilisées?...de façon humaniste, active, pacifiste et humoristique.


Réunir / Prendre plaisir / Impacter individuellement

Initiateur – Initiatrice du sujet : Élodie LASSIRE


– Maud L.

– Maria Zanutto Leroux

– Boissot Jean Paul

– Flore Cercellier

– Sébastien Biron

– Philippe Barbier

– Antoine Dousse

– Florian Grare


Les grands principes à retenir de la discussion :

1) toucher l'intérêt propre de l'interlocuteur : « l'individu s'investit là où il trouve un bénéfice »

2) prendre du plaisir sur le sujet : « tout ce qui s'apprend dans le plaisir, se reproduit dans le plaisir et dure toujours...tout ce qui se découvre dans l'effort, s'applique dans l'effort et dure 3 jours »

3) considérer le lien social comme élément moteur : « la relation prime tout »

Les grandes erreurs à éviter :

1) donner des leçons moralisatrices et culpabilisantes

2) se focaliser sur ce qu'il y a encore à faire et oublier le chemin parcouru

3) parler d'objectifs et non d'ambitions

4) s'isoler et ne pas chercher les forces motrices locales

5) chercher à vendre une idée


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Les étapes majeures de la mobilisation et leurs idées

1) INFORMATION : crédible et vérifiée

- avoir des référents spécialistes sur les sujets ou comité de pilotage

- organiser l'information par niveaux d'accessibilité

2) SENSIBILISATION :

- discuter avec son entourage de ces sujets

- provoquer des rencontres

- organiser des petites actions collectives locales sans objectif

3) ADHESION :

- créer des temps réguliers et ouverts pour générer du partage, provoquer l'agitation d'idées et favoriser la mise en place d'actions locales

- exemples : randonnée pédestre, apéro, auberge espagnole, fête de quartier à thème, soirée cinéma, soirée jeux, évènements participatifs,...

4) MOBILISATION :

- favoriser le passage à l'acte sur des actions qui touchent le quotidien des personnes

- créer des rythmes de vie collective sur la durée



OUI

Qui animera cette thématique sur le réseau social Colibris ? - Élodie LASSIRE


-

-


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Les déchets


Informer / Réduire / Relocaliser

Initiateur – Initiatrice du sujet : Jacques Franclet Ass° Vie et Paysages


Philippe Barbier

Maud Lecarpentier

Daniel Fernandez

Jérôme Moreau

Dominique Foubannat

Charlotte Castanier


Constat de départ : les zones rurales servent trop souvent de décharges aux déchets des zones urbaines, alors que paradoxalement elles sont potentiellement les zones les plus riches en biodiversité qui devraient avoir d'autres vocations et impact carbone du transport de ces déchets.

Conscience que le thème des déchets est tabou dans le grand public et chez les élus; il reste la question dont peu veulent se charger. C'est devenu un des secteurs d'activité les plus rentables.

L'objectif, la solution reste la relocalisation des déchets : au niveau local : territorial, citoyen et communal.

La question de la gestion locale des déchets étendue aux matières nucléaires élargit le problème à l'échelle de la planète et des échanges N/S.

Évidence : les déchets les plus faciles à traiter sont ceux que l'on ne produit pas.

Proposition de changer le point de vue sur les déchets : les considérer comme des ressources. A l'ère de l'épuisement des ressources énergétiques fossiles et des matières premières : impératif du recyclage et bientôt de la fouille des décharges pour en extraire les matériaux susceptibles de redevenir des sources d'énergie : transformation du plastique en pétrole; la technique existe aujourd'hui.

« Dans Ordures, il y a « or », pour ceux qui se font des sous dessus, mais aussi pour la richesse potentielle qu'elles représentent. » Dixit Jacques


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Scandale de l'opacité sur la gestion des déchets, déni de démocratie, aucune concertation citoyenne sur ce sujet : choix du traitement, installation d'incinérateurs. Même après des mobilisations, les arrêtés de préfet font loi même en cas de procès gagnés par des associations environnementales : ex. en Picardie, l'association avait gagné un procès en appel contre l'autorisation d'exploitation d'un ancien four à chaux pour brûler des déchets industriels; le Préfet a redonner l'autorisation par un arrêté provisoire....

Comment redevenir maître de nos ordures ?Un élu qui a la volonté de gérer les déchets sur sa commune est confronté à deux problèmes majeurs :

– le coût lié à sa vision politique à court terme, l'objectif premier étant pour lui sa réelection.

– Les groupes industriels sont rémunérés au tonnage de déchets incinérés ou enfouis et n'ont donc pas intérêt à encourager le tri et leur réduction. De plus ce sont souvent les mêmes consortiums qui produisent et traitent les emballages. Le paradoxe est que les incinérateurs construits ont besoin de déchets pour fonctionner car il est impossible de les arrêter, au point de parfois devoir brûler les papiers destinés au recyclage. Ils doivent atteindre des températures très hautes + 800 °C pour diminuer leurs émissions de dioxines et autres poisons.Il faut donc les alimenter et paradoxalement produire plus de déchets!

Mais approche positive : ne listons pas les obstacles; les solutions existent!

Les solutions/propositions- Solution au niveau local : exemple dans une copropriété : dynamique collective pour mise en place d'un composteur : intérêt pour récupérer du terreau gratuitement et instauration méticuleuse du tri. Face aux difficultés de sensibilisation : des astuces : s'appuyer sur la semaine de réduction des déchets ( doc° de l'ADEME, affiches etc.) la semaine du DD (idem Doc°), afficher des articles de presse sur des initiatives semblables réussies; toucher les enfants par des animations – pêche aux déchets bricolée, comparaison ( masse de déchets, prix ) de deux chariots de courses : un champion de l'emballage, l'autre avec le moins d'emballages possibles. L'argument de sensibilisation sur ce sujet tabou au niveau du grand public est la santé : pollution de l'eau, de l'air et maladies liées.

L'incitation au tri pourra se faire par affichage à l'entrée de la déchetterie, avec une réduction d'impôt proportionnelle à la quantité de déchets rapportés pour valorisation.

- Est à l'étude une solution de « puçage » des matériaux pour aider à leur tri et réemploi; elle existait pour identifier les pétroliers responsables de marées noires dont la cargaison était traçable, mais a été abandonnée sous la pression des lobbys pétroliers.

- Les incinérateurs pourraient produire de la chaleur et du courant électrique par l'usage de la vapeur d'eau comme dans d'autres pays, mais ce n'est pas dans la culture française. - - - Changer le mode de calcul de rémunération des industriels du traitement des déchets : encourager financièrement les usines de traitement qui transforment cette énergie produite en électricité, si le lobby EDF ne s'y oppose pas . Cela contribuera aussi au changement nécessaire de paradigme et de civilisation et apportera une partie de solution à la transition énergétique. Valorisation énergétique des déchets. Il est préférable d'envisager la combustion ( ne faire brûler que des déchets combustibles) plutôt que l'incinération ( faire brûler des produits non combustibles).


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- Réinstaurer la consigne pour les bouteilles en verre et en plastique, les cannettes comme en Allemagne et au Québec. Contraindre par la législation les industriels à consigner et standardiser les formats de bouteille pour faciliter leur traitement.

- Pour les déchets de construction : Faire appliquer la loi qui impose de se demander ce que l'on fait des déchets inertes avant démolition, comme en Hollande.

- Généraliser la dépollution des sols par ensemencement de bactéries et non par la mise en décharge comme au Québec.

- Instaurer une rémunération des industriels proportionnelle à la quantité d'énergie produite et non en rapport à la quantité de matière traitée.- Taxation au poids ou au volume des ordures ménagères.

Faire confiance aux avancées techniques : le problème du recyclage des fluides caloriporteurs polluants, contenus dans les panneaux solaires a été résolu par la création d'un système hydraulique auto vidangeable. S'informer, chercher l'info° sur ces solutions toujours innovantes : salon habitat écolo.

Créer des ressourceries et encourager les détournements artistiques qui donnent une forte valeur ajoutée aux objets.

Développer des réseaux de dons et encourager le réemploi des objets avant de les considérer obsolètes.

En écologie l'important c'est la progression!



OUI


Jacques Franclet


– Cradle to cradle

– Expériences de terrain.

ex : Méthanisation de la partie fermentescible des ordures ménagères, par voies sèches, système DRANCO. ( Nord de la Belgique)


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Comment transmettre les valeurs colibris par le biais de sa profession?


Transmettre

Initiateur du sujet : David Ménauge, métiers des arts, chanteur/animateur CE et particuliers.


– Antoine, Ingénieur

– Hugues, Architecte


– D. M a l'expérience de la transmission de valeurs à des publics différents, à travers la danse et aussi une « attitude » (expression de la liberté d'être soi-même, d'assumer sa singularité face aux autres et de transmettre à autrui ce désir). Découverte récente de Colibris, il s'interroge sur l'intégration des valeurs de celui-ci dans son métier d'où l'intérêt de bien intégrer les valeurs de Colibris pour les transmettre largement. Exercice difficile, les freins à la transmission sont énormes.

– Étonnement de la faiblesse de la participation sur le forum pour un sujet qui concerne la « métamorphose » de la vie active.

– A.H. a une longue expérience industrielle et travaille sur la transformation des entreprises. Celles ci sont interpelées actuellement par les nouvelles normes sur la responsabilité sociétale (maîtrise des ressources de la planète, respect de biosphère, réduction de la fracture sociale). Certaines prennent ces questions très au sérieux et sont déjà très engagées (suppression de la dépendance au pétrole, implication active dans les questions de la société , etc...) D'où l'intérêt de réunir ces expériences pionnières pour montrer aux autres que des changements profonds sont possibles :

– veille collective;

– compte-rendus systématiques;

– blog et réseau social, création d'événement pour promouvoir les échanges

– journées portes ouvertes, etc...


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– par ailleurs expérience passée en innovation participative (organisation des échanges dans ce domaine entre les grandes entreprises françaises : Innov'acteurs).Cette expérience a montré la « puissance des idées simples » venant du terrain pour résoudre des problèmes que les techniciens ne savent pas résoudre quand les budgets sont serrés....et de concentrer cette capacité de proposition de solutions simples et puissantes sur les enjeux de la responsabilité sociétale par la création d'une association spécifique « innovation citoyenne et développement durable » qui aide à la promotion de ces échanges.



OUI


- David


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-


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Le système s'est effondré aujourd'hui. Que fait-on demain?


.................................. / …............................. / ….........................

Initiateur – Initiatrice du sujet : Nathalie et Charles


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Constats :

• L'augmentation du prix de l'énergie entraîne une augmentation des denrées alimentaires

• Irréalité des débats politiques qui font la politique de l'autruche. Quel est le Plan B après l'effondrement du Plan A?

• Dans d'autres pays européens (par exemple en Grande Bretagne), la résilience est encouragée par les instances officielles (mairies, gouvernement). Ce n'est pas le cas en France, qui est un des pays les moins préparés aux crises à venir.

• Avec son concept phare de “Big Society”, David Cameron entend remplacer l’action de l’Etat par des initiatives locales. Mais, en l’accompagnant d’une réduction draconienne des dépenses publiques, il le tue dans l’œuf. (http://www.courrierinternational.com/article/2011/02/24/big-society-grand-asco)Cette initiative reste uniquement au niveau du discours.

• Dans le mouvement des Indignés en Espagne, de nombreuses commissions thématiques ont été créées au niveau des villes et des quartiers. Des actions de solidarité sont mises en place très rapidement : par exemple, mobilisation des réseaux sociaux en cas d'expropriation pour l'empêcher d'être perpétrée.

• Lors de la crise en Argentine, la population a vendu tous ses biens précieux. Comme toujours, ce sont les populations les plus pauvres (sans biens précieux) qui ont été les plus touchées.

• Exemple de l’Allemagne dans les années 30. Perte complète de repères, désintégration psychologique aboutissant à la désignation de boucs-émissaires et de comportements inhumains.


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• La réaction à la crise varie selon les mouvements inclusifs ou exclusifs. Comme exemple de mouvements exclusifs, le mouvement Survival aux USA stocke denrées alimentaires et armes et mis en place de bunkers !!!

• Repli sur soi des ruraux traditionnels par rapport aux néo-ruraux. Beaucoup de méfiance par rapport à ces nouveaux venus.

• Manque d'agriculteurs. Nécessité d'anoblir le rapport à la Terre

• Dans le cas d'une dégradation de la note de la France, il y a risque d'effondrement du type URSS car l'état français est « massif » et centralisé par opposition à des états décentralisés (Belgique, Allemagne, Angleterre).

• La densification urbaine est un risque car elle rend difficile la création d'une ceinture verte vivrière. Exemple de la carte établie par la Transition en Angleterre où les ceintures vivrières autour des villes denses ont des intersections importantes, rendant impossible l'autonomie de ces villes

• Dans le cas d'un crash brutal, forte probabilité de dérives violentes. Niveau de stress différents selon les cultures des pays. Seule une réponse collective aux crises sera efficace, juste et non-violente.

Questions :

• De quel temps dispose-t-on avant l'effondrement ? Quelle durée avons-nous pour basculer ? 2 mois ? 20 ans?

• Comment recréer des initiatives de solidarité ?

• Qui et comment prépare-t-on le Plan B ?

• Kit de survie / Manuel de survie : angoisse ou précaution nécessaire ?

• Quels choix je fais ici et maintenant pour mettre mon énergie au service du Plan B ?

Propositions (en vrac) :

• Pourquoi ne pas vivre à mi-temps à la campagne pour un passage progressif vers un nouveau monde ?

