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Societe d’Etudes Latines de Bruxelles Catalogue of Engraved Gems, Greek, Etruscan and Roman by Gisela M. A. Richter Review by: M. Leglay Latomus, T. 16, Fasc. 2 (Avril-Juin 1957), pp. 416-420 Published by: Societe d’Etudes Latines de Bruxelles Stable URL: http://www.jstor.org/stable/41518624 . Accessed: 15/06/2014 21:08 Your use of the JSTOR archive indicates your acceptance of the Terms & Conditions of Use, available at . http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsp . JSTOR is a not-for-profit service that helps scholars, researchers, and students discover, use, and build upon a wide range of content in a trusted digital archive. We use information technology and tools to increase productivity and facilitate new forms of scholarship. For more information about JSTOR, please contact [email protected]. . Societe d’Etudes Latines de Bruxelles is collaborating with JSTOR to digitize, preserve and extend access to Latomus. http://www.jstor.org This content downloaded from 188.72.127.150 on Sun, 15 Jun 2014 21:08:06 PM All use subject to JSTOR Terms and Conditions

Catalogue of Engraved Gems, Greek, Etruscan and Romanby Gisela M. A. Richter

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Societe d’Etudes Latines de Bruxelles

Catalogue of Engraved Gems, Greek, Etruscan and Roman by Gisela M. A. RichterReview by: M. LeglayLatomus, T. 16, Fasc. 2 (Avril-Juin 1957), pp. 416-420Published by: Societe d’Etudes Latines de BruxellesStable URL: http://www.jstor.org/stable/41518624 .

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Entre Bocchus I et Bocchus II, j'intercalerais un premier Bogud. - P. 34. n° 35, lire : flanc du cheval ; p. 44, ligne 4, lire : Scaurus ; p. 49, ligne 19, lire : le qualifie ; ligne 22, lire : Pétreius ; ligne 27, lire : n'y réussissant pas ; p. 77, n° 426, lire (révolte des Gétules) ; p. 132, n° 426, lire : une divinité Cérès ; et quelques autres lapsus.

R. Thouvenot.

Gisela M. A. Richter, Metropolitan Museum of Art, New- York. Catalogue of Engraved Gems , Greek , Etruscan and Roman (Rome, Bretschneider, 1956), xlii-144 pp., in-4°, 75 pll., 9000 lires.

La Glyptique est peut-être un art mineur, c'est sûrement une science difficile et qui exige, outre un goût délicat, des connaissances très variées non seulement d'histoire générale, mais d'archéologie, de mythologie, d'histoire des religions, d'histoire des idées et de l'âme antiques.

C'est sans doute en partie à cause de la complexité de leur étude qu'avant de s'occuper des pierres gravées, Melle Richter - qui fut longtemps conservatrice des Antiques au Metropolitan Museum of Art - s'est intéressée d'abord à la sculpture et à la céramique, ce qui nous a valu de nombreuses et précieuses publications de détail et de non moins utiles catalogues des collections de ce grand Musée. Ses recherches sur l'art grec archaïque, sur la sculpture et les sculp- teurs de la Grèce, sur les portraits romains, sur les vases à figures rouges, sur les animaux - pour ne citer que les principales - l'ont en quelque sorte préparée à l'étude de la glyptique. En vérité, dès 1920, Melle Richter avait publié un Catalogue of engraved gems of classical style in the Metropolitan Museum . Ce n'était pas - le titre l'indique - un catalogue général. Celui-ci devenait d'autant plus indispensable que, depuis lors, les collections du célèbre Musée new-yorkais se sont beaucoup enrichies (p. ix). Le nouveau cata- logue n'est pas non plus exhaustif ; il est une « representative selec- tion » de 658 pièces, mais il couvre une période fort étendue et une production multiforme qui va des intailles gravées dans le style géométrique du vine s. av. J-G. jusqu'aux camées romains du ive s. de notre ère. Autant dire qu'il permet de retracer l'évolution de l'art de la glyptique ancienne, ce que l'auteur ne manque pas de faire avec précision et autorité.

