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VENTE DE PHOTOS AU PROFIT DE L’ASSOCIATION ANJALI HOUSE SIEM REAP - CAMBODGE DU 2 AU 6 MARS 2015 ATELIER YANN ARTHUS-BERTRAND 15 rue de Seine - 75006 Paris Contact Françoise Callier +33 6 80 94 75 28 [email protected] www.anjali-house.com

Anjali House Charity Print Sale Catalogue

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Thanks to the generosity of Yann Arthus-Bertrand, we have a special opportunity for a beneficial fundraising event to support the Cambodian NGO Anjali House (www.anjali-house.com). Atelier Yann Arthus-Bertrand will host a unique exhibition and charity print sale, with all proceeds going directly to Anjali House, a safe haven for more than 80 underprivileged children in Siem Reap which provides the children with food, education, healthcare and avenues for creative expression. We are humbled and grateful by the generous response, and we thank the 22 renowned photographers who have kindly donated a print towards this charity sale!

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VENTE DE PHOTOS AU PROFIT DE L’ASSOCIATION

ANJALI HOUSE SIEM REAP - CAMBODGE

DU 2 AU 6 MARS 2015ATELIER YANN ARTHUS-BERTRAND

15 rue de Seine - 75006 Paris

ContactFrançoise Callier

+33 6 80 94 75 [email protected]

www.anjali-house.com

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Abir Abdullah « People from Old Dhaka »28x35 - 300€

Antoine d’Agata « Sao Paolo », 2006Artist Proof45x60 - Prix à venir

People from old Dhaka © Abir Abdullah / EPA

Sao Paolo, 2006 © Antoine d’Agata / Magnum Photos

Né au Bangladesh en 1971, Abir Abdullah a débuté la photographie en 1996 à la Drik Picture Library, Dacca, Bangladesh. Depuis 2005, il photographie les incendies qui ravagent son pays. «Qu’ils soient riches ou pauvres, tous les habitants de la capitale Dacca peuvent être les victimes de ce fléau meurtrier,» dit le photographe.Des habitations aux lieux de travail, des centres commerciaux aux espaces publics la menace du feu est omniprésente. À défaut d’un code du bâtiment et d’une lutte anti-incendie appropriés, la ville est devenue un piège mortel qui peut à tout moment se refermer sur ses habitants.

Antoine d’Agata, dès l’âge de 17 ans, interrompt ses études pour vivre dans le monde de la nuit, à travers une dizaine de pays dans le monde. Cette période durera douze ans. Alors qu’il séjourne à New York en 1991, il s’inscrit à l’International Center of Photography où il suit notamment les cours de Larry Clark et de Nan Goldin. En 1993, il s’installe en France et travaille comme maçon et barman jusqu’en 1997 quand il reprend la route et recommence à photographier. En 1998 paraissent ses premiers ouvrages, De Mala Muerte et De Mala Noche. L’année suivante, il rejoint la galerie Vu à peine créée par Christian Caujolle. En 2001, il reçoit le prix Niépce. En septembre 2003 est inaugurée à Paris l’exposition 1001 Nuits, qu’accompagne la sortie de deux ouvrages, Vortex et Insomnia. En 2004, il intègre l’agence Magnum, publie son cinquième livre, Stigma, et tourne son premier court-métrage, El Cielo del muerto. L’année suivante paraît Manifeste. En 2006, le photographe tourne son deuxième film, Aka Ana, à Tokyo. Depuis 2005, sans port d’attaches, Antoine D’Agata photographie à travers le monde en vue de plusieurs expositions et ouvrages rétrospectifs prévus entre 2011 et 2013 : Musée Niépce, Paris, 2011 / Fotomuseum La Haye 2012 / Le Bal, Paris, 2013 / MuCEM, Marseille, 2013 / Forma, Milan, 2013.

