40669433 La Menace David Jacobs 1

8/4/2019 40669433 La Menace David Jacobs 1

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LA MENACEL'ordre du jour secret alien rvl

Par M. David Jacobs

Traduction Google


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Table des matires

1 Reconnaissant le signal

2 "Je sais que cela parat fou, mais ..."3 Ombres de l'esprit4 Ce qu'ils font5 Qui ils sont6 Pourquoi sont-ils Secrets7 Infiltration

8 Les espces hybrides -enfants9 Les espces hybrides -adolescents et adultes10 Activit indpendante hybride11 La nature des intentions Alien12 La vie telle qu'on la connait?13 Accepter l'inacceptableRemerciementsNotes

1. Reconnaissant le signal

Dans le 1996 blockbuster de cinma Jour de l'Indpendance, les trangers hostiles venus surTerremordicus la mort et la destruction. l'homme ingnieux s'unir, de vaincre leennemi commun, et sauver la Terre. Ce scnario d'Hollywood n'est pas nouveau il a dominversions d'cran de contact extraterrestre depuis 1951 avec la sortie de The Thing, dans lequelunseule ravages exotiques sme sur un groupe d'humains.Une version plus paisible de contact extraterrestre est aussi devenu un aliment de baseculturelle. A partir de 1951et Le Jour o la Terre s'arrta 1977 et de Rencontres du troisime type,trangers bnignes sont venus sur Terre pour aider les humains. Dans ce scnario, lestrangers offrent mondeles dirigeants, les scientifiques et les reprsentants des mdias leur aide et leur coopration. Ilestle respect mutuel: Les humains s'attendent apprendre de l'avancement des trangerstechnologique,


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et les trangers s'attendent aider les tres humains pourront vivre en paix et en cooprationbtir un meilleurmonde.Encore une autre vision de l'intervention trangre dans la vie humaine est l'ide qu'ilsviennentsauver des personnes spcialement choisies partir d'un cataclysme approcherapidement. Cult groupes qui

crois que cela existe depuis le dbut 1950s.1 membres de la secte Heaven's Gate en1997 ont t tellement convaincus qu'un OVNI les sauver de l'apocalypse et de procdereux un domaine plus physique et spirituelle que trente-neuf membres sont suicidsafin de faciliter leur sauvetage et de transport.Un examen attentif du phnomne d'abduction OVNI nous montre que le contact a, dansfait, eu lieu, mais il n'a aucun lien avec ces scnarios. Il n'a pas t publicrunion, aucune implication de la direction, aucune couverture de presse. Il a, encore, pas eudeassistance, pas de coopration, ni guerre, ni la mort, et d'viter l'apocalypse. Le contact a tmis surdes trangers des termes et dans le secret.Je n'avais jamais imagin un tel scnario en 1966 lorsque j'ai commenc tudier les OVNIphnomne. N'a pas non plus, j'imagine que je passerais tant d'annes de ma vie d'adulte

impliqus dans le sujet. Je n'avais jamais imagin que j'aurais dire mes enfants de ne pasparler de mes recherches leur cole parce qu'ils pourraient tre sans piti taquin.Je n'aijamaisrv que ma femme serait apprendre ne pas parler de mes intrts son lieu de travail parceson employeur pourrait croire qu'elle a t marie un fou, et qui pourrait nuire sa carrire.Quand je parle de l'objet mes collgues de la communaut universitaire, je sais qu'ilspense que mes capacits intellectuelles sont gravement compromis. Je me trouve lie unesous rserve que j'ai appris dtester et mme craindre.Je suis d'abord et avant tout un professeur d'histoire spcialis dans l'Amrique du XXesicle. Jepenser, de lire, et faire connatre le pass, mais l'tude du phnomne OVNI a pousse moidans la spculation sur l'avenir. L'tude de l'histoire prouve que la prvision d'vnements estune

trs peu fiables et gnralement tche futile. Pourtant, ironie du sort, je me trouve maintenantdans leposition inconfortable d'essayer de deviner l'avenir.

Ma recherche a dbut dans l'un des bastions historiques de premier plan de l'investigation duministred'histoire l'Universit du Wisconsin, o j'tais un tudiant diplm. Mes grandsprofesseur tait le lgendaire Merle Curti, qui a fond le domaine de l'histoire intellectuelle.Lorsque Curti retraite, j'ai tudi sous Paul Conkin, qui a demand rigoureuses d'analyseprocdures et les critres de la preuve chaque sujet de recherche. Je me suis plong dans letude des ovnis et obtenu mon doctorat sous la direction de Conkin. Ma thse de doctoratax sur la controverse sur les objets volants non identifis en Amrique dupoint de vue de l'histoire intellectuelle, sociale et militaire. En faisant des recherches ce sujet,j'ai passsemaines Maxwell Air Force Base et la Bibliothque du Congrs, le gouvernement de lecturedocuments sur les ovnis. J'ai parcouru le pays pour s'entretenir avec certains des plusimportantscivils et militaires des ufologues. En 1975, Indiana University Press a publi unversion largie de ma thse que la controverse ovni dans America.2Mes premires recherches concentres sur les observations d'ovnis. Mon hypothse de travailtait que sianalyse minutieuse des observations ont montr que les OVNIS ont t extraterrestre, ce seraitlala plus importante dcouverte scientifique de tous les temps. D'autre part, si l'analyse a concluque les objets taient simplement une mauvaise interprtation des phnomnes classiques et

lesproduits de l'imagination humaine surmene, le phnomne serait relgue lal'histoire de la culture populaire. Il a t l'un ou l'autre. Pour concevoir des ovnis commereprsentant un


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potentiel de prise de contrle trangre devait tre soit incroyablement prmonitoire ou fou. Jen'tais ni.Ainsi, j'ai rejoint les autres chercheurs, dont l'objectif tait de dterminer si les tmoins ont tobservation vhicules anormale, artificiellement construit, et intelligemment contrl.Nousphotos examins, des squences cinmatographiques, des traces radar, des chantillons desol, et d'autres rsidusprtendument gnr par des ovnis. Collectivement, nous amass des centaines de milliers de

rapports d'observation du monde entier. Nous avons labor une mthodologie pourdterminer siles tmoins taient crdibles. Je suis devenu un enquteur sur le terrain pour la dfunteariennePhenomena Research Organization, interview perplexe tmoins, frappant aux portesla recherche d'autres, et publier les rsultats de mes recherches dans des revues UFO.En dbut des annes 1970, la communaut de recherche OVNI avait recueilli des rapportsd'observation tantque nous nous sommes retrouvs avec une base de donnes norme mal l'aise.Nous savionsque le temps d'uneobservation d'OVNI, sa dure, les mouvements, les changements de couleur, et le nombre detmoins, ainsique les effets de l'objet sur l'environnement, automobiles, quipements lectriques, les

animaux,et les humains. Chacun de ces rapports ont t soigneusement tudis et documents; dansde nombreuxcas, il y avait de multiples tmoins de prter foi la preuve. Le premier UFOchercheur de son temps, J. Allen Hynek, a appel ce corps norme d'informations et defait tat d'une "embarras du choix."Bien sr, il ya eu des dbats internes l'gard des cas particuliers et les arguments froceavecdebunkers, mais ceux-ci pourraient ne pas discrditer la lgitimit de ce phnomne. la findesAnnes 1970, les lments de preuve pour les OVNI comme un phnomne vraiment anormaltait si massive que moi,ainsi que la plupart des chercheurs d'OVNI, ne pouvait plus nier que les tmoins voyaient

quelque chose d'extraordinaire et probablement pas de la Terre.Dans le cadre de notre recherche, nous avons bien sr pens aux consquences de contactentreles humains et les espces exotiques. Nous thoris sur la faon dont de tels contactspourraient influer sur la religion,les institutions gouvernementales, et la place des humains dans l'univers, mais nous avonsconsacr peula pense de savoir si un contact direct a dj eu lieu, ou si l'OVNIoccupants avaient des intentions hostiles. Il semblait y avoir peu de raisons de penser le longde ceslignes. Les ovnis se comportaient comme s'ils voulaient garder leur distance de nous.Ils ontvitcontact sur le plan formel. Ils n'taient pas effectuer des atterrissages de masse. Ils volent pourquelques secondes ou minutes, puis disparatre. Leur apparente timidit suggre laneutralit,ou tout au moins nonhostility, envers les humains.Nanmoins, la curiosit et les questions sur la motivation des trangers est rest justesous la surface de la recherche ufologique. Mais parce qu'il y avait si peu d'informations, laplupart desles chercheurs n'ont pas pass beaucoup de temps dans la spculation inutile. Et plus nousavons apprissur les occupants des ovnis, plus il tait difficile de comprendre leur motivation.Les signalements d'ovnis et de l'occupant qui a commenc augmenter en nombre dans lesannes 1960 et 1970ont t vraiment bizarre. Les objets chass voitures, disparu dans les airs, et laiss des

marques surles gens; ils opraient en secret, sans raison apparente. Tmoins dit parfois queils ont vu un OVNI "occupants" en dehors de la ovnis. Parfois, ils ont dclar tre danshumanodes (le mot tranger tant trop dramatique et fringy) prs d'un UFO dbarqu qui


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paralyserait l'homme malheureux et ensuite de les inspecter. Les humanoids ont galementt observs"Rparer" un OVNI ou de creuser dans le sol, parfois ils ont sembl tre la recherche surle terrain, ou la collecte de plantes. Certains d'activit des occupants a t conforme lahypothse selon laquelle ils taient curieux de connatre la flore et la faune terrestre.D'autresfois, ilsengag dans un comportement plus dconcertant. Par exemple, ils ne prtent aucune attention

unetmoin, ou qu'ils apparaissent soudainement la tenue d'une petite bote en face d'un tmoin,puisdisparatre.Les comptes de ces activits ont t un dfi pour les chercheurs qui ont essay de donner unsensd'entre eux. Notre tat d'esprit n'tait pas, cependant, que les humanodes avaient desintentions hostilesen fait, ils semblaient tre l'examen, l'tude et l'acquisition de connaissances.Lorsque enlvements ont t rapportes, comme en 1961 avec la Barney et Betty Hill cas, ilssemble s'inscrire dans l'hypothse que les extraterrestres taient principalementcurieux. Pourtant, bien queBarney et Betty Hill ne sont pas typiques des annes 1950 clbre "contact" charlatans qui

essay de faire de l'argent de leurs histoires dormir debout, on ne peut jamais tre sr sielles avaientinvent leur histoire.Comme les rapports d'abduction d'autres surface, les chercheurs d'OVNI ont t suspectes surlepossibilit de fabrication. Il tait facile pour moi d'tre sceptique. La plupart des personnesenleves avaient peu prsents dans la voie de la preuve de la ralit de leurs expriences. Contrairement certainsOVNIde pointage, ils n'avaient pas de photos, pas de traces radar, pas de films, et gnralementpas d'autres tmoins.Leurs rcits ont t rcuprs sous hypnose, qui a t un obstacle vident crdibilit.