• Imaginer concrètement ce que serait un Plan B pour soi-même avant de le proposer aux autres.

• Informer les élus de la situation réelle de notre société.

• Analyser concrètement quelle est notre situation (Point A). Imaginer ce que nous souhaitons comme objectifs (Point B)

• Infuser (discrètement) dans le système actuel des éléments du Plan B afin de le faire évoluer de l'intérieur sans déclencher de réaction de rejet. Faire en sorte que le Plan B devienne inclus dans notre vie de tous les jours.

• Outils pratiques à mettre en place à disposition du plus grand nombre : contacts, informations, ressources

• Commencer à créer des emplois dans l'esprit du Plan B : maraîchage, éducation alternative,...


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• Favoriser le « social business ». Que notre objectif ne soit plus de « faire » de l'argent, mais simplement de subvenir à nos besoins.

• Mettre en place des monnaies locales afin de favoriser les économies locales. En re-localisant l'économie dans nos territoires, nous augmentons ainsi leur autonomie et ainsi leur résilience.

• Donner du sens à nos actions, favoriser le collectif sur l'individualisme.

• Préparer les réseaux en ville : adresse des personnes pivots, plans et cartes imprimés (pour pallier à l'absence de cartes en cas de défaillance d'Internet)

• Développer des filières pour accompagner le retour des ruraux vers la campagne. Michel Rheins avec ses « PHARES » (Pôles Humains d'Animation Régionales Environnementales et Solidaires). Organiser l'exode urbain.

• Mise en place d'éco-villages capables d’accueillir les urbains.

• Etre autonomes à plusieurs. Global Eco-village Network

• http://gen.ecovillage.org/

• http://www.rama.1901.org/ev/reseau.html

• http://w3.cerises.univ-tlse2.fr/dossiers/dossiers.php?id_dossier=2601&idparent=2561

• Permaculture : http://permacultureprinciples.com/fr/

• Brin de Paille : http://asso.permaculture.fr/

• http://permaculturefrance.org/

• http://permaculturefrancophone.org/

• Ferme du Bec Hellouin : http://www.fermedubec.com/

• Approche holistique, médecine naturelle

• Partage des surplus. Dans la vie, beaucoup de surplus peuvent être partagés

• La meilleure façon de s'en sortir personnellement, c'est de nous en sortir tous ensemble.

• Remplacer les taxes et les impôts payés en monnaie par des services offerts au public.

• La végétalisation des villes peut apporter un plus d'autonomie mais restera sans doute insuffisante pour permettre l'autonomie alimentaire.


Souhaitez-vous un suivi de votre discussion sur le réseau social Colibris ? OUI


- Charles


– http://clr.ietherpad.com/1


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Vieillir et mourir à la maison. Pourquoi pas ? Quelles alternatives aux maisons de retraite?


RELIER RESPECTER VIVREet aussi.........REMERCIER / S'ACCEPTER / lien, sagesse, intergénérationnel

Initiateur – Initiatrice du sujet : Françoise Caron, [email protected]


– Françoise Manier : [email protected]

– Dominique Fonbonnat : [email protected]

– Sylvie Foliguet : [email protected]

– Marie Lucas : [email protected]

– Camille Hoornaert : [email protected]

– Annick Guegri : [email protected]

– Hugues Barrière : [email protected]

– Clément Lechartier : [email protected]

– Mélika Argoub : [email protected]

– Héloïse Liagre, [email protected]


1. PROBLÈMES ACTUELS - Aspect commercial

- Personnes du même âge

- Pas envie d'aller en maison de «retrait-e »

- Ce qui existe = inadapté (pour tous?) : EHPAD – Établissements hospitaliers pour les personnes âgées dépendantes, Babagayas, Maisons de retraite privée

2. BESOINS- Garder son autonomie autant que possible, sa vitalité

- Ne pas être isolé

- Rester un être humain / « Réhabiliter » la vieillesse / (ré-)humaniser le regard extérieur


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- Avoir une aide technique (petits travaux...)

- Avoir une aide psychologique (pour le passage devant la mort dont on a souvent peur, introspection, méditation)

- Avoir une aide médicale, de soin / santé

- Être dans l'intergénérationnel

- Anticiper, prévoir

- Revaloriser le statut de la vieillesse (ne pas être un « poids »)

- Avoir le choix, plusieurs choix : ceux qui veulent rester chez eux, ceux qui veulent vivre avec des amis...

3. QU'EST-CE QUE LA VIEILLESSE AUJOURD'HUI ? Parfois perçue comme un atout, souvent comme un handicap.

– L'expérience +

– Avoir du temps pour les autres +

– Être un poids -

– Se retrouver seul face à la mort, à sa mort -

– Capacité physique diminuée -

– Un sujet plus féminin ?

– Avoir besoin d'aide → devoir la demander / la solliciter ?

– Un regard et un questionnement parfois intrusif des autres

4. REFORMULATION / EVOLUTION DE LA QUESTION : « COMMENT ACCOMPAGNER LA FIN DE VIE / LA ROUTE VERS LA MORT? » - S'adapter à la personne qui vit la vieillesse

- Savoir être dans le silence, accompagner / aider sans pour autant en souffrir soi-même, être présent

- Accepter, reconnaître (et communiquer?) la difficulté de vivre des sentiments contradictoires de ceux qui sont devant la mort et de ceux qui accompagnent des personnes qui y sont « confrontées » (un devoir et une envie d'aller vers la personne agée)

→ Changer son regard sur la mort : : une nouvelle période de vie?

- Regarder la mort avec joie et beauté : une piste à explorer?

- « Visiter » des cimetières (comme des lieux vivants, chargés de sens) ?!

- Constat de l'existence d'un tabou culturel (français) sur la mort

Parler de la mort en amont (si cela est voulu par la personne)

- Se dire qu'en étant mort on a la chance de savoir ce qu'il y a après? Ne pas craindre la mort, l'apprivoiser


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→ Respecter le choix – personnel- de la personne qui va vers la mort? (qui veut vivre chez elle, seule, en communauté...; il n'y a pas une réponse idéale pour toutes les personnes qui approchent de la mort, chacun peut vouloir vivre différemment cette étape)

6. CONCLUSION : ALTERNATIVES AUX MAISONS DE RETRAITE OU SAVOIR SE PREPARER A LA MORT ?

– Ouvrir son cœur dès aujourd'hui

– Créer un monde avec plusieurs possibilités pour choisir sa propre voie vers la mort

- la maison de retraite

- la co-location → partager à plusieurs et en intergénérationnel

- la maison, l'appartement : rester chez soi, vivre seul

- l'habitat coopératif (cf. Allemagne) – se mettre à plusieurs pour construire un immeuble, et prévoir ensuite un « service de maison de retraite » plus naturel

- le lieu de vie (cf. association les Amanins) avec une terre, intergénérationnel... (projet en cours)

– Laisser la place pour un vrai / beau deuil?

– Ne pas avoir à se soucier de l'administratif, des sous, de la tombe, du testament? C'est au choix rassurant ou inquiétant de prévoir et d'organiser

– Rechercher le lien – tisser des liens durables en amont

- Choisir ses « voisins » / sa communauté / l'entre-aide de l'autre à côté de soi

– Communiquer / être là

- Comment communiquer avec les « anciens » / les personnes âgées

- Partager un moment ensemble

- Écouter, partager ce qui se vit par les jeunes? Oui mais pas les soucis...?



OUI


– Françoise Caron - email : [email protected]

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ? ?


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POETISER NOS TERRITOIRES


jaillir / bricoler / créer / respirer / lâcher prise

Initiateur – Initiatrice du sujet : Clara Breteau


– Loïc

– Arthur

– Jean Pierre

– Jérôme

– Léo

– Michel

– Sophie

– Olivier

– Éric

– Thomas

– Clara

Discussions – Éléments importantsPoétiser nos territoires, poétiser nos quotidiens. Ça commence par un balayeur rencontré dans la rue, qui sur son chariot avait suspendu une ribambelle de tétines ramassées le long du chemin. Et si nous étions tous ces balayeurs, qui, remorquant au fil des journées leur lot quotidien, trouvent en balayant dans le réel qui les entoure des éléments pour ré-enchanter leur environnement immédiat.

On s'interroge sur la dimension transformatrice de la poésie, dans son sens restreint de poésie écrite, reconnue comme discipline, et dans son sens large d'état et de savoir-être. Certains l'organisent, la provoquent, d'autres la conçoivent comme quelque chose qui émerge au hasard, ne se laisse pas apprivoiser.

La poésie est aussi un thème propice à l'invocation de concepts, elle suscite facilement l'envie d'être définie, délimitée. Mais comme disait Boileau, la poésie est à la prose ce que la danse est à la marche, et de cette façon, intransitive, gratuite, autoportée. Peut-être a-t-elle aussi une dimension sacrée et trop intime qui fait d'elle un foyer émotionnel qui répugne à toute définition. En tous cas qui invite aussi à une interrogation sur les actes qui peuvent la disperser à l'état de traces dans nos quotidiens et dans nos êtres.


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Parfois cela se fait sur un mode interventionniste (Olivier, Léo, Clara, Sophie) : dans l'organisation, dans l'ourdissement malicieux de happenings et de traquenards, que ce soit dans la sphère privée, chez soi, ou dans la rue et les espaces urbains : Certains comme Léo dispersent autour d'eux des signes propagateurs de poésie, de petites bombes à retardement qui sur le mode de l'allusion introduisent en poésie : écrire sur sa boite aux lettres « résidence sur la terre », appeler son chien pirouette pour faire rouler le mot dans l'oreille des gens et donner envie aux passants d'entonner en cœur la chanson traditionnelle « pirouette cacahuète ». Les exemples de démarches pouvant donner une dimension concrète à l'idée de poétiser son territoire ont été cités :

– Appeler son fauteuil douchka et le présenter aux invités lors d'un dîner, laisser par certains actes les objets mener leur vie en toute indépendance : espaces de jachère, d'accumulation, montres enfouies dans des armoires dont on a oublié depuis longtemps où elles se trouvent et qui sonnent, tous les soirs à la même heure, interpelant les invités. Passer à son poignet des bracelets dotés d'une signification, de perles symbolisant chacune une idée, une émotion que l'on veut retenir. Dessiner au plafond des constellations avec des ampoules, identifier en chaque pilier de son appartement un élément naturel. Dessiner dans son espace quotidien et intime les cartographies silencieuses de mondes, d'univers plus grands.

– Écrire de la poésie sur les murs de sa ville, donner aux gens l'envie de noter, de relire, de dire; disperser des affiches poétiques dans sa ville avec des numéros de téléphone, invitant les gens à participer à une œuvre collective. Créer des happenings et des performances qui lient l'art et la poésie à la vie populaire, qui les projettent dans l'espace public.

Parfois cela se fait par l'utilisation d'outils, de situations ou objets déclencheurs destinés non pas à nous accompagner dans le quotidien mais à nous amener graduellement à des états poétiques, correspondant à autant de niveaux de réalité : l'état poétique s'atteint plus facilement en situation de déplacement, de promenade attentive, où l'on va tenter de se rapprocher plus ou moins de l'état flottant et libéré du « touriste », ou du marginal, et où l'on va noter le rapprochement non-évident de ces deux figures.

On se portera spontanément vers des lieux propices, passerelles magiques vers la poésie : l'emplacement favori, chez soi, devant la fenêtre, qui encadre l'arbre, la rue fascinante que l'on a trouvée dans son quartier. Parfois ce sera tout simplement le musée d'art contemporain de sa ville, ou la lecture de poèmes, qui même s'ils sont ,dans leur forme, « institutionnalisés », auront pour effet de transformer le regard, et de faire passer ainsi en territoire de poésie.

Le lien entre la poésie vécue, intérieure et l'économie peut se retrouver dans celui qui lie l'art à l'artisanat : car la poésie, création, fabrication, trouve aussi ses conditions d'émergence pratique dans la reconquête d'une autonomie dans les aspects clefs de son d'existence : elle surgit lors de l'autoproduction, du bricolage, de la fabrication d'objets conviviaux. Des gens plus autonomes sont amenés à autoproduire plus de choses, et à personnaliser plus ce qu'ils créent, à laisser filtrer les signes de leur fantaisie, de leur quête de beauté. Ils fleurissent leurs outils de dimensions inutiles et d'ornements gratuits, mais par lesquels ils s'expriment et qui, du coup, prennent tout leur sens.

Peut-être la particularité du mouvement Colibris est-elle là : son attention à la poésie de nos existences et de nos environnements. Certains voient en lui le « Parti de la Poésie ». L'anecdote racontée par Pierre Rabhi sur la coupe du bois et le coucher de soleil est révélatrice. La poésie est dans le site, dans l'acte de couper du bois, dans la beauté du coucher de soleil, et même dans celui qui fait référence à l'arbre par le biais du raccourci drolatique des d« dix stères de bois ». Elle est aussi dans la sensibilité de celui qui retient l'anecdote pour ce qu'elle est, et la transmet. Un colibris est quelqu'un qui, comme Pierre Rabhi mais aussi beaucoup d'autres, chacun de nous s'il y prenait le temps, est capable d'autonomie concrète et d'état poétique : c'est autant celui qui


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coupe du bois que celui qui prend le temps de contempler et se recueillir sur un coucher de soleil, l'un ne peut se concevoir sans l'autre en quelque sorte. La poésie est ainsi dans la création d'habitats plus propices et ouverts à la manifestation de la beauté (espaces naturels), dans un exercice physique et ancrage corporel qui aiguise les émotions et leur donne une plus grande résonance, dans l'attention à la beauté et la capacité à se recueillir pour la contempler. Elle est dans la volonté d'identifier les circonstances dans lesquelles la poésie s'incarne et s'ancre dans la vie, dans la volonté de transmettre ces expériences et d'en faire des repères. La poésie jaillit de l'effort, d'un monde ré-enraciné.