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Yann Arthus-Bertrand « Lionceau Mordant la Queue d’un Lion Adulte dans le parc de Masaï Mara » KenyaPapier Fine Art Hahnemülhe 33x50 – 500€

Lionceau Mordant la Queue d’un Lion Adulte dans le parc de Masaï Mara, Kenya © Yann Arthus-Bertrand

Yann Arthus-Bertrand est né en 1946. Il s’est toujours passionné pour le monde animal et les espaces naturels. A l’âge de 20 ans, il s’installe dans le centre de la France et dirige une réserve naturelle.A trente ans, il part passe 3 ans au Kénya avec son épouse Anne. C’est véritablement à ce moment qu’il trouve sa vocation : témoigner par l’image de la beauté de la Terre mais aussi de l’impact de l’homme sur la planète.Prolongeant son engagement pour la cause environnementale, le photographe crée la Fondation GoodPlanet. Depuis 20045, cette ONG s’investit dans l’éducation à l’environnement ainsi que la lutte contre le changement climatique et ses conséquences.

Jehsong Baak « Peter Next to Drawings » - Paris, 2004Tirage baryté argentique, tiré par Jehsong Baak à Paris en 200630x45,5 - Edition 3/10 - 800€

Peter Next to Drawings - Paris, 2004 © Jehsong Baak

Jehsong Baak est un photographe américain vivant à Paris. A l’âge de neuf ans, Baak quitte sa Corée du Sud natale pour les Etats-Unis. Ayant découvert la photographie pendant son adolescence, Baak quitte l’Université du Michigan pour New York afin de se consacrer uniquement à son travail photographique. Il s’installe à Paris en 1998.En 2006, sa première monographie, « Là ou Ailleurs », est publiée par Robert Delpire. Cette publication est suivie par un second livre, Photographs, publié en 2008 par HUP Gallery à Amsterdam. Expositions personnelles à Paris, New York, Amsterdam, Los Angeles, Istanbul et Milan. Ses photographies se trouvent aujourd’hui dans les collections de la Corcoran Gallery de Washington, du Houston Museum of Fine Arts, dans la JP Morgan Chase Art Collection, au Musée Maillol ou encore au Wilson Center of Photography à Londres ainsi que dans de nombreuses collections privées.Les photographies de Jehsong Baak sont le reflet de ses nombreux voyages et les témoins de son regard incisif sur le monde. Ces thèmes peuvent sembler vastes mais toutes ces photographies sont reliées par leur nature intemporelle.

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Roger Ballen« Crying Boy 2012 »Archival Pigment Print60x60 – Edition 6/10 – 2 000€

Crying Boy, 2012 © Roger Ballen / Agence VU’

Né à New York en 1950, Roger Ballen vit et travaille depuis 1982 à Johannesburg, en Afrique du Sud. De 1982 à 2008, Il a produit huit livres. Son style a évolué du photojournalisme vers une vision artistique singulière. Depuis qu’il a commencé la photographie il y a plus de quarante ans, les animaux sont un thème essentiel de son œuvre. Son travail a été exposé dans d’importantes institutions à travers le monde et fait partie de nombreuses collections de musées, comme le Centre Georges-Pompidou, la Tate Gallery à Londres, ou le musée d’Art moderne de New York. Lauréat du Prix des Rencontres internationales de la photographie d’Arles en 2002.

Patrick Chauvel « Opération Pacification » Rio de Janeiro 201350x70 – 1 800€

Opération Pacification, Rio de Janeiro, 2013 © Patrick Chauvel

Le reporter-photographe de guerre français Patrick Chauvel naît en 1949. Il est également écrivain, romancier, réalisateur et acteur.Patrick Chauvel est l’un des rares reporters à avoir couvert les conflits majeurs de ces quarante dernières années.Comme lui, ses images ont fait le tour du monde : Thaïlande, Pakistan, Israël, Palestine, Irak, Kosovo, Panama, Liban, Colombie, Angola mais encore le Cambodge ou l’Irlande du Nord.L’oeil dans le viseur d’un appareil photo ou d’une caméra, le grand reporter de guerre a consacré sa vie à témoigner.Patrick Chauvel a reçu, entre autres, le prix World Press et le prix du photojournalisme d’Angers.