En raison de la nature extrme des revendications des personnes enleves ", je reste sur latouche alors que notreconnaissances sur le phnomne a commenc monter. Le Barney et Betty Hill affaire a ttypique. Ils ont rencontr le dsormais "standard" extraterrestres gris qui ont communiqu partlpathie,a donn les collines un "examen", et semblait s'intresser la reproduction humaine.Par la suite, les collines ont connu une forme d'amnsie, et leurs souvenirs de l'incidentdevaient tre rcupres l'utilisation de l'hypnose. L'affaire Hill a t publi en feuilleton dansun grandhebdomadaire, a fait l'objet d'un livre best-seller, et est devenu le plus connucas d'enlvement dans histoire3Il ya eu un enlvement, mme plus tt, ce qui est arriv Antonio Villas Boas au Brsil en1957. Villas Boas, qui tait la maison pour les vacances de l'universit, a t enlev alorsqu'il circulait tracteur dans le ranch de son pre. Il a t fait pour avoir des rapports sexuels avec unepersonne trange, maisfemmes presque apparence humaine. Cette affaire a t trop embarrassant et bizarre pourles chercheurs prendre au srieux, et il ne fut publi qu'en 1966, la mme anne, lepublic appris sur les collines.Seuls quelques autres cas sont apparus au milieu des annes 1960 et 1970. L'un tait lecas de Pascagoula de 1973, dans laquelle deux hommes ont dit qu'ils ont t enlevs car ilsont pch dans lesrives de la rivire Pascagoula dans le Mississippi. Au cours de l'enlvement, les trangers"flotter" lesdans un objet et une machine en forme de football a t pass au-dessus de leur corps comme

s'il s'agissaitles examiner. Les deux hommes semblaient traumatiss par l'vnement, et on ne parle pas ce sujet en public depuis de nombreuses annes.Un autre cas s'est produit en 1975. Travis Walton a t enlev et physiquement absent de


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son environnement habituel pendant cinq jours. Quelques instants avant son enlvement, sixtmoins avaientvu Walton renvers par une boule de lumire manant d'un OVNI. Les tmoins ont fuidans la panique, et quand ils revinrent peu de temps aprs, Walton a disparu.J'ai lu propos de ces enlvements et n'a pas t impressionn. Debunkers a dclar ( tort)Walton qui avait voulu tre enlevs, ce qui rend tout l'vnement suspect. En outre,les trangers Pascagoula ne correspondaient pas aux descriptions donnes par les autres

personnes enleves. En 1976, jeconfiance, et tort, dit J. Allen Hynek que je pensais que le cas trs mdiatisPascagoula et Travis Walton cas taient plus probablement des canulars parce qu'ils n'ont passemblent correspondre notre connaissance du phnomne. En outre, ils ne me sentais pas ledroit. Jepens les chances que ces cas taient des canulars emportaient largement sur les chances quelesdemandeurs ont effectivement t enlev par des extraterrestres d'une autre plante.En 1976, j'ai interview Betty Hill, qui m'a dit quelque chose qui avait t tenu l'cart dupubliccomptes-les tres avaient pris un chantillon de sperme de Barney. J'ai trouv cela fascinant. Ilnon seulement renforc l'augmentation du nombre des comptes d'intrts trangers dans lareproduction, mais si

les collines 'histoire avait t psychologiquement gnr, pourquoi quelque chose concocteravec leexprimer l'intention de ne pas le dire personne? Dans mon esprit, le mystre enlvement atl'approfondissement et de plus en plus complexes. Cependant, je reste concentr sur lesobservationsparadigme dans lequel je suis devenu assez expert. Observations, bien que toujours considrcommeillgitimes par le public en gnral, taient srs et confortables. Le nombre croissant dedes tmoins crdibles, les contacts radar, photos, films, et des effets physiques nous a donnun solidebase de donnes probantes sur lesquelles s'appuyer. Enlvements, en dpit de mon intrt,n'avaient toujours pas la

la preuve que j'avais besoin pour la vraisemblance.J'tais sceptique de l'ancien combattant ufologue Ray Fowler de 1979 l'tude de abduct BettyAndreasson. L'affaire a dmontr que les trangers pourraient contrler mentalement les gens partir d'undistance: ils "teint"-rendu inconscient ou immobile des gens qui taient enAndreasson maison pendant qu'ils ont enlev sa fille et elle. Cette affaire a galement illustrunmanipulation physique de la matire qui, selon d'autres rapports, les trangers rgulirementeffectu. Ils sont venus directement travers le mur de la maison pour accomplir lesl'enlvement. Et, lors de l'enlvement, Betty Andreasson vu curieux et inexplicabledes images des lieux tranges et d'animaux bizarres. Mais je reste dubitatif et pense queles images qu'elle a vu, et peut-tre toute l'enlvement, ont t gnrs partir de son mind.4En 1980, la plupart des comptes de l'enlvement ont commenc prsenter les schmas desimilitude:la paralysie, les examens physiques, la tlpathie, l'amnsie, et de petits tres gris aux grandsyeux noirs. Bon nombre de ces rapports a parl d'un intrt soutenu exotiques dans l'hommereproduction. J'avais lu certains des documents d'enlvement, mais je n'tais pas persuad dedonnermon attention sur les observations. Les personnes enleves pourrait tre allong, ou ilspourraient avoir de gravesproblmes psychologiques.Puis, en 1981, Budd Hopkins publie Missing Time, une tude dans laquelle il a examinsept personnes enleves et constat que une personne peut tre pris plusieurs fois au cours desa vie et peut-tre "souvenirs-crans qui masquait l'enlvement d'autres vnements.Hopkins a dcouvert des cicatrices rvlatrices sur les personnes enleves, dont ils engags au

cours de l'enlvement,et ses travaux ont confirm l'intrt de l'tre en matire de reproduction. Son livre a UFOchercheurs la premire comparaison systmatique des expriences qui auraient t enlevs etont montr que la


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phnomne pourrait tre tudi sur une basis.5 ensemble de la socitUn an plus tard, en 1982, TraceyTorme, un ami commun de la mine Budd Hop-kins et,a nous deux ensemble. J'ai visit Hopkins son domicile de vacances Cape Cod etappris davantage sur ce qu'il faisait. J'ai remarqu quel prudente et conservatrice, il a t. Ilavait t en dveloppant des modes dans ses recherches qui ont t difficiles ignorer. Lespersonnes enleves, ilont t travaill avec srieux, les gens sobres vritablement proccups par ce qui s'tait

pass eux. J'ai t intrigu.Aprs mes rencontres avec Hopkins, j'ai appel Hynek et lui ai dit que je pensais que Hopkins at quelque chose d'important. Hynek m'a prvenu de rester loin de la cas d'enlvementparce qu'ils ont t excentrique et nous a ouvert la voie principale de l'analyse vise.Je suis endsaccordet lui ai dit que je pensais de recherche Hopkins semblait solide. Hynek a ritr sond'alerte, en essayant de me diriger retour la bonne des activits derecherche.L'enlvement des rapportstaient trop bizarre pour lui, il ne pouvait les soumettre ce genre d'analyse scientifiquequ'il pourrait utiliser pour les rapports d'observation.Bien que j'avais adopt une position similaire Hynek depuis plus de quinze ans, cette fois,

j'avaisde suivre les preuves. J'avais commenc comprendre que si les enlvements ont teffectivementpasse, ils pourraient tre la cl du mystre des OVNI, car ils nous ont permis d'entrerl'intrieur de l'OVNI. Ils nous ont donn la connaissance que l'examen du hors-cts des objetsavait jamais fourni. J'ai dcid que je me mettais tudier ces cas moi pour que je puissepeser soigneusement les lments de preuve. Pour faire cette recherche, je dois apprendrel'hypnose.J'ai effectu ma premire rgression hypnotique en aot 1986. En 1992, j'ai eu a men plusde trois cents rgressions hypnotiques et avait dcouvert que l'analyse abductcomptes n'a pas t facile. Poser les bonnes questions et sparer la ralit de la fantaisietaitdifficile et mme dangereuse; faux souvenirs et fabulation pourrait conduire les chercheurs

et des personnes enleves dans un pays n'a jamais, jamais de la pense magique et lafantaisie.En 1992, j'ai publi la premire partie de mes rsultats de recherche comme Secret Life:premire mainComptes des abductions OVNI. J'y ai dlimit la structure de l'enlvement d'un typique etla varit des procdures mentales effectues sur enleves. J'ai galement dcrit unemultiplicitjusque-l inconnu de la physique et la procdure de procration et a russi recrerminute par minute, une exprience d'abduction typique du dbut la end.6D'aprs mes recherches, je pourrais ajouter aux rsultats de Hopkins sur la reproductiontrangersprocdures d'ovules rcolte et d'extraction foetale. Nous avons tous deux constat que lestrangers ncessairesenleves pour interagir physiquement avec des bbs bizarre et tout-petits, dont laenleves gnralement, ressemblait une combinaison de l'homme et des trangers-hybrides. Pardcouvrir ces lments du phnomne d'abduction, Hopkins ont dcouvert l'un desaspects centraux de la raison pour laquelle les tres sont here.7 Aprs avoir analys mespropres recherches sur laprocdures trangers en matire de reproduction, je savais que quand ils prenaient des oeufsou du sperme. Je pourraisidentifier quand un foetus a t extraite ou implants dans un abduct. Pour toutes lesapparences, letrangers taient engags dans une sorte de programme d'levage. Mais les raisons ultimes deleur

procdures physiques et de la reproduction demeure un mystre.Les procdures mentales taient encore plus surprenante. Aliens presque toujours regarddans uneyeux abduct une distance de quelques pouces ou moins, et semblait ainsi susciter


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l'amour,peur et la colre. Certains de ces Mindscan" procdures pourrait provoquer sexuelle intenseexcitation chez les hommes et les femmes. En regardant dans les yeux des gens, les trespourrait causereux pour voir scnarios prtablis et "movies" dans leur esprit. A cette poque, je n'avaisaucune idecomment et pourquoi cela a eu lieu. Maintenant, je crois que je comprends pourquoi.

J'ai galement t demand pourquoi enleves ont t soumis mise en scne trange etessaisprocdures dans lesquelles ils ont agi sur un scnario avec des trangers ou ont dcouvertqu'ils pouvaient exploiterdispositifs complexes ou effectuer des tches qu'ils ne me souviens pas avoir appris.Cesprocdures semblait sans rapport avec le programme d'levage.Les trangers eux-mmes ont t nigmatique. Je n'ai pas know'whether qu'ils avaient mangou dormi, ou avaittoute forme de vie en dehors du contexte des enlvements. Le mme est vrai des bbshybrides,les tout-petits, les adolescents et les adultes, leur vie a t un mystre. Une chose est certaine-letrangers se livrent un trs grand nombre d'enlvements. Un sondage national men par la

RoperOrganisation en 1991 a rvl la possibilit d'un programme beaucoup plus vasted'enlvementque nous l'avions jamais imagin.Notre recherche continue UFO a soulev de nombreuses autres questions. Par exemple,l'enlvementchercheur Karla Turner a signal en 1993 que certaines personnes enleves revendiqul'Americanmilitaire les enlever en coopration avec le aliens.8 En 1994, professeur HarvardJohn Mack discut ce qui tait apparemment un intrt tranger dans les annesenvironment.9 terreAbductees de plus en plus affirm que les adultes hybrides ont particip avec leursenlvements.