Chacun est appelé faire se manifester la poésie dans les objets qui l'entoure et dans son quotidien. A ne pas en avoir peur et à la laisser tranquillement habiter sa vie intérieure, animer ses conversations et ses moments d'amour. La poésie est un thème qui doit être pris au sérieux, et conçu comme appelé à faire partie intégrante du monde de demain. Car le monde de demain est souhaité plus humain, et la poésie est au cœur de notre humanité.

Inventaire : Comment poétiser nos territoires, notre quotidien ?

– faire plaisir à son prochain

– implanter la poésie dans des lieux insolites (banques...)

– mettre un grain de folie dans sa vie

– développer un état poétique, énergétique, neuronal

– en faire un savoir être

– atteindre l'harmonie corporelle

– faire de la relaxation, de la méditation, danser

– semer des étincelles, artistiques, musicales, faire des spectacles

– éveiller à la perception

– se faire des grigris, des objets symboliques

– donner des noms (à son fauteuil, à sa boite aux lettres)

– respirer, rêver

– prendre au sérieux le poète en soi, ne pas en avoir peur, le libérer

– réaménager son chez soi de manière poétique, y mettre des signes (constellations, éléments)

– programmer des rituels

– faire de son lieu de vie un lieu de présentation de ses projets et un lieu de manifestation de sa vie intérieure

– écrire des haïkus

– faire partager son regard

– savoir circuler entre les niveaux de réalité

– se promener avec des touristes

– trouver nos lieux et déclencheurs de poésie

– créer des situations / des lieux de partage


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– monter sur les toits

– semer des affiches interactives dans la ville

– faire une poésie sur un conseil municipal

– utiliser la poésie dans son activité citoyenne, militante

– jeux urbains

– performances urbaines

– créer des lieux d'exposition

– amener l'art à s'intéresser à la vie populaire



OUI

Qui animera cette thématique sur le réseau social Colibris ? - Clara // [email protected]


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Comprendre et transmettre les principes bio systémiques pour redonner le goût de la citoyenneté


Pouvoirs / Responsabilités / Conséquences

Initiateur – Initiatrice du sujet : Franck Genissel


- Paul Manier

- Jeanne Marclet

- Marianne Carrine

- Brigitte Balavoine

- Daniel Fernandez

- Norbert

- Christine Diaz


Pourquoi des principes bio systémiques ?Ils sont enseignés par l'Instut de Neurocognitisme ( voir réf.) pour les organisations

Ils sont issus de travaux scientifiques d'observation de l'être humain immergé dans toute

organisation. On retrouve ces principes sont également mis en œuvre dans tous les organismes vivants

Tout individu est amené à se situer dans une relation de pouvoirs et de responsabilités

c'est vrai dans le cas d'une organisation mais aussi nous allons le voir dans le cas du citoyen dans son territoire. Cela regroupe plusieurs principes nous parlons ici uniquement du rapport entre pouvoirs et responsabilités.

Pouvoirs et responsabilités de quoi parle-t-on ?Il est important de donner ici une définition précise et simple à ces termes polysémiques

Souvent on confond pouvoir et responsabilité

Pouvoir : c'est la possibilité de décider et d'agir

Responsabilité : c'est rendre compte du résultat de nos actions, de bénéficier du résultat et d'assumer des conséquences


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A partir de quand peut -on apprendre ces principes ?Des adolescents peuvent les comprendre exemple « en faisant des études je bénéficie d'une formation si je décide de ne plus faire d'étude » (prise de pouvoir par rapport aux parents) « je vais en subir les conséquences je n'aurais pas de formation j'augmente considérablement mes difficultés pour rentrer dans la vie active»

Exemple : Comment faire pour que dans une école les enfants puissent manger bio?

Le pouvoir est entre les mains du maire c'est lui qui décide, ceux qui subissent les conséquences sont les enfants (responsabilités) et sont représentés également par leur parents.

La démarche serait de faire prendre conscience aux enfants et aux parents des bienfaits d'une cuisine bio et aussi de faire prendre conscience au maire des conséquences positives pour lui s'il fait ce choix ( se montrer à l'écoute de ses administrés ...)

Si cela ne fonctionne pas il est possible aux parents de reprendre du pouvoir par exemple en signant un pétition.

Exemple : Qu'est ce qui peut pousser un artisan à faire le choix de matériaux de construction écologiques

Cet artisan a le pouvoir de décider du matériau de construction mais le problème pour ce pouvoir là (il en beaucoup d'autres) est que la responsabilité (les conséquences négatives ou positives) associée n'existe pas

Soit il a conscience de son rôle pour une démarche écologique, soit il y a une mesure fiscale, réglementaire, etc... et il subira alors directement les conséquences de son choix, sur son chiffre d'affaires. Il peut recevoir une amende si la réglementation n'est pas respectée etc...

Pour le citoyen il est important de prendre conscience de ses responsabilités : il subit souvent les conséquences directes ou indirectes de décisions qu'il ne peut pas prendre

Il a alors la possibilité de s'approprier du pouvoir par son engagement, ses actions collectives, et aussi tout faire pour mettre le pouvoir local d'un territoire (élu, homme politique) devant ses responsabilités (subir les conséquences positives ou négatives). Cela peut ce faire en fonction bien sûr des compétences et des possibilités d'engagement de chacun ;-)



OUI


- Franck Genissel

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?- www.neurocognitivisme.fr


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Comment amplifier la transformation de nos territoires en désamplifiant nos égos?


Conjuguer les égos / Apprendre à aimer soi et les autres /

Faire confiance a priori à soi et aux autres / Accueillir la folie des autres et la sienne /

Donner le cadre pour tout cela

Initiateur – Initiatrice du sujet : Pierre

Participants :

Pas de liste d 'émargement

– David MENAUGE

– Céline MOREL

– Laurent

–

– Malissa PHITTHAYAPHONE

– Elise VERTIER

– Olivier

– Alain AUBRY

– Stéphane D.


Sens – Centre – Toucher

Question 1 : se sentir en sécurité, laisser la place, l'espace à l'autre. Empreinte éGologiqueNe pas éliminer l'égo.

Juste place de l'égo

Regard tendre sur l'égo

Partir d'expériences concrètes de groupe.


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Conjuguer les égos divers. Partager

Laisser l'espace à l'autre –

Holacratie (Gouvernance par la raison d'être de l'organisation)

Place de l'égo dans/vers un sens commun, collectif/ même raison d'être

Articuler les territoires et les égos (égaux)

Posture personnelle :

Identifier, analyser, travail sur soi

Etre ensemble (vision commune)

Comment on se retrouve, on fonctionne? => La gouvernance

Favoriser des Espace de rencontres => Partager

=> Avoir une vision commune

=> Communiquer

Un cadre pour désamplifier les Égos:

– Confronter les singularités

– Articuler les contradictions

→ Travail perso

→ le mettre au service « open » En avoir conscience

→ Relativer ses attentes

Comment devient on un individu...

→ PAR une Expérience collective

Conscience

Vigilance de son égo dans l'expérience collective ouverte

Comment tenir dans la durée?

→ Posture d'acceptation de soi

→ être conscient de ses attentes

→ ancrage si partage

→ Accepter le « Mouvement », l'erreur


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Au minima : poser les questions.

Confiance, groupe, autres

Préalable nécessaire : Signaler toujours qu'il s'agit de désamplifier son Égo.

Convention/ Charte relationnelle

=> garantir (cadre) la non captation par un égo (structure) de tout l'espace collectif

Conscience, vigilance de son égo dans l'expérience collective

« Ce n'est pas le doute qui rend fou, c'est la certitude » Nietzsche

Identité versus singularité

=> s'enrichir de l'Autre, « écouter le centre »

Accepter la folie...


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Respecter nos enfants et les préparer au monde de demain


Respecter / Aimer / Écouter / Reconnaître / Être

Initiateur – Initiatrice du sujet : Étienne et Martine


Antonella, Diane, Isabelle, Marie Agnès, Éric, Étienne, Jeanne, Karine, Julia, Sandrine, Charlotte, Martine.


Les valeurs importantes à transmettre à nos enfants :

– Solidarité/ confiance

– Estime de soi, dignité

– Non violence

– Dimension du « sacré »

– Empathie

– Autonomie

– Coopération

Toutes ces valeurs vont devenir de plus en plus importantes dans le monde de demain, qui ne reposera plus sur les mêmes critères que ceux d'hier (exit compétition, écrasement de l'autre etc..)

Comment leur transmettre?

– Cadre de vie, environnement correspondant aux besoins de l'enfant, règles et limites

– Montrer l'exemple

– Être à l'écoute et parler avec l'enfant

– Ne pas juger

– Faire confiance à l'enfant

– Être présent et attentionné

– Être cohérent:dire ce que l'on fait et faire ce que l'on dit.


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Reste un défi majeur : Comment nous, parents, grands parents, professionnels de l'enfance pouvons nous soutenir ces valeurs, souvent en contradiction avec ce que les enfants apprennent ou vivent par ailleurs (école, jeux video, Internet...)?



OUI


- Martine Roussel-Adam

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?- www.lesjardiniersdelame.org

- www.fundacionami.org.ec

- www.cheminsdenfances.org


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Créer un café associatif


Accueillir / Relier / Échanger / Éveiller

Initiateur – Initiatrice du sujet : Céline Durrwell ([email protected])


– Caroline ([email protected])

– Nathalie Gervaise ([email protected])


Constat : Aujourd'hui, nombreuses sont les personnes qui se referment puis s'enferment dans l'urgence et la gestion du quotidien (chacun dans sa case, devant sa télé - pour extrapôler) et/ou les associations qui œuvrent séparément.

Objectifs :

– Donner l'envie de sortir de chez soi/de soi (se lier/se relier, échanger, éveiller).

– Faire converger les différentes actions associatives, promouvoir les différentes initiatives locales.

– Mutualiser nos forces, nos envies.

Présentation du projet

Quoi? ➢ Un café (du fait de la spécificité culturelle française : on aime bien manger et bien boire pour pas cher!) couvrant les thématiques suivantes : café... philo, coopératif, écolo, ludo,pédago, culturel, théâtre, concert,,,,,

➢ Un lieu chaleureux, convivial, ouvert, inter-générationnel, pluri-culturel

➢ Un espace de rencontre

➢ Un lieu d'expérimentations

Pour qui? ➢ L'ensemble des citoyens (de 0 à 117 ans → avec une attention particulière à destination des enfants et des adolescents)

➢ Les associations (laïques, respectueuses des êtres vivants et de la nature)


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Pour quoi? ➢ Renouer avec le lien social

➢ Échanger les savoirs, savoir-faire, savoir-être

➢ Offrir une vitrine ouverte sur les différentes actions menées par les associations,les collectifs et les artistes

➢ S'ouvrir sur l'autre (ouvrir son esprit)

➢ S'ouvrir sur la culture, la culture humaniste (éveiller son esprit)

➢ Réveiller le potentiel de chacun

➢ Prendre du plaisir à être/faire ensemble

Comment? ➢ Mettre le café à disposition des différents acteurs :

- en auto-gestion / emploi aidés le midi (+ rotation intervention bénévole) pour proposer des menus à petits prix

- en location aux associations le soir pour leur permettre de financer des projets en cours et/ou faire connaître leurs actions en proposant au choix, restauration, projections, conférences, débats, concerts, …

- en « libre-service » pour des actions d'échange

- en démarche d'(ré-)insertion professionnelle (tant pour les adultes que pour les adolescents)

- en tant que lieu d'expression artistique

➢ Établir une charte qui définisse le cadre pour collaborer tous ensemble en partageant les mêmes valeurs

➢ Statuts et financements restent à définir (SCOP, investisseurs privés, associations, KlubTerre Locale, souscriptions collectives)

➢ Les formations à suivre pour s'assurer de la réussite du projet (la gouvernance, la coopération, la communication non violente, éco-gestion, … → services civiques collectifs)

Quels partenaires?

➢ Les citoyens

➢ Les associations

➢ Les acteurs économiques locaux

➢ Les partenaires publics

Ecueils à éviter ➢ Dépendance financière (quant aux locaux et au financement)

➢ Concurrence déloyale (commerces du coin)

(liste non exhaustive)


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OUI


– Nathalie ([email protected])

– Céline ([email protected])

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?Des lieux comme la rôtisserie (restaurant associatif- Belleville/Paris), ...


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Chômage comme outil de transition


Rebondir / Accompagner / Proposer

Initiateur – Initiatrice du sujet : Gildas Véret, Caroline Harris


– Gildas : [email protected]

– Jean-Paul Grange : [email protected]

– Caroline : [email protected]

– Catherine Lefebvre : [email protected]

– Brigitte Gardet : [email protected]

– Laure Foulon : [email protected]

– Arnaud Girardin : [email protected]

– Claire Uzan : [email protected]


Constat : crise, montée structurelle du chômage, chômage : ressources, compétences et temps que l'on peut mettre à profit ( limitant ainsi les risques de désocialisation...)

Idée Générale : utiliser la période de chômage, qui est une période de questionnement, de remise en cause et de « critique du système », pour amorcer une démarche de changement. En effet après un licenciement, on se trouve avec moins « d'attaches » locales et idéologiques.