Dans une solide introduction à laquelle on aura désormais le plus grand intérêt à recourir, Melle Richter, partant des documents eux- mêmes et des textes des auteurs anciens rappelle d'abord les diffé- rents usages des gemmes chez les Grecs et les Romains, qui les uti- lisaient comme cachets, comme bijoux et aussi comme amulettes. Quel qu'en soit l'emploi, on conçoit que le choix des dessins impor- tait beaucoup, autant que la matière même de la pierre. Et ces choix sont souvent riches d'enseignements. Sans doute ni la forme d'un bijou, ni sa décoration ne peuvent autoriser à tirer des conclu-

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sions sur les idées religieuses de la personne qui le porte. Bien des femmes ornent aujourd'hui leur poignet ou leur cou d'une croix d'or sans être pour autant de pieuses fidèles du Christ ; la mode joue aussi son rôle. Cela dit, il n'est quand même pas indifférent de voir les scènes dionysiaques, les Ménades, les canthares se multi- plier sur les gemmes du ive s. av. J-C. ni les divinités égyptiennes apparaître sur les intailles de l'époque hellénistique (ni® - 11e s). A ce point de vue - comme le note justement l'auteur (p. xxi) - intailles et camées offrent une variété de sujets bien plus riche que les monnaies. Après quelques pages sur la technique de la gravure des gemmes, Melle Richter présente les différentes sortes de pierres utilisées comme intailles et comme camées parles Grecs et les Romains ; elle en dénombre 23 sortes ; certaines, il est vrai, d'usage assez rare. Viennent ensuite des remarques sur la faveur des gemmes dans l'An- tiquité, au Moyen âge et jusqu'à l'époque contemporaine, jusqu'à l'étude fondamentale de Furtwängler, Die Antiken Gemmen , Ge- schichte der Steinschneidekunst im klassischen Altertum , parue en 1900 : remarques pleines d'intérêt, un peu brèves cependant, sur- tout pour le Bas-Empire romain, où l'on aurait aimé trouver quel- ques détails par exemple sur les gemmes magiques dont Proclus donne la liste et qui jouaient comme oré^/toAa, à côté de certains animaux et de certaines herbes, un rôle si important dans la thé- urgie, dont le succès fut réel aux ive et ve s., grâce sans doute au patronage impérial de Julien l'Apostat (*). Enfin pour terminer son introduction générale, l'auteur traite des graveurs et donne par époque une liste infiniment précieuse de leurs noms, tels que nous les ont transmis les auteurs anciens et surtout leurs propres signa- tures gravées sur leurs œuvres (2).

L'essentiel du livre est, comme l'annonce le titre, consacré au Catalogue des pierres. Celles-ci sont groupées chronologiquement et, à l'intérieur de chaque tranche chronologique, par sujets. Les pé- riodes étant déterminées surtout par le style des gravures et le choix des sujets, accessoirement par la morphologie des pierres, et Melle Richter ayant pris soin de préciser au début de chaque chapitre les caractéristiques des périodes envisagées, avant de décrire les pierres

(1) Cf. l'article de E. R. Dodds, Theurgy and its relationship to Neoplatonism dans J.R.S. , XXXVII, 1947, pp. 55-69. Sur l'emploi des gemmes comme amu- lettes, Mlle Richter a, il est vrai, renvoyé à juste titre à l'ouvrage capital de Campbell Bonner, Studies in magical amulets , chiefly graeco-egyptian, 1950 ; voir l'important compte rendu de A. J. Festugière dans Classical Philology , 46, 1951, pp. 81-92.

(2) Après avoir remarqué que tous les noms de graveurs connus sont grecs, Mlle Richter relève (p. xxxin) quelques praenomina latins (écrits en grec) puis Saturninus « le seul nomen latin de graveur de gemme », d'ailleurs écrit en grec lui aussi. Signalons simplement que Saturninus ne peut être autre chose qu'un cognomen .

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une à une, on a la nette impression, en fermant le livre, d'avoir suivi toute l'histoire de la glyptique ancienne.

Sans prétendre analyser dans le détail chacune des phases de cette évolution, on voudrait en extraire quelques points particu- lièrement importants. On sait que dès l'époque mycénienne la gravure sur pierres dures fut pratiquée dans tout le monde grec. Si au vine - début vne s. (période de l'art géométrique), les traditions mycé- niennes survivent surtout dans les gravures des gemmes insulaires, les influences orientales sont aussi marquantes dans la glyptique que dans la céramique ; à côté des motifs linéaires on voit se dégager peu à peu des végétaux, des animaux et des personnages humains. Les gemmes sont alors utilisées avant tout comme cachets.

