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Association des Sociétés de développement commercial de Montréal Le plus important regroupement de gens d’affaires de l’agglomération montréalaise.

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Association des Sociétés de développement commercial de Montréal

Le plus important regroupement de gens d’affaires de l’agglomération montréalaise.

i 28-01-2009

© Tourisme Montréal, Stéphan Poulin

S’inspirant des Business Improvement Areas de l’Ontario (BIA), qui existent depuis 1970, la Ville de Montréal obtenait, en 1980, le pouvoir de mettre en place des Sociétés de développement commercial (SDC).

Formée en juin 2007, l’Association des SDC de Montréal regroupe 14 Sociétés de développement commercial, lesquels totalisent plus de 14 000 commerces et places d’affaires. Il s’agit du plus important regroupement de gens d’affaires de l’agglomération montréalaise.

Les 14 SDC de Montréal représentent les communautés d’affaires de 12 artères commerciales et de deux districts com-merciaux (Vieux-Montréal et Destination Centre-ville) qui injectent annuellement près de 10 millions $ de fonds privés à la promotion et au développement des artères commerciales via leur SDC respecti-ve. Elles sont présentes dans huit arrondissements. De nouvelles SDC sont également appelées à voir le jour à court et moyen termes.

La structure des SDC porte des noms différents ailleurs au Canada, en Europe ou aux États-Unis, mais représente une for-mule gagnante de développement et de prise en charge du milieu dans tous les centres urbains, grands et petits. Cette formule a fait ses preuves à travers le succès de nombreux projets innovateurs et les résultats concrets.

Outre les grandes stratégies d’intervention, les SDC de Montréal représentent une expertise locale et offrent des stratégies adaptées à la spécificité de chaque quartier, contribuant ainsi à enrichir leur milieu de vie.

INTRODUCTION

Claude Rainville Président de l’Association des Sociétés de développement commercial de Montréal

© Tourisme Montréal, Stéphan Poulin

TABLE DES MATIÈRES

SECTION 1La philosophie d’intervention des SDC . . . . . . . 7Le citoyen /consommateur . . . . . . . . . . 12L’expérience de vie urbaine . . . . . . . . . . 16La vision de l’ASDCM . . . . . . . . . . . . 18La mission de l’ASDCM . . . . . . . . . . . 19Partenariat . . . . . . . . . . . . . 19Les 14 membres de l’ASDC de Montréal en chiffres . . . . 20Orientations 2008 . . . . . . . . . . . . . 22Les objectifs de l’ASDCM . . . . . . . . . . . 23

SECTION 2 Les SDC de la Ville de Montréal 24

Arrondissement Ahuntsic – Cartierville SDC de la Promenade Fleury 26

Arrondissement Mercier — Hochelaga-Maisonneuve SDC de la Promenade Ontario 28 SDC de la Promenade Sainte-Catherine Est 30

Arrondissement Le Plateau Mont-Royal SDC du Boulevard Saint-Laurent 32 SDC de l’Avenue du Mont-Royal 34

Arrondissement Rosemont – La Petite-Patrie SDC de la Promenade Masson 36 SDC de la Plaza Saint-Hubert 38

Arrondissement du Sud-Ouest SDC de l’Avenue Monk 40

Arrondissement de Verdun SDC de la Promenade Wellington 42

Arrondissement Ville-Marie SDC Destination Centre-Ville 44 SDC du Quartier latin 46 SDC du Vieux-Montréal 48 SDC du Village 50

© Tourisme Montréal, Stéphan Poulin

Les SDC se consacrent au développement économique et culturel local en mobilisant le monde des affaires et le milieu culturel et en intervenant pour améliorer la qualité de vie du milieu. Financées à 90 % par des fonds privés, les SDC occupent une place unique et privi-légiée pour stimuler le dynamisme économique et culturel et ainsi collaborer à l’émergence de projets concrets.

Au fil des ans, les SDC ont acquis une vision globale du développement économique et culturel local et ont établi des partenariats avec l’ensemble des acteurs concernés : les autorités municipales et gouvernementales, les regroupements d’affaires, les services de sécurité publique, les organismes du milieu, etc.

L’expertise des SDC dans le développement économique et culturel, en particulier dans les interventions locales, en fait des alliés stratégiques importants pour la Ville de Montréal. Les SDC et la Ville de Montréal partagent toutes deux des objectifs de grande importance : le soutien du dynamisme économique et la prise en charge du développement par le milieu.

Les SDC catalysent les énergies des gens d’affaires :« Les Business Improvement Districts (BID) aux États-Unis sont particulièrement

efficaces pour améliorer à la fois le climat d’affaires et l’environnement physique favorisant le développement du commerce de détail et pour convaincre les gens d’affaires de s’engager dans un processus de revitalisation »1.

Les SDC assument le leadership nécessaire à la mise en valeur d’une artère commerciale. « Les artères peuvent demeurer compétitives car elles offrent une atmosphère

différente mais complémentaire aux centres d’achats et aux grandes surfaces, dans la mesure cependant où elles sont structurées à un niveau suffisant pour leur permettre à la fois de faire la promotion de leur secteur et de créer des aménités supplémentaires »2, c’est-à-dire d’amé-liorer collectivement l’expérience urbaine et de magasinage de leur secteur pour en faire des lieux recherchés par leur clientèle.

LA PHILOSOPHIE D’INTERVENTION DES SDC

Les SDC sont les partenaires privés les mieux placés pour encourager la vitalité commerciale et culturelle sur les artères. Elles facilitent l’interrelation entre tous les acteurs du milieu de vie.

1

1 Urban Land Institute, 10 principles for Rebuilding Neighbourhood Retail, 2004, p.17. Un BID est l’équivalent américain d’une SDC, quoique sa structure de cotisation diffère.

2 Lawrence, The Effect of non-performance attributes on shopping destination choice, McGill School of Urban Planning Supervised Research Project, Montréal, 1988

ASSOCIATION DES SOCIéTéS DE DévELOppEmENT COmmErCIAL DE mONTréAL 7

1 Statistiques Canada, Recensement 2006

Ville # BIA / SDC Nombres de membres Population1

1 SDC ou BIA /

# Pop

Toronto 64 25 000 2 480 000 41 333

Vancouver 20 16 000 595 000 33 055

Calgary 6 ND 988 200 164 700

Ottawa 13 ND 822 600 68 550

Montréal 14 14 000 1 813 000 129 500

1.1 Les SDC catalysent les énergies des gens d’affaires :

1.2 Inspirations étrangères et expertise montréalaise

Aux États-Unis, les Business Improvement Districts (BID) sont des organisations comparables aux SDC montréalaises. Ces organisations privées sont cependant formées de propriétaires immobiliers. À titre d’exem-ple, la ville de New York offre un programme de soutien destiné aux 55 BID de son territoire. Clairement, la stratégie new-yorkaise favorise l’émergence de nouveaux BID, apportant par le fait même des investissements privés à la valorisation des districts commerciaux de la ville.

À Toronto, les Business Improvement Areas (BIA), organisations comparables aux BID, sont regroupés au sein du Toronto Association of Busi-ness Improvement Areas (TABIA), qui compte plus de 60 membres représen-tant plus de 25 000 commerçants et propriétaires immobiliers. La stratégie torontoise s’appuie sur la présence des BIA à titre d’interlocuteurs privilégiés pour le développement économique des districts municipaux.

À Montréal, le savoir-faire et l’expertise des SDC s’articulent principalement autour de la promotion, d’interventions sur le domaine public, du recrutement commercial, de l’organisation d’événements, de l’implication et de la vitalité des quartiers.

1.3 Les domaines d’interventionLes activités exercées par une SDC sont déterminées par

ses membres, selon les problématiques et opportunités propres à son territoire d’intervention. Parmi les activités généralement entreprises par une SDC, mentionnons :

identification des tendances en matière d’aménagement ÜÜet d’offre commerciale ;

soutien et mise en valeur de la fonction commerciale et culturelle ;ÜÜrecherche et conception d’activités de promotion et d’animation ;ÜÜdéveloppement de l’offre touristique ;ÜÜdéveloppement de l’image et de l’identité du milieu ;ÜÜservice-conseil auprès des autorités publiques ; ÜÜ— aménagement urbain ; — problématiques sociales ; — propreté et sécurité publique ; — etc.

relations entre la communauté d’affaires, ÜÜles autorités publiques et le milieu de vie ;

engagement auprès des organismes de l’arrondissement ;ÜÜrôle de facilitateur pour l’établissement de partenariats ÜÜdans la communauté ;

recrutement de nouvelles entreprises ;ÜÜaccueil et conseil aux nouvelles entreprises.ÜÜ

Le résultat net de toutes ces activités se manifeste à des degrés divers sur le territoire de chacune des SDC, par les éléments suivants :

un environnement propre et sécuritaire ;ÜÜ

l’amélioration de l’image et de la vitalité du territoire ;ÜÜ

un achalandage accru ;ÜÜ

la tenue de nombreux événements ;ÜÜ

des ventes additionnelles ;ÜÜ

une réduction du taux de vacance des places d’affaires ;ÜÜ

une combinaison optimale de commerces ÜÜqui répond mieux aux besoins de la population ;

le nombre de nouveaux résidants qui s’installent ÜÜdans les aires d’influence des SDC chaque année

ASSOCIATION DES SOCIéTéS DE DévELOppEmENT COmmErCIAL DE mONTréAL 9

1.4 Les territoires des SDC de montréal

N

S

O

E

1

2

3

4 5

7

6

8

9

10

11

12

13

14

1.5 Informations sur les SDC de montréal — 2007 Plus de sept millions de dollars en cotisations annuelles

ASSOCIATION DES SOCIéTéS DE DévELOppEmENT COmmErCIAL DE mONTréAL 11

1 InfoCanada 2006 calcul de la médiane

2 LIC 2006 données de juin 2006

3 Cotisation perçues par la Ville de Montréal en 2007

SDCAnnée

de création

Nombre d’employés

de la SDC

Nombre de

membres

Emplois sur le

territoire

Cotisations obligatoires à percevoir par la ville 2008

Cotisations obligatoires à percevoir par la ville 2009

Contribution financière

d’arrondissement

1 Promenade Fleury 1984 3 235 843 210 000 $ 240 000 $ 50 000 $

2 Promenade Ontario 1981 2 200 1 388 350 000 $ 357 000 $ 54 500 $

3 Promenade Sainte-Catherine Est 1983 2 130 1 013 115 000 $ 125 000 $ 54 500 $

4 Boulevard Saint-Laurent 2000 5 600 6 565 428 000 $ 458 000 $ 50 000 $

5 L’Avenue du Mont-Royal 1984 6 479 2 692 455 000 $ 705 000 $ 50 000 $

6 Promenade Masson 1981 3 150 1 289 260 600 $ 265 500 $ 50 000 $

7 Plaza Saint-Hubert 1981 6 387 2 342 720 000 $ 720 000 $ 50 000 $

8 Avenue Monk 1981 2 160 2 090 147 000 $ 150 000 $ 50 000 $

9 Promenade Wellington 1987 2 247 1 604 220 000 $ 220 000 $ 15 000 $

10 Destination Centre-Ville 1999 5 8 000 208 887 3 185 000 $ 3 280 000 $ 0 $

11 Quartier latin 1993 2 156 1 773 247 000 $ 265 000 $ 35 000 $

12 Vieux-Montréal 2004 4 2 940 48 816 626 000 $ 1 011 000 $ 35 000 $

13 Du Village 2005 2 300 2 282 511 000 $ 521 220 $ 35 000 $

14 Jean-Talon 2008 2 259 A venir 200 000 $ 200 000 $ 50 000 $

Total 46 14 184 281 584 7 674 060 $ 8 517 720 $ 504 890 $

1 Géocom, Tendances du commerce de détail à Montréal, 2006,p.17.

2.2 Chemin critique

CITOYEN

BESOINS – DéSIrS

CHEmIN CrITIQUE

ENvIrONNEmENT

• Destination primaire

• Destination secondaire

• Destination tertiaire

CONSOmmATEUr

DESTINATION / BrANDING

• Destination primaire

• Destination secondaire

• Destination tertiaire

2.1 À l’heure des choix : qu’est-ce qui influence le consommateur ?