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Denis Dailleux « Le Dos à la Farine »48x48 – 1 300€

Le Dos à la Farine © Denis Dailleux / Agence VU’

Français. Né en 1958 à Angers. Vit au Caire (Egypte) depuis une dizaine d’années. Il est représenté par la galerie Camera Obscura (Paris) et la Galerie 127 (Marrakech). « Avec la délicatesse qui le caractérise, il pratique une photographie apparemment calme, incroyablement exigeante, traversée par des doutes permanents et mue par l’indispensable relation personnelle qu’il va entretenir avec ce - et ceux – qu’il va installer dans le carré de son appareil». Christian Caujolle.Depuis quelques années, tout en continuant à photographier l’Egypte (Égypte : Les martyrs de la révolution ou Mère et Fils), Denis Dailleux se rend régulièrement au Ghana où il explore de nouvelles relations au corps et à l’espace, à la vie et à la mort, à la communauté, à la mer, qui ouvrent de nouveaux horizons à sa recherche photographique.

Lâm Duc Hiên « Clint Eastwood » - Cannes 2003Tirage Argentique Baryté40x50 – 1 200€

Client Eastwood, Cannes, 2003 © Lâm Duc Hiên

Lâm Duc Hiên est né au Laos en 1966 de parents vietnamiens. La guerre civile le pousse à fuir son pays de naissance en 1975 pour les camps de réfugiés de Thaïlande, avant de s’exiler en France en 1977. Diplômé des Beaux-Arts, il devient photographe et suit des organisations humanitaires. Il couvre la Roumanie libérée du joug de Ceausescu, la Russie, les zones de conflit : Mauritanie, Kurdistan, Soudan, Bosnie.Il obtient le World Press en 2001 pour une série de portraits sur les « Irakiens sous embargo ». Il est l’auteur du livre Le Mékong, édité aux Éditions du Chêne en 2007, et de l’exposition « Mékong, histoires d’hommes » sur les grilles du Jardin du Luxembourg en 2010.« Clint Eastwood ne veut pas assister à la projection officielle de « Mystic River ». Il est au Café des Palmes, c’est là qu’il m’accorde la seule séance de photos de son séjour, en exclusivité pour Le Monde.

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Sohrab Hura « Allahabad 2007 »Artist Proof30x40 – 400€

Allahabad, 2007 © Sohrab Hura / Magnum Photos

Sohrab Hura est né le 17 Octobre 1981 en Inde à Chinsurah au Bengale occidental. Il a grandi en changeant ses ambitions d’une chose passionnante à l’autre. Il a commencé avec le rêve de devenir un chien, plus tard il voulait devenir un super-héros, ensuite un vétérinaire, un herpétologiste et enfin un cinéaste animalier. Aujourd’hui, après avoir terminé une Maîtrise en Economie, il est photographe. Il est actuellement le coordinateur des workshops photo offerts chaque année aux enfants d’Anjali House pendant l’ « Angkor Photo Festival & Workshops », à Siem Reap au Cambodge.Sohrab Hura st basé à New Delhi.

Michel Kirch « Une Ultime Conversation » 42x42 - Edition 1/8 – 1 900€

Une ultime conversation © Michel Kirch

Michel Kirch naît à Metz en 1959.Médecin et photographe, Michel Kirch expose ses créations photographiques depuis 15 ans et se consacre totalement à son art depuis 4 ans. A ce jour, 53 expositions dont 27 personnelles dans 12 pays. Invité par de grandes institutions dont l’UNESCO, l’ambassade de France en Inde, Angkor Photo Festival & Workshops. Nommé Ambassadeur du Club UNESCO en 2010, Grand Prix AZART Photo en 2010, Grand Prix Black and White Magazine en 2013, et Grand Prix Eurazeo pour la Photographie en 2013.«Nul n’avait encore pensé à faire poésie de la réunion d’éléments photographiques hétérogènes, ce qui constitue l’innovation créatrice de Michel Kirch. Ses oeuvres comportent intégralement le réel photographique comme ingrédient nécessaire et suffisant dans un art de la composition qui transfigure le réel, lui donne les qualités du rêve mais sans irréalité, avec sur-réalité.» Edgar Morin