Budd Hopkins a constat que les trangers ont t enlevs jeunes jumelage long termerelationships.10 Pour compliquer les choses, bien que le phnomne des enlvements a ttraumatique pour la plupart des personnes enleves, de nombreux illumination spirituelletrouv et une expansion deleur conscience.Comme si ces questions n'taient pas assez complexe, jusqu' rcemment, je n'avais pasmme provisoirerponses aux questions les plus importantes: Quel est le but du programme d'levage?Ce qui constitue l'autorit trangre et de la socit? Pourquoi sont-ils oprent dans lesecret? Qu'est-ce quel'ampleur du programme d'enlvement? Quel est le but de l'hybridation? Pour lavingt premires annes de ma recherche, j'ai pens que nous n'aurions jamais les rponsesauxquestions fondamentales de la motivation et les intentions exotiques. Tout cela a changmaintenant. Dansdes dix dernires annes, j'ai recueilli des informations que je ressens certaines rponses cesquestionsde manire satisfaisante.Dans mes recherches les plus rcentes, j'ai dcouvert des informations qui permet auxchercheurs d'OVNIrsoudre le mystre OVNI-au moins les questions qui auront le plus grand impact sur nous.J'ai mis de nombreuses pices du puzzle. Je me suis concentr l'image, et je nece que je vois. Pour la premire fois dans plus de 30 annes de recherches sur les OVNISphnomne, j'ai peur de lui. Comprendre n'a pas conduit un sentiment de contributionou d'accomplissement. Plutt, elle a conduit l'apprhension profonde pour l'avenir.L'

phnomne d'abduction est beaucoup plus inquitant que je le pensais. L'optimisme n'est paslerponse approprie la preuve, ce qui suggre fortement que l'ordre du jour exotiquesest essentiellement bnfique pour eux et pas pour nous. Je sais pourquoi les extraterrestres


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sont ici et ce queles consquences humaines seront, si leur mission est un succs

2. Je sais que cela parat fou, mais "

Il est le enleves eux-mmes qui ont les rponses aux questions sur les intentions exotiques.Mais ce n'est pas facile pour eux de parler de leurs expriences d'enlvement. Ils ont apprisde garder le silence. Comme un enfant, par exemple, un abduct peut avoir dit sa mre etpre de la petite peuple dans sa chambre, qui sont passs par les fentres fermes etl'ont emmene. Ses parents lui a probablement rassur que ce n'tait qu'un rve, et leenfant insistance qu'il tait rel "J'ai t rveill!"-ne servait rien. Finalement, l'abduct

cess de dire ses parents. l'cole, elle peut se confier un ami et a parl de fantmes voir, peut-tretrangers, dans sa chambre. L'ami peut avoir lieu le secret pendant une courte priode, mais ila tpas longtemps avant que tous les autres enfants connaissaient et les taquineries augmentmoyenne et impitoyable. L'abduct appris ne dire personne d'autre.En tant qu'adulte, elle a probablement gard le silence sur ses expriences. Si elle dit personne, il a tau sein d'une protection, contexte humoristique qui lui a permis d'avoir un bon caractre riregnralement accompagne par le vocalis "woo-WOO-woo" des annes 1950, de science-fictiontheremin musique. Mais elle secrtement quelqu'un voulait dirais: Vous savez, ce qui s'estpass moi aussi! "Quand elle s'est marie, elle n'a pas dit son mari sur son exprience et a continu les garder secrets. Elle ne voulait pas qu'il pense qu'elle tait folle, et elle savait qu'il seraitpas accepter la ralit de l'histoire et de soutien. Ainsi, la plupart des personnes enleves enapprendre sur lacours de leur vie que le meilleur moyen de se protger contre le ridicule etvictimisation est de ne dire personne. Ils vivent leur vie hberger leurs secrets etcacher leurs craintes.Contacte un chercheur comme moi l'enlvement est un acte de bravoure. Les gens qui pensentquequelque chose d'inhabituel se passe pour eux commencent leurs lettres avec des phrases

plaintive: Jesais que cela parat fou, mais ... ou Je sais que vous allez rire quand vous lirez ceci, "ou" J'aicrit cette lettre d'une centaine de fois dans mon esprit. "Ils veulent dsesprment quelqu'unpourles croire, mais ils savent qu'ils sont racontant une histoire incroyable en soi et l'ouvertureeux-mmes plus ridicule. La plupart des personnes enleves viennent me voir avec laquestion fondamentale,"Ce qui s'est pass pour moi?" Certains ont un incident spcifique de dclenchement qui apropuls communiquer avec moi: "En 1979, mon copain et j'ai vu un OVNI prs et ilfondit peu vers nous. Tout ce que je me souviens, c'est la course, puis nous nous sommesretrouvsdans notre voiture et il tait six heures plus tard. J'ai pens cet incident chaque jour de mavie depuis lors. "

Au cours des sessions ultrieures hypnotique avec moi, les personnes enleves rappeler lesvnements qui peuvent treprofondment troublant, bizarre, et effrayant. Lorsqu'on leur demande s'ils seraient soumisl'hypnose et de revivre leurs expriences, si elles avaient le choix de le faire une fois de plus,


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ils sontsouvent ambivalents. Alors que la plupart disent oui et d'autres sont incertains, quelques-unsdisent pas-ilsne pas savoir ce qui s'est pass pour eux. Ils ont tous conscience qu'ils ont ngociune srie de problmes pour une autre. Ils ont t librs de cesse de s'interroger surce qui s'est pass pour eux, mais maintenant qu'ils savent, ils ont peur. La plupart desreconnatre que la conscience de leur sort les transforme psychologiquement. Ils

se sentent plus intgrs, moins perplexes quant leur situation, et motionnellement fort. Ilsgalement d'avoir peur et d'impuissance face la soudaine intrusions physiques importunsdans leur vie.Je m'approche enlevs individuellement dans la recherche de quelque nouvelle et peut-trervlatriceinformations sur le phnomne, bien que presque tous de contribuer de confirmationinformation. Par exemple, dans plus de 700 enqutes enlvement j'ai effectue l'aidel'hypnose, j'ai t inform de l'uf procdures de prise de prs de 150 fois, physiquesexamens environ 400 fois, Mindscan (regarder) les procdures d'environ 375 fois, et le bbet tout-petits de contact 180 fois. Certaines expriences, je n'ai entendu que de temps entemps. Si je n'entendsrien qu'une seule fois, et je ne suis pas encore certain de la rigueur et la vracit despersonne qui la raconte moi, je retiens une conclusion en attendant la confirmation des

autrespersonnes enleves.Pratiquement tout ce que je vais dcrire dans les chapitres suivants a t confirme maintesreprises.J'ai interview des personnes enleves du Nord et Amrique du Sud, Europe, Afrique et enAsie. Jeont utilis les transcriptions des sances hypnotiques que j'ai menes avec plus de trente de la110 personnes dans ma population. Ils viennent de tous les horizons de la vie, coupant travers ethniques,les frontires raciales, ducatives, culturelles, conomiques, politiques et gographiques. Brvedescriptions de quelques-uns de ces braves gens indiquent la dimension humaine de la largeenlvement phnomne.Allison Reed avait vingt-huit ans quand elle m'a appel en Juin 1993. Elle et son mari

exploitait une entreprise domicile avec succs. Elle m'est parvenue alors que ma famille etmoi avons ten vacances Long Beach Island, New Jersey. Elle tait inquite des choses tranges queavait t lui arrive tout au long de sa vie. Elle avait appris composer avec euxen silence, mais maintenant son fils de huit ans et sa fille de cinq ans avait t lui disant dedes choses tranges et effrayants qui leur arrive, aussi. Elle a grandi de plus en plus alarmquedescriptions de ses enfants de leurs expriences semble tre confirme par des marquesphysiquessur leur corps.Lorsque ses enfants ont dessin des images indpendamment de ce qui leur arrivait, Allisona dcid d'agir. Premirement, elle tomba sur buffs UFO amateurs qui taient convaincus quelegouvernement couvrant un crash d'OVNI sur la cte Est. Finalement, elle m'a trouv.Jene fonctionnent pas avec les enfants parce que nous ne comprenons pas l'effet que laconnaissance d'unexprience d'enlvement pourrait avoir sur leur dveloppement psychologique. Mais j'aiaccept dese pencher sur des expriences tranges Allison. Quand Allison a constat que, elle aussi, a timpliquaux enlvements, elle est devenue farouchement dtermin trouver autant que possible afinde faire quelque chose pour arrter cette menace son autonomie et sa famille. Les comptesqu'elle a prononc ses sances de rgression ont t aussi prcis que tout ce que j'ai jamais entendu.Nous avonsdcouvert

enlvements qui variait de neutre et de procdure traumatique et mme physiquementnuisibles. Il n'tait pas jusqu' ce que nous avions eu seize sessions ainsi qu'elle m'a parld'unevnement qui lui tait arriv, son mari et son bb de dix mois en 1986. L'


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vnement a eu lieu sur une priode de cinq jours. Ensemble, on a examin dans le dtailminutieuxcours des huit prochaines sessions.Allison est devenu rsign tre impliqus dans le phnomne d'abduction. Elle atent d'empcher les enlvements en utilisant une camra vido, qui est form sur toute lanuit,mais avec un succs limit. Elle, comme toutes les personnes enleves, a cherch trouver

une psychologiqueslogement avec les enlvements, afin qu'elle puisse reprendre sa vie sans avoir pense sans cesse ce qui se passe elle et sa famille.J'ai d'abord vu Christine Kennedy en 1992. Une femme de vingt-neuf ans avec trois enfants,elleavait eu une vie d'expriences insolites, des rves, et des pisodes. Comme une jeune fille,elleavait consomm de l'alcool afin de bloquer son terreurs nocturnes." Elle avait t dans larcupration et sobreun certain nombre d'annes avant qu'elle me vit, et elle a continu assister aux runions dercupration.Christine souvent rveill avec des ecchymoses sur son corps. Quand elle avait six ans, elles'est rveille

et "savait" sur les relations sexuelles. Elle avait vu des ovnis, elle avait vu des tres dans sonambiante. Quand elle tait enceinte de son premier enfant, elle se souvint de discuter avecquelqu'un que le bb tait "le sien" et non "les leurs." Elle avait lu un article sur moi dansOMNI magazine et m'a cherch.Comme Allison, Christine rsist ses ravisseurs. Elle n'a jamais cd ce qui taitqui lui arrive et a essay de se battre du mieux qu'elle pouvait ds qu'elle le pouvait.Ellefinalement utilis du matriel vido et magntiques dans sa chambre pour essayer de dtecterla prsencedes trangers et d'essayer (en vain) de les dissuader de prendre elle et ses enfants.Elle dtestelales tres et a tent en vain de se protger contre them.1Pam Martin a men une vie encore plus inhabituel. Elle est ne en 1944 et a vcu pendantquelques

ans dans un orphelinat. Elle a grandi dans le New Jersey vivre une marginal et non-conformisteexistence pendant de nombreuses annes. Un abandon de huitime anne, elle taitessentiellement autodidactetalent dans l'criture et l'art. Comme une jeune femme, elle a travaill comme un danseur detaxi, unserveuse, un chauffeur de camion, et plus tard d'un travailleur de soins domicile. la suite de ses expriences OVNI, Pam tait venu croire au fil des ans qu'elle a tla tte d'une "Charmed" vie "anges gardiens" aider surmonter les difficults de sa vie.Elle est devenue un membre dvou d'un "New Age" du ministre. Aprs un exempleparticulirement frappantexprience d'abduction, elle a dcid que les trangers taient en fait des tres merveilleuxrendre visite sonde la constellation des Pliades. Elle tait sre qu'elle avait t donne pouvoirs quilui a permis de manipuler le temps et la ralit son avantage. Par exemple, quand elleconduitquelque part, il lui arrivait parfois y arriver beaucoup plus tt que ce qu'elle devrait avoir.J'ai eu plus de trente sances avec Pam, et pendant ce temps, elle est venue avoir une moinside romantique de ce qui s'est pass pour elle. Elle a d'abord t du de voir quece qu'elle se souvenait sous hypnose ne sont pas les expriences agrables qu'elle avaitimagin, mais elle accepte maintenant la ralit de ce qui s'est pass pour elle. Elle se rendcompteque ni les anges gardiens, ni les Pliades ont rien voir avec ses expriences,et qu'elle ne peut pas manipuler le temps et la ralit. Maintenant, elle veut tre en mesure defaire face auxtres sans peur et sans les forcer rpondre des questions sur leurs activits. Sa

le mari a t favorable et estime qu'il pourrait aussi tre victime d'enlvement, mais ilne veut pas se pencher sur ses expriences.Claudia a t Negron n Puerto Rico en 1941 et est entr la terre ferme o elle a tsix ans. Elle a lev deux enfants comme une mre clibataire aprs son divorce au milieu des