Le consommateurÜÜ cherche constamment à satisfaire ses besoins et désirs et ceux-ci sont de plus en plus variés et fragmentés.

70% des décisions d’achat se prennent au point de venteÜÜIl choisit d’abord une destination de consommation selon des facteurs ÜÜtels la variété de l’offre, la proximité et l’accessibilité. Ensuite, c’est une expérience qu’il souhaite vivre.La faible croissance démographiqueÜÜ , le vieillissement de la population et la croissance des communautés culturelles sont parmi les facteurs qui déplacent la demande et forcent les détaillants à se repositionner continuellement.

Le consommateur a moins de ÜÜ temps pour magasiner et est plus endetté.

Le consommateur est de mieux en mieux ÜÜ informé et conscient de ses besoins.

Le consommateur est ÜÜ polyvalent et infidèle, il a plusieurs lieux de magasinage.

Les ÜÜ critères de sélection d’un point de vente varient selon l’occasion.

LE CITOYEN / CONSOMMATEUR2

QUALITé DE vIE QUALITé DE L’OFFrE

ÜÜ

Les destinations possibles n’ont cessé d’augmenter et de se diversifier au cours du XXe siècle, avec une intensification au cours des 15 dernières années. Seulement dans la région de Montréal, entre 1991 et 2006, la superficie commerciale des grandes surfaces (incluant les magasins à rayons) est passée de dix millions de pieds carrés à 33 millions de pieds carrés1.

L’effet le plus pernicieux de l’arrivée des grandes surfaces et des « Life style Centers » est sans contredit la pression sur les marges bénéficiaires. Non seulement la concurrence s’est accrue mais les grandes surfaces, grâce à de meilleures pratiques, ont réduit leurs frais d’exploitation et transmis ces économies aux consommateurs en réduisant les prix.

2.3 David contre Goliath : le combat des marchands indépendants

mArQUE DE COmmErCE / BrANDING / DESTINATION

BESOINS / DéSIrS

CONSOmmATEUrS

EXpérIENCE UNIQUE EXpérIENCE COmmUNE

prOXImITé

DESTINATION(1 - 2 - 3)

DESTINATION(1 - 2 - 3)

mILIEU DE vIEJour et nuit

CENTrE DE prOFITEfficacité / rapidité

STATIONNEmENT

QUArTIErS/ DISTrICTS LIFE STYLE CENTERS

rEprODUCTION D’UNE ArTÈrE COmmErCIALE, CONSOmmATION DE mASSE,

DES rESSOUrCES, DE L’ESpACE.ArTÈrE COmmErCIALE, réSIDENTIELLE,

SErvICES, TrAvAIL, DIvErSISSEmENT

ÜÜ

ASSOCIATION DES SOCIéTéS DE DévELOppEmENT COmmErCIAL DE mONTréAL 13

1 Rifkind, Main Street: The face of Urban America. New York: Harper & Row, 1977 p.5

2 Urban Land Institute, 10 principles for Rebuilding Neighbourhood Retail, 2004, p.iv

3 Lawrence, The Effect of non-performance attributes on shopping destination choice. McGill School of Urban Planning Supervised Research Project, Montréal, 1988

4 Convercité, Enquête sur les destinations commerciales des résidants des arrondissements Rosemont — La Petite Patrie et le Plateau Mont-Royal, octobre 2007. L’enquête a été réalisée auprès de 1002 répondants et comporte une marge d’erreur de 3.1 % 19 fois sur 20.

5 Leinberger, C., Walk this Way, National Post, c.2005

6 Urban Land Institute, 10 principles for Rebuilding Neighbourhood Retail, 2004, p. vii

2.4 Qu’est-ce qui distingue les artères commerciales des autres formats commerciaux ?

Un apport dans l’économie locale et régionale

Les artères commerciales regroupent en effet de nombreuses entreprises locales qui réinvestissent leurs profits dans l’économie locale, ce que ne font pas les multinationales le plus souvent localisées dans les grandes surfaces.

Les entreprises situées sur les artères commerciales créent également des emplois près des lieux de résidence et sont accessibles en transport en commun, contrairement aux grandes surfaces, principalement accessibles en automobile.

Enfin, « les recherches démontrent que même si les artères commerciales répondent aux besoins de la clientèle locale, elles peuvent aussi avoir une aire d’influence plus vaste parce qu’elles peuvent se spécialiser » 3. À Montréal, le Village, le Quartier latin, le Vi eux-Montréal, le boulevard Saint-Laurent, l’Avenue du Mont-Royal, la Plaza Saint-Hubert et bien sûr, Destination Centre -ville en sont quelques exemples éloquents.

Un milieu de vie

« Les artères commerciales jouent traditionnellement un rôle essentiel dans le développement de l’identité locale à l’échelle des quartiers urbains centraux. Elles sont ordi-naires mais richement imbriquées, humbles mais honnêtes, familières mais un aimant pour l’activité humaine – résidentielle, religieuse, civique, éducative, récréative, commerciale et festive. » 1

À l’inverse, le déclin des artères commerciales de quartier a un « impact profond sur le niveau de désirabilité des communautés urbaines » 2.

Effets sur le détaillant et sur les artères et secteurs commerciaux

Le détaillant indépendant compte pour environ 80 % des établissements sur les artères commerciales. Il doit, dans un contexte de marché stagnant et de concurrence accrue, trouver de nouvelles façons de se valoriser auprès de sa clientèle, tout en surveillant ses prix et en réévaluant constam-ment son offre de produits et son service à la clientèle, et ce, sept jours par semaine.

L’arrivée de l’Internet, des grandes sur-faces multisectorielles telles Wal Mart, des clubs entrepôts, la rénovation des centres commer-ciaux qui s’affichent davantage par la publicité sont toutes des innovations commerciales qui se font à l’extérieur du centre-ville traditionnel.

Malgré les projets de revitalisation des artères commerciales qui ont permis de mettre à niveau l’offre commerciale intra urbaine, la majorité des développements commer-ciaux des 20 dernières années s’est faite hors des artères et du centre-ville.

Un développement durable

Globalement, les artères commerciales sont un atout pour une ville comme Montréal car elles desservent leurs quartiers d’attache, favorisant ainsi le transport actif et limitant la production de gaz à effet de serre.

Une enquête sur les destinations commerciales des résidants des arrondisse-ments Rosemont — La Petite-Patrie et le Plateau Mont-Royal 4 confirme que deux facteurs motivent le choix d’une destination : la proximité et la diversité/qualité de l’offre commerciale.

Enfin, la rénovation et la mise à niveau des artères commerciales constituent une utili-sation responsable des ressources disponibles. À l’inverse, on constate que, « le marché immo-bilier commercial actuel est orienté de façon à produire des environnements jetables »5.

Pour toutes ces raisons, « il faut dès maintenant trouver des façons de redyna-miser le commerce de détail sur les artères de quar tier car la prospérité future de nos régions métropolitaines en dépend » 6.

ASSOCIATION DES SOCIéTéS DE DévELOppEmENT COmmErCIAL DE mONTréAL 15

Expérience exceptionnelle

Expérience mémorable

Expérience plaisante

3 4 521ARTÈRES SDC

CENTRE COMMERCIAL

LINÉAIRE2CENTRE

D’ACHATSGRANDES SURFACES

LIFE STYLE CENTERS3

Interrelations facilitées entre toutes les dimensions de la ville (urbaine, culturelle et commerciale)

x

Thème, histoire, vision et image de marque bien développés x x x

Bourdonnement d’activités variéesPrésence d’activités artistiques, de spectacles et de nouvelles tendances commerciales

x x x

Rue animée jour et nuitPrésence de cafés, d’événements et d’activités commerciales sur la rue, de jour comme de soir

x x

Saine économie et mixité des usagesCôtoiement de commerces de qualité et de résidences. Sentiment d’appartenance

x

Programmation et promotion intéressantesKiosques d’information, circuits historiques

x x

Environnement esthétique de qualitéFleurs, arbres, bannières, marchandisage

x x x x

Espaces publics accueillantsMobilier en bon état, ambassadeurs

x privé privé privé privé

Propre et sécuritaire x x x x x

1 Cette pyramide est inspirée de la pyramide des besoins de Maslow et a été adaptée à l’expérience de magasinage par Downtown Washington BID

2 Centre commercial où les entreprises sont alignées le long d’un trottoir commun forçant les clients à sortir à l’extérieur pour passer d’un commerce à l’autre

3 Centre commercial à ciel ouvert

4 Urban Land Institute, 10 Principles for Rebuilding Neighbourhood Retail , 2004, p vii

Dans la région de Montréal, on observe cinq principaux formats commerciaux qui offrent des expériences différentes.1

L’EXPÉRIENCE DE VIE URBAINE3

Comme le démontre le diagramme, seules les artères commerciales détiennent le potentiel d’offrir tous les volets des expériences susceptibles de combler les consommateurs. Plus particulièrement, les artères commerciales sont les seuls lieux publics accessibles à toutes les catégories de citoyens. Elles servent non seulement de destinations commerciales mais assurent des liens fonctionnels à l’échelle des milieux de vie entre les pôles résidentiels, culturels et les pôles d’emplois.