Tandis que les pierres gravées gréco-phéniciennes des vie-ive s., pour la plupart trouvées dans les cimetières carthaginois de Sardaigne, sont des amulettes, dont le style et les motifs trahissent un mélange d'éléments orientaux et grecs archaïques. La forme la plus courante est le scarabée, que les Phéniciens ont emprunté à l'Égypte, où l'on voyait en lui « le symbole de la transformation permanente des choses et, par conséquent, de la négation de la mort » (*). Les pouvoirs protecteurs du scarabée s'ajoutaient ainsi à ceux des dessins gravés au revers, qui avaient eux-mêmes, la plupart du temps, un carac- tère prophylactique.

La période archaïque grecque (vers 600-480) est marquée au con- traire par la disparition du caractère religieux du scarabée qui n'a plus qu'une valeur ornementale. C'est aux monnaies qu'il faut main- tenant comparer les gemmes, sur lesquelles apparaissent les dieux et les héros de la mythologie, en particulier Héraklès, aussi souvent représenté sur les intailles que sur les vases attiques contemporains.

Les vie-ve-ive s. constituent, tant au point de vue technique qu'ar- tistique, l'acmè de la gravure sur pierre dure. Mais parvenu à son apogée, cet art ne se fige pas. Au contraire, à l'intérieur même de la période classique (ve-ive s.), tout évolue : le scarabée fait place au scaraboïde ; l'intaille sert toujours de cachet - mais de plus en plus se répand chez les femmes de l'aristocratie son emploi comme bijou. De là l'apparition, parmi les sujets favoris, de thèmes nou- veaux, en particulier des scènes de la vie quotidienne des femmes riches : le bain, la musique, etc... Les sujets religieux sont toujours nombreux, mais aux héros de la mythologie tendent à se substituer les divinités poliades (Athéna), Aphrodite, Nikè et les membres du thiase dionysiaque.

A la catégorie des gemmes dites « achéménides » ou « gréco-perses » (vers 450-330) appartiennent plusieurs pierres qui représentent le plus souvent soit des scènes de chasse soit des scènes de combat entre grecs et perses. Il est bien difficile de savoir s'il s'agit d'oeuvres réalisées par des artistes grecs qui ont adapté leur talent aux goûts

(1) P. Cintas, Amulettes puniques, Tunis, 1Ô46, p. 11.

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des perses pour qui ils travaillaient (c'est l'avis de Melle Richter) ou s'il faut les attribuer à des artistes perses influencés par l'art grec (c'est l'avis de M. H. Seyrig) (1).

Avec la période hellénistique (ine-iie s.) s'amorce une profonde évolution non seulement dans la variété et la valeur de plus en plus grandes des pierres (beaucoup viennent d'Orient), dans le style où s 'affirment les tendances générales de l'époque (réalisme, goûts archaïsants, sensibilité, sensualité), mais surtout dans le choix des sujets, en particulier des sujets religieux où l'on remarque - sans s'en étonner - que les divinités favorites sont maintenant Aphro- dite et son cortège, Apollon et Artémis, Dionysos, son thiase, les ustensiles de son culte et ses symboles ,et naturellement les divinités égyptiennes : Isis et Sarapls.

Chez les Étrusques, la glyptique connut très tôt un vif succès. Les plus anciennes gemmes trouvées en Etrurie datent du milieu du vie s., mais juqu'au 111e s. les sujets spécifiquement étrusques sont rares ; ils sont empruntés soit à l'Orient soit à la Grèce, d'où surgit Héraklès qui figure combattant Kyknos sur une remarquable intaille de la fin du vie s. (n° 161), avant de devenir particulièrement popu- laire au siècle suivant. Si beaucoup de ces gemmes étrusques sont l'œuvre d'artistes grecs, les ateliers toscans ont aussi beaucoup pro- duit (2). Aux iiie-ne s. av. J.G. ce sont en tout cas des artistes étrus- ques qui ont gravé sur des pierres, d'un grand intérêt pour l'histoire religieuse, des scènes de sacrifices (y compris de sacrifices humains) et de consultations d'oracles, dans lesquelles les influences pytha- goriciennes ne sont sans doute pas absentes ; Melle Richter y voit « the last expression of the old Roman spirit ». Les étrusquisants feront une ample moisson dans ce catalogue.