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Annes 1970. l'ge de trente-deux ans, elle a commenc au collge. Elle a obtenu sondiplme et travaille maintenant commeun secrtaire excutif. Fascin par le phnomne OVNI comme un adulte, elle a rejoint ungroupe local de UFO. Elle a eu une vie remplie d'enlvements et est sensibilisede leur prsence. Lorsque les dtails de son enlvement ont t rvls sous hypnose,elle voulait apprendre autant que possible leur sujet. Pourtant, elle est ambivalente.Dans lamesure du

elle se sent intensment curieux sur le phnomne, elle veut que a s'arrte.Susan Steiner est n New York en 1950, obtenu un diplme collgial, et a commenc sacarrire commeun technicien dans un studio de photographie de New York. Elle a pous en 1987 et a depuiscommencsa propre entreprise de conseil en marketing. Dans un premier temps, Susan a t trssceptiques quant ce qui lui arrivait. Comme de nombreuses personnes enleves, elle avait labor d'autresdes explications pour ses expriences tout au long, mais elle avait un vnement majeur dedclenchement en 1985qui a fini sa propulsion pour me chercher. Elle et un ami sur un voyage de camping et dea vu un OVNI prs. Une priode de peur et de confusion ont suivi, et quand ce fut termin, ellene pouvait pas tenir compte de plusieurs heures de temps absent. Elle a pens cet incident

continuellement pendant des annes avant de finalement venir moi pour l'hypnose.Elle adcid que sonmari ne serait pas favorable si elle lui dit qu'elle est victime d'enlvement.Terry Matthews m'a crit propos de ses expriences inhabituelles en Octobre 1994. Elle a tn dans une petite ville de Pennsylvanie et a grandi dans une famille de la classe moyenneavecun pre violent. Elle a suppos que sa dure de vie de rves inhabituels et d'expriences a td'une certaine faon lis des actions de son pre. Ce fut apparemment confirme par unthrapeutequi, pendant l'hypnose, dcouvert "souvenirs refouls" de l'abus, la fois motionnelle etsexuelle. Elle a acquis la conviction qu'elle avait t agresse sexuellement et a subi desannes dethrapie pour elle. Toujours motionnellement "mise la terre, dit-elle avec colre a rompu

avec un thrapeutequand il a commenc prsenter des ides au sujet de son vies antrieures.Mme si elle estune trspersonne religieuse, il tait difficile pour Terry d'associer ses expriences inhabituelles quisemblait sans rapport avec son pre, avec visites religieuses. Elle a trouv un dbouch poursaagitation intrieure dans l'criture cratrice, et quand je l'ai rencontre, elle cherchait unditeur pour sonromans.Comme la fille d'un pasteur, Michelle Peters estime que certaines de ses expriencestaient de nature religieuse. Comme Terry, elle fait face ses souvenirs par crit leur sujetet est l'auteur d'un roman indit. Dou d'une charmante auto-drisionsens de l'humour, elle ne se sentait victimise par le phnomne. Comme Martin Pam, elleavaitun fort sentiment qu'elle a t visit par un "ange gardien." Elle pensait que levisites avaient cess quand elle a pous l'ge de vingt ans en 1982. Mais quand elle a ttrente-deux,elle se rveilla au milieu de la nuit pour voir les lumires lumineuses bleu venir dans sonmaison de l'extrieur. Elle a tent de rveiller son mari, mais ne pouvait pas. Elle entra dans lesalon et regarda par la fentre, mais la lumire tait trop intense pour faire ressortir les dtails.La prochaine chose qu'elle savait, elle tait rveille le lendemain matin, sensation de malaise;sa chemise de nuitest enlev, et sa robe tait en arrire. Cet vnement effraya oblig de trouver leorigine de ses expriences.Reshma Kamal est n en Inde et a dmnag avec sa famille Minneapolis quand elle

C'tait une jeune fille. Elle finit par pouser un homme de l'Inde et maintient firement unetraditionnelle des mnages indiens. Quand elle a ralis l'adolescence que les chosesbizarres ont tqui lui arrive, elle se lance dans une qute pour dcouvrir leur origine. Sa mre lui a fallu


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retour en Inde, en pensant que les gurisseurs traditionnels pourrait la dbarrasser de cesexpriences, maisReshma trouv leur attitude exasprante nave. Le mdecin du village et d'autres amis dela famille a dcid qu'elle tait la fabrication de ces expriences pour attirer l'attention sur elleparce qu'elle voulait se marier. Des annes plus tard, le dsir Reshma comprendre sonexpriences se sont renforces quand elle ralisa qu'ils taient aussi passe ses cinqles enfants. Elle a consciemment rappeler de nombreux dtails et, au fil des ans, a gard un

journal dtaill. Son mari est un grand soutien de son sort et de leurs enfantsmais, comme avec d'autres personnes enleves, la famille a senti impuissant l'arrter.J'ai rencontr Kathleen Morrison quand elle tait assise dans mon "OVNIS et de l'AmericanSociety" au coursTemple University. Elle tait retourne l'universit aprs une longue absence pour recevoirsondoctorat. Comme le matriel de cours se tourna vers le phnomne des enlvements, elle estdevenuemal l'aise et ne pouvait plus assister ma classe. Elle m'a dit que quelques annes plus ttelle alle un jeu qui contient une scne dans laquelle un acteur semblait flotter dans l'air.La scne a dclench des vagues souvenirs que lui a caus la panique, et elle est devenue sipeur qu'elle avait pour chapper la pression. L, elle s'accroche une rampe pour stabiliserelle-mme tout en hyperventilation avec crainte premires. Nous avons finalement eu vingt-six

sancesensemble, au cours de laquelle elle a appris la raison de sa raction de peur, comme elle a euconnaissancedu nombre d'intrusions trangres dans sa vie. Malgr son mariage de vingt ans, elle apas dit son mari, craignant que les aspects sexuels de l'enlvement serait tropdifficile pour lui de grer.Jack Thernstrom tait un tudiant de troisime cycle des tudes pour son doctorat en physique un IvyLigue universitaire. Il est venu pour moi d'examiner les vnements curieux dans sa vie, dontcertainesil avait d'abord interprt comme de nature religieuse. Il avait aussi droutant et inquitantsouvenir d'avoir t dans le sous-sol et de voir un petit tre "coming out d'une radio," de"Serpents" aprs lui, et d'tre "agress" dans les bois. Ses sessions hypnotiques

ont t difficiles. Il serrait les dents, serrer ses muscles, et littralement secouerviolemment avec l'anxit au cours de chaque session. Aprs dix sances, il a soudainementsenti fortementqu'il ne devrait pas tre me parler de son exprience parce que c'tait une violation decertainestri. Il a alors interrompu l'hypnose, mais il vient encore mes runions groupe de soutien.Les deux Hopkins Budd et j'ai travaill avec Summers Kay. Elle a trente et un ans, vit dans leMidwest, et a eu des sances d'hypnose peut-tre plus que quiconque. Elle aconnu la gamme complte des procdures d'enlvement, mais les siens ont t plus violentsquela plupart. Mme si elle a souvent souffert d'une srie de blessures physiques sonenlvement,y compris, sur deux occasions, des os briss, sa dtermination face l'adversit estextraordinaires. Elle insiste sur la tte d'une vie normale et refuse de cder la dpressionqu'elle se sent souvent. Ses parents sont hostiles la ralit du phnomne et de lui donnerpas de soutien, et elle n'a pas dit l'homme avec qui elle vit dans la crainte de lui aliner.En raison de sa situation difficile, Kay mne une existence isole motionnellement l'exception desparler Hopkins et moi. Elle est totalement rsign son sort, et dans sa plus dprimmoments, elle me dit qu'elle souhaite les tres tuerait pour qu'elle puisse tre libre deeux une fois pour toutes. Je fais tout mon possible pour lui remonter le moral et le canal de sadpression en plusles secteurs productifs de la rsistance. Je dois admettre, cependant, que la dpression estfrquente etraction prvisible ce phnomne.

Toutes les personnes enleves dans cette tude sont unis par le dsir de comprendre ce qui atqui leur arrive. Ils partagent le lien commun d'avoir particip un phnomneque d'abord ils ne pouvaient pas comprendre, alors ne pouvais pas croire, et maintenant ne


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peut pas contrler.Ils sont tous dtermins acqurir la matrise intellectuelle et affective sur leurs expriences.Comme ils ont racont leurs enlvements, ils ont souvent dcrit neutre ou parfoismme des expriences agrables. De loin, cependant, le type le plus rpandu est inquitant ettraumatique. Je ne peux couter et les encourager y faire face. Ma responsabilit consiste tre aussihonnte et bien inform que possible; amateur et trompeur la spculation peut tre

trouve nulle part. Je les aide comprendre la fois ce qui s'est pass pour eux et commentils peuvent reprendre leur vie en face de lui. Cela est d'autant 1 peut faire. Je sais que la seulefaon de les aider de faon permanente serait d'empcher les enlvements, et cela, je ne peuxpas faire.Pendant le processus du souvenir de leurs expriences, de nombreux ab-ductees raliser leurssituation particulire. Ils sont sur les lignes de front d'enquter sur cette monumentaleimportantphnomne. Ils sont les "claireurs" qui reviennent et rapporter ce qu'ils ont vu etexpriments. En tant que participant / observateurs, ils ont le rle le plus important detous. Ilsrassembler les chercheurs comme moi les pices du puzzle afin que nous puissions les mettreensemble. Ilsne sont pas seulement les victimes d'enlvements, ils sont aussi les hros, dont les comptes

sansnous n'aurions pas un aperu significatif que ce soit dans le UFO phenomenon.2

3. Ombres de l'esprit

J'ai reu des milliers d'appels et de lettres de gens qui ont des souvenirs de l'insoliteexpriences qui ont t trs troublant pour eux. Ils ont cherch pendant des annes dansvain de dcouvrir l'origine de ces souvenirs. Ils pensent que je pourrais tre en mesure d'aidereux. Bien sr, une personne connat les vnements inhabituels ne signifie pas ncessairementqu'ilelle est victime d'enlvement. J'ai conu un processus de slection afin d'liminer ceux qui sontpas srieux au sujet de leur recherche (ils pourraient simplement tre sur un pinson), ceux quine sont pasmotionnellement prpars se pencher sur leurs expriences, et ceux qui n'ont pas eu, monestimation, ce qui suggre que les expriences qu'ils sont ab-ductees.Tout d'abord, j'ai volontairement leur faire subir une srie de tches. J'en ai besoin de remplirunquestionnaire sur les expriences qui ont propuls se manifester, et environd'autres qu'ils ne pourraient pas se rendre compte pourrait faire partie du phnomne

d'abduction (pourPar exemple, Avez-vous dj vu un fantme?"). Je leur demande de renvoyer le questionnaireremplipour moi et ensuite de le rappeler. J'analyse le questionnaire et de dcider si leurs expriencessontsuffisamment important pour justifier une enqute plus pousse avec l'hypnose.Quand je parleavec euxencore une fois, je tente de les persuader de ne pas se pencher sur ce qui pourrait tre unebote de Pandore. Je leur donneun avertissement fort et franc sur les dangers d'aller de l'avant avec l'hypnose etdcouvrir un vnement d'enlvement: Ils peuvent devenir dprims, ils auraient pu dormirperturbations, ils pourraient se sentir isol motionnellement, et ainsi de suite. En effet, ilspourraient

facilement changer une srie de problmes pour une autre. Je les exhorte parler au-dessusde leur dcisionavec leurs proches et de me rappeler plus tard. Je puis leur envoyer une brochure qui rappellemes mises en garde afin qu'ils puissent prendre une dcision informe que possible.