Pour toutes ces raisons, « il faut dès maintenant trouver des façons de redynamiser le commerce de détail sur les artères de quartier car la prospérité future de nos régions métropolitaines en dépend »4.

ASSOCIATION DES SOCIéTéS DE DévELOppEmENT COmmErCIAL DE mONTréAL 17

Facteurs critiques de succèsLa vision doit :

contribuer au développement commercial, culturel et social de Montréal ;ÜÜstimuler les propriétaires immobiliers et les commerçants à investir ;ÜÜstimuler les ventes et l’achalandage ;ÜÜconsolider la masse critique commerciale, culturelle et résidentielle ;ÜÜstimuler le partenariat entre les acteurs du milieu ;ÜÜfidéliser et recruter les clientèles ;ÜÜfavoriser l’émergence d’événements ;ÜÜinciter l’entreprenariat et la création de nouvelles SDC.ÜÜ

Pour définir le futur et le modeler afin qu’il corresponde à l’image qu’on s’en fait, il faut s’appuyer sur certaines bases :

la riche histoire commerciale et culturelle de Montréal ;ÜÜla présence d’une masse critique de salles de spectacles, de restaurants, ÜÜde cafés, de bars, de boutiques, de commerces, de services et de places d’affaires ;

l’attrait de l’expérience urbaine comme milieu de vie ;ÜÜla diversité de la clientèle ;ÜÜles institutions culturelles et d’enseignement ;ÜÜla notoriété de Montréal pour la tenue d’événements.ÜÜ

LA VISION DE L’ASDCM

montréal, carrefour métropolitain du commerce, du design, de la culture et du divertissement ; lieu d’innovation, de développement et d’expression, intimement lié à la qualité de vie du milieu.

La vision de l’ASDCmL’énoncé de la vision doit être porteur d’aspiration, d’inspiration et de confiance.

Montréal, en tant que métropole du Québec, est un lieu de rencontre et d’échange qui attire des clientèles variées.

La masse critique d’établissements culturels et d’enseignements, a insi que des établ issements commerciaux, de restauration, de divertissements et de services, contribue à faire de Montréal un lieu de référence spécifique, unique et accessible.

Le milieu agit en tant qu’incubateur de nouvelles idées et où toutes les formes de communication sont utilisées pour stimuler les clientèles et mettre en valeur les actifs commerciaux et culturels de la ville. Les SDC de Montréal contribuent largement au développement des artères commerciales et de leurs milieux de vie.

4

La clé du succès du développement des artères commerciales de Montréal réside dans la capacité de la ville, des arrondissements, des SDC et des différents partenaires, à transformer celles-ci par des actions responsables, en des destinations commerciales et culturelles uniques.

L’artère devient la destination principale, procurant ainsi une qualité de vie intimement liée à la qualité du milieu.

PARTENARIAT

Contribuer par nos initiatives à promouvoir le développement commercial, culturel et social des quartiers de montréal, par l’émergence et la croissance des Sociétés de développement commercial de montréal.

LA MISSION DE L’ASDCM5

6Image & identité

CréativitéMise en valeur

DesignAménagement

EmbellissementDestination

Milieu de vie

Domaine public

Propreté SécuritéGraffitis

Aménagement urbain Développement durable

Travaux publics

Développement économique

Mixité commerciale Marketing/promotion

Mise en marchéÉvénements

TourismeCulture

Implication sociale

ASSOCIATION DES SOCIéTéS DE DévELOppEmENT COmmErCIAL DE mONTréAL 19

LES 14 MEMBRES DE L’ASDC DE MONTRÉAL EN CHIFFRES714 205 membres

281 584 emplois

464 000 000 $ de taxes municipales 2008

8 517 720 $ en cotisations des membres en 2009

2 500 000 $ de revenus et investissements additionnels

3 500 000 000 $ de ventes au détail 1

490 000 000 $ de TPS et TVQ versés en 2008

182 000 $ en dons ou commandites

53 événements annuels :

20 foires commerciales12 partenariats avec des festivals d’envergure21 événements culturels initiés par les SDC

1 Cet estimé a été réalisé à partir des données du Service des finances de la Ville de Montréal sur la superficie des types de commerces de détail de chaque SDC. Ces données ont ensuite été croisées avec la valeur médiane des ventes au pied carré estimées par Dollars and Cents. Il s’agit d’un estimé conservateur puisque les rendements de certains types de places d’affaires ne peuvent être évalués par cette méthode. Notons également que tous les bureaux de professionnels et les grandes entreprises sont exclus du calcul.

« Le magasinage est sans contredit la dernière forme d’acti -vité publique… la voracité avec laquelle il s’immisce dans la vie des citoyens en a fait l’un des prin-cipaux modes d’expérimentation de la ville »3.

Typologie des 14 SDC 2

70 % Service professionnels et bureaux

Cette catégorie comprend entre autres les cabinets de dentistes, d’avocats, les banques, les bureaux de comptables, tous les bureaux administratifs, etc.

30 % Commerces

Voir typologie commerciale ci-contre.

70%

30%

32 % Restaurants et divertissements

Cette catégorie comprend les bars, les cafés, les restaurants, arcades, cinémas, théâtres, etc.

24 % Biens semi-courants

Les biens semi-courants sont consommés occasionnellement (Ex. : vêtements et accessoires, livres, disques, boutiques-cadeaux, quincailleries, etc.)

23 % Biens réfléchis

L’achat de biens réfléchis demande habituellement une période de réflexion (ex. : meubles et électroménagers, matériel informatique et électronique, etc.)

11 % Biens courants

On a très souvent recours aux biens courants pour des nécessités quotidiennes (ex. : alimentation, pharmacie, dépanneur, etc.)

10 % Services personnels

Les services personnels comprennent la coiffure, l’esthétique, le bronzage, etc.

Typologie commerciale des 14 SDC 2

2 Cette typologie commerciale a été réalisée à partir des données fournies par le Service des finances de la Ville de Montréal, décembre 2007.

3 Koolhaas, Rem, et al., Guide to shopping, Harvard Design School, 2000.

4 Selon les données fournies par les 13 SDC : il s’agit d’un dollar de cotisation qui sert directement à la réalisation de projets, soit environ 80 % du budget total des SDC.

cents sont utilisés pour offrir aux consommateurs et aux citoyens une expérience urbaine plaisante

Les quatre SDC de Ville-Marie investissent annuellement plus de 75 000 heures à la propreté du centre-ville de Montréal.

cents sont utilisés pour offrir aux consommateurs et aux citoyens une expérience urbaine mémorable

Plus de 50 événements de promotion et d’ani-mation ont lieu dans la rue, soit directement à titre de pro-moteurs ou comme hôtes partenaires. Ces événements attirent collectivement plus de cinq millions de visiteurs annuellement.

cents sont utilisés pour offrir aux consommateurs et aux citoyens une expérience urbaine exceptionnelle

Toutes les SDC investissent des sommes importantes pour offrir aux clientèles des environne-ments esthétiques de qualité. Les décorations de Noël, les aménagements floraux, les bannières et autres éléments décoratifs sont autant d’occasions pour les artères de renforcer leur image de marque et d’ainsi offrir une expérience distincte aux consommateurs et citoyens.

17

71

12

À titre d’exemple :

pour chaque dollar 4 investi par les membres des SDC

Expérience exceptionnelle

Expérience mémorable

Expérience plaisante

12 ¢

71 ¢

17 ¢10%

11%

23%

24%

32%

ASSOCIATION DES SOCIéTéS DE DévELOppEmENT COmmErCIAL DE mONTréAL 21

8.1 prINCIpAUX ENJEUX

Les opportunités de croissance Montréal demeure une ville dynamique, diversifiée, créative et pleine de potentiel ; Ü

la reconnaissance de Montréal, ville UNESCO de design ; Ü

la volonté de Montréal de se positionner en tant que métropole culturelle ; Ü

le caractère authentique et le positionnement reconnu de plusieurs artères commerciales ; Ü

le potentiel d’accroissement de la fidélisation des Montréalais à l’égard de leur artère de quartier ; Ü

le réseau des SDC de Montréal et son important potentiel de développement ; Ü

la notoriété des SDC en matière de développement du milieu de vie et d’organisation d’événements ; Ü

le « savoir-faire » des SDC reconnu en matière de valorisation commerciale depuis de nombreuses années ; Ü

présence d’artères commerciales traditionnelles au cœur de nombreux quartiers montréalais. Ü

Les menaces au développementL’image perçue de Montréal en ce qui a trait à la propreté, l’itinérance, les graffitis, Üle déneigement, le stationnement, l’accès, l’entretien et l’aménagement des espaces publics ;

l’absence d’un plan directeur de la Ville de Montréal, portant sur le développement Üdes artères commerciales en tant que milieu de vie et de proximité (Walkable Urbanism) ;

les réalités économiques du fonctionnement des entreprises de commerce sont très Üinsuffisamment prises en considération par bon nombre d’élus et de fonctionnaires ;

la forte croissance et l’apparition soutenue dans la région métropolitaine Ü de destinations commerciales de grandes surfaces et de centres commerciaux à ciel ouvert, cherchant à imiter de plus en plus l’expérience urbaine ;

un manque de soutien du gouvernement du Québec au développement de Montréal ( loi 22 ) ; Ü

la précarité actuelle de la base commerciale de proximité et son impact sur la qualité de vie dans les quartiers ; Ü

la dilution de l’offre commerciale, la faible croissance de la population et la stagnation du pouvoir Üd’achat des consommateurs ;

le consommateur qui adopte un comportement d’achat de plus en plus infidèle ; Ü

l’augmentation constante des coûts d’exploitation pour les commerçants localisés Üsur les artères commerciales ;

la piètre qualité du design et de l’aménagement de nombreuses artères commerciales. Ü

ORIENTATIONS 200881. reconnaître officiellement l’ASDCm comme étant l’un des interlocuteurs

essentiels en matière de développement économique par le développement d’un partenariat avec la Ville de Montréal ; Ü

par la pérennité d’un soutien financier adéquat de la Ville de Montréal à l’ASDCM. Ü

2. Développer des outils favorisant le soutien et la croissance des SDC de montréalpar la reconnaissance des événements et projets mis de l’avant par les SDC ; Ü

par la mise en place de programmes particuliers destinés aux SDC ; Ü

par un meilleur soutien financier. Ü

3. Initier un véritable plan de développement commercial pour les quartiers de montréalen partenariat avec la Ville de Montréal ; Ü

par une réflexion sur l’artère commerciale en tant que milieu de vie et en tant que « destination commerciale » ; Ü

par une analyse des besoins des consommateurs et commerçants ; Ü

par l’organisation du Ü Séminaire 2009 des artères commerciales au printemps 2009.