C'est donc un moment propice pour aller vers les gens et leur proposer :

- de mettre leur compétence au service d'un projet local (associations, rénovation du quartier, mouvement des villes en transition...)

- ou de s'engager dans un changement de vie en rejoignant un collectif constitué à la campagne, proposant une structure d'accueil, de formation (auto-suffisance alimentaire, auto-construction, techniques relations coopération, permaculture, nouveaux métiers nécessaires à la vie d'un village.)

Dans ces deux cas, il s'agirait de transformer un problème (le chômage) en solution : accélérer la transformation de la société vers une société écologique résilente et humaniste. On répond ainsi au besoin de sens, d'activité, de reconnaissance et de lien social lié à la perte du statut professionnel. En somme on invite le chômeur à ne pas subir sa situation et à créer sa solution.


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Le chômeur arrive avec ses compétences, on lui offre un cadre pour les partager et les valoriser.

Ce type de projet pose un problème de légalité. Il est actuellement interdit d'être bénévole dans une association en touchant le chômage, la sanction étant la radiation de pôle emploi.

Ces démarches devront donc choisir entre une existence légale (centre de formation homologué, entreprise d'insertion) et des activités plus souples mais qui contournent la loi.

La deuxième proposition (installation de collectif à la campagne) nécessite :

- des terrains d'accueil (solidaire du projet) et ayant besoin de main d'œuvre.

- Des chômeurs motivés pour ce changement

- Une équipe d'animation/formation salariée, définissant le cadre et animant l'ensemble

Différentes sources de financement : état, chômeurs impliqués, activités économique, levée de fonds, subventions...

PB à envisager : accès à la terre, débouchés, prise en compte des familles (chômeur pas seul dans ses choix), crédibilité (partenariats, Colibri?)

La deuxième proposition (installation à la campagne)



OUI


– Gildas Véret

– Laure Foullon


– Brin de paille : association de permaculture

– Livre de Florence Aubenas : Sur le quai de Ouistreham


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Comment valoriser les valeurs féminines aujourd'hui pour progresser vers un équilibre de nos mises en œuvre?


Définir... ou prise de conscience / Ralentir / Affirmer

Initiateur – Initiatrice du sujet : Anne Marie KOCHER [email protected]


• Fantine VAZ-PINTO

• Songtan Chantal MACH

• Isabelle VENANT

• Sylvie De Miramon


Proposition :

– définir les valeurs du féminin, les gains de femme et des hommes à y accéder

– être dans le ressenti d'abord avant de passer à une action juste pour soi = écologique

– responsabilité de la femme dans l'évolution dans le jeu de la vie sociale-économique-écologique

– communication = mettre en commun

RQ : peu de présences, et, les hommes n'ont pas osé prendre place ….

Constat de difficultés à définir ce que c'est les valeurs féminines

Confusion entre féminin et femme voir même mère et femme

clivage entre la fonction biologique et les croyances populaires ou ancestrales

Tendance à entendre une dualité ou opposition entre les valeurs du féminin et du masculin, plutôt que la complétude.

Volonté de démontrer de l'importance pour chacun femmes et hommes confondus de reconnaître les valeurs féminines tel que le droit à l'expression , l'identification de ses besoins, de la vulnérabilité, de la créativité , de la réceptivité au service d'une action ( principe masculin) consciente- écologique pour soi d'où d' écoule une possible relation de toute nature écologique et un rapport à la nature écologique dont nous redevenons un élément et non un dominant ou enfant exigeant et sans relation.


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Constat : les plus jeunes ont du mal à saisir où se joue le rôle du féminin , en quoi cela consiste, les plus agées sont dépitées et sans vraies solutions, démunies face à une dévalorisation trop longtemps installée. Pas conscience de leur pouvoir personnel et individuel, que la reconnaissance est un chemin personnel d'abord qui peut se prolonger au seing du couple, de la famille, du monde du travail , donc social- politique-économique et écologique.

Constat que les taches essentielles à la vie : l'éducation des enfants, le soin, les personnes âgées, l'enseignement est pourtant souvent un emploi réservé à la femme et sans reconnaissance financière.

J'ai partagé simplement mon propre chemin pour acquérir cette conscience et mes valeurs de femmes , aussi bien dans ma vie personnelle que professionnelle.

Je souhaite créer un lieu de vie collectif pour proposer un autre mode de vie : lien à la nature- à soi- à l'autre , et cet atelier m'a démontré la nécessité de donner des infos quand à la valeur du féminin, précepte qui précède les valeurs masculines afin que nos actes accèdent à la conscience, respect de la vie et reliance. Créer des espaces temps où la conscience des femmes et hommes de ce qu'est d'être au service de la vie peut émerger.

La thématique de la sexualité a été effleuré, comme celle de la culture de la terre et l'herboristerie.



OUI

Qui animera cette thématique sur le réseau social Colibris ? - Anne marie


• quand les femmes s'éveilleront

• la femme initiatrice

• la sexualité sacrée


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Filières alimentaires locales


Éduquer / Consommer ( en conscience ) / Faciliter

Initiateur – Initiatrice du sujet : Jérome

Participants de la discussion : Chantal, Marine, Éric, Raphaël, Jacques, Colette


Comment assurer une production alimentaire locale et saisonnière au bénéfice des particuliers, collectivités ( cantines ), et professionnels ( restauration )?

– Choix personnels en matière d'achats : producteurs locaux, locaux bio

informer, discuter, éduquer, questionner, inciter les directeurs d'école sur le passage de la cantine au bio

– Actions organisées par des professionnels privés :

Regroupement de restaurateurs et transformateurs

Projets privés ( ex : Ferme du Sart, lieu de vente de produits locaux utilisant les compétences de la grande distribution et mises à disposition des producteurs)

Maintien des savoirs-faire

Optimiser les transports

Promouvoir la haute qualité

– Action associative AMAP,CIVAM, actions de sensibilisation : salons, marchés bio, projections de films et débats

– Actions des collectivités locales :Maîtrise foncière

Restauration collective

Diffusion des bonnes pratiques d'autres municipalités et collectivités

Labels territoriaux

Plateforme de distribution de produits bio

- Idée aux politiques : Droit des propriétaires de terres d'imposer aux exploitants locataires le passage au bio


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OUI


- Jérome Moreau


– site du réseau rural national

– films « nos enfants nous accuseront »


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« Le temps des consciences éclairées et agissantes est venue. » Pierre Rabhi

Comment entrer dans la conscience?


Trouver son rituel pour le faire / Cocréer un espace commun pour oser se dire /

Cocréer les règles du jeu

Initiateur – Initiatrice du sujet : Patrice Levallois


Brigitte, Mia, Clément, Abalo, Enzo, Jeanne


DéfinitionLa conscience englobe l'égo, elle est beaucoup plus vaste.

Nous baignons dans un univers de conscience dont chacun de nous est une petite parcelle.

Liens entre la conscience et le moment présent, le ici et maintenant .

vs la pensée qui ne peut vivre que dans l'avenir ou le passé.

( La conscience est un long fleuve tranquille). La conscience, c'est le beau, le bon, le juste.

La conscience est l'espace d'où émerge naturellement la joie ( celle qui vient de l'intérieur), l'amour ( celui qui donne et ne veut rien) et la paix ( celle qui est au fond de notre être agité).

DiscussionsTechniques pour se connecter à sa propre conscience.

Toutes les grandes traditions ont proposés des rituels.

Retraite, prière, jeûne, Yoga, Qi Gong, Méditation de pleine conscience .. etc..

Faire attention à sa perception sensorielle.

Porter attention à sa respiration, son corps énergétique .

Développer l'acceptation.

S'accepter soi-même dans notre « Je » inabouti

Accepter l'autre comme il est, sans analyser.


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Accepter ce qui émerge, interroger le ressenti.

Ne pas s'identifier à ses émotions, à ses pensées.

Accepter pour pouvoir rendre l'évènement providentiel

Identifier

1- la pensée

2- Le ressenti dans le corps

3- Écouter son intuition et l'interroger sur la véracité ou non de ce ressenti.

4 – Faire un choix. Oser se dire.

Prendre conscience que nous sommes partie du groupe et que nous taire sur nos ressentis prive le groupe de notre expertise... Nos blessures sont nos expertises..

Prendre conscience de ce qui nous indigne. Allez chercher le besoin insatisfait.

Décider d'agir, ensemble, ici et maintenant.

Prendre conscience de ce que nous aimons faire.

En groupe . Créer un espace pour se libérer de nos peurs.Ritualiser les échanges co-construits du groupe.

Mettre des architectures de dialogues, de prises de décision, des règles qui permettent d'exprimer le meilleur de soi et d'éviter les querelles d'égo.

(Discussion experte, CNV, dialogue conscient, Sociocratie, Holacratie, Jeu du Tao)

Mettre l'égo au service de la conscience.

Passer de l'étape individuelle de la conscience à une étape de conscience plurielle et partagée.

JOUER avec soi. JOUER ENSEMBLE ICI et Maintenant



OUI NON


-



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Tous Banquiers ! Explorons les nouvelles voies que « rendre la création monétaires à la société civile » pourrait ouvrir.


Comprendre / Expérimenter / Partager

Initiateur – Initiatrice du sujet : Olivier Maurel


[email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected]

Merci aussi à Anne pour le temps, Norbert pour le méta, Céline pour la prise de note et Olivier pour l’animation.


Temps 1 : rappel et élément de cadrage à propos de la monnaie Éléments proposés par Olivier, Olivier et Patrick

Parabole des poissons / P. Derruder (source : Rendre la création monétaire à la société civile)

Def économie : un support d'échange à l'intérieur d’une communauté qui se fait confiance / Un support d'échange qui résulte d’un choix

L’argent « économie conventionnelle » nous permet de payer des biens et des services

Diff monnaies : euros/franc/coquillages/bétails pour permettre des rapports d'échange multilatéral asynchrone

Au fur et à mesure on a voulu gagner en efficacité (monnaie unique = euro) attention danger il faut veiller à la diversité (cf nature)

Aujourd’hui il y a de nombres monnaies complémentaires indexées aux monnaies nationales

Monnaies locales : ex des favelas


mailto:[email protected]


























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Monnaies régionales qui perdent de la valeur avec le temps pour éviter la capitalisation et encourager la circulation

Monnaies sur un secteur particulier

Monnaies indexées sur le temps (banque de temps) : crédit temps service/échange (ex SEL = des échanges de temps non convertible et locale

L’économie aujourd’hui ne prend pas en compte aujourd’hui : l'échange, le bénévolat…

Patrick : monnaie doit être utilisée pour faciliter l’échange dans une communauté de confiance

Quand on parle d’argent (ref métal précieux): c’est début de la capitalisation car le propre des métaux est d’avoir de la valeur

Fin du temps 1 :

Choix d’avancer sur 3 séquences :

problématique pour aller vers de la pratique

approfondir sur la pédagogie

choix de passer à la phase 2 initialement prévue

Remarques :

- On a pas abordé : Qu’est ce qu’on valorise / diversité des monnaies / rareté

- Attention à la sémantique

- Mettre dans le rapport les noms des différentes monnaies abordées + des réf de livres/auteur (cf début du document)

Temps 2 : Discussion sur les questions que le thème des monnaies soulève chez nous

Choix des questions parmi celles posées au tour de présentation :

# Pourquoi les monnaies locales sont elles perçues comme des monnaies fermées ?

nécessité de créer des cercles assez fermés pour créer de la confiance (SEL) / proximité / ex : pas plus de 600 pers pour les sel sinon explosion de la monnaie

# Économie financière / économie réelle ?

- l’argent a dévié au moment ou ce n’est plus devenu une monnaie d'échange :

- faire de l’argent sur l’argent

- la monnaie n’a plus été indexée sur l’or : explosion de la spéculation

lire Pierre Jovanic (JP Morgans) : origine de la crise des subprimes

- la spéculation est adossée à la rareté


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# Comment les technologies pourraient révolutionner la création monétaire ?

Facebook Credits

Bit Coins

lemna pour se remercier sur les réseaux sociaux

logiciel libre

téléphonie mobile

Remarques

1. est ce que ce ne serait pas que du temps et de l’engagement qui sont nécessaires à la création d’une monnaie complémentaire

2. dérive / monnaies complémentaire

3. reliance : yin / monnaie agressive : yang ( lietear au cœur de la monnaie)

Temps 3 : Pistes d’actions > Explorer une monnaie Colibris lors du Barcamp de dimanche

Quelle approche générale ?

créer des monnaies complémentaires indexées à l’euro

créer des SEL pour l’échange de service et de temps

créer de la richesse

Quel intérêt pour Colibris :

Sensibilisation

expérimentation

échange (place de marché, offre, demande)

plus d’abondance

augmenter la valeur de colibris

Comment :

via téléphonie mobile, via internet, sur papier lors d’événement

Quelle mise en œuvre :

- Cela pourrait servir d’expérimentation localement pour les groupes locaux partout en France

- Colibris réplique un modèle existant et se sert de sa force de frappe pour le diffuser


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Autres idées :

- Patrice : créer une place de marché où chacun peut exprimer ses besoins et ses services sur une plateforme internet avec échange via téléphone / communiquer et laisser venir les gens intéressés

combien de temps : indéfinissable

ressources : équipe colibris/patrice taovillage

- Olivier : google doc avec offres et demandes ou alors copie du doc du SEL du lac (avec l’aide de Dominique) + appui a la campagne tous candidats via engagement

- Norbert : la MUE : toute personne qui a besoin de liquidité pour être opérationnelle crée une MUE / on crée de la monnaie selon les besoins

> Se servir de cette initiative pour constituer un « kit pédagogique d’alphabétisation » à l’économie et aux monnaies



OUI


Grégory / Patrice / Dominique / Olivier

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?Sites :

http://cahier.collectif-richesses.org

http://www.selidaire.org

http://wiki.lemnarama.org

http://www.facebook.com/lemnarama

Auteurs :

Philippe Derudder, Bernard Lietaer, Jérome Blanc

Films :

Argent Dette

The Money Fix

Revenu de Base


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Revenu d'existence


Anticiper / Oser / Catalyser

Initiateur – Initiatrice du sujet : Antoine


[email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], fr44@[email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected], [email protected],


Partage autour des fondements et des ouvertures permises par le REXExposé de François Plassard

A côté d’initiatives locales de transition (ex. : monnaie locale), le Revenu d’Existence semble « comme une évidence » rouvrir un nouveau regard sur l’humain. Son instauration pourrait être un catalyseur d’autres transitions.