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Environ 30 pour cent des personnes qui me contactent dcider de ne pas se soumettre l'hypnose, cepoint. C'est la bonne dcision pour eux, peu importe ce que leurs raisons. Si elles dcident dealler de l'avant avec le processus, je leur donne un autre avertissement verbal au sujet dupotentieldangers et, si elles sont encore prts, nous avons un rendez-vous pour une session.Au momento

ils arrivent pour leur rgression hypnose d'abord, j'ai en gnral dj pass plusieurs heuresleur parler, et ils sont conscients des problmes qui pourraient rsulter de leurrgressions. Ils sont galement conscients que ce qu'ils ont retenu, si quoi que ce soit, ne peutncessairement tre tous exacts ou mme vrai.Quand ils arrivent enfin ma maison, nous montons les escaliers mon bureau au troisimetage et parlerpour une heure ou deux avant de commencer l'hypnose. Nous sommes d'accord surl'vnement qui, dans leur vienous voulons tudier au cours de cette session. Il pourrait tre, par exemple, une priode demanquetemps, ou d'un incident au cours duquel ils se sont rveills et ont trouv des petits hommesdebout autour de leur lit.Ils ont ensuite allong sur mon lit de jour et de fermer les yeux, et je commence une simple

relaxationinduction qui leur permet de concentrer et de se concentrer. Lors de leur premire session, ilssont souventperplexe, car ils ne sont pas dans certains pays des rves ou parce qu'ils se sentent tout fait normal.Ils dcouvrent qu'ils peuvent discuter avec moi, se lever et aller aux toilettes, et trecompltementdans le contrle.Je ne sais jamais ce qui va se sortir d'une sance d'hypnose. Si le sujet se souvient d'uncas d'enlvement et il ya des fausses alarmes, quand il semble que l'enlvement pourraitont eu lieu mais il n'a pas-je commencer une srie de questions prudentes, gnralement dansunstyle de conversation, qui organique ressort de ce qu'ils disent. Certaines personnes enleves

racontent leurs expriences avec dtachement, comme si elles taient la recherche sur lepass partir d'un point de vue d'aujourd'hui, d'autres de revivre leurs souvenirs comme s'ils taientl'geo l'vnement a eu lieu. Certains sont calmes sur ce qui leur arrive, d'autres sont sipeur, il devient difficile pour eux de continuer, mme si je doucement les aider traverserl'exprience. Certains se souviennent des vnements de faon hsitante, comme lessouvenirs viennent par -coups etcommence. D'autres ont du mal dcrire leurs expriences, car les souvenirs reviennentprcipitammentlors d'une inondation. Presque toutes les personnes enleves rappeler leurs expriences avecune combinaison detonnement, la surprise, et la familiarit. Quand ils ont fini, ils se souviennent de ce quequi leur est arriv, et nous parler de leur compte pour une heure ou deux. Lorsque la personneenlevequitte mon bureau cinq heures ont passed.1Mme avec tous mes avertissements et les discussions prliminaires avant la premire session,surD'arrt 25 pour cent ce stade-habituellement, ils sont trop effrays pour continuer.Pour ceuxquicontinuer avec moi, je mne des sances d'hypnose avec eux autant que je peux. Ilscherchent dsesprment comprendre ce qui leur est arriv et comment elle a influencleur vie. J'ai effectu pas moins de trente-trois sessions d'un seul individu,bien que la moyenne pour l'ensemble des 110 personnes enleves avec qui j'ai travaill est desix. J'ai l'habitude de

ne vont pas au cours de la mme preuve deux fois.Mon style de questionnement n'est pas la demande de renseignements. Je m'engage dans unva-et-prendre avec lesabduct aprs je suis sr qu'ils ne peuvent pas et ne sera pas conduit, mme par


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inadvertance. Je force rflchir attentivement sur les vnements. J'essaie de leur donner la perspective et lacapacit deanalyser comme ils se souviennent. Par-dessus tout, j'essaie de les "normaliser" pour qu'ilspuissent sortireux-mmes de l'emprise motionnelle inconsciente le phnomne a souvent eu tout au long de leur vie. J'essaie de leur donner la force de se dgager de la

effets enlvements psychologique afin qu'ils puissent reprendre leur vie sans avoirconstamment rflchir leur situation. Je tiens les en arriver au point o ils nese sentent plus la ncessit de chercher un hypnotiseur de comprendre ce qui s'est pass eux.L'hypnose est facile. Tant que la personne veut tre hypnotis, tout le monde peut le faire. Deventeles bonnes questions dans le droit chemin, au bon moment, et l'interprtation des rponses esto la peine entre en jeu. La dynamique correcte entre l'hypnotiseur et abductdpend de la quantit de connaissances de l'hypnotiseur a acquis de l'enlvementphnomne, l'exprience qu'il ou elle a avec l'hypnose, et sur les prsupposs de lahypnotiseur amne la session. En outre, l'hypnotiseur doit aider la personne enleve faceavec les souvenirs traumatiques parfois en intervenant thrapeutique lors de la sessionpour fournir un contexte et de rconfort. Ainsi, un hypnotiseur comptente / chercheur doit

avoir unconnaissances professionnelles de l'hypnose, une connaissance approfondie de l'enlvementphnomne, une familiarit avec des souvenirs fabulation et de faux, et les comptences dansla thrapie.Malheureusement, il ya peu de personnes ayant ces qualits.Tous les chercheurs comptents apprennent rapidement que la mmoire n'est pas fiable. Iln'est pas inhabituel pour unpersonne se souvenir des dtails d'un "normal" vnement traumatique inexacte.Leschercheurs ontmontr qu'ils peuvent rendre les gens souvenir de quelque chose qui n'est jamais arriv. Unemploy occasionnel,mais calcul, la discussion d'un vnement avec une personne peut inculquer souvenirs enlui que

n'ont aucun fondement dans la ralit. Grce au passage du temps, la mmoire se dgradeaussi, des vnementsse fondre dans l'autre, et empite sur la ralit fantastique.J'ai t extrmement chanceux d'avoir rencontr la mmoire fiable la premire fois que jeorganis une sance de rgression hypnotique. Melissa Bucknell, vingt-sept ans relemploy de gestion immobilire, et j'ai accept avant la session d'enquter sur un incidentqui avait eu lieu quand elle avait six ans. Elle a commenc par dcrire en jouant dans unchampavec une de ses amies. Elle se pencha pour regarder un papillon, gel dans cette position, puisse trouva tre leves dans un UFO planant. Strange prospectifs tres enlev sonvtements et la posa sur une table. Ils ont men un examen physique et, sonembarras, a fait une procdure gyncologique ainsi.Aprs l'examen, un tranger plus d'apparence humaine, qu'elle appelait Sanda, l'emmena dansun couloir o elle a rencontr un extra-terrestre de petite taille. Melissa a t ncessaire detoucher le petit trangerla tte et tout de suite senti l'amour, de chaleur et d'affection manant de lui. Sanda puisl'emmena dans une autre pice dans laquelle un conseil de plusieurs trangers assis autourd'une table. L'trangers discut de la faon lumineuse, forte, et une bonne Melissa a t et a dit qu'elle auraitletraits d'un adulte. Aprs qu'elle a t mene dans un couloir, ses vtements ont t remissur, et elle a t prise sur le terrain o elle avait t auparavant.Plus tard ce soir, j'ai cout la cassette audio que j'avais fait de la session. Pour mahorreur, j'ai dcouvert que Melissa avait parl trop bas pour tre capt par ma bandemicrophone condensateur enregistreur. La bande avait presque rien sur elle. J'ai continu

travailleravec Melissa, et trois mois aprs notre premire session, j'ai suggr que nous revisitons notrergression enlvement initial, expliquant que j'avais eu un problme avec le magntophone.Cette fois, Melissa tait moins sr de ce qui s'tait pass. Elle a dcrit flotter dans


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l'OVNI. Elle se souvenait de la partie de son examen gyncologique, une fois qu'ellenouveau a t gn raconter. Elle a parl de la faon dont les tres lui leva au large de latable, la redresser, et l'a ramene sur le terrain. Mais ma grande surprise, elle ne serapportent pasla rencontre couloir avec l'tranger petits gris, au cours de laquelle elle a t oblige detouchersa tte et sentir son amour. La runion laquelle les trangers assis autour d'une table et

a parl de son dveloppement a galement t absente de son nouveau compte.J'tais perplexe. La premire fois que Melissa m'avait parl de l'tranger petite grandeconviction et d'motion. Maintenant, quand je lui ai parl de la rencontre, elle n'tait pas srequeil ne s'tait jamais produit. Je lui ai alors interrog sur la runion du conseil avec les trangers.Melissa pens une seconde et dit que peut-tre ce qui s'tait pass un autre abductavec qui elle avait t amis. Elle a t peu prs sr que cela n'tait pas arriv elle.Cette exprience m'a enseign une leon prcieuse parce que j'ai ralis que, en toutesincritet l'honntet, enlevs peut parfois se souvenir des choses qui n'taient pas vraies.Je rsolusd'laborer une mthodologie rigoureuse pour assurer la vigilance sur les fauxsouvenirs. Comme monla recherche a progress et un abduct rapport quelque chose que je n'avais jamais entendu

parler avant, jeserait d'attendre la confirmation par une autre personne enleve ignorer le tmoignage. J'aisoigneusementa interrog tous les incohrences, lacunes, ou saut logique. J'ai travaill pour une chronologiecomplteet tent d'obtenir une seconde par seconde rcit de chaque vnement enlvement, sanssaute,pas de lacunes, et pas d'omissions.Je n'ai jamais reu, et je n'ai jamais entendu parler, un autre rapport d'un abduct qui avait tncessaires pour toucher la tte d'un tranger et de recevoir des motions d'amour.J'aientendu quelques rapportsdes trangers assis derrire un bureau et de parler la personne enleve, mais lescirconstances taient

tout fait diffrent du compte de Melissa. En outre, Melissa ne serait jamais, dans nos plus detrentesessions d'enlvement, rappeler un vnement similaire. Tout cela suggre qu'elle pourraitavoirinconsciemment absorb un fragment de la mmoire de son amie enleve et a t confondusur d'autres dtails.Melissa m'avait fait une trs grande faveur. Elle m'avait appris les dangers de l'hypnoserappel le tmoignage. C'tait une leon que j'ai t heureux d'apprendre, et qui tous lesenlvementshypnotiseurs et les chercheurs ont apprendre.