4. Initier une reflexion sur la revalorisation urbaine en milieu commercialpar une analyse des besoins des résidents ; Ü

par une politique d’accès à la propriété et de développement résidentiel Üsur les terrains et édifices disponibles ;En dotant Montréal d’une politique de développement du design public Üet de positionnement des artères commerciales.

5. Favoriser l’implantation de nouvelles SDC à montréalavec le soutien de la ville-centre et des arrondissements ; Ü

en établissant un plan stratégique et des objectifs de recrutement. Ü

ASSOCIATION DES SOCIéTéS DE DévELOppEmENT COmmErCIAL DE mONTréAL 23

LES OBJECTIFS DE L’ASDCM9

LES SDC DE LA VILLE DE MONTRÉAL

MissionFavoriser le rayonnement et la notoriété de l’artère commerciale en créant un milieu propice à la réussite individuelle de ses membres.

VisionPromouvoir La Promenade Fleury. Accroître le dynamisme commercial de l’artère. Répondre aux besoins de consommation des citoyens. Offrir des services collectifs aux membres. Représenter ses membres auprès des différentes instances gouvernementales pour faire valoir leurs points de vue au sujet de préoccupations communes. Réaliser des travaux d’amélioration physiques.

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Dans l’aire de marché principal1

41 801 résidantsÜÜ 2

1 485 entreprisesÜÜ 3

12 364 travailleursÜÜ 4

La typologie commerciale des 235 membres de la SDC5

restaurants et divertissements : 10 % services personnels : 16 % services professionnels et bureaux : 39 % biens courants : 10 % biens semi-courants : 14 % biens réfléchis : 11 %

BudgetRépartition du budget selon le type d’expérience pour le consommateur. Pour chaque dollar investi :

1 Convercité, Enquête sur les usagers des artères commerciales montréalaises, 2002. Sondage réalisé sur rue, 247 répondants, marge d’erreur de 5,9 % 19 fois sur 20. Détails sur www.convercite.org. Le marché principal regroupe 70 % des répondants

2 Statistique Canada, Recensement 2006

3 InfoCanada 2006

4 InfoCanada 2006

5 Cette typologie commerciale a été réalisée à partir des données fournies par le Service des finances de la Ville de Montréal, décembre 2007.

Expérience exceptionnelle : 9 cents

Expérience mémorable : 89 cents

Expérience plaisante : 2 cents

La Promenade Fleury en chiffres235 membres

843 emplois1

312 500 $ de budget en 2007

210 000 $ de cotisations des membres en 2007

111 000 000 $ estimé2 des ventes du commerce de détail, sur le territoire de la SDC

15 500 000 $ en TPS et TVQ du commerce de détail

1 900 000 $ de taxes municipales versées par les membres en 2007

Les principales réalisationsEn plus de la traditionnelle foire commerciale du mois de juin, la Promenade Fleury offre aux résidants du quartier un événement gastronomique et festif de trois jours, la Foire des Saveurs. Sous un chapiteau, tous les publics sont conviés à diverses activités sur le thème de la gastronomie. Que ce soit par des dégustations « de vins et de fromages », des invités spéciaux, des démonstrations de techniques culinaires, un concours de tarte aux pommes, des activités pour les tout-petits ou par la mise en valeur des boutiques alimentaires, des épiceries fines et des restaurateurs de l’artère, la Promenade Fleury propose un vrai cocktail d’activités !

1 InfoCanada 2006 calcul de la médiane

2 Cet estimé a été réalisé à partir des données du Service des finances de la Ville de Montréal sur la superficie des types de com-merces de détail de chaque SDC. Ces données ont ensuite été croisées avec la valeur médiane des ventes au pied carré estimées par Dollars and Cents. Il s’agit d’un estimé conservateur puisque les rendements de certains types de places d’affaires ne peuvent être évalués par cette méthode. Notons également que tous les bureaux de professionnels et les grandes entreprises sont exclus du calcul.

N

ArrONDISSEmENT AHUNTSIC – CArTIErvILLE 27Coordonnées

Directrice générale Marie-Hélène ViauAdresse 1473, rue Fleury Est Montréal (Québec) H2C1S3Téléphone 514.387.0022Télécopieur 514.387.7032Courriel [email protected] web www.promenadefleury.comConstitution 1984

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Expérience exceptionnelle : 6 cents

Expérience mémorable : 94 cents

Expérience plaisante : 0 cent

BudgetRépartition du budget selon le type d’expérience pour le consommateur. Pour chaque dollar investi :

MissionLa mission de l’association est de faire de la Promenade Ontario un endroit agréable et sécuritaire, où on peut magasiner en toute tranquillité et avec plaisir. L’associa-tion organise de nombreux événements telles une parade de Noël, des ventes trottoir, des activités d’animation pour l’Halloween, etc.

Dans l’aire de marché principal1

44 026 résidantsÜÜ 2

1 300 entreprisesÜÜ 3

15 228 emplois générésÜÜ 4

La typologie commerciale des 200 membres de la SDC5

restaurants et divertissements : 17 % services personnels : 7 % services professionnels et bureaux : 20 % biens courants : 16 % biens semi-courants : 20 % biens réfléchis : 19 %

1 Convercité, Enquête sur les usagers des artères commerciales montréalaises, 2002. Sondage réalisé sur rue, 273 répondants, marge d’erreur de 5,9 % 19 fois sur 20. Détails sur www.conversite.org. Le marché principal regroupe 74 % des répondants

2 Statistique Canada, Recensement 2006

3 InfoCanada 2006

4 InfoCanada 2006

5 Cette typologie commerciale a été réalisée à partir des données fournies par le Service des finances de la Ville de Montréal, décembre 2007.

ArrONDISSEmENT mErCIEr — HOCHELAGA-mAISONNEUvE 29

La Promenade Ontario en chiffres200 membres

1 388 emplois1

404 500 $ de budget en 2007

350 000 $ de cotisations des membres en 2007

113 000 000 $ estimé2 des ventes du commerce de détail, sur le territoire de la SDC

16 000 000 $ en TPS et TVQ du commerce de détail

1 400 000 $de taxes municipales versées par les membres en 2007

Les principales réalisationsSur la Promenade Ontario, l’aménagement de la Place Valois en partenariat avec la Ville de Montréal et les propriétaires riverains a permis de créer un cœur d’animation agréable et convivial pour toute la rue. « C’est une place publique, un lieu de diffusion culturelle et un pôle commercial. Le projet, de plus de 12 millions de dollars, intègre de nouveaux immeubles abritant des commerces et des logements. Ce projet s’insère dans une volonté de développement d’un secteur culturel fort dans le quartier ».1

Des 12 millions de dollars, les investissements publics représentent 5 millions de dollars, tandis que le secteur privé a investi 7 millions de dollars.

Par ailleurs, en plus des deux ventes-trottoir annuelles, le défilé de nuit de Noël attire près de 100 000 parents et enfants.

1 InfoCanada 2006 calcul de la médiane

2 Cet estimé a été réalisé à partir des données du Service des finances de la Ville de Montréal sur la superficie des types de com-merces de détail de chaque SDC. Ces données ont ensuite été croisées avec la valeur médiane des ventes au pied carré estimées par Dollars and Cents. Il s’agit d’un estimé conservateur puisque les rendements de certains types de places d’affaires ne peuvent être évalués par cette méthode. Notons également que tous les bureaux de professionnels et les grandes entreprises sont exclus du calcul.

N

CoordonnéesDirecteur général Roger GallagherAdresse 4026, rue Ontario Est Montréal (Québec) H1W 1T2Téléphone 514.522.6581Télécopieur 514.522.6581Courriel [email protected] web www.promenade-ontario.comConstitution 1981

MissionAméliorer et promouvoir la Promenade Sainte-Catherine Est

VisionLa Promenade Sainte-Catherine Est est une artère commerciale aux riches héritages culturel et historique. La SDC, de concert avec les nouveaux commerçants, met en valeur ces spécificités pour plaire aux nouveaux arrivants du quartier Hochelaga-Maisonneuve.

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Dans l’aire de marché principal1 9 443 résidants ÜÜ 2

238 entreprises ÜÜ 3

2 230 travailleursÜÜ 4

La typologie commerciale des 130 membres de la SDC5

Expérience exceptionnelle : 7 cents

Expérience mémorable : 86 cents

Expérience plaisante : 7 cents

BudgetRépartition du budget selon le type d’expérience pour le consommateur. Pour chaque dollar investi :

1 Convercité, Enquête sur les usagers des artères commerciales montréalaises, 2002. Sondage réalisé sur rue, 188 répondants, marge d’erreur de 6% 19 fois sur 20. Détails sur www.convercite.org. Le marché principal regroupe 67% des répondants

2 Statistique Canada, Recensement 2006

3 InfoCanada 2006

4 InfoCanada 2006

5 Cette typologie commerciale a été réalisée à partir des données fournies par le Service des finances de la Ville de Montréal, décembre 2007.

La Promenade Sainte-Catherine Est en chiffres130 membres

1 013 emplois1

187 700$ de budget en 2007

110 000$ de cotisations des membres en 2007

80 000 000 $ estimé2 des ventes du commerce de détail, sur le territoire de la SDC

11 000 000 $ en TPS et TVQ du commerce de détail

145 000 $ de taxes municipales versées par les membres en 2007

Coordonnées :Directeur général Jimmy B. VigneuxAdresse 4262, rue Sainte-Catherine Est, bureau 204 Montréal, (Québec) H1V 1X6Téléphone 514.254.4242Télécopieur 514.254.6003Courriel [email protected] web www.ste-cath.comConstitution 1983

Les principales réalisationsLe Grand débarras : un événement environnemental et artistique, durant trois samedis de l’été, offre aux artistes, aux peintres, aux sculpteurs et aux musiciens la possibilité d’exposer leurs talents en produisant leurs œuvres directement sur le domaine public. Des activités de peinture à la gouache pour tous complètent le « tableau ». De cette façon, les passants ont pu peindre les trottoirs et animer la vente trottoir du même coup !

Noël sur la Sainte-Catherine Est : lutins et Père Noël sont postés à divers endroits stratégiques (Marché Maisonneuve, métro Pie-IX, métro Viau et sur la rue Sainte-Catherine Est) afin de distribuer des milliers de dollars en chèques-cadeaux. En complément, un organisme communautaire organise une levée de fonds dans le parc Morgan. Les fonds ont été amassés pour les enfants démunis du quartier Hochelaga-Maisonneuve.

