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1 Monde - tant de personnes différentes
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Afroditi Theodoridis
Agnes Kilich
Agnese Paunina
Anna Kubanek
Annelieke Madou
Avalon Verrijken
Britt Duysters
Céline Ruytjens
Christelle Mindome
Daiva Gasparaviciute
Evgenia Shevtszova
Fabiana Molina Quero
Femke Boone
Femke Ruttens
Frida Niska
Katrien Hulsbosch
Kübra Zorba
Laura Loos
Mareen Schoenfelder
Maria Teresa Clara Sauri
Martina Smekalova
Mehalet Yared
Natalie Behnert
Nina Dongmo Tsangue
Pedro Duarte
Sandra Gonález Madrid
Stéphanie Van Buyten
Thai Binh Ho Van
Tineke Winters
Viktor Ignatiev
Yasmine Rymenants
Yonca Gül
Lessius Mechelen
Blender
1 monde — tant de personnes
différentes
26-05-2011 Volume 1, Issue 1
Dans cette première édition de Blender, vous trouvez un rapport complet de la Semaine Internationale 2011 de Lessius Malines, qui a eu lieu du 9 jusqu’au 13 mai. Des images vives et d'articles brisants vous faire revivre la semaine comme si vous y étiez. 32 étudiants ont été accueillis cette semaine par 13 étudiants de Lessius. Ils sont venus de toute l'Europe pour participer à ce mélange culturel. Tout au long de la semaine, tous les élèves de milieux culturels différents ont fusionnés. Les préjugés ont été interdits à l'école. Les yeux étaient ouverts, les vraies cou-leurs ont été révélés et ils virent que cela était bon.
Contenu:
Des nationalités différentes se rencontrent p.2
Une journée ensoleillée à Bruxelles p.3
Sourire p.4-5
Marketing en bref p.6-7
Apprendre, et être enseigné p.7-8
La semaine internationale commençait le 9
mai 2011 et était finie le 14 mai 2011. Pen-
dant la semaine il y avait un mélange d’étu-
diants Belges et d’étudiants internationaux.
Pour ceux d’IRM tout était vraiment exci-
tant, nous nous demandions comment la
semaine allait se dérouler, ce que nous al-
lions faire et qui nous allions rencontrer.
Mais les étudiants internationaux avaient
sans doute le même sentiment.
Des étudiants sournois
Quand les étudiants d’IRM étaient en train
d’aménager la salle polyvalente, les profes-
seurs avaient mis des cartes sur les tables.
Nous, ceux d’IRM, ont pu lire les noms et les
groups de chaque étudiant. Il y avait de dif-
férents groups : les frites, les chevaux, les
asperges,…. Qu’est-ce que vous attendiez ?
Naturellement nous avons jetés un coup
d’œil sur les cartes afin de voir qui restait
dans le groupe de qui. Mais nous ne pou-
vions pas prononcer les noms de tout le
monde, donc au bout du compte nous ne
savions rien de plus.
De la nourriture, des boissons et des
beaux garçons et filles… est-ce qu’on a
besoin de plus?
Les premiers étudiants internationaux s’é-
taient arrivés en petits groups à-peu-près à
4 heure. Il y avait une réception petite et
aimable pour que tout le monde puisse se
parler et faire connaissance. Afroditi Theo-
doridis et Thai Binh Ho Van devaient s’occu-
per des friandises belges. Les étudiants in-
ternationaux également avaient apportés
quelque chose de typique de leur pays d’ori-
gine. Il y avait d’amplement assez de nour-
riture et des boissons (alcooliques), donc
tout le monde a pu goûter quelque chose
d’un autre pays. Pendant la réception Ma-
dame Van Daele a fait un discours et
après ça la semaine internationale avait
vraiment commencée.