Mmoire vnement normal

normale de la mmoire n'est pas bien comprise. Les neurologues savent que les registres ducerveau humainvnements et leur donne une priorit du code. Par exemple, se souvenir d'un crime quevoustmoin reoit une plus grande priorit que de se rappeler qui vous tes pass dans la rue. L'cerveau organise ensuite le matriau en fonction de son impact sensoriel. Il met d'abord levisuel,lments auditifs, olfactifs, tactiles et la mmoire court terme, puis, si cessont suffisamment importants, il les stocke dans la myriade de sites qui constituentneurologiques long termemmoire.Le cerveau a un systme de rcupration de rappeler la mmoire dans une varit de faons:

en pensant l'vnement; en permettant un autre vnement pour dclencher de rappel, ou en permettantune vue, l'oue,l'odorat, le toucher ou de faciliter le rappel. La mmoire peut galement rsider dans la


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consciencesans un mcanisme de dclenchement, comme difficile - - oublier des vnementstraumatisants.La mmoire n'est pas stocke de faon linaire. Il est stock dans une base de donnesrelationnelles, o les diffrents bits demmoire sont placs dans diverses neurologiques "slots". La date et l'heure d'un vnementsont

stocks dans un emplacement, l'emplacement dans un autre, des sons associs l'vnementdans un autre, la couleuret les odeurs dans les emplacements d'autres encore, des sentiments dans un autre, et ainside suite. Chacune de ces mmoiresfragments peuvent tre oublis. Chaque dsintgration peut et se dformer. Parfois, unepersonnerappelle un fragment de mmoire qui n'a de sens que si la personne cre inconsciemment unscnario, mme s'il s'agit d'un scnario fictif, incorporer IT.2tant donn la complexit de la mmoire, il faut s'attendre ce que de nombreux critiques del'enlvementphnomne font valoir que les enlvements sont des tours seulement que l'esprit joue sur lesgens. Ilspoint de syndrome des faux souvenirs, souvenirs l'cran, et aux mdias "contamination"

expliquer les comptes enlvement. Elles s'attaquent aussi l'utilisation de l'hypnose enrappelant les vnements surau motif que, lui aussi, peut susciter de faux souvenirs. Leurs objections sont valables?

Syndrome des faux souvenirs

Les critiques de la charge phnomne d'abduction que enleves, souvent avec l'l'encouragement des chercheurs, sans le savoir concocter des fantasmes enlvement. Que lesgens peuventont des faux souvenirs est hors de doute. Compte tenu de certaines circonstances, ils peuvent,pourPar exemple, inventer des comptes complexes d'abus sexuels et physiques. Les faux souvenirsSyndrome Foundation de Philadelphie est rempli avec les membres qui ont t injustement

accus d'abus sexuels.Les faux souvenirs d'abus se produisent lorsque les gens se souviennent des vnements, leplus souvent que les enfants, quene s'est pas produit. Nanmoins, les dtails des victimes rapportent peuvent treextraordinaires. Ilsrevivre leurs expriences avec l'impact motionnel des vnements rels. Certains sesouviennent sataniquescultes qui les terrorisait et mme tu des bbs dans les rituels des sacrificeshumains. Lorsque leVictimes sont confronts des faits (les enquteurs n'ont pas trouv de bbs morts, pas debbsont t ports disparus l'poque et le lieu de l'abus rituel cas), ils en colrefournir des explications, comme celle des mres elles-mmes taient satanistes qui ont donnleurs bbs des fins sacrificielles et n'ont pas dclar leur manque. Les gens peuventexprimerfaux souvenirs avec une telle conviction et de sincrit qu'ils ont tromp beaucoup deles enquteurs. Dcouvrir faux souvenirs d'abus sexuel peut aussi dboucher sur de grandesbouleversements motionnels dans la vie des gens. Les familles sont dchires, les frres etsurs sont spars,poursuites sont engages, des personnes innocentes sont injustement accuss et mmeemprisonns.Dcouvrir des faux souvenirs est gnralement facilite par un thrapeute qui est convaincuqu'uneclient a t abus sexuellement (ou tout autre abus de la mmoire fausse raconte), mmesi le client n'a aucun souvenir de lui. Grce la persuasion insistante, le thrapeute

inculque l'ide dans son client que tous ses problmes motionnels proviennent de larpressionde la mmoire de certains traumatismes antrieurs. Le thrapeute peut dire au client que s'il lejuge


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assez dur, il se souviendra de l'vnement traumatique. La gurison ne peut commencer, lethrapeutedit, aprs les souvenirs commencent couler. Ne pas se souvenir du traumatisme signifie quelela victime est dans le dni et le refus devient plus preuve de la violence. Pris dans cetteboucle,la victime d'un thrapeute srieux mais peu judicieux estime qu'il est difficile de

sortir.Finalement,comme dans le cas trs mdiatis de Paul Ingram et ses filles, le sujet"Se souvient" de la abuse.3Il ya enquteurs spcialiss de syndrome des faux souvenirs, qui ont eu vasteexprience avec les allgations d'abus sexuels et sont capables de dtecter les faux souvenirs.Toutefois, ils ont commenc tendre leurs comptences dans des domaines dans lequel,malheureusement, ilsne sont pas experts. Le phnomne des enlvements est devenue une cible irrsistible.Par exemple, psychologue et spcialiste de l'hypnose Michael Yapko crit, dans Suggestionsde l'abus, que le phnomne d'abduction est tout simplement une question de "le phnomnede lasuggestibilit de l'homme , qui lui cause" l'irritation et l'incrdulit. "4 psychologue etmmoire d'experts Elizabeth Loftus, dans son livre Le mythe de la mmoire refoule, traite

enlvements comme une forme d'irrationalit exerces par ailleurs "sain et intelligent"personnes.5 Elle cite affirmations psychologue Michael Nash: Il est trait avec succs" unhomme qui a affirm qu'il avait pris un chantillon de sperme de lui au cours d'unenlvement. Utilisationhypnose et autres techniques thrapeutiques, Nash calm l'homme et l'aida retourner sa routine normale, mais, Nash se lamente: Il est sorti de mon bureau tout fait convaincuqu'il avait t enlev comme quand il avait march en "Loftus est d'accord avec Nash que l'puissance de faux souvenirs de cet homme lui a permis de continuer croire ses ridiculesstory.6Loftus et Nash, ainsi que d'autres critiques, sont incorrectes. Ni eux, ni une critique d'autresont jamais prsent la preuve que les comptes de l'enlvement sont le produit de fauxsouvenirssyndrome (ou, d'ailleurs, de tout facteur dclenchant d'autres que ce que les personnes

enleves ontexpriments). La raison pour laquelle ils n'ont pas prsent ces lments de preuve, c'estqu'ils necomprendre le phnomne d'abduction. S'ils le faisaient, ils se rendraient compte quel'enlvementcomptes diffrent de syndrome des faux souvenirs dans cinq domaines importants.

1. Contrairement aux victimes de syndrome des faux souvenirs, enleves ne racontepas seulementexpriences de l'enfance. Ils font, bien sr, rappeler des vnements lors del'enlvementenfance, parce que le phnomne d'abduction commence dans l'enfance, mais ils ontaussise rappeler des vnements d'enlvement l'ge adulte. En fait, les comptes denombreux enlvements, contrairement de faussesles comptes de la mmoire, sont des vnements trs rcents. Sur les 450 derniersenlvements que j'aienqute, prs de 30 pour cent des vnements au cours des trente derniers jours etplus50 pour cent avaient eu lieu au cours de l'anne coule. J'ai galement tudil'enlvementvnements qui ont t signals moi seulement quelques heures, voire quelquesminutes, aprsils ont pris place.7En 1991, par exemple, Jason Howard, un instituteur, tait sur le chemin de mon

maison pour une runion de groupe de soutien qui auraient t enlevs. Il a mis seschaussures, qu'ilgarde par la porte d'entre. Il est la dernire chose qu'il fait toujours avant de quitterson


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maison. Soudain, il tait quatre heures plus tard et Jason tait sur son lit dans sachambre l'tage. Il m'a appel immdiatement, expliquant qu'il se souvenait vaguementmettre ses chaussures, puis allong sur le divan. Lorsque j'ai effectu un hypnotiquesession sur cet vnement, Jason se souvenait mise sur une chaussure, puis unesensationirrsistible envie de s'allonger sur le canap. Il a rappel que de petits tres paru dans

sonsalle de sjour et lui flottait directement travers le plafond en attendant UFO. Unesrie de procdures suivre, y compris l'chantillonnage de sperme et d'envisagermentalesquences. Les trangers l'ont ramen sa maison, mais au lieu de le mettre sur ledivan, o il tait au dbut de l'enlvement, ils l'ont mis sur son lit danssa chambre l'tage. Quand il est venu la conscience, il s'est rendu compte quequelque chosequi s'tait pass, et il m'a appel. Le signalement immdiat de cet vnement necorrespondent la description du syndrome des faux souvenirs.2. Contrairement aux victimes de syndrome des faux souvenirs, enleves ont indirectscorroboration des vnements. Par exemple, j'tais au tlphone avec Summers Kay,dont les expriences d'abduction a commenc alors que nous parlions. Elle dcrit une

rugissement parfois associe avec le dbut d'un enlvement, et jepouvait entendre ce bruit sur le tlphone. L'hypnose a rvl plus tard que peu detemps aprs, elleraccroch le tlphone, elle a t enleve. Les faux souvenirs ne prennent pas la formeen mme temps que la survenance d'vnements rels au cours de laquelle unchercheur estune corroboration indirecte.3. Contrairement aux victimes de syndrome des faux souvenirs, souvent enlevessouviensvnements sans l'aide d'un thrapeute. Ils peuvent rappeler des vnements survenuseux . moments prcis de leur vie. Ils ont toujours su que l'vnementdes vnements, et ils n'ont pas besoin d'un thrapeute pour renforcer leurs souvenirs.

4. Contrairement aux victimes de syndrome des faux souvenirs, enleves sontphysiquementmanquantes lors de l'vnement. L'abduct n'est pas o il est cens tre, les gensqui cherchent lui ne peut pas le trouver. Le abduct est gnralement au courant qu'ilya uncart de deux ou trois heures que ni lui ni personne d'autre ne peut rendre compte.Cesphysique corrobore ration n'existe pas dans la fausse mmoire.5. Contrairement aux victimes de syndrome des faux souvenirs, enleves peuventfournirune confirmation indpendante de l'enlvement. Environ 20 pour cent desenlvements comprennent deux ou plusieurs personnes qui voient les uns les autreslors de l'enlvementvnement. Ils ont parfois de faon indpendante le signaler l'enquteur.