Plus de la moitié des gemmes présentées par l'auteur sont d'époque romaine (ier s. av. J-G. - ive s. ap. J-C). Ce qui n'a rien de sur- prenant quand on sait l'engouement des romains pour les pierres gravées dont ils furent les premiers grands collectionneurs. Mais, comme l'art romain en général, celui de la gravure des pierres dures

(1) H. Seyrig, Cachets achéménides , dans Archaeologica Orientatici in mem. E. Herzfeld, 1949, pp. 195-202. Dans le même recueil, Melle Richter a soutenu l'autre opinion (pp. 189-194). Le débat reste ouvert. Signalons qu'une intaille représentant une scène de combat entre un cavalier perse et un hoplite grec a été trouvée récemment à Bolsena dans une tombe étrusque : cf. R. Bloch, dans Mél. Ec. Fr. Rome , 65, 1955, pp. 68 et suiv., qui l'attribue à un artiste grec du IVe s. (avant Alexandre). (2) R. Bloch a pu récemment comparer une intaille figurant Héraklès et

Hippolyte, sortie d'un atelier toscan, avec son modèle grec, ce qui permet d'apprécier à la fois la qualité du travail étrusque et la mesure de l'interpré- tation. Cf. Latomus, IX, 2, 1950, pp. 144-148 et Atti del J° Congresso Intern, di Preistoria e Protostoria Mediterranea Firenze, Napoli, Roma, 1950, pp. 465- 470.

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fut une copie ou une adaptation de modèles grecs. Parmi ceux-ci, les divinités, grecques et romaines (hellénisées), ont connu une faveur particulière ; on le constatera par le remarquable ensemble des 148 intailles qu'elles illustrent. Les portraits occupent aussi une place très importante. A signaler une très belle intaille représentant Septime Sévère, Julia Domna et leurs deux fils (n° 497).

Quant aux camées, dont la mode commence à l'époque d'Alex- andre le Grand et dure jusqu'au ive s. de notre ère, si la collection du Metropolitan Museum ne compte pas de pièces comparables à celles du Cabinet des Médailles de Paris ou des Musées de Vienne et de Léningrad, elle comporte néanmoins une série de scènes reli- gieuses et une galerie de divinités et de portraits qui sont loin d'être négligeables. Tout en marquant la difficulté qu'il y a à distinguer les époques, Melle Richter a cent fois raison de réfuter la théorie de Furtwängler, selon laquelle une décadence aurait suivi le règne des Julio-Claudiens ; il suffit pour s'en convaincre de regarder les belles planches qui illustrent ce Catalogue.

Par la qualité de la présentation, la richesse de son contenu et la valeur du commentaire, ce livre est sans doute un des plus sug- gestifs qui aient paru depuis les trois volumes de A. Furtwängler.

M. Leglay.

Le problème de la conservation et du traitement des objets de fouilles est à l'ordre du jour. L'ouvrage, récemment paru de H. J. Plenderleith, l'actif directeur des laboratoires du British-Museum, The Conservation of Antiquities and Works of Art , lui a donné un regain d'actualité et a attiré l'attention de tous les fouilleurs et con- servateurs de Musées sur les moyens actuels de traitement des œuvres d'art, en général et des objets de fouilles en particulier. L'accent y est mis, avec raison, sur le traitement des objets les plus précieux : sculptures de marbre et de bronze, bijoux, tissus, verreries, émaux. Mais cependent tous les fouilleurs savent l'intérêt qu'il y a à traiter et à conserver les objets les plus humbles tels ceux de céramique, même s'ils ne présentent aucun caractère artistique, car il arrive bien souvent que seuls ils confèrent à une fouille et sa chronologie et son sens. Aussi, le petit travail si bien conçu, si clair, si « pratique » de M. G. Mazanetz, Erhaltung und Wiederherstellung von Boden- funden Gebrannte Tongegenstände , Gefässe und Ziegel , vient-il à son heure.

Du lavage au décapage, du montage de plâtre au traitement des glaçures, de la remise en état des vases à celle des tuiles, tous les problèmes sont passés en revue. Chaque élément est repris sur le plan technique et est illustré de nombreuses et excellentes photo- graphies qui permettent de suivre le maniement de tous les outils,

Gustave Mazanetz, Erhaltung und Wiederherstellung von Bodenfunden Gebrannte Tongegenstände , Gefässe und Ziege (Vienne, Jugend und Volk, [1955]), 79 pp. in-8°, 31 pll.

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