Chaque groupe avait son propre table et
pendant la réception ils se sentaient ensem-
ble. Bien sûr, au début les conversations ne
se déroulaient pas très bien, tout le monde
était un peu timide. Heureusement cette
atmosphère timide n’a pas resté trop long-
temps et rapidement il y avait beaucoup
d’ambiance à chaque table. Tous les grou-
pes étaient composés de personnes avec de
nationalités différentes, pendant la semaine
nous devions faire une tâche avec les mem-
bres du groupe. Grâce à ce mélange de na-
tionalités nous avons appris beaucoup sur
les habitudes, la culture et la religion d’au-
tres pays.
Page 2 Blender
Des nationalités différentes se rencontrent Kübra sur sa
religion:
Je crois avec
mon cœur et
n’est pas
important si tu
crois ou pas.
Quand tu me
respectes, je te
respecte aussi.
Yonca sur les
voiles à l’école:
Nous ne devons
pas porter du
voile à l’école,
de plus c’est
interdit de le
porter.
Page 3 Blender
Le 11 mai nous nous sommes tous réveillés
très tôt, trop tôt peut-être, mais à la fin ça
valait le coup. Nous passons toute la jour-
née à Bruxelles, la capitale de l'Europe et
beaucoup plus. À 9 heures, nous sommes
allés à la Commission européenne où un
homme italien nous a expliqué comment
l'Union européenne fonctionne. On pouvait
voir qu'il se souciait beaucoup de choses sur
sa présentation et sur nous, écoutant. Bien
sûr tout le monde voudrait prendre des
photos avec l'immense carte de l'Europe
dans le hall principal, afin qu'ils puissent
voir d’où ils viennent. Dans le bâtiment du
Parlement européen nous avons également
pris des photos avec les drapeaux. Il est
agréable de voir comment tout le monde
est fier de leur propre nationalité, et com-
ment nous nous sentons toujours euro-
péen.
Les montagnes de Bruxelles
Bien sûr, cela a été très intéressant, mais la
meilleure partie était encore à venir. Parta-
gé en petits groupes tout le monde allait
manger quelque chose dans le centre de
Bruxelles. À 3 heures nous nous sommes
retrouvés au «Mont des Arts», l'un des sept
«montagnes» de la ville. Un guide belge
nous montrait les points les plus importants
à Bruxelles. Même pour nous, les étudiants
belges, il était très intéressant parce qu'il
expliquait beaucoup que nous ne savions
pas encore. Nous avons vu la boutique de
l'un des meilleurs chocolatiers du monde,
Pierre Marcolini, nous avons visité la maison
de commerce de Mercedes et nous avons
vu quelques voitures de luxe, que nous ai-
merions tous avoir, et nous avons vu encore
beaucoup d'autres choses telles que Man-
neke et Jeanneke Pis.
Les causettes sociales
Certains d'entre nous rentraient à la maison
plus tôt, mais d'autres sont restés et nous
avons fait un peu de shopping ou autres
sont allés à un bar pour boire une petite
bière belge. C’était une bonne fin d'une
journée chaude et ensoleillée. C'était le jour
idéal pour se faire connaître un peu mieux.
Lundi et mardi, nous avions été tellement
occupé avec nos missions, nous n'avions pas
obtenu le temps de parler de qui nous som-
mes. Mais Bruxelles égayé l'humeur de tout
le monde et nous avons pu parler et rire
d’une manière libre.
Un bébé, à votre service
Eh bien, si notre cher Thai Binh est enceinte
et nous le voyons dans les 9 prochains mois,
bien sûr, nous vous le ferons savoir. Mais
espérons qu'elle ne soit pas encore là. Le
souhait que j’ai fait personnellement en
touchant la statue s’est déjà réalisé. J'ai eu
un moment merveilleux avec vous et si je
pouvais le refaire, je le ferais.
Une journée ensoleillée à Bruxelles
A la fin de cette journée fatigante il y avait
encore un buffet extensif avec bon nombre
de fromages délicieux, de différents types
de légumes et des sauces. Le menu était
typiquement belge. Après le diner tout le
monde s’est sorti et immédiatement nous
avons appris que ‘au revoir’ est ‘elveda’ en
Turquie et ‘sbohem’ dans la République
Tchèque.