C’est un « chapitre » nécessaire dans la continuité de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

Idées pour la suitePermettre aux Colibris de mettre le Revenu d’Existence dans leur programme

- ouvrir une remontée de programme sur le site, à toute idée

- proposer le revenu d’existence en idée majeur (comme le retrait du nucléaire)

- rendre cette initiative a programme politique classique, d’aucun parti…

Construire un « kit de sensibilisation » :

- un mémo sur le revenu de base, avec FAQ

- une lien téléchargeable vers le film « Revenu de Base » pour des ciné-debats

- affiche, mode d’organisation de conférence-débat








mailto:fr44@[email protected]








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Préparer une grande conférence, d’ici à avril 2012 :

- Avec Edgar Morin, Patrick Viveret… et des amis allemands

- avec rediffusion live

- sur CD pour partager et podcast


Souhaitez-vous un suivi de votre discussion sur le réseau social Colibris ? OUI


François, Célina, Olivier

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?Allons (re)voir le film :

Revenu de Base (origine allemande)

Sites :

Appelpourlerevenuedevie.org

AIRE


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Innover pour faire émerger son potentiel de création


ACCUEILLIR/ SE FAIRE CONFIANCE / INSPIRER / DÉFINIR / AGIR

Initiateur – Initiatrice du sujet : Anne de Béthencourt


• Isabelle Venant, isabelle [email protected]

• Marine Raulin, marine .raulin [email protected]

• Brigitte Gropper, bgropper@gmail .com

• Antoine Heron, [email protected]


Comment innover pour mieux communiquer et agir ensemble dans le cadre d'une colocation ou d'une entreprise, ou dans tout groupe constitué...

Comment passer de l'enthousiasme ou du découragement à l'action

Créer une charte / structure ensemble propice à l'innovation ==> On est plus forts à plusieurs

Quelques principes

– définir l'objectif / la finalité /le terrain commun « de quoi parle-t-on? »

– lâcher prise les modèles de fonctionnement existants / laisser les égos de côté en phase d'innovation

– Une grande chose difficile peut être partagée en plein de choses faciles

– Chacun a la même importance quelque soit l'âge, le sexe, la compétence

– Nos différences font notre richesse - les jeunes sont le terreau de nouvelles idées / les plus anciens sont porteurs d'expérience et de compétences ==> Esprit d'accueil permanent

– Permettre une expression de tous / sans critique

– Je n'ai pas à convaincre mais je peux inspirer


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– Chacun exprime et définit son rôle

– Quelle est mon action ? Qu'est-ce que je peux apporter? De quoi ai-je besoin?

– Valoriser les réussites / énoncer haut et fort les résultats

– Possibilité de dire ses problèmes / pour que le groupe puisse venir ensemble



NON

Qui animera cette thématique sur le réseau social Colibris ? -

-


-

-


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Pour accélérer la transformation de mon territoire, organiser un forum ouvert dans ma ville


Relier / Organiser / Donner du sens

Initiateur – Initiatrice du sujet : Sandrine et Titaua


- [email protected],




- [email protected], c


- [email protected]


Un Forum Ouvert (FO) : quel intérêt ? quel participant ? quelle taille ?

Quel intérêt ?

* Alain Aubry présente l'intérêt d'avoir choisi l'outil FO pour la campagne TNT : faire se rencontrer les élus, les citoyens, les acteurs associatifs. Pour cela démarrer par une rencontre conviviale (ex. auberge espagnole), en s'appuyant par exemple sur les colibris de son territoire, dont les coordonnées sont accessibles (contacter le bureau Colibris à Paris). Croiser entre colibris les données sur un territoire (quels acteurs, quelles associations je connais) et lancer l'invitation à la rencontre. Échanger sur les questions posées par chacun puis voir le désir d'organiser un événement (FO ou autre).

* Pourquoi un FO = un bon outil pour « faire ma part » sur mon territoire

* Organiser un FO en lien avec la campagne TNT ou pas

Quel participant ?Pour tout le monde, pour tout acteur sur son territoire, pour tous ceux concernés.


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Important que la rencontre des différents acteurs de la TNT puisse se faire sans étiquetage (Colibris et autres, politique, associatif) // peur de se faire manipuler, de se faire récupérer, étiqueter.

Important de rencontrer des acteurs de son domaine de prédilection mais aussi d'autres acteurs pour enrichir les échanges.

Quelle taille?Tout est possible. Pour 20, 50, 200, 2000... personnes. Suivant le thème choisi par le groupe qui organise le FO, et le territoire (quartier, ville, région, entreprise, association...). Réunir les personnes concernées par le(s) thème(s) choisi(s) pour la transformation de son territoire.



NON

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?- Infos sur les groupes locaux et les colibris de son territoire : [email protected]

- Livret d'accompagnement au FO + liste des facilitateurs de FO en France sur le réseau social Colibris : colibris.ning.com

- Facilitateurs formés et présent au FO de la Ferme du Buisson : Céline Poret 06 87 77 94 40, Sandrine Bellon 06 86 68 69 05

- Formation forum ouvert : www.dianegibeault.com; Awareness Consulting (Deborah Maarek)

- Rechercher sur internet des expériences de forum ouvert déjà réalisées


http://www.dianegibeault.com/

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Les innovations sociales dans les maisons des Babayagas


Mutualiser / Innover / Informer

Initiateur – Initiatrice du sujet : Dominique D


- des papillons

- et quelques abeilles Christine B et Françoise Caron


La Maison des Babayagas est un projet porté de longue haleine par Thérèse Clerc (près de 17 ans depuis l'idée). Beaucoup de personnes en ont entendu parler mais ne savent pas que la première pierre n'a été posée que le 15 octobre 2011 et que le bâtiment est en train de sortir de terre.

Cette maison est un projet tellement innovant... qu'il a rencontré beaucoup d'obstacles... combien de fois le message était « il n'y a pas de case pour ça! ».

L'idée est de permettre à des personnes âgées de vivre ensembles en restant le plus longtemps possible autonomes... entre le ghetto chez soi et la maison de retraite (trop chère ou trop désespérante) trouver toutes les synergies permettant une mutualisation pour augmenter « les richesses ».

Donc le but de cet atelier était de dire pour « vivre autrement » quelles sont les autres initiatives de l'économie solidaire qu'il serait bon de mettre dans cette utopie en train de devenir une réalité.

Bien entendu cette initiative fait partie des membres et du CA de l'association « éco-habitat-groupé », et vient de participer au livre blanc de l'habitat participatif.

Pour l'instant les participantes de Montreuil (21 appartements pour des femmes retraitées et 4 appartements pour des jeunes de moins de trente ans) sont toutes des « créatives culturelles », il leur semble évident de réfléchir à d'autres besoins vitaux :

– quels sont les aménagements intérieurs pour assurer la longévité,

– quelles sont les activités physiques pour maintenir le corps,

– quelles sont les activités intellectuelles pour stimuler l'esprit,

– qu'elles sont les transformations personnelles qui vont permettre de ne pas tomber dans le piège du PFH (Putain de Facteur Humain, expression de Patrick Viveret) et d'instaurer le PFH (Précieux Facteur Humain),

– que faut-il manger, comment se maintenir en santé....


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Pour l'instant les Babayagas se sont lancées dans une université populaire « UNISAVIE » pour développer les savoirs pour et par les vieux et les vieilles.

Le rez-de-chaussée du bâtiment sera ouvert pour :

– une AMAP (association de maintien de l'agriculture paysanne et de proximité) pour manger bio et bon; avec des ateliers de cuisine...

– un Sel (système d'échanges local) car il faut maintenir le sentiment d'utilité sociale des vieux et vieilles et se rapprocher des systèmes japonais où l'on peut avoir un « stock » d'heures pour bénéficier des services (d'aide à la personne) quand nécessaire;

– une vitrine des techniques permettant l'allongement de la vie (soins du corps par l'eau, comme le spa...)...

– la mutualisation des « écomédecines »

Mais les participants de l'atelier souhaitent que cet atelier... face appel à l'imagination de tous ceux qui sont à la ferme du Buisson pour ce week-end de forum ouvert et à tous les lecteurs de ce texte pour.... suggérer d'autres innovations de l'économie sociale solidaire (en particulier les innovations sociales) pour les tester dans la maison de Montreuil et dans les toutes les autres qui sont déjà prévues (Brest, Cachan, Marseille, Palaiseau, Saint Étienne, Saint Priest/Lyon.. et le réseau puisse encore s'agrandir



OUI


- Dominique Doré [email protected]

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?- le site internet de la maison des Babayagas est en profond remaniement...

- le groupe « l'atelier habitat-groupé » des Sel sur Selidaire (pour les membres d'un Sel) www.selidaire.org

- l'association RELIER qui travaille en ce moment au montage d'une plateforme pour les citoyens sur l'habitat groupé

et tous les sites AMAP, SEL... créatifs culturels

les sites de vos villes sur les agenda 21, les villes en transition...

MES, le Mouvement pour une Économie Solidaire qui continue la dynamique lancée par les États Généraux de l'ESS et les cahiers d'espérance.


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Habitat participatif


Co-construire / Participer / Partager

Initiateur – Initiatrice du sujet : Jacques et Greta FRANCLET


Jérôme MOREAU,

Colette PROUTEAU,

Hugues BARRIERE,

Arnaud GIRARDIN,

Flore CERCELLIER,

Odile BOISSOT,

Anne-Marie KOCHER,

Carole GUEGRI,

Nathalie GERVAISE,

Enzo FAZZINO,

Pierre GIRARD,

Éric BENQUE,

Muriel HERBIN


Questions :

• Qu'est ce qu'un habitat participatif ?

• Comment faire ?

Habitat participatif : allier le respect de l'intimité de chacun (zones privatives) avec le partage de lieux collectifs (jardin, chambres d'amis, ateliers, espaces de détente et de loisirs...) dans une perspective de «qualité de vie» (partage, échange...) et de respect de l'environnement (empreinte écologique minimale).

Élaborer une «charte» en fonction des attentes de chacun des membres du « groupe ».


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Attentes :

• Mixité sociale (propriétaire et locataire)

• Mixité générationnelle (jeunes couples, personnes agées...)

• Prise de décision par consensus

Pistes :

• Rénovation bâti ancien, friche industrielle ou construction neuve ...

• Coopérative d'habitat, auto-promotion, SCI...

Freins :

• Coût du foncier

• Complexité administrative et règlementaire

• Recours à des experts (urbaniste, architecte, énergéticien ...)

Perspectives :

• Première réunion de personnes volontaires : samedi 10 décembre 2011 (après-midi)Ferme de la Genevroye (marché bio mensuel) à 10 km de Château-Thierry

• Formation « comment créer un groupe.. » : printemps 2012Frans van der Werf, architecte/urbaniste hollandais, pionnier de l'architecture participative



OUI


• Jérôme MOREAU

• Greta et Jacques FRANCLET


• Sites internet : habitatgroupe.org , habicoop.fr, cohabitat.fr …

• Articles, revues : Silence, Age de Faire, Maison Ecologique...

• Centre de ressources de Vie & Paysages (livres, revues, vidéo, multimédia ...)


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L'après Pétrole


Informer / Proposer / Concrétiser

Initiateur – Initiatrice du sujet : Laure Foullon


- Sylvain, [email protected]

- Flore, [email protected]

- José Martins, [email protected]

- Martine, [email protected]

- Éric Favre, favre_ericà@hotmail.com

- Laure, [email protected]


La discussion a commencé en faisant un point sur la situation du pétrole. Bien réaliser que s'il reste beaucoup de pétrole, la demande est tellement croissante que la pénurie de pétrole en Europe risque de nous toucher plus rapidement que prévue (dans 15 ans plutôt que dans 30 ans). S'attacher à produire des scénaris alternatifs dès maintenant et entamer la transition énergétique peut nous permettre d'amortir le choc de l'après pétrole.

Les actions à entreprendre : Informer sur l'arrivée de la pénurie de pétrole et sur son échéance si possible avec un moyen de communication adapté et convaincant mais sans chercher à convaincre et chercher à tout prix l'adhésion des participants, on ne peut pas se substituer à la prise de conscience de chacun. Il ne faut pas provoquer le rejet des personnes non convaincues car le thème peut provoquer le déni.

Établir une liste de tous les aspects positifs de la pénurie de pétrole afin de dédramatiser la situation :

– Génère une dynamique pour développer d'autres secteurs d'activité (qui devront pallier à ce manque)

– Moins de pollution (plastique) et revalorisation des produits dérivés du pétrole (le plastique aussi). Ne plus considérer le plastique comme un déchet mais comme une ressource de valeur.