ArrONDISSEmENT mErCIEr — HOCHELAGA-mAISONNEUvE 31

1 InfoCanada 2006 calcul de la médiane

2 Cet estimé a été réalisé à partir des données du Service des finances de la Ville de Montréal sur la superficie des types de com-merces de détail de chaque SDC. Ces données ont ensuite été croisées avec la valeur médiane des ventes au pied carré estimées par Dollars and Cents. Il s’agit d’un estimé conservateur puisque les rendements de certains types de places d’affaires ne peuvent être évalués par cette méthode. Notons également que tous les bureaux de professionnels et les grandes entreprises sont exclus du calcul.

N

restaurants et divertissement : 16 % services personnels : 4 % services professionnels et bureaux : 28 % biens courants : 21 % biens semi-courants : 7 % biens réfléchis : 20 %

MissionContribuer au développement économique, social et culturel du boulevard Saint-Laurent, entre la rue Sherbrooke et l’avenue du Mont-Royal.

VisionFavoriser le développement des affaires ; mettre en valeur l’histoire et la diversité culturelle du boulevard et préserver son caractère non-conformiste ; informer les membres et favoriser la synergie entre eux ; augmenter la qualité de vie et l’esthétique du boulevard ; représenter les membres et défendre leurs intérêts.

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Dans l’aire de marché de proximité1

41 214 résidantsÜÜ 2

3 223 entreprisesÜÜ 3

35 135 travailleursÜÜ 4

La typologie commerciale des 600 membres de la SDC5

restaurants et divertissement : 19 % services personnels : 4 % services professionnels et bureaux : 55 % biens courants : 4 % biens semi-courants : 10 % biens réfléchis : 8 %

Expérience exceptionnelle : 30 cents

Expérience mémorable : 43 cents

Expérience plaisante : 27 cents

BudgetRépartition du budget selon le type d’expérience pour le consommateur. Pour chaque dollar investi :

1 Convercité, Enquête sur les usagers des artères commerciales montréalaises, 2002. Sondage réalisé sur rue, 207 répondants, marge d’erreur de 5,9% 19 fois sur 20. Détails sur www.convercite.org Le marché de proximité regroupe 35% des répondants.

2 Statistique Canada, Recensement 2006

3 InfoCanada 2006

4 InfoCanada 2006

5 Cette typologie commerciale a été réalisée à partir des données fournies par le Service des finances de la Ville de Montréal, décembre 2007.

N

Le boulevard Saint-Laurent en chiffres600membres

6 565 emplois1

631 000 $ de budget en 2007

420 000 $ de cotisations des membres en 2007

222 000 000 $ estimé2 des ventes du commerce de détail, sur le territoire de la SDC

31 000 000 $ en TPS et TVQ du commerce de détail

8 000 000 $ de taxes municipales versées par les membres en 2007

Coordonnées :Directrice générale Sandra FénelonAdresse 4398, boulevard Saint-Laurent, bureau 309 Montréal (Québec) H2W 1Z5Téléphone 514.286.0334Télécopieur 514.286.0967Courriel [email protected] web www.boulevardsaintlaurent.comConstitution 2000

Les principales réalisationsEn 1996, le boulevard Saint-Laurent a été désigné « lieu historique national par le gouvernement du Canada commémorant ainsi ce lieu privilégié par les immigrants à leur arrivée à Montréal ». En 2004, la SDC du boulevard Saint-Laurent collabore avec un collectif d’artistes, l’ATSA, pour créer un parcours visuel permanent qui vise à faire découvrir les richesses de la Main. Ce circuit historique unique, « disponible 24 heures sur 24 sous forme de com-positions graphiques apposées à même ses murs ( … ) témoigne des différents courants marquant son histoire urbaine, sociale, culturelle et économique ».

Une exposition de voitures anciennes lors du Grand Prix ÜÜsur la Main a attiré 300 000 personnes.

La Frénésie de la ÜÜ Main est une foire commerciale offerte deux fois l’an qui attire environ 600 000 personnes.

Dia Das MontrasÜÜ est un concours de vitrines inspiré d’une tradition des Açores. Ce concours incite les membres à mettre en valeur leurs commerces durant la période des Fêtes.

ArrONDISSEmENT LE pLATEAU mONT- rOYAL 33

1 InfoCanada 2006 calcul de la médiane

2 Cet estimé a été réalisé à partir des données du Service des finances de la Ville de Montréal sur la superficie des types de com-merces de détail de chaque SDC. Ces données ont ensuite été croisées avec la valeur médiane des ventes au pied carré estimées par Dollars and Cents. Il s’agit d’un estimé conservateur puisque les rendements de certains types de places d’affaires ne peuvent être évalués par cette méthode. Notons également que tous les bureaux de professionnels et les grandes entreprises sont exclus du calcul.

MissionLa Société de développement de l’Avenue du Mont-Royal (SDAMR) est une corporation sans but lucratif ayant pour mission de promouvoir le développement économique de l’avenue du Mont-Royal. Regroupant les gens d’affaires situés sur l’avenue, entre les rues Saint-Hubert et De Lorimier, la SDAMR voit à défendre les intérêts de ses membres et à répondre à leurs besoins pour le développement de leur entreprise. Fondée en 1984, la Société de développement de l’Avenue du Mont-Royal

réunit 300 entreprises. La création de la SDAMR avait comme objectif, à l’époque, d’organiser les acti vités de promotion et de publicité de l’avenue. Avec les années, ses mandats se sont considérablement élargis. La SDAMR s’affaire non seulement à renforcer le rôle cen-tral de l’avenue sur le plan du développement économique du quartier mais également sur les plans culturel et social afin de développer un sentiment d’appartenance et de fierté chez les résidants et les gens d’affaires.

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Dans l’aire de marché principal1

69 183 résidantsÜÜ 2

4 696 entreprisesÜÜ 3

40 813 travailleursÜÜ 4

La typologie commerciale des 300 membres de la SDC5

restaurants et divertissements : 18 % services personnels : 6 % services professionnels et bureaux : 23 % biens courants : 16 % biens semi-courants : 21 % biens réfléchis : 15 %

Expérience exceptionnelle : 18 cents

Expérience mémorable : 79 cents

Expérience plaisante : 3 cents

BudgetRépartition du budget selon le type d’expérience pour le consommateur. Pour chaque dollar investi :

L’Avenue du Mont-Royal en chiffres300membres

2 692 emplois1

610 900 $ de budget en 2007

450 000 $ de cotisations des membres en 2007

172 000 000 $ Estimé2 des ventes du commerce de détail, sur le territoire de la SDC

24 000 000 $ en TPS et TVQ du commerce de détail

3 000 000 $ de taxes municipales versées par les membres en 2007

Coordonnées :Directeur général Michel DepatieAdresse 1012, avenue du Mont-Royal Est, bureau 101 Montréal (Québec) H2J 1X6Téléphone 514.522.3797Télécopieur 514.522.2413Courriel [email protected] web www.mont-royal.netConstitution 1984

L’accueil du plateauL’avenue Mont-Royal met un kiosque d’accueil et d’information touristique à la disposition des visiteurs du Plateau Mont-Royal pendant la période estivale. En plus de l’information sur l’offre commerciale de l’artère, les agents d’information proposent une trentaine de bicyclettes en vélos-partage, mis gratuitement à la disposition du public, du 12 juin au 31 août. Par ailleurs, des circuits sont développés pour faire découvrir aux visiteurs les murales du quartier.

Les principales réalisationsNuit Blanche sur Tableau Noir, en nomination en 2007 pour deux prix ÜÜaux congrès des Festivals et attractions du Québec (400 000 participants)

Paysages éphémères « Un événement urbain qui consiste en la création, ÜÜchaque été, d’un parcours d’interventions paysagères éphémères qui contribuent à sensibiliser le public aux diverses opportunités de transformations de la ville comme milieu de vie »

Marche de Noël aux flambeaux courus par 5 000 participants à NoëlÜÜ1ÜÜ er plan de développement durable d’une artère commerciale en Amérique du Nord

Bécik Vert, première flotte de vélo-partage à MontréalÜÜSacs de magasinage réutilisablesÜÜProjet pilote de contre-terrassesÜÜConcours Objectif Plateau : concours de photosÜÜLa gestion de l’accueil touristique au Plateau Mont-RoyalÜÜ

1 InfoCanada 2006 calcul de la médiane

2 Cet estimé a été réalisé à partir des données du Service des finances de la Ville de Montréal sur la superficie des types de com-merces de détail de chaque SDC. Ces données ont ensuite été croisées avec la valeur médiane des ventes au pied carré estimées par Dollars and Cents. Il s’agit d’un estimé conservateur puisque les rendements de certains types de places d’affaires ne peuvent être évalués par cette méthode. Notons également que tous les bureaux de professionnels et les grandes entreprises sont exclus du calcul.

1 Convercité, Enquête sur les usagers des artères commerciales montréalaises, 2002. Sondage réalisé sur rue, 307 répondants, marge d’erreur de 5,2 % 19 fois sur 20. Détails sur www.conversite.org. Le marché principal regroupe 53 % des répondants.

2 Statistique Canada, Recensement 2006

3 InfoCanada 2006

4 InfoCanada 2006

5 Cette typologie commerciale a été réalisée à partir des données fournies par le Service des finances de la Ville de Montréal, décembre 2007.

N

ArrONDISSEmENT LE pLATEAU mONT- rOYAL 35

MissionPromouvoir l’activité commerciale et protéger la vie de quartier.

VisionLa Promenade Masson, au cœur d’une qualité de vie.M

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D’Iberville

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Dans l’aire de marché principal1

26 460 résidantsÜÜ 2

577 entreprisesÜÜ 3

4 444 travailleursÜÜ 4

La typologie commerciale des 150 membres de la SDC5

restaurants et divertissements : 24 % services personnels : 6 % services professionnels et bureaux : 25 % biens courants : 15 % biens semi-courants : 15 % biens réfléchis : 15 %

Expérience exceptionnelle : 13 cents

Expérience mémorable : 77 cents

Expérience plaisante : 10 cents

BudgetRépartition du budget selon le type d’expérience pour le consommateur. Pour chaque dollar investi :

1 Convercité, Enquête sur les usagers des artères commerciales montréalaises, 2002. Sondage réalisé sur rue, 199 répondants, marge d’erreur de 6,4 % 19 fois sur 20. Détails sur www.conversite.org. Le marché principal regroupe 68 % des répondants

2 Statistique Canada, Recensement 2006

3 InfoCanada 2006

4 InfoCanada 2006

5 Cette typologie commerciale a été réalisée à partir des données fournies par le Service des finances de la Ville de Montréal, décembre 2007.