Conclusion: le premier jour était sans aucun
doute réussi ! Comme le reste de la semai-
ne.
La conférence
Sourire!
Stella
Page 4 Blender
Tour guide
Réception
Guide
Des orésentations
En fa
isa
nt
des c
rêpes
Une voiture tr
ès chère
Les gagnants!
Page 5 Blender
Page 6 Blender
Ceux qui commencent déjà à s’endormir
avec la pensée du sujet ‘marketing’… prépa-
rez-vous à être surpris. C’est un sujet très
intéressant et il y a tellement beaucoup à
apprendre. Le domaine du marketing vous
apprend comment vous pouvez introduire
vos produits d’une manière effective; com-
ment vous pouvez améliorer l’image de vo-
tre entreprise ; comment les consomma-
teurs pensent-ils et comment les entrepri-
ses y en réagissent. Une expérience très
enrichissante.
Enfin, retournant au cas principal. Le marke-
ting, c’est cool ! Et en ajoutant quelques
étudiants de Relations Interculturelles, une
trentaine d’étudiantes internationales et
une mission pour Procter & Gamble, vous
obtenez une bande joyeuse, prêt pour le
défi que la semaine internationale leur pro-
pose.
Comment tout a commencé
Mardi le 10 mai, Philippe Gysen, business
leader de Gilette, est venu à notre école
pour nous donner une introduction au sujet
de Marketing. Sur la base d'un certain nom-
bre d'exemples, Philippe a ainsi une fois de
plus prouvé à quel point le sexe féminin -a
mon avis supérieure- diffère du male. Qui
savait qu’il y avait une tellement grande
différence entre BMW et AUDI, en cas d’i-
mage de l’homme ? Si la voiture a des sièges
en cuir et chauffant en hiver, ca suffit ? Al-
lez, pour les gars quand même…
Philippe nous a également expliqué l’impor-
tance de décider si votre firme opérera loca-
le ou mondiale. Il y a une différence consi-
dérable. Une étudiante dans notre group,
qui préfère de rester anonyme, avait sa pro-
pre application de cette théorie. Je cite :
Ici en Belgique, dans la publicité on peut
bien appeler les personnages Anne, ou So-
phie parce que ce sont des noms très fré-
quent. En Turquie, vous auriez obligé de
changer les noms en un nom de là-bas
comme par exemple ‘Fatima’.
Il semble un peu superficielle, mais elle
avait compris l'essentiel du question. Votre
produit doit être aussi proche que possible
à vos consommateurs pour gagner leur
confiance. Même si ils n ‘ont pas besoin de
votre produit, un agent de commercialisa-
tion doit être capable de poursuivre les
consommateurs qu’ils, en faite, en ont be-
soin. Et c’est ça, le but de cette mission. On
nous a demandé de choisir un produit de la
gamme de Procter & Gamble, et de le lier à
une organisation de bienfaisance. Le projet
Marketing en bref
La semaine est
devenu plus
personnelle
quand Stéphanie
a fait ses 20 ans.
Apparemment
chanter ‘Joyeuse
anniversaire’ est
connu dans tous
les pays.
Sandra sur la
Belgique:
mon cœur est
en Espagne,
c’est, mais la
Belgique est
devenu très
important aussi.
Je reviendrai!
Dieu, merci pour la télévision Américaine
Je dois admettre que nous n’étions pas
content avec l’idée de consacrer nos soirées
avec les étudiants étrangers, au lieu d’être à
la maison, probablement devant la télévi-
sion ou derrière l’ordinateur. Mais il ne tar-
derait pas longtemps avant qui nous puis-
sions commencer de nous jouir de cette
Cette année, la semaine internationale de
Lessius était une grande expérience pour
tout le monde qui à participé. Cette semai-
ne était une opportunité pour apprendre de
différentes cultures, et enseigner les autres
de la nôtre. Je pense que c’est sûr de dire
que tous nous avons appris beaucoup l’un
de l’autre durant cette semaine.