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– Développer le local, retrouver une autonomie alimentaire de meilleure qualité, avoir de nouveau des commerces en centre ville, rétablir du lien entre les membres d'une même ville, village.

– Bon pour la santé : génèrera plus d'activité physique (marche, vélo, trottinette...) ce qui est bon pour vivre plus longtemps, en meilleure santé et avec le moral.

– Diminuer tous le gâchis de matière première auquel nous assistons aujourd'hui (beaucoup de choses jetées, incinérées, enfouies)

– Continuer à établir une liste des avantages de l'après pétrole.

Nous proposons que chacun de nous réfléchisse à un scénario applicable à sa commune. La proposition est la suivante : Se projeter dans 15 ans, sans pétrole et imaginer l'organisation de la vie de sa commune pour faire face à cette situation. Il s'agit donc d'organiser la vie d'un foyer en prenant en considération son environnement direct.

Afin d'initier ce travail ensemble nous avons commencé à lister les actions allant dans ce sens :

– Boire de l'eau du robinet

– Se vêtir avec du chanvre, lin, laine, ortie...(où les trouver, comment les confectionner, les distribuer... quelles actions peuvent en découler au niveau d'une commune)

– Se nourrir localement (pour pouvoir se nourrir sans déplacement ou avec un minimum) et comment se nourrir (place de la viande...)

– Le transport : (vélo, piste cyclable, covoiturage, transport en commun, quelle est la solution adaptée en fonction des points forts et faibles de la commune?)

– Le chauffage (isolation de maison, remplacer le système de chauffage au fioul, quelle est la réponse adaptée au foyer et à son environnement ?)

– Commerce de proximité (pouvoir se vêtir, se nourrir, se coiffer, se soigner, s'amuser... sans avoir à prendre sa voiture)

– Télétravail (comment importer son travail à la maison ou dans des lieux de rassemblement communaux pour ne pas avoir à prendre sa voiture pour aller travailler) Comment garder du lien professionnel malgré le télétravail?

– Éduquer sur la valeur des dérivés du pétrole par exemple les routes (en prendre soin, les réparer afin de préserver ces acquis le plus longtemps possible). Ou encore le plastique utilisé en médecine (les seringues...).

– Définir les secteurs d'activités prioritaires pour l'utilisation du pétrole.

– Refuser dés aujourd'hui les utilisations abusives du plastique.



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– Éric Favre

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?- Film éducatif

- Livres


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Transformer le 11ème arrondissement


SOUDER / RECENSER / IMAGINER / AGIR / BALAYER

Initiateur – Initiatrice du sujet : Grégory et Céline


– Grégory David [email protected]

– Céline Morel [email protected]

– Antoine Cassard [email protected]

– Pierre Finkielstein [email protected]

– Daniel Fernandez [email protected]

– Patrick Alfano [email protected]

– Clara Breteau [email protected]

– Thomas Munier [email protected]

– Jacqueline [email protected]

– Aurélie Briend [email protected]

– Olivier Pastor [email protected]

– Catherine Lefebvre [email protected]

– Jérôme Klur [email protected]

Habitants d'arrondissements voisins intéressés à se joindre au réseau :

– Cécile Pinsart [email protected] (personne contact pour le squat Le rouge et le noir)

– Elise Vertier [email protected]

– Jérôme Veil [email protected]

– Catherine Lefebvre [email protected]

– Anne Catherine Hurault [email protected]

– Julie : [email protected]

– Melissa [email protected]

– Caroline Ganne : [email protected]


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L'atelier « transformer le 11ème » s'inscrit dans la volonté renouvelée d'ancrer les discussions du forum ouvert dans le concret, et à l'échelle de nos territoires. Il fait venir des gens de différents arrondissements : 11ème bien sûr, mais aussi 4è, 12è, 20è, 18è. On s'accorde d'emblée à dire que l'enjeu ici est surtout la mise en place de groupes d'action locale. L'arrondissement n'est pas bien sûr la seule échelle pertinente, mais c'est spontanément celle qui se dégage dans le référentiel parisien. Le groupe évoque l'idée de partir ici du 11ème pour un projet « pilote », réplicable ensuite dans les autres arrondissements cités plus haut représentés parmi les participants.

La réunion s'inscrit sous le signe d'une démarche résolument concrète : une rencontre Colibris 11ème est décidée par les participants comme premier pas de la transformation et de la création du collectif à laquelle ils tendent.

Le groupe débute spontanément par plusieurs témoignages : Le mouvement des Villes en Transition fait partie des principales références, sources d'inspiration mais aussi de méthodologies concrètes, dont Thomas se fait un premier rapporteur. On recueille aussi le témoignage d'Olivier, engagé sur le territoire de Chambéry dans le mouvement des Accorderies, système d'échanges de services entre particuliers à l'échelle locale, utilisant l'outil de la « monnaie-temps ». Antoine évoque le réseau qui s'est formé dans le 18ème, « Paris 18ème en transition ».

Ces témoignages débouchent sur une mise en commun des bonnes pratiques dont chacun a eu connaissance, dans le domaine spécifique de la mise en place de groupes d'action locale. Les indications suivantes sont retenues comme pouvant servir de jalons à la création du groupe du 11ème :

• SOUDER - Commencer par créer un groupe-socle, souder le collectif, par des rencontres informelles et conviviales

Organiser un repas locavore, ou un apéro géant.

◦ Cela permettra de s'assurer de la convergence des membres non pas sur des aspirations isolées mais sur un ensemble de valeurs

◦ L'enjeu de départ principal est la régularisation des rencontres du groupe, et la pérennisation de rendez-vous rituels

◦ L'écueil de la « réunionite » devra être aussi contourné. On tentera de contenter tant les aspirations théoriques que pratiques, les penchants à l'action autant qu'à la discussion.

◦ Les réunions internes pourront s'inscrire dans le cadre de rencontres plus larges, où seront représentées d'autres associations et acteurs de la société civile, si bien que des échanges internes et externes pourront se produire.

Faire des réunions dans la rue, dans des parcs (lieux ouverts)

◦ Des cercles de parole pourront être mis en place, et les outils de la sociocratie et des prises de décision par consentement utilisés

◦ Le recours au TAO, jeu coopératif, est évoqué pour favoriser la création du groupe. Céline, animatrice de jeux de Tao, pourra mettre à contribution ses compétences dans le domaine

• RECENSER - ne pas réinventer la semoule, mais s'inscrire avec intelligence dans le tissu associatif local et les initiatives existantes, en procédant à l'état des lieux des initiatives -

◦ Identifier les acteurs et les réseaux relais sur le 11ème

◦ « Se compter »


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◦ Se livrer à un état des « lieux »au sens littéral du terme - Faire l'inventaire des lieux conviviaux dans le 11ème, pouvant servir d'accueil aux réunions du groupe et aux manifestations pouvant être organisées dans le futur :

▪ Bureau de l'association Colibris rue du Faubourg-saint-Antoine

▪ Squats voisins (squat « le rouge et le noir », nouvellement créé dans le 20è, rue Stendhal)

▪ Régies de quartier

▪ Maisons des associations et centres d'animations

▪ Jardins partagés

• S'IMPLIQUER - Chacun est invité à réfléchir à :

◦ qui il invitera (avec qui?)

◦ aux lieux propices à l'accueil des réunions (où),

◦ aux modes de gouvernance qu'il voudrait y voir pratiqué (comment?),

◦ à la réservation de créneaux sur son agenda - l'idée est lancée de se réunir tous les 11 du mois. Ce chiffre facilement mémorisable et reliable à l'enjeu commun permettra à chacun de prévoir par avance de laisser ces dates libres dans son agenda.

• IMAGINER & VISUALISER :

◦ La société de demain : l'idée est lancée d'un atelier qui viserait à mélanger discussion et pratiques artistiques, et à se servir de l'imagination et de la poésie pour visualiser la société de demain. En effet, Pierre Rabhi met l'accent sur la défense de la beauté et de la poésie. Un atelier a été organisé sur le thème de la poétisation des territoires et de nos quotidiens. Clara et Jacqueline se proposent de travailler à cet atelier. Les méthodes du mouvement « future's history » ou encore les cartes heuristiques pourront être mises à contribution

◦ les futurs projets de transformation à mener par le groupe :

▪ Mise en place d'une monnaie colibris (monnaie affectée) - cf barcamp dédié

▪ Rapprochement géographique des membres et création d'habitats groupés ou « rapprochés » : immeuble en transition, étage en transition, palier en transition

▪ Création d'AMAPs, de coopératives ou de démarches d'achats groupés, de cafés associatifs

▪ Interventions de sensibilisation dans les écoles

▪ Mise en place de jardins partagés

▪ Faire des visites thématiques du 11ème, à destination de tous

• Se mettre en relation avec les réseaux couchsurfing, Vivacités, Sollicités

• Participation à l'observatoire sur la réduction des déchets existant dans le 11ème

• Création d'un Wiki, espace de travail collectif


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• AGIR

◦ Privilégier les « petits pas », dans un premier temps.

◦ L'idée d'aller balayer en groupe est lancée. Balayer non pas devant chez soi mais sur un territoire plus large, pour montrer à quel point l'on conçoit et déploie sa responsabilité individuelle dans un horizon plus large que le bout de son nez, et dans un espace plus large que son pas de porte. Cet acte, utile en soi, sera aussi une sorte de performance pouvant alerter les habitants de son quartier, et mettre en relation les colibris avec tous les tatoos et autres citoyens de l'arche de (Dela)Noe...



OUI


- Grégory


– DVD « in transition 1.0 »

– Manuel de la transition, Rob Hopkins

– Réseau « wiser earth »

– Initative des Accorderies

– Site Paris 18è en transition

– Liste des jardins partagés sur Paris.fr

– Réseau social des colibris : colibris.ning.com

– Projet « une semaine sans écran »

– Projet « future's history »

– Réseaux Vivacités et Sollicités


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Comment sortir de la logique de croissance économique et aller vers une autre croissance ?


Évaluer nos besoins / Évoluer / S'éduquer

Initiateur – Initiatrice du sujet : Anthony Michel


– Jean-Paul Grange – [email protected]

– Marianne Grange – [email protected]

– Jeanne Marclet – [email protected]

– Julie Caudan – [email protected]

– Carrine Maname – [email protected]

– Paul Manier – [email protected]

– Monique Fradot – [email protected]

– Anthony MICHEL – [email protected]


La constatation

• De plus en plus de personnes sont convaincues que la croissance économique n'est plus possible avec la limitation des resssources (pic pétrolier) et les dégats occasionnés par l'effet de serre.

• Si nous ne faisons rien nous allons dans le mur. Certains pensent qu'il vaut mieux attendre que l'on rentre dans le mur pour que les personnes se mobilisent enfin. Mais il nous semble que cette solution « dure » est à la fois risquée (risque de totalitarisme) et coûteuse en souffrance. Nous souhaitons donc une transition douce et non l'attente d'un effondrement général ou progressif qui atteindra en premier les plus démunis.

• Mais l'ensemble de notre fonctionnement économique actuel est fondé sur la croissance. Il faut donc trouver un nouveau type d'économie puis définir comment passer de l'actuel au nouveau. Il est nécessaire de ne pas tout mélanger si nous voulons nous en sortir et bien traiter ces 2 sujets séparément.


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Sujet 1 : Définir une société de non croissance

• Comment définir cette société, cette vision, pouvoir la partager et l'enrichir des apports de tous?

• La nouvelle société ne pourra pas fonctionner si nous consommons comme aujourd'hui. Il est donc nécessaire de définir de quoi nous pouvons nous passer. Mais où mettre la limite et pourquoi ?

• Une limite physique est imposée de toute façon par les resssources disponibles.

• Une limite de sobriété heureuse s'impose à nous car de plus en plus de personnes comprennent que la consommation pour la consommation n'a pas de sens.

• OBJECTIF : que les personnes prennent conscience qu'ils peuvent se limiter dans leur consommation et confronter leurs limites aux limites physique imposées.

• ACTION 1 : lancer une campagne locale dans nos territoires de diagnostic de nos besoins

• COMMENT :

• Version 1/ Créer un sondage formel, l'exploiter et en tirer des informations statistiques à confronter avec le niveau des ressources déterminé par les spécialistes. Il serait intéressant que ce sondage soit diffusé par Colibris, au delà-même des membres de Colibris.

• Version 2/ proposer de manière informelle une auto évaluation aux membres de notre entourage (restreint ou élargi).

• DETAIL de la version 1 : sondage sur papier ou sur site Internet, contenant une liste des besoins de chacun. Cette liste sera constituée à partir de la pyramide de Maslow et des besoins supplémentaires non économiques qui nous importent. Les besoins seront quantifiés. Le sondage devra exprimer non pas la consommation/l'existant actuel(le) mais le seuil viable selon eux. A la suite du traitement du sondage, les besoins ayant été exprimés, il conviendra de les confronter aux ressources disponibles.

• Les besoins évoqués en séance, mais qui ne constituent pas une liste exhaustive sont l'alimentation, la santé, le logement, l'éducation, les liens (bienveillance), prendre le temps.

• BRAINSTORMING,ACTIONS DIVERSES : recréer son emploi, prendre exemple sur l'Argentine, exploiter l'expérience d'entreprises locales, coopératives, pépinières, entretenir l'existant, lutter contre l'obsolescence programmée, qproduire des objets alliant le beau, l'organique, le réparable, le solide et à un prix accessible pour tous.