En outre, il est important de noter que, contrairement aux victimes de syndrome des fauxsouvenirs,enlevs ne prsentent en gnral la dsintgration de leur vie personnelle aprs avoirprendre conscience de leur situation. En fait, bien des gards le contraire a lieu.Lorsqueenleves subir l'hypnose comptentes et comprendre la nature de leurs souvenirs, ilscommencent souvent prendre le contrle intellectuel et motionnel au cours de cessouvenirs. Ils se sententplus confiants, car ils ralisent que leurs penses sont censs tre inadquats et les craintesdes annes (par exemple, la peur d'aller dans la chambre la nuit, les penses de mentir sur untable dans une salle entoure de cratures tranges, d'tre trop effray de mdecins)ont t les ractions appropries un puissant stimulant, mais inconnues. En nous souvenant

de lavnements, enleves prendre le contrle de la peur qui les ont tourments pendant desannes et d'obtenir leurvie en ordre, mme s'ils savent que le phnomne d'abduction ne sera pas


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cesser. La connaissance du phnomne d'abduction les aide conduire plus intgrevie, plutt que d'avoir des effets puissamment dsagrgation si commun avec les victimes desyndrome des faux souvenirs.

Souvenirs crans d'abus sexuel

Avant de syndrome des faux souvenirs s'est fait connatre, les thrapeutes suppose que

l'enlvementcomptes ont t en raison de souvenirs refouls d'abus sexuels dans l'enfance. Ils ont postulparce que l'abus est tellement traumatisant, la victime inconsciente transpos la violencedans un rcit de l'enlvement. Pour faire face la terreur, la personne a vcu avec le plus"Acceptable" traumatisme d'tre enlev par des extraterrestres.Il n'existe aucune preuve de cette explication. Il n'ya pas de cas au dossier d'unrcit de l'enlvement d'tre un souvenir-cran d'abus sexuels. En fait, le contraire est vrai.Il ya beaucoup de preuves que les gens se souvenir d'tre victimes d'abus sexuels lors deralit, ils ont t agresses par le phnomne d'abduction.Jack se souvient Thernstrom marche avec sa sur dans une zone boise derrire leur maisonquand il avait douze ans. Sur la promenade Jack a rencontr un homme portant "lunettesnoires" qui exploitent sexuellementabus de lui. Il n'tait pas clair sur les dtails, mais il se souvenait d'avoir ses vtements

pris son envol et ses parties gnitales exposes. Il n'tait pas clair sur ce qui s'est pass sasur, maisil pense que peut-tre elle s'tait enfuie. Il n'a jamais dit personne sur l'vnement, et ilvcu au cours des prochaines dix-huit la mmoire traumatique qu'il avait t soumis abus sexuels commis par un tranger. Lorsque Jack raconte l'pisode au cours de la rgressionhypnotique,l'homme aux lunettes noires s'est avr tre un tranger, et l'incident a t une routinecas d'enlvement dans lequel Jack a subi un examen physique. Il n'avait pas tvictimes d'abus sexuels. Jack avait form une "mmoire" des bits et des morceaux del'vnement pour que,horrible que cela aurait pu tre, un compte de l'abus sexuel tait logique de him.8Dans un autre cas, "Julie", a rappel un vnement qui a eu lieu quand elle avait dix ans. Elletait la maison dans la barre de sous-sol avec son pre et trois de ses voisins. Elle se

souvenaitson pre lui tenant les mains dessus de sa tte tandis que les voisins l'a agressesexuellement.Dans la rgression hypnotique de la femme a rvl que cela avait t un vnementd'enlvement, quia commenc quand elle tait la barre sous-sol avec son pre et ses amis. Le pre et ladeux des voisins ont t placs dans un tat immobile et demi-(sous tensionoff ") au cours de l'vnement. Les trangers ont d'elle et un voisin, M. Sylvester, hors de lasous-sol et dans un OVNI. Pendant l'vnement enlvement, elle a t faite pour visualiser desscnesde contact sexuel entre un homme et une femme (elle a pens que peut-tre l'homme tait M.Sylvester). Quand l'pisode est termin, les trangers et les lui rendit son voisin dubar. Elle n'avait pas t violes cette occasion. M. Sylvester, qui ellempris pendant des annes aprs, s'est avr tre tout autant victime comme elle was.9De toute vidence, ne sont pas tous les cas de violence sexuelle sont des vnementsenlvement. Un abduct rappeler queelle avait t agresse sexuellement quand elle avait treize ans. Elle ne se souvient pascomment elleobtenu en bas dans la chambre de son agresseur sous-sol chez les adolescentes, et elle a tconfonduesur d'autres dtails. Souponnant que ce pourrait tre un souvenir-cran pour un enlvement,nousil a examin sous hypnose. Elle se rappelait le garon, comment elle est arrive en bas, ce quides vnements dans le sous-sol, et ce qui s'est pass aprs. Elle n'avait pas de souvenirs devoir

trangers, transports hors de la maison, ou d'tre bord d'un OVNI. Elle avait tagress sexuellement et non enlevs.


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Contamination des mdias

Star Trek a, en substance, deviennent partie intgrante de la conscience amricaine.Desmillions de personnesont vu ces rcits fictifs de l'homme et des trangers, tout comme de nombreuses personnesont vurapports d'enlvements la tlvision ou lire des livres leur sujet. La socit a t si

imprgn d'histoires sur les enlvements extraterrestres qu'il est difficile pour la plupart desgens d'chapper eux. Un compte "pure" l'enlvement est de plus en plus difficile obtenir.Le problme de l'influence des mdias sur les rapports d'ovnis et d'enlvements a longtempssouffert UFOchercheurs. Au fil des ans, les enquteurs ont appris juger chaque observation d'OVNI sur sonpropres mrites, et ils ont dvelopp une mthodologie de "sparer le signal de lale bruit. "La crdibilit du tmoin, la qualit de l'information, et lacomptes corroborant d'autres tmoins sont tous devenus des critres d'valuation de lavalidit du rapport. Les chercheurs ont maintenant appliquer ce procd l'enlvement desrapports.Est-contamination des mdias posent un problme important pour la recherched'enlvement? N

Bien que cela ne se produisent de temps autre, en fait, la plupart des personnes enlevessont extrmement sensiblessur les dangers des influences culturelles. Quand ils examinent leurs souvenirs avec moi, ilssont parfaitement conscients de la possibilit qu'elles pourraient avoir "ramass" un incident etl'ont incorpor dans leur propre compte. Dans les premires sances d'hypnose, l'autocensureest si lourd que cela devient un problme. Les gens ne veulent pas dire des choses quifaire paratre fou, et ils ne veulent pas quelque chose de perroquet retour au chercheurqui ils ont ramass dans la socit. On me dira au cours de l'hypnose quand ils pensent qu'ilspeut-tre mlang quelque chose de la culture. Ils sont tellement proccups par cettecontamination que trs souvent je dois leur dire de verbaliser leurs souvenirs, et pass'autocensurer.Lorsque enleves me dire ce dont ils se souviennent, leurs comptes ont gnralement unerichesse de

dtail qui ne pouvait pas venir de la contamination des mdias. Les mdias de diffusertrs peu d'informations solides sur les enlvements. C'est enleves rappeler et dcrireaspects spcifiques des procdures de dtails-que des dizaines de personnes enleves ontdcrit, mais quen'ont jamais t publis, est extraordinaire et milite fortement contre la cultureinfluences.Un bon exemple de l'absence de contamination des mdias est Whitley Strieber est fortementCommunion livre controvers, publi en 1987. Il a t un best-seller du New York Timesla liste des 32 semaines et le nombre-un poste pendant prs de cinq mois.Strieber raconte les dtails de ses expriences qui ne correspondent pas ce que la plupartenlevs dire.Il raconte tre transportes vers un sale antichambre o il s'assit sur un banc au milieu de lafouillis. Ce passage trs suggestif dans son livre tait la fois dramatique et effrayant. Sicontamination des mdias ont t un problme, je m'attends quelques personnes enlevesavec qui j'aitravaill et qui ont lu Communion pour dcrire une situation similaire. Cela n'a paseu lieu. Pas un seul d'entre eux n'a jamais dit qu'il tait assis dans une chambre qui tait saleou encombravec des vtements. De mme, le film de Strieber, Communion, regard par des millions depersonnes,avait une scne de la danse, la graisse, les trangers bleu. Ni moi ni mes collgues ont dj euunerapport similaire. Malgr le manque apparent de toute preuve de contamination des mdias,tous lesles chercheurs doivent nanmoins tre vigilants ce sujet. Nous ne pouvons pas reconnatre la

contaminationsi la personne qui intgre harmonieusement dans son compte et il devient une partie de sonSouvenirs.


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Consciemment rappel Evnements

Si les comptes d'enlvement ne font pas partie d'un syndrome de l'ensemble des subtile etinsidieuseinfluences sur le cerveau de la personne, la critique du phnomne dire que enleves devraienttre en mesure de se souvenir consciemment leurs expriences et de fournir aux enquteurs

des informations prcises. En fait, enleves ne se souvenir consciemment enlvements-parfois des fragments, parfois de longues squences, et dans certains cas mme ensemblevnements. Souvent, ces comptes sont exacts et dtaills et correspondent troitement celles rcupressous hypnose. Cependant, comme souvent les souvenirs consciemment rappels sontnettementinexactes, avec des dtails dforme des vnements rels et concrte des souvenirsd'vnements quin'a pas eu lieu. Consciemment rappel des souvenirs peut tre un amalgame de fragmentsd'unre-cr l'enlvement dans un ordre logique qui ne reflte pas la ralit.Un excellent exemple est le cas de Marian Maguire, une femme dans la soixantaine avec deuxfilles adultes, qui s'est rveill un matin en 1992 et consciemment rappel une instance

dans lequel elle tait avec sa fille au cours d'une anne avant l'enlvement. Elle se souvenaitmain dans la main avec sa fille et, avec d'autres personnes, tre "branch" unappareil spcial sur un mur. C'est tout ce qu'elle a rappel consciemment, mais elle taitcertaine quecet vnement s'est pass exactement comme elle se souvint.Je n'avais pas entendu parler de personnes enleves tre branch sur un mur avant.Quelquessemaines plus tardMarian et moi avons explor cet vnement avec l'hypnose. Au cours de la rgressionhypnotique, Mariantrouv difficile de se rappeler la marche vers le mur, tant branch sur elle, etse dbranche. Plus je sonds, le moins sr, elle est devenue de ce qui s'taitdes vnements. Elle a ralis que le mur contenait petits carrs noirs. Et comme elle aregard

eux, je lui ai demand de me dire ce qu'elle a vu en dessous. Je l'ai attendue -dire le mur oule plancher. Au lieu de cela, dit-elle, "les mains drle." Les mains taient attaches auxpoignets, aux poignetsaux armes, et ainsi de suite. Elle ralisa alors qu'elle regardait dans les yeux noirs d'untranger. Ellen'avait pas t branch sur un mur. Elle tait debout dans une pice avec ses filles et untant venu vers elle et regarda dans les yeux. Au fil du temps, les yeux noirs dans son espritavaittransmue en un embotement sur un mur, et son incapacit viter de les transformeren tre "attach" eux. Au cours de l'hypnose, l'embotement transmut en carrs.Bien qu'il y ait une base relle pour la mmoire de Marianne, les dtails qu'elle consciemmentrappel n'avait pas eu lieu.Un autre exemple est celui de Janet Morgan, une mre clibataire avec deux enfants, quiconsciemment souvenir d'une exprience d'abduction bizarre. Comme elle tait couche surune table, ellevu de petits tres qui luttent pour mettre un alligator vivant dans la pice. Ils ont mis l'animalsurle sol prs de sa table, tourna le reptile sur son dos, puis a pris un couteau et sa fentedessous de haut en bas. L'alligator malheureux gmissait et regarda dans Janetchoc. Cette mmoire traumatique la jeta dans une profonde dpression et de longue dure. Audbutelle ne voulait pas de rappeler l'vnement hypnose parce qu'elle avait peur qu'il apporteraitles dtails de retour qui approfondir sa dpression. Aprs avoir t constamment dcouragparcet incident pendant presque un an, Janet courageusement dcid d'affronter la mmoire et

d'essayer deprendre le contrle motionnel sur elle.Dans l'hypnose, la mmoire de Janet s'est avr tre le cadre d'un vnement complexe danslequel l'enlvement


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trangers effectu de nombreuses procdures diffrentes sur elle. Ils ont effectu un examen,a pris un uf d'elle, l'a force se plonger dans un bassin de liquide, et a men uneMindscan que la peur profonde provoque. Puis Janet se trouvait seule dans une chambre,couch surune table, remplie de crainte et d'apprhension. Les trangers entrs partir d'un portail sur lagauche de Janet,tirant l'alligator lourds avec eux, qu'ils ont places sur le sol ct de table de Janet.