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Gary Knight « Geisha »29x44 - 500€

Geisha © Gary Knight / VII

« Ma carrière a commencé en Asie du Sud-Est en 1988, elle a été caractérisée par une évolution constante et une réticence à être confiné. Au cours des 25 dernières années, j’ai photographié pour les magazines d’information, j’ai dirigé des magazines d’art, conçu des livres, etc… J’ai fondé l’Agence VII. J’étais jeune, romantique et impulsif . Mon but était alors le désir d’échapper à la perspective d’une vie mondaine à la maison en Angleterre et une fascination pour un monde qui m’était inconnu. Le début de ma carrière fut explosif, je suis devenu très impliqué dans les événements au Cambodge, les Khmers rouges, leurs alliés et les vietnamiens. Ce travail a été le début de mon profond intérêt pour la culture de l’Asie du Sud-Est.En 2005, avec des amis, nous avons fondé le Angkor Photo Festival & Workshops à Siem Reap.

Alain Laboile « En Attendant le Facteur » - Bordeaux 2007Digital Pigment Print40x50 – - Edition 6/30 - 1 200€

En attendant le facteur, Bordeaux, 2007 © Alain Laboile

Né le 1er mai 1968 à Bordeaux, en France. En 2004 il fait l’acquisition d’un appareil photo numérique afin d’illustrer son activité de sculpteur.«J’ai 6 enfants, ils sont une source inépuisable d’inspiration. Nous vivons en pleine campagne dans une vieille maison bordée d’un ruisseau, sans télévision. Nous aimons dire que notre existence se déroule au bord du monde. Nous ne sommes pas marginalisés, les enfants sont scolarisés, j’exerce toujours ma profession de sculpteur mais nous cultivons toutefois notre liberté un peu sauvage. Ce journal photographique familial a démarré sans aucun calcul de ma part. C’est le partage sur le web et les témoignages émanant d’internautes disséminés dans le monde entier qui m’ont fait prendre conscience de son impact. Je crois que cette série doit son succès à l’universalité et l’intemporalité qu’elle dégage. Elle renvoie chaque lecteur à une part d’enfance, vécue, perdue ou fantasmée »

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Sean Lee« Lady and the Sea » 20x30 – 300€

Lady and the Sea © Sean Lee / MoST Artists

Sean Lee est né à Singapour en 1985. Son premier travail « Shauna » a été nominé pour « Le Prix Découvertes » à Arles.Ensuite, en 2011, « Two People » a reçu le « ICON de Martell Cordon Bleu Award ».Son livre « Shauna » a été publié en 2014.Sean Lee est considéré comme un des meilleurs portraitistes de Singapour. Nombre de ses photos ont été achetées par le « Singapore Art Museum ».

Palani Mohan « Clouds over Victory Harbour, Hong Kong »30x42 - 400€

Clouds over victory Harbour, Hong Kong © Palani Mohan

Palani Mohan est né à Madras en 1967.En 1979 il émigre en Australie avec sa famille.Sa carrière photographique commence au journal le Sidney Morning Herald. En 1999 il s’installe en Asie, il est basé à Kuala Lumpur.Ses reportages ont gagné de nombreux prix : World Press Photos, Picture of the Year, National Press Photographers Assiociation, American Photo and Communication Arts, etc…

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Kosuke Okahara« Vanishing Existence » 40x50 – 1 500€