Sujet 2 : Définir la transition entre notre société actuelle et cette société de non croissance

• A TRAITER


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X OUI


- Anthony MICHEL – [email protected]

- Jean-Paul GRANGE – [email protected]


– Gilles Clément : l'Homme Symbiotique (Livre)

– Growth Busters (Film qui va sortir aux USA le 20/11)

– Colloque ouvert à Lyon : Comment sortir de l'industriel (Semaine prochaine)

– www.WiserEarth.org : réseau social associatif pour le social et l'environnement


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25 000 candidats !


................................../ …............................. / ….........................

Initiateur – Initiatrice du sujet : Olivier Maurel

Olivier MAUREL [email protected] Paris Oliv20 (twitter)

Eric PARENT [email protected] Montmorency

Patrice LEVALLOIS [email protected] Paris

Eric BENQUE [email protected] Paris

Olivier MASSICOT [email protected] Aouste sur Sye Drome


Virginie Pré [email protected]

Cyril Dion [email protected]

Loïc Schrobiltgen [email protected]

Sophie Schrobiltgen [email protected]

Jérôme Veil [email protected]

Frédéric Roux [email protected]

David Ménange [email protected]

Patrice Levallois [email protected]

Françoise Caron [email protected]

Eric Benqué [email protected]

Marie-Laure Wieser [email protected]

Franck Genissel [email protected]

Héloïse Liagre [email protected]

Olivier Massicot [email protected]

Carine Brisbois [email protected] (photographe)

Marie-Dominique Dhelsing [email protected]

Éric Parent [email protected]

Olivier Maurel [email protected]

Céline Morel [email protected]


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Nos déclics individuels pour « être candidat »

– des copains / amical

– on est plus nombreux que ce qu'on croit (se compter, se voir)

– envie de m'engager (ma mère)

– concrétiser nos engagements / mise en actes

– faire entrer la démarche dans le champ politique

– l'union fait la force x É

– diversité

– mon savoir faire, mes talents, au service de ce qui m'intéresse

– faire émerger l'intelligence collective dans le quotidien x 2 (dégonfler les égos)

– l'espace Colibris = un bel espace

– en accord avec mes valeurs : co-responsabilité

– une évidence

– enfin une opportunité innovante de m'engager

– appelée pour le tournage via facebook

– une opportunité de reprendre le pouvoir (ne pas subir)

– être acteur

– générateur de joie

– les choses sont possibles

– le clip m'a donné l'envie de (la pêche)

– spirituel : aller vers le meilleur de soi

Nos rêves :

– Être un million de colibris d'ici avril (pour pouvoir proposer une initiative citoyenne européenne au parlement européen / un projet de loi)

– Être tous des colibris : 7 milliards d'êtres humains

– Être européens / international / connecté aux autres mouvements

– Une ville Colibri aux prochaines municipales

– 400 / 500 000 pour faire basculer les choses →faciliter l'atteinte d'un champ de conscience

– Être un million – un minimum

– Que tous les êtres humains soient heureux sur Terre

– Qu'en 2012, la France ait et soit un exemple de gouvernement participatif → atteindre 15 millions de français qui votent colibris pour lui donner l'accès à la gouvernance

– Une campagne globale « Tous candidats »


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– Reprendre le pouvoir

– Ressenti

Les « déclics » sont nos moteurs d'engagement et les « rêves » représentent notre objectif

Rendre possible les rêves :

Les freins

– peur de la photo / la photo comme une première étape bloquante

– peur de l'utopie

– ne pas savoir à quoi je m'engage / à quoi ça sert

– être seul dans mon coin

– ne pas avoir les moyens, l'argent

– peur de la récupération

– où est la place de l'action concrète dans les forums ouverts

– et après les présidentielles?

– ne pas avoir l'info sur l'existence et la tenue des forums ouverts

– ne pas savoir ce qu'est un forum ouvert?

– L'inertie à rentrer dans l'action

Les boosters ou pistes d'action

– facebook avec un making-off, des news, des infos à réutiliser, des brèves...

– mails

– groupes linkedin, viadeo

– une appli smart phone

– forums internet (en parler, faire boule de neige)

– diversifier les outils

– la presse, les grands médias (cf aufeminin.com)

– encourager le financement participatif (Babel...)

– contacter mon public, mes contacts, mon entourage

– faire un meeting, un apéro avec des copains, collègues

– réseaux : cibler les attentes de chaque cible (ex : les créatifs culturels) / impliquer les réseaux (ong, syndicats, medef)

– un engagement groupé (dès 10 personnes, on agit)

– des événements populaires interpellant (cf les indignés) en positif et constructif

– des formes ludiques et participatives pour les événements


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– organiser une caravane colibris : mini concert, artistes engagés (tour de France)

– s'appuyer sur des systèmes incitatifs

– événements, ateliers avec du concret, faire naître des engagements concrets

– faire un grand jeu des Colibris avec monnaie complémentaire et gouvernance participative

– les lundis Colibris : faire ses affiches sur place et obtenir des infos sur « Tous Candidats »

– collecter de l'argent lors des événements

– un jour précis, (à fréquence régulière), les candidats font campagne (dans la rue, sur les marchés, leurs réseaux...)

– messages : rendre audible, clarifier, utiliser la bonne terminologie,être pour (ne pas être contre), plaisir, fête, jeux, trouver un style, être transparent (sur l'argent notamment), montrer la diversité (tous les milieux), dire l'indépendance de Colibris, passer le message « c'est ma campagne »

– mettre plus en exergue la place des forums : valoriser ce qu'il est, parler d'une expérience citoyenne, le rendre plus visible sur les outils de communication

– donner des exemples d'actions abouties

– accompagner l'après forum ouvert, l'après élections

– une personne qui recense les actions au niveau global

– trouver une personne qui peut diffuser à tous les Français

– entre nous (ce groupe) : un google group entre nous et se réunir sur Skype

– demander aux personnes quels sont leurs freins

– rentrer chaque lundi en campagne

Les ressources

– Gaëtan Roussel (ami de sa tante)

– internet viral

– la presse, les grands médias

– des gens connus

– JR photographe : 6 semaines avant les élections, collage massif des portraits des candidats dans la rue

– Jérôme comme ressource pour événements « pas que avec la tête », corps, danse, décaler l'expérience de la tête vers le corps

– Fondapol : Dominique Reynié

– aufeminin.com : Patrice

– Une communication de qualité (face face)

– Art Of Hosting AOH pour l'international : réseaux pratiquant facilitateurs

– les Amanins : organisation d'une expérience citoyenne : Olivier

– Faciliter le micro paiement : 1, 2, 3 euros, en versement ponctuel


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En conclusion :

« T'es chaud, t'as la côte

pourquoi t'as les chocottes?

Tes bises ont la côte

elles craquent comme des biscottes (crac crac)

Allez, lance toi

Deviens un candidat »



OUI


- voir la liste de répartition des tâches


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Éduquer à la joie!


Accueillir / Se) relier / Créer

Initiateur – Initiatrice du sujet : Antonella & Lise


André – Annick – Murielle – Michel – Christine – Charlotte

Marie-Agnès – Emma – Antonella - Lise


La joie c'est quoi ?- Gaudium (Latin) + jug (Sanskrit) = le LIEN

– L'énergie

– L'ouverture

– Le sourire, le rire

– L'élan de vie

– Dans le corps, dans le cœur

– Le feu qui nourrit

– La paix

– Le contact avec l'intemporel, l'instant présent

– L'unité

– Se relier

– Un appel au don, une offrande

– De l'intérieur à l'extérieur

– Une guérison

– La capacité d'accueillir

– Le passage du « je » au « nous »

– Une bénédiction, le sens du sacré, rendre grâce (spiritualité)


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Quels freins, quels obstacles ?

– La programmation par les autres (cadre, structure...)

– Le programme proclamé comme nécessaire

– L'éducation au sens négatif : conformisme, conformité

– L'acquisition de modèles de comportement préétablis, les moules, les images, les rôles

– La conception selon laquelle être adulte = être sérieux, on s'éloigne de la légèreté, de la joie

– Perdre l'instinct de révolte, de « guerre », la barrière de protection personnelle

– Ne plus répondre, ne plus porter sa responsabilité

– Perdre de vue son potentiel, son histoire personnelle

– La négativité, l'absence de valorisation de ce qui est bien, positif

– Le jugement

– Perdre de vue son « enfant » intérieur

– Le culte de la réussite au sens « performance » / la peur de l'échec

Que faire ? Comment faire ?Individuellement

– Accomplir un travail personnel, se faire accompagner

– Accueillir ce qu'il y a en nous, redécouvrir l'enfance

– Voir et faire la paix avec ses souffrances, apprendre à en tirer une créativité pour soi

– Reprendre contact avec sa source, se reconnaître

– S'exercer à ressentir l'émotion de la joie

– Conserver et développer sa capacité à rêver, jouer, rire et sourire

– Cultiver la joie à partir de là où il y a déjà du plaisir, du beau

– Apprendre à parler avec son corps, avec son cœur

Collectivement

– Mettre en œuvre un exemple en France (école, formation, réseau...)

– Former les formateurs!

– Organiser des assises de la joie

– Favoriser l'expression artistique (chant, danse, expression corporelle, peinture...) à l'école et en dehors

– Établir des troncs communs d'enseignement sur les cultures au niveau international


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OUI


– Antonella Verdiani

– Lise Gallois

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?Livres & revues- « Une vie bouleversée », Etty Hillesum

- « Souviens-toi de ta noblesse », Marie Milis

- « Une passion », de C. Singer

- « Et si on choisissait d'être heureux », de Dominique Chapot

- Revue Internationale de Sèvres sur l'Education (voir numéro de septembre 2011 sur « Plaisir et Ennui à l'école »)

- Le Seigneur de la Danse, essai sur la joie de vivre (J. Moltmann)

Films- « La vie est belle », de R. Benigni

Internet- Blog de Bruno Giuliani (Nice, philosophie du bonheur)

- Blog de Pierre Rabhi

- www.printempsdeleducation.com (comporte des références à de multiples sites et blogs)

- www.educationalajoie.com (notamment exercices)

Ecoles- Ecole du Colibri (Isabelle Peloux, Amanins)

- Living School (Caroline Sost, Paris, projet de 150 écoles en France)

- Ecole de Sophie Rabhi

- Ecoles Krishnamurti (Brockwood, Rishi Valley...)

- Montessori, Steiner...

- Réseau des écoles alternatives eudec


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Réseaux- Happylab (Paris)

Organismes- Observatoire International du Bonheur (OIB) à Montpellier

ENJOY !!!


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Autonomie alimentaire


Semer / Consommacter / Apprendre

Initiateur – Initiatrice du sujet : Gildas


– Xavier de Catheu

– Sylvie de Miramon

– Gildas

– Éric

– Dominique Fonbonnat

– Camille Hoornaert

– Claude Henry

– Chansamone Voravong

– Cécile Pinsart

– Et autres invités à se faire connaître...


L'approche de la problématique :

1) appréhender la question de l'autonomie alimentaire à différents échelons : familial, local (quartier, ville), national et global

– la question des grandes villes : par exemple la région parisienne n'a que quatre jours d'approvisionnement d' avance. La création de ceintures vivrières autour des grandes villes

– l'autonomie alimentaire c'est à la fois une question de production et de distribution; comment relocaliser la production? Les surfaces nécessaires pour produire l'alimentation pour une famille : de 400 m2 à 1 ha selon les études. En Angleterre, une étude montre qu'il y a assez de surfaces disponibles pour nourrir toute la population autour des villes (étude TOTNES sur la transition des villes). Le développement des AMAP est une grande réussite en France. Peut-on assurer l'autonomie alimentaire des grandes agglomérations? Faut-il « raser les banlieues »? réduire les villes? ... comment défendre les terres agricoles (problème du foncier)?


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– Les peuples ont perdu la capacité d'être autonomes alimentairement : modèles de développement de la production alimentaire dans les pays pauvres copiés sur le modèle occidental avec comme objectif d'abord de faire croître le PNB comme au Laos par exemple où la population était autonome alimentairement auparavant.

2) arbitrer entre alimentation d'origine animale et d'origine végétale, la première nécessitant beaucoup plus de surfaces et de ressources à apport nutritionnel équivalent. Quid de la ressource constituée par le gibier naturel? Dans certains pays, les plus pauvres trouvent leur apport en viande grâce à la chasse. Il faut aussi préserver la ressource halieutique, le poisson étant dans certains pays la principale source d'alimentation (cf catastrophe de Fukushima).

4) rendre accessibles les techniques et savoir-faire pour développer et pérenniser la production potagère, qui ne sont plus transmis (60% des Français s'engagent dans la culture d'un potager, la moitié abandonne après une saison!). Cultiver son potager n'est pas seulement produire de quoi se nourrir, c'est aussi échanger, partager, s'insérer dans une communauté, être valorisé...

Pistes d'action :

1) l'espoir viendra de l'éveil des consciences, oublier de la croissance et du PNB, se recentrer sur l'essentiel.

2) Travailler avec les paysans (cf AMAP) pour proposer des actions de transformation

3) Autoriser et promouvoir l'échange des semences issues de la production paysanne pour s'émanciper du pouvoir des semenciers et pour protéger la biodiversité. C'est hors-la-loi mais il faut le faire! (Kokopelli le fait)

4) se reconnecter avec la nature en faisant des petits gestes : semer, cultiver, même sur son balcon.

5) Développer les réseaux d'achats groupés.

6) Faire des stages agroécologie/cuisine et bien-être (Terre et humanisme) ou de permaculture (ferme du Bec Hellouin), qui a un rendement 4 fois supérieur à l'agriculture conventionnelle (site « brin de paille »).