Staring at elle, elle a commenc se rendre compte que l'animal ne ressemble pas unalligator;elle ne voit pas la tte d'un alligator ou des jambes. En fait, c'tait un homme dans un sac decouchage vert.Lorsque les aliens dzipp le sac de couchage de haut en bas, l'homme leva les yeux auJanet et gmit. Il n'ya pas eu d'alligator. Les trangers n'ont pas la fente de son belly.10Quelques-uns des souvenirs les plus communs sont consciemment rappel de la premire oudes dernires annessecondes d'enlvement si la personne est toujours dans un environnement normal.Abducteesse souviennent souvent de se rveiller et voir figures debout par leurs lits. Mais au lieu detrangers se souvenir, ils se souviennent des parents et amis dcds ou des personnalitsreligieuses. PourPar exemple, Lily Martinson, un agent immobilier, a rappel l'incident suivant, quand elle

tait en vacances avec sa mre dans les les Vierges en 1987. Endormi dans la chambred'htel,elle s'est rveille pour voir son frre dfunt debout au pied de son lit; elle a clairementrappeler quoi il ressemblait et j'ai trouv ce mmoire rconfortante et rassurante.Lorsque nous avons examin cette mmoire sous hypnose, toutefois, Lily la description de sonfrre d'une personne sans vtements, petit, maigre, pas de cheveux, et de grands yeux. Cen'tait pas sonfrre. Mme si elle a t due qu'elle n'avait pas vu son frre, elle a tconvaincu qu'elle savait maintenant l'truth.11En effet, les trangers ont cr, peut-tre involontairement, un obstacle unique l'apprentissage desvrit sur les vnements d'enlvement. C'est le problme des "souvenirs inculqu" trangers-images

volontairement place l'esprit les ab-ductee de. Pendant les procdures de visualisation, lestrangerspourrait montrer un abduct une multitude d'images: les explosions atomiques, la suppressiondes mtoritesTerre, le monde de craquage de moiti, dgradation de l'environnement, catastrophecologique, mortspersonnes baign dans le sang jonchent le paysage, et les survivants mendier l'abductde l'aide. Ou les extraterrestres pourraient montrer des images enleves de Jsus, Marie,religieux ou autreschiffres. Ces images ont l'effet d'tre si vive que les personnes enleves crois que lesvnementsQui s'est rellement pass ou qu'ils vraiment vu" la figure religieuse. Cela peut tre unproblme,surtout lorsque l'enquteur n'est pas familier avec les procdures de visualisation et neparvient pas identifier les souvenirs inculqu. Ainsi, Betty Andreasson dans le livre pionnier Ray Fowler,L'affaire Andreasson, concerne une situation dans laquelle elle a "vu" un oiseau phoenixlike lahaussede ses cendres. Il tait relle pour elle et elle dclare comme un occurrence.12 relle j'aiavait les gens se souviennent des chiffres qui ressemblait Abraham Lincoln coiff d'unchapeau tuyau de pole,hommes portant des chapeaux mous, les anges, les dmons, et ainsi de suite.

Memories rappel au cours de l'hypnose

La fiabilit de la mmoire rappel au cours de l'hypnose repose pas avec le sujet, mais avec lehypnotiseur. Mal utilis, l'hypnose peut prter confusion, la fabulation, l'acheminement,et de faux souvenirs. Malheureusement, il ya beaucoup de mauvaise utilisation de l'hypnosedans


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l'enlvement de recherche. Et lorsque les vnements l'enlvement sont rcuprs par unchercheur qui apeu d'exprience ou de formation dans les techniques appropries hypnotique, la fois le sujetet lehypnotiseur peut facilement tre amen croire que les choses qui ne se produit pas au coursde l'enlvementeffectivement happened.13

Le premier tmoin

Les sceptiques du phnomne d'abduction accusent souvent les chercheurs qui utilisentl'hypnose de"Leader" des gens en leur faisant croire qu'ils ont t enlevs. Les critiques disent queculturelles oufacteurs psychologiques poussent la personne demander un hypnotiseur qui a un affectif ouparticipation intellectuelle de cette personne effectivement victime d'enlvement. Le sujet est lahypnotiseur et une dynamique est mis en place pour parler des enlvements. Et grce desindices subtils etdes questions directes, les pressions hypnotiseur le sujet en "souvenir" un tout

invent rcit de l'enlvement.Principal est un problme srieux dans la recherche d'enlvement, mais pas dans lescritiques soutiennent faon.Lorsque hypnotiseurs inexpriment ou naf couter le rcit d'un abduct, ils n'ont souvent pasreconnatre fantasmes dissociative, la fabulation et de faux souvenirs, ou alien-inculqumemories.14 Le rsultat est que le sujet conduit l'hypnotiseur nafs en leur faisant croire unescnario d'enlvement qui n'a pas, en effet, se produire.Ce type de revers d'attaque est le meilleur exemple d'une situation hypothtique.Supposonsqu'unabduct vient me parler de ses expriences enlvement prsum, et sousl'hypnose, il me dit que tout bord d'un OVNI, il s'est assis sur le sol avec les trangers eta jou un jeu de plateau qui a t presque exactement comme le Monopoly, mais les noms desrues ont t

vraiment trange. Si je puis lui poser des questions sur les noms de rue, je suis en danger del'inversion de premier plan.Durant mes annes de plus de onze des enlvements d'instruction, je n'ai jamais entenduparler de quelqu'unjeux de table et je dois tre sr que l'vnement s'est produit comme dcrit avant que jeplonger dans elle.Parce que je sais que les gens vont parfois fabuler, en particulier dans les premires annessessions hypnotiques, je serais immdiatement suspect dans cette affaire qui a t lafabulationtravail mme si je ne devons jamais oublier qu'il est possible que les trangers ont jouMonopoly avec l'abduct. Je voudrais pousser plus loin afin de dterminer si cet vnementdes vnements. Je voudrais comparer des contradictions ou des incohrences en allant surl'incident partir de diffrentes perspectives temporelles, de poser des questions qui font progresser leabduct danstemps et puis revenir. Je demanderais la personne enleve pour dcrire la squence desvnements surune base de seconde par seconde, la recherche de disjonctions lgre dans le compte. Jevoudrais demandersi les trangers taient debout ou assis, prcisment l o ils taient la recherche, etexactement ce qu'ils voyaient. En d'autres termes, je recherche de l'trangerprocdures de visualisation qui pourrait avoir inculqu cette image dans l'esprit de l'abduct,lui faisant croire qu'il avait jou ce jeu alors qu'il n'avait pas. Si la personne enleve a tincohrent dans ses rponses, je considre l'incident avec scepticisme. Si il a tenu sonhistoire, tout le moins, je le mettrais dans les "en attente" du fichier, en attendant un autre

abductpour confirmer la mme exprience de faon indpendante.Contrairement la mthode que je viens d'voquer, l'hypnotiseur naf, ignorant qu'ilest dirige, l'coute de la situation de monopole et demande: Quelles ont t certaines des


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ruesnoms? "Cette question traduit subtilement l'acceptation par l'hypnotiseur, qui sert renforcer le matriel fabulatrice comme rel pour la personne enleve. Ajout d'une tellevalidationpousse la personne enleve la fabulation encore. Une forme inconsciente et doux dedissociation a lieu, et l'abduct commence se souvenir des vnements de plus qu'il esttout imaginer. (Cet tat mental est semblable canaliser, par lequel une personne dans un

selfalteredtat de conscience est d'avis qu'il reoit communication d'unesprit invisible ou l'entit qui rpond aux questions ou la sagesse donne.) La personne enleveainconsciemment conduit l'hypnotiseur et l'hypnotiseur a rciproque de la part sans le savoirla validation de la personne enleve. Les deux se joindre la confirmation mutuelle, de lafabrication d'un comptequi pourraient avoir un grain de vrit, mais est plus imaginaire que non.

Mutuelle Fantasies conformationnels

Faire de la recherche d'enlvement est exceptionnellement difficile, non seulement en raison

de la nature de laimportante et comment elle est rcupre, mais parce que les rcompenses pour ce travailsont gnralementinexistant. Au lieu de cela, le ridicule et le mpris l'offre des principaux honneurs.Je crois quetout le mondequi met sa rputation sur la ligne et les entreprises dans ce domaine tratres mriteles applaudissements de tous ceux qui la valeur de la recherche de la vrit. En dpit de cela,mme les plusd'minents chercheurs parfois tomber dans les piges d'enqute telles que les mutuellesconformationnelsfantasmes.John Mack, professeur de psychiatrie l'Universit Harvard et un chercheur d'enlvement,fournit un bon exemple de mutuelle fantasmes conformationnels. A l'chelle nationale connu

socialecritique et laurat du prix Pulitzer, Mack est devenu fascin par le phnomne d'abductionen 1990 quand il a assist une confrence de Budd Hopkins. Mack a rapidement reconnu quelephnomne des enlvements a t gnr pas mentalement et avait donc une ralitextrieure.Il courageusement procd un examen grande chelle du phnomne, au dtriment de soncarrire Harvard et au mpris de ses collgues.En Mack de 1994 livres, l'enlvement, il raconte une sance d'hypnose qu'il a men avecCatherine, dans laquelle des trangers auraient montr ses images sur un cran d'un cerf,de la mousse,dserts, et autres choses de la nature." Puis elle vit peintures des tombes gyptiennes et taitcertainqu'elle se regarder dans une vie antrieure.Puis ils lui montra une photo de peintures des tombes avec de la peinture s'caille."Mais alors,ilmarche pour moi, c'est la peinture. "Mais dans cette incarnation, elle tait un homme etcomme elle regardait cettescne [dit-elle] "Cela fait du sens pour moi ... ce n'est pas un truc. Cette information est utile.Ce n'est pas eux, en tirant un tas de merde comme tout le reste. "Catherine sentait maintenantque sainsistance sur un change rciproque d'informations plus avait t confirme.J'ai alors demand Catherine de me dire plus sur cette image d'elle-mme comme un peintredans la tombed'une pyramide gyptienne. En rponse ma question, elle a f

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40669433 La Menace David Jacobs 1