Vanishing Existence © Kosuke Okahara

La première histoire qui bouleverse Kosuke Okahara est celle du Kosovo. De là naît le désir du jeune homme de devenir photographe ainsi que son intérêt pour l’«Ibasyo» qui correspond, en japonais, au « lieu de l’existence physique et émotionnelle des individus», à la « paix intérieure des gens ».Né en 1980 au Japon, Kosuke Okahara n’a de cesse d’arpenter le monde, d’y traquer la souffrance humaine. Cette souffrance fixée à jamais par les images, et ne pouvant plus tomber dans l’oubli, c’est celle des réfugiés du Darfour, des drogués et de leurs dealers en Colombie, des jeunes japonais qui se mutilent, entre autres. Le regard du photographe est empreint d’empathie, mais jamais de pitié.Les photographies de Kosuke Okahara sont abritées dans les collections publiques et privées du monde entier.

Emmanuel Ortiz « Sous les Cendres du Volcan Chaitèn » ArgentineTiré par l’auteur sur Papier Forma40x50 – 700€

Sous les cendres du volcan Chatèn, Argentine © Emmanuel Ortiz

Emmanuel Ortiz est né en Argentine en 1961, il commence la photographie à Paris en 1983.En 1984 il part pour le Pérou en tant que pigiste à Reuter’s, ensuite AFP et AP jusqu’en 1989. De retour à Paris, il couvre la vie quotidienne des squatts d’artistes parisiens. En juillet 91, le conflit yougoslave se déclenche en Slovénie. En août, il sillone la Croatie dans une guerre que personne ne croit encore possible. Ce sera la Bosnie, l’Albanie, la Macédoine et le Kosovo, toujours en tant que photographe indépendant.Aujourd’hui, il travaille sur la relation entre l’Homme et le Cheval.

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Emmanuel Ortiz « Prestige » Marée Noire 2002Tiré par l’auteur sur Papier Forma40x50 – 700€

Prestige, Marée Noire, 2002 © Emmanuel Ortiz

Emmanuel Ortiz est né en Argentine en 1961, il commence la photographie à Paris en 1983.En 1984 il part pour le Pérou en tant que pigiste à Reuter’s, ensuite AFP et AP jusqu’en 1989. De retour à Paris, il couvre la vie quotidienne des squatts d’artistes parisiens. En juillet 91, le conflit yougoslave se déclenche en Slovénie. En août, il sillone la Croatie dans une guerre que personne ne croit encore possible. Ce sera la Bosnie, l’Albanie, la Macédoine et le Kosovo, toujours en tant que photographe indépendant.Aujourd’hui, il travaille sur la relation entre l’Homme et le Cheval.

Max Pam « Dar Es Salam 1996 » 30x40 – 2 000€

Dar Es Salam, 1996 © Max Pam / Galerie Camera Obscura

Photographe australien de renommée internationale Max Pam est né en 1949.À 20 ans, sur un coup de tête il décide de relier Calcutta à Londres, en Coccinelle. Muni de son appareil photo, pendant deux décennies, il traverse l’Inde, le Pakistan, les hauteurs du Népal, s’immisce dans les bordels de Bangkok, déambule dans Bombay et à chaque fois réalise un grand nombre de clichés. Il photographie, annote, colle et retranscrit ses périples, les paysages traversés…

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Andrea Star Reese « The Urban Cave »40x50 - 400€

The Urban Cave © Andrea Star Reese

Photojournaliste, Andrea Star Reese est basée à New York. Elle a suivi des cours de photographie à ICP.En 2003, elle commence son projet « The Urban Cave » sur lequel elle travaille depuis des années. Il documente la vie des sans-abris dans un quartier de Harlem à New York. « The Urban Cave » a gagné un Visa d’Or à Perpignan. Un livre sera publié en 1915.A présent elle continue son travail de longue haleine : « Disorder » sur la maladie mentale en Indonésie.