7) rester cohérent, s'informer sur ce qu'on mange, sur ce qui est de saison ou pas, importé ou pas... faire attention aux effets pervers que peut avoir l'augmentation de notre consommation : l'intensification de certaines cultures bio (ex : quinoa) ou médicinales. Consommer en priorité local! Réfléchir sur « l'industrialisme » en matière alimentaire. (colloque co-organisé par « science et citoyenneté » et « ligne d'horizons »). « Acheter, c'est voter »

8) responsabiliser les multinationales de l'agroalimentaire concernant la souveraineté alimentaire des pays du Sud.



OUI NON


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Comment sortir nos réflexions du cadre francophone sans se soumettre à un système élitiste

et cuturellement hégémonique ?


Interpréter / Communiquer / Partager

Initiateur – Initiatrice du sujet : Guillaume Armide

Participant-e-s de la discussion :

• Philippe Racan

• Tapas Bhatt

• Fabienne Vergnes

• Mélika Argoub


Interrogations

• Pendant que j'agis localement, est-ce que je n'oublie pas de me relier au reste du monde ?

• Où en est la réflexion à l'étranger ? Qu'en sont les contenus, les idées ?

• Pierre Rabhi est-il traduit dans d'autres langues ? Existe-t-il un « Pierre Rabhi suédois », un « Patrick Viveret péruvien » ? Que disent-ils ?

• Comment resserrer le contact avec les autres acteur-trice-s de la planète ?

• En quelle langue je rêve ?

Constats

• Les ouvrages issus des circuits d'édition classiques sont édités dans des langues privilégiées par leur nombre de locuteur-trice-s. Six langues sur les 7000 parlées sur la planète se partagent la moitié des contenus internet.

• Certains peuples minoritaires refoulent leur propre langue et leur propre culture parce que le système privilégie une langue pour accéder à un statut social décent. Exemple : les anciennes colonies qui souffrent encore de la prédominance du français, de l'anglais etc. Il en résulte une perte de diversité linguistique et culturelle.

• La Langue maternelle est très importante.


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• Actuellement, afin de faire prospérer les richesses culturelles de l'Inde, On recherche des traducteur-trice-s sachant adapter les œuvres littéraires indiennes, d'une part, dans les 16 langues officielles du pays, d'autre part, vers les langues étrangères autres que l'anglais (le français, notamment). Cette démarche est identifiée comme un réel mouvement.

• Pour accéder à d'autres cultures, les langues représentent clairement des barrières dans un monde où pourtant, la technologie (internet, transports) permettrait une vraie et belle reliance planétaire.

• L'ouverture à la culture de l'autre, à la langue de l'autre peut être vécu comme une menace (invasion, dominance) ou comme une chance (échange, enrichissement). Cela relève du choix individuel.

• A Auroville s'opère actuellement une forme d'exclusion par privilège accordé informellement à l'anglais. Idem dans les institutions Européennes. Idem dans le monde.

• Une langue ethnique ne se diffuse jamais sans imposer un modèle culturel, voire un mode de pensée.

• La langue planifiée espéranto est aujourd'hui bien vivante et met en lien des citoyen-ne-s du monde entier sans hégémonie, sans élitisme et en toute neutralité qu'elle soit d'ordre culturel, politique, religieux, économique... Elle est sans doute une des meilleures candidates dans le cadre de tout type d'échange interculturel (coopération, collaboration, coproduction...) s'étendant à plus de deux cultures différentes. Sa facilité d'apprentissage en fait un instrument de communication hautement démocratique.



OUI


• Guillaume Armide


• Le Défi des Langues, du gâchis au bon sens , Claude Piron, Ed. L'Harmattan

• Auteur : Shri Aurobindo.


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Rêver et créer un lieu alternatif de vie et d'échange sur un territoire à la croisée des départements 77, 94 et 91


Imaginer / Créer / Coopérer

Initiateur – Initiatrice du sujet : Julia et Stéphane


- Julia

- Stéphane


Co-construire un lieu de vie dans le respect de la terre et de l'humain.Ce lieu existe déjà en partie!

Nous avons proposé tard l'atelier (initiative originale de Julia)... personne n'est venu d'autre que nous deux. C'était l'occasion pour nous, qui avons rarement l'occasion de se voir en ce moment, de commencer à poser ensemble nos idées et nos envies, dans le but de les faire émerger dans la réalité. Et si d'autre personnes s'y rallie, tant mieux...

A la fin nous avons relié ce rêve avec une initiative actuellement en cours sur notre territoire.

Les activités envisagées :

- Production alimentaire en agro-écologie (vente en Amap et jardins partagés)

- Jardins pédagogiques intergénérationnels

- Éducation alternative pour les enfants

- Culture pour tous et par tous (créations, moments festifs, spectacles, projections, débats)

- Eco-construire ensemble des lieux de vie pour des groupes et des familles

Le fonctionnement/ le comment :- Utiliser, expérimenter les outils d'Intelligence Collective (consensus, sociocratie, Forum Ouvert ...)

- Ouvert à toutes les bourses avec l'aide d'une monnaie alternative (unité de temps?) et du troc.

- En lien et en interaction avec les acteurs locaux

- Solidarité entre parents et/ grands-parents pour s'occuper des enfants


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- Partage des savoirs et co-formation

- Acheter à plusieurs un terrain (en coopérative?) ?

….

Au cours de la discussion, nous nous sommes perçus qu'une partie de ce projet était déjà en élaboration concrète à Mandres-les-Roses (sud 94) avec l'association « les Jardins de Thélème » (le blog : http://lesjardinsdetheleme.wordpress.com), dans lequel Stéphane est jardinier-salarié.

Cette association, fortement influencée par les idées défendues par Pierre Rabhi et les mouvements qui lui sont liés, inclut déjà dans sa raison d'être (statuts) la plupart des valeurs évoquées lors de notre « brainstorming ». Elle produit déjà des légumes pour deux groupes de consommateurs en AMAP (Mandres et Sucy), et souhaite développer de plus en plus un accueil « pédagogique » intergénérationnel autour du jardinage écologique, de l'écologie de manière générale, et de l'échange humain local et de la culture de manière encore plus générale.

Existe également déjà : le travail en collaboration avec l'ESAT et un IME de Brunoy, les visites pédagogiques du jardin (porte ouverte), le troc (coups de mains contre légumes et connaissances du jardinage), production agro-écologique peu mécanisée avec utilisation de mulch, fêtes au jardin avec musicien autour d'un feu, évolution-réflexion des pratiques de gouvernance (actuellement pas de chefs parmi les jardiniers-salariés, mais des responsables d'ateliers), travail avec des stagiaires issus de la formation en maraîchage biologique (BP-REA au CFPPA de Brie-Comte Robert) par où tous les jardiniers salariés actuels sont passés.

Cette association vie actuellement sur un terrain d'1,5 ha, louée à l'ESAT de Rosebrie jusqu'en 2016 au moins (fin du bail actuel reconductible si accord). Elle a le mérite d'exister. Elle nous apparaît comme une occasion de confronter concrètement nos rêves avec la réalité, une occasion de se rapprocher de plus en plus de nos idéaux, ici et maintenant, quelque part en Ile de France.

Un lieu ouvert à toutes les bonne volontés. Une étape sur le chemin qui mène à notre rêve originel.



OUI


- Stéphane

- Julia

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?- http://lesjardinsdetheleme.wordpress.com


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Cultiver la ville


Végétaliser / Partager / Se réapproprier

Initiateur – Initiatrice du sujet : Raphaël et Sébastien


- Camille ([email protected])

- Florence ([email protected])

- Camille ([email protected])

- Jean-Paul ([email protected])

- Maud ([email protected])

- Éric ([email protected])

- Caroline ([email protected])

- Fantine ( [email protected])

- Raphaël ([email protected])

- Céline ([email protected])

- Sébastien ([email protected])

- Song Tan ([email protected])

- Arnaud ([email protected])


Pourquoi des jardins en ville?

– Végétaliser la ville, pour développer la biodiversité, réduire la température de la ville, améliorer la qualité de l'air (réduire la pollution, fixer les poussières, santé, réguler l'humidité etc.)

– Revitaliser les friches (bords de voies férrées, routes,...)

– Brassage social (intergénérationnel, culturel, entre classes... )

– Relocaliser la production alimentaire,

– Viser l'autonomie alimentaire,

– Réinsertion (jardins de cocagne...). Le travail de la terre, comme première étape pour la réinsertion dans le monde du travail;


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– Sensibiliser sur les sujets écologiques, éveiller les esprits;

– Créer des espaces de liberté, expression et création;

– Plaisir;

Comment ?

– trouver des lieux, de l'espace,

– choisir son modèle de jardin (gestion et technique culturale) : Jardin partagé (avec parcelles collectives et/ou individuelles), Jardin d'insertion, Jardin pédagogique,

– s'approvisionner : terre, ressources; ou apprendre à s'en affranchir;

– adapter les techniques : permaculture, cultures en lasagne, jardins en carré,

– glanage pour le compost (des restes végétaux sur les marchés, après les glaneurs alimentaires, centres équestres,

– se former aux techniques,

– animer et assurer le suivit,

Avec qui ?

– concilier des intérêts différents (subsistance, détente, militantisme,...). Les habitants modestes voient en effet le jardin comme un moyen de subsistance et privilégient les parcelles individuelles pour maîtriser les productions et les récoltes;

– Identifier les compétences intra et interjardin et favoriser les échanges. Car les savoirs-faires sont souvent éparpillés et/ou perdus;

– proposer des ateliers pédagogies et découverte avec les enfants. Ex : Maison pour l'éveil à la nature; maison des enfants (centre de loisirs à Grigny)

Projets concrets envisageables :

– Créer un annuaire des compétences au niveau régional;

– Développer des composts municipaux, prenant en charge notamment les déchets végétaux des marchés et les mettre à disposition des particuliers, des jardins;

– Aller au delà du jardin partagé et développer les cultures dans l'espace public, les espaces verts, les toits, les friches et les délaissées, en s'appuyant sur la concertation locale;

– Développer le concept de ville comestible, à travers la diffusion de vergers urbains (arbres frutiers, muriers, en libre accès);

– Faire des jardins partagés des supports privilégiés de diffusion d'information, des lieux de débat sur les enjeux écologiques (projection de film, conférences, etc.).

– Faire des jardins partagés des lieux de co-création et échange de projet;


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OUI

Qui animera cette thématique sur le réseau social Colibris ? - Sébastien et Raphaël

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?- graine de jardins,

- jardinons-ensemble,

- etc.


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Société civile et tri-articulation de l’organisme social


Constater / Connecter / Encourager

Initiateur – Initiatrice du sujet : Clément

Participants de la discussion : Arthur, Brigitte, Sébastien, Mia


Le thème principal de cet atelier était de voir comment les idées théoriques contenues dans le principe de la tri-articulation sociale peuvent s’incarner dans nos actions individuelles dans le cadre de cette transformation des territoires à laquelle nous voulons œuvrer.

Seule Mia connaissait déjà le sujet, elle est membre de l’association ATOS (alliance pour la tri-arti-culation de l’organisme social).

Nous avons commencé par nous demander comment nous pouvions nous représenter la société aujourd’hui. Sébastien, Brigitte et Arthur ont formulé des réponses différentes. Il est apparu qu’il n'était pas facile d’identifier les différents types d’acteurs.

Nous avons alors regardé la société sous l’angle de la tri-articulation, à savoir une organisation de l’organisme social en trois grandes entités autonomes, complémentaires et coopérantes dans un but commun: la bonne santé de l’organisme social.

Ces trois pôles sont:-la vie économique-la vie juridico-politique-la vie culturelle

Pour une présentation plus intéressante de ces trois sphères d’acteurs ou d’activités, voici une partie de la plaquette réalisée par l’association ATOS:


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Nous pouvons alors nous représenter la situation actuelle de la manière suivante:

La transformation vers une société saine pouvant alors se représenter de la manière suivante:

Il apparaît ainsi qu’un acteur de la société civile tout comme un acteur de la sphère politique ou économique qui tente de s’impliquer dans la transformation de la société doit envisager son action à travers des dynamiques de communication envers les deux autres sphères d’activités. Très schématiquement, une société civile qui tenterait de s’imposer sans chercher de complémentarité ni de coopération avec l’Etat ou le Marché ne s'inscrirait pas dans un processus de reliance sociétal. Bien au contraire, d’après ce modèle la société civile peut émerger en tant que troisième acteur et apporter au tabouret aujourd’hui chancelant de la mondialisation son troisième pied stabilisateur si elle se construit dans une dynamique de co-construction, de communication et de coopération avec les acteurs économiques et politiques. Les 3 sphères ne sont pas ennemies ou adversaires mais co-partenaires dans l’organisation d’une vie saine de la société.



OUI


sphère culturelle

sphère économique sphère politique

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Qui animera cette thématique sur le réseau social Colibris ? - Clément ([email protected])

Quelles ressources (livres, sites internet, articles, …) pour nourrir la discussion ?- Le triple aspect de la question sociale, Rudolf Steiner

-Theory U, C.O. Scharmer (bientôt disponible en français)

- La société civile: le 3ème pouvoir. Changer la face de la mondialisation, Nicanor Perlas

- http://atos.ouvaton.org


Documents

Comment amplifier la transformation de nos territoiresapi.ning.com/files/SRZYboUXFlqzn4OV2HhMFN59ZtJLHltQ2sljrxeK3... · Rapport de discussion n°22 : « Le temps des consciences