La Promenade Masson en chiffres150 membres

1 289 emplois1

311 000 $ de budget en 2007

245 500 $ de cotisations des membres en 2007

84 000 000 $ estimé2 des ventes du commerce de détail, sur le territoire de la SDC

12 000 000 $ en TPS et TVQ du commerce de détail

1 500 000 $ de taxes municipales versées par les membres en 2007

Coordonnées :Directrice générale Doris LaflammeAdresse 5349, 4e avenue Montréal (Québec) H1Y 2V4 Téléphone 514.525.4386Télécopieur 514.525.5018Courriel [email protected] web www.promenademasson.comConstitution 1981

Les principales réalisationsLa Promenade Masson a amorcé un virage vert. En plus du sac de magasinage en coton offert à la clientèle, la SDC fait la promotion d’un air plus sain sur la Promenade. « Coupe les moteurs » est une campagne de sensibilisation, en collaboration avec l’Éco-Quartier Rosemont, qui incite les conducteurs de véhicules à respecter la règlementation en cours.

La promenade masson, coupable de complicité dans le développement économique de l’artère !La direction de la Promenade Masson, les propriétaires d’immeubles ainsi que les membres de la SDC travaillent main dans la main afin d’identifier les opportunités d’affaires et améliorer l’offre commerciale sur l’artère. Cette complicité a contribué à faire de la rue Masson une destination de plus en plus convoitée.

1 InfoCanada 2006 calcul de la médiane

2 Cet estimé a été réalisé à partir des données du Service des finances de la Ville de Montréal sur la superficie des types de com-merces de détail de chaque SDC. Ces données ont ensuite été croisées avec la valeur médiane des ventes au pied carré estimées par Dollars and Cents. Il s’agit d’un estimé conservateur puisque les rendements de certains types de places d’affaires ne peuvent être évalués par cette méthode. Notons également que tous les bureaux de professionnels et les grandes entreprises sont exclus du calcul.

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ArrONDISSEmENT rOSEmONT – LA pETITE-pATrIE 37

Saint-

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Expérience exceptionnelle : 12 cents

Expérience mémorable : 76 cents

Expérience plaisante : 12 cents

BudgetRépartition du budget selon le type d’expérience pour le consommateur. Pour chaque dollar investi :

MissionAvec une équipe d’administrateurs et d’employés, la Plaza Saint-Hubert assure le développement et le rayonnement de sa communauté d’affaires en créant un milieu favorable à la réussite individuelle et collective de ses membres en offrant un service de qualité et des produits répondant aux besoins de ses clients dans un environnement rassembleur ouvert à la diversité.

VisionÊtre reconnu comme l’artère commerciale de référence en matière de développement économique et d’innovation. Devenir le pôle de leadership et d’excellence qui contri-bue activement au développement et au rayonnement des membres.

Dans l’aire de marché de proximité1

96 634 résidantsÜÜ 2

4 000 entreprisesÜÜ 3

28 891 travailleursÜÜ 4

La typologie commerciale des 387 membres de la SDC5

1 Convercité, Enquête sur les usagers des artères commerciales montréalaises, 2002. Sondage réalisé sur rue, 175 répondants, marge d’erreur de 6,2 % 19 fois sur 20. Détails sur www.convercite.org. Le marché de proximité regroupe 46 % des répondants.

2 Statistique Canada, Recensement 2006

3 InfoCanada 2006

4 InfoCanada 2006

5 Cette typologie commerciale a été réalisée à partir des données fournies par le Service des finances de la Ville de Montréal, décembre 2007.

restaurants et divertissements : 7 % services personnels : 6 % services professionnels et bureaux : 23 % biens courants : 2 % biens semi-courants : 42 % biens réfléchis : 19 %

La Plaza Saint-Hubert en chiffres387 membres

2 342 emplois1

790 000 $ de budget en 2007

720 000 $ de cotisations des membres en 2007

252 000 000 $ estimé2 des ventes du commerce de détail, sur le territoire de la SDC

35 000 000 $ en TPS et TVQ du commerce de détail

3 300 000 $ de taxes municipales versées par les membres en 2007

Coordonnées :Directeur général Mike ParenteAdresse 6841, rue Saint-Hubert Montréal (Québec) H2S 2M7Téléphone 514.276.8501Télécopieur 514.276.9303Courriel [email protected] web www.plazasthubert.comConstitution 1981

Les principales réalisationsPlus de 600 000 personnes visitent la Plaza Saint-Hubert grâce à l’organisation de deux ventes trottoir annuelles.

Plaza Saint-Hubert rime avec mariage, c’est bien connu ! On y retrouve plus de 80 boutiques qui desservent la mariée et son cortège.

Le Salon de la mariée au Palais des Congrès est donc un moment fort dans sa programmation compte tenu de ce positionnement cible.

En 2006, le magazine internet J’aime ! J’achète ! a vu le jour. Une innovation dans le marketing de la Plaza.

Le défilé de Noël attire de son côté plus de 20 000 personnes à chaque année.

La plaza Saint-Hubert vit aussi au rythme de son quartierGrâce aux efforts de la SDC pour revitaliser la portion sud de l’artère en colla-boration avec divers partenaires, le taux d’inoccupation a chuté drastique-ment en moins de cinq ans, pour atteindre 1 % de taux d’inoccupation. Résultat : des commerces en alimentation spécialisée, bars, restaurants et boutiques spécialisées ont ouvert leurs portes. Des terrasses y prolongent la période d’animation au-delà même des heures d’ouverture des commerces.

1 InfoCanada 2006 calcul de la médiane

2 Cet estimé a été réalisé à partir des données du Service des finances de la Ville de Montréal sur la superficie des types de com-merces de détail de chaque SDC. Ces données ont ensuite été croisées avec la valeur médiane des ventes au pied carré estimées par Dollars and Cents. Il s’agit d’un estimé conservateur puisque les rendements de certains types de places d’affaires ne peuvent être évalués par cette méthode. Notons également que tous les bureaux de professionnels et les grandes entreprises sont exclus du calcul.

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ArrONDISSEmENT rOSEmONT – LA pETITE-pATrIE 39

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Beau

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Bria

ndSaint-Patrick

Allard

Dans l’aire de marché principal1

29 898 résidantsÜÜ 2

646 entreprisesÜÜ 3

5 428 travailleursÜÜ 4

La typologie commerciale des 160 membres de la SDC

restaurants et divertissements : 13 % services personnels : 17 % services professionnels et bureaux : 28 % biens courants : 21 % biens semi-courants : 9 % biens réfléchis : 11 %

Expérience exceptionnelle : 5 cents

Expérience mémorable : 95 cents

Expérience plaisante : 0 cent

BudgetRépartition du budget selon le type d’expérience pour le consommateur. Pour chaque dollar investi :

1 Convercité, Enquête sur les usagers des artères commerciales montréalaises, 2002. Sondage réalisé sur rue, 290 répondants, marge d’erreur de 5,3 % 19 fois sur 20. Détails sur www.conversite.org. Le marché principal regroupe 82 % des répondants.

2 Statistique Canada, Recensement 2006

3 InfoCanada 2006

4 InfoCanada 2006

5 Cette typologie commerciale a été réalisée à partir des données fournies par le Service des finances de la Ville de Montréal, décembre 2007.

L’Avenue Monk en chiffres160 membres

2 090 emplois1

196 000 $ de budget en 2007

144 000 $ de cotisations des membres en 2007

64 000 000 $ estimé2 des ventes du commerce de détail, sur le territoire de la SDC

9 000 000 $ en TPS et TVQ du commerce de détail

1 300 000 $ de taxes municipales versées par les membres en 2007

Coordonnées :Directrice générale Helen ToddyAdresse 6658, boulevard Monk Montréal (Québec) H4E 3J1Téléphone 514.766.4131Télécopieur 514.766.6427Courriel [email protected] web http://ville-emard.com/SDC/Constitution 1981

Les principales réalisationsAnnuellement, près de 200 vitrines de commerces sont aménagées gra tuite-ment par un service d’étalage professionnel. Ces présentations visuelles comprennent les thèmes saisonniers et les thématiques.

Les mini-lumières installées en permanence le long de notre artère commerciale offre une vue nocturne conviviale au boulevard Monk.

Un projet de « surveillance policière piétonnière » fut créé à partir de deux policiers du PDQ 15 et de la SDC Monk sous l’appellation « Projet Baromètre » qui vient d’être propulsé à travers tous les PDQ du Service de police de Montréal sous la version MAP. Ce tandem se voulait afin de donner à la clientèle, ainsi qu’à la population environnante, un sentiment de sécurité accru sur le boulevard Monk.

L’implantation de cafés-terrasses pour une 2e année sur le boulevard Monk, dans le cadre de la revitalisation de l’artère-Volet aménagement urbain. L’impact de ces installations pour les marchands du boulevard Monk est très positif et suscite un très grand intérêt pour d’autres arrondissements et SDC de la Ville de Montréal.

La SDC entretient un rapport très étroit avec un agent immobilier du secteur afin de développer le marché immobilier, c’est-à-dire, la vente d’immeuble et d’attirer des marchands potentiels, sérieux et d’envergure, dans le but de parvenir à un taux de location commercial offrant un assortiment commercial diversifié.

Enfin, l’avenue Monk peut compter sur la collaboration des services de l’Arrondissement pour divers projets.

N

ArrONDISSEmENT DU SUD-OUEST 41

1 InfoCanada 2006 calcul de la médiane

2 Cet estimé a été réalisé à partir des données du Service des finances de la Ville de Montréal sur la superficie des types de com-merces de détail de chaque SDC. Ces données ont ensuite été croisées avec la valeur médiane des ventes au pied carré estimées par Dollars and Cents. Il s’agit d’un estimé conservateur puisque les rendements de certains types de places d’affaires ne peuvent être évalués par cette méthode. Notons également que tous les bureaux de professionnels et les grandes entreprises sont exclus du calcul.

MissionCréée en août 1997, la Société de développement commercial Wellington est un organisme à but non lucratif qui a pour but de promouvoir le développement des affai-res sur la rue Wellington et par conséquent de contribuer au dynamisme économique de l’arrondissement de Verdun. Située au cœur de la Ville de Verdun, la promenade Wellington s’étend du boulevard LaSalle à l’est à la 6e Avenue à l’ouest. Notre mission est de soutenir les deux cent cinquante commerçants de la rue Wellington dans leur développement d’affaires.

VisionNotre vision à court terme est d’augmenter la visibilité de notre artère, d’accroître l’achalandage tout en améliorant le service à la clientèle et l’apparence des commerces pour qu’à long terme, la Promenade Wellington soit reconnue pour son cachet multiculturel, son ambiance chaleureuse et ses boutiques attrayantes.