Yusuf Sevincli« Marseille »50x75 – Edition 1/5 – 1 800€

Marseille © Yusuf Sevincli

Né en Turquie en 1980. Diplômé de la section Communication de l’université Marmara en 2003, il intègre l’année suivante un MasterClass consacré à la photographie documentaire en Suède. Il construit alors son travail personnel à travers plusieurs séries, dont “Good Dog”, qui ont fait l’objet de nombreuses expositions individuelles comme collectives en Turquie, en Europe et à travers le monde (Mois de la Photo de Moscou, PhotoBiennale de Thessalonique, Festival de photographie Fotografia Europa Reggio Emilia en Italie, Fotografie Noorderlicht aux Pays-Bas, FotoFreo en Australie, Angkor Photo Festival & Workshops, etc…

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Ian Teh « Andaman Seascape »Pigment Print39x26 – 500€

Andaman Seascape © Ian Teh / Agence VU’ / Panos Picutres

Né en Malaisie, Ian Teh vit et travaille entre Londres et Kuala Lumpur.La préoccupation de Ian Teh pour les problématiques sociales, environnementales et politiques est évidente dans la majeure partie de ses photographies.Elles sont régulièrement publiées à l’internationale, par exemple dans Time, Newsweek, The New Yorker and The Independent Magazine. Il a reçu de nombreuses récompenses. En 2011 il obtient le « Emergency Fund from the Magnum Foundation ». Son travail a également été nominé par le prix Pictet en 2009 et il a été reçu à la Joop Swart Masterclass en 2001. En 2014, il gagne la première édition du Abigail Cohen Fellowship in Documentary Photography.

John Vink« Evicted from Dey Kronom » Cambodia, 2009Archival Print 42x61 – 600€

Evicted from Dey Kronon, Cambodia, 2009 © John Vink / Magnum Photos

John Vink est né en Belgique en 1971.Depuis 1985 il a dédié sa carrière de photographe à des projets à long terme dans de nombreux pays.En 1986, John Vink a gagné le «W. Eugene Smith Award in Humanistic Photography».Depuis 2000, il a décidé de se concentrer sur un seul pays, il réside au Cambodge.Il y documente des problèmes sociaux, environnementaux, le procès des Khmers Rouges, etc…

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Munem Wasif « Tainted Tea »33x48€ - 800€

Tainted Tea © Munem Wasif / Agence VU’

Munem Wasif est né au Bangladesh en 1983 et diplômé de l’école Pathshala en photographie. Wasif préfère photographier les personnes qu’il connaît. Pour cette raison, son pays natal le Bangladesh est son sujet de prédilection. C’est là qu’il élabore ses plus grands projets. Etre considéré comme un conteur de tradition humaniste, classique dans son approche photographique, ne lui a jamais posé problème, tant que cette approche rende visible la compassion et l’émotion qu’il ressent lorsqu’il photographie ses sujets. Le travail de Munem Wasif a été primé de nombreuses fois. En 2008, il reçoit le Prix du Jeune Reporter de la Ville de Perpignan et le Prix Pictet.

Zalmaï« Reshaping the Empire »50x58 – 1 200€

Reshaping the Empire © Zalmaï

Né à Kaboul, Zalmaï est contraint de quitter son pays en 1980, à l’âge de 15 ans, pour fuir l’invasion soviétique. Il gagne Peshawar, au Pakistan, première étape de son exil, avant d’atteindre Lausanne, en Suisse, où il obtient le statut de réfugié, puis en 1994 la citoyenneté suisse. Grâce à sa passion pour la photographie, il parvient à intégrer l’Ecole cantonale d’art de Lausanne.En 1989, il commence à travailler en freelance et voyage autour du monde, s’intéresse au Tibet, aux réfugiés soudanais, à la Révolution cubaine et au sort des pygmées d’Afrique centrale après la déforestation de leurs zones d’habitation. Son œuvre est publiée dans de nombreux journaux et magazines internationaux.L’originalité et la singulière force de son travail de photographe lui ont valu de nombreux prix dont le « World Press Joop Swart Master Class », le « Visa d’Or » à « Visa pour l’Image-Perpignan, le « Getty Images Grant », etc…Adepte habituel de la photographie en noir et blanc, Zalmaï explique dans «Retour, Afghanistan» pourquoi il a choisi la couleur pour ce projet: «J’ai senti que l’espoir était enfin au rendez-vous, que les couleurs étaient de retour et qu’elles seraient celles d’un Afghanistan enfin en paix. Et j’ai voulu aller à la rencontre de cet espoir, en introduisant, pour la première fois, ces couleurs dans mes photographies».