Apprendre, et être enseigné
Page 7 Blender
De belles mélodies ne durent pas long-
temps
Bien avant qu’on le réalisait, il était vendre-
di. Nous avons terminé cette semaine oc-
cupée d’une manière chouette. Les deux
groupes qui ont fait le mieux à réaliser la
mission, recevaient un prix. Ceux qui ont -en
le méritant- obtenu la première place : Le
groupe de ‘bicyclettes’ avec, de notre pro-
pre classe : Britt Duysters et Avalon Verrij-
ken ; et Frida Niska en Maria Teresa Clara
Saura, les étudiantes internationales. Elles
ont choisi la marque Oral-B pour soutenir la
cas de charité des enfants qui sont nées
avec un bec de lièvre.
En d'autres termes, et je le dis le mieux avec
leurs propres mots :
Un sourire plus éclatant, pour un monde
plus lumineux.
devait être correctement mis au point, et
doit rester possible à réaliser. Mais surtout,
le projet devait convaincre le jury.
Quelques excursions plus tard…
… les groupes se réunissaient. Après tout les
sorties de boire et de manger, on doit enfin
se mett au travail. Franchement, dans ce
local, dont tous les cerveaux se rendaient
surchauffés, les mots ‘travail’ et
‘présentation’ ont eu un tout nouveau sens.
Il a fallu suer sang et eau. Même quand, à
19heures, les derniers professeurs quit-
taient l’école, les étudiants continuaient à
travailler. Bien que, pensant au repas qui
nous attendait -des vrais frites belges- ils
éteignent vite leurs ordinateurs.
Anna sur les
aliments
polonais:
Je suis
stupéfaite
d’entendre que
vous pensez que
les aliments
polonais ne sont
pas bien.
Viktor sur vivre
dans un autre
pays: Ce n’est
pas facile de
vivre dans un
autre pays pour
un an, mais
finalement c’est
une expérience
inoubliable.
Page 8 Blender
compagnie. Apparemment, nous avions plus
en commun que nous pensions, nous de-
vons remercier les feuilletions à la télé Amé-
ricaine pour ça. Mais c’était seulement pour
commencer une conversation. Après un
certain temps, nous faisions la connaissance
sur un niveau plus personnel. Bien que nous
ayons partagé en différents groupes, nous
faisions la connaissance avec les personnes
d’autres groupes, peut-être plus qu’avec
ceux de votre propre groupe.
Ne personne est la même, mais nous ne
sommes pas différents
Je crois que la leçon la plus précieuse cette
semaine est, bien que nous ayons tout un
autre passé et une autre culture, nous som-
mes devenus des vrais amis. Tout le monde
toujours parle de comment des cultures
différents peuvent causer des barrières en
communication entre personnes, mais nous
n’expérimentions ça pas du tout. Sauf peut-
être la langue, il n’y avait rien qui nous ait
pu empêcher de parler, rire et travailler
comme des amis. Et c’était très bien, je pen-
se! Il y a déjà beaucoup de discussions sur
les cultures dans le monde. Donc, bien que
nous venions de, que certaines personnes
nomment, ‘ mondes complètement diffé-
rents’, nous avons prouvé qui nous pouvons
nous entendre bien; et qu’il y a en fait juste-
ment 1 monde où nous en vivons.
Maintenant, je sais que, il a peu d’importan-
ce d’où tu viens et ce que tu crois; il a peu
d’importance quelle langue tu parles et
quelles apparences tu as… d’une certaine
manière, nous nous ressemblons. Je pense
que, à la fin, nous cherchons la même cho-
se: quelque part où nous sommes à notre
place.
Je voudrais remercier tout le monde qui a
fait possible cette semaine ; les étudiants
étrangers qui étaient SUPERBE et mes ca-
marades de classes pour être des amis for-
midables! Merci!
Créé par:
Annelieke Madou
Femke Boone
Katrien Hulsbosch
Laura Loos