6 e Avenue

Wel

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Salle

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Régina

Dans l’aire de marché principal1

33 929 résidantsÜÜ 2

963 entreprisesÜÜ 3

10 192 travailleursÜÜ 4

La typologie commerciale des 247 membres de la SDC5

restaurants et divertissements : 14 % services personnels : 8 % services professionnels et bureaux : 27 % biens courants : 14 % biens semi-courants : 20 % biens réfléchis : 17 %

Expérience exceptionnelle : 3 cents

Expérience mémorable : 85 cents

Expérience plaisante : 12 cents

BudgetRépartition du budget selon le type d’expérience pour le consommateur. Pour chaque dollar investi :

1 Convercité, Enquête sur les usagers des artères commerciales montréalaises, 2002. Sondage réalisé sur rue, 197 répondants, marge d’erreur de 6,2 % 19 fois sur 20. Détails sur www.conversite.org. Le marché principal regroupe 65 % des répondants

2 Statistique Canada, Recensement 2006

3 InfoCanada 2006

4 InfoCanada 2006

5 Cette typologie commerciale a été réalisée à partir des données fournies par le Service des finances de la Ville de Montréal, décembre 2007.

La Promenade Wellington en chiffres247 membres

1 604 emplois1

200 000 $ de budget en 2007

190 000 $ de cotisations des membres en 2007

133 000 000 $ estimé2 des ventes du commerce de détail, sur le territoire de la SDC

19 000 000 $ en TPS et TVQ du commerce de détail

1 400 000 $ de taxes municipales versées par les membres en 2007

Coordonnées :Directrice générale Malika OuakselAdresse 3993, rue Wellington Verdun (Québec) H4G 1V6Téléphone 514.766.6437Télécopieur 514.766.4021Courriel [email protected] web www.promenadewellington.comConstitution 1997

Les principales réalisationsSon cachet multiculturel, son ambiance chaleureuse et ses boutiques attrayantes font de la Promenade Wellington un bassin propice à l’accomplissement de nombreux projets.

Parmi ceux-ci, « Bienvenue aux nouveaux résidants » est une initiative qui vise à accueillir de façon personnalisée chaque nouveau résident. Quatre véhicules identifiés à la SDC arpentent les rues de Verdun pendant la période de déménagement et le personnel offre des chèques-cadeaux et des sacs réuti-lisables de magasinage de la Promenade aux nouveaux arrivants.

« Les Journées de la culture » sont une occasion d’offrir gracieusement des activités telles que l’initiation à l’art de la calligraphie, des conférences sur l’histoire et la culture marocaine, des dégustations de produits, des visites de studios d’enregistrement ou des ateliers de maquillage… Tout pour faire connaître les produits et services des membres.

1 InfoCanada 2006 calcul de la médiane

2 Cet estimé a été réalisé à partir des données du Service des finances de la Ville de Montréal sur la superficie des types de com-merces de détail de chaque SDC. Ces données ont ensuite été croisées avec la valeur médiane des ventes au pied carré estimées par Dollars and Cents. Il s’agit d’un estimé conservateur puisque les rendements de certains types de places d’affaires ne peuvent être évalués par cette méthode. Notons également que tous les bureaux de professionnels et les grandes entreprises sont exclus du calcul.

N

ArrONDISSEmENT DE vErDUN 43

Sherb

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Saint-Urbain

Sainte

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Atwater

Saint-Anto

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La typologie commerciale des 8 000 membres de la SDC1

restaurants et divertissements : 9 % services personnels : 3 % services professionnels et bureaux6 : 73 % biens courants : 2 % biens semi-courants : 7 % biens réfléchis : 7 %

MissionOrganisme sans but lucratif, la Société de développement commercial Destination centre-ville regroupe plus de 8 000 places d’affaires situées entre l’avenue Atwater et les rues Saint-Antoine, Saint-Urbain et Sherbrooke au centre-ville de Montréal. Fondée en 1999, elle constitue la plus grande société de développement commercial (SDC) au Canada.

Contribuer à faire du centre-ville de Montréal un endroit propre, sécuritaire et dynamique de classe mondiale et où il est agréable d’y magasiner, d’y travailler et d’y vivre fait partie intégrante de ses activités.

VisionFaire du centre-ville de Montréal le plus beau et le plus dynamique d’Amérique du Nord

Expérience exceptionnelle : 5 cents

Expérience mémorable : 67 cents

Expérience plaisante : 28 cents

BudgetRépartition du budget selon le type d’expérience pour le consommateur. Pour chaque dollar investi :

La catégorie services professionnels et bureaux comprend 73 % des places d’affaires du centre-ville. Elle inclut les services professionnels (comptables, avocats… ) et les sièges sociaux de grandes entreprises. L’importance de cette catégorie reflète la vocation du centre-ville. Les catégories du commerce de détail, de la restauration, du divertissement et des services personnels regroupent quant à elles quelques 2 100 places d’affaires.

1 Cette typologie commerciale a été réalisée à partir des données fournies par le Service des finances de la Ville de Montréal, décembre 2007.

2 InfoCanada 2006, Données pour le territoire de Destination centre-ville

3 InfoCanada 2006

4 Données recueillies sur les sites internet des universités McGill et Concordia

5 Statistique Canada, Recensement 2006

Destination centre-ville en chiffres8 000 membres

208 887 emplois1

3 491 197 $ de budget en 2007

2 835 000 $ de cotisations des membres en 2007

1 700 000 000 $ estimé2 des ventes du commerce de détail, sur le territoire de la SDC

237 000 000 $ en TPS et TVQ du commerce de détail

378 000 000 $ de taxes municipales versées par les membres en 2007

Coordonnées :Directeur général André PoulinAdresse 2000, rue Peel Montréal (Québec) H3A 2W5Téléphone 514.398.9438Télécopieur 514.398.0074Courriel [email protected] web www.destinationcentreville.comConstitution 1999

Un centre-ville animé !208 887 emplois générés dans le secteurÜÜ 2

8 172 entreprisesÜÜ 3

76 000 étudiants universitairesÜÜ 4

8 941 résidantsÜÜ 5

2 équipements majeurs de diffusion culturelle ÜÜet sportive (Centre Bell, Place des Arts), 2 complexes de salles de cinéma, 5 musées (CCA, MBAM, MAC, McCord, Redpath)

11 festivals majeurs, tout au long de l’année !ÜÜ

Les principales réalisationsDestination centre-ville attire pour son défilé du Père Noël quelques 350 000 spectateurs et plus d’un million de téléspectateurs. De loin le plus couru au Québec, le défilé inaugure en grand la période des Fêtes.

À eux seuls, la Grande braderie estivale, le défilé du Père-Noël et le Festival mode et design de Montréal : Sensation reçoivent plus de 1 200 000 visiteurs. En 2007, la SDC s’est dotée d’un prestigieux magazine, Montréal centre-ville, pour assurer la promotion du centre-ville de ses places d’affaires et du mode de vie urbain. Une équipe de brigade propreté d’une quarantaine de personnes a été mise sur pied. Elle est en opération à l’année et contribue ainsi de manière importante faire du centre-ville de Montréal un lieu accueillant et convivial.

1 LIC 2006 données de juin 2006

2 Cet estimé a été réalisé à partir des données du Service des finances de la Ville de Montréal sur la superficie des types de com-merces de détail de chaque SDC. Ces données ont ensuite été croisées avec la valeur médiane des ventes au pied carré estimées par Dollars and Cents. Il s’agit d’un estimé conservateur puisque les rendements de certains types de places d’affaires ne peuvent être évalués par cette méthode. Notons également que tous les bureaux de professionnels et les grandes entreprises sont exclus du calcul.

N

ArrONDISSEmENT vILLE-mArIE 45

MissionContribuer par nos initiatives à promouvoir le déve lop-pement économique et culturel du Quartier latin, en créant un environnement propre, sécuritaire, unique et divertissant pour nos membres, clientèles et résidants.

VisionCarrefour montréalais des idées, de la culture, du commerce et du divertissement; lieu d’innovation, de développement et d’expression.

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Sherbrooke

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De Maisonneuve

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Dans l’aire de marché de proximité1

74 076 résidantsÜÜ 2

4 389 entreprisesÜÜ 3

48 604 travailleursÜÜ 4 dont un estimé de 1 700 employés5 sur le territoire de la SDC

42 257 étudiants universitairesÜÜ 6

Plus de 12 millionsÜÜ 7 de passages par an à la station de métro Berri-UQAM, la plus fréquentée du réseau de la STM

La typologie commerciale des 156 membres de la SDC5

restaurants et divertissements : 47 %

services personnels : 7 % services professionnels et bureaux : 19 % biens courants :5 % biens semi-courants : 14 % biens réfléchis : 13 %

Expérience exceptionnelle : 27 cents

Expérience mémorable : 52 cents

Expérience plaisante : 21 cents

BudgetRépartition du budget selon le type d’expérience pour le consommateur. Pour chaque dollar investi :

1 Convercité, Enquête sur les usagers des artères com es données.

2 Statistique Canada, Recensement 2006

3 InfoCanada 2006

4 InfoCanada 2006

5 Cette typologie commerciale a été réalisée à partir des données fournies par le Service des finances de la Ville de Montréal, décembre 2007.

6 www.uqam.ca

7 www.stm.info/en-bref/ra2006/ra2006.pdf

Le Quartier latin en chiffres156 membres

1 773 emplois1

450 000 $ budget annuel 2007

247 000 $cotisations des membres en 2007

10 000 000 de visiteurs annuellement

125 000 000 $ estimé2 des ventes du commerce de détail, sur le territoire de la SDC

16 200 000 $en TPS et TVQ du commerce de détail

3 000 000 $ de taxes municipales versées par les membres en 2007

Coordonnées :Directeur général Claude Rainville Adresse 1750, rue Saint-Denis, bureau 202 Montréal (Québec) H2X 3K6Téléphone 514.849.4906Télécopieur 514.849.0090Courriel [email protected] web www.quartierlatin.caConstitution 1994

principaux événements en 2007Tenue de la 25ÜÜ e édition du Festival Juste pour rire

Tenue de la 31ÜÜ e édition du Festival des Fims du Monde au Cinéma du Quartier latin

Les principales réalisations en 20075 000 heures dédiées à la propreté du Quartier latin, ÜÜoffrant ainsi des services complémentaires à ceux offerts par la Ville

Partenariat avec Éco-quartier Saint-Jacques, ÜÜprojet pilote sur les meilleures pratiques de recyclage

Projet pilote de préposés à l’accueil et de prévention des incivilitésÜÜPublication d’un Passeport du Quartier latin ÜÜdestiné aux touristes et visiteurs

Installation de bannières décoratives à l’effigie du Quartier latinÜÜInstallation de bacs à fleurs sur le domaine privé et publicÜÜProduction de deux murales décoratives signées ÜÜpar des artistes professionnels

Installation de plus de 50 000 ampoules de NoëlÜÜ

1 InfoCanada 2006 calcul de la médiane

2 Cet estimé a été réalisé à partir des données du Service des finances de la Ville de Montréal sur la superficie des types de com-merces de détail de chaque SDC. Ces données ont ensuite été croisées avec la valeur médiane des ventes au pied carré estimées par Dollars and Cents. Il s’agit d’un estimé conservateur puisque les rendements de certains types de places d’affaires ne peuvent être évalués par cette méthode. Notons également que tous les bureaux de professionnels et les grandes entreprises sont exclus du calcul.