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A propos d’Anjali House

La maison du bonheur à Siem ReapCréée en 2005 et inscrite dans le sillage du « Angkor Photo Festival & Workshops », l’ONG « Anjali House », domiciliée au Cambodge, offre alimentation, soins de santé et éducation à 80 enfants de Siem Reap, âgés de 4 à 20 ans, tous issus de familles défavorisées et privés d’accès à l’école.Anjali représente pour eux un havre de paix où ils sont protégés des difficultés quotidiennes. Véritable soutien, l’ONG leur inculque les bases des compétences qui leur permettront de prendre leur vie en main et de se bâtir un avenir meilleur.« Le Programme Pour Jeunes Adultes » accompagne les plus grands dans la recherche ou l’acquisition d’un travail.

La santé, une prioritéDe nombreux problèmes de santé étant associés à une mauvaise alimentation ou à la consommation d’eau impure, Anjali veille à l’amélioration et au bon maintien de la santé des enfants : hygiène de la nourriture et de l’eau, régime nutritif équilibré, soins médicaux et dentaires, apprentissage de la toilette, du brossage des dents, du lavage des vêtements…Tous les enfants sont enregistrés à « l’Hôpital pour enfants » d’Angkor, les coûts des soins médicaux et dentaires étant pris en charge par Anjali.

L’école, pour un avenir meilleurTous les enfants sont inscrits à l’école publique.Uniformes scolaires, cahiers, livres, stylos et autres matériels sont financés par Anjali.Selon l’âge et le niveau des étudiants, des cours d’anglais et d’informatique sont dispensés par le personnel de l’ONG ou par des membres bénévoles.Un terrain de sport a été construit où, pendant les récréations, les élèves peuvent s’adonner au football ou au volley, l’éducation physique permettant aux enfants de rester actifs et de pratiquer l’esprit d’équipe. Le programme sportif de l’Association Globalteer est également appliqué.

La création, moteur de l’éducation Peinture, photo, écriture, danse ou musique, Anjali considère l’imagination et la créativité comme des moyens essentiels pour encourager l’interaction dans la société et développer l’éducation.Compte tenu des origines (de l’histoire) de l’ONG, l’accent est mis sur la photographie : initiés dès 2005 par Antoine D’Agata/Magnum Photos les ateliers sont offerts, chaque année, à une cinquantaine d’enfants encadrés par de jeunes photographes asiatiques bénévoles. Leur travail est ensuite exposé et vendu dans différents pays.Destinés essentiellement à subventionner les ateliers, ces revenus s’ajoutent aux gains liés à la production d’une série de cartes postales et à la publication d’un livre, « Cambodia, our Vision ».

Prêts, subventions, dons, histoires de famille Anjali prend tout particulièrement en compte les familles nombreuses confrontées à de graves difficultés financières. Celles-ci bénéficient d’un soutien psychologique et social. Pour compenser la perte de revenus provoquée par l’arrêt du travail des enfants, chacune, de plus, perçoit 3 kg de riz à bas prix par semaine.Lorsqu’il s’agit de faire face à la réparation d’une maison ou à des soins de santé, Anjali dispense également des prêts à faible taux d’intérêts ou des dons d’urgence aux familles les plus démunies

Pour en savoir plus www.anjali-house.com

ContactFrançoise Callier+33 6 80 94 75 [email protected]