N

ArrONDISSEmENT vILLE-mArIE 47

© Marie Leconte

MissionPromouvoir et encourager le développement du commerce et des affaires dans le Vieux-Montréal.

McGill

Berri

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e

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Com

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Dans l’aire de marché de proximité4 616 résidantsÜÜ 1

2 940 entreprisesÜÜ 2

174 962 travailleursÜÜ 3

14 000 000 de visiteurs par anÜÜ 4

Nombreux hôtels et restaurantsÜÜPrésence du Vieux PortÜÜ7 muséesÜÜHôtel de Ville de MontréalÜÜ

La typologie commerciale des 2 940 membres de la SDC5

restaurants et divertissements : 8 % services personnels : 1 % services professionnels et bureaux6 : 81 % biens courants : 2 % biens semi-courants : 3 % biens réfléchis : 5 %

Expérience exceptionnelle : 33 cents

Expérience mémorable : 60 cents

Expérience plaisante : 7 cents

BudgetRépartition du budget selon le type d’expérience pour le consommateur. Pour chaque dollar investi :

1 Statistique Canada, Recensement 2006

2 InfoCanada 2006

3 InfoCanada 2006

4 Bureau de promotion du Vieux Montréal

5 Cette typologie commerciale a été réalisée à partir des données fournies par le Service des finances de la Ville de Montréal, décembre 2007.

Le Vieux-Montréal en chiffres2 940 membres

46 816 emplois1

700 300 $ de budget en 2007

626 000$ de cotisations des membres en 2007

14 000 000 de visiteurs annuellement

295 000 000 $ estimé2 des ventes du commerce de détail, sur le territoire de la SDC

41 000 000 $ en TPS et TVQ du commerce de détail

50 000 000 $ de taxes municipales versées par les membres en 2007

Coordonnées :Directeur général Daniel SoucyAdresse 4, rue Notre-Dame Est, bureau 1003 Vieux-Montréal (Québec) H2Y 1B8Téléphone 514.732.8685Télécopieur 514.844.4448Courriel [email protected] web www.sdcvieuxmontreal.comConstitution 2004

1 LIC 2006 données de juin 2006

2 Cet estimé a été réalisé à partir des données du Service des finances de la Ville de Montréal sur la superficie des types de com-merces de détail de chaque SDC. Ces données ont ensuite été croisées avec la valeur médiane des ventes au pied carré estimées par Dollars and Cents. Il s’agit d’un estimé conservateur puisque les rendements de certains types de places d’affaires ne peuvent être évalués par cette méthode. Notons également que tous les bureaux de professionnels et les grandes entreprises sont exclus du calcul.

N

ArrONDISSEmENT vILLE-mArIE 49

Les principales réalisationsLa particularité du Vieux-Montréal est la quantité impressionnante d’événements culturels auxquels la SDC s’associe. Du Festival Montréal en lumière en février jusqu’aux Fééries du Vieux-Montréal (35 000 visiteurs) de la Place Jacques-Cartier et du Vieux-Port en décembre, pas moins de trente événements se produisent sur le territoire de la SDC. Il suffit de nommer Les Symphonies portuaires, la Journée des musées (40 000 visiteurs), pour reconnaître la vitalité du Vieux-Montréal. N’oublions pas la Grande Mascarade avec ses 70 000 visiteurs, la Semaine de la mode, Montréal Baroque, etc.

Les petits déjeuners du Vieux Montréal sont des occasions uniques pour permettre aux gens d’affaires d’être au fait de tout ce qui se passe dans ce quartier historique très animé, d’échanger sur les bonnes pratiques d’affaires et sur les enjeux touchant le quartier et de faire du réseautage tout en découvrant un nouveau restaurant à chaque mois. Cette activité vise à entretenir auprès des professionnels et marchands un sentiment d’appartenance face à leur communauté d’affaires.

© Marie Leconte

Saint-Hubert

René-Lévesque

De Maisonneuve

Robin

Sainte-Catherine

Cartier

Papineau

Am

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Dans l’aire de marché de proximité1

32 404 résidantsÜÜ 2

2 411 entreprisesÜÜ 3

45 056 travailleursÜÜ 4

La typologie commerciale des 284 membres de la SDC5

restaurants et divertissements : 24 % services personnels : 4 % services professionnels et bureaux : 48 % biens courants : 10 % biens semi-courants : 6 % biens réfléchis : 9 %

couleur

noir et blanc lettrage plein

noir et blanc lettrage en filet

renversé couleur

renversé noir et blanc

Expérience exceptionnelle : 6 cents

Expérience mémorable : 83 cents

Expérience plaisante : 11 cents

BudgetRépartition du budget selon le type d’expérience pour le consommateur. Pour chaque dollar investi :

VisionAu Village, nous croyons…

En elle, en lui, aux enfants, à la jeunesse, en la sagesse. Nous croyons, que les différences doivent enrichir plutôt que diviser. Nous croyons en la liberté, la vraie, celle qu’il faut parfois obtenir dans des débats d’idées. Nous croyons qu’elle est l’essence qui renouvelle et fait grandir le genre humain. Nous voulons en être l’un de ses creusets. Nous croyons au jour et en la nuit. Nous croyons aux artistes, aux créateurs, aux innovateurs aussi. Nous croyons en un Village qui fleurit au vent des tendances, enraciné avec force dans des valeurs qui traversent le temps !

Nous croyons en un espace qui flamboie du rouge de la vie, de l’orangé des rapprochements humains, du jaune du soleil, du vert de la nature, du bleu de l’art, du violet de la spiritualité ! Plus fondamentalement encore, nous croyons en un lieu qui resplendit de toutes les couleurs de la vie. Nous croyons que l’Homme et la Femme doivent être le centre d’une expérience unique lorsqu’ils viennent au Village. Nous croyons aux sens, à tout ce qui les stimule et les branche à la VIE ! Nous croyons au cœur et son rythme, nous croyons-en la musique ! Nous croyons aux êtres qui habitent et animent le Village.

Nous croyons que le Village doit devenir LA destination gaie mondiale. Nous voulons devenir Le village du monde ! Nous croyons aussi qu’au moment de cette déclara-tion, chacun des participants au Village saura amorcer une transformation profonde en vue de l’atteinte de cet objectif. Venez vivre le Village il y aura une place pour cha-cune des libertés que vous voudrez bien vous accorder. C’est ainsi qu’il est né, c’est ainsi qu’il vit, c’est ainsi qu’il sera !

1 Convercité, Enquête sur les usagers des artères commerciales montréalaises, 2002. Sondage réalisé sur rue, 180 répondants, marge d’erreur de 6,2 % 19 fois sur 20. Détails sur www.conversite.org. Le marché de proximité regroupe 41 % des répondants

2 Statistique Canada, Recensement 2006

3 InfoCanada 2006

4 InfoCanada 2006

5 Cette typologie commerciale a été réalisée à partir des données fournies par le Service des finances de la Ville de Montréal, décembre 2007.

Le Village en chiffres300 membres

2 282 emplois1

602 500 $ de budget en 2007

500 000 $ de cotisations des membres en 2007

188 000 000 $ estimé2 des ventes du commerce de détail, sur le territoire de la SDC

26 000 000 $ en TPS et TVQ du commerce de détail

11 000 000 $ de taxes municipales versées par les membres en 2007

Coordonnées :Directeur général Bernard PlanteAdresse 1324, rue Sainte-Catherine Est Montréal (Québec) H2L 2H5Téléphone 514.529.1168Télécopieur 514.529.3063Courriel [email protected] web www.unmondeunvillage.comConstitution 2005

Les principales réalisationsL’été dans le Village, l’originalité des aménagements horticoles, en plus d’égayer les rues Sainte-Catherine Est et Amherst, constitue un outil de pro-motion efficace. Les célèbres « palmiers » du Village ont retenu l’attention des médias à plusieurs reprises. Fait intéressant, l’achat des plantes s’autofinance en partie par leur vente à la fin de la belle saison. De plus, des éléments déc-oratifs viennent orner les lampadaires et servent à identifier le périmètre de ce quartier touristique reconnu à l’échelle internationale.

Après deux expériences de piétonnisations durant les étés 2006 et 2007, la portion « Village » de la rue Sainte-Catherine est devenue la première artère commerciale d’importance à être piétonnisée à Montréal durant l’été 2008, pour le plus grand plaisir de tous.

De plus, les collaborations avec des événements majeurs contribuent au succès du Village. Le Festival international Montréal en art et Divers / Cité emmènent 600 000 personnes. La Journée communautaire et le Défilé de la Fierté en drainent environ 100 000.

1 InfoCanada 2006 calcul de la médiane

2 Cet estimé a été réalisé à partir des données du Service des finances de la Ville de Montréal sur la superficie des types de com-merces de détail de chaque SDC. Ces données ont ensuite été croisées avec la valeur médiane des ventes au pied carré estimées par Dollars and Cents. Il s’agit d’un estimé conservateur puisque les rendements de certains types de places d’affaires ne peuvent être évalués par cette méthode. Notons également que tous les bureaux de professionnels et les grandes entreprises sont exclus du calcul.

N

ArrONDISSEmENT vILLE-mArIE 51

© Tourisme Montréal, Stéphan Poulin

CONCLUSION

C.R.

Comme en témoigne ce document, nous avons pris grand soins de procéder à une analyse complète qui démontre, hors de tout doute, l’importance des SDC dans le développement économique des principaux quartiers de Montréal.

La relance des quartiers de Montréal en tant que milieu de vie social, culturel et commercial, passe nécessairement par un parte-nariat public/privé entre l’ASDCM, la Ville de Montréal et ses arrondis-sements.

Nous croyons qu’avec le support de la Ville et notre engage-ment, nous serons en mesure de changer pour le mieux le visage de Montréal.

Remerciements

La publication de ce document a nécessité temps, rigueur et engagement. Je tiens, au nom du conseil d’administration de l’ASDCM et de tous ses membres, à remercier chaleureusement pour leur contribution :

Élizabeth Rivest, Convercité Pier-Luc St-Germain, thomas Conception graphique maryo thomas, thomas Conception graphique Mike Parente, SDC de la Plaza Saint- Hubert, membre de l’exécutif de l’ASDCM Michel Depatie, SDC de l’Avenue du Mont-Royal, membre de l’exécutif de l’ASDCM Pierre Boudreault, SDC Destination